Bibliothèque
L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !
ISBN : 9789895548538
O Museu Nacional do Teatro, oficialmente criado em 1982, encontra-se instalado no Palácio do Monteiro-Mor, em Lisboa. É o museu nacional e o grande arquivo das artes do espectáculo em Portugal, contando actualmente com mais de 300 000 espécies no seu acervo. O seu objectivo é recolher, preservar, reistar, estudar e difundir as suas coleções, promovendo o conhecimento da história e da activdade contemporânea daquelas artes.
Tem como missão informar, formar, educar e divertir o público que a ele acorre, afirmando-se, de forma clara, como uma instituição de referência na museologia e na História das Artes em Portugal.
Inicialmente concebido e dedicado, em exclusivo, à apresentação de exposições temporárias, em 2003 foi inaugurada no edifício principal (Palácio) a primeira exposição de carácter permanente, "Peças de Teatro: as coleções do Museu", baseada numa estrutura e num percurso nos quais as peças vão periodicamente rodando, permitindo assim uma maior dinâmica museográfica e, em simultâneo, um maior conhecimento e entendimento, por parte dos visitante, do vasto acervo que constitui este museu e da forma como as suas coleções estão organizadas nas respectivas reservas. Na galeria situada no edifício fronteiro à recepção/loja são apresentadas exposições temporárias dedicadas a todos os aspectos que intervém nas Artes do Espectáculo.
- Taille : 18cm x 22cm
ISBN : 0486424421
Harlequin, Scaramouch, Pantalone, and other beloved figures from the Commedia dell'Arte grace the pages of this delightful work. These magnificent 103 black-and-white engravings were originally published in 1716 in Nuremberg. Little is known of the author, save that he was a Venetian ballet master — his work bespeaks his prodigious gifts of imagination and creativity.
- Taille : 23,5cm x 16,5cm
- Preface. pg7
- The Author’s Foreword. pg15
- Part One.A Desription of the Plates. pg19
- Part Two.A Desciption of the Plates. pg81
Projet « Pier Paolo Pasolini : un cinéma de poésie ».
Le projet « Pier Paolo Pasolini : un cinéma de poésie » a pour but de faire connaître à l’étranger la figure intégrale de Pasolini et de susciter un approfondissement des recherches sur son oeuvre.
En acceptant, sur l’invitation de l’Ente Autonomo Gestione Cinema de réaliser ce projet, notre association profite de l’occasion qui lui est donnée pour élargir le discours qu’elle a commencé dès sa fondation en 1977.
Au point de départ, il y a, dans notre discours, la conscience de la complémentarité des hommes en politio-littéraires et cinématographiques de l’auteur de Le Ceneri di Granmsci et de Accattone.
Pasolini est, pour toujours, poète dans toutes les formes d’expression, même les plus imprévisibles, de sa généreuse activité. Et donc, poète dramaturge, poète pédagogue, poète corsaire et poète d’un cinéma de poésie. Corpus unique, indissociable.
Et c’est en ce sens que l’ouvre cinématographique de Pasolini est encore dans une large mesure à découvrir, certainement à étudier, et qu’elle est destinée à durer autant que la poésie, au-delà des contingences et des modes, et à devenir un point de repère sûr, un patrimoine destiné aux générations futures.
De cette conscience profonde découle celle qui veut être, dans nos intentions, la caractéristique dominante « projet » : la rigueur philosophique et scientifique dans la recherche et dans la préparation des matériaux que nous soumettrons à l’attention des chercheurs et du public international.
En effet, le « projet » se propose de contribuer à la connaissance de l’ouvre cinématographique intégrale de Pasolini, et cet engagement comporte à la fois des orientations précises dans la recherche et des choix dans sa réalisation.
Les directeurs de la photographie de chaque film verront personnellement au tirage des copies d’après les négatifs. Quant au sous-titrage dans les trois langues prévues (français, anglais et espagnol), il sera réalisé dans des phases séparées, de manière à approfondir et restituer ce qu’on a tendance à négliger. Nous faisons allusion aux significations idéologiques trop souvent ignorées et à la qualité poétique qui imprègne tous les dialogues, tous les silences des ouvres Pasoliniiennes.
Chaque film aura un conseil responsable, choisis parmi des écrivains, des poètes et des opérateurs culturels et chaque copie portera la signature de notre association.
Les festivals que nous organiserons serons accompagnés d’interviews audiovisuelles de Pierre Paoli nous Pasolini que nous sommes en train de rechercher en Italie et à l’étranger, elles aussi sous-titrées, ainsi que l’exposition « la forme du regard » : une série de panneaux lumineux sur les thèmes centraux de Pier Paolo Pasolini, illustrés eux aussi, ou mieux, guidé par cette poésie. Une exposition extrêmement révélatrice de l’intensité figurative exprimée dans chacun de ses films.
Tout aussi importants seront les séminaires dont le but est essentiellement didactique et démonstratif, et qui s’efforceront de démontrer la complémentarité indissociable du poète et de l’homme de cinéma.
En ce qui concerne les matériaux écrits, graphiques et photographiques que nous nous proposons d’offrir aux chercheurs et aux publics, ils seront en large mesure réunie dans un catalogue quadriennal de réaliser par une structure de recherche créée dans ce but. Notre intention est que Pier Paolo Pasolini lui-même expliqué introduise ses films. Des monographies isolées à joindre au catalogue, ainsi que les scénarios intégraux, sont aussi prévus.
Les conditions précaires et chaotiques dans lesquelles se trouvent les négatifs et les pellicules ont rendu notre travail ardu et plein d’embches. La conservation de la plupart d’entre eux rend improbable l’idée que « l’ouvre d’art doit rester comme un témoignage éternel pour les générations futures ».
Avec la patience et la ténacité artisanale que nous mettons à ce travail nous comptons être prêts en mai 1988.
- Taille : 29cm Xx23cm
- « Who is me ». pg9
- Uccellacci e Uccellini (« Des oiseaux, petits et gros »). pg27
- Toto au Cirque. pg31
- Une vitalité désespérée.
- Nécrologie pour une certaine Laura Betti morte en l’an 2000. pg51
- Laura Betti.
- Une vitalitée désepérée.Poèmes en forme de concert de Pier Paolo Pasolini. pg57
- La Guinée. pg69
- Les interviews audio-visuelles. pg83
- Exposition Fabio MauriIntellectuel - l’Evangile selon Mathieu de/sur Pier Paolo Pasolini. pg91
- Notes. pg97
ISBN : 2914649916
Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, par une société des gens de lettres.
Monsieur Diderot, de l’Académie Royale des Sciences et Belles-Lettres de Prusse, et quant à la partie mathématique, par Monsieur D’Alembert, de l’Académie Royale des Sciences de Paris, de celle de Prusse, et de la Société Royale de Londres.
A Paris
M.DCC.LI.
Avec Approbation et Privilège du Roy.
- Taille : 34cm x 23cm
- Théâtres, contenant trente-huit Planches à cause de sept doubles.
- Planche Ière
- Plan et profil du théâtre d’Herculanum
- Planche Ière
- Première Table, du rez-de-chaussée au dessous du Théâtre
- Planche II
- Seconde Table, des constructions du Théâtre de Turin
- Planche IIII
- Troisième Table, du plein-pied et du premier rang des loges
- Planche IV
- Quatrième Table, du second rang des loges
- Planche V
- Table cinquième, du troisième étage des logesPlanche VI
- Table sixième, du quatrième étage des loges
- Planche VII
- Table septième, du cinquième Ordredes loges
- Planche VIII
- Table huitième, du Paradis
- Planche IX
- Table neuvième, coupe sur toute la longueur du Théâtre de Turin
- Planche X
- Table dixième, plan géométrique en travers et la vue du parquet, la couronne
- Plan, coupe et élévation de la Salle de la Comédie de Lyon, exécutée sur les dessins de M. Souflot, Architecte et Contrôleur des Bâtiments du Roy
- Plan du Théâtre d’Argentine à Rome
- Coupe et élévation du Théâtre d’Argentine à Rome
- Plan du Théâtre Tordinone à Rome
- Plan du Théâtre Royal de Saint-Charles, à Naples
- Plan au rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
- Plan du premier étage de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
- Plan du Théâtre de Parme
- Plan de la Salle des Machines aux Tuilerie
- Salles de Montpellier et de Metz
- Salle de l’Opéra, exécuté sur les dessins de M. Moreau, Architecte du Roy et de la Ville
- Plan et coupe d’un projet de salle de concert, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et BolognePlan du rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et Bologne
- Plan et coupe du projet de la restauration de la Salle de Studgard, de la composition de M. de la Guepierre, chevalier de Saint-Michel, architecte de S.A.S. Monseigneur le Prince de Wirtemberg, et correspondant de l’académie royale d’architecture
- Machines de Théâtre contenant quarante-neuf Planches à cause de quatorze doubles et quatre triples.
