Bibliothèque
L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !
Bauhaus 1919-1969
Musée National d’Art Moderne (encore situé au palais de Tokyo)
Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
2 avril - 22 juin 1969
Exposition et catalogue dédiés à Walter Gropius
Commissaires généraux :
pour la France : Jean Leymarie, René Héron de Villefosse
pour l'Allemagne : Herbert Bayer, Ludwig Grote, Dieter Honisch, Hans Maria Wingler
Structure de l'exposition et maquette du catalogue
Herbert Bayer, Peter Wehr
Sur la couverture figure la triade géométrique fondamentale associée aux trois couleurs primaires, sur laquelle repose l'universalité permanente du langage plastique
...
Jean Leymarie
- Taille : 22cm x 23cm
- Table des matières.
- Préface. pg7
- Walter Gropius et le Bauhous, Ludwig Grote. pg9
- Ma conception de l’idée du Bauhaus, Walter Gropius. pg14
- Formes élémentaires et fonctionnalisme, Ludwick Grote. pg18
- L’esprit de la république de Weimar, Heinz Winfried Sabais. pg24
- Chronologie. pg26
- Catalogue. pg29
- Propos de l’exposition, Dieter Honisch. pg31
- Cours préliminaire et enseignement. pg33
- Le cours préliminaire à Weimar à Dessau, Otto Stelzer. pg35
- Les ateliers. pg73
- Censée importance de la formation donnée par les ateliers du Bauhaus ,Hans Eckstein. pg75
- Architecture et création. pg143
- L’architecture et le Bauhaus, Nikolaus Pevner. pg145
- La cité de Weissenhof à Stuttgart ,JÜrgen Joedicke. pg165
- Peintures, sculptures, dessins, gravures. pg215
- Les peintres au Bauhaus, Will Grohmann. pg217
- La vie au Bauhaus. pg307
- Portrait du bauhausler, Reginald Isaacs. pg309
- La vie au Bauhaus et ses fêtes, Alfred Arndt. pg311
- Le Bauhaus et la semaine du Bauhaus àWeimar (1923), Siegfried Giedion. pg316
- Cercle rouge et carré bleu ?, Hans H. Stuckonschmidt. pg317
- Le Bauhaus de Dessau, Ilya Eherenburg. pg318
- Poursuite de l’enseignement. pg325
- Résonance ces développements ultérieurs du Bauhaus aux tats-Unis ,Hans M. Wingler. pg327
- Biographie, bibliographie. pg337
- Index. pg359
ISBN : 2856040179
En 1971, l’Association Française de l’Eclairage (A.F.E.) a publié, au titre du Conseil International des Musées (ICOM), une brochure ayant pour sujet « la lumière et la protection des objets et spécialement exposé dans les musées et galeries d’art ». Une seconde édition, enrichi, d’une part, d’indication pratique pour la mise en valeur par la lumière est autre part, de description d’installations existantes, a été publié en 1977.
La considérable évolution des moyens techniques (des sources de lumière électrique, en particulier), depuis plus d’une décennie, a largement enrichi la muséographie.
La présente publication est un guide qui traite des divers aspects de l’éclairage des locaux d’exposition d’objets d’art.
Parmi les éléments que doit traiter le conservateur, l’éclairage est certainement l’un des plus difficiles. Cela est particulièrement vrai dans les musées de petites dimensions où, non seulement les budgets peuvent être limités mais aussi le manque de connaissance du personnel dans ce domaine et l’absence trop fréquente de recherche des conseils d’un spécialiste extérieur, conduisent à l’installation d’un éclairage qui ne convient pas.
Cependant, et de plus en plus, l’éclairage des btiments neufs est intégré au cahier des charges. Le fait qu’il puisse participer à l’interprétation des expositions et créer une ambiance particulière et mieux compris.
Une coopération étroite entre le personnel des musées, les architectes, les ingénieurs éclairagistes et les fabricants indispensables.
L’éclairage des musées se rapproche de plus en plus de l’éclairage scénique traditionnel des thétres de certaines vitrines de magasins. Grâce aux moyens techniques dont on dispose aujourd’hui, l’éclairage et la décoration peuvent transformer la visite de musées en spectacle.
Certaines parties de ce guide ont été rédigées à partir du chapitre 16 «Museum and art gallery lighting » de la publication 29.2 de la Commission Internationale de l’Eclairage « Guide on interior lighting » (1986), du CIBS Lighting Guide « Museum and art galleries » (1978) et du « Code de bonnes pratiques de l’éclairage des ouvres d’art et objets collection » normes belges NBN 13-003 (novembre 1980).
- Taille : 30cm x 21.5cm
- Sommaire.
- Introduction. pg11
- ChapitreI. Nature et mode d’éclairage
- . 1. Eclairage naturel et lumière du jour. pg132
- . Eclairage électrique .pg143
- . Effets spéciaux. pg17
- Chapitre II. Présentation des différentes catégories d’objets.1
- . Aspects des objets. pg192.
- . T.ype de support : murs, épis, panneaux, vitrines. pg203
- . Différentes catégories d’objets de et d’ouvres d’art. pg234
- . Expo sition temporaire. pg325
- . Galeries d’art. pg326
- . Eclairage des collections particulières. pg32
- Chapitre III. Détérioration des objets par la lumière et protection.
- 1. Paramètres d e détérioration par la lumière.pg33
- 2. Le bois de réciprocité de l’action photochimique. pg33
- 3. Composition spectrale. pg33
- 4. Effet photochimique. pg35
- 5. Effet thermique. pg36
- 6. Sensibilité des objets à la lumière. pg37
- 7. Réduction des effets de détérioration par la lumière. pg38
- 8. Prises de vue. pg41
- 9. Compromis entre contraintes antagonistes. pg41
- Chapitre IV. Paramètres visuels.
- 1. Acuité. pg45
- 2. Sensibilité au contraste . pg45
- 3. Perception des couleurs et une mémorisation. pg46
- 4. Contrastes chromatiques simultanés. pg46
- 5. Rendu des couleurs de la lumière. pg46
- 6. Adaptation chromatique. pg47
- 7. Eclairement et température de couleur. pg47
- 8. Accommodation. pg47
- 9. Adaptation aux variations de luminance. pg47
- 10. Eblouissements. pg48
- 11. Eclairement srecommandés. pg48
- 12. Mesures physiques. pg48
- ChapitreV. Autres équipements d’éclairage électrique.
- 1. Installation électrique. pg51
- 2. Eclairage de ronde p.g51
- 3. Eclairage des zones de transition. pg51
- 4. Eclairage des locaux annexes. pg51
- 5. Eclairage des ateliers de restauration. pg52
- 6. clairage de sécurité. pg52
- ChapitreVI. Dépréciation et entretien des installations.
- 1. Dépréciation des installations. pg55
- 2. Entretien des installations. pg57
- Chapitre VII. Terminologie . pg59
- Annexe I. Rayonnement naturel. pg67
- Annexe II. Lampes. pg71
- Annexe III. Luminaires. pg77
ISBN : 9782872827381
Le public révélé.
C’est une idée un peu folle qui a initié cette publication, et l’exposition qui est son pendant. En manque d’outils actualisés sur le thétre et la danse en Belgique francophone qui ne soit ni des anthologies neutres et exhaustives, ni des monographies laudatives, est confronté quotidiennement, notamment à l’international, à la méconnaissance de ces domaines artistiques pourtant très prolifiques, nous avons voulu produire deux objets qui permettent une meilleure connaissance de l’évolution de ces arts de la scène depuis la fin des années 1960. L’idée fut d’opérer un choix, de 40 « révélations » sur à peu près 40 ans, parmi les milliers de spectacles créés depuis lors.
Révélation. Le terme polysémique : fait de découvrir ce qui était resté secret, personne dont il est donné au public de découvrir le talent, phénomène par lequel des vérités cachées sont révélées, illumination individuelle, prise de connaissance brusque, voir ce sens photographique du terme (révélation de l’image latente…). Tous ses sens à vrai dirent étaient à notre esprit au moment où, à cinq personnes, d’âge et de « famille » du spectacle différent, nous avons choisi ces 40 spectacles. Pour guider ce choix, nous nous sommes attachés à l’aspect novateur et original des spectacles, à leur influence dans la transformation du champ des arts de la scène, et à leur importance esthétique dans le trajet de leur(s) auteur(s). C’est dire qu’on ne trouvera pas ici de reproduction de formes conventionnelles, d’ouvres sans influence, et qu’il ne s’agira pas toujours de « succès » en termes de publics ou médiatiques.
Ces 40 révélations scéniques sont réunies dans l’ordre chronologique, avec à chaque fois une fiche signalétique les concernant, une notule à leur propos, écrite par un spectateur avisé, et quelques traces visuelles. Vous trouverez en outre dans l’ouvrage de quatre textes plus longs, dessinant les parcours parmi ces 40 spectacles, tentant d’en faire une lecture plus ou moins globalisante, et quelques respirations, jouant plus librement avec la matière iconographique.
Sans prétention aucune à être un catéchisme, cet ouvrage (comme son reflet, l’exposition) s’affirme comme éminemment subjectif, d’autant qu’il est porteur d’un grand nombre de subjectivités. Outre le comité de réflexion, il faut compter en effet les 25 auteurs de cet ouvrage, les 40 spectateurs filmés pour l’exposition, les photographes qui ont bien voulu nous prêter leur regard, et tous ceux qui nous ont nourri dans notre recherche de documentation et d’information. Autant de points de vue individuels différents… qui au final produisent, réunis ici comme devant un grand spectacle, la rumeur ce que l’on appelle un public.
Un public dont la mémoire passionnée, est passionnante, et sans doute la première révélation de ce projet.
Antoine Pickels
- Taille : 27cm x 20cm
- Table des matières.
- Le public révélé par Antoine Pickels. pg6
- Mémoire, lacunes et révélations par Antoine Pickels et Célyne Van Corven. pg9
- Mademoiselle Jaillir (1968);
- Real Reel (1971).
- Mistero Buffo (1972)
- .La Passion selon Pier Paolo Pasolini (1977).
- Hedges (1979).
- Artefact (1980).
- Ella (1980).
- Jocaste (1981).
- L’homme qui avait le soleil dans sa poche (1982).
- Juste ciel (1985).
- De la forme du sens au sens de la forme : 40 ans d’exportation scénique par Nancy Delhalle.
- La Mission (1986).
- If Pyramids were sqare (1986).
- Hia (1986).
- La Tragédie Comique (1988)
- .Les Troyennes (1988).
- Von Heute aufmorgen (1989).
- L’Annonce faite à Marie (1989).
- Watcha I Love You (1992).
- Yvonne, Princesse de Bourgogne (1993).
- La danse des pas perdus (1994).
- Héritage et transmission par Cédric Juliens. pg131
- S.A.B.E.N.A. such bad experience, never again (1994).
- CyberChrist (1925).
- Natures Mortes (1925).
- Les Revues (1995 - 2008).
- A-Ronne II (1996).
- Le paradis des chiens (1926)
- .In Between (2000).
- Rwanda 94 (2000).
- Enterrer les Morts / Réparer les Vivants (2000).
- Les Ambassadeurs de l’Ombre (2000).
