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L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !

Ma vie d'homme de théâtre
1962
Arthaud
Ma vie d'homme de théâtre
Auteur : Gordon Craig, Charles Chassé

Gordon Craig, qui révolutionna le théâtre, il y a un demi-siècle, reste, aujourd'hui encore, l'homme de l'avenir. Ce révolutionnaire a débuté par la carrière la plus traditionnelle, mais aussi la plus brillante. Fils et petit-fils d'acteurs, à quatre ans il a joué son premier rôle. À 17 ans, il est la vedette d'une compagnie célèbre, celle d'Henri Irving, à Londres. À 25, il a tenu tous les grands emplois possibles, à son âge, du répertoire shakespearien. Alors il s'arrête, en plein triomphe, insatisfait. Le théâtre, en cette fin de siècle, lui paraît vieilli, inexistant. Etonnante concordance : le cinéma va naître, qui sera un nouveau théâtre. Et c'est l'instant où Greg réinvente le théâtre, le vrai. Pendant trois ans, il médite, dessine, projette. Puis viennent les créations : les mises en scène « grandioses et pures » ou les ombres et la lumière, une sorte d'espace musical, orchestrent en une symphonie les paroles des acteurs. Il fonde sa revue, bientôt son école, il publie ce petit livre L’art du théâtre qui servira de guide aux plus grands comédiens : « mon bréviaire », dira plus tard Jean-Louis Barrault.

Tel est l'oeuvre. L'homme n'est pas moins extraordinaire. C'est lui surtout qui apparaît dans ses souvenirs : non pas le créateur encore, le prophète, le maître, mais l'adolescent et le chercheur. Et rien n'est plus émouvant que le récit de cette enfance, charmante et attentionnée et déjà distraite et infidèle. Pages sincères et fraîches, comme enveloppées après coup d'un regard tendrement ironique, mais où fulgure parfois l'éclair de la passion. Déjà, en ces années d'apprentissage, Craig s'évadait, s'efforçait de rompre avec les conventions, déjà il cherchait, selon le mot de Copeaux, « a crevé le plafond du temple » et Copeaux rajoutait joliment : « comme depuis il ne l'a pas raccommodé, nous apercevons toujours les étoiles. »

  • Taille : 20cm x 14,5cm
  • Tables des matières
  • Avant-propos pg9
  • Ephéméride de mes jours passés pg17
  • Table des illustrations pg287
Eclairage de scène et commande DMX (avec CD-Rom)
2002
Publitronic / Elector
Eclairage de scène et commande DMX (avec CD-Rom)
Auteur : Benoît Bouchez

ISBN : 2866611276

Pour mettre en lumière un spectacle, il a longtemps suffi de connaître les possibilités artistiques des projecteurs fixes, et quelques notions d'électricité. Avec les techniques actuelles, ces bases sont cruellement insuffisantes. Voici donc le premier livre français consacré pour plus de la moitié à la commande à distance, à l'automatisation, au protocole moderne tel DMX512 ou Midi, et à leur utilisation.

Ecrit par un spécialiste français de l'éclairage automatisé, praticien passionné à la fois de théâtre, de musique, de scène et d'électronique, ce livre donne les éléments théoriques indispensables, puis les met aussitôt en pratique, à la portée de lecteur désireux de comprendre et d'agir sur leur installation.

Conformément à la tradition de nos publications, les schémas des circuits figurent dans le livre, dûment expliqués, et les dessins des circuits imprimés peuvent être reproduits aisément.

On trouvera notamment une interface pour commander les appareils en DM512 à partir du port CENTRONICS de n'importe quel ordinateur, un démultiplexeurs DMX à sortie analogique avec une extension à relais, un gradateur professionnel, un contrôleur de moteur à courant continu et une commande de servomoteurs.

Sur le CD-ROM offert, le lecteur trouvera des programmes avec lesquels il pourra lui-même commandé, tester, évaluer les montages qu'il aura réalisés.

Le métier d'éclairagistes ne s'apprend qu'au contact de spécialistes, sur le terrain. L'expérience et le doigté ne se grave pas sur CD-ROM et ne s'imprime pas sur papier, mais ce livre contribuera à développer les talents d'éclairagiste à ceux qui le liront, amateurs ou professionnels. Il sera leur compagnon sur le chemin plein d'imprévus des innombrables possibilités offertes par les techniques numériques de commandes de lumière.

  • Taille : 23,5cm x 16,5cm
  • Sommaire
  • Préface pg5
  • I. Quelques rappels sur la lumière pg7
  • II. Les sources à incandescence pg15
  • III. Les lampes à décharge pg19
  • IV. Les autres sources de lumière pg27
  • V. Les luminaires fixes pg35
  • VI. Les projecteurs automatisés pg63
  • VII. Les effets spéciaux pg83
  • VIII. La commande à distance pg93
  • IX. Les dispositifs de commande à distance pg127
  • X. Une interface DMX pour port parallèle pg147
  • XI. Un démultiplexeurs DMX à sorties analogiques et relais pg161
  • XII. L'extension à relais pour le démultiplexeur pg173
  • XII. IAutomatisait vos luminaires pg181
  • Le mot de la fin pg212
  • Appendice pg213
  • Glossaire pg213
  • Platine pg217
  • Index pg222
  • Bibliographie pg226
  • Contenu du CD-ROM et disponibilité des logiciels pg227
Destin du Théâtre
1930
Ed. Nouvelle Revue Française
Destin du Théâtre
Auteur : Jean-Richard Bloch

L'accomplissement d'une œuvre littéraire est sous la dépendance du tempérament de l’artiste. Cette constatation va de soi. Mais l'œuvre littéraire n'en est pas moins un fait social. Et cela aussi va de soi.

L'écrivain puise sa sève, son inspiration, son élan, dans la société qui le nourrit. Il résume en lui les courants qui circulent à travers son époque. Sa nervosité Madame, qui fait de lui un artiste, le rend capable de percevoir les plus fines variations de ces courants, et il est traduit en utilisant, plus ou moins adroitement, son aptitude à la déformation, au grossissement, à la concentration. Que le corps social tombe malade, la littérature suit bientôt.

Or la société est malade. Ce n'est pas faire une découverte de le constater. Les marxistes expriment la chose dans leur langage en disant que nous sommes entrés dans une période révolutionnaire. On peut répugner aux mots, on ne peut pas contester le fait.

Il ne se produit presque jamais d'œuvres littéraires importantes et durables tendit que la société traverse une crise de fièvre, ou, si l'on préfère un autre terme, pendant qu'elle est en révolution. Il y a une littérature avant, il y en a une après, il n'y en a.point pendant.

Par ce roman a besoin, pour prendre son plein développement, d'une matière stable, à évolution lente. On ne voit pas très bien Balzac écrivant la Comédie humaine durant que la société changeait de face ou d'habits tous les semestres et que les mots d'ordre de l'opinion se se renouvelaient de mois en mois.

Aujourd’hui, le roman fleurit surtout dans les pays les moins touchés par la révolution des mœurs, Angleterre, États-Unis. Dans les pays plus profondément bouleversés, il cède en importance et en pathétique aux simples témoignages, il tend lui-même vers le témoignage.

En France, nous assistons, depuis la guerre, à une décomposition violente du roman. Les vastes peintures sociales sont abandonnées. Ceux qui s'y obstinent éprouvent le plus grand mal à souder, dans une construction unique, le solide avant-guerre et le liquide d’aujourd'hui. Quelques jeunes prosateurs, parmi les plus brillants, réussissent, dans un langage amusant (comme le sont tous les langages de transition), des instantanés lyriques qui ne sont pas, à proprement parler, des romans. Certains essaient d'échapper à cet écoulement torrentiel, marque de notre temps, en se réfugiant dans les régions plus intimes de l'esprit, dans la zone de confidences.

Une autre preuve de la décomposition dont se trouvent frappées aujourd'hui les formes littéraires qui entouraient notre jeunesse, les livres d'André Gide nous la fournissent. Sentence liquéfiait les assises de l'œuvre romanesque, il fait un bond vigoureux hors des sables mouvants et nous donne, à la place du roman qu’il semble désormais (ou provisoirement) impossible, l'historique d'un roman qu'il renonce à écrire : le roman du romancier en train d'écrire son roman. Tout un groupe d'écrivains s'est engagé derrière lui dans cette fois.

Ceci nous amène droit au pire déisme, Pirandello illustre la même situation et pour la même raison. Fluidité de l'objet obligeant à se retourner vers le sujet. Mais alors on découvre que le sujet n'a pas conservé plus de consistance que l’objet.

Le théâtre ne se borne pas à demander, comme le roman, un auteur et un imprimeur, il veut des acteurs et un public.

Pourquoi ce plaint-on si souvent, en France, qu’il n’y ait plus de grands acteurs ?

Les fameux interprètes de la Comédie Bourgeoise, qui a connu son apogée dans la seconde moitié du XIXe siècle, Got, Delaunay, Words, Coquelin, Guitry, Bartet,Réjane, n'ont pas été remplacés. De même les héros de la tragédie et du drame, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt et Max sont morts sans héritier digne d’eux.

Faut-il incriminer le talent ? Serait-il en baisse ? Cela est difficile à croire, serait difficile à expliquer. Les concours du Conservatoire donnent souvent de grands espoirs, aujourd'hui comme autrefois, et les directeurs découvrent toujours, de temps à autre, dans la masse des petits acteurs faméliques, des sujets hors ligne. Toutefois, aucun d'eux n'atteint plus à la vraie renommée, à une expression triomphale de sa personnalité. Il doit y avoir une cause à cela. Il leur manquerait-il pas l'essentiel de ce qu'exige une réussite théâtrale éclatante, l'accord complexe de l’œuvre, de l'interprète et du public ?

Serrant la chose de plus près. Est-il vraisemblable qu'il ne soit n'est qu'un Molière au cours de l'histoire française ? (Je veux dire un cerveau, un génie comique de cette classe.) La question peut être prise comme un jeu d’esprit. Elle peut aussi être envisagée avec une certaine bonne foi. En ce cas, il nous est permis de répondre qu'en soit la chose n'a rien d'absurde ni d’impossible. Mais, des Molière qui auraient pu naître au XVIe siècle, par exemple ou sous Henri IV, nous n'avons jamais eu connaissance. Ils sont restés des génies obscurs dans le talent n'a pas débordé le théâtre de la Foire.

Pour reprendre une expression qui a fait fortune, le climat leur manquait. Demain, il existe certainement çà et là des Got, des Guitry, déjà, des de Max. Mais le climat leur manque.

  • Taille : 17cm x 10,5cm
  • La présente édition a été tirée à 325 exemplaires sur papier de Rolande van Gelder, sous couverture spéciale, dont 300 exemplaires numérotés de un à 300 et 25 hors commerce numéroté de I à XXV
Adolphe Appia 1862-1928 acteur-espace-lumière
1979
Pro Helvetia
Adolphe Appia 1862-1928 acteur-espace-lumière
Auteur : Denis Bablet, Marie-Louise Bablet

Comment vivre l'espace ? Comment le penser, de structurer ? Comment représenter l'espace ? A ces questions chaque époque, chaque civilisation, chaque société ont fourni leurs réponses, les inscrivant dans leur cadre, leur mode de vie, les gravant sur les images qu'elles se tendaient à elle-même et à leur postérité.

Le problème n'est cependant pas abstrait. Il ne se pose pas en dehors ou à côté de nous, mais à travers les rapports que l'homme entretient naturellement avec lui, à travers ce qu'il restaure et qui laisse apparaître ses symboles et ses mythes, ses croyances et ses idéologies, tant au niveau de la structuration qu'à celui de la représentation.

Il y a des époques où ces problèmes se posent avec une particulière acuité, ou des renversements longtemps préparés s'opèrent qui, loin d'être isolés, s'insèrent dans un ensemble de bouleversements touchant autant le politique, le social et l'économique ; ces mutations profondes s'accompagnent d'un changement dans le regard de l'homme, non pas tant dans sa perception que dans la vision qu'il projette sur le monde, projection dont l'oeuvre d'art est à la fois l'instrument et l'expression privilégiée.

La Renaissance est une de ces époques de cristallisation. La fin du XIXe siècle en est une autre ; la transformation y est particulièrement sensible dans les arts plastiques et graphiques, dans l'architecture et au théâtre.

Denis Bablet

Appia et l'espace théâtral - De la révolte à l'utopie.

  • Taille : 18cm x 20cm
  • Sommaire
  • Appia et l'espace théâtral
  • De la révolte à l'utopie
  • Denis Bablet pg6
  • Appia tel qu'il se voit
  • "Introduction à mes notes personnelles", manuscrit inédit, 1905
  • Lettre inédite à Edward Gordon Craig du 31 janvier 1919. Extrait.
  • Lettre de Adolphe Appia à Gordon Craig, inédite, du 24 novembre 1915 pg12
  • Appia tel que le voient
  • Jacques Copeau, Edwar Gordon Craig, Vsevolod Meyerhold, Firmin Gémier, Emile Jacques-Dalcroze, Serge Volkonski pg16
  • Adolphe Appia
  • Fragments d'une oeuvre
  • "La Musique et la mise en scène", 1896-1898. Extrait pg24
  • Illustrations pg48
  • Adolphe Appia1862-1928
  • acteur - espace - lumière
  • exposition - textes et légendes pg75
Avignon Le Royaume du Theatre
2006
Gallimard
Avignon Le Royaume du Theatre
Auteur : Antoine de Baecque

ISBN : 2070338207

En septembre 1947, la Semaine d'Art réuni en Avignon une exposition de peintures, des concerts et trois créations dramatiques dirigées par Jean Vilar. Sans qu'il le sût un festival était né. Au fil des années, l'expérience est reconduite, avec le soutien de la municipalité et des habitants. La Cour d'honneur du palais des Papes est promue temple du théâtre, la troupe de Jean Vilar devient le TNP, Gérard-Philipe triomphe dans le Cid et le Prince de Hombourg. Avignon s'impose comme le rendez-vous culturel de tous les étés. Puis le festival s'ouvre à d'autres metteurs en scène, d'autres arts, d'autres publics. Du cloître des Carmes à la chartreuse de Villeneuve, de nouveaux lieux sont associés à cette effervescence théâtrale. Parallèlement, se crée le festival « off » qui investit la ville entière.

Depuis la mort de Jean Vilar aux 1971, ses successeurs ont poursuivi l'aventure et fait d'Avignon l'une des scènes majeures du spectacle vivant en Europe. Historien du spectacle, passionné de théâtre, Antoine de Baecque nous raconte l'épopée du festival d'Avignon, 1947 à nos jours.

  • Taille : 17,5cm x 12,5cm
  • Sommaire
  • Ouverture
  • les pièces de Shakespeare à l'honneur au festival d'Avignon.
  • Chapitre I
  • « Naissance d'un festival »un homme, Jean Vilar, une ville, Avignon, une passion, le théâtre : la première Semaine d'art a lieu en 1947 avec trois pièces jouées dans la Cour d'honneur du palais des Papes. Le festival est né. pg10
  • Chapitre II
  • « Le temple du théâtre »Porté par son fondateur, le festival d'Avignon devient le symbole du renouveau théâtral, attirant un public sans cesse plus nombreux. Promu en 1951 à la tête du Thétre national populaire, Jean Vilar installe chaque été sa troupe en Avignon et met en scène Gérard-Philipe dans le CID et le Prince de Hombourg. pg26
  • Chapitre III
  • « La conquête de la ville »1963, Vilar quitte le TNP et se consacre au Festival : nouveaux espaces scéniques, arrivée de jeunes metteurs en scène, ouverture à d'autres disciplines ...1968, la révolte de mai se prolonge l'été en Avignon. Villar est vivement contesté ; il décède en 1971. Paul Puaux prend sa relève, le Festival « off" secret. pg44
  • Chapitre IV
  • « l'âge moderne »sous la direction de Bernard Faivre d'Arcier et d'Alain Crombecque, le Festival se transforme au cours des années 1980 et 1990 en l'une des plus importantes entreprises de spectacles d'Europe, attirant une nouvelle génération d'artistes issus du théâtre et de la danse, s'ouvrant vers les cultures étrangères ... pg62
  • Chapitre V
  • « Le nouveau Festival »
  • En 2003, le Festival est annulé suite au conflit des intermittents du spectacle.
  • Dès l'année suivante, un vent de renouveau souffle sur Avignon : les codirecteurs, Vincent Baudrier et Hortense Archambault, invitent à chaque édition un « artiste associé » pour concevoir en commun la programmation du Festival.
  • Au risque de surprendre parfois, avec la passion du théâtre toujours. pg84
La Cambre 1928 - 1978
1979
Ed. AAM 1979
La Cambre 1928 - 1978
Auteur : R-L. Delevoy, P. Toussaint , R-HGuerrand, M. Culot

1907, Henry Van de Velde est porté à la direction de la Kunstgewerbeschule de Weimar où il développe ses principes pédagogiques révolutionnaires jusqu'en 1914.

Cette école est à l'origine du Bauhaus ouverts à Weimar sous la direction de Gropius en 1919 et transféré à Dassault en 1926, l'année où Van de Velde fonde à Bruxelles l'Institut Supérieur des Arts Décoratifs, aujourd'hui l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture et des Arts Visuels (La Cambre).

Cet ouvrage évoque cinquantes années de fonctionnement de l'école.

  • Taille : 21cm x 18,5cm
  • Table des matières
  • Robert-L. Delevoy : identité et différences pg9
  • Roger-Henri Guerrand : van de Velde avant La Cambre. L'expéience de Weimar pg27
  • Maurice Culot : 1928 - 1978, Réticence et projet pg45
  • Serge Creuz : A l'opposé du rudimentaire pg59
  • Philippe Toussaint : La Cambre et la presse pg75
  • Documents pg83
  • Notices pg417
  • Orientation bibliographique pg427
Les révolutions scéniques du XXe siècle
1975
XXe siècle
Les révolutions scéniques du XXe siècle
Auteur : Denis Bablet

ISBN : 2851750518

...