- Dessinées et expliquées par M. Radel, Pensionnaire du Roi, et Architecte-Expert, sous la direction de M. Giraud, Architecte des Menus Plaisirs, et Machiniste de l’Opéra de Paris.
- Première section.
- Détail général des Machines du Théâtre de l’Opéra de Paris.
- Seconde section, contenant vingt-deux Planches doubles équivalentes à quarante-quatre Planches simples.
Il y a 10 ans environ mon ami Pierre Brisson, toujours si clair, si pertinent, et qu'on devine derrière ses phrases tel qu'un gardien de phare dans son œil sur la mère, écrivait : « Dans les époques chargé d'inquiétude, il est fatal peut-être que la littérature perd de son vrai sens et que l'inspiration se met en sommeil. L'histoire incite à le penser. Nous traversons sans doute une de ces périodes d'hivernage. Explique critique intervient en toute chose, les talents fois sonne, et les sentiments sont Bodice. Le scepticisme général intimide les grandes tentatives… »
Je ne vois rien à ajouter aujourd'hui, et rien à retrancher à ce magistrat petit exposé : nous en sommes toujours au même point, et j'entends ce répercuter les cours de la phrase de Voltaire : point de salut au théâtre sans la fureur des passions. Or, dans les temps que nous traversons, il y a bien de la fureur, et la passion, comment on dit de l'aventure, est au coin de la rue … mais fureur et passion contournent le théâtre et stagnent groupe place publique. C'est le sentiment qui manque le plus, on ne le dira jamais assez. Il semblerait que nous ayons quelque chose contre lui. Mais quoi ? Pudeur, méfiance, dégoût ? Qui est le dira ? Mais il est bien évident que cette chaleur ouvrait, tque ces ressorts À tous tes preuves sont absents de la scène moderne. Les producteurs, pour parler le langage précis est violent qui est à la mode depuis pas mal d'années, l'utilise plus le sentiment. Du moins à l'état pur. Les moins hardis l'invitent encore à la même table que la politique, la sexualité, abstrait, l'absurde, la simultanéité et autres convives. Les affranchis non non cure. Assez de ce boulet contraint depuis des siècles ! Mais tout Theatre est à la recherche d'une fatalité, et les sentiments exactes, voire excessif, savent bien, dans l'ombre de l'âme, on les viendra retirer un jour pour occuper la place d’honneur dans les enchaînements, intrigue et explosion qui sont le fou de la vieille à faire du » Circences ».
Je ne vais pas au théâtre, c'est-à-dire qu'il m'est impossible d'y aller : des dieux de ciment armé veillent à mon éloignement et me privent de rampe, de manteau d’Arlequin, du bruohaha des salles et du bouillonnement des coulisses où j'aimais tant jadist jetter mon grain de sel et entretenir des amitiés, notamment avec les Jouvet, les Renoir et d’autres piliers de la chose … Dieu de Simon, mais pas un rideau de fer ! La solution de continuité n'a pas été touché. Je ne vais pas au théâtre, le théâtre vient à moi … pour intermédiaire de la radio, je vais vous ? Pas du tout. Radio dépose régulièrement un peu de théâtre en poudre sur ma soucoupe, comme dans tout foyer. Pourtant, ce n'est pas le chemin de traverse auquel je fais allusion. Le théâtre vient chez moi en chair et en os, tantôt personnifiés, tantôt personnifié par des auteurs, tantôt par les acteurs. Ou bien il perce carrément mes murailles il me propose ses rumeures. Ou bien il est le sujet central des conversations qui se trame à mon chevet entre spectateur satisfaits ou irrités. Bref, le théâtre parisien d'aujourd'hui me délègue ses forces, ses spectre et ses fantômes ; mais ainsi permis de m'informer et de savoir, tout comme un autre …
Tout le monde a constaté, depuis qu'il y a des chroniqueurs et qui font admirablement leur métier, que le théâtre est à Paris la chose du monde dont on parle le plus. Que les pièces ne sont pas si connu que vous n'avez. Regardées ! Et tendissent que je me livre au petit jeu des bilans, je les entends qui reviennent toutes avec leur signification particulière, ordonné la publicité qui fut faite dans le avènement, et des photos dont il est désormais entendu qu'elle ne peuvent plus se passer.
Voici la « Folle de Chaillot « de notre cher Giraudoux, aujourd'hui devisant et filant en société de Racine, de Jules renard et de mon vieux Charles Louis-Philippe, la Folle de Chaillot et son enseignement puissant précieux : le monde sera sauvé par les insouciant, par Moreno et Jouvet, poésie De Roulie, marchands ambulants et génie de la bricole, contre les forbans abstrait des affaires. Ce n'est pas si fou. La pièce ce sont deux juste comme un Louis d’or sur le trottoir. Voici le Soldat et la Sorcière, qui est plus qu'un jeu subtil historié de costumes et de élégances, et très exactement une entreprise, haute et digne, d'intelligence et de finesse à l’usage de spectacle. Ici on a repris dans des décors qui témoignent d'un véritable enrichissement intérieur, le Père Humilié et le Voyage de Monsieur Perrichon. Là, on a mis en images violentes et sans recours, ces parties honteuses du cœur et ces volcans éteints de ll’âme humaine qui tourmentèrent déjà Schopenhauer et Dostoïevsky, Maupassant et Mirbeau, et l’on a osé avec bonheur la mise à nu de ses instincts, de ses buissons de liberté horrible : je veux parler de La Sauvage, de la Maison de Bernarda et de Divines Paroles. Au Vieux-Colombier, dans un cadre particulièrement soigné, Henri Troyat nous a rappelé que si nous sommes peu de chose, nous les Vivants, nous demeurons malgré tout le seuls dignes de vivre, les seuls importants sur cette planète à surprises qui nous veut tant de bien et à laquelle nous voulons tant de mal.
Plus loin sur la ligne d’horizon, apparaissent dans leur cosse de galanterie aimable et doucement huilée, les pièces conçues exprès pour plaire, bercées par leur propre chanson de mots, de Doris à Jeunes Filles, et l’on est parfois tout ragaillardi d’y trouver des hommages aux recettes et secrets de fabrication qui font que « Paris sera toujours Paris », ainsi qu’il est dit dans la lgende populaire. Naturellement, le vaudeville classique demeure, avec ses entrées et sorties, ses belles-mères et ses audaces de situation, parfois si cocasses qu’un bel esprit c'était écrié il y a quelques années au Palais Royal en présence d'une bouffonnerie de taille : « transporter ce sujet dans le tragique ou le magique, imaginer que tant que quiproquo soit déterminés, vous aurez aussit^t du super-Freud ! ».
Restent les pièces pensées, qui fleurent l’Ecole Normale, les cafés litéraires, le groupe, l’agrégation de philo … Pièces qui ont fait courir des foules et des jeunesses avides de comprendre le coeur moderne, la cervelle contemporaine; et ces jeunes t^etes se trouvaient en présence d’idées vêtues comme vous ou moi, toutes empressées de prendre la place des sentiments absents. Il est bien certain que ces dernières débordent de talent, se hérissent de conceptions et tâchent de guérir des mortels, de les consoler, voir de lesappeler à l’aide : « Aux armes, spectateurs, l’humanité est en danger !… ». Elles ne maintiennent cependant qu’à l’état de spendides expériences et n’apportent pas plus d’eau au moulin français que les adaptations étrangères qui ont fait fureur. De même que le cinéma, le théâtre de la saison close se cherche aussi dans le passé, dans l’avenir ou chez les fantômes, en attendant qu’il s’aperçoive, rutilant et frais, au coeur même de l’actualité, et désireux de se faire aimer.
Léon-Paul Fargue
- Taille : 31cm X 24cm
- Introduction de Léon-Paul FargueBilan, texte de Raymond CognatNomenclature des différentes pièces créées depuis la Libération dans les théâtres de Paris.