- Une mémoire du théâtre par Catherine Simon. pg189
- Le Dragon (2001).
- Zugzwang (2001).
- Made in Taiwan (2004).
- Oxygène (2004).
- La Fontaine aux Sacrifices (2004 - 2006).
- La Terreur, Chronique de la Création (2006).
- Amérika (2006).
- Holeulone (2006).
- Troupeau / Rebano (2006).
- Het Maakt Nieks Uit, Het Blijf Onzichtbaar (2008).
- 40 spectateurs. pg244
- Crédits photographiques. pg246
- Soutiens, remerciements. pg248
ISBN : 9786600172965
A cura di G. de Florentiis, S. Martinotti, G. Tintori. Testi di S. Angrisani, F. Attardi, A. Bassi, F. Cella, L. Ferrari, M. P. Ferraris, G. de Florentiis, C. Gallico, L. Inzaghi, S. Martinotti, E. Morini, L. Rossi, G. Tintori. Questo volume traccia il panorama dell'attività teatrale in Lombardia legata all'opera e al balletto. Se pure il Teatro alla Scala di Milano ricopre un ruolo da protagonista, non meno interessante é l'attività degli altri teatri milanesi e lombardi che si mette in luce. In passato i teatri nati per iniziativa privata hanno costituito anche un particolare fenomeno edilizio che andava studiando il balletto, nato alle sue origini in Lombardia, costituisce un capitolo particolare e a molti, forse, poco noto. A Milano, soprattutto, la scenografia ha avuto irripetibili momenti i napoletani, nel Settecento, arrivavano a Milano e nella regione per portare un fresco rinnovamento in genere con l'opera buffa, a formule collaudate e in qualche caso stantìe. Il grande arco del melodramma nato a Firenze, ma affermatosi a Mantova con l'Orfeo e, attraverso ormai quattro secoli giunto fino a noi, ha avuto in Lombardia una sua storia illustre o modesta, ma pur sempre di grande interesse. Le immagini ci immergono partecipi in questo mondo saturo di storia, di vita, di suggestione e di colore. Ottimo esemplare. (T-CA). ill. a colori n. t.
- Taille : 36cm x 26,5cm
- Sommario.
- L’architettura de teatri d’opera lombardi, Maria Pia Ferraris. pg19
- . I Teatri milanesi, Simonetta Angrisani. pg51
- Orfeo di Monteverdi a Mantova,
- . Il Primo capolavoro, e il primo secolo del l’opera in musica in Lombardia, Claudio Gallico. pg73
- Mozart in Lombardia, Luigi In zaghi. pg83
- La scuola napoletana a Milano nel Settecento, Feancesco Attardi. pg97
- Il melodramma dell’Ottocento, Sergio Martinotti. pg109
- Le opere veriste rappresentate in Lombardia, Adriano Bassi. pg151
- La cultura lombarda e le nuove vie dell’opera, Luigi Ferrari. pg163
- .IIl balletto in Lombardia, Luigi Rossi. pg175
- La scenografia lombarda : teorie e protagonisti, Enrica Morini. pg213
- Gli interpreti : cantanti e direttori d’orchestra, Luigi Inzaghi. pg241
- I teatri lombardi e el pubblico, Graziella de Florentiis. pg261
- Impresari in Lombardia, Giampiero Tintori. pg269
- Editori in Lombardia, Giampiero Tintori. pg277
- La librettistica nei poeti lombardi di nascita o di adozione, Franca Cella. pg285
- Quattro secoli di « Prime » in Lombardia, Giampiero Tintori. pg301
Dans une salle du palais de Versailles, parmi la foule des robes à paniers et des habits de cour, l’excellent « automatisme » Roetgen présenta Louis XVI un nouveau chef-d’oeuvre. Cette joueuse de Tympanon, vêtu d’un corsage décolleté et d’une ample robe de soie brodée, suscite une curiosité générale ; on dit le corps de la poupée divinement modelée sous la robe, on s’émerveille de sa précision et de sa grce hautaine. Une ariette alerte s’égrène sous la grêle tes marteaux d’ivoire ; tout I siècle s’exhale de cette musique élégante et sèche ; et quant à la jeune femme, sous la haute coiffure bouclée, tourne la tête pour saluer, on murmure une auguste ressemblance …
Plus sensible au cour est plus parfaite en son mécanisme que l’Ecrivain et la Musicienne des Jaquet-Droz, ou le Canard de Vaucanson et ses flûtistes, la joueuse de Tympanon évoque fidèlement pourrons-nous le premier ge de l’automatisme.
- Taille : 17,5cm x 11,5cm
- Table des matières.
- Introduction. pg5
- Les automates.
- I. Les automates dans l’histoire. pg11
- II. Les chefs-d’oeuvre du XVIIIe siècle. pg21
- III. Un « automatisme te » moderne. pg33
- IV. Les « Robots ». pg42
- L’automatisme.
- V. Qu’est-ce que l’automatisme ? pg47
- VI. L’intelligence mécanique. pg55
- VII. Les machines automatiques. pg61
- VIII. Automates électriques et robots habillent. pg71
- IX. Le phare de Nividic. pg82
- X. Le téléphone automatique et l’horloge parlante. pg88
- XI. L’oil électrique. pg98
- XII. Avions sans pilote. pg110
- XIII. Deviendrons-nous des automates ? pg116
- Epilogue. pg127
Au lecteur.
Ce guide a été pensé et écrit pour toi, à l’occasion du quatrième centenaire de la mort de Palladio, avec l’espoir que tu ne seras pas seulement le visiteur pressé, mais un amoureux de la vérité de la beauté.
Voilà, nous te présentons ce petit volume conçu en deux parties : la première - Guy de brefs - qui te permettra de suivre la visite immédiatement à l’aide des images ; la deuxième tirée par l’histoire - qui, après la visite, pendant le repos des fatigues après une pure journée de visite, au plus tard, au retour dans ta demeure, pourra t’aider à parcourir par la mémoire les itinéraires de ton voyage vicentin, et à enrichir ton souvenir de ces notations esthétiques et historique qui, pendant la visite, pourrait échapper.
Au seuil de l’antique Porte de l’Armurerie puissent accueillir les Muses et les Arts qui habitent ici à l’écart, dans leur propre « paradis ». De ce seuil, tournant le dos à la ville vivante de la Basilique et du Palais Chiericati, tu rentreras dans l’autre ville ; celle, imaginé et splendide, créée par Palladio et Scamozzi pour le délassement érudit des Académiciens Olympiques.
Sur ce seuil, de la rencontre entre l’enchantement de la contemplation et le plaisir de la parole, est née l’idée de ce livre, écrit avec une grande passion par son auteur, connaisseur érudit.
Nous le dédions à toi, hôte aimable deVicence et - peut-être - nouveau Goethe, en gage d’amitié.
L’Académie Olympique.
- Taille : 21cm x 13,5cm
- Index.
- Première partie.
- Guide bref. pg5
- Deuxième partie.
- Arts et Histoire.
- Quel doit être l’approche du théâtre Olympique. pg51
- Le jardin de lOolympique. pg59
- L’Odéon et l’Académie Olympique. pg65
- Palladio et le Thétâre.
- Le théâtre des antiques. pg79
- Le théâtre de Palladio. pg86
- La construction du Théâtre Olympique. pg89
- Description du Théâtre. pg92
- La «frons scenae ». pg94
- Les «versurae ». pg101
- L’Orchestre. pg102
- La Cavéa. pg105
- Les Loges. pg108
- Les plafonds. pg110
- Les perspectives de la scène.
- La ville idéale. pg114
- L’Olympique vivant.
- Ligne de direction du Théâtre et l’Oedipe Roi (1585). pg120
- Les représentations à l’Olympique : les spectacles classiques de l’Académie. pg124
- Manifestations et spectacles au Théâtre Olympique de 1585 à nos jours. pg134
- La collection de costumes et dessins de l’Académie Olympique. pg141
- Bibliographie. pg159
Le manuscrit. Vingt-trois feuillets du format courant, dactylographiées à l’encre violette avec double interligne et rassemblé au moyen d’onglets en deux cahiers inégaux (1 à 14, 15 à 23), c’est ainsi que se présente - dans la copie retrouvée - le brouillon du texte de Raymond Roussel intitulé Flio, si toutefois c’est bien comme un titre qu’il faut interpréter ce mot, inscrit en minuscule et suivi du « (1) » répondant à la pagination, en tête et au milieu du premier feuillet. Vers le début de la première guerre mondiale, l’auteur - alors mobilisés - avait confié cette copie à son homme d’affaires et ami Eugène Leiris, dans une enveloppe fermée qui portait cette mention manuscrite : « Prière à Monsieur Eugène Leiris de bien vouloir déposer cette enveloppe dans sa caisse du bureau. » Raymond Roussel. 10 décembre 1914. Rien qui permette de déterminer la destination de ce texte : histoire isolée, ou conçus pour prendre place dans une large composition, comme il en est de la plupart des récits imaginés par Roussel ? Quant à l’adaptation, pas d’autre indice que la date du dépôt. D’autre part, en dépit du mot « (fin) » inscrit au bas et à droite du dernier feuillet, l’histoire est inachevée ; mais rien ne prouve qu’une suite ne fut pas remis à un autre dépositaire. Publier ce fragment de compte encore presque à l’état de notes est, certes, en contradiction flagrante avec le prodigieux souci de perfection formelle dont Roussel a toujours témoigné. La licence ainsi prise peut, toutefois, se justifier par l’intérêt du texte, en tant que telle et comme document sur la manière dont travaillait un écrivain qui fut longtemps méconnu, mais que l’ « épanouissement posthume » auquel il fit allusion transforme aujourd’hui en personnage public. Michel Leiris.
- Taille : 27cm x 19,5cm
- Sommaire.
- Raymond Roussel. Flio, présenté par Michel Leiris. pg2
- Jean Ferry. Première constatation à propos de Flio. pg14
- John Ashbery. Les versions scéniques d’Impressions d’Afrique et de Locus Solus. pg19
- Appendice A. Impressions d’Afrique, rôle de Julliard. pg26
- Appendice B. Feuilleton du Journal des Débats, 20 mai 1912. pg31
- Appendice C. Locus Solus, Acte IV, adaptation de Pierre Frondaie. pg35
- Appendice D. Raymond Roussel et PierreFrondaie. pg52
- La Presse et le Théâtre de Raymond Roussel. pg54
- Edouard Dujardin. Le cas de Locus Solus. pg56
- François Caradec. La machine à imprimer Roussel. pg59
- Juann Esteban Fassio. La machine à lire Roussel, ou la machine à lire des nouvelles Impressions d’Afrique. pg63
- Jean Borzic. Roussel en Sorbonn. pg67
- Pierre Dhainaut. Raymond Roussel oseur d’influence. pg73
- Raphaël Sorin. Le Pendule de Foucault. pg75
- Michel Leiris. Le Voyageur et son ombre. pg77
- Roger Vitrac. Raymond Roussel. pg79
- Jean Cocteau. Raymond Roussel. pg85
- Michel Heroullt. Ciel natal des positions astrologiques de Raymond Roussel. pg87
- Elie Richard. Raymond Roussel, où Le Génie ne fait pas le bonheur. pg88
- Robert André. La Stèle de Raymond Roussel. pg89
- François Lorin. Raymond Roussel ou l’Irrémédiable Extase. pg93
- Jean Chatard et Robert Momeux. Interview de Michel Ney, duc d’Elchingen Point pg98
- Jean Ferry. Une autre étude sur Raymond Roussel.