L'étude de la plastique scénique implique donc la double reconnaissance du rôle essentiel des créateurs, de celui non moins fondamental de la civilisation qui conditionne plus ou moins leur activité. Cela explique la perspective choisie pour le présent ouvrage : non pas proposer une mosaïque de noms d'hommes et de pays, ni tenter d'élaborer une histoire exhaustive, - ce livre n'est ni un dictionnaire, ni une encyclopédie et je me suis refusé à l'inventaire comme au bilan - mais s'insérer dans une histoire en train de se faire pour en dégager les lignes de force, expliquer des mouvements en choisissant mes exemples dans les courants les plus vivants du théâtre moderne et mettre l'accent sur les expériences novatrices sans craindre de sacrifier ce qui relève de la vulgarisation ou le fait que témoigner avec brillant de survivance du passé.

Espace organisé, peuplé d'instruments de jeux, de signes et de symboles, habité de forme et d'objets, de couleurs et de matières, la plastique scénique instaure un monde qu'elle dévoile aux spectateurs dont elle organise le regard. Elle s'offre à la vue, se donne à lire, en même temps qu'elle agit directement sur la sensibilité du public. Le spectateur la saisit mais il est aussi saisi par elle et c'est dans cette tension entre le "saisir" et l'"être saisi" que se définissent ses modes d'action et ses fonctions. Elle éclaire l'action dramatique dont elle rend possible le déploiement, elle illustre, la porte ou la joue. C'est dire qu'à propos de chacun des mouvements importants, comme des manifestations qui font date dans son histoire, je me trouverai amené à poser les problèmes fondamentaux de son rôle par rapport à l'oeuvre théâtrale, à la mise en scène, à l'acteur et au public, et ceux de ses moyens d'expression dans leurs actions coordonnées.

Denis Bablet

  • Taille : 35cm x 26cm
  • Table des matières
  • Remerciements (première partie) pg4
  • Poser des problèmes pg5
  • L'achèvement d'une illusion pg9
  • Académisme et contradictions pg11
  • La crise pg14
  • La scène naturaliste pg16
  • La révolte contre le réalisme illusionniste pg21
  • L'appel au peintre premier époque pg23
  • L'acteur, l'espace et la lumière pg40
  • L'architecture thétrale en question pg62
  • Le règne des "ismes" pg75
  • La vision expressionniste pg76
  • Constructivisme et thétre politique pg89
  • Quêtes esthétiques et aventures picturales pg155
  • L'Ecole de Paris et le ballet pg156
  • Vers un théâtre abstrait pg175
  • Recherches et synthèses pg209
  • La France à l'heure du cartel pg211
  • Les Etats-Unis à la recherche de leur identité pg238
  • Trente ans de scénographie pg255
  • Sous le signe de l'éclectisme pg257
  • Du démiurge au travail collectif pg291
  • Le combat avec l'espace pg291
  • Face aux réalités pg308
  • Des moyens d'expression privilégiées pg335
  • L'éclatement pg344Bibliographie pg373
  • Index des noms cités pg381
  • Remerciements (deuxième partie) pg385
  • Liste des abréviations pg386
  • Table des matières pg387
  • Lithographies originales de Joan Miro en page 8 et 164
Il Teatro Farnese di Parma architettura, scene, spettacoli
2003
Public Promo Service Ed.
Il Teatro Farnese di Parma architettura, scene, spettacoli
Auteur : Gianni Capelli

AAA

  • Taille : 30,5cm x 22cm
  • Indice
  • Capiolo I
  • La metamorfosi dello spazio teatrale prima della costruzione del Farnese pg11
  • Capiolo II
  • Parma citta del teatro. L'eredita del passato e gli sviluppi successivi pg25
  • Giovan Battista Aleotti architetto del Teatro Farnese pg35
  • L'esordio dell'Alleotti nel campo specifico dell'architettura. Il Teatro degli Intrepidi pg49
  • La vicende costruttive del Teatro Farnese pg53
  • Gli ultimi ritocchi al Teatro pg65
  • Il forzato rinvio dell'inaugurazione del Teatro pg69
  • Un teatro degno della musica di Claudio Monteverdi pg70
  • Capitolo III
  • Analisi architettonica e structtural del Teatro pg77
  • Le decorazioni pittoriche del teatro pg82
  • Dai teatri rinascimentali al Farnese di Parma pg91
  • L'inaugurazione del Teatro Farnese pg93
  • Il piu grande spettacolo del mondo pg99
  • Capitolo IV
  • Della scenografia cinquecentesca agli splendori barocchi del Teatro Farnese pg101
  • Spettacoli celebrativi al Farnese dopo il trionfo del Teatro Farnese tra Seicento e Settecento pg116
  • La machine pg118
  • I bozzetti per le scene pg126
  • Studi grafici e rilievi del Teatro tra Settecento e Ottocento : disegni, incisioni, dipinti pg132
  • Il progressivo degrado del Teatro pg140
  • Il chiusura del Teatro Farnese pg146
  • Il teatrino di corte "dipendenza" del Farnese pg150
  • Distruzione dei teatri seicenteschi pg159
  • Capitolo V
  • Parma sotto i bombardamenti aerei del 1944 pg167
  • La distruzione del Teatro Farnese pg169
  • La rinascita del Teatro Farnese pg173
  • Il ristauro pg175
  • Le fasi operative pg179
  • Problemi di utilizzazione del Teatro restaurato pg181
  • Un'occasione perduta : la mancata esecuzione del "Requiem" di Giuseppe Verdi pg183
  • Capitolo VI
  • Proposte di utilizzazione della salla pg193
  • La Galleria d'arte ottocentesca nobilitata dal progretto del Bettoli e del Toschi pg195
  • Il nuovo insediamento espositivo pg203
  • Il Farnese, teatro polifunzionale pg215
  • Sfumata la proposta di rappresentare al Farnese un'opera di Rissini pg217
  • Manifestazioni artistiche nel Teatro Farnese restaurato pg217
  • L'acustica del Farnese pg226
  • Capitolo VIIIIl
  • teatro moderno pg231
  • Il teatro all'italiana pg235
  • Il Farnese dallo sfacelo alla rinastica pg239
  • Elenco manifestazioni in Teatro Farnese pg242
  • Bibliografia pg247
La Scala, con una testimonianza di Mario Labroca
1975
Electa Editrice
La Scala, con una testimonianza di Mario Labroca
Auteur : Lorenzo Arruga

AAA

  • Taille : 28cm x 21.5cm
  • Indice generale
  • Presentatione di Paolo Grassi pg7
  • Per una testimonianza sulla Scala (appunti di Mario Labroca) pg9
  • I. Le origini (1776-1778) pg24
  • II. Nascita del mito Scala (1778-1814) pg34
  • III. Rossini, Sanquirico, Vigano e la Restaurazione pg46
  • IV. L'opera romantica pg82
  • V. Verdi (1839-1901) pg100
  • VI. Influssi organizzativi e culturali pg124
  • VII. Le primedonne pg128
  • VIII. La Scala dell'Italia appena unita pg138
  • IX. L'apoteosi effimera del ballo pg168
  • X. La lezione di Toscanini pg176
  • XI. La pace, la guerra pg194
  • XII. Il nostro tempo e le opere nuovo pg214
  • XIII. Il nostro tempo e l'interpretazione pg230
  • XIV Mitti e presenze del nuovo balleto pg268
  • XV. Oggi pg299
  • Nota bibliografica pg301
  • Indice dei nomi pg302
  • Indice delle opere dei balletti pg309
  • Indice delle illustrazioni pg312
  • Referenze fotografiche pg318
L'Envers du Théâtre, Machines et décorations
1873
Librairie Hachette et Cie
L'Envers du Théâtre, Machines et décorations
Auteur : M.J. Moynet

Préface.

Dans ce petit livre on s’est proposé pour but d’initier le lecteur au secret de l’art de la décoration et de la mise en scène sur les grands théâtres. Les spectateurs qui assistent à la représentation d’un opéra, par exemple, ou d’une féerie, voit se succéder devant le des changements à vue, des transformations, des effets magiques qui les étonnent ou les charment sans que la plupart d’entre se préoccupent beaucoup de ce qu’il a fallu d’invention, d’art, de sciences, le travail pour produire sur toutes ses illusions. Il est cependant des esprits curieux qui, ne se contentant pas de jouir des effets, voudrait connaître les causes. Aussi les personnes qui, par profession, sont attachés au thétre sont-elles très souvent pressées de questions : on désirait bien les accompagner ne ft-ce qu’une fois aux heures du jour où se préparent les représentations, ou le soir, pendant les entractes, derrière le rideau, mais ce n’est point la chose facile : la consigne est sévère et avec raison : il ne faut pas croire qu’on s’amuse en travaillant à amuser le public, et les oisifs sont une gêne.

C’est à cette curiosité rarement ou imparfaitement satisfaite que s’adresse notre volume. On n’y verra le thétre, depuis cette ligne de feu appelé la rampe, qui le sépare du public, jusqu’aux murs terminant la scène, depuis le sol du dernier dessous jusqu’au sommet de l’édifice. Il n’y est. Traité de l’art du comédien, de la littérature, ni de la musique dramatique ; les bons ouvrages sur ces matières sont nombreux ; mais l’art combiné du peintre décorateur et du machiniste est un sujet presque neuf, et une longue expérience personnelle autorise l’auteur à croire que ce qu’il a réuni de renseignements, d’explication, de révélation pour ainsi dire, dans les chapitres qui suivent, ne sera point lu sans intérêt et sans quelque profit, même par ceux qui fréquentent peu. Les thétres.

M. J. Moynet

  • Taille : 18.5cm x 12cm
  • Table des matières
  • I. La mise en scène. - Les décors. - Les costumes
  • II. Mise en scène. - Décors. - Costumes. - Parie historique. pg10
  • III. Le théâtre moderne. - La scène. pg38
  • IV. Le dessous. pg50
  • V. Le cintre. pg68
  • VI. Changements à vue. - Praticables. pg85
  • VII. Les trucs. pg91
  • VIII. Eclairage au suif, à la bougie, à l'huile et au gaz. pg103
  • IX. Magasins de décors et peintures théâtrales. pg112
  • X. Menuiserie et serrurerie. pg123
  • XI. Administration et services divers. pg135
  • XII. Les répétitions. pg140
  • XIII. Les artificiers. - Les armes. - Les pétards. - La foudre. - Pièces militaires. - Les tringles. - L'artillerie. - Démolitions et incendies. pg149
  • XIV. Accessoires. pg157
  • XV. Le tonnerre. - La pluie. - La grêle. - Le vent. - Les éclairs. pg162
  • XVI. Des améliorations théâtrales. pg170
  • XVII. Représentation d'une pièce à grand spectacle. - Vue du théâtre. pg175
  • XVIII. Curiosités théâtrales. pg233
  • XIX. Quelques mots sur le théâtre de société. pg257
  • XX. Quelques chiffres. pg274
Théâtre en Europe-N°11-juillet 1986
1986
Ed. Beba
Théâtre en Europe-N°11-juillet 1986
Auteur : D.Bablet, P. Thévenin, V. Havel, D. Letessier

Les peintres et le théâtre

Une anthologie mise au point par Denis Bablet.

Ce recueil de textes est très loin d’être exhaustif. Ils s’accordent autant que possible compte tenu de l’exposition Peinture/Théâtre présentée par le festival d’Avignon et renvoie à celle consacrée aux avant-gardes soviétiques des années 10 à 30 par la maison Jean Vilar.

Des peintres parlent de ce qu’ils font et de ce qu’ils croient. L’expérience et la théorie se côtoient. La part de la pratique et celle des principes diffèrent selon les personnalités, les mouvements, les aventures. Le thétre et la peinture se renvoient la balle. Les démarches de l’artiste sont-elles parallèles ou indépendantes, selon qu’il travail en tant que « peintres » ou pour la scène ? Au théâtre, reste-t-il peintre ? Assez de ce champ d’application, un élargissement, de dimensions, un autre univers pour une création plus vaste au propre comme au figuré ? Les expositions répondent à ces questions par l’esquisse, la toile, la maquette ou le document. La parole et les textes des peintres proposent une réponse en un autre langage.

Cette anthologie s’arrête aux franges de l’actualité, suivant en cela l’exposition du Festival d’Avignon : Dubuffet la clos, Gilles Aillaud, Kantor ou Arroyo n’y figurent pas : ils trouveront leur place l’an prochain, comme d’autres peintres contemporains, dans le second volet de cette exposition à Avignon.

Enfin, il est des peintres qui ne parlent pas et dont l’ouvre n’en est pas moins capitale. Exemple : Pablo Picasso. Dans son cas, l’écrivain évoque à sa place : Cocteau et Guillaume Apollinaire, si intimement mêlés à l’aventure de Parade, participant à des degrés divers d’une expérience vécue.

Peut-être s’étonnera-t-on devoir figurer en tête de cette série de témoignages des extraits de textes d’Alfred Jarry, cet étrange personnage, poète, dramaturge, dessinateur … et « farceur » ? En France, l’avant-garde picturale du temps a commencé d’envahir la scène du Théâtre d’Art puis celle de l’Oeuvre au début des années 1890. C’est dans ces mêmes années 90 qu’intervint Jarry, qui lance son Ubu, prend position sur la mise en scène et le décor en des déclarations fracassantes. Ce fracas-là est un coup de pied au derrière de tous les académismes et du naturalisme. C’est aussi une cinglante plaisanterie, dans un grand éclat de rire qui nous rappelle que le théâtre et jeu. Nombres de peintres ne l’oublieront pas.

Denis Bablet

  • Taille : 27,5cm x 23cm
  • Les peintres et le théâtre, anthologie réunie par Denis Bablet.
  • Le peintre sur scène par Denis Bablet. pg6
  • Oeuvre de Bakst, Larionov, Picasso, Calder, Braque, Léger, Delaunay, Malevitch, Popova, Eisenstein, Tatline, El Lissitsky, Kandinsky, Schlemmer, Moholy-Nagy, Berard, Masson, Dubuffet, Miro.
  • Textes de Jarry, Cocteau, Apolinaire, Léger, Cendrars, Malevitch, Popova, Tatline, El Lissitsky, Kandisky, Schlemmer, Moholy-Nagy, Berard, Dubuffet.Dessin, peinture, théâtre par Paul Thévenin. pg101
  • Vaclav HavelTant pis, pièce en un acte par Vaclav Havel. pg106
  • Un remous à la surface d’une rivière par Vaclav Havel. pg109
  • Gérard Desarthe
  • Ce fou des plus beaux textes par Dorothée Letessier. pg111
  • Il est vrai que je rêve… par Gérard Desarthe. pg114
  • Gérard Desarthe par Jean-Claude Grumberg. pg118
  • Adame-Miroir par Jean Genet. pg119
  • Un metteur en scène aux critiques par Giorgio Strehler. pg123
  • Coup de coeur
  • La Cenerentola par Bernard Dort. pg127
  • Otello par Michael Billington. pg128
  • Ignorabimus par Bernard Dort. pg130
  • La Finta Giardiniera par Rolf Michaelis. pg132
  • Zbordnia i Kara par Renzo Tian. pg135
  • L’Europe sur scène de nos correspondants pg136
De l'Art du Théâtre
1942
Ed. O. Lieutie
De l'Art du Théâtre
Auteur : Edward Gordon Craig

Préface.

Ce livre, écrit entre 1904 et 1910, a paru 1911. Certains passages en furent d’abord publiés dans The Mask (1908 - 1909), est l’un des dialogues qu’il contient a paru en 1905, sous forme de brochure.

Ce n’est point un manuel… Comme s’attendent pas à y trouver la recette pratique pour écrire une bonne pièce, ou pour construire le thétre idéal, ou pour juger fort censément des mérites d’un comédien.

Qu’on le prenne donc pour ce qu’il est, et non pour autre chose.

J’espère que tous mes amis et tous les amis du théâtre accueilleront avec faveur cette édition nouvelle de mon livre. Je ne puis mieux concrétiser à leur intention quelques-unes des idées qui me sont venues à l’esprit au temps où je travaillais à la conception d’un théâtre neuf.

C’est donc un rêve mi noir sur blanc ? C’est bien cela, en effet. Que personne donc ne s’avisa lui demander de représenter autre chose.

Mais amis comprendront, en lisant ceci que je ne souhaite pas plus voir les acteurs vivants remplacés par les bouts de bois que la Duse, la grande Duse ne souhaitait vraiment voir mourir tous les acteurs qui jouaient dans le monde.

N’est-il pas vrai que lorsque nous nous écrions : « Allez au diable ! » Nous ne désirons pas vraiment que le souhait se réalise ? Nous voulons dire, simplement : « Allez donc tâter un peu du feu de l’enfer, et revenez guéris ! »

C’est cela que je voulais voir faire aux comédiens - à certains comédiens, tout au moins, au mauvais - quand je disais qu’il devrait s’en aller, qu’il serait avantageusement remplacé par des super-marionnettes.

- Et qu’est-ce donc que, se sont écriés quelques-uns, avec effroi, qu’est-ce donc, je vous prie, que ce monstre que vous appelez la « super-marionnette » ?

La super-marionnette, C’est le comédien avec le feu en plus, et l’égoïsme en moins ; avec le feu sacré, le feu des dieux et celui des diables, mais sans la fumée et sans la vapeur qu’y mettent les mortels.

Les esprits « positifs » ont cru que je voulais parler de morceaux de bois d’un pied de haut. Cette idée les a irrités ; ils ont parlé de cela pendant des années comme de l’idée d’un fou, d’un pervers, un insulteur des comédiens et du théâtre.

La même chose s’est produite le jour où quelqu’un me prêta cet autre propos : que je songeais à supprimer la rampe. Et de s’indigner, et de bondir et de flamber, au point d’éclairer eux-mêmes et l’ombre et les acteurs de l’ombre.

Ce que j’avais dit, c’est que je voulais supprimer « certaine » rampe, et l’on ne accusé de vouloir les supprimer toutes, pour en rétablir ensuite quelques-unes. Il est probable que, si je travaillais dans mon propre thétre, je rétablirai toutes les rampes, et je supprimerai plutôt d’autres éclairages.