ISBN : 0713639857
Theatre productions can be greatly enhanced by effects, from the simple door-slam to the more complex simulation of a thunderstorm. This practical handbook divides effects into four sections : scenic, sound, lighting and special. Each section has been written by an internationally experienced expert in the field.
An exciting range of effects are described : from waterfalls, flying peopel, snow and fog to blood, ghosts, ringing telephones, explosions and flashes. Techniques are explained, often with a choice of how to carry out the effect depending on the budget available.
A significant number of effects that we know today have been in use for many years; their importance is discussed in an introductory chapter on the history of effects. There are also sections on safety, plotting and cueing. In addition there are lists of useful addresses, supliers and manufacturers and a biography suggesting further reading.
- Taille : 24,5cm x 19cm
- Contens.
- Acknowldgements. vi
- Preface. vii
- Chapter 1. Introduction. pg1
- Chapter 2. Scenic and Mechanical effects. pg10
- Chapter 3. Sound effects. pg38
- Chapter 4. Lighting effects. pg92
- Chapter 5. Special effects. pg111
- Chaper 6. Cuering Safety. pg133
- Appendix A Manufacturers and Suppliers. pg141
- Appendix B Usefull addresses. pg144
- Bibliogrphy. pg145
- Index. pg147
ISBN : 9781350106383
“Beautifully produced.” – Times Literary Supplement
“[A] richly illustrated, compelling analysis of historical and contemporary costume design. The book successfully provokes a scholarly conversation that makes a marked departure from the kind of how-to book or fashion history that tends to dominate the shelves ... [It] ... explores interdisciplinary theoretical territory and makes broader arguments about the function of costume within a variety of performance genres, time-periods, and sociopolitical contexts.” – Theatre Topics
“This richly illustrated book presents a range of lenses for the study of costume for performance. The ambitious breadth of topics and periods covered [gives] a tantalising taste of interdisciplinary theories and methods ... This ambitious work is a significant step forward in this emerging field and offers a beautifully illustrated introduction to a wide range of theories and methods for analysing costume for performance. It is an important book for students and scholars in this field.” – The Journal of Dress History
“Barbieri (London College of Fashion, UK) offers a refreshing look at costumes and their use throughout history in creation, use, and affect in the development of live performance. The author finds connections between contemporary work and historical costume in pageantry, theater, and dance. Six chapters take up a wide variety of topics, exploring for example the transformative ritual of costume, costuming of choruses, the grotesque “Other” body, flying technology and costume, and costume in the present representing the past. Chapter 5, contributed by Trimingham (drama and theater, Univ. of Kent, UK), offers a compelling look at the effective power of costume as art. This well-written, beautifully illustrated book brings to light the importance of costume to live performance in terms of its preparation and presentation. Drawing examples from ancient Greece as well as a wide variety of European theater, from medieval theater to more contemporary and experimental productions, this book is sure to become required reading for students and scholars of costume design and history. Summing Up: Highly recommended. Lower-division undergraduates through faculty and professionals, including students in technical programs.” – CHOICE
“This is essential reading for anyone interested in performance and costumes, providing an exciting and accessible scholarly exploration of the uses and significance of costumes from prehistoric ritual to contemporary theater. It is valuable for its international range of productions and detailed descriptions of significant costumes, including dance, circus performance, street theater and traditional stage.” – Patricia Lennox, New York University, USA,
“Donatella Barbieri has crafted a unique and intriguing way of looking at the history of costumes for performance. Drawing on case studies and in-depth analysis of performance costume, this book is a marvelous addition for researchers in the costume discipline.” – Colleen Muscha, School of Theatre, College of Fine Arts, Florida State University, USA,
“This poetic work is a tour de force of lively research and imagination. Charting the transformation of performance costume across time, space and material, Barbieri, with Trimigham, takes us from the Ancient Greek chorus to modern trapeze artists, revealing how costume creates new thresholds of human experience.” – Peter McNeil, University of Technology, Sydney, Australia,
“With compelling scholarship and great artistic sensitivity, Barbieri deftly explores the cultural, societal and creative agency of the costumed and performing body. In tracing the complex artistic, historical and cultural journey from every day clothing through the designer to the cutting table to the stage costume, this magnificently illustrated book makes an absolutely essential contribution to our understanding of scenography.” – Christopher Baugh, University of Leeds, UK,
“Donatella Barbieri's own breadth of skills as a passionate lecturer, an inspiring teacher and a practitioner are all evident in this wonderful and uncompromising new book. Through the agility of her themes and connections from paleolithic cave painting to the most recent performances or archival discoveries, she never loses sight of the metamorphic power of costume. This is a daring and inspiring book.” – Judith Clark, Research Centre for Fashion Curation, University of the Arts London, UK.,
- Taille : 24cm x 19cm
- Contents.
- List of illustrations. VI
- Acknowledgments. XVIII
- Preface. XX
- Introduction. XXII
- 1 The First Costume : Ritual and Reinvention. pg1
- 2 Costuming Choruses : Spectacle and the Social Landscape on Stage. pg 29
- 3 The Grotesque Costume : The Comical and Conflicted 'Other' Body. pg59
- 4 The Flight off the Pedestal. A Sublime Second Skin. pg95
- 5 Agency and Empathy: Artists Touch the Body. pg137
- 6 A Different Performativity: Society, Culture and History on Stage. pg16
- 7 Notes. pg213
- Bibliography. pg219
- Index. pg229
Franchir le seuil de cette maison qui porte un nom que je lui ai donné il y a 17 ans, traverser ses coulisses des étroites où j’ai vu se presser jadis le flot de la comédie, remettre enfin le pied sur ce plateau où j’ai vécu, dans le travail, tant de jour et de nuit de ma jeunesse, je ne vous étonnerais pas en disant que ce sont, pour moi, des opérations qui ne vont pas sans un peu d’effort.
Ici, 2913 à 1914, puis de 1000 919 924,50 pièces environ ont été représentées. La vie a été donnée à plus de cinq ou 600 personnages par moins de trente acteurs.
Dans ce temps-là, quand on avait nommé la Compagnie du Vieux-Colombier, on croyait avoir assez dit.
Au moment de vous parler, je revois ses camarades, qui ont été courageux et fidèle, et partagèrent longtemps une gloire indivise. Je les revois tous, et chacun en particulier. Ma pensée n’a pas besoin de les rejoindre. Depuis six ans, elle ne les a pas quittés un seul jour.
Les lieux, du moins, sont demeurés. C’est trop peu de dire que je les ai aimés. Il me semble qu’ils ont été faits de ma substance. J’y retrouve inscrite la forme de beaucoup de mes pensées. Certes tant mouvements de mon corps continu de les habiter.
C’est de cette trappe, ici, que je surgissais, dans Cromedeyre-le-Vieil, avec mon chien, sous l’apparence d’un jeune homme de vingt ans. Je viens de revoir l’escalier que je descendais de ma loge, à petits pas, avec les précautions d’un vieillard de soixante-dix-huit ans, quand je jouais la Maison natale. Les petits démons du Saül me pressaient et m’écrasaient dans ce retrait du mur, à la cour. Par le portillon du jardin, là, je faisais mon entrée dans Il faut que chacun soit à sa place, la dernière pièce que nous avons donnée… Combien de fois me suis-je avancé sur la demi-lune du proscenium, devant le rideau que j’en trouvais avec un battement de cour, pour faire une annonce, dire un prologue, parler à nos amis, les instruire de nos projets, plus souvent les appeler à l’aide. Oui, jusqu’à .la veille du dernier jour..
…
Jacques Copeau
- Taille : 16,5cm x 12,5cm
- Ces deux conférences ont été prononcées au théâtre du Vieux-Colombier, la première le 10 janvier, la seconde le 15 janvier 1931. Elle formait comme un prologue à la première saison dramatique de la Compagnie des Quinze, qui s’est ouverte quelque jours après, avec le Noé d’André Obey.
ISBN : 2806102642
Ce numéro aborde les questions juridiques liées au statut social et fiscal des artistes (droit au chômage, droit d'auteur, droit à l'image. . .) plus que jamais au centre de leurs préoccupations en cette période de crise où des coupes sévères sont opérées dans les budgets de nos institutions culturelles et où les conditions de travail des artistes, tout comme la réglementation sur leur droit au chômage, se voient durcies.
- Taille : 24cm x 15,5cm
- Sommaire.