- pg106 Textes des Chants I, III et IV des « Nouvelles Impressions d’Afrique ». pg153
- François Caradec. La tombe de Raymond Roussel. pg159
A Si quelle heure de notre histoire du théâtre Ibsen débarqua à Paris ? (extrait)
depuis le jour où le critique anglais Edmond Gosse publia en 1872 sa mémorable chronique sur Ibsen, les articles, les livres se sont multipliés dans le monde entier. Bien difficile d’ajouter un caillou à ce monument. Tout a été dit. Chez nous, les pionniers de la première heure : Paul Desjardins, Sarolea, Prozor, Edouard Rod, Georg Brandes, nous ont aussi fourni des renseignements précieux. A plus forte raison après un demi-siècle, le formidable ouvrage de M. P.-G La Chesnays est-il venu depuis quatre ou cinq ans couronnés tant d’études étend d’ouvrages sur l’ouvre du grand dramaturge. Ici limitons-nous : l’aspect de la question Ibsen devant notre pays suffit à ce petit livre, dont le titre pourrait être : Résumé de l’histoire d’Ibsen à Paris.
l’est de chez nous, aussi bien que dans les pays du Nord, longtemps il s’est manifesté un courant d’esprit prétendant contrôler notre intérêt pour le théâtre d’Ibsen, et même le contester. On s’y est étendu avec complaisance sur notre incompréhension. La chose reste divertissante : jusqu’à un certain point nous pourrions, tout au plus, admettre d’être mis en garde contre des oeuvres purement norvégiennes d’Ibsen.
Mais encore il y a maintes raisons pour que ces pièces ne nous soit. Indifférente, beaucoup de descendants des vieux normands nous étant demeurés proches parents. Ibsen, lui-même s’émancipa et se manifesta avec éclat hors du foyer scandinave dès 1864. Ne peut-on dès lors admettre qu’il appartient également à la pensée française, et pour une part non négligeable ? Enfin de comédiens interprètent avec autant de lumière que ceux des autres pays. S’en amuser d’aider que la ration complaisante que le grand écrivain plus nous faire, il suffirait de se reporter à ces propos devant ses intimes. Après toutes les étapes ou Ibsen s’arrêta, ces idées ne évoluèrent-elles pas selon les faits qui se succédaient en Europe, et cela presque toujours au rythme des événements se déroulant en France ?
Ce résumé ne sera donc pas grand-chose à la considérable bibliographie Ibsénienne. Depuis longtemps les initiés ont les uns comme les autres, prévenu le lecteur (en apportant chaque fois leur contribution) que le problème avait été envisagé sous tous les aspects. Nos voisins, les Allemands - laissant de côté l’Angleterre - possède une véritable bibliothèque qu’il est précieux de connaître lorsque l’on veut commenter jusqu’à des commentaires.
Nous rapporterons ce que nous savons d’Ibsen du seul point de vue latin français, ce que nous avons pu glaner auprès de lui et après nos randonnées d’Europe ou d’Amérique. Ayant bien connu le plus grand poète moderne du théâtre, n’ayant jamais cessé de cultiver son ouvre, il apparaît bien qu’il y a encore quelques petites choses honneur de notre pays qui n’est pas été dite.
…
- Taille : 20cm x 16cm
- Table des matières.
- A quelle heure de notre histoire du théâtre Ibsen débarque à Paris ? pg7
- Résumé de la vie d’Henrik Ibsen. pg45
- Mes rencontres avec Ibsen. pg71
- Table des planches. pg101
Notices sur les dessins et appareils exposés par le service des Phares et Balises.
Introduction.
Le Ministère des travaux publics a réuni dans une exposition très limitée qu’il a faite, à Londres (exposition franco-britannique) et à Marseille (application de l’électricité) les appareils, dessins et modèles suivants :
1° Un modèle de la tour du phare électrique d’Eckmühl.
2° Trois dessins représentant :
- la tour du fer électrique de la Coubre.
- Les btiments et la salle des machines du far électrique de la Coubre.
- l’appareil optique du far électrique de la Coubre.
3° Un des régulateurs arcs du far électrique de la Coubre.
4° Un dessin des cloches électriques de l’Estuaire de la Seine.
5° Un dessin de la commande électrique des cloches sous-marines.
6° Un dessin relatif aux communications et signaux par ondes Hertziennes.
7° Un appareil d’éclairage à incandescence par la vapeur de pétrole.
8° Une optique de 0m,1875 de distance focale avec brleur à mèche et à incandescence.
9° Une lanterne avec optique de 0m,25 de distance focale et manchons incandescence par le gaz de ville, pour bouée lumineuse.1
0° Une lanterne avec optique de 0m,1875 de distance focale et manchon à incandescence pour bouée lumineuse.
11° Un appareil à optique annulaire de 0m,95 de distance focale pour feu de direction, avec manchon à incandescence par le gaz de ville.
12° Un modèle de bouée lumineuse à queue de 12me de capacité.
13° Un modèle de bouée lumineuse à plat de 5me de capacités.
Exposition des applications de l’électricité, à Marseille.
1° Un dessin de la tour du far électrique de Planier.
2° Un régulateur électrique arc, type Planier.
3° Un régulateur électrique à moteur différentiel pour arc long.
4° Un dessin de cloches électriques de l’Estuaire de la Seine.
5° Un dessin de la commande de cloche sous-marine.6
° Un dessin relatif aux communications et signaux par ondes Hertziennes.
7° Un appareil à feu permanent a été la groupée par trois, de 0m,15 de distance focale, avec dispositif de rotation électrique.
Ces divers appareils, modèles ou dessins tendent à faire ressortir, dans la mesure restreinte permise par les expositions dont il s’agit, les idées nouvelles appliquées par le Service des Phares dans les dernières années. Ces idées sont mises en évidence dans les chapitres suivants.
- Taille : 21,5cm x 15cm
- Table des matières.
- Introduction. pg1
- Chapitre Ier. Phares électriques. pg3
- 1. Historique. pg3
- 2. Arc et charbon. pg9
- 3. Comparaison entre les arcs à courant continu et les arcs à courant alternatif. pg10
- 4. Charbon minéralisé. pg13
- 5. Régulateur symétrique, modèles 1901. pg13
- 6. Régulateur à moteur différentiel pour arc long. pg17
- 7. Dispositifs spéciaux pour charbon numéro lycée. pg21
- 8. Optique. pg23
- 9. Optique de la Coubre. pg24
- 10. Machines électriques générales prissent. pg261
- 11. Signal sonore. pg36
- 12. Machines de motrices. pg37
- 13. Frais d’installation des phares électriques. pg40
- 14. clairage par incandescence électrique. pg41
- 15. Auteurs et collaborateurs. pg42
- ChapitreII. Application de l’électricité à la commande des signaux sonores. pg43
- 1. Signaux à air comprimé. pg43
- 2. Si installation de cloches ou signaux de brume dans l’Estuaire de la Seine. pg46
- 3. Cloche sous-marine commandée électriqu ement. pg54
- 4. Auteurs et collaborateurs. pg59
- Chapitre III.
- Application de transport électrique de la force à des chantiers de construction en mer. pg60
- 1. Outillage électrique pour construction sur un récif isolé. pg61
- 2. Outillage électrique pour l’immersion sur un plateau sous-marin d’un caisson métallique et l’exécution sur celui-ci de fondation d’un phare. pg63.
- 3. Auteurs et collaborateurs. pg82
- Chapitre IV.
- Application des ondes Hertziennes aux communications entre les navires et les phares. pg84
- 1. Emplois de la télégraphie sans fil pour le service d’un chantier en mer. pg84
- 2. Etude des signaux de brume par ondes Hertziennes et la détermination de l’orientation. pg883
- . Auteurs et collaborateurs. pg95
- ChapitreV.
- Eclairage des phares à l’incandescence par la vapeur de pétrole. pg96
- 1. Huile minérale.pg96
- 2. Manchon. pg97
- 3. Brûleur du Service des Phares. pg98
- 4. Réservoir à pétrole est à terre. pg100
- 5. Fonctionnement. pg103
- 6. Résultats obtenus. pg108
- 7. Incandescence avec becs à mèches. pg109
- 8. Auteurs et collaborateur. pg111
- Chapitre VI.
- Eclairage des bouées à incandescence par le gaz d’huile. pg121.
- 1. Brûleurs à incandescence pour bouées. pg112
- 2. Nouveau bateau baliseurs. pg113
- 3. Types de bouées lumineuses. pg114
- 4. Feux flottantx non gardés. pg116
- 5. Auteurs et collaborateurs. pg119
ISBN : 2253905259
Notre connaissance du théâtre grec ne cesse de progresser. Les innombrables reprises ou adaptations de pièces antiques sur toutes les scènes du monde témoignent d’une tradition toujours vivante.
Destiné à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre cet héritage, l’introduction au théâtre grec antique retrace avec clarté les grandes étapes de sa formation et de son développement.
L’ouvrage relate la genèse des spectacles en Grèce, depuis les manifestations rituelles de l’époque minoenne jusqu’à la naissance des premières tragédies, lors des Grandes Dionysiens.
La description des représentations au siècle de Périclès, ge d’or de la production thétrale, met l’accent sur le lien qui rattache le thétre à la cité.
L’étude de la tragédie et de la comédie, comportant une analyse de toutes les pièces conservées, permet de souligner l’influence réciproque d’argent sur l’autre.
Enfin, la dernière partie envisage sous l’angle historique la présence culturelle du thétre grec jusqu’à l’époque contemporaine.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Table.
- Introduction. pg5
- Chapitre I.
- La naissance du thétre grec antique. pg7
- Chapitre II.
- Le thétre à Athènes à l’époque classique. pg35
- Chapitre III.
- La tragédie. pg69
- La tragédie grecque classique. pg75
- Eschyle. pg81
- Sophocle. pg97
- Euripide. pg117
- Chapitre IV.
- La c omédie.pg155
- Comédie ancienne et comédie nouvelle. pg158
- Aristophane. pg163
- Ménandre. pg193
- Chapitre V.