Je sais ce qu’on dira : qu’il est honteux, qu’il est odieux, qu’il est inconcevable que quelqu’un se permette de faire comme il lui plaît dans sa propre maison. Et pourtant, c’est ainsi. Nous ne pourrons jamais rien créer qui vaille d’être vus ou d’être entendu si nous sommes timides au point de demander d’abord à d’autres qu’elle est, à leur avis, la meilleure chose à faire, et celle qui comporte le moins de risques.

Peut-être savez-vous que j’ai faits, en montant, quelques dessins, quelques gravures, sur bois et à l’eau-forte, et que j’écris quelques livres ? J’ai connu les encouragements de gens qui étaient des dessinateurs, des graveurs et les hommes de lettres, et qui m’ont dit de s’en faire qu’à ma tête quand je me livrerai assez divers travaux. Et je ne vois pas pour quelle raison valable et plausible des gens s’occupant de théâtre - et justement parce qu’un théâtre est un lieu si exceptionnel - pourquoi des gens s’occupant de thétre se permettrait d’édicter une loi au terme de laquelle un esprit inventif alerte, une inébranlable indépendance et un style bien à soi serait des choses indésirables et nuisibles.

Je ne regrette qu’une chose : c’est de n’être pas plus infantiles font corps, plus indépendant, et de n’avoir pas à mettre dans mon ouvre un genre plus personnel encore.

Un autre point sur lequel j’espère que nous pourrons, mes amis et moi, nous entendre, c’est celui-ci :

ayant condamné toutes mes idées sur un thétre neuf - faut-il dire sur un thétre différent de celui qui existe ? - Quelques personnes appartenant au théâtre, et leurs satellites qui n’en sont pas, prétendent interdire de les mettre en pratique.

- Nous tenons, disent ces personnes, vos idées pour dépourvu d’intérêt ; mais si nous leur trouvions un jour quelque valeur, nous avons l’intention de les réaliser nous-mêmes. Laissez-nous faire, et bas les pattes !

Ces héroïques « pionniers » ayant obtenu, avec ses idées, un succès pas du tout négligeable, d’autres se sont faits pionniers à leur tour. Les choses marchèrent à merveille, du moins pendant un certain temps. Puis ils m’ont carrément demandé pourquoi j’ai refusé tout net de leur donner d’autres idées dont ils pourraient faire leur profit. Ce fut un beau tollé lorsque je refusai, ayant en moi l’envie, humaines, naturelle, d’en tirer aussi quelques profits pour mon propre compte.

Jamais pareil flot de protestation et de contre protestation ne se déchaîna comme celui que « l’intelligence syndiquée » de ses personnages indignés à des bondés depuis trente années.

« Il ne faut pas que je fasse ainsi ! » Puis : « Il faut que je fasse ainsi ! » « Assez rêver ! Il faut agir ! » Puis : « Il ne s’agit pas de rêver qu’on peut agir seul ! » « Il faut que je m’en vienne ici ! » « Non, pas ici : là-bas ! » Et tout cela, ici, en Angleterre. Et tout cela pourquoi ? Pour quelle raison tout cela, selon vous, selon vous, qui êtes mes amis ? Je crois que c’était simplement pour capter les bonnes grâces du public que qui m’ignore.

Or, Dit que c’était pour tout autre chose : que c’était pour m’empêcher à tout prix d’avoir un jour un théâtre à moi !

Mais cela, je ne puis le croire… Pourtant si c’était vrai, si c’était là le motif sordide que cachait toute cette propagande et tous ces faux rapports, et bien, je dis que c’est tout bonnement man un peu ridicule. Car quel mal pourrais-je bien faire au Grand Art Dramatique Anglais si j’avais à moi seul un pauvre petit théâtre, tandis que mes rivaux régneraient sur les 502 autres théâtres existants ? Je vous le demande. Au regard du très grand dommage qu’ils ont causé à l’art avec les 503 thétres de nous des îles, quel mal pourrais-je bien lui faire avec un seul ?

Et supposons même que je fasse toutes ces choses dont je parle ici dans ce livre. D’abord, je ne pourrais pas. Mais imaginez que j’en puisse réaliser une bonne partie; à quoi cela mènerait-il ? Au pis aller, cela ne pourrait que susciter un peu plus d’émulation entre les thétres. Cela serait-il un bien, ou un mal ? Qu’en pensez-vous ?

Ce livre, en somme, c’est le rêve. Et en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Hollande, ce rêve a été matérialisé dans une certaine mesure, réalisé par ceux qui m’ont suivi. Mais, de cela, je parlerai lorsque j’écrirai mes mémoires.

Edouard Gordon Craig

  • Taille : 25cm x 15,5cm
  • Table des chapitres.
  • Préface. pg9
  • Les Artistes du Théâtre de l’avenir. pg13
  • L’Acteur et lasur-marionnette. pg50
  • De certaines tendances fâcheuses du théâtre moderne. pg75
  • Des pièces, des littérateurs et des peintres au Théâtre. pg86
  • Le Théâtre en Allemagne, en Russie, et en Angleterre. pg95
  • De l’Art du Théâtre (premier dialogue). pg103
  • De l’Art du Théâtre (second dialogue). pg126
  • Des spectres dans les tragédies de Shakespeare. pg171
  • Du Théâtre de Shakespeare. pg183
  • Le Réalisme et l’Acteur. pg187
  • Théâtre de plein air. pg190
  • A propos du Symbolisme. pg193
  • De l’Exquis et du Précieux. pg195
Memorator
2016
Bicho do Mato
Memorator
Auteur : Paulo Catrica

ISBN : 9789898349347

A nomenclatura visual de um lugar/edifício sob a forma de um atlas fotográfico? Este ensaio visual propõe uma teoria da memória e do espaço do TNDM II, convocando diferentes géneros e tipos de fotografias de diversos tempos históricos. O incêndio que destruiu o interior do Teatro D. Maria II na madrugada de 2 de Dezembro de 1964 instiga e coabita o argumento. Partindo do presente, de fotografias do teatro realizadas em 2014 e resgatando fotografias históricas a diversos arquivos, em particular ao espólio do fotógrafo José Marques, recentemente adquirido pelo TNDM II, este atlas fotográfico projeta um edifício do ‘novo’ e do ‘outro’ teatro. No entanto recusa a perspetiva do inventário ou a construção de um resumo, não segue uma cronologia nem mesmo regras de serialização documental. Não pretende nem ilustrar, nem reconstruir o edifício do teatro, o que existe hoje ou o que desapareceu consumido pelo fogo em Dezembro de 1964. As fotografias enquanto citações, revelam e confrontam micro-histórias, de assuntos, factos ou acontecimentos criando uma narrativa historiográfica que intersecta e confronta a matriz documental e a hipótese alegórica das fotografias. A (re)construção deste edifício mnemónico cabe ao leitor/espectador, depende do seu grau de interesse e de (re)conhecimento do assunto.

  • Taille : 24cm x 16cm
  • La nomenclature visuelle d'un lieu/bâtiment sous forme d'atlas photographique ? Cet essai visuel propose une théorie de la mémoire et de l'espace du TNDM II, réunissant différents genres et types de photographies de différentes époques historiques. L'incendie qui a détruit l'intérieur du Théâtre D. Maria II aux premières heures du 2 décembre 1964 suscite et cohabite la polémique.Lisbonne
Ombres et silhouettes
1979
Chêne Hachette
Ombres et silhouettes
Auteur : H. Paërl, J. Botermans, P. Van Delft, J. A. Renault

ISBN : 2851082434

Tout sur l’histoire du théâtre d’ombre : ses origines en Asie avec les ombres chinoises, le Wayang indonésien, les représentations en Inde, en Thaïlande, au Cambodge ou en Malaisie.

Son passage vers l’Europe par l’Egypte, la Turquie et la Grèce.

Tous les styles en vogue dans différents pays, les Ombres Chinoise de Séraphin aux lanternes magiques en passant par les fabuleux spectacles du Chat Noir à Montmartre.

Tout pour jouer vous-même avec les ombres :

Comment fabriquer votre théâtre avec silhouettes, ses décors et ses accessoires.

ous les « trucs » pour devenir un authentique »montreur d’ombres » et créer de vrais spectacles.

Comment décorer vos murs, ou tirer le portrait de vos amis.

Comment faire naître de vos mains une pléiade d’animaux et de personnages.

  • Taille : 27,5cm x 23,5cm
  • Sommaire.
  • Préface. pg7
  • Ombres et silhouettes. pg8
  • Le théâtre d’ombres en Asie.
  • La Chine. pg10
  • L’Inde. pg16
  • L’Indonésie. pg19
  • La Thaïlande. pg29
  • Le Cambodge. pg30
  • La Malaisie. pg31
  • Le pont vers l’Europe.La Perse. pg33
  • L’Arabie. pg33
  • L’Egypte. pg34
  • La Turquie. pg35
  • La Grèce. pg40
  • Le jeu d’ombres en Europe.Les premiers théâtres d’ombres en Europe. pg43
  • Le Théâtre Séraphin. pg44
  • A propos du jeu d’ombres à domicile et des forains. pg47
  • Les ombres chinoises pour enfants. pg51
  • Les autres jeux d’ombres et de silhouettes. pg57
  • Le romantisme allemand et le jeu d’ombres. pg64
  • Les Pupazzi noirs. pg64
  • Les Schwabinger Schattenspiele. pg70
  • L’influence du jeu d’ombres sur l’expression artistique en Alleagne. pg71
  • Les artistes néerlandais « glisseurs d’ombres ». pg72
  • Le Théâtre noir et blanc de Paul Vieillard. pg78
  • Les films d’ombres de Lotte Reiniger. pg79
  • Comment fabriquer des silhouettes et jouer aves les ombres.
  • Un jeu d’ombres complet. pg82
  • Comment réaliser un théâtre miniature en carton. pg91
  • Comment fabriquer un théâtre miniature en bois. pg93
  • Comment jouer au jeu d’ombres. pg101
  • D’autres suggestions pour le jeu d’ombres. pg136
  • Les silhouettes et la décoration. pg141
  • Les silhouettes à la main. pg144
  • Bibliographie et musées. pg160
Bullet Proof... The Lighting & Stage Design of Andi Watson
2011
Chronicle Books
Bullet Proof... The Lighting & Stage Design of Andi Watson
Auteur : T. Yorke, C. Scoates, J. F. Ragheb, D. Hebdige.

ISBN : 0811874583

Lighting and stage designer Andi Watson has masterminded the visual experience of Radiohead’s concerts for over a decade, uniting the band’s music with intellations that reference everything from Cocteau to Dan Flavin to Matrix. This groundbreaking first monograph brings together Watson’s extraordinary designs, highlighting his work with Radiohead as well as with Oasis, Arctic Monkeys, Counting Crows, Dido, and others.

A foreword by Thom Yorke, lead vocalist and principal songwriter for Radiohead, describes the alchemical collaboration between Radiohead and Watson. Christopher Scoates explore Watson’s work through personal interviews, design diagrams, and hundreds of stage photographs from concert tours; essays by Dick Hebdige and J. Fiona Ragheb elucidate the history of stage lighting, the evolution of the Light Art movement, and how Watson both continues and transcends those trajectories.

Followers of Radiohead will gain a totally new understanding of the band’s unique live concert experience, and those interested in contemporary art and culture will discover the next phase of light art through this exquiusitely designed and detailed book.

  • Taille : 23,5cm x 18,5cm
  • Table of contents
  • Foreword by Thom Yorke. pg6
  • Acknowledgments by Christopher Scoates. pg8
  • The future of the light by Christopher Scoates. pg11
  • Radiohead-Kid A-2000. pg47
  • Vanessa Paradis-Bliss-2001. pg59
  • Radiohead-Amnesiac-2001. pg69
  • Radiohead-Hail to the Thief-2003. pg81
  • Dido-Life for rent-2004. pg95
  • RGB : Embodied Light & color by J. Fiona Ragheb. pg105
  • Oasis-Don’t believe the thruth.2005. pg133
  • Zazie-Rodeo-2005. pg147
  • Radiohead-World tour-2006. pg157
  • Zazie-Totem-2007. pg171
  • Lucifer setting : Art, engineering & the dawn of the stadium rock light show by Dick Hebdige. pg183
  • Radiohead-In Rainbows-2008. pg211
  • Raphael-Je sais que la terre est plate-2008. pg227
  • Artic Monkeys-Leeds & reading festivals-2009. pg239
  • Counting Crows-World tour-2009. pg251
  • Lenny Kravitz-Let Love rule 20(09)-2009. pg263
  • Graphic Library. pg275
  • Additional image credits. pg286
  • Biographies. pg287
Mask of Korea
1982
National Folklore Museum
Mask of Korea
Auteur : National Folklore Museum

Mask of Korea.

Mask are also called « kwangdae, t’al, or t’al pagaji » in Korean; and they are designed to conceal faces. However, mask not only serve the mere purpose of cancealing faces but, orinally, they were meant to disclose specific expressions of human beings of animals or indicate some supernatural beinges (gods, for instance). In short, they have both the ability of molding something into shape and decorativenes. Therfore, veils men wear to keep their faces from exposure and gas masks made to protct human lives cannot be considered as the mask witch we are going to examine in this paper.

  • Taille : 26cm x 19cm
  • Pongsan T’alch’um. pg164
  • Kangnyong T’alch’um. pg166
  • Unnyul T’alch’um. pg169
  • Yangju Pyolsandae Nori. pg171
  • Songp’a Sandae Nori. pg174
  • Namsadang Totboegi. pg176
  • Ch’oyong Mask. pg179
  • Pangsangssi Mask. pg181
  • Hahoe Pyolsinkut T’alnori. pg183
  • T’ongyong Ogwangdae. pg186
  • Kosong Ogwangdae. pg189
  • Kasan Ogwangdae. pg191
  • Karak Mask. pg193
  • Chinju Masks. pg194
  • Tongnae Yayu. pg195
  • Suyong Yayu. pg197
a. b. c. de la sonorisation
2003
Agence cul. d'Alsace
a. b. c. de la sonorisation
Auteur : Benoit Burger

ISBN : 2907441310

Pédagogie et information.

Lors de l’édition en 2000 du guide a.b.c. de la sécurité nous pressentions l’intérêt que lui porteraient les opérateurs culturels d’Alsace. L’ampleur de la demande est allée bien au-delà de nos prévisions avec des sollicitations telles que nous n’avons pu satisfaire les nombreuses structures en Alsace intéressée par cette publication. A cela s’est ajouté une très forte participation des élus et des responsables d’associations aux séminaires organisés sur ce même thème par l’Agence culturelle.

Ces résultats illustrent le besoin de lisibilité et de compréhension des réglementations auxquelles il convient désormais de répondre ; cela devrait également inciter les pouvoirs publics en charge de ces questions d’agir plus fortement en matière d’information préalable en se dotant d’outils appropriés à la complexité des thèmes et à l’extrême diversité des publics responsabilisés sur ce plan. Il est de l’intérêt de tous de présenter, d’expliquer et d’appliquer des règles et des mesures de sécurité garantissant l’accueil des artistes et du public dans de bonnes conditions lors de nos manifestations culturelles. Il ne suffit pas de décréter, il convient de faire partager des engeux.

Le succès de cet ouvrage nous a incité à compléter notre collection, riche actuellement de quatre guides, par la parution de cet a.b.c. de la sonorisation. Sa fonction est autant pédagogique qu’informative car dans ce domaine nous dépassons rapidement le cadre technique pour entrer dans la notion de santé publique.

Puisse ce document réalisé par des professionnels atteindre ses objectifs et donner plus de confort de travail à nos opérateurs culturels.

Francis Gelin, Directeur Général

Robert Grossmann, Président

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Sommaire.
  • I - PhysiqueLe son. pg9
  • Définition du son.
  • Caractéristiques d'un son.
  • Vitesse du son.
  • Longueur d'onde.
  • Phase.Réflexion.
  • Ondes stationnaires.
  • Réverbération.
  • Perception du son. pg14
  • Décibles et mesures acoustiques. pg17
  • Mesures acoustiques.
  • Relation de puissance.
  • Relation de tension, courant.
  • Relation où intervient la distance.
  • Addition de niveaux en dB
  • .II - Technologie
  • La chaine électroacoustique. pg21
  • Les microphones.
  • La table de mixage.
  • L'amplificateur.
  • Les hauts-parleurs et enceintes.
  • En pratique.
  • Câblage et connecteurs. pg35
  • Les différents niveaux électriques.
  • Polarité et phase.
  • Alimentation électrique.
  • Boucle de masse et problèmes de ronflette.
  • Dossiers techniques. pg40
  • Filtres et correcteurs.
  • Effet Haas.
  • Prise son stéréo par couple de micros.Micros sans fil ou HF.
  • Compression.
  • La numérisation du son.
  • III - PratiqueLe rôle du sonorisateur. pg51
  • La fiche technique. pg52
  • La valise du sonorisateur. pg54
  • Exemples pratiques. pg20
  • Discours en intérieur : la voix.
  • Cérémonie extérieure : influence de l'air.
  • Sonorisation des rues : la ligne des 100 volts.
  • Lieux de loisirs extérieurs
  • Au théatre.
  • Sonorisation d'une chorale.
  • Concert de musique classique.
  • Sonorisation d'un quartet de jazz.
  • Concert de Rock/Pop.
  • IV - Legislation et sécurité
  • La sécurité dans l'installation des équipements sonores. pg69
  • Législation en matière de niveaux sonores. pg70
  • Droits d'auteurs. pg77
  • Lexique et bibliographie. pg78
Peintre Décorateur de théâtre
1910
Encyclopédie-Roret
Peintre Décorateur de théâtre
Auteur : Gustave Coquiot

Un philosophe, Renan, je crois, a dit : « on parle d’autant mieux des choses qu’on les ignore davantage. » Mon ami Gustave Coquio connaît trop bien son sujet pour que son petit traité soit parfait. vrai dire ils ne s’adressent guère aux décorateurs ou à ceux qui le voudraient devenir, on n’apprend pas à nager en lisant un traité sur la natation, fût-il excellent.