- Introduction
- Ariane Joachimowicz
- Droite et théâtre : aspects juridiques de la création et statut de l’artiste. pg9
- I. Metteur en scène et comédiens : droits d’auteur, droits voisins, et droit à l’image.
- Natacha Renaudin
- Les metteurs en scène en France : artistes et auteurs ? pg15
- Alain Berenboom
- Le metteur en scène en Belgique : artiste ou hauteur ? pg36
- Tanguy Roosen
- La gestion collective du droit d’auteur dans le domaine théâtral. pg43
- Marc Isgour
- Droit à l’image et création artistique. pg52
- II. Statut social et fiscal de l’artiste.
- Anne Boissard
- Le statut social et fiscal de l’artiste en France. pg67
- Ariane Joachimowicz
- Le statut de l’artiste en Belgique : un mythe ! pg78
- Alexandre von Sivers
- Je suis comédien et salarié. pg102
- Olivier Leborgne
- Je suis comédien indépendant… pg111
- André Nayer
- Le fil d’Ariane. pg116
ISBN : 2742762426
Un essai historique, de nombreux plans et photographies, ainsi que des fiches techniques et une riche bibliograohie, mettent en évidence l’évolution d’une typologie qui, de l’époque classique jusqu’à nos jours, n’a cessé d’accompagner les aléas de l’architecture urbaine.
Cet examen de toutes les formulations de l’édifice théâtral depuis la Renaissance jusqu’au XIXe siècle, notamment au travers des traîtés d’architecture, nous enseigne que la scène théâtrale s’est de tout temps identifiée avec la scénographie urbaine.
Cette préoccupation déjà présente dans le théâtre antique, et non sans rapport avec le projet de la ville idéale, fut reprise avec une fortune particulière dans les recherches théâtrales et scénographiques de la Renaissance, conjugant les études sur la perspective, la relecture de Vitruve et les réflexions théoriques des architectes du XVIe siècle.
Qu’il s’agisse aujourd’hui de théâtres nouveaux, grands ou petits, de restructurations de salles historiques ou de théâtres intégrés à de plus vastes complexes, le rapport que ces salles instaurent avec la cité engendre des solutions et des développements d’une grande diversité.
Avec les théâtres de Chambéry (Mario Botta) et de Martigues (Fabre/Speller et Marino Narpozzi), ave l’Opéra de Glyndebourne (Hopkins Architects) ou avec l’auditorium de Léon (Mansilla+Tunon), l’architecture s’intègre avec discrétion dans le contexte urbain tout en cherchant à dialoguer avec les spécificités du lieu.
Parfois l’édifice théâtral devient un élément spectaculaire dont la fonction devient proprement monumentale se propose de calalyser rencontres et événements : Kursaal à San Sébastian (Raphael Monco), Théâtre Luxor à Rotterdam (Bolles+Wilson) et Richard B.Fisher Center for Performing Arts à New York (Frank O.Gehry).
Ailleurs, ce lieu de rencontres et de représentations s’exprime bien au-delà de la salle, par exemple dans de vastes foyers de verre ouvrant vers l’extérieur, comme au Théâtre Markant de Uden (Herman Hertzberger), au Théâtre national de Catalogne à Barcelone (Ricardo Bofill), au Théâtre de Recklinghausen (Auer+Weber+Architekten), au Théâtre sur la Potsdamer Platz à Berlin (Renzo Piano Building Workshop) ou au Centre culturel de Lucerne (Jean Novel).
Enfin, quelques réalisations s’appuient sur la reprise et la reconfiguration de bâtiments plus anciens : Théâtre de La Fenice à Venise (Aldo Rossi,Arassociati), Théâtre de Sagunto (Giorgio Grassi et Manuel Portaceli Roig), Théâtre alla Scala à Milan (Mario Botta).
- Taille : 30,5cm x 26,5cm
- Sommaire
- L’architecture du théâtre-Entretien avec Luca Ranconi pg7
- Du théâtre pg9
- Théâtres-architectures 1980-2005
- Grands théâtres
- Théâtre et maison de la culture André-Malraux, Chambéry-Mario Botta pg44
- Théâtre-auditorium de Galice, Saint-Jacques-de-Compostelle-Julio Cano Lasso pg52
- Opéra, Lyon-Jean Novel pg56
- Théâtre de Martigues, Martigues-Fabre/Speller et Marino Narpozzi pg64
- Opéra de Glyndebourne, Glyndebourne-Hopkins Architects pg70
- Théâtre Chassé, Breda-Herman Hertzberger pg80
- Théâtre Markant, Uden-Herman Hertzberger pg86
- Théâtre national de Catalogne, Barcelone-Ricardo Bofill pg94
- Théâtre de Trondelag, Trondelag-4B Arkitekter AS pg100
- Théâtre Strehler (Nuovo Piccolo Teatro), Milan-Marco Zanuso pg106
- Théâtre à Recklinghausen, Recklinghausen-Auer+Weber+Architekten pg112
- Théâtre de la Potsdamer Platz, Berlin-Renzo Piano Building Workshop pg120
- Théâtre d’Avellino, Avellino-Carlo Aymonino et Giannichele Aurigemma pg130
- Théâtre Luxor, Rotterdam-Bolles+Wilson pg136
- Auditorium de Léon, Léon-Mansilla+Tunon Arquitectos pg144
- Théâtre des Arcimboldi, Milan-Gregotti Associani pg150
- Richard B.Fisher Center for Performing Arts, New York-Frank O.Gehry pg158
- Reconstructions
- Théâtre Carlo Felice, Gênes-Ignazio Gardella, Aldo Rossi et Angelo Sibilla pg166
- Grand Théâtre du Liceu, Barcelone-Ignasi de Sola-Morales, Lluis Dilmé et Xavier Fabré pg180
- Théâtre La Fenice, Venise-Aldo Rossi,Arassociati et Edoardo Guenzani pg186
- Théâtre de la Scala à Milan-Mario Botta pg194
- Théâtres intégrés à des complexes architecturaux Centre culturel de Bélém, Lisbonne-Gregotti Associati et RISCO (Manuel Salgado) pg204
- Centre culturel, Lucerne-Jean Novel pg212
- Kursaal, San Sebastian-Rafael Moneo pg222
- Théâtre à IJsselstein (Fulcotheater), Jsselstein-UN Studio pg230
- Petits théâtresThéâtre Studio, Milan-Marco Zanuso pg238
- Théâtre de la Compagnia, Flornece-Adolfo Natalini, Fabrizio Natalini avec Nazario Scelsi pg244
- Théâtre de Hallein, Hallein-Heinz Tesar pg248
- Théâtre des Muses, Ancône-Danilo Guerri et Paola Salmoni pg254
- Monument urbain ou sculpture dans la ville ? pg258
- Bibliographie pg264
- Bibliographies des architectes pg270
- Fiches techniques pg275
Note : « Scene is here employed in the Gordon Craig sense of the term. In this sense it implies all that is contained in the German « Inscenierung ».
- Taille : 29cm x 23cm
- Contents and Summary.
- Part I. The Inscenierung as a Means-of-Expression.
- Chapter I. The Inscenierung - The Mucic. The Inscenierung. pg1
- The Music. pg2
- Chapter II. The Inscenierung as a creation of the Music. Theoretical Basis. pg7
- Practical Application. pg18
- The Scenic Illusion. pg21
- The Actor. pg24
- More words on the Actor. pg30
- The Setting. pg36
- The Light. pg52
- Printing. pg56
- The Auditorium. pg65
- Conclusion. pg71
- Part II. Richard Wagner and the Inscenierung. pg76
- Part III. The Word-Tone Drama « Wthout » Richard Wagner. pg97
- Bayreuth. pg122
- The German and the Latin. pg120
Bühne und Welt
- Taille : 27cm x 19cm
- Article page 661 :
- Beleuchtung und Beleuchtungseffekte auf der Bühne.
- Éclairage et effets d'éclairage sur la scène par Baurat Manfred Semper (Architecte, 1838-1913)
Malgré que ce sujet et fait l’objet des magistrales conférences de Messieurs Louis de Broglie, Eugène Bloch et Léon Bloch, je crois utile, pour la compréhension de ce qui suit, de vous résumer très brièvement les idées des physiciens sur la constitution de la lumière, de l’électricité et de la matière.