- Aperçus sur la postérité du thétre grec classique. pg205
- Chronologie. pg233
- Bibliographie. pg237
- Index mythologique et historique. pg247
- Index des termes techniques. pg251
- Index des pièces de thétre antique. pg253
Théâtre & Fêtes
Etablissement Louis Leblanc
Nançois-Tronville (Meuse)
(Embranchement des lignes Paris-Strasbourg, Bar-Le-Duc- Dijon)
Catalogue 1923-1924
- Taille : 24,5xm x 31,5cm
- La scène d’un théâtre de ville. pg4
- La scène d’un théâtre d’amateur. pg5
- Le décor de théâtre. pg6
- Machinerie de thétre. pg8Ameublement pour Sociétés et Théâtres. pg10
- Façades et le Rideau d’avant-scène. pg11
- Classement de nos Décors de Théâtre. pg12
- Tarif de Décors de Théâtre. pg13
- Accessoires pour scène en papier entoilé. pg14
- Meubles peints sur papier entoilé. pg16
- Guignol. pg17
- Artifice de théâtre. pg18
- Pour ce grimer. pg20
- Parfumerie théâtrale. pg22
- Postiches. pg23
- Casques historiques et modernes. pg24
- Armes et accessoires. pg25
- Passementeries et fournitures pour costumes. pg26
- Kermesse. pg27
- Attractions diverses. pg28
- Les jeux de plein air. pg30
- Massacre, montgolfières. pg31
- Pour vos ballets, vos danses et défilés. pg32
- Ballons spéciaux pour décorer boutiques, rues, salles, etc. pg34
- Illuminations et Retraites. pg35
- Drapeaux riches pour Sociétés, Conscrits, Mairies, etc. pg36
ISBN : 9788070083505
"Le catalogue de la 13e Quadriennale de la scénographie et de l'espace théâtral de Prague présente les expositions nationales de 67 pays qui ont participé au PQ dans la section des pays et régions et la section des étudiants, y compris des informations sur les artistes exposants, des œuvres et un vaste matériel visuel. Il documente également les expositions d'accompagnement et les projets pédagogiques qui ont été mis en œuvre durant le PQ dans le cadre du projet international pluriannuel SharedSpace : Music Weather Politics. www. pq. cz.
- Taille : 27cm x 21cm
- Content.
- Opening Statements. pg6
- Shared Space. pg10
- PQ in Historial Overview. pg17
- Participating Countries and Regions. pg26
- Exhibition Countries and Regions. pg28
- Objects. pg304
- Tribes. pg330
- Further Projects. pg360
- Jury, Awaeds, Council, Team.pg380
ISBN : 02408049021
Technical Design Solutions for Theatre is a collection of single-focus articles detailing technical production solutions that have appeared in The Technical Brief Collection, a publication of the Yale School of Drama’s Technical Design and Production Department. The primary objective of the publication was to share creative solutions to technical problems so that fellow theatre technicians can avoid having to reinvent the wheel with each new challenge. The range of topics includes scenery, props, painting, projections, sound, and costumes. Each article describes an approach, device, or technique that has been tested onstage or in a shop.
Great reference of tips and solutions to persistent technical challenges in theatre production
Solutions provided by contributors from over twenty different producing organizations
Ten years of The Technical Brief Collection articles bound in each of three volumes
A comprehensive index to all three volumes included in Volume III
- Taille : 28cm x 21,5cm
ISBN : 2858508267
Ouvrage publié à l’occasion de l’exposition « Ilya Kabakov : C’est ici que nous vivons »
organisée par le Musée national d’art moderne-Centre de création indistrielle et présentée du 17 mai au 4 septembre 1995 dans le Forum du Centre national d’art et de culture Georges Pompidou.
- Taille : 30,5cm x 24cm
- Sommaire
- L’inaliénable par François Barré pg7
- Kabakov témoin par Jean-Hubert Martin pg9
- L’architecte du vide par Robert Storr pg13
- Un homme qui veut duper le temps par Boris Groys pg17
- Ilya Kabakov, entretien avec Nadine Pouillon Le musée : temple ou décharge ? pg20
- L’installation totale par Ilya Kabakov pg26
- Les installations 1983 - 1995
- Avant propos pg29
- La Fourmi pg30
- Sept expositions d’un tableau pg32
- Le Paysage déchiré pg36
- Les Seize Cordes pg38
- La Caisse de détritus pg40
- Dans le coin pg42
- La Corde de la vie pg44
- Les Cordes en marche pg46
- La Rivière souteraine dorée ph48
- Le Bateau pg52
- Les Paravents intellectuels pg56
- La Mouche avec des ailes pg58
- Avant dîner pg62
- Les Dix Personnages pg66
- L’homme qui s’est envolé dans l’espace pg70
- L’homme qui s’est envolé dans le tableau pg74
- L'homme tout petit pg76
- L’Artiste sans talent pg78
- L’Homme qui ne jetait jamais rien pg82
- Le Compositeur pg86
- Le Collectionneur pg90
- Trois Nuits pg92
- L’Incident dans le couloir, devant la cuisine pg96
- L’Exposition d’un livre pg98
- Le Labyrinthe. L’Album de ma mère pg102
- Deux souvenirs d’une longue peur pg106
- L’Homme métaphysique pg110
- Il a perdula tête, s’est déshabillé et s’est enfui nu pg114
- Les Cibles pg118
- Le Wagon rouge pg122
- A qui sont ces ailes ? pg126
- La Cuisine communautaire pg128
- L’Asile d’aliénés ou l’Institut de recherches créatrives pg132
- Les Petits Hommes blancs pg136Dans la Cuisine communautaire pg138
- La Cuisine communautaire. Nouveaux documents et matériaux pg240
- 52 Entretiens dans la cuisine communautaire pg142
- Nous partons d’ici pour toujours pg146
- Le Pont pg150
- Le Plat bleu pg154
- La Vie des mouches pg158
- Les Toilettes pg162
- L’Incident au musée ou la Musique de l’eau pg166
- L’illustration comme moyen de survie pg170
- Je serai de retour le12 avril pg174
- Le Tableau non accroché pg176
- Le Musée vide pg178
- Les Grandes Archives pg180
- Rendez-Vous pg184
- Le Pavillon rouge pg186
- Le Cube blanc pg190
- Concerto pour mouche pg192
- La Mère et le Fils pg194
- Le Bateau de ma vie pg198
- La Sortie de secours pg202
- L’Ecole n°6 pg204
- NOMA pg208
- La Colle pg212
- La Salle d’opération. La Mère et le Fils pg214
- A vendre ! pg218
- Ma patrie. Les Mouches pg220
- En mémoire d’agréables souvenirs pg224
- Les Doutes de l’artiste ou la Conspiration des incapable pg226
- Les Toilettes dans le coin pg230
- Dans l’appartement de Viktor Nikolaïevitch pg232
- Le Couloir de deux banalités pg236
- Les Installationd non réalisées pg240
- Le dialogue qui n’a pas lieu pg244
- C’est ici que nous vivons pg248
- Biographie pg253
- Expositions pg254
- Bibliographie pg256
ISBN : 0273002090
In addition to the lighting spacialist, every director designer and actor should have some knowledge of just what istechnicaly possible in terms of light on the stage. This book supplies that knowledge. It does not ignore the electricity that goes into the spotlight, but is more concerned with the light that comes out and how best to take advantage of it.
After etablishing the aims of stage lighting, Francis Reid descriptes the most popular types of lighting equipment avaible and explains the techniques of rigging and wiring. Lighting design follows, withnchapters on direction, focus and use of colour. A valuable section on organisation defines the lighting designer’s requirements and responsabilities in planning, rehearsal and performance. Then come four chapters devoted to the specific lighting needs of the straight play, the musical, the thrut stage production and the multi-perpose hall. A final chapter on effects including projection, gauzes and atmospheric effects, is followed by an entertaining postscript describing one of the less orthodox productions lit by the author There is also full glossary of British and American lighting terms.
Francis Reid, editor of The Stage Lighting Handbook has lit shows of every kind in venues ranging from schoolhalls to Glyndebourne Opera House. He has taught lighting at the Royal Academy of Dramatic Art in London and a number of North American universities. This book will be a handy reference work for thr rxperienced professional looking for a rapid check list but the wealth of pratical information is put across with an easy simplicity that also makes it ideal for the beginner in search of a way through a tangle of wires.
- Taille : 23,5cm x 16,5cm
- Contents.
- Preface. pg1
- 1. Aims in Lighting. pg3
- 2. Lighting Equipment. pg10
- 3. Rigging and Wiring. pg33
- 4. First Steps in Lighting Design. pg39
- 5. Direction and Focus. pg44
- 6. Colour. pg54
- 7. Otganisation. pg60
- 8. Lighting the Play. pg73
- 9. Lighting the Musical. pg91
- 10. Lighting Thrust Stages pg100
- 11. Square One. pg106
- 12. Effects. pg111
- Postscript : A Case History in an English Country Garden. pg117
- Glossary. pg122
- Index. pg127
ISBN : 2759601935
Dans la première moitié du XIXe siècle, Paris a été la capitale internationale du théâtre ; tous les genres, du vaudeville à l’opera seria, du mélodrame à la pantomime, s’y sont épanouis dans la plus grande concentration de salles existant alors en Europe : Comédie-Française, Ambigu, Porte Saint-Martin, Théâtre-Italien, mais aussi Funambules, Gaîté, Variétés ou Gymnase.
Alors que les influences les plus diverses, de Shakespeare à Goethe, de Byron à Victor Hugo y forgeaient de nouveaux modèles, une étonnante effervescence intellectuelle rassemblait les plus grands acteurs – Talma, Mlle Mars, Rachel -, les compositeurs les plus célèbres – Rossini ou Meyerbeer –, les divas les plus admirées – Maria Malibran, Marietta Alboni, Pauline Viardot –, les étoiles de la danse les plus adulées – Marie Taglioni, Fanny Elssler ou Carlotta Grisi –, sans oublier le mime par excellence, Gaspard Deburau.
Une centaine d'oeuvres provenant du musée Carnavalet – portraits, aquarelles, dessins, décors, études de costumes, souvenirs – illustrent cette intense créativité et évoquent les principales figures qui l’ont illustrée.
Dans le poétique et séduisant "enclos Chaptal", où le peintre Ary Scheffer aimait à réunir les célébrités de la scène parisienne avec ses voisins de la Nouvelle Athènes - écrivains (George Sand, Tourgueniev, Charles Dickens), divas (La Malibran et sa soeur, Pauline Viardot) et musiciens (Chopin, Rossini avant Gounod), le musée de la Vie romantique devient l’écrin idéal pour accueillir cette exposition.
- Taille : 25cm x 18cm
- Sommaire.
- Préface, Bertrand Delanoë. pg13
- Côté cour - côté jardin, Daniel Marchesseau. pg15
- Les collections théâtrales du musée Carnavalet. pg19
- Grands et petits théâtres. pg23
- Musée Dantan. pg73
- La Petite Galerie dramatique. pg87
- Naissance du ballet romantique. pg109
- Le décor de théâtre à l’époque romantique. pg119
- Objets souvenirs. pg154
- Ouvrages consultés. pg163
- Index. pg164
Théâtre de Reggio Emilia
- Taille : 26,5cm x 19,5cm
À cette fin des enjeux Clément inventaire et proposer souvent des figures, caractère, forme et paroles inconnues de nous les mortels, et merveilleux et dépourvu de sens selon l'usage habituel de la langue, mais nous induisant, à travers la plus haute admiration de notre raison, à une recherche assidue des choses intelligible, puis à la vénération et à l'amour de ses mêmes choses.
- Taille : 21cm x 15cm
ISBN : 2080126040
Le jeu de perspectives auquel on a donné le nom d’anamorphose consiste à déformer l’image jusqu’à son anéantissement, de sorte qu’elle sort redresse, Ressuscité, lorsqu’on la regarde d’un point de vue déterminé. Il ne s’agit pas d’une aberration ou les images se substituent au gré des fantaisies et de détours de la pensée mais de la perspective proprement dite, des travées par une application particulière de ces lois propres.