Mais ce petit manuel sera lu avec grand intérêt et grand profit par tous ceux qui de près ou de loin tous au thétre, et en ce XXe siècle qui n’y touche un peu ou n’y voudrait toucher. Auteur, directeur, acteurs et … spectateurs y trouveront des renseignements ingénieusement rassemblés sur des choses qui ne connaissent mal pour les voir les uns de trop près, les autres de trop loin.

La partie historique qui nous fait espérer le fort volume manquant sur le sujet est très curieusement documentée et fait regretter les trop étroites limites qu’importe le format de cet amusant ouvrage.

la vérité et le vrai manuel du décorateur c’est l’indicateur des chemin de fer, j’entends par là qu’un décorateur de thétre doit voyager beaucoup et après avoir voyagé beaucoup voyager encore ; émousser la pointe de son piolet sur les diurnes névés des glaciers, polir les clous de ses souliers ferrés sur les roches après avoir eu chaud dans la plaine, senti l’humide frisson des hautes futées toujours sombres laisser mouiller son visage par les embruns de la mer salée. La nature et ses changeantes féeries sans cesse renouvelées voilà la vraie école, le seul modèle que sans espérer l’atteindre jamais on doit sans cesse tendre à approcher. La continuité de l’effort en partie 20 en fait la noblesse et la beauté.

Nous voici au est loin pour être parti de simples tréteaux. Mais comme dit Edmond Rostand, il faut faire tout ce qu’on peut sur la plus humble échelle. C’est ce qu’a fait mon ami Gustave Coquio au petit manuel duquel je souhaite bonne chance et ceux de tout cour.

Lucien Jusseaume

  • Taille : 15,5cm x 10cm
  • Table des matières.
  • Préface par M. L. Jusseaume.
  • Avant-propos. pg1
  • Première partie.Histoire du décor.
  • I. Le théâtre grec. pg5
  • II. Le théâtre romain. pg23
  • IIII. Le théâtre en France au Moyen Âge. pg32
  • IV. Le théâtre autant de Shakespeare. pg36
  • V. Le théâtre classique en France. pg41
  • VI. La Comédie italienne. pg46
  • VII. Le théâtre sous Louis XV. pg50
  • VIII.Histoire générale des théâtres de Paris, à partir de 1784. pg52
  • IX. Décoration de fête. pg56
  • X. Peintre décorateur d’hier. pg66
  • XI. Quelques peintres décorateurs ac tuels. pg71
  • XII. Les grands décors à l’opéra. pg73
  • XIII. Les décors au Théâtre de l’Opéra-Comique. pg77
  • XIV. Les mises en scène de Monsieur André Antoine. pg79
  • XV. Les mises en scène de M. Guitry. pg83
  • XVI. Diverses mises en scène. pg85
  • XVII. Au théâtre du Grand-Guignol.pg87
  • XVIII. L’atelier du peintre décorateur.pg88
  • XIX. Le théâtre en plein air. pg91
  • Deuxième partie.
  • La fabrication des décors.
  • XX. Les documents du peintre décorateur. pg101
  • XXI. La lecture du manuscrit. pg107
  • XXII. Les croquis. pg109
  • XXIII. Les maquettes. pg112
  • XXIV. Les outils. pg116
  • XXV. Les couleurs . pg121
  • XXVI. Les traceurs. pg127
  • XXVII. Les peintres. pg130
  • XXVIII. Confection des châssis. Chantournage. pg134
  • XXIX. Plafond de paysages. pg137
  • XXX. Dernières retouches à l’atelier. pg140
  • XXXI. Les divers é léments des décors. pg142
  • XXXII. Dénomination des divers décors. pg144
  • XXXIII. Décor en papier ou en faire. pg148
  • Troisième partie.
  • Equipement des décors.
  • XXXIV. Départ des décors pour le théâtre. pg151
  • XXXV. La scène. pg153
  • XXXVI. Les dessous. pg158
  • XXXVII. Les cintres. pg161
  • XXXVIII. La mano uvre de décor. pg163
  • XXXIX. Plantation des décors. pg166
  • XL. L’éclairage des décors. pg168
  • XLI. Les décors au Kunstler Theater de Munich. pg173
  • XLII. Les décors au Théâtre du Prince Régent. pg185
  • XLIII. Décors ininflammables. pg189
  • XLIV. Les accessoires. pg191
  • XLV. Répétition dans les décors. pg193
  • XLVI. Qualité du beau décor. pg195
  • XLVII. Un petit théâtre d’amateur. pg198
  • Quatrième partie.
  • XLVIII. Les salaires. pg201
  • XLIX. Prix des décpors. pg203
  • L. Petit théâtre. pg206
  • Table des illustrations. pg209
A mirror of world theatre II - The PQ 1995 and 1999
2001
Theatre Institute
A mirror of world theatre II - The PQ 1995 and 1999
Auteur : M. Bilkova, V. Ptackova, J. Hilmera, V. Adamczyk

ISBN : 807008118X

The Prague Quadriennale - PQ - is an international exhibition of stage design, costume design, and theatre architecture. the PQ may remind its visitors of the fragile life and fame of theatre stagings,at least by means of scenographic recording. Because scenography is only a part of the art of drama, a part of a life performance and because it is not a separete artefact, is offers a vision of an apprehended performance in the exhibition halls even more strongly than on a stage, it paradoxically provokes a visitor to co-operate much closer, it forces one to imagine the context.

The PQ is the first international exhibition wanting to draw the visitor into the spirit of a theatre performance, and the first one stressing the specifics of this visual-dramatic discipline. In this sense its structure was and continues to built leaning on four sections /

I- The National Section presents visual-dramatic work of the last five years in the national exposition (over forty countries from all continents participate in it regulary). The concept is up to the national commissioners.

2- The Thematic Section is the core of the exhibition : it draw to the visitors specifics of the visual-dramatic work comparing interpretations of one chosen theme.

3- Theatre Architecture.

4- Schools of Scenography : they have been exhibiting since 1975 as a non-competitive section.

  • Taille : 27,5cm x 21,5cm
  • Contents.Introductio. pg3Brief resume of previous years - PQ’91, par Vera Ptackova. pg4PQ’95(National Section - Vera Ptackova, Scools - Marie Bilkova, Architecture - Vladimir Adamczyk). pg6Exhibit Illustrations PQ’95. pg17PQ’99(National ans Thematic Section, Schools - Marie Bilkova, Architecture - Jri Hilmera). pg57Exhibit Illustrations PQ’99. pg73List of production credits relating to the exhibit illustrations. pg115
Ecrits sur le Théâtre-Tome 3-1930-1936
1980
La Cité-L'Age d'Homme
Ecrits sur le Théâtre-Tome 3-1930-1936
Auteur : Vsevolod Meyerhold, Béatrice Picon-Vallin

1930 - 1936.

Les écrits sur le théâtre de Meyerhold que regroupe ce volume ont été rédigé durant cette période qui n’est plus celle ou révolutionnaire et utopiste pouvait croire tout possible.

Alors qu’ailleurs le nazisme prend le pouvoir et s’apprête à la guerre, le stalinisme toujours plus puissant fait peser une lourde chape de plomb sur la vie sociale, littéraire et artistique de l’URSS. Cela s’appelle : procès et condamnation de ce que l’on dénonce comme traître à la cause du socialisme. Dans les arts, la littérature, le théâtre, le Jdanovisme s’impose avec la cascade de décret qui institue le règne du « réalisme socialiste ».

V. Meyerhold lutte dans une situation de plus en plus difficile. Il doit faire front contre ses détracteurs, ce qui le dénigre tente de l’étouffer ou combatte ces projets. Ses écrits témoignent de cette lutte dont ils sont tout imprégnés en même temps qu’il raconte la suite d’une aventure théâtrale de plus en plus semée d’embches. Meyerhold montant la Dame aux camélias et retrouvant avec la Dame de pique sa vocation et sa fonction de metteur en scène d’opéra. Meyerhold et ses passions puisées en lui-même, aux sources de théâtre lointain, ou dans la vie du cinéma moderne : un nouveau lieu thétral en projet mais que jamais Meyerhold ne pourra utiliser, le théâtre japonais, Charlie Chaplin, un symbole ou un modèle.

Les marges deviennent de plus en plus étroites, maisMeyerhold ne renoncera pas. Viendra le temps où il paiera chèrement, le refus d’abandonner ses convictions.

  • Taille : 23cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Préface par B.Picon-Vallin. pg7
  • Exposé au Théâtre Bolchoï (1929). pg37
  • La reconstruction du théâtre (1929 - 1930). pg46
  • Lettre à A. Golovine (1930). pg68
  • Intervention à la Première Conférence Ppanrusse des auteurs dramatiques (1930). pg7
  • 0D.C.E.(1930). pg77
  • Intervention au cours d’un débat sur « la méthode de création au Théâtre Meyerhold (1930). pg78
  • La méthode deMeyerhold (1931). pg90
  • La Lutte finale (K. Roudnitski). pg94
  • (A. Fevralski). pg95
  • (N. Bogolioubov). pg95
  • (V. Meyerhold). pg96
  • (A. Fevralski). pg96
  • La Lutte finale.
  • I. Les objectifs du spectacle (1931). pg97
  • II. Extrait d’un entretien avec les participants du spectacle (1931). pg98
  • III. Extrait d’une lettre à V. Vichnievski (1931). pg104
  • La Liste des bienfaits (N. Taraboukine). pg105
  • (K. Roudnitski). pg106
  • La Liste des bienfaits.
  • I. Extrait d’un entretien avec le collectif du Gostim (1931). pg107
  • II. Extrait d’une intervention lors d’un débat (1931). pg111
  • Lettre à V. Vichnievski (1931). pg113
  • Le Suicidaire (K. Roudnitski). pg114
  • Le chemin de l’acteur. Igor Ilinski et le problème de l’emploi (1933). pg115
  • L’Adhésion (K. Roudnitski). pg120
  • (A. Fevralski). pg121
  • L’Adhésion.
  • L’Adhésion au Gostim pg123
  • Les Noces de Kretchinski (I. Louzovski). pg125
  • (I. Louzovski). pg125
  • Les Noces de Kretchinski.
  • I. Entretien avec les acteurs avant le début des répétitions des Noces de Kretchinski (1932). pg129
  • II. Présentation du spectacle pour la première à la Maison de la Culture de Moscou-Narvski à Leningrad (1933). pg132
  • Idéologie et technologie au théâtre (entretien avec des dirigeants de collectif d’amateur) (1933). pg136
  • Le Bal masqué.
  • Une révision, par une restauration (1933). pg153
  • La Dame aux camélias (L. Varpakhovski). pg154
  • (L. Varpakhovski). pg156
  • (A. Fevralski). pg156
  • La Dame aux camélias.
  • I. Un spectacle sur le destin d’une femme (1934). pg158
  • II. L’interprétation de la pièce (1934). pg159
  • III. Lettre à V. Cherbaline (1933). pg160
  • Lettre 1. pg160
  • Lettre 2. pg160
  • Extrait d’une conférence au séminaire théâtral Intouriste (1934). pg166
  • La Dame de pique.
  • (Un extrait de la partition scénique). pg172
  • La Dame de pique.
  • I. Pouchkine et Tchaïkovski (1934). pg175
  • II. L’évolution de la conception de Meyerhold sur l’opéra. pg186
  • 33 évanouissements (V. Gromov). pg187
  • I. A propos du spectacle 33 évanouissements (1935). pg190
  • II. Mon travail sur Tchekhov (1935). pg191
  • Malheur à l’esprit.
  • I. Les principes du spectacle (1935). pg202
  • II. Extrait de l’introduction à une discussion sur le spectacle (1936). pg203
  • Un projet inachevé (M. Barkhine, S. Vakhtangov). pg209
  • Appendice : Meyrehold et le cinéma - chronologie. pg215
  • Le théâtre et le cinéma (1928). pg217
  • L’essor du cinéma parlant pg219 (1929).
  • Chaplin et le chaplinsme (1936). pg219
  • Tableau chronologique des mises en scène de Meyerhold de 1930 à 1935. pg238
  • Note. pg240
  • Index des noms cités . pg263
  • Table des matières. pg269
L.Damiani-Architecte l'éphémère, Constructeur théâtres-1945 1995
1997
Union Théâtres l'Europe
L.Damiani-Architecte l'éphémère, Constructeur théâtres-1945 1995
Auteur : Luciano Damiani

Depuis le début de sa carrière, la poétique théâtrale de lLuciano Damiani se situe a contrario des notions courantes de dispositifs décoratifs et scénographiques.

Loin des toiles peinte qui, au début des années 50, représentaient des clichés traditionnels, bien loin de la récupération tatillonne d'objets d'antiquaires qu'impose un décor vériste à la mode, Damieni renouvelle radicalement la scénographie italienne en signant les décors les plus mémorables du piccolo Teatro (c'est lui qui signe par exemple les scénographies de El nost Milan, l'Opéra de quat' sous, la Vie de Galilée, Barouf à Chioggia, la Cerisaie, Il Campiello, la Tempête). Le souffle qu'il donne aux espaces théâtraux et sa connaissance de la lumière se retrouve aussi dans le théâtre musical et même dans l'art cinématographique.

Il a collaboré à plusieurs reprises avec le Théâtre de la Scala (Cavallera rusticana, Don Carlos, Idoménée ...) Et avec des prestigieux théâtres internationaux (l'Ange Bleu, l'Enlèvement au Sérail, la Flûte enchantée; ... Pour qu'il signe aussi de nombreuses mises en scène (Aïda, Louisa Miller ...). Cependant, sa sensibilité, qui ne se limite pas à la boîte illusionniste de la scène, l'amène à entreprendre un projet global (comme la restauration du Théâtre Gerolamo à Milan ou le projet du Teatro Nuovo de Trieste). Cette même sensibilité le poussa à réaliser dans le concret son utopie au Teatro di Documenti : un ensemble complexe de salles et d'espaces, de grottes et de gradins qui s'est ouvert sous le nom Testaccio à Rome

  • Taille : 31,5cm x 24cm
  • Luciano Damiani, Peintre de Scène de Omar Calabrese pg9
  • Architecte de l'Ephémère, bâtisseur de théâtres de Franco Quadri pg13
  • Dans l'espace de la poésie Interview de Luciano Damiani par Gianfranco Capitta pg25
  • Dans le filet de Goldoni de Luciano Damiani pg39
  • L'acteur, la scène, l'atmosphère de Luciano Damiani pg47
  • L'Art de voir de Luciano Damiani pg57
  • L'Invention de Trieste de Ettore Capriolo pg65
  • Image d'une bataille de Arturo Lazzari pg 69
  • La Maison des miroirs de Luciano Domiani pg87
  • Dans l'Antre du Testaccio de Vittoria Crespi pg89
Traité de Scénographie
1944
Librairie Théâtrale
Traité de Scénographie
Auteur : Pierre Sonrel

Cet ouvrage limite essentiellement son objet à la description de la scène classique modernisée et à l'étude du matériel nécessaire aux spectacles qui peuvent y être montés.

Nous justifirons certaines dispositions de l'édifice en rappelant succinctement dans une première partie, l'évolution du matériel scénique. Le sens de cette évolution nous permettra de mieux situer les recherches contemporaines qui engagent l'avenir.

Nous rappellerons enfin les autres scènes actuellement en usage : thétre de société, thétre de plein air et thétre ambulant que régissent des lois scénographiques différentes.

Il et été intéressant d'étudier en quoi l'éclairage, l'acoustique, le décor et sa plantation influe sur le jeu des acteurs et le modifie parallèlement à leur évolution propre, mais un tel travail déborderait le cadre d'un traité de scénographie, fragments d'une étude complète du métier de l'acteur. Car, nous non garde de l'oublier au cours de cet examen du matériel scénique, l'élément majeur de la représentation dramatique restera toujours le comédien

  • Taille : 24,5cm x 17cm
  • Définition pg6
  • Avant-propos. pg7
  • Première partie.
  • L'évolution du matériel scénique.La plantation des décors, machinerie et la scène du Moyen Âge à nos jours.
  • - Les fêtes médiévales. pg13
  • - La scène architecturée des humanistes italiens. pg23
  • - Le dispositif scénique de la commedia dell'arte et. pg37
  • - La scène élisabéthaine en France et en Angleterre. pg41
  • - La scène de la période préclassique.
  • - Le décor dramatique du 17e jusqu'au milieu du 18e siècles. pg55
  • - La scène d'opéra du 16e jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. pg55
  • - Les décors des ballets du XVIe siècle . pg62
  • - La scène d'opéra du 16e jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. pg68
  • - Les décors des tragédies lyriques. pg68
  • - La scène et décors du milieu du XVIIIe siècle au milieu du XIXe siècle. pg79
  • - Les plantations de décor contemporain. pg89
  • - L'architecture des salles de spectacles du 17e au XXe siècle. pg93
  • - Les essais de nouvelles architectures thétrales. pg100
  • - L'éclairage. Son influence sur les décors et la représentation. pg107
  • - L'apcoustique et les décors.g115
  • Deuxième partie.
  • Inventaire et mise en oeuvre du matériel scénique actuel.
  • Eléments de décor, machinerie, éclairage.
  • - Vue d'ensemble sur la scène et ses décors. pg121
  • - La cage de scène. pg126
  • - Les éléments de décor : 1° les éléments rigides. pg135
  • - Les éléments de décors : 2° les éléments souples. pg145
  • - La machinerie. Dispositions principales. pg152
  • - qui pement des décors :
  • les châssis pg162les fermes pg168
  • les rideaux pg170
  • les machines (apparitions et voleries) pg177
  • - Nouveaux éléments de machinerie :
  • Plateau horizontal. Plateau mobile tournant et coulissant, scène sur ascenseur, panorama et coupole atmosphérique.Décor projeté et cinématographique. pg190
  • - L'éclairage. pg211
  • Troisième partie.
  • Technique de l'établissement des décors.
  • - Maquettes et modèles. pg229
  • - Perspectives théâtrales : définition, principe et problèmes généraux. pg236
  • - Perspectives théâtrales : établissement des mesures du décor (travaux préliminaires). pg247
  • Perspectives théâtrales : établissement des mesures d'un décor (feuilles de mesure des éléments du décor). pg252
  • - Peinture des décors. pg267
  • - Réglage des lumières. pg270
  • Quatrième partie.
  • Autre scène actuellement en usage.
  • - Théâtre de province. Thétre de société. Théâtre ambulant. Théâtre de plein air. pg275
  • Renseignements bibliographiques. pg289
  • Table des illustrations. pg293
Light Fantastic : The Art and Design of Stage Lighting
2000
Prestel Publishing
Light Fantastic : The Art and Design of Stage Lighting
Auteur : Max Keller

ISBN : 3791321625

Max Keller is a virtuoso of light, whose teatrical designs have set new standards for entrainment world. In this comprehensive and stunning volume he reveals the wealth of scientific knowledge and artistic sensibility that is the secret to brillant lighting design - in a lucid style that will appeal to specialists and non-specialists alike. For lighting professionals, Light Fantastic is an indispensable reference work and source of inspiration; for all theatre buff this lavishly illustraded edition presents an introduction and a depth insight into stage lighting, a fasinating aspect of the theater realm that guides our perception and emotions.