…
- Taille : 20,5cm x 14cm
- Les différents chapitres sont les suivants :
- la lumière. pg7
- Le rayonnement. pg15
- Grandeur, unité et mesures photométriques. pg23
- Sources lumineuses. pg37
- La vision. pg47
- Conditions fondamentales d’un bon éclairage. pg59
- Lampes électriques. pg75
- Différents systèmes d’éclairage. pg83
- Appareils d’éclairage. pg97
- Applications pratiques. pg113
Pourquoi ce livre ?
Pendant des siècles, la Belgique a été une terre d’accueil pour le thétre, particulièrement le thétre venant de Paris. Pratiquement aucune création, aucune production originale n’apparaissait dans nos salles de fortune.
A l’issue de la première guerre mondiale s’amorce un mouvement de création : auteur, acteur et chanteur belge commence à sortir du tombeau !
De sorte que depuis une soixantaine d’années et surtout à partir de la guerre 40, le théâtre fait par les Belges s’est développé d’une façon extraordinaire pour arriver aujourd’hui une floraison de spectacles les plus variés, répondant aux besoins d’un public nombreux, éclectique et exigeant. Jamais il n’et tant de créateurs et d’interprète, jeunes et moins jeunes, passionnés de spectacles.
Jamais non plus les structures politiques et économiques du théâtre n’ont été plus fragiles, plus instable et plus ambiguë, et par conséquent la situation des artistes. L’inquiétude qui en résulte nous pousse à faire valoir l’acquis et la qualité de ce qu’on a porté au patrimoine culturel belge d’innombrables artistes du spectacle au cours des 60 dernières années. Nous voulons attirer l’attention du public et des pouvoirs publics sur le foisonnement créatif actuel, conséquence de ce passé récent et promesses d’avenir.
Entraînés par leurs aînés, de nombreux jeunes artistes talentueux et passionnés s’engagent dans cette carrière, malgré ses aléas, apportant invention et 109 dans la pratique d’un art toujours mouvant. Nous voulons souligner l’intérêt qu’offrent nos artistes, au public de plus en plus nombreux de notre pays, et ce, en dépit de la survivance d’une mentalité négative qui consiste à faire fi de ce qui est belge.
C’est pourquoi ce livre s’imposait. Il fallait raconter cette belle histoire de notre thétre pour le plaisir de ceux qui l’ont vécu et pour l’édification de ceux qui ont à la poursuivre.
André Debaar
Président de l’Union des Artistes.
- Taille : 21cm x 20,5cm
- Qu’est-ce que l’union des artistes ? Pourquoi ce livre ? par André Debaar. pg5
- Abrégé historique des principaux théâtres de Bruxelles depuis leur fondation jusqu’en 1900 par André Gevrey. pg9
- Soixante ans de théâtre belge par Luc André. pg13
- Les reflets éclatés du « Jeune Théâtre » par Claire Diez. pg129
- Le théâtre pour enfants dans notre communauté française par Frédéric Latin. pg135
- Un statut, pourquoi faire ? Par Alexandre von Sivers. pg151
- Le thétre et la télévision par Lucien Binot. pg167
- Le « lyrique » par Frédéric Kiesel. pg175
- Formes et couleurs entre cour et jardin par Serge Creuz. pg193
ISBN : 291201736X
Le temps des flammes présentes un panorama des éclairages de spectacles, depuis les flambeaux de l’Antiquité jusqu’aux dernières rampes à gaz, pour se clore sur l’invention de la lampe électrique. S’appuyant aussi bien sur l’évolution de la symbolique attachée à la lumière que sur celle des sciences et des techniques liées à l’optique et à l’éclairage, l’ouvrage propose une approche originale, historique et pourtant singulière, illustré par des ouvres emblématiques des représentations de la lumière à chaque époque.
L’auteur
Christine Richier et éclairagistes, régisseur de théâtre et chercheuse. Titulaire d’un Master en philosophie et doctorante en esthétique, ses activités de recherche interrogent le visuel thétral et ses pratiques. Et l’enseigne l’éclairage et son histoire à l’ENSATT et à l’université.
- Taille : 24,5cm x 28cm
- Table des matières.
- Note de l’éditeur. pg12
- Préface. pg14
- Introduction. pg17
- Prologue : obscurités premières. pg21
- 1. Flammes antiquesdes origines à l’Antiquité. pg31
- Prométhée voleur de feu. pg34
- Théâtre grec, une dramaturgie du solaire. pg37
- Théâtre romain, à l’ombre des vélums. pg41
- Théâtron, le lieu d’où l’on voit : lumière visible sous l’Antiquité. pg43
- Sources et techniques d’éclairage des origines à l’Antiquité. pg46
- 2. La pensée chrétienne de la lumière
- Moyen Âge. pg53
- « Fiat lux ». pg56
- Lumière et architecture sacrée. pg58
- Du rituel à la représentation. pg59
- Développement scénique du drame liturgique. pg62
- Mystère et miracle. pg64
- Sources et techniques d’éclairage au Moyen Âge. pg69
- 3. L’oeil du prince
- Renaissance. pg75
- Perspectives. pg78
- Peindre l’ombre. pg79I
- llumination est faite de cours. pg82
- Naissance de l’éclairage scénique. pg84
- Retour en France. pg90
- Source et techniques d’éclairage de la Renaissance italienne. pg924.
- 4. Les lustres du Grand siècle
- Baroque et classicisme. pg97
- Clairs obscurs. pg100
- L’oeil dévoilé. pg104
- Chambres obscures et lanternes de peur. pg108
- Lumières à italiennes. pg111
- Ballet de cour et festivités. pg115
- Théâtre de machines et opéra « à la française ». pg119
- Le règne des petits maîtres . pg122
- Les tréteaux de Théophile. pg127
- Sources et techniques d’éclairage au XVIIe siècle. pg130
- 5. Les réformes des lumièresXVIIIe siècle. pg135
- De la nature de la lumière. pg138
- L’illusion en question. pg145
- Renouvellement des techniques d’éclairage. pg148
- Les réformateurs de la scène. pg151
- Les spectacles optiques. pg154
- Sur ces techniques d’éclairage au XVIIIe siècle. pg162
- 6. Pleins feuxXIXe siècle. pg169
- 1. Horizon panoramique. pg172
- L’ombre de Faust. pg172
- D’un ciel à l’autre. pg175
- La nature réinventée : panoramas et dioramas. pg179
- La couleur : pensées, classée. pg183
- 2. Le règne du gaz. pg187
- La flambée d’Hernani. pg187
- Les débuts de l’éclairage au gaz. pg192
- Le gaz dans les théâtres. pg196
- Lumière du Nord. pg205
- Une descente aux enfers. pg207
- Sources et techniques d’éclairage au XIXe siècle, première partie. pg214
- 3. Le grand spectacle.g218
- La fabrique du spectaculaire.pg218
- Nouveaux soleils. pg223
- Les coulisses de l’illusion. pg226
- Petites mains de l’ombre. pg230
- Une promenade sur les grands boulevards. pg232
- Sources et techniques d’éclairage au XIXe siècle, seconde partie. pg236
- 4. L’ère des metteurs en scène. pg239
- Les pionniers de l’éclairage moderne. pg239
- De profundis lambionibus. pg247
- L’obscurcissement de la salle. pg249
- Epilogue. pg253
- Bibliographie. pg255
- Notes. pg263
Sainte-Croix, petite ville du Jura vaudois situé à quelque 1000 m d’altitude et à proximité de la frontière française, perpétue la fabrication des boîtes à musique depuis plus d’un siècle et demi en dépit des modes et des crises.
Attiré par le savoir-faire des habitants de la région, un créateur et restaurateur d’automate s’est installé 173 à Bullet, localité voisine de Sainte-Croix. Grâce à lui et Alain de ses élèves, le pays des boîtes à musique est devenu aussi celui des automates.
Cet ouvrage veut rendre témoignage de ce que fut et de ce qu’est encore aujourd’hui le travail de ces artisans du rêve, attachés à réaliser des objets d’une autre époque, dont la grce enfantine et le charme romantique continueront longtemps encore que nous fasciner et de nous émerveiller.
- Taille : 28,5cm x 22,5cm
- Sa mère.