L’ouvrage de Jurgis Baltrušaitis révèle tous les aspects de la question. L’anamorphose fait son apparition dès le début du XVIe siècle ; Léonard de Vinci, Dürer sans l’en avoir été les promoteurs. Holbein a construit autour d’elle sa plus grande ouvre, montrant un crne dissimulé dans la figuration des Arts et des Sciences, signifiant leur vanité profonde. Des scènes érotiques, des représentations religieuses, des portraits secrets se répandent en Italie, dans les pays du Nord et jusqu’en Angleterre.
C’est à la France, dans la première moitié du XVIIe siècle, que l’on doit l’ordre nouveau. Conçu par des religieux et des mathématiciens, les perspectives dépravées et rejoignent les hautes spéculations de l’esprit et se propage sous un signe cartésien : le doute philosophique et les méditations sur la réalité et l’apparence. Dans les écoles germaniques, et rejoignent la magie universelle. Une vision à l’amorphotique du monde apparaît en Italie avec une force particulière. Au cours du 18e et XIXe siècle, l’anamorphose se vide progressivement de son contenu métaphysique et se développe surtout comme un divertissement, un juge du paradoxe, sans compromettre ses effets.
L’anamorphose un miroir, ou les images défigurées se restituent non pas sous un regard oblique mais dans la réflexion d’un cylindre un cône, jouit de son côté d’une grande vogue. Leibniz décrits les faits de ce jouet dont la magie était connue en Chine. Simon Vouet a pris part alors retransmission en Occident. Mélange d’abstrait et le figuratif, où les figures renaissent d’un chaos et les mondes éclatent avant de se refaire, ces étonnantes compositions semblent être d’aujourd’hui. Nous assistons d’ailleurs à une reprise de ces astuces optiques haussant des différents courants modernes. Les deux derniers chapitres consacrés aux résurgences modernes surprennent par l’abondance de leur matière. L’anamorphose seule restitue dans toute sa diversité, comme un mystère d’autrefois ou comme raffinement à la pointe du progrès. Une pensée d’avant-garde (Cocteau, Barthes, Lacan entre autres) a été par ces machinations d’optique.
Le livre de Jurgis Baltrušaitis tonnes pour la première fois l’image de l’ensemble de ces déviations formelles et intellectuelles. Dans la série des perspectives dépravées, Anamorphoses ou Thaumaturgus opticus succèdent à la légende des formes, Aberrations, et précède la Quête d’Isis, essai sur la légende d’un mythe.
- Taille : 28,5cm x 22cm
- Table des matières.
- Avant-propos. pg3
- Introduction. pg5
- Perspectives accélérées ou ralenties. pg7
- Premières anamorphoses et diffusion : XVe et XVIIe siècle. pg15
- Les Perspecteurs français : Salomon de Caus, Niceron, Maignan. pg37
- Descartes : les automates et le doute. pg59
- Querelle d’artistes : l’Académie contre Desargues et Bosse. pg69
- Visionnaires allemands : Kircher et Schott. pg77
- Les « Ambassadeurs » de Holbein. pg91
- Divertissement optique : XVIIe et XIXe siècle. pg113
- Anamorphoses un miroir. pg131
- La Catoptrique, Géométrie et Prestidigitation. pg147
- Prestidigitation chinoise. pg167
- Résurgences de renouveaux. pg179
- Les textes modernes. pg211
ISBN : 9788070083840
NON-COMPETITIVE EXHIBITION
Curated by Klára Zieglerová
6-16 June
Lapidarium of the National Museum at Výstaviště Praha
The exhibition Fragments recognizes and celebrates designs where the essence of the environment and the socio-political era is preserved, craft is perfected, and the artist becomes a beacon of the profession for their
life achievements. Participating countries have selected only one item showing the most iconic or breakthrough set, costume, lighting,
projection or sound design by one of their most celebrated “Living Legends” of performance design whose work keeps inspiring new generations of artists and audiences.
Disappearing Visceral Landscapes
We will share results of an ongoing EU grant project. The project is concerned with preserving memories of renowned artists whose work inspiration is traceable to a specific location and giving an opportunity to young designers to learn from the masters. In addition to the studio visits we will also record an interview with each artist that will preserve precious memories, views, thoughts and ideas in the artist’s own words. This way the ideas and thoughts will be accessible to young designers without any theoretical interpretation. These interviews will be used for further research and create a base for an on-line interview database.
Gallery Talks
Throughout PQ we are pleased to offer the opportunity for small audiences to hear from some of the “living-legends” whose work is exhibited within Fragments. Each session features a few artists giving a short introduction to their life, work, and practice before a moderated question session.
- Taille : 27cm x 20,5cm
- Contents.
- Introduction, par Klara Zieglerova et Marketa Fantova. pg4 et 6
- Projects.Andy Bargilly, CyprusSeven against Thebes. pg10
- Paul Brown, Wales
- Studio Section. pg16
- Joseph Ciller, Slovakia
- The Bride of the Ridge. pg20
- Jean-Claude De Bemels, Belgium
- La mission. pg26
- Kirsten Dehlholm, DenmarkI
- Only Appear To Be Dead. pg32
- Xue Dianjie, China
- Life of Galileo. pg38
- Hélio Eichbauer, Brazil
- O Rei Da Vela. pg44
- Maria and Tolita Figueroa, Mexico
- Unos Cuantos Piquetitos/A Few Small Nips. pg48
- Paul Gallis, Netherlands
- Count Your Blessings. pg54
- Juan Gómez-Cornejo, SpainLighting For Pandur.
- Fragmentos Del Alma. pg60
- Dorita Hannah, New Zealand
- PhoneHome: Island Icarus (“you peeled our skin off”). pg66
- Yukio Horio, Japan
- The Flying Dutchman. pg72
- Pamela Howard, UKA Tri-Coloured World. pg76
- Liisa Ikonen, Finland
- Dialogic Scenography: Phenomenological Interpretation of an Alternative Work Process. pg82
- Mary Kerr, CanadaThe Three Penny Opera. pg88
- Ming Cho Lee, The United States of America
- Boris Godunov. pg92
- Alexander Lisiyansky, IsraelLost Between X-Y-Z. pg96
- Thom Luz, Switzerland
- Unusual Weather Phenomena Machine. pg102
- Fruzsina Nagy, Hungary
- “Villa on Andrássy Avenue” in the performance PestiEsti. pg106
- Iva Němcová, Czech Republic
- Morgiana. pg110
- Franics O’Connor, IrelandTree of Nails. pg116
- Kustav-Agu Püüman, Estonia
- Beast on the Moon. pg120
- Ali Raffi, IranFox Hunting. pg126
- Cristina Reis, Portugal
- The English Cat. pg132
- Tumurkhuyag Burmaam, Mongolia
- Shape of the Basement. pg136
- Luis Carlos Vásquez, Costa Rica
- TRAZOS DEL DELIRIO. pg142
- Parteners. pg153
Biographie. Josef Nadj naît à Kanjiža, en Voïvodine (ex-Yougoslavie, dans l’actuelle Serbie) dans une famille magyarophone. Les hommes qui causent la dysfonction érectile cherchent où acheter tadapox, avec des facteurs allant d’un prestataire de soins de santé mentale traitable s’il trouve régulièrement qu’il est important de noter qu’il peut y avoir encore plus de discussion à ce sujet ici – www.gulickhhc.com/drugs/premature-ejaculation/priligy.htm. Il se dirige tout d’abord vers le dessin. Après une formation aux Beaux-Arts de Budapest, il s’installe à Paris, suit des cours de mime et s’initie au tai-chi, au butô et à la danse contemporaine en tant qu’interprète auprès de Sidonie Rochon, Mark Tompkins, Catherine Diverrès ou François Verret. Son approche, novatrice et insolente, l’impose dès les années 80 comme un pionnier de la danse contemporaine. Depuis Canard Pékinois (1987), sa pièce fondatrice, Josef Nadj creuse le sillon d’une chorégraphie exigeante et passionnée. Qu’il visite des auteurs atypiques (Beckett, Kafka, Michaux) ou entraîne avec lui des plasticiens (Miquel Barceló) ou des musiciens (Akosh Szelevényi, Joëlle Léandre) sur scène, Josef Nadj s’épanouit dans une totale liberté. Comme pour réveiller nos sens, il mélange les références, les signes et les matériaux. Oscillant entre réel et onirisme, tradition et modernité, il interroge l’essentiel : le rapport de l’homme à lui-même. Chorégraphe, danseur, mais aussi plasticien et photographe, il pose un regard poétique et passionné sur l’humanité, toujours à la recherche de nouvelles formes. L’originalité de son geste créatif prend sa source dans son parcours d’artiste décliné au gré des soubresauts de l’histoire européenne. Josef Nadj est un artiste sans frontières ni barrières. Josef Nadj est l’auteur de plus d’une quarantaine de créations et d’expositions programmées dans près de 50 pays. Il a été artiste invité par des événements internationaux majeurs (Festival d’Avignon, Festival International Tchekhov, Quadriennale de Prague, etc.). Au fil des années, les œuvres de Josef Nadj sont devenues des incontournables de la danse contemporaine. Il a dirigé le Centre chorégraphique national d’Orléans de 1995 à 2016 avant d’établir sa nouvelle compagnie Atelier 3+1 à Paris en 2017. Avec Atelier 3+1, son œuvre se poursuit et prend parallèlement une nouvelle orientation. Tout en poursuivant sa recherche chorégraphique, il entend se saisir de l’opportunité de ce nouveau cadre de production pour replacer le travail plastique au cœur de son travail scénique et corporel. Josef Nadj été fait Chevalier des Arts et des lettres en 2002, pour la contribution de ses œuvres au rayonnement des arts en France et dans le monde. En 2011, il est promu Officier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.
- Taille : 24cm x 21,5cm
- Les créations de Josef Nadj.
- 1987 - Canard Pékinois.
- 1988 - Sept Peaux de Rhinocéros.
- 1989 - la Mort de l’Empereur.
- 1990 - Comedia Tempio.
- 1992 - Les Echelles d’Orphée.
- 1993 - Tractatus Bestial.
- 1994 - Woyzeck. L’Anatomie du Fauve.
- 1955 - Le cri du Caméléon.
- 1996 - Les Commentaires d’Abacuc.
- 1997 - le Vent dans le Sac.
- 1999 - Le Temps du R Siepli. Les Veilleurs.
In 1968, OISTAT was founded in Prague enabling the exchange of ideas from both sides of the Iron Curtain. Originally the organization’s name was Organisation Internationale des Scénographes et technicians de Théatre-OISTT/OISTT. In 1985, the organization was renamed International Organisation of Scenographers, Theatre Architects and Technicians (OISTAT), to include theatre architects, who had already been in close cooperation with many OISTT members.
The founding countries of OISTAT were Canada, Czechoslovakia, the Federal Republic of Germany, the German Democratic Republic, Hungary, Israel, and the United States. International Theatre Institute (ITI) was an important supporter of OISTAT.