  • Taille : 24,5cm x 31cm
  • Making Light - A Foreword pg9
  • General Remarks on Light in the Theater pg11
  • The History of Light in the Theater pg15
  • Light and Colour pg25
  • Handling Light and Colour pg35
  • Optics pg67
  • Lamp and Light pg75
  • Colour Plates and Colour Gels pg99
  • Lanterns, Special Lights, Additional Equipment pg105
  • Technical Equipment and accessories pg123
  • Projection pg195
  • Lighting Consoles pg 147
  • The Development of Stage Light pg153
  • Theaters pg163
  • Choosing Lighting Angles pg169
  • Light and Lighting Design pg173
  • Conceptual Lighting Design pg 179
  • Lighting Rehearsal and Design pg203
  • The Structure of a Lighting Department pg 221
  • Creating Light - Light Creations pg223
  • Trip the Light Fantastic pg229
  • Appendix
Clémançon-Appareillage électrique pour Théâtre
1920
Office d'Ed. d'Art
Clémançon-Appareillage électrique pour Théâtre
Auteur : Clémançon

...

Nous présentons dans ce catalogue les principaux types d'appareils nécessaires à la réalisation des différents éclairages de scène et de salles de spectacles ; nous y joignons la documentation, qui, nous l'espérons, facilitera notre clientèle le choix des appareils qui lui sont nécessaires.

Depuis de longues années notre compagnie à exécuter tant en France qu'à l'étranger de nombreuses installations électriques de salles de spectacles. Ces installations sont devenues sa spécialité, de sorte que l'expérience que nous avons acquise nous permet de présenter des appareils répondant aussi exactement que possible aux besoins réels.

D'autre part, le service d'entretien de nous avons la charge en plus de 50 thétres parisiens, les études auxquelles nous procédons sans cesse, sont un sr garant de la bonne exécution de notre matériel et de sa parfaite adaptation au but recherché.

C'est un problème particulier ne semble pas trouver une solution immédiate ou bien demande un examen plus approfondi, nos services techniques sont à l'entière disposition de nos clients pour étudier la question avec eux et les guider au mieux de leurs intérêts dans le choix du matériel à adopter. En s'adressant à la compagnie générale de travaux d'éclairage et de force (anciens Etablissements Clémançon) ils peuvent être assurés de trouver, dans les meilleures conditions de prix et de délais, un matériel robuste et éprouvé qui s'adaptera sans restriction aux problèmes envisagés.

  • Taille : 27.7cm x 22cm
  • I.
  • Rampes - Herses
  • Appareils et accessoires divers
  • II.
  • Réflecteurs
  • Projecteurs
  • Appareils à effets
  • III.
  • Rhéostats
  • Gradateurs de lumière
  • IV
  • Jeux d'orgue
a. b. c. de la lumière
2004
Agence culturelle d'Alsace
a. b. c. de la lumière
Auteur : Jean-Philippe Corrigou

ISBN : 2907441337

Introduction.

L'éclairage du spectacle a suivi l'évolution technique et la maîtrise de la lumière. Après la bougie, le quinquet, apparaît le gaz comme énergie contrôlable.

Des appareils d'éclairage au gaz, il nous reste le terme de « jeux d'orgue ». Effectivement, du pupitre de commande de l'éclairage au gaz, sortait une multitude de tuyaux semblables à un orgue. D'où l'appellation « jeux d'orgue », encore largement l'usage dans les métiers de la lumière.

Depuis, suivant le progrès technique et avec la généralisation du réseau électrique, les jeux d'heures manuelles (un potentiomètre par circuit commandé) entrent sur le marché et dans les années 80 les jeux d'orgue informatisé à mémoire. Ces derniers permettent une restitution plus fiable des effets lumineux tout au long de l'exploitation d'un spectacle.

La chaîne globale de la lumière s'est aussi perfectionnée ; la graduation de la lumière ainsi que les sources de lumière ont évoluée considérablement.

Les projecteurs asservis ou motorisés utilisés fréquemment dans les concerts ou l'événementiel prenne progressivement leur place dans le théâtre.

Face à ce changement des outils de la lumière et à leur technicité, le métier du régisseur lumière s'est professionnalisé. En parallèle, à chaque étape de travail une observation des règles de sécurité électrique s'est généralisée.

Dans l'optique d'une compréhension de l'utilisation des outils, ce guide a pour objectif d'éclairer le lecteur sur plusieurs points :

- la physique de la lumière et sa réception par l'oil

- les appareils utilisés dans l'éclairage et leur mise en pratique fidèle au guide de l'agence culturelle d'Alsace, « A. B. C. De la lumière » est conçue selon une approche pratique et concrète de la technique.

Outre les paramètres techniques, un travail artistique accompagne toute mise en lumière. Aussi, quatre « metteurs en lumière » s'expriment à la fin de cet ouvrage sur le rapproche de la lumière.

Face à la technicité nouvelle de la lumière ses praticiens nous rappellent que la technique n'est pas une fin mais un moyen haut service de la création et du spectacle.

Marc Jacquemond,

Directeur technique de l'Agence culturelle d'Alsace.

  • Taille : 15cm x 21cm
  • Sommairepg12
  • I Physiquespg13
  • 1. La lumière
  • Définition de la lumière
  • Différentes théories de la lumière
  • Unité de mesure
  • Vitesse de la lumière
  • Source de la lumièrepg15
  • 2. La perception de la lumière le récepteur : l'oeil mécanismes de la visionacuité visuelle pg21
  • 3. Photométrie
  • Grandeur photométrique
  • Appareil de mesure de la lumière : le luxmètre
  • Grandeur radiométrique
  • Propriétés optiques pg25
  • 4. La couleur
  • Définition de la couleur
  • Dispersion de la lumière par un prisme
  • Perception de la couleur
  • Vision des couleurs
  • Cercle chromatique
  • Température de couleur pg32
  • II Technologiepg33
  • 1. La chaîne de la lumière artificiellepg34
  • 2. De l'électricité à la lumièrePuissance électrique
  • GradateurJeux d'orgue
  • Liaisons filaires jeux d'orgue/gradateur
  • Patch Projecteur
  • Changement de couleur
  • Filtrepg57
  • 3. Différentes Installations électriques
  • Installation fixeInstallation mixteInstallation complexe avec changeur de couleurs et projecteurs automatiséspg60
  • III. Pratiquepg61
  • 1.Le régisseur lumièreSa fonction
  • Sa valisepg62
  • 2. Le dossier technique
  • La fiche techniqueLe plan lumière pg64
  • 3. La vie du plateau
  • Préparation du montage
  • Du montage au démontage
  • L'archivage du spectaclepg70
  • 4. Les différentes directions de lumière
  • La faceLe contre-jour
  • Les latérauxLa contre-plongéepg 75
  • 5. Exemples d'implantations
  • Etude d'implantation d'un contre-jour
  • Contre-jour sous gril fixe
  • Implantation de latéraux
  • Utilisation de grosses sources pg82
  • 6. Eclairage de toiles
  • Tulle
  • Cyclorama
  • Toiles peintes pg84
  • 7. La draperie
  • Implantation des frises
  • Boîte noire "à l'Italienne"
  • Boîte noire "à l'Allemande"pg88
  • IV. Rappels indispensables pg89
  • 1. Habilitation électrique
  • Les personnels habilités pg91
  • 2. Rappel d'électricité
  • Danger du courant
  • Branchement de la puissance sur un bornier
  • Le branchement à la terre
  • Quelques notions d'électricité pg94
  • 3. Quelques noeuds
  • Le noeud de chaise
  • Le noeud de cabestanLe noeud de Varro pg100
  • Quatres approches de la lumière
  • Rolland Grossi, Daniel Knipper, Bernard Cathiard, Jacques Chatelet pg106
  • Annexes
  • Lexique
  • Bibliographie
Costume Patterns & Designs
1990
Rizzoli
Costume Patterns & Designs
Auteur : Max Tilke

ISBN : 084781209X

This work surveys costume patterns and dress designs of nearly every nation from antiquity to modern times. The garments are shown spead out so that the pattern and design may be seen full.

The rich variety of fabrics and designs are wonderfully captured. Elaborate embroideries, delicate laces, silk from the East, exotic tie-dyed Indian saris, as well as furs, capes, hats and gloves are featured, incorporating countless materials, styles, and influences. The book will not only stimulate fashion and theter designers but be of great use to anyone engaged in the designing of fabrics.

"Problems of costumes," as one critic put it, "are often approached in a romantic or journalistic spirit; here they are treated with scientific exactitude."

Max Tilke is the author of several books on costume and fashion design, including A Pictorial History of Costume.

  • Taille : 32cm x 24cm
  • INDEX
  • Introduction Page7
  • Details of the Plates Page9
  • Antiquity (Babylonia, Egypt, Persia, Greece, Rome,etc.) page I-II
  • Asia Minor, Syria, Palestine, Arabia, Turkey, Mesopotamia, Near East, Egypt, Eastern Soudan, Africa page 12-34
  • Rome, Byzantine Empire, Prehistoric and Early Germanic Periods 35-38
  • Europe, Russia as far as the Caucasus, Asia (India Proper, Indochina, China, Mongolia and Japan, Indonesia, Siberia), North, Central and South Amerika 39-116The most important forms of Costumes from the time of the Carolingians to the middle of
  • the 19th Century 117-128
The Theater of the Estates : guide through building.
1994
National Theater
The Theater of the Estates : guide through building.
Auteur : Collectif

ISBN : 8090162312

Introduction.

The Theatre of the Estates is one of the most beautiful historical theatres in Europe. Part of its charm, magic and value is it genius loci, a place which evokes the spiritual presence of manyy excellent musicians, directors, artists, poets and playwrights who have passzq through either on the stage or in the audience of this charming and intimate venue.

The theatre reflects the history of Czech theatre in general. It conjures up his history of the Czech professional theatre from its very beginings, alongside the history of the Prague German theatre, for it was originally built for German-speaking audiences and for some 150 years mainly the German language was heard here. Further-yaers, it was the last historical venue for classical Italian opera performed in Prague for more than a half cebtury. Italian opera was first performed in the Spork Theatre, and later in the Opera House built in V kotcich Steet by the city authorities in 1739. Thus the history of the Theatre of the Estates has shaped a significant part of the Central European theatrical experience, encompassing such genres as Italian opera, German drama and opera, popular plays from Vienna and Berlin, farces, French drama and opera, dance pantomime, operatta and the sing-spiel.

Not only are those momentous historical events of the past two centuries reflected here, but also had a direct impact on the direction of the theatre - events which took place in the bohemian heartland, in the Kingdom of Bohemia, in the center of Hapsburg Empire, and later on in the sovereign Czech or Czechoslovak states. All the great upheavals of modern history, social, nationalist or even political, have had their consequences here.

  • Taille : 21cm x 20cm
  • Tabel of contents.
  • Introduction. pg7
  • I. The theatre building and its reconstructions 1781 - 1983. pg38
  • II. The histry of the Kolowrat Palace. pg67
  • III. The Theatre of the Estates and the Kolowrat Palace reconstructions 1983 - 1991. pg74
  • IV. A guide through the Theatre of the Estates and the Kolowrat Palace. pg87
Les Jeux du Cirque et la Vie Foraine
1889
Paris Plon
Les Jeux du Cirque et la Vie Foraine
Auteur : Hugues Le Roux, Jules Garnier

Préface. Le premier titre de ce livre a été : les Banquistes ; on l’a effacé pour deux raisons qui à l’examen paraissaient excellentes : le grand public du mal entendu, et il eût certainement blessé les intéressés qu’il auraient compris. Aussi bien, si on consulte les dictionnaires d’étymologie, on trouvera au mot saltimbanque, plus répandu que celui de Banquiste, cette racine certaine : Saltimbanque, s. m., de l’italien Saltimbanco, proprement : qui saute sur un banc (latin, saltare in bancoo). De même l’Italien a aussi cantimbanco, chanteur de tréteaux. J’ajoute que si, après être remonté aux étymologies des mots saltimbanques, banquiste, on vient à chercher celle du mot banquier, on s’apercevra qu’une même radicale « banco » est commun à ces trois dérivés. Dans les foires d’autrefois, de personnages élevaient un petit traiteau - tout, un « banc » : le changeur d’or et l’acrobate. Peut-être ce « banc » s’avait-il déjà de tremplin pour mieux sauter au banquier comme au banquiste, peut-être faudrait-il remonter jusque-là pour retrouver l’origine exacte de cette locution dont l’usage est aujourd’hui si répandu : lever le pied. Quoi qu’il en soit, on comprendra mieux après la lecture de cet ouvrage que l’acrobate contemporain, assagi, enrichis, embourgeoisés, repousse avec indignation interne argotique qui semble lui assigner une communauté d’origine avec nos modernes financiers. Cette intolérance n’est certainement pas l’unique étonnement que la lecture de ces pages réserve aux lecteurs. Nous avons la prétention de le conduire au seuil d’un monde inconnu. Avant de nous donner à ce travail qui ne nous a pas absorbés pendant moins de trois années, j’ai fait des recherches bibliographiques et iconographiques complètes sur la questionbanquiste. La conclusion était que nul auteur français ou étranger méritant attention ou emprunt ne s’était occupé jusqu’ici de ce peuple original. Le directeur de l’Hippodrome, Monsieur Houcke, avait bien voulu mettre à notre disposition une série de lithographies publiées en Allemagne. Le texte est la vérité d’observation faisait ici si fort défaut, que ces dessins nous puent nous être d’aucun secours. De même pour les Saltimbanques que Monsieur Escudier a publiés, à la fin de l’Empire, chez Michel Lévy. Le seul mérite de Monsieur Escudier fut de découvrir un sujet inconnu. Il eut le tort d’écrire sans renseignements, sans pittoresque, sans philosophie, avec le temps de légèreté et d’insupportable badinage qui est commun à presque toutes les publications de cette époque. Plus récemment un écrivain consciencieux et qui aime les acrobates, Monsieur Dalsème, a pu plier sous ce titre : le Cirque à pied et à cheval, un recueil plus intéressant. La bonne grce avec laquelle MonsieurDalsème signale dans son livre les emprunts qu’il faisait à mes publications m’engage à le payer ici de retour. Et vraiment, pour flottant, pour un complet que soit son livre, c’est encore le travail le plus intéressant qui ait été publié jusqu’ici sur un sujet neuf. Ce jugement mais hors de père et de tout rapprochement impie le roman de Monsieur Edmond de Goncourt : les Frères Zemganno. Bien quelle observation scrupuleuse soit la discipline avérée du romancier, lui-même a déclaré que cette fois la il avait surtout songé à écrire un livre symbolique. Ces renseignements étaient nécessairement superficiel. Tels qu’ils sont, je ne crois pas que personne et à cette heure de meilleur réseau que nous pour admirer l’art et la vérité supérieure avec lesquels Monsieur de Goncourt a parlé du cirque, formulé sa philosophie, dépeint ses passions, devinez ce qu’on lui celait. Et j’ai l’espoir que l’auteur des Frères Zemganno sera un des premiers à goter la nouveauté de ce travail. La lecture du roman petit naturaliste a progressivement habitué le public à supporter dans les livres une assez forte dose de réalité. Une foule de jeunes gens ont écrit limitation d’émettre des histoires qui, banales dans la fable, valaient surtout par leur observation consciencieuse des « milieux ». Mille enquêtes sur les contemporains ont été savamment conduites, il est liseur de livres ont compulsé avec curiosité ses dossiers de sociologie. Il m’apparut que ce qu’il y avait de meilleur dans ses romans, ae plus vraiment goûté des lisants, c’étaient les faits d’expérience ; je me suis donc demandé si le moment n’était pas venu de présenter au lecteur cette fait dépouillés de toute fiction romanesque, dans une forme où l’auteur n’interviendrait que pour coordonner les observations, pour dégager leur philosophie. L’aventure de ce livre prouvera si cette tentative est prématurée, s’il y a lieu de lui donner suite. Ce que nous publions ici, c’est, proprement, raconté par la plumer par l’image, la monographie d’un peuple inconnu. Ces lois, ses moeurs, ses traditions, ses secrets, ses espérances ont été saisies, fixés malgré les réticences, les défaites, les témoignages vacillants et contradictoires. On assistera à l’organisation du peuple banquiste, à la fondation de ses agences, de ses journaux, de ses syndicats ; on suivra le bateleur depuis sa naissance dans la caravane foraine jusqu’à son apothéose dans la frise du cirque. Et tout de même pénétrera-t-on dans les écuries pour surprendre les secrets du dresseur, du dompteur, de l’écuyer, dans l’éloge pour demander au clone le récit de ses avatars et par quelle fortune, devenus gentlemen, il s’est un jour rencontré au pays de fantaisie avec le gentlemen devenus clown. Je ne saurais terminer cet avant-propos sans adresser ici des remerciements bien vifs à tous ceux qui nous ont été amenés à bonne fin ce travail, - à nos correspondants volontaires d’Amérique, d’Angleterre, d’Allemagne et de Russie. Mais dans ce paiement de nos dettes nous devons une reconnaissance particulière au savant directeur du service photographique de la Salpêtrière, Monsieur Alb ertLonde, un monsieur Guy de la Brettonière, le circomane bien connue, à des amateurs comme Messieurs de Saint-Senoch, Bucquet et Mathieu. Les clichés que ces messieurs ont bien voulu exécuter pour nous ont permis aux dessinateurs de représenter les acrobates dans ses pauses intermédiaires que l’oil ne saisit jamais et que la photographie instantanée la plus rapide n’avait pas fixé jusqu’ici. Quelques chiffres loueront mieux que toutes les paroles l’inestiimable rareté de ces documents : au mois de juin 1888, Monsieur Houcke, nous ayant donné rendez-vous à l’Hippodrome, fit sauter en notre présence le clown Auguste et un artiste de barre fixe. La Société d’exécution française de photographie, conduite par son président, était venu au grand complet. Une cinquantaine d’appareils avait été dressée en batterie ; chaque amateur avait apporté douze glaces. Après dépouillement, Monsieur Albert Londe nous aurons remis dix épreuves qui seules, sur six cents, avait été jugé digne de tirage ; en dernier examen, sept clichés, en tout, furent conservés par le peintre. Ils ont inspiré la série de saut périlleux que l’on trouvera au chapitre des Gymnasiarques points Hugues Le Roux.