- Préface. pg9
- Chez les artisans de la boîte à musique. pg11
- Boîtes animées et oiseaux chanteurs. pg63
- Création et restauration d’automates. pg93
- Richesse des collections de Sainte-Croix. pg147
- Remerciements. pg219
ISBN : 9782930146331
- Taille : 19cm x 28,5cm
- Cet ouvrage - fruits de cour vous accommodaient par occasion aux forces diverses des élèves - l’art ne le gouverne pas : passage trop long et fort souvent ennuyeux, lacunes, complaisance exagérée pour la précision, pas de plan véritable ; aussi l’auteur autorise-t-il le lecteur paresseux à sauter quelques pages, et même il lui indiquera lesquels.Du reste cet ouvrage ne s’adresse pas aux lecteurs, mais à un auditoire, un auditoire qui me voit, et qui entend une parole dont le tempo est beaucoup plus lent que celui de la parole ordinaire, et à plus forte raison, que celui de la lecture silencieuse d’un roman.Il se fait que le geste de ma voix et le geste de ma main - produit par la même personne - se ressemblent, aussi ne serais-je assez remercié Madame Patricia Kuypers, l’éditrice, d’avoir exigé que la pression du livre se fasse sous la forme d’un fac-similé du manuscrit. Et le chorégraphe José Besprosvany ! mon ami dévoué qui n’a mis en relation avec un éditeur, avec Patricia la directrice Contredanse ! pourrais-je jamais lui témoigner toute ma gratitude ?Fernand Schirren
(extrait) Depuis le XVIIIe siècle, époque à laquelle tout spectacle se donne habituellement dans un lieu couvert, jusqu’en 1890 « révolutions réalistes d’André Antoine et de Stanislavski), le décor peint en trompe-l’oil araignée, dans tous les genres (dramatique, lyrique, chorégraphiques), sur toutes les scènes du monde, particulièrement du monde occidental.
…
André Boll
- Taille : 17,5cm x 11,5cm
- Table des matières.
- I - Les différents genres de construction. pg3
- Le décor peint. pg3
- La scène à l’italienne. pg5
- Décor construit , décor semi-construit. pg9
- Ce qui doit être conservé sur de simples tréteaux. pg11
- Machinerie et équipements traditionnels. pg16
- II - Technique du d écor de théâtre. pg20
- La construction : éléments souples. pg20
- La construction : éléments rigides. pg22
- La peinture. pg26
- Exécution peinture. pg28
- Equipements et éclairage. pg30
- III - De l’esquisse à la maquette. pg33
- La perspective thétrale. pg40
- IV - Le style du décor. pg51
- Glossaire. pg57
Cet ouvrage, le second de ce genre publié par les Editions Meddens pour l’Institut International de Théâtre, sous le patronage de l’Unesco, a profité dans 42 pays de la collaboration étroite des Centres Nationaux que groupe l’I.I.T..
Dans une typographie luxueuse, c’est un panorama général de l’évolution du spectacle dans le monde. On n’y trouvera une dizaine de pays absents du premier volume, telles que l’Espagne, l’Inde et l’URSS.
L’introduction est consacrée à l’utilisation des matériaux nouveaux et à la mise au point des techniques nouvelles dans la présentation des spectacles.
Les index sont complétés par un « dictionnaire des décorateurs » groupant les fiches biographiques de quelque 360 artistes répartis dans 33 pays.
Comme pour le premier tome, la mise au point et la présentation sont l’ouvre de René Hainaux, rédacteur en chef de la revue Le Théâtre dans le Monde, assisté par l’éminent spécialiste Yves-Bonnat. La supervision en a été assumée par le Comité des publications de l’I.I.T.
un volume au format 24 X 30,5 cm de 260 pages dont 220 pages sur beau papier couché avec 35 illustrations en quadrichromie et 497 illustrations en blanc et noir. Reliure de luxe sous jaquette plastifiée en quatre couleurs.
- Taille : 30cm x 24,5cm
- Table des matières.
- Avant-propos par Paul-Louis Mignon. pg5
- Remerciements par René Hainaux. pg6
- Technique et matières nouvelles dans la décoration thétrale par Yves-Bonnat. pg7
- Nouveaux matériaux et nouvelles techniques - résultats d’une enquête. pg11
- I. Les matières. pg12
- II. Equipement scénique. pg17
- III. Eclairage. pg20
- IV. Méthode de travail. pg23
- Les clefs de l’ouvrage - Interprétation des légendes. pg24
- Illustrations
- Argentine. pg25
- Belgique. pg27
- Brésil. pg35
- Bulgarie. pg37
- Canada. pg39
- Tchécoslovaquie. pg41
- Cuba. pg48
- Allemagne de l’Est. pg49
- Allemagne de l’Ouest. pg51
- Espagne. pg75
- France. pg83
- Grèce. pg103
- Suisse. pg109
- Inde. pg113
- Israël. pg117
- Italie. pg121
- Yougoslavie. pg135
- Magyarorszag. pg139
- Pays-Bas. pg143
- Japon. pg147
- Norvège. pg151
- Autriche. pg155
- Pérou. pg163
- Pologne. pg165
- Roumanie. pg173
- URSS. pg177
- Finlande. pg203
- Suède : pg208
- Turquie. pg213
- Grande-Bretagne. pg215
- USA. pg229
- Uruguay. pg241
- Venezuela. pg243
- Dictionnaire des décorateurs. pg247
- Index des illustrations par ordre alphabétique des décorateurs. pg261
- Index des illustrations par ordre alphabétique des auteurs, compositeurs et chorégraphe. pg267
ISBN : 0415941717
Virtually everyone working in dance today uses electronic media technology. Envisioning Dance on Film and Video chronicles this 100-year history and gives readers new insight on how dance creatively exploits the art and craft of film and video. In fifty-three essays, choreographers, filmmakers, critics and collaborating artists explore all aspects of the process of rendering a three-dimensional art form in two-dimensional electronic media. Many of these essays are illustrated by ninety-three photographs and a two-hour DVD (40 video excerpts).
A project of UCLA – Center for Intercultural Performance, made possible through The Pew Charitable Trusts (www.wac.ucla.edu/cip).
- Taille : 28cm x 21,5cm
On a beaucoup écrit sur la Comédie-Française ; le sujet était trop intéressant pour ne pas tenter ce qui s'occupe du théâtre ; mais presque tout ce qui est apparu jusqu'à ce jour sur cette célèbre Compagnie est incomplet souvent, inexact quelques fois ; cependant la première condition d'un travail de cette nature n'était pas l'exactitude rigoureuse.
En réunissant sous le titre d'album de la Comédie-Française les portraits et les notice biographique de tous les sociétaires actuel, l'intention des auteurs et de ne présenter que des portraits ressemblant et des biographie correcte ; or, la signature qui se trouve au bas de chaque portrait prouve clairement que les artistes eux-mêmes ont bien voulu poser devant l’habile graveur M. E. Abot, qui est si admirablement exécuter ces eaux-fortes dont toute la valeur sera certainement appréciée. La précieuse collaboration de M. F. Fébure à cet ouvrage, indique que les éléments d'une biographie et les détails sur l'organisation du Théâtre-Français ont été puiser au meilleures sources.
L'album de la Comédie-Française n'a pas mission de faire une critique ou même une appréciation du talent des sociétaires ; il rappellera seulement les plus belles créations de chacun deux ; s'il fallait constater tous les triomphe, un volume si gros qu'il fût, me suffirait pas.
Les autographes qui nous ont été accordé, et qui donne à cet album un caractère si charmant. Au City cité, on est sur le succès, grâce a la sympathie qui dans tous les pays accueille les artistes de la Comédie-Française ; qui me soit donc permis, en terminions c'est tout préface, d'adresser, tant au nom de mon collaborateur au mien personnel, les plus vifs remerciements à ceux dans l'obligeance et faciliter notre tâche.
T. Johnson
- Taille : 37 X 28
- Table.
- Lettre à son Altesse Rouyale Monseigneur Le Prince de Galles, par Alexandre Dumas fils. pgI
- Dédicace. pgV
- Préface, par T. Johnson. pgIX
- Les Origines du Théâtre-Français. pgXIII
- Premier Acte de Société entre Messieurs et Mesdames les Comédiens Français, 27 Germinal An XII. pgXIX
- Organisation actuelle de la Comédie-Française. pgXXIII
- Réception des Ouvrages à la Comédie-Française. pgXXV
- Le Théâtre-Français.La Salle. pgXXVI
- Le Foyer public.Le Foyer des Artistes.Les Sociétaires depuis la Formation de la Compagnie. pgXXXIII
- Administraztion de la Comédie-Française.M. Perrin. pgXXXVII
- Biographies.Sociétaires de la Comédie)Française au 1er janvier 1879. XXXIX
- Messieurs :
- Got. pg1
- Delaunay. pg3
- Maubant. pg5
- Coquelin aîné. pg7
- Febure. pg9
- Thiron. pg13
- Mounet-Sully. pg15
- La Roche. pg17
- Barré. pg19
- Worms. pg21
- Coquelin cadet.