With the collapse of the Iron Curtain in the early 1990s, OISTAT’s membership expanded with new members from Latin America and Asia. OISTAT Secretariat relocated to Taipei, Taiwan in 2006. Five years later, OISTAT Secretariat became OISTAT Headquarters to better accommodate the organization’s continuous growth.
Continuing OISTAT’s mission into the first two decades of the twenty-first century, OISTAT serves as a global platform facilitating international collaborations on events and programmes, celebrating works from different regions around the world, and strengthening professional networks for performance designers, theatre architects, theatre educators, stage technicians, and performance researchers.stage technicians, and performance researchers.
The Forming of OISTAT Commissions
During the first OISTT international Congress in 1968, four commissions were established: Theatre Technology Commission, Theatre Architecture Commission, Scenography Commission (later changed to Performance Design Commission), and the Publication and Information Exchange Commission (later changed to Publication and Communication Commission.) In order to exchange ideas and knowledge between universities and promote collaborative international research, Education Commission and Research Commission were established in 1971 and 1976. Currently, OISTAT has six commissions to undertake the essential activities of the organization:
Architecture
Education
Performance Design
Publication & Communication
Research
Technology
- Taille : 21cm x 30cm
- Contents.
- pg5 Préface.
- pg6 Introduction.
- pg6 Competition theme, the Brief.
- pg8 Competition Rules and Regulations.
- pg10 Jury Procedure and Comments.
- pg11 Prize Winners.
- pg14 First Equal Prizes.
- pg26 Second Equal Prizes.
- pg38 Third Equal Prizes.
- pg44 Honorary Mentions.
- pg58 Recommended for Publication.
- pg80 Colophon.
ISBN : 9782846813211
Un jour de 1941, l'acteur Raymond Rognoni ouvre le Centre de Formation Professionnelle du Spectacle à Paris, devenu célèbre sous le nom de « La rue Blanche ». C'est ce Centre qui, pas à pas, va devenir l'ENSATT, aujourd'hui installée à Lyon.
Ecole Théâtre qui prépare de futurs professionnels à travailler sur les scènes ou dans leur proximité, l'ENSATT est un chaînon original entre le monde universitaire et celui de la culture. Un lieu où s'élabore une recherche en actes conduisant à l'acquisition de savoirs aussi bien théoriques que pratiques et à l'obtention de diplômes reconnus.
L'ENSATT fête ses 70 ans en 2011, l'année même où elle ouvre une seconde salle de théâtre qui vient compléter un outil riche d'ateliers, de studios, de laboratoires ou de salles pour l'écriture, la mise en scène, l'administration, le jeu, la scénographie, les costumes, la lumière, le son, la direction technique ou les spectacles.
Ce livre, né de l'écriture collective de professionnels issus, de tous les métiers de la scène, est une étape en vue de la constitution d'un réseau d'anciens élèves - d'Isabelle Huppert à Denis Lavant, de Jérôme. Deschamps à Kristin Scott Thomas, de Jean-Pierre Darroussin à Cécile de France, de Dominique Besnehard à Guy-Claude François, d'Eric Vigner à Olivier Py, de Georgia Scalliet à tous ceux à venir - qui, année après année, sont le témoignage vivant de la vitalité sans cesse renouvelée d'une école en prise directe avec la création théâtrale.
- Taille : 23,5cm x 21,5cm
- Sommaire.
- Ouverture.
- Avant-propos par Valérie Pécresse. pg9
- S’engager par Robin Renucci. pg11
- (Re)commencer par Thierry Pariente. pg13
- I. Ici / aujourd’hui.
- Une maison, des théâtres.
- Du btiment et de son origine par Yves Favier. pg19
- L’ENSATT aujourd’hui. pg22
- Dix Métiers.
- De l’enseignement technique à l’enseignement supérieur par Antoniella Mendez. pg27
- Une maison des compagnons et une école d’art par Jean-Claude Le Gué. pg27
- Ecrivain dramatique. pg32
- Metteur en scène. pg33
- Administrateur. pg35
- Acteurs. pg37
- Scénographe. pg41
- Costumier coupeur. pg44
- Réalisateurs lumière .pg49
- Réalisateurs son. pg52
- Directeur technique. pg54-55
- Des savoirs en partage.
- Arts et humanité. pg57
- La formation continue. pg58
- La communication. pg59
- La bibliothèque . pg60
- Le théâtre sans frontières. pg62
- Des Ateliers-Spectacles.
- Un temps de recherche pour archéologues et aventuriers. pg63
- II. Quelque part / Toujours.
- Paroles d’écrivains.
- Apprentis chaosmique. pg71
- Histoire d’une terre qui accoucha d’une école d’art 20.000 caractères ou petite traversée de l’ENSATT 8.961 caractères. pg75
- Les lieux de l’histoire. pg77
- ENSATT ou les sept vies de Blanche. pg83
- Black et Mortimer à l’ENSATT. pg87
- Témoignages.
- Nous avions l’impression d’être sous l’ancien régime. pg91
- De la révolution dans la régie la reconnaissance de l’administration. pg93-96
- Un métier de troupes. pg97
- Une année « blanche ». pg99
- III. Ailleurs / Hier.
- 1941 - 1944.
- Raymond Rognoni, chronologie en trois temps. pg1091941, jeunesse !. pg119
- Témoignage. pg125-127-129-1311944 - 1970.
- De la rue Flachat à la rue Blanche. pg133
- Egletons, l’école hors champ. pg139
- En 68, la rue blanche vire au rouge. pg141
- 1970 - 1991.
- Des crises, des réformes et un nouveau théâtre. pg145
- 1991 - 1997.
- Une invitation au voyage. pg147
- Depuis 1997.
- Les étudiants de l’ENSATT. pg155
- IV. Annexe.
- L’ENSATT en chiffres.
- Chiffres clés. pg163
- 70 ans : six directions. pg163
- Plan. pg164
- Fiches techniques. pg166
- L’ENSATT en lettres.Liste de spectacles montés à l’ENSATT entre 1956 et 1987. pg167
- Liste des ateliers-spectacles depuis 1995. pg170
- Mémoire de fin d’études à partir de 2001. pg172
- L’ENSATT en images.
- Ils ont été élèves à l’ENSATT. pg176
- Avant 1997. pg180
- Après 1937. pg190
- Iconographie.pg202
- Index. pg204
ISBN : 2110810327
- Taille : 21,5cm x 15cm
- Sommaire.
- Le site est l’histoire de la ville. pg11
- Le site.
- Les origines : l’habitat pré romain.
- La fondation de la colonie.
- Le premier plan d’urbanisme.
- Le deuxième plan d’urbanisme.
- L’Antiquité tardive.
- La prime ainsi des gaules.
- Le déclin.
- L’histoire des découvertes archéologiques. pg27
- Collections privées et musées publics.
- Les premiers grands travaux.
- Le début des fouilles scientifiques et l’action de Fernand Benoît.
- Les découvertes récentes.
- Les monuments et sites visibles. pg37
- Les monuments d’époque auguste géhenne.
- Les monuments d’époque la Vienne.
- Les spectacles à l’époque romaine.
- Les autres sites et monuments.
- Les sites non visibles. pg87
- Les monuments médiévaux. pg95
- Glossaire. pg100
- Bibliographie. pg102
- Renseignements utiles. pg104
ISBN : 2866650107
Un livre, concours, une exposition.
Un ensemble de textes originaux, rédigés par des écrivains, des historiens, des philosophes, Jacques des lueurs nouvelles sur ces objets pleins de charme et de mystère : les lampes, et constitue une première histoire raisonnée de la lampe d’intérieur XXe siècle depuis l’apparition de l’électricité jusqu’en 1985.
- Taille : 24cm x 20cm
- Sommaire.
- Préface par Jack Lang. pg11
- Avant-propos :Claude Mollard. pg13
- Anne-Marie Boutin. pg15
- François Burkhardt. pg17
- Introduction.L’exposition comme ouvre par Jean François Grunfeld. pg20
- Histoire.
- - Histoire de voir par Alain Beltran, Patrice A. Carré. pg30
- - Lumière, luminaires… par Henri Raymond. pg40
- - Ainsi que de lampes à lumière électrique que par Daniele Baroni . pg45
- - Propos sur l’abat-jour :Albrecht Bangert. pg51Ingo Maurer. pg54
- - Deux inventeurs :Gino Sarfatti, artisan. pg57
- - Ingo Morer. pg62
- - Du côté de chez Horta :Lumière et art nouveau par Françoise Dierkens-Aubry. pg64
- - Lumière et architecture par Jean Deroche. pg67
- - Le néon infini des cafés :photos Bruno Stevens. pg74
- Images :
- - La lumière dans l’art moderne par Bernard Lamarche-Vadel p.g80
- - Lumière, vieille compagne … par Raymond Depardon. pg84
- - Lumière mémoire par Jean-Marc Tingaud. pg89
- - Lumières et cinéma par Henri Alekan. pg90
- Mots :
- - Lumière, écriture par Michèle Perrein. pg100
- - Lumière et lueur par Raymond Abellio. pg103
- - Lettres lumineuses par Anne-Marie Koenig, Jean-Louis Hue. pg104
- Le concourspour la création de nouvelles lampes de bureau par Jean-François Grunfeld, commissaire général. pg109
- L’exposition.Inventaire des objets présentés dans l’exposition par Marie-Laure Jousset, commissaire général. pg119
- Index. pg177
https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb321851944
ark:/12148/bpt6k3381311n
Ceci n'est pas un panorama du théâtre russe contemporain. J'ai essayé de mettre en lumière la nouveauté des principes d'art, les idées motrices du mouvement théâtral russe et la lutte des groupements artistiques.
C'est donc à dessein qu'ont été laissés de côté tels théâtres « arrivés », haut cotés, trop généralement respectés ; mais d'autres, de pauvre réputation ou d'existence éphémère, ont retenu notre attention. Pour un observateur superficiel, ces efforts, ces outrances, ces faillites ne sont que des bulles d'air; peut-être, mais qui témoignent d'un ardent bouillonnement intérieur.
Je suis heureuse, au début de cet ouvrage, d'écrire le nom de M. Léon Chancerel. Sans ses encouragements amicaux, sans son aide sûre et avisée, ces pages n'eussent pu voir le jour.
Avec gratitude je pense à mon maître, M. Boris Warnecké, professeur à l'Université d'Odessa, éminent historien du théâtre russe, dont j'ai mis à profit les leçons et les œuvres ; à M. Serge Mokoulski, professeur à l'Institut d'État pour l'histoire des Arts à Leningrad, qui a bien voulu m'accorder l'appui de son érudition bibliographique. J'ai largement puisé dans le trésor de la collection de M. Rondel à l'Arsenal et de la Bibliothèque Russe Tourguéniev ; M. I. Akivisson a aimablement mis à ma disposition sa belle bibliothèque théâtrale.
Et que mes chers amis qui, de loin, avec tant de généreuse sollicitude, ont secondé mon effort, retrouvent ici ma pensée fraternelle.
Nina Gourfinkel
Décembre 1929.