  • Taille : 28,5cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Première partie. Les Banquistes.
  • Chapitre Premier. L’organisation. pg1
  • Chapitre II. La foire. pg27
  • Chapitre III. Les Entresorts. pg43
  • Chapitre IV. La Baraque. pg59
  • Deuxième partie. Les Jeux du Cirque. Chapitre Premier. Les Dresseurs. pg79
  • Chapitre II. Les Dompteurs. pg99
  • Chapitre III. Les Ecuyers. pg119
  • Chapitre IV. L’Hippodrome. pg137
  • Chapitre V. Les Equilibristes. pg155
  • Chapitre VI. Les Gymnasiarques. pg179
  • Chapitre VII. Les Clowns. pg205
  • Chapitre VIII. Les Cirques privés. pg227
  • Index. pg242
Scénographies du théâtre occidental
2000
Nathan
Scénographies du théâtre occidental
Auteur : Anne Surgers

ISBN : 9782091908939

La scénographie est l’art d’organiser l’espace de la fiction théâtrale, mais aussi l’espace plus global de la rencontre et de l’échange entre le public et les acteurs.

En tant qu’outil de la représentation, elle exprime une vision du monde. Depuis l’origine grecque que de notre théâtre occidental jusqu’au début du XXe siècle, les codes de représentation ont évolué, leurs significations sont aujourd’hui perdues ou bien ont survécu en se modifiant. La scénographie reste alors l’une des seules traces de la représentation théâtrale, éphémère par essence.

C’est à cette traversée chronologique de l’espace scénographique que nous invite ce livre, analysant tour à tour textes, croquis, illustrations, dessins, ou l’architecte, le machiniste, le décorateur, le peintre, font office de celui qui n’est pas encore le « scénographe ».

Cet ouvrage s’adresse aux étudiants en arts du spectacle, en lettres, en architecture et à tous ceux que le théâtre ou l’opéra font rêver.

  • Taille : 22cm x 13cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg1
  • I. Evolution d’une pensée et d’une pratique de l’espace théâtral. pg31.
  • Les origines grecques. pg32.
  • le « scénographe » en Italie. pg53.
  • En France, du XVIIe au XIXe siècle. pg64.
  • Du « décor » à la « scénographie ». pg9
  • II. Le théâtre antique grec. pg111.
  • Les fêtes dionysiaques et des représentations théâtrales. pg122.
  • Le lieu de la cérémonie : du Dieu caché au dieu montré p.g15
  • Un lieu pour la vue et pour les visions. pg15
  • Le lieu du public. pg17
  • Le li eu de l’acteur et du dieu montré. pg18
  • Le lieu de l’acpteur et du Dieu caché. pg193.
  • La représentation . pg21
  • Les acteurs. pg21
  • Les costumes. pg22
  • Les décors et la machinerie. pg22
  • III. Le théâtre romain. pg251.
  • La représentation-divertissement. pg25
  • Un lieu pour le confort.pg25
  • Une nouvelle frontière entre réalité et fiction.pg282.
  • Les décors. pg31
  • IV. Le thétre médiéval (IXe - XVIe siècle). pg361.
  • La « théâtralisation » de la liturgie. pg37
  • La visite au sépulcre, scène fondatrice du « théâtre » médiéval. pg37
  • Un usage symbolique de l’espace. pg412.
  • Les « jeux » pour la manifestation des textes. pg43
  • Un va-et-vient entre sens littéral et sens figuré. pg45
  • Liturgie et utilisation symbolique de l’axe ouest - est de l’église. pg463.
  • Mystère, miracles et martyres. pg50
  • L’espace de représentation. pg52
  • Une scénographie polyphonique. pg55
  • La magnificence du spectacle. pg58
  • Des acteurs et un public en mouvement. pg594.
  • Le « théâtre » en rond. pg60
  • V. Elaboration du théâtre à l’italienne (XIVe - XVIe siècle) : le tabernacle dévoilé. pg661. Quelques définitions. pg67
  • Le thétre à l’italienne. pg67
  • Le décor à l’italienne. pg68
  • L’homme démiurge. pg70
  • Les prémices de la naissance d’une forme théâtrale (XIVe - XVIe siècle) . pg71
  • La perspective, une « invention » du Rinascimento ? pg71
  • Le glissement du sens : transcendant - infini - point de fuite. pg74
  • Les précédents en peinture. pg743.
  • L’évolution rapide de la scénographie illusionniste (XVIe - XVIIe siècle). pg77
  • Au XVIe siècle : un décor en bas-relief .pg77
  • Une scène en moyen relief : Serlio 1540. pg78
  • Du bas-relief au haut-relief. pg80
  • La boîte illusion constituée. pg83
  • Le glissement du point de vue. pg86
  • VI. La scène élisabéthaine (fin XVIe siècle - 1642) : une rhétorique du visible. pg931.
  • Le théâtre public. pg942.
  • L’espace de la représentation. pg97
  • Le public. pg97
  • La scène. pg101
  • Une scène en troips dimensions. pg102
  • Le rideau. pg104
  • La machinerie. pg105
  • 3. Le code de représentation élisabéthain : « Play with your fancies ». pg107
  • Le visible pris en charge par l’imaginaire. pg108
  • Rhétorique du discours et rhétorique du visible. pg110
  • VII. Le décor en France XVIIe siècle. pg114
  • 1. Le décor en compartiments. pg115
  • Un espace rectangulaire pour un théâtre « laïc ». pg115
  • L’exemple des décors de l’Hôtel de Bourgogne. pg116
  • 2. Les décors « à machines ». pg121
  • Les emprunts au modèle italien. pg124
  • La singularité de l’adaptation à la Fran ce. pg125
  • 3. Le « palais à volonté » : une « fiction de théâtre ». pg129
  • La règle « malaisée » de l’unité de lieu. pg129
  • Une figure de la rhétorique du visible. pg131
  • VIII. Les avatars du thétre à l’italienne (XVIIIe - XIXe siècle). pg134
  • 1. L’évolution du rapport scène - salle. pg135
  • Les propositions et les utopies du XVIIIe siècle. pg135
  • Un public disposé parallèlement aux cadres. pg137
  • 2. L ‘évolution du décor : l’exemple de la scène tripartite. pg139
  • Voltaire : la redéfinition du vraisemblable. pg139
  • Charles-Nicolas Cochin. pg141
  • 3. En route vers le « réalisme ». pg144
  • Pierre Patte : le rêve d’un décor en volume. pg144
  • L’illusion de réalité .pg145
  • Conclusion. pg151Glossaire. pg155
  • Dictionnaire biographique indicatif.pg163
  • Biographie sommaire. pg177
50 Ans de recherches dans le spectacle
2006
Biro
50 Ans de recherches dans le spectacle
Auteur : Jacques Polieri

ISBN : 2351190157

Un numéro spécial, reproduit ici en fac-similé, avait paru en 1958 dans l'importante revue " Architecture d'aujourd'hui ". Il était consacré aux recherches en art visuel et plus globalement aux arts de l'espace de la première moitié du XXe siècle. Très vite épuisé et jusqu'à présent introuvable, cette publication avait largement contribué à la redécouverte de travaux incontournables. Certaines réalisations ont permis de révéler le rôle prépondérant d'artistes considérés jusqu'alors comme des marginaUx et ont conforté une tendance novatrice. Cette suite de projets a donné sens à un ensemble de disciplines aux formulations inédites, laissant définitivement pour compte les lectures académiques ou les contresens. Mal acceptées et, le plus Souvent, violemment rejetées par esprit réactionnaire, les productions les plus audacieuses du moment trouvèrent ainsi une justification. Cette démarche deviendra également l'un des fondements contemporain de la scénographie dite polierienne. Celle-ci s'est appliquée à distinguer les enveloppes architecturales, ramenées à une expression géométrique élémentaire, et à les dissocier des structures scéniques proprement dites. Plus récemment encore, et par extension, elle traitera des techniques de l'émission et de la réception des messages. Le mot scénographie, tombé en désuétude, avait été repris à juste titre dans les années cinquante. Mais Son usage est aujourd'hui galvaudé et recouvre des notions disparates voire contradictoires, Jusqu'à perdre toute signification ou tout contenu.

Franck Ancel

  • Taille : 30,5cm x 24cm
  • I. A la Recherche de Nouveaux Moyens d’Expressions Scéniques.Adolphe Appia. pg6
  • Edward Gordon Craig. pg8
  • Recherche dans le Théâtre russe. pg10
  • Le Théâtre dans le Bahaus. pg14
  • Tradition du Bahaus, Xani Schawinsky. pg32
  • Les ZArts plastique et le spectacle. Théâtre. pg34
  • Danse. pg44
  • Marionnettes. pg50
  • Film. pg56
  • L’Expérience Artaud pg58
  • Quelques Réalisations et Idées récentes. pg60
  • II. Recherche pour une Nouvelle Architecture Scéniqie.Rappel des scènes anciennes. pg68
  • Recherches pour une nouvelle structure scénique. pg76
  • Quelques Théâtres d’aujourd’hui. pg86
Jeux, tréteaux et personnages, éclairage et m. en sc.
1953
Billaudot
Jeux, tréteaux et personnages, éclairage et m. en sc.
Auteur : René Rabault

Eclairage et mise en scène.

Entendons-nous bien, ouvriers ou artisans je ne le suis que de la mise en scène. Que le lecteur ne pense pas trouver ici considération et données techniques d’électricité, indications et références, section de fils, l’ampérage, llumens, résistance, influx … que sais-je …

Un bon conducteur d’automobile n’est pas nécessairement un mécanicien accompli. chacun son rôle : aux constructeurs de savoir construire, Alain Sather de savoir installer, à l’usager de savoir se servir de l’installation.

Je sais plutôt d’écrire un guide de l’usager. Ce guide se réfère à l’expérience de nombreuses petites scènes installées sous ma direction et de mes propres mises en scènes. Jean - les exemples qui l’illustreront. Ces mises en scène ont rencontré le succès et l’approbation quasi unanime. Ceci ne veut pas dire que les solutions que je proposerai ce sont les seuls possibles. Au thétre il y a autant de cas différents que des pièces présentées, autant de nuances dans la représentation qu’il y a de mise en scène et autant d’interprétations qu’il y a de comédien. C’est le caractère même de notre Art. Sa puissance de diversité conditionne son potentiel d’universalité.

Un exemple net ni une théorie, ni une recette. Il peut aider à trouver pour chacun sa propre solution au problème qui se pose (qui se pose) pour lui. Mon expérience peut engager sur la voie ceux qui ont moins d’expérience (il y a ramené ce qui aurait une fausse expérience). Mais elle ne saurait sans doute rien apporter à ceux qui en ont plus que moi.

  • Taille : 19cm x 12,5cm
  • Eclairage et mise en scène. pg231
  • Le règlement de sécurité. pg235
  • Installations. pg238
  • Le rôle des différents appareils lumineux. pg244
  • Eclairage… de metteur en scène. pg248
  • La lumière crée le décor. pg267
Le costume historique du Monde antique au XIX siècle
2006
Taschen
Le costume historique du Monde antique au XIX siècle
Auteur : Françoise Tétart-Vittu

ISBN : 3822850950

Résumé:

Publié à l'origine en France entre 1876 et 1888, Le Costume historique d'Auguste Racinet représentait l'étude la plus complète et la plus pertinente jamais entreprise sur l'histoire de l'habillement. Cet ouvrage, qui couvre en six tomes l'histoire mondiale du costume, de la mode et du style depuis l'Antiquité jusqu'à la fin du XIXe siècle, demeure tout à fait unique en son genre, par son ampleur comme par sa précision.

Cette réédition de TASCHEN restitue les illustrations délicieusement précises et colorées de Racinet, ainsi que ses savoureuses descriptions et ses commentaires souvent spirituels. Couvrant tout depuis la tenue antique des Étrusques jusqu'à la mode des Françaises, l'ensemble suit le découpage originel de Racinet, par culture et par thème. Impressionnant par son ampleur et passionnant par ses recherches et son souci du détail, Le Costume historique représente une référence inestimable pour les étudiants, designers, artistes, illustrateurs et historiens, ainsi qu'une source d'inspiration très riche pour quiconque s'intéresse aux habits et au style.

  1. Taille : 39cm x 26cm
  2. Index:
  3. Avertissement au lecteur. pg6
  4. Auguste Racinet « Costume Historique », Françoise Tétart-Vittu. pg8Auguste Racinet « Le Costume Historique », Françoise Tétart-Vittu. pg12« Le Costume Historique » d’Auguste Racinet, Françoise Tétart-Vittu. pg16PlanchesI - Le monde antique. pg20II - Le monde en dehors de l’Europe. pg76III - L’Europe 400 - 1800. pg198IV - Costumes traditionnels jusqu’à la fin du XIXe siècle. pg426V - Coupes et patrons. pg536Bibliographie. pg544
Encyclopédie illustrée de la Mode
1970
Gründ
Encyclopédie illustrée de la Mode
Auteur : L. Kybalova, O. Herbenova, M. Lamarova, G. Rodrigue

Préface par Claude-Salvy.

« Considérer superficiellement, la Mode, nous disent les auteurs, possède en effet un air de légèreté et de folie. »

Ce caractère superficiel a été dépassé avec bonheur par les auteurs. Nous avons dit qu’elles ont établi entre l’homme et la femme un juste équilibre trop souvent rompu en faveur de la mode féminine. Elles ont également reconstitué un vaste pas de Rama européen de nos costumes. Si Paris y a trouvé sa place prééminente chaque fois que celle-ci était méritée, les noms moins importants évolutions des autres pays d’Europe, en matière de mode et de costumes, ils sont relatés de manière exhaustive. Nous voici sortie de Versailles, source souvent principale des Histoires de la Mode pour entrer dans les nombreuses Cours européennes qui brillèrent du 14e au XXe siècle. Si les manières de s’habiller présenter entre elles de nombreuses des affinités, s’il y a une même époque, le style du vêtement était le même à Paris, Londres, Madrid ou Munich, chacun d’eux avait cependant ses particularités, ce que les auteurs ont parfaitement su faire ressortir : c’est ainsi que le chapitre consacré au pittoresque style rococo est particulièrement bien étudié.

Enfin, la disposition de l’ouvrage en deux importantes parties, d’une part, celle du costume proprement dit et de l’autre celle des accessoires et détails, donne à ces derniers toute leur importance, qu’il s’agisse de coiffure, de cravate, de manches, de ceintures, de sous-vêtements, de parure, de costumes liturgiques, de pantalons masculins, de jupe féminine, de vestes et de mantes, de chaussures et même de vêtements d’enfants. Pour tous, les aspects inconnus ou peu connus nous sont dévoilés.

Allons un peu plus loin pour conclure, car nous voici aujourd’hui devant un phénomène extrêmement curieux, aboutissement de ce long chemin, et ses quatre mille ans que nous venons de parcourir.

Ce qui est aujourd’hui nouveau, ce qui n’a pratiquement jamais existé dans l’histoire de notre costume, c’est le franchissement de la barrière des sexes, l’abolition d’un tabou millénaire, l’identification volontaire du couple.

Hommes et femmes ont, au cours de l’histoire, fait des emprunts fréquentent au costume d’un sexe qui n’était pas le leurre, ils en importaient le même vêtement, mais c’était autant où les uns et les autres étaient vêtus de robes. Ce n’était donc qu’une uniformisation involontaire, sans signification psychologique et/ou d’ailleurs, têtes et coiffure était différente. regarder tableaux et sculptures du Moyen Âge, nous ne saurions nous y tromper.

Garçons et filles arborent aujourd’hui même pantalon, même pull, même ceinturon, mêmes cheveux courts blonds, bravant volontairement l’opinion. Le malaise provoqué par cette décision entre le masculin et le féminin, par cette ambivalence, ce refus de symboles considérés jusqu’ici comme sacré, représente-t-il véritablement un défi lancé un interdit venu du fond des ges ? S’agirait-il de l’annonce d’une nouvelle société, pire d’une nouvelle forme de matriarcat ? S’agirait-il plus simplement d’une tendance consistant à préciser que le couple contemporain marque son égalité totale dans une société nouvelle ?

Peut-être la réponse est-elle moins lourde de sens, que être ne s’agi-il, pour le moment, que de la futilité superficielle d’une mode qui, poursuivant imperturbablement son classique mouvement pendulaire, nous proposera dans ses prochaines versions, des hommes très au masculin et des femmes très au féminin.

La mode laisse toujours planer une certaine incertitude lorsqu’il s’agit de prédire et une grande perplexité lorsqu’il s’agit de conclure.