- Mesdames :
- Madeleine Brohan. pg23
- Favart. pg25
- Jouassain. pg27
- Riquer. pg29
- Ponsin. pg31
- Dinah Félix. pg33
- Reichemberg. pg35
- Croizette. pg37
- Sarah Bernhardt. pg39
- Baretta. pg43
- Broisat. pg45
- Samary. pg47
- Pensionnaires de la Comédie-Française.
- Les Sociétaires retraités.Pensionnaires de la Comédie-Française. pg51
- Les Sociétaires retraités. pg53
Ce livre accompagnait une exposition. Il reprend l'histoire de la lumière et de l'éclairage depuis ses origines. Il aborde les grands types d'éclairage: au gaz, électrique, à incandescence, à décharge, ainsi que les technologies plus récentes.
- Taille : 29,5cm x 21cm
- Sommaire.
- Introduction.
- 1. Les plus anciennes sources d’éclairage.
- 1.1. Les premiers pas
- 1.2. Les premières lampes à huile
- 1.3. Bougies et torches.
- 1.4. volution de la lampe à huile.
- 1.5. La lampe à huile et l’éclairage public.
- 2. L’éclairage au gaz.
- 2.1. Introduction.
- 2.2. Les débuts.
- 2.3. La production de gaz.
- 2.4. Les becs de gaz.
- 2.5. La lampe à acétylène.
- 2.6. Le gaz aujourd’hui.
- 3. L’éclairage électrique avant la lampe à incandescence.
- 3.1. Introduction.
- 3.2. La lampe à arc.
- 3.2.1. Principe de la lampe arc.
- 3.2.2. Application de l’allant parc.
- 4. La lampe à incandescence.
- 4.1. Les premiers pas.
- 4.2. La lampe à filament de carbone.
- 4.3. La lampe à filament de tungstène.
- 4.3.1. Les filaments spiralés.
- 4.3.2. La lampe à incandescence aux halogènes.
- 5. Les lampes la décharge.
- 5.1. Le tube de Moore.
- 5.2. Le tube au néon.
- 5.3. La lampe fluorescente.
- 5.4. Les lampes fluo compactes basses énergie.
- 5.5. Les lampes au mercure haute pression.
- 5.6. Les lampes au sodium.
- 5.6.1. Les lampes au sodium basse pression.5.
- 6.2. Les lampes au sodium haute pression.6. Les technologies de pointe.
- 6.1. Les lampes à induction.
- 6.2. La combinaison de deux types de lumière.
- 6.3. La recherche en photométrie.
- 7. L’éclairage et l’utilisation rationnelle de l’énergie.
- 7.1. L’opération «EPEE ».
- 7.2. L’opération «AGEBA ».
- 8. La production et la distribution d’électricité.
- Conclusion.
Introduction.
Le cours d’éducation esthétique constitue une discipline d’éveil est un exercice de culture. Il doit concourir au développement de l’intelligence, à l’épanouissement de la sensibilité et à l’habileté de la main.
Tout en appuyant sur des valeurs stables et des traditions éprouvées, il doit être pour les élèves une découverte du monde actuel. Il peut accroître chez elle la confiance en soi par une libre expression de leur sensibilité.
Grce à cet enseignement, la plupart des jeunes filles seront capables de produire et de choisir sans faute flagrante de got.
Il est souhaitable que chaque exercice commence par une recherche de la beauté. Ainsi l’élève, sous l’influence bénéfique de cette formation, sera en mesure de comprendre, d’apprécier, de critiquer, de juger, de concevoir des réalisations sur le plan de l’esthétique et de l’intégration harmonieuse dans le milieu.
Sur le plan des activités professionnelles proprement dites, l’objectif du dessin artistique consistera à adapter la mode aux impératifs particuliers du climat et aux exigences de l’aménagement et de la décoration de la maison.
- Taille : 29cm x 20,5cm
- Table des matières.
- I. Introduction. pg4
- II.Directives générales. pg4
- III. Recommandations pédagogiques. pg5
- IV. Généralités sur le dessin d’observation. pg5
- V. Généralités sur la composition . pg6
- VI. Généralités sur l’étude des couleurs. pg6
- VII. Généralités sur l’expression libre. pg8
- VIII. Technologie du matériel de dessin. pg9
- IX. pLa coordinationg avec le métier.12
- X. La formation de base. pg12
- XI. Le collage. pg18
- XII. tude de la perspective. pg28
- XIII. Ombres et lumières. pg32
- XIV. Prise de mesures à l’oil. pg35
- XV. Dessin d’après nature. pg37
- XVI. Agrandissement - réduction. pg38
- XVII. tude de la silhouette de mode p.g42
- XVIII. Conseils aux professeurs concernant les leçons sur la silhouette de mode. pg48
- XIX. la silhouette enfantine. pg59
- XX. Le dessin des détails importants. pg69
- XXI.. Bibliographie. pg95
ISBN : 2742725121
En 1887, André Antoine (1858 - 1943) fonde à Paris le Théâtre Libre. Sous l’influence et avec le soutien de Zola, il a vendu, dix ans avant Stanislavski, un art nouveau où la « partie matérielle » de la représentation (l’ancienne « régie ») se combinent étroitement avec la « partie immatérielle », c’est-à-dire l’interprétation du texte. Antoine ouvre ainsi l’air de la mise en scène moderne.
L’étude de Jean-Pierre Sarrazac et l’anthologie des écrits d’Antoine réalisé avec Philippe Marcerou donne un large panorama de la carrière de ce grand homme de thétre, qui mit son art au service des textes contemporains français et étrangers avant de proposer au Théâtre de l’Odéon, une lecture originale de Shakespeare et des classiques français.
- Taille : 20,5cm x 15cm
- Table.
- Introduction de Jean-Pierre Sarrazac. pg5
- Cahier photographique. pg29
- Anthologie. pg47
- - Introduction de Philippe Marcerou. pg49-
- Les débuts d’Antoine et le Théâtre-Libre (1858 - 1894). pg51
- 1. Lettre à Mounet-Sully (1876). pg53
- 2. Lettre à Francisque Sarcey (1888). pg55
- 3. Le Théâtre-Libre (1890). pg61
- 4. Lettre à Charles Le Bargy (1893). pg90- L’Odéon et le Théâtre Antoine (1896 - 1914). pg97
- 5. Lettre à Henri Foulquier (1896). pg99
- 6. Circulaire-programme diffusé à l’ouverture du Théâtre-Antoine (1897). pg104
- 7. Causerie sur la mise en scène (1903). pg106
- 8. Conférence de Buenos Aires (1903). pg121
- 9. Le Roi Lear (1904/1928). pg138
- 10. Monsieur de Pourceaugnac (1910). pg142- Les études critiques (1914 - 1943). pg153
- 11. Mais débuts dans la critique (1919). pg155
- 12. Le Conte d’hiver (1925) . pg157
- 13. Craig (1928.) pg166
- 14. Mademoiselle Julie (1921). pg169
- 15. Ce que je veux faire ici (1922). pg173
- 16. Stanislavski (1922). pg175
- 17. Le Réviseur, par la troupe moscovite deMeyerhold (1930). pg179- Les études esthétiques et historiques (1922 - 1943). pg183
- 18. Le thétre contemporain (1922). pg185
- 19. Zola et le thétre (1924). pg201
- 20. Enquête de Léopold Lacour sur la mise en scène en France et à l’étranger (1925). pg232
- 21 .Ibsen et la France (1928). pg246
- 22. Le paradoxe sur le comédien. pg251- Conclusions. pg257
- Annexes. pg259- Chronologie sommaire de la vie d’André Antoine. pg261
- - Chronologie des textes publiés d’André Antoine. pg263
- - Bibliographie sélective. pg265
ISBN : 9791094689097
Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent de la nuit, nous illuminent avant de replonger dans l’obscurité. Les photos, les vidéos, les captations, sont des traces souvent mélancoliques pour celles et ceux qui ont vécu la rencontre de ces spectacles vivants.