- Taille : 25cm x 16,5cm
- Table des matières
- Sommaire - le théâtre professionnel. pg9
- I - les traditions du théâtre russe. pg9
- II - les recherches esthétiques et la révolution. pg10
- III - la théâtralisation de la Russie. pg10
- IV - le style monumental. les fêtes de la révolution. pg11
- V - les petites formes. les clubs ouvriers. pg12
- VI - l’éducation par le théâtre. pg12
- VII - les fondements du nouveau théâtre russe. pg13
- Le théâtre professionnel pg15
- I - les traditions du théâtre russe. pg15
- II - les recherches esthétiques et la révolution. pg62
- Le théâtre du peuple pg97
- I - la théâtralisation de la Russie. pg97
- II - le style monumental. les fêtes de la révolution. pg122
- III - les petites formes scéniques. les clubs ouvriers. pg146
- IV - l’éducation par le théâtre. pg175
- V - les fondements du nouveau théâtre russe. pg195
- Appendice1. — Décret de la nationalisation des théâtres pg2132.
- — Rapport de M. Kergentsev sur les fêtes du peuple au premier congrès du théâtre ouvrier et paysan, en novembre 1919. pg2173.
- — Plan d’études et de production artistique du théâtre moscovite de la jeunesse ouvrière (tram) pour les trois ans d’enseignement pg219
- I. — Règles fondamentales des trams. pg219
- II. — Plan d’enseignement. pg219
- III. — programmes des matières. pg220
- IV. — travail de production pg222
- V. — Enquête pour connaitre le spectateur pg224
- 5. — Lettre de Stanislavski pg226
- 6. — Lettre de six représentants de la jeunesse du théâtre artistique pg228
- Bibliographie - Le théâtre professionnel. pg230
ISBN : 2865651843
Préface.
Un livre de plus sur Artaud et le thétre ! En effet. Et pourtant l’entreprise est originale car elle est sans prétention. L’auteur se propose tout simplement de faire descendre Artaud du piédestal où l’on hissait - hors de portée du vulgaire - de savants exégètes. Pourquoi ? Pour transmettre au plus grand nombre. Pour simplifier. Mais simplification n’est pas simplisme, ni caricature.
Par touches successives, en un itinéraire qui respecte la chronologie des événements et fait une large place à des textes importants, MireilleLarrouy tente de comprendre - et de nous faire comprendre - quel théâtre Artaud rêvait. Elle nous guide avec clairvoyance dans les 15 années de sa vie d’homme car tout a consacré surtout au théâtre. Ces quinze années, enfin dévoilées éclaircies au quotidien, permettent de mieux comprendre la suite, c’est-à-dire les écrits théoriques.
De cette période - 1920-1935 -, la postérité a préféré retenir les interventions au cinéma, que la pellicule a immortalisées. Il est vrai que les gens de théâtre travail dans l’éphémère. C’est pourquoi ce mari était courageux mais nécessaire. C’est un pari gagné.
Jack Lang.
- Taille : 20cm x 13,5cm
- Table des matières.
- Avant-propos. pg7
- I. Les années d’apprentissage : 1920-26.
- - « Ça a l’air vrai ».pg9
- - « Il en est qui vont au théâtre ». pg11
- - « Sentir, vivre, penser … ». pg16
- - « Je livre à l’idiote critique … » . pg18
- Texte 1 (« au commencement … »). pg21
- II. Le théâtre Alfred-Jarry : 926-30.
- - Le Premier Manifeste de la genèse du Théâtre Alfred-Jarry. pg31
- Texte 2 (« quoi de plus abjecte … »). pg31
- Texte 3 (« si nous faisions théâtre … »). pg34
- - « Nous concevons le théâtre … » : 1er spectacle. pg36
- - « Si le texte ne sert pas … » : le 2e spectacle. pg39
- - « Ce drame fut monté … » : le 3e spectacle. pg44
- - « Un thème, un moyen, un but » le 4e spectacle. pg52
- Texte 4. (« Madame … »). pg56
- Texte 5 (« Ce rôle infect … »). pg59
- III. Les années d’écriture : 1930-35.
- - « Le théâtre se passe ... ». pg61
- Texte 6. ( « M’est suggéré … ). pg65
- Texte 7. ( « Les théâtres, cinéma … »). pg66
- « La vie, la plus gigantesque des tragédies ». pg69
- Texte 8. ( Fin des Cenci …). pg74
- « La vie est une cruauté … ». pg77
- IV. Un héritage « éclaté ».- Antigone, par le Living Theatre. pg86
- - Paradise now, par le Linving Threatre. pg87
- - Le Cimetière de voitures, Arrabal-Garcia. pg88
- -Marat-Sade, par Peter Brook. pg89
- - Les Paravents, Genet-Blin. pg90
- - Tartuffe, par Ariane Mnouchkine. pg92
- - Kafka-théâtre complet, par André Engel. pg94
- - Ouverture du Xe Festival de théâtre de rue d’Aurillac, 1996. pg96
- - « Je suis Antonin Artaud ». pg98
- V. Annexes.- Quelques éléments biographiques. pg100
- - Pistes d’exploration pédagogique. pg103
- - Interventions d’Artaud au théâtre (1921-1935). pg109
- - Filmographie d’Artaud (1921-1935). pg112
- Bibliographie. pg115
Avant-propos.
Le 1er mai 1909, la Société d’histoire et d’archéologie du canton de Neuchâtel remettait en don à la ville de Neuchtel trois automates dus au génie et à la patience de Pierre Jaquet-Droz, horloger mécanicien à la Chaux-de-Fonds, d’Henri Louis Jaquet-Droz, son fils, et de quelques collaborateurs.
Ces automates représentent un écrivain, un dessinateur et une musicienne.
Déposer dès ce moment au Musée d’histoire de Neuchâtel, ces pièces de mécanique font preuve, chaque mois, devant un public de tout ge, de leur talents particuliers. Malgré l’usure provoquée par un fonctionnement prolongé pendant plus de deux siècles, malgré la négligence dont ils eurent à souffrir parfois durant leurs voyages et leurs séjours en terres étrangères, ces automates sont encore capables d’exécuter leurs tches comme au premier jour. Il faut reconnaître qualité et le retour au pays natal, ils ont été l’objet de soins attentifs et continuels de la part de mécaniciens spécialement qualifiés et dévoués.
Les automates auxquels lesJaquet-Droz ont été conçues et construits avec un souci de perfection rare. Rien n’a été négligé pour que chaque pièce du mécanisme, terminé avec soin, remplisse son rôle dans l’ensemble et que le résultat cherché soit tenu à la satisfaction de leurs créateurs. Le public qui assiste aux séances organisées par le Musée d’histoire c’est qu’il a sous les yeux des engins compliqués, mais ils ne se doutent pas combien leur comportement est délicat. L’écrivain, en particulier, ne supporte pas, ou du moins supporte mal, les brusques changements de température. Que celle-ci s’élève au sa baisse de quelques degrés et le voici de mauvaise humeur. Il commet des fautes d’orthographe, il oublie d’écrire une lettre, de respecter les espaces. Mais le mécanicien averti le surveille du coin de l’oil, et sans tarder le remet sur le droit chemin.
Le public assiste au travail qu’exécute le dessinateur ou l’écrivain, il entend la musicienne jouée, il s’émerveille de sa gracieuse révérence, mais il souhaite souvent acquérir un texte explicatif, complétant les renseignements donnés par les mécaniciens au cours des séances mensuelles et permettent de conserver le souvenir des automates. Feu Monsieur Alfred Chapuis, l’historien bien connu de l’horlogerie, à rédiger les quelques pages qui suivent, dans lesquelles il ne parle pas seulement des Jaquet-Droz et de leurs ouvres, mais également des automates en général et de mécanismes qui en dérivent : la boîte à musique et les oiseaux chantants.
Monsieur Chapuis a estimé, avec raison que son exposé à caractère historique ne donnerait pas satisfaction à chacun. Dans un pays comme le nôtre ou les horloges et les mécaniciens sont nombreux, il est indispensable, lorsque l’on parle d’automates, de donner une description, même sommaire, de leur structure interne, c’est-à-dire de leurs mécanismes. Monsieur Edmond Droz, ancien professeur à l’Ecole de mécanique de Neuchâtel, l’un des mécaniciens auquel le Musée d’histoire à confier l’entretien des trois androïdes, a bien voulu écrire pour chacun de ceux-ci une description technique succincte, que les spécialistes apprécieront certainement.
Léon Montandon.
- Taille : 20cm x 13,5cm
- Avant-propos. pg3
- Des automates en général. pg5
- Les androïdes et leurs auteurs. pg6
- Les automates du Musée de Neuchâtel. pg11
- Autres automates des Jaquet-Droz. pg25
- Boîtes à musique. pg27
- Oiseaux chantants mécaniques. pg28
ISBN : 2900297001
L’exposition « Trois siècles d’Opéra à Lyon » a pour premier mérite de retracer la place qu’occupe depuis toujours l’Opéra dans notre ville.
Illustré à la fois par l’évocation de l’architecture, du chant et de quelques grands noms de la musique, cette rétrospective montre combien l’éclat actuel de l’Opéra de Lyon trouve ses racines dans un passé prestigieux et poursuit une longue tradition : plus d’ailleurs, l’histoire et la vie de notre cité sont inséparables de grandes réalisations culturelles.
En second lieu, cette exposition contribue à faire connaître la richesse et la variété du patrimoine lyonnais. Pour réaliser cette manifestation, les organisateurs ont choisi des partitions est délivré dans le remarquable fonds ancien de la Bibliothèque de la Ville qui se sont assurés le concours des Archives municipales et départementales ainsi que celui d’associations de collections privées.
Aussi, l’exposition « trois siècles d’opéra à Lyon » est-elle une tentative originale et réussie d’illustration d’un art par définition éphémère, grce à des documents évocateurs d’une grande valeur historique.
Francisque Collomb,
Maire de Lyon, Sénateur du Rhône.
- Taille : 21cm x 23cm
- Table.
- Avant-propos. pg6
- De l’Académie Royale de Musique à l’Opéra-Nouveau. pg9
- Les directeurs de l’Opéra de Lyon. pg20
- Trois siècles de créations à Lyon. pg23
- Les emplacements successifs de l’Opéra de Lyon. pg26
- L’Académie Royale de Musique en quête de gîte. pg29
- Les beaux jours du Théâtre Soufflot. pg49
- D’une révolution à l’autre. pg75
- La charnière de deux siècles. pg151
- Regards sur un demi-siècle. pg177
- L’Opéra-Nouveau. pg195
- Documents originaux. pg208
- Aperçus bibliographiques. pg212
ISBN : 9782960214802
Le projet
20 ans derrière les rideaux
20 ans que j'ai commencé ce reportage sur les techniciens de spectacle... 20 ans que je suis ces hommes, que je passe comme eux d'un chantier à un autre... 20 ans que j'observe et que je capte la lumière sur leurs visages, que j'épie leurs moindres gestes, 20 ans derrière les rideaux avec eux...
J'en connais certains depuis le début de ce projet, d'autres sont récemment entrés dans ma vie de photographe.... Chacun d'entre eux a eu le même regard méfiant à mon égard durant les premières heures, voire durant plusieurs jours... Il a fallu user de toute ma patience pour me faire admettre parmi eux. Particulièrement il y a 20 ans où les femmes n'y avaient pas encore leur place et n'y étaient encore que rarement présentes.