  • Taille : 22,5cm x 16cm
  • Sommaire.
  • Préface, par Claude SalvY. pg7
  • Introduction. pg15
  • Quatre mille ans d’histoire de la mode.
  • L’Egypte ancienne de l’an 3000 allant de 200 av. J.-C. pg39
  • Babyloniens et assyrie ns.pg47
  • Crête et Mycènes. pg51
  • La Grèce dans l’Antiquité. pg57
  • Les Etrusques. pg67
  • La romantique. pg75
  • Byzance. pg87
  • La période des Grandes Invasions. pg95
  • L’époque romane. pg101
  • La mode à la période gothique. pg113
  • La mode de la Bourgogne française, à la fin de l’époque gothique. pg127
  • La renaissance. pg139
  • La réforme. pg153
  • La mode espagnole (1550 - 1618). pg163
  • La guerre de Trente Ans (1618 - 1648). pg177
  • La mode sous le règne de Louis XIV (1643 - 1715). pg189
  • La mode sous la Régence (1715 - 1730). pg199
  • Le rococo (1730 - 1789). pg207
  • La Révolution française et le Directoire. pg223
  • L’empire (1804 - 1815). pg243
  • La restauration (18 15 - 1820).pg255
  • Le style bourgeois ou Biedermeir et l’époque romantique (1820 - 1840). pg261
  • Le début de l’époque victorienne ou nouveau rococo (1840 - 1870). pg271
  • Le mélange des styles à la fin du XIXe siècle (1870 - 1890).pg281
  • La fin du siècle. pg293
  • Le XXe siècle ; innovation et réforme. pg300
  • L’entre-deux-guerres (1918 - 1939). pg307
  • Les années 50 et 60. pg315
  • Répertoire des divers vêtements et accessoires de mode.Les coiffures et leurs accessoires. pg323
  • Les barbes. pg353
  • Chapeau et autres accessoires. pg361
  • Cols et ornements de cols. pg399
  • Foulard et cravate. pg413
  • Les manches. pg425
  • Poignet et manchettes. pg435
  • Ceintures et écharpes. pg441
  • Sous-vêtements, vêtements d’intérieur et costumes de bain. pg449
  • Accessoires de mode. pg469
  • Joaillerie. pg489
  • Le vêtement masculin. pg501
  • Vêtements liturgiques. pg507
  • Veste et gilets. pg519Pantalons. pg527
  • Costume nationaux de femmes. pg535
  • Jupes. pf543
  • Manteaux. pg555
  • Barre et chaussures. pg573
  • Costume d’enfant. pg581
  • Techniques, couleurs et étoffes. pg585
  • Index des artistes. pg591
  • Index. pg593
  • Remerciements et crédits photographiques. pg599
PQ of Performance Design and Space 2003
2003
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 2003
Auteur : Jaroslav Malina

ISBN : 9788070082126

This representative catalogue of the Prague Quadrennial 2003 showcases the entire world exhibition of scenography and theatre architecture that year, including its accompanying events. It is organised by sections (national exhibits, theatre architecture, schools of stage design), the descriptions of the exhibited works are accompanied by rich colour photographs, and considerable space is devoted to the programme of the unique interactive ‘Heart of the PQ’ project and the international summer academy in stage design OISTAT SCENOFEST. It also includes an index of names.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Introduction. pg8
  • PQ Council. pg14
  • Jury. pg15
  • PQ Prizes. pg18
  • List of Participating Countries and Regiones. pg19
  • What actually is stage design - now for the tenth time …, Laroslav Malina. pg20
  • National Exhibition - competition section. pg23
  • Theatre Architecture - Competitive section. pg209
  • Schools of stage design - non-competitive section. pg239
  • OISTAT Scenofest. pg274
  • The Heart of PQ. pg280
  • Accompanying Events. pg325
Scene design and stage lighting
1974
Holt, Rinehart and Winston
Scene design and stage lighting
Auteur : Harvey K. Smith

ISBN : 0030894468

Introduction.

The paths leading to designing in the yheatre are numerous and varied. They may come from within the theatre itself or from outside world. The talents of an actor or director gifted with a sense of theatre and visual ideas can lead him to design just as surely as can the more practiced talents of a visual artist equipped with a natural ability to draw and paint and strong desire to be in the theatre. A student from the latter background standing at the threshold of training for a career in design for the theatre may puzzle over what the future holds. The flush of excitement and sense of involvement of first experiences in the theatre should not obscure the need for an artistic commitent toward a goal wich can lead to creative achievements and personnal fulfillment in the distant future. But, to reach this goal he must first thoroughly understand the complex form of the theatre as an art.

The theatre of today, along with all arts, is experiencing a time of rapid change. In a short interval is literary form, its physical form, and in some case even in the basic idea of theatre itself, its theatrical form have undergone changes. Some are natural developments or esptensions of a theatrical form; somes are self-concious changes for change’s sake; while others, by their obscurity to present-day theatre-goers, await the new audience of the future. All these evolvements in som measure affect the designer and his position in the theatre.

The student designer is perhaps confuced by the action of numerous groups, whose activities vary from do-it-yourself happenings to psychedelic sing-alongs, as to their current claims to this title of theatre. To set the performing arts aside from self-entertrainment and group therapy, it may be wise to clarly in the beginning what is meant by theater, or the theatrical form.

  • Taille : 26cm x 20,5cm
  • Contents.
  • Preface to the third edition. v
  • Preface to the second edition. vii
  • Part 1. The Design Concept.
  • 1. Introcuction. pg32.
  • . Scene Design and the Theatre. pg283
  • . Scene Design as a Visual Art. pg474
  • . The Design Idea. pg705
  • . Drafting the Design. pg96
  • Part 2. Executing the Design.
  • 6. Scene Design and Technical Production. pg145
  • 7. The Construction of Scenery. pg178
  • 8. Color in the Theatre. pg228
  • 9. The Painting of Scenery. pg240
  • 10. The Handling of Scenery. pg268
  • 11. Stage Properties and Effects. pg313
  • Part 3. Designing the Lighting.
  • 12. Introduction to Stage-Lighting Design. pg343
  • 13. Elements of Electricity. pg369
  • 14. Color in Light. pg388
  • 13. Light Sources. pg400
  • 14. Reflection, Refraction and Absorption. pg410
  • 17. Stage-Lighting Instruments. pg41
  • 18. Light as Scenery. pg440
  • 19. Intensity Control. pg466
  • 20. Lighting Equipment for Noncommercial Stage. pg486
  • 21. Lighting Designs for Typical Proscenium Productions. pg501
  • 22. Designint the Lighting for Other Form of Procuction. pg523
  • 23. Lighting in the Commercial Theatre. pg543
  • Glossary. pg573
  • Additional readind on scene design. pg578
  • Additional readind on technical production. pg581
  • Additional readind on stage lighting. pg583
  • Index. pg585
Construire pr le temps un regard : G.-C. François
2009
Fage
Construire pr le temps un regard : G.-C. François
Auteur : Collectif

ISBN : 2849751588

Architecture de l’imaginaire voué à révéler le vivant, la scénographie au théâtre et au cinéma génère une poésie des lieux, des matériaux et de la lumière. Habituellement, la scénographie se font dans la représentation. Elle donne à voir, construisant un espace pour le temps d’un regard et d’une écoute.

Cet ouvrage met en exergue l’art discret d’un scénographe actif depuis plus de 40 années (avec Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil notamment, mais aussi avec Otomar Krejca), dont l’oeuvre, étonnamment diversifiée, est considérable.

Le travail de Guy Claude François se caractérise par un éclectisme qui puise tant dans le champ de l’histoire, de l’architecture, savante et populaire, de l’art et des civilisations, des religions, de la littérature, de l’archéologie, que dans la géographie, la géologie et les cultures du monde moderne ; et, au fil de ses réalisations toutes tendues vers la révélation incarnée sur scène ou sur écran d’une écriture dramatique, lyrique ou filmique, à chaque fois singulière, le langage scénographique révèle un monde poétique incessamment renouvelé, une facture, une vision, un style.

  • Taille : 29,5cm x 16,5cm
  • Varia.
  • Entrer dans l’intimité créatrice d’un scénographe par Blandine Chavanes, Philippe Bataille, Philippe Coutant. pg4
  • « Construire pour le temps d’un regard » par Danielle Pauly et Marcel Freydefont. pg8
  • Un indiscret de l’esquisse, enquête de l’essentiel par Marcel Freydefont. pg11
  • Par-delà le miroir par Danielle Pauly. pg29
  • Décors de théâtre, décors de cinéma par Jean-Pierre Berthomé. pg41
  • La scénographie est-elle un art ? par Luc Boucris. pg59
  • Entretien avec Ariane Mnouchkine par Jean Chollet. pg75
  • Entretien avec Guy Claude François par Marcel Freydefont. pg83
  • Enseigner la scénographie par Guy Claude François. pg94
  • Maquettes commentées par Guy Claude François. pg96
  • Biographie par Marcel Freydefont. pg103
  • Teâtrographie. pg106
  • Filmographie. pg118
  • Liste des oeuvres exposées. pg119
  • Bibliographie. pg126
  • Conception et réalisation de l’exposition et remerciements. pg130
Georges Pitoeff, metteur en scène
1979
Ed. l'Age d'Homme
Georges Pitoeff, metteur en scène
Auteur : Jacqueline Jomaron

40 ans après sa mort, Georges Pitoeff apparaît comme le plus important metteur en scène de l’entre-deux-guerres par la cohérence de ses conceptions théâtrales, le modernisme de son répertoire, l’unité de sa vision plastique.

Face aux réticences de Copeau et des autres animateurs du Cartel vis-à-vis de théâtre étranger susceptible, par ses innovations, de choquer la « modération du goût français », Pitoeff a, par sa recherche inlassable d’oeuvres contemporaines, donné à son répertoire une dimension véritablement internationale. Son affirmation que l’arsenic est un art absolument indépendant dans le metteur en scène et le maître absolu - affirmation qui l’a conduit à chercher et à exprimer dans toute oeuvre classique « ce que l’esprit contemporain peut y puiser » - est aux origines d’un courant qui n’a fait depuis que se développer.

Le présent ouvrage est le premier à retracer sa carrière à Pétersbourg : 2908 à 1913, ces premières expériences théâtrales, au contact de metteur en scène tel Komissarjevski, Evreïnov, Meyerhold, Taïrov, de décorateurs tels Sapounov, Golovine, de peintres tels Larionov, Malevitch, sont déterminantes pour éclairer la place originale qu’il a tenue ultérieurement en Suisse et en France.

Jacqueline Jomaron étudie - à partir de documents inédits pour une large part, livre de régie, maquettes, photographies, correspondance - plus de 60 mises en scène des auteurs les plus représentatifs du répertoire dePitoeff (Tchekhov, Pirandello, Shaw, IBsen, Shakespeare, Menormand, Claudel, Gorki, O’Neil, etc.). Ce livre témoigne de l’apport culturel considérable qu’a représenté le théâtre de Pitoeff pour le public français ainsi que de la nouveauté des solutions scéniques qu’il a imaginées pour des pièces fort différentes. Il fait revivre le remarquable acteur que fut Pitoeff, interprète passionné de rôle apparemment antithétique. Appuyer sur l’examen exhaustif des maquettes qu’il a laissées, il situe sa véritable place décorateur, seul représentant en France du vaste mouvement européen de rénovation plastique qui, commencé au début du siècle, a trouvé ses formes les plus originales dans les années 20.

80 photographies hors-texte, dont beaucoup sont inédites.

Jacqueline Jomaron, agrégé et docteur ès lettres, a créé l’Institut d’Etudes Théâtrales de Paris-Nanterre qu’elle dirige depuis 1970.

  • Taille : 23cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg9
  • I. La sur détermination russe. pg14
  • Tiflis : 1884-1902. pg15
  • Moscou : 1902-1905. pg17
  • Intermède parisien : 1905-1908 . pg21
  • Pétersbourg : 1908-1913. pg24
  • II. La Compagnie Pitoeff en Suisse et en France.
  • Genève : 1915-1922. pg40
  • Paris : 1922-1939. pg58
  • La Comédie des Champs-lysées : février 1922-mars 1924. pg58
  • D’un théâtre à l’ autre : une 1925-1934.pg63
  • Le Théâtre des Mathurin : 1934-1939 .pg72
  • III. Théorie et pratique.
  • « Des idées jetées au hasard … ». pg81
  • Un « régisseur idéal » ? pg93
  • « Une fortune entière ne me ferait pas jouer dans les décors des autres ». pg102
  • Les choix de Pitoeff .pg111
  • IV. Tchekhov p.g119
  • V. Pirandello. pg136
  • VI. Shaw. pg158
  • Extraits de lettres de Shaw à Pirandello. pg179
  • VII. Ibsen. pg183
  • VIII. Les auteurs français contemporains. pg205
  • IX. Lenormand. pg227X
  • Shakespeare. pg245
  • XI. « Autant de mises en scène que des pièces ». pg275
  • La Petite Baraque, de Blok. pg276
  • La Puissance des ténèbres et le Cadavre vivant, de Tolstoï. pg280
  • Dans les bas-fonds, de Gorki. pg284
  • Liliiom, de Monar. pg286
  • Le Juif du Pape, de Fleg. pg293
  • le Singe velu, d’O’Neill. pg298
  • En matière de conclusion. pg305
  • Annexes.
  • I. P Spectacle de Georges Pitoeff. pg313
  • II. Auteurs joués par Georges Pitoeff en Russie, en Suisse et en France. pg326
  • III. Esquisse et dessins de Georges Pitoeff. pg333
  • IV. Correspondance Jacques Copeau/ GeorgesPitoeff. pg336
  • Ecrits et interviews de Georges Pitoeff. pg348
  • Biographie sélective sur Pitoeff. pg352
  • Index des noms cités. pg354
  • Index des pièces citées. pg361
  • Table des illustrations. pg366
Pina Bausch ou L'art de dresser un poisson rouge
2001
l'Arche
Pina Bausch ou L'art de dresser un poisson rouge
Auteur : N. Servos, D. Le Parc, M. Vanden Abeele, F. Carbone

ISBN : 2851815016

L'ouvrage de Norbert Servos est entre-temps devenu la "bible de l'art du Tanztheater". Cette réédition augmentée de toutes les créations des années 2000, décrit et analyse chaque pièce avec de nombreuses illustrations à l'appui et des interviews inédites avec la chorégraphe. Un ouvrage-clé pour comprendre le travail de Pina Bausch et sa troupe, et leur influence majeure sur le théâtre et la danse de notre époque.

  • Taille : 21cm x 13,5cm
  • Table des matières.
  • Le temps des Mythes et le présent. pg9
  • L’expérience du corps. pg16
  • Le Sacre du Printemps. pg37
  • Les Septs Péchés Capitaux. pg45
  • Barbe-Bleue. pg54
  • Komm, Tanz mit Mir. pg62
  • Rnate Wandert Aus. pg68
  • Il la prend par la main et l’emmène au château, les autres suivent. pg74
  • Café Müller. pg83
  • Kontakthof. pg90
  • Arien. pg103
  • La Légende de la Chasteté. pg111
  • 1980 - Une pièce de Pina Bausch. pg119
  • Bandonéon. pg128
  • Walzer. pg136
  • Nelken. pg144
  • Dans la montagne on a entendu des hurlements. pg152
  • Two Cigarettes in the Dark. pg165
  • Viktor. pg176
  • Ahnen. pg185
  • La Plainte de l’Impératrice. pg191
  • Palermo Palermo. pg199
  • Tanzabend II. pg207
  • La Pièce au Bateau. pg215
  • Ein Trauerspiel. pg223
  • Danzon. pg232
  • Nur Du. pg240
  • Le Laveur de Vitres. pg248
  • Masurca Fogo. pg257
  • O Dido. pg264
  • Wiesenland. pg273
  • Agua. pg281
  • Trois interviews avec Pina Bausch. pg289
  • « La danse est le seul vrai langage. » pg291
  • «  On doit être sensible et très attentif. » pg298
  • « Avoir à nouveau envie de prendre la vie à bras le corps. » pg307
  • Bibliographie et Index des pièces. pg315
  • Remerciements. pg351
  • Crédits photographiques. pg352
Rideau-Regards sur le th. - B. De Coster
1993
Duculot
Rideau-Regards sur le th. - B. De Coster
Auteur : Dominique Gaffé

ISBN : 2801110515

Né à Bruxelles le 30 novembre 1954, Bernard De Coster y a fait des études de scénographie dans la classe de Serge Creuz à La Cambre, et d’art dramatique dans la classe de Claude Etienne au Conservatoire. Il est ensuite devenu régisseurs technique et assistant d’Albert-André Lheureux au théâtre de l’Esprit Frappeur avant d’entreprendre une fulgurante carrière de metteur en scène 1976. Le Challenge théâtra lui a été décerné en 1977 pour l’Orestie, et l’Eve triennale de la mise en scène en 1982 pour Cyrano de Bergerac et Aïda vaincue.

Bernard De Coster a aussi été chargé de cours de Suzanne Philippe, de Claude Etienne et de Pierre Laroche au Conservatoire de Bruxelles.

Il est décédé le 7 mars 1991, non sans avoir dirigé une dernière fois Claude tienne, dans le rôle de J.I. Borges, et répété avec Pietro Pizzuti la version italienne de la Lettre aux Acteurs de Valère Novarina.

Une formation de physiciens jointes un amour illimité des lettres, de la musique et des arts plastiques a conduit Dominique Gafé a développé une technique photographique spécialement adaptée au théâtre, au ballet et à l’opéra. Maurice Huisan, Jacques Huisman, Jean Nergal, Roger Domani et Claude Etienne lui ouvrirent d’emblée les portes de leur théâtre, et Serge Creuz le poussa à exposer. L’art de Bernard De Coster fascina le photographe dès les premières réalisations. Dans l’esthétique de son contemporain - Dominique Gafé est né en 1956 - Bernard De Coster retrouve à celle de ses spectacles. Leur complicité artistique fut bien plus qu’une éphémère coïncidence : une évolution parallèle en établit la pérénnité, du baroque à l’épure, de la fresque à la sculpture. Ce livre en est le fruit.