Mais le temps efface peu à peu cet art de l’instant qui demande tant de temps pour exister. Les textes, les mémoires, les témoignages, les carnets publiés permettent de revisiter en profondeur les arts de la scène qui marquent l’époque.
Albert-André Lheureux a dirigé quatre théâtres à Bruxelles de 1960 à 1990. L’Esprit Frappeur, le Botanique, Forest National et le Résidence Palace. Mais ce qui a été le ferment de la passion du metteur en scène demeure ce petit théâtre de l’Esprit frappeur, improvisé puis organisé de façon magique dans la maison familiale schaerbeekoise. Ce récit d’une vie de théâtre témoigne d’une aventure exceptionnelle. Elle aura marqué plusieurs générations de spectateurs.
Par chapitres, écrits comme des confidences aux lecteurs, l’auteur convie des fantômes majestueux (Piéral, Bécaud, Brel, Béjart, …) et salue fraternellement toutes celles et ceux qui ont fait de ce lieu une caverne aux merveilles. Les témoignages, les anecdotes, les coups de cœur, de désespoir parfois sont le lot de ces bateleurs.
L’argent, … le nerf de la guerre. Il manquait souvent alors l’ingéniosité scénographique, la mise en scène de l’accueil de spectateurs qui faisait déjà partie du spectacle, la complicité des actrices et acteurs de premier plan ont rendu possible l’entreprise jusqu’à la fin.
Les scènes de théâtre sont reliées par de communes passions même si les options dramaturgiques, le choix des auteurs, la façon de situer le théâtre dans l’espace public peuvent être la source d’antagonismes profonds.
Sans le public, le théâtre ne peut rien, en tout cas pas longtemps. Il s’agit donc d’être à l’heure, à l’heure de ce que le public cherche confusément, entrevoit et souhaite voir représenté.
Albert-André l’heureux avait ce sens de la rencontre, et le travail de toute son équipe a fait de Bruxelles, avec d’autres théâtres majeurs et l’époque, une ville théâtrale de premier plan.
Des portraits émouvants, drôles, piquants font la matière de ce livre lisible par toutes les générations. Elles pourront découvrir d’où est issu ce qu’on appela le Jeune Théâtre qui a engendré les générations d’artistes d’aujourd’hui.
On aimerait lire encore et encore ces livres de femmes et d’hommes de théâtre qui donnent sans compter pour que la Cité se représente et se réfléchisse chaque soir…
Daniel Simon
- Taille : 21cm x 13,5cm
- Table.
- Avant-dire, préface de Javques De Decker. pg9
- L’enfance, une scène de rêve. pg11
- Le plus grand spectacle du monde. pg13
- La rue Josaphat et mon cirque miniature. pg17
- Vezin et son cinéma de campagne. pg23
- Paris et mon allégeance au théâtre. pg25
- L’Athénée de Schaerbeek. pg27
- Le véritable esprit frappeur. pg33
- Un été avec Giono. pg35
- La mort peut frapper durement. pg37
- La naissance d’un théâtre. pg41
- Un soir de « première » à l’Esprit Frappeur. pg45
- L’Esprit Frappeur est lancé. pg49
- Eugène Ionesco. pg51
- L’Ancienne Belgique. pg59
- Maurice Béjart et le ballet du XXe siècle. pg63
- La scène belge. pg67
- La création de deux grandes écoles. pg71
- Il faut mettre la hausse. pg75
- L’esprit bruxellois. pg79
- La nouvelle publicité. ppg83
- Il n’y a rein d’organisé dans le hasard. pg87
- Une maison envahie par la création théâtrale. pg91
- L’Esprit Frappeur, le Botanique et le Résidence Palace. pg93
- Marthe Dugard, une grande comédienne. pg101
- La philosophie théâtrale de l’Esprit Frappeur. pg105
- Deux auteurs belges magnifiques. pg113
- Maria Casarès et la magie du théâtre. pg117
- La Passion selon Pier Paolo Pasolini. pg121
- De l’art de mettre en scène. pg125
- Bernard De Coster, une grande passion. pg127
- Esprit Frappeur, une appellation sulfureuse. pg131
- L’Esprit Fappeur, un théâtre éclaté. pg133Une tournée à surprises. pg137
- L’entrée en scène de monstres sacrés. pg141
- Forest National, un cadeau empoisonné. pg147
- L’irrésistible Pieral. pg151
- Jacques Villeret, le tendre. pg153
- Acteurs au bord de la crise de nerfs. pg155
- Brel en mille temps, une aventure hors du commun. pg157
- Mireille, la conscience du travail à accomplir. pg161
- Mon père, ma fierté. pg163
- Dorian Paquin, l’extraterrestre. pg167
- Gilbert Bécaud, mon ami. pg171
- Un rendez-vous manqué. pg175
- Jean Cocteau. pg177
- Ninon Talon Karlweis. pg179
- Frappé en plein coeur. pg181
- La triste fin d’une belle aventure. pg185
- Feuille de route. pg189
- Un flot de douceur. pg191
- Ce quils pensent d’Albert-André Lheureux. pg193
- Remerciements. pg195
ISBN : 9788070080922
This representative catalogue of the Prague Quadrennial 2003 showcases the entire world exhibition of scenography and theatre architecture that year, including its accompanying events. It is organised by sections (national exhibits, theatre architecture, schools of stage design), the descriptions of the exhibited works are accompanied by rich colour photographs, and considerable space is devoted to the programme of the unique interactive ‘Heart of the PQ’ project and the international summer academy in stage design OISTAT SCENOFEST. It also includes an index of names.
- Taille : 29,5xm x 20,5cm
- Content.
- Introduction. pg8
- PQ Council. pg14
- Jury. pg15
- PQ Prizes. pg18
- List of Participating Countries and Regiones. pg19
- What actually is stage design - now for the tenth time …, Laroslav Malina. pg20
- National Exhibition - competition section. pg23
- Theatre Architecture - Competitive section. pg209
- Schools of stage design - non-competitive section. pg239
- OISTAT Scenofest. pg274
- The Heart of PQ. pg280
- Accompanying Events. pg325
ISBN : 3860684086
Following the trail of the early Bauhaus« student-guides have been doing this with visitors since 2006 in the context of the specially-conceived Bauhaus Walk. During that walk, you can experience the past and present of the Bauhaus-Universität Weimar at the very places where, in the era of the Staatliche Bauhaus, Walter Gropius, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Lyonel Feininger an many others, lived out their ideas, worked, thaught and learned.
This book indicates what can be experienced on the Bauhaus Walk. It outlines the chequered history of the school, and describes all the different stops on the walk: the buildings designed by Henry an de Velde and listed as part of the UNESCO World Cultural Heritage since 1996; the wall designs by Oskar Schlemmer, Joost Schmidt and Herbert Beyer; Auguste Rodin's sculpture »Eve«; the Director's Office designed by Walter Gropius, the »Templer House« in the Park on the river Ilm, or the »Haus Am Horn«, the first Bauhaus test-house.
With this book therefore, you can also take the historical and anecdotal data home with you and follow the trail of the Bauhaus as often as you wish.
- Taille : 23cm x 19,5cm
- Table of contents.
- In place of an introduction :The history of the walk, Vande velde. pg6
- The history of the Bauhaus-Universität Weimar, Nicole Baron et Michael Eckardt. pg10
- The Van-de-Velde buildings :The main building (Hauptgebäude) and the angular building (Winkelbau), Yvonne Graefe. pg20
- Richard Engelmann - Woman Resting » and « sisters », Theres Sophie Rohde. pg26
- The Brendel Studio, Tina Kühn. pg28
- The « Preller House », Sven MÜller and Michael Eckardt. pg30
- The studio buildings of the Architecture Faculty, Michael Eckardt. pg32O
- Oskar Schlemmer’s wall designs, Christian Tesch. pg36
- The entrance area of the main building, David Fritzsch. pg40
- Herbert Bayer’s Murals., Michael Eckardt. pg42
- The Gropius room, Christian Tesch. pg46
- Adolf Brütt’s « Night », Theres Sophie Rohde. pg48
- The « Templer House » in the park on the river ilm, Tina Kühn. pg52
- The Haus am horn, Theres Sophie Rohde. pg54
- Information on the Bauhaus Walk. pg60
- Appendix.
- Literature on the Bauhaus-Universität Weimar. pg64
- Photo credits. pg65
- List of autors. pg65