En 20 ans traversés avec eux, j'ai pu constater des changements, une évolution... Je ne parlerais pas vraiment d'un avant ou d'un après...Mais peut-être plus simplement d'une adaptation des mentalités aux exigences du monde moderne. D'où très certainement de la présence plus importante de femmes dans ce métier.
Je n'ai pas connu l'époque dite bénie des années 60-70, où graviter dans ce milieu était essentiellement et pour beaucoup, de la débauche en tout genres. Je n'ai pratiquement connu que des chantiers où sérieux et professionalisme étaient au rendez-vous.
Ce n'est pas un métier sans risque, loin de là. Ils se doivent d'être vigilants à chaque instant, mais en ne laissant paraitre que du détachement, comme si tout était facile. C'est un code de conduite d'une certaine manière, un peu macho aussi en quelque sorte : "Vois comme j'accomplis ces tâches difficiles avec facilité!"
Ces dernières années, dans certains pays, la sécurité s'est consirablement renforcée : port du casque obligatoire, chaussures de sécurité, baudrier (ou harnais de sécurité anti-chute) pour ceux qui grimpent dans les ponts. (Les ponts sont les structures portantes sur lesquels viennent s'accrocher les lumières et le son)
Les techniciens de spectacle ne sont pas des travailleurs comme les autres. Ils ne comptent pas leurs heures. Ils commencent très tôt et finissent très tard. Ils enchaînent bien souvent 18 heures d'affilée et ne dorment parfois que quelques heures avant le montage du spectacle suivant. (Sauf dans certains pays comme les Etats-Unis ou la Hollande entre autres, où la réglementation est bien plus structurée et stricte à ce sujet ) Ils ne sont pratiquement jamais libres les week-ends, et rarement en soirée. La plupart du temps, leurs familles, leurs amis ne comprennent pas ce qu'ils font. Du fait de leurs horaires, ils mènent, pour la plupart, une vie de famille compliquée. Et en comparaison aux heures prestées, on peut dire que le salaire n'est pas élevé : ils ne roulent pas sur l'or.
Mais ils ont une chose en commun : leur façon de penser, de voir, de vivre leur vie professionnelle. Ils me l'ont tous répété : "Tu fais ce métier parce que, malgré la pénibilité de la tâche, tu y prends du plaisir et tu te sens libre.". A ma question "Pourquoi faites-vous ce métier?", les réponses sont presque toujours les mêmes, il s'agit de l'amour de la musique, l'ambiance de travail, la liberté et les nombreuses rencontres liées aux déplacements. Certains m'ont dit : "Le jour où je ne m'amuserai plus, j'arrêterai!" Et effectivement, ceux qui ne s'amusent pas ne restent pas très longtemps.
Quant à moi, je me suis beaucoup amusée à les écouter raconter leurs différentes tribulations d'un chantier à un autre. Car on peut être sûr d'une chose avec eux : ils ont tous une histoire à raconter. Et de préférence une histoire qu'ils auront exagérée au fil du temps qui passe. Je le sais parce qu'au bout de 20 ans passé avec eux, j'étais présente à quelques unes de leurs péripéties vécues avec eux : que ce soit une fête épique durant un day off ou un camion rempli de matériel dont on a besoin, embourbé quelque part, alors que l'évènement doit commencer dans une heure... Mais c'est ça aussi qui fait leur particularité : quoi qu'il se passe, le spectacle aura toujours lieu et même s'ils en voient les défauts, le public sera toujours comblé. Le dicton "Show must go on" n'est pas une légende. En 20 ans avec eux, je n'ai jamais vu un spectacle annulé à la dernière minute parce qu'ils n'avaient pas pu remplir leur contrat. Et de cet aspect-là, ils en retirent énormément de fierté.
Le public, quant à lui, est là pour le divertissement. Public qui ne verra pas leur travail, qui ne les verra pas. Eux, les techniciens du spectacle sans qui le dit spectacle n'aurait pas lieu.
La culture n'existerait pas sans les artistes. Mais la culture n'existerait pas non plus sans ces travailleurs de l'ombre qui mettent en place les desiderata des artistes. Ils sont le lien entre l'artiste qui veut partager son rêve et le public qui peut ainsi accéder aux siens.
Et parce que leur entourage, leur famille ne parviennent pas à comprendre ce qu'ils font, parce que le public ne se rend pas compte que souvent, deux minutes avant le show, ils sont toujours en train de finaliser quelque chose, que deux minutes après le spectacle, ils prépare déjà le jour suivant, parce qu'ils doivent se battre contre une administration qui ne comprend pas la réalité de leur vie, que j'ai eu envie de les mettre en image et en lumière. C'est aussi ça notre réalité culturelle et contemporaine.
Leur travail est un éternel recommencement, les mêmes gestes répétés à l'infini; pourtant chaque jour est différent, chaque lieu est nouveau, ce qui entraîne un lot de nouveaux visages à chaque montage de spectacle. Un technicien de spectacle, c'est un peu un Sisyphe moderne qui, tous les matins, porte une pierre différente...
Claire Allard
- Taille : 21cm x 21cm
ISBN : 9788070084212
PQ 2019 était vivant, monumental, progressif, artistiquement distinct, mais aussi éphémère. Pour les passionnés de la scénographie et de l'architecture théâtrale les plus modernes, il existe le catalogue PQ 2019, grâce auquel s'incarnent des centaines de présentations du monde entier.
Revivez 11 jours d'événements en direct, de performances, d'expositions et de conférences en parcourant le catalogue, dans lequel les textes des conservateurs sont complétés par une documentation photographique authentique spécifique au site, non seulement du palais industriel Art nouveau et du parc des expositions de Prague, mais également du DAMU et du musée historique, centre de Prague.
- Taille : 27cm x 21cm
- Content.
- Introduction. pg8 à pf43
- Opening Ceremony Speeches about PQ 2019.Artistic Concept.Central Hall. II. Imagination. pg44
- Student Exhibition.Emergence Exhibition.Site Specific Performance Festival.PQ Studio.Festival.Workshops.Result Driven Workshops.Exploratory Workshops.Common Design Projects.PQ Youth and Family.III. Transformation. pg324
- Exhition of Countries & Regions.Performance Space Exhibition.Formations.360°. Blue Hour, Light Spot, Sound Spot.PQ Talks.IV. Memory. pg576
- FragmentsV. Awards. pg600
- Awarded Projects.Best Publication Award.VI. PQ+ 2019. pg626
- VII. About us. pg638
- Team PQ 2019.Parteners.
ISBN : 291201705X
Les mémentos du spectacle,
une collection Asdec.
L’information et la qualification des professionnels intervenants dans les champs de la création et de l’action culturelle suppose la meilleure diffusion possible des publications spécialisées les aidant à exercer leurs différentes activités.
Agissant déjà dans leurs disciplines respectives, plusieurs éditeurs dont les Editions AS (« Actualité de la Scénographie »),l’IRMA (« L’Officiel de la Musique », « Profession Artiste »), ont décidé de regrouper leurs moyens et leur savoir-faire pour des opérations transversales.
Ainsi est née l’idée de cette collection de fascicules pratique consacrés à des questions scéno-techniques, de réglementation de sécurité et de pratiques professionnelles, valable pour l’ensemble du secteur.
Ce cinquième numéro, consacré au levage et ses moyens, dresse un inventaire des machines de levage ainsi que leurs accessoires, tout en définissant les réglementations et les précautions d’emploi.
- Taille : 21cm x 15cm
- Sommaire.
- Avant-propos de collection. pg1
- Introduction. pg6
- I. Les poutres « aluminium ». pg8
- I.1. Les charges réparties et ponctuelle. pg8
- I.1.A. : Définitions. pg8
- I.1.B. : Utilisation. pg8
- I.2. La suspension des grils et poutres. pg9
- I.3. L’accrochage et l’architecture. pg9
- I.4. Grils et poutres srement de levage. pg10
- I.5. La stabilité. pg11
- I.1.5.A. La nature du sol. pg11
- I.1.5.B. Les conditions climatiques. pg12
- I.1.5.C. Les poussées de foule. pg12
- I.6. La sécurité ERP. pg12
- I.6.A. Les dégagements. pg12
- I.6.B. Les moyens de fixation. pg12
- II. Les accessoires de levage. pg13
- II.1. Les manilles. pg14
- II.1.A. Définition. pg14
- II.1.B. Normalisation. pg14
- II.1.C. Précautions d’emploi. pg14
- II.1.D. Marquage. pg15
- II.2. Les maillons rapides. pg15
- II.2.A. Définition. pg15
- II.2.B. Précautions d’emploi. pg16
- II.2.C. Marquage. pg16
- II.3. Détendeur - ridoirs. pg17
- II.3.A. Définition. pg17
- II.3.B. Normalisation. pg17
- II.3.C. Précautions d’emploi. pg17
- II.3.D. Marquage. pg17
- II.4. Les crochets de levage. pg18
- II.4.A. Définition. pg18
- II.4.B. Normalisation. pg18
- II.4.C. Précaut ions d’emploi. pg18
- II.4.D. Marquage. pg19
- II.5. Les coupleurs et les palefreniers. pg19
- II.5.A. Définition. pg19
- II.5.B. Normalisation. pg19
- II.5.C. Précautions d’emploi. pg20
- II.5.D. Marquage. pg20
- II.6. Les élingues : pg20
- II.6.A. Définition. pg20
- II.6.B. Normalisation et réglementations. pg21
- II.6.C. Précautions d’emploi. pg21
- II.7. Les élingues textiles. pg21
- II.7.A. Définition. pg21
- II.7.B. Normalisation. pg23
- II.7.C. Précautions d’emploi. pg23
- II.8. Les élingues en câble acier. pg24
- II.8.A. Définition . pg24
- II.8.B. Normalisation et ré glementations. pg24
- II.8.C. Précautions d’emploi. pg25
- II.9. Les élingues en chaînes points pg28
- II.9.A. définition. pg28
- II.9.B. Normalisation. pg29
- II.9.C. Précautions d’emploi. pg29
- II.9.D. Marquage. pg30
- III. Les machines de levage (les moyens). pg31
- III.1. Les palans, les tirfors, les moufles. pg31
- III.1.B. Les palans. pg31
- III.1.C. Le tirfors. pg34
- III.1.D. Pour lire et moufles. pg35
- III.2. Les chariots élévateurs. pg37
- III.2.A. Réglementation et normalisation. pg37
- III.2.B. Autorisation de conduite est permis de conduire. pg37
- III.2.C. Les vérifications. pg38
- III.2.D. Résumé des consignes. pg38
- III.2.E. Conseils d’utilisation. pg39
- III.3. Les curieux. pg39
- III.3.A. Définit ion. pg39
- III.3.B. Normalisation. pg39
- III.3.C. Réglementation. pg40
- III.3.D. Précautions d’emploi. pg40
- IV. Les annexes. pg42
- Annexe loi. pg42
- Annexe règlement. pg43
- Annexes normes. pg46
- V. La bibliographie. pg49
- Bibliographie générale. pg49
- Bibliographie particulière. pg52