  • Taille : 27,5cm X 29,5cm
  • Sommaire :
  • Claude Etienne. pg9
  • Jacques Huisman. pg11
  • Jacques Franck. pg13
  • Dominique Gaffé. pg22
  • Fernando Arrabal. pg42
  • Maurice Béjart. pg46
  • Pietro Pizzuti. pg48
  • Jacqueline Bir. pg52
  • Thierry Bosquet. pg54
  • Jacqueline Bir. pg56
  • Adrian Brine. pg58
  • Serge Creuz. pg62
  • Jacqueline Bir. pg64
  • Pietro Pizzuti. pg66
  • Marcel Delval. pg80
  • Claude Etienne. pg82
  • Frédéric Devreese. pg85
  • Marie-Ange Dutheil. pg86
  • Jean-Pierre Finotto. pg88
  • René Hainaux. pg92
  • Marion Hansel. pg96
  • Yves Larec. pg100
  • Pierre Laroche. pg104
  • Baudouin Mayence. pg108
  • Valère Novarina. pg112
  • Pietro Pizzuti. pg116
  • Philippe van Kessel. pg122
  • Bernard Yerlès. pg124
  • Martine Renders. pg148
  • Parcours. pg151
Écl-Notion base, projets d'installation
1981
Technique et documentation
Écl-Notion base, projets d'installation
Auteur : Patrick Vandeplanque

ISBN : 2852060914

Préface.

La science de « l’éclairage » n’est pas une discipline très ancienne. Mais, en quelques décennies, le progrès de l’éclairage artificiel a, en quelque sorte, entraîner l’affinement des mesures et des connaissances en ce domaine.

Il est précieux que le livre de M. Vandeplanque fasse le point, 980, des derniers développements de nos connaissances en la matière.

L’écart artificiel, qui étend son empire sur des espaces de plus en plus larges, et apporte dans le rythme du temps quotidien des bouleversements inconnus jusque-là, constitue un facteur important, souvent sous-estimé, de la révolution des modes de vie de notre époque. Les médecins, les psychologues, et les sociologues commencent seulement à en prendre la mesure.

Il reste que, quel que soit l’accroissement de nos connaissances, le raffinement et leur précision, le domaine de l’éclairage laisse encore aux chercheurs de vastes champs de plantation.

Traitant, en effet, de la lumière, c’est-à-dire de ce qui permet au monde d’apparaître à l’homme, avec ses formes et ses couleurs, l’éclairagiste à bord d’un aspect de la réalité extrêmement complexes, avec d’ailleurs une sorte des tonnantes superbes, puisqu’ils ne visent à rien moins que de donner à celui qui le possède, la maîtrise de l’apparition du monde aux yeux des hommes.

Or l’apparition du monde n’est pas un effet que l’on peut produire sans mettre en jeu la totalité des rapports qui unissent dès sa naissance l’homme et son mode environnant. J’entends par là que cette apparition ne peut pas être impunément univoque.

Il ne suffit pas de dire : « j’étais à cette route, ce chemin de piétons, ou cette pièce, avec un niveau et des conditions d’éclairement suffisante à fin que le chauffeur, le piéton, où l’habitant puisse se déplacer dans l’espace en toute sécurité ». Cette conception de l’éclairagiste, qualifié de fonctionnel, l’empêchant rien que la matière pour la route est espérée ne donne au monde une coloration et une saveur qui, parallèlement à sa pratique, évoque les fantômes de la nuit, les ombres inquiétantes, la tristesse du grand vide soudain creusé par la fuite indéfinie des réverbères, ou bien au contraire la joie et la gaieté des milieux brillamment éclairés. On ne peut pas dissocier, dans l’éclairage du monde, la création d’un espace rendu praticable par la lumière, de toutes des connotations culturelles ou psychiques qui l’accompagnent pas mieux inévitablement.

Comme toutes les sciences, celle de l’éclairage est d’abord obligée, pour démêler l’écheveau compliqué et embrouillé non pas seulement de la nature, mais ici, inexorablement, de cet être chimérique qu’est « l’homme voyant » dans le monde, allez d’abord en mesure en quantité simple. Il ne faut pas entendre par là que l’éclairagiste néglige la qualité au bénéfice de la quantité. Non ! Il s’efforce, bien au contraire, d’atteindre la qualité par une maîtrise plus affinée des quantités qu’il s’est produit hier : profitant de ce que le monde physique est relativement accessible à la mesure, il vise à établir des correspondances de plus en plus précises entre certaines qualités de l’apparition du monde, tel que sa clarté plus ou moins intense, ces couleurs plus ou moins nuancées, ces formes plus ou moins nettes, à travers les ombres et les lumières qu’il était sin, et certaines valeurs mesurables et mesurées.

Jean Balladur

  • Taille : 24cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Remerciements.
  • Préface.
  • Première partie : photométrie. pg1
  • I. Ombres et lumières. pg2
  • II. Grandeur photométrique. pg9
  • III. Couleurs des sources. pg19
  • Deuxième partie : appareillage p.g25
  • IV. Lampes à incandescence. pg27
  • V. Lampes à décharge. pg28
  • VI. lampe fluorescente. pg39
  • VII. Les luminaires. pg55
  • Troisième partie : éclairage intérieur. pg67
  • VIII. L’avant-projet d’éclairage intérieur. pg69I
  • IX. Table d’utilance. pg75
  • X. Vérification du projet. pg87
  • XI. Exemple. pg101
  • Quatrième partie : éclairage extérieur. pg133
  • XII. Notion d’éclairage public. pg135
  • XIII. Exemple d’implantation. pg145
  • XIV. Alimentation des éclairages publics. pg153
  • XV. Les installations sportives de plein air. pg159
L'âge d'or des automates 1848-1914
1991
Ars mundi
L'âge d'or des automates 1848-1914
Auteur : Christian Bailly, Sharon Bailly

ISBN : 2869010656

Livre de référence pour les collectionneurs et les spécialistes, cet ouvrage passionnant à tous ceux qui sont fascinés par le charme des automates.

Il est le premier consacré exclusivement aux automates du XIXe siècle, époque à laquelle l’ingéniosité mise au service de l’art a su créer des merveilles. Les collectionneurs d’aujourd’hui qu’il est recherche avec un intérêt toujours grandissant le savent bien.

Après un bref historique sur l’évolution de l’automate depuis les temps anciens, l’auteur étudie son rôle privilégié au XIXe siècle et ses liens étroits avec la vie parisienne. Il retrace ensuite l’évolution des sept grands fabricants de l’époque et de leurs familles depuis la création de leur entreprise au milieu du siècle jusqu’à leur déclin après la première guerre mondiale. Des recherches approfondies dans les archives et dans la presse de l’époque, complétés par les documents personnels des familles des fabricants ont permis de donner avec précision des dates, des adresses, des noms.

Ceux qui sont plus particulièrement passionnés par l’aspect technique de l’automate trouveront leur bonheur dans le chapitre consacré au mouvement musical, aux mécanismes et à la restauration. Enfin, les spécialistes apprécieront les pages de catalogue de l’époque reproduite en fac-similé - publiées pour la première fois - et qui montre une sélection substantielle d’automates.

Plus de 150 aux automates, choisis parmi les collections les plus prestigieux au monde sont ici reproduits en couleurs, grce à l’aimable autorisation de collectionneurs privés qui ont permis ainsi de présenter un ouvrage complet et d’une richesse incomparable.

Christian Bailly

  • Taille : 31cm x 24cm
  • Table des matières.
  • Crédit photo. pg6
  • Remerciements. pg7
  • Préface. pg9
  • I. L’Automate au XIXe siècle : son histoire, sa fabrication . pg11
  • II. Les Maîtres de l’automate. pg25
  • Théroude. pg27
  • Bontems. pg43
  • Vichy. pg63
  • Roullet et Decamps. pg113
  • Phalibois. pg155
  • Lambert. pg171
  • Renou. pg193
  • III. Les secrets de la magie. pg197
  • Restauration par Christiane Simon. pg198
  • Fonctions et mécanismes par Etienne Blyelle. pg204
  • Musique par Etienne Blyelle. pg217
  • IV. Catalogue en fac-similé. pg227
  • Vichy/Triboulet. pg229
  • Roullet et Decamps. pg272
  • Lambert. pg335
  • Notes. pg352
  • Bibliographie. pg357Index des automates. pg358
Guide-Museu Nacional do Teatro
2013
Instituto Portuguës de Museus
Guide-Museu Nacional do Teatro
Auteur : José Carlos Alvarez

ISBN : 9727762875

Este roteiro é uma publicação destinada a apresentar e dar a conhecer o Museu Nacional do Teatro, as suas colecções e a grande riqueza dos seus conteúdos dedicados, em exclusivo, à história da actividade das artes do espectáculo em todos os seus múltiplos aspectos, transformando-o numa instituição com características únicas no nosso país.

  • Taille : 22cm x 13cm
  • ContentsIntroduction. pg5
  • Dreaming about Theatre. pg9
  • Drops of blood - Or were they sweat ? pg13
  • Can Theater be « Museable » ? pg19
  • A Museum to long for theater. pg27
  • The creation of the Museum. pg31
  • The building. pg37
  • The Museu Nacional do Teatro. pg45
  • Objectives and strategic mission. pg49
  • Organisation of collections. pg50
  • The Collections. pg53Stage costume designs. pg55
  • Stage costumes. pg73
  • Set designing. pg83
  • Drawings, portraits and caricatures. pg99
  • Photography. pg105
  • Illustrated postcards. pg113
  • Posters, programmes and tickets. pg115
  • Painting and sculpture. pg123
  • Music. pg127
  • Paper Theaters. pg131
  • Miscellaneous. pg135
  • Library/Documentation center. pg139
  • Assets. pg145
  • International awards. pg150
  • Exhibitions heald at the Museum. pg151
  • Publications. pg152
  • Catalogues of exhibitions. pg152
  • Moographies. pg152
  • Leaflets. pg153
  • Glossary. pg154
Littérature flamande contem. 1890-1923
1923
Opdebeek Anvers
Littérature flamande contem. 1890-1923
Auteur : André de Ridder

Préface.

Le présent de refus de 1909, sous ce titre : les lettres flamandes d’aujourd’hui.

Ecrivain essentiellement flamand, mais possédant quelque aisance à manier la langue française, j’ai cru, à ce moment-là, faire ouvre utile d’intellectuels « européanisation », en offrant à des lecteurs français se résumé de ce que notre littérature flamande avait produit de plus caractéristiques, depuis la renaissance de 1890. (Je ne donnerai-je pas pour pouvoir écrire un volume semblable en anglais ou en italien, en une langue quelconque, qui puisse assurer à notre culture quelque rayonnement, tout comme je serais heureux d’autre part de faire connaître aux Flamands, ce que les cultures étrangères possèdent de plus universel. Je n’ai jamais manqué de me charger de cette mission, la j’en avais la compétence et/ou sans présenter l’occasion. Il faut que, dans ce pays de Flandre règne, comme ailleurs, une certaine curiosité intellectuelle tout accueillante, qu’on se prendrait volontiers pour tche de tenir constamment en éveil. Et qu’on me permette de rêver candidement de telles « impériale Lise » flamand, qui commencerait une pacifique et gracieuse conquête du monde, auprès de ces esprits cultivés et lettrés, dont elle sollicite s’y traite partout l’amitié. Par contre, nous appliquerions généreusement le principe de la réciprocité…)

Mon opuscule fut rapidement épuisé. J’ai cru trouver dans ce succès un argument pour ma politique. Existe-t-il donc, même dans les milieux où la langue française à la préséance, des curieux pour qui notre petite littérature flamande offre quelques les attraits ?

Plusieurs de mes amis belges, quelques camarades de France, un grand nombre d’étudiants ont bien voulu insister auprès de moi, pour que je leur procure une nouvelle édition de ce livre. Ils ont même prétendu ne pas vouloir ignorer plus longtemps un mouvement littéraire, dont ils avaient ouï dire quelques biens et compris la signification toute particulière, dans les « marches » de Belgique, aux confins de la France, de l’Allemagne et de la Rolande. Leurs instances, joint à celle de mon éditeur, m’ont décidé à me mettre à la besogne.

Mon idée première fut de publier une deuxième édition de cette ancienne brochure, en me bornant à ajouter quelques pages au texte primitif, afin de les mettre à jour. En le relisant, il m’a semblé que bien des choses avaient changé depuis 1909, tant dans la hiérarchie de notre part que dans mes propres opinions. C’est qu’en 15 ans une littérature a le temps d’évoluer. D’autant plus que durant cette période - que la guerre séparant deux sections chronologiques assez divergentes - deux générations nouvelles ont eu l’occasion, l’une de s’affirmer pleinement, l’autre de faire ses débuts. Des écrivains meurent, d’autres naissent. Il y en a qui progresse, et d’autres qui reculent. Des doctrines jeunes se font jour. Une école succède à une autre école.

J’ai donc estimé ne pouvoir me contenter de quelques visages joue et retouche. Tout en conservant le plan général de mon petit ouvrage du début et en lui empruntant quelques pages, là où il est fait, ni mon avis n’avait changé, j’ai en somme recomposé en entier ce livre. C’est pourquoi j’ai donné un titre nouveau présent volume, en priant le lecteur de bien vouloir le considérer comme une oeuvre séparée, qui n’a de commun avec la précédente que l’identité du sujet et une même méthode d’exposer.

Mon étude de 60 pages c’est si bien étendu, au cours de ce travail, qu’elle en compte 200 aujourd’hui.

J’ai conçu mon ouvrage sur le livre d’information autant que de critiques. Non point que je me sois astreint à n’être pas de souci de la documentation. Je n’ai caché ni mes préférences, ni mes vues personnelles. Mais, écrivant principalement pour un public étranger, j’ai voulu écarter de l’oeuvre toute polémique, tout parti pris d’école. J’ai surtout voulu en vue une parfaite impartialité, pour que mon livre fut complet et loyal. Sans abjurer les prérogatives du critique, qui ne saurait être « neutre », je n’ai volontairement négligé personne. J’ai même cherché davantage à dire du bien que du mal. J’ai fait mon accueil à tour les groupements et@toutes les tendances, mais forçant toujours de mettre en lumière la qualité de leur initiative et de leur s directions. Tout en procédant ainsi de la manière la plus purement objective, je ne suis pas parvenu toutefois à trahir mes sympathies, ni à dissimuler mes opinions. Si déjà ici, j’ai usé de tout mon franc-parler, j’entends me réserver, à l’avenir comme par le passé, le droit de critique le plus absolu, à l’égard de tous les écrivains et de tous les programmes, dont j’ai parlé ici en informateur surtout, avec une docile compréhension et une objectivité sympathisante, en évitant le plus possible la controverse.

Janvier 1923.

  • Taille : 22cm x 14,5cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg7
  • Chapitre I.
  • Les Origines.
  • - La liquidation du romantisme. pg11
  • - Les débuts de « Van Nu en Straks ». pg16
  • - Les précurseurs du mouvement moderne. pg18
  • - Les exemples étrangers. pg22
  • - L’oeuvre des « Jeunes » de 1890. pg24
  • « Van Nu en Straks » et les ainés. pg33
  • Chapitre II.
  • Quelques caractères généraux.
  • - Nationalisme et régionalisme. pg40
  • - Génie pictural et sens plastique. pg42
  • - Le souci de « l’humble vérité ». pg45
  • - Influence. pg46
  • - Du pessimisme ? pg48
  • - Par les populaires et langues savantes. pg49
  • - Critiques contre «Van Nu en Straks ». pg52
  • Chapitre III.
  • Le roman.- L’oeuvre de Stijn Streuvels .pg57
  • - L’oeuvre de Cyriel Buysse. pg66
  • - L’oeuvre de Herman Teirlinck. pg70
  • - L’oeuvre de Karel van de Woestijne. pg76
  • - L’oeuvre de d’Auguste Vermeylen. pg80
  • - L’oeuvre de d’Emmanuel de Bom. pg85
  • - L’oeuvre de Fernand Toussaint. pg86
  • - L’oeuvre de Maurits Sabbe. pg89
  • - L’oeuvre de Lode Baekelmans. pg94
  • - Les romanciers naturalistes. pg100
  • - Les romanciers populaires. pg9
  • - Le néo-romantisme. pg111
  • Chapitre IV.
  • La Poésie.
  • - L’oeuvre de Prosper van Langendonck. pg115
  • - L’oeuvre de Karel van de Woestijne. pg118
  • - L’oeuvre de d’Edmond van Offel. pg125
  • - Les poètes catholiques. pg126
  • - La poésie populaire. pg131
  • - Poètes divers. pg135
  • Chapitre V.
  • Théâtre et critique.Théâtre :
  • - Alfred Hegenscheidt et «  Starkadd ». pg138
  • - la tragédie historique. pg140
  • - Le théâtre réaliste. pg141
  • - Le thétre bourgeois. pg142
  • - Le thétre psychologique. pg143
  • - Herman Teirlinck, auteur dramatique. pg144
  • - Les Jeunes au théâtre. pg150
  • Critique :- Pénurie critique.pg157
  • - L’ouvre critique de Vermeylen, Van de Woestijne et autres. pg159
  • - Essayistes et historiens de la littérature. pg164
  • ChapitreVI.
  • La Jeune Génération.
  • - La nouvelle génération (1905 - 1914) : Vlaamsche Arbeid et De Boomgaard. pg169
  • - le dandysme littéraire et l’eugénisme social. pg174
  • - Théorie moderniste. pg178- Les poètes de la guerre. pg182
  • - Un romancier de la nouvelle génération : Félix Timmermans. pg185
  • - Le «Pallieterisme p ».g190
  • - Jeunes romanciers. pg194
  • - Jeunes poètes. pg200
  • - Les derniers venus. pg203
  • - Inquiétude. pg206
  • Index alphabétique des noms cités. pg209
T. Kantor:Le théâtre Cricot 2:La Classe Morte, Wielopole-Wielopole
1983
CNRS
T. Kantor:Le théâtre Cricot 2:La Classe Morte, Wielopole-Wielopole
Auteur : D. Bablet, B.Eruli, T. Kantor

ISBN : 2222031060

Avant-propos (extraits).…

Le onzième volume des Voies de la création théâtrale est donc consacré à un seul homme, un seul artiste de théâtre : Tadeusz Kantor. Pourquoi ? Par admiration ? Sans doute, mais voilà une réponse qui n’est guère scientifique, même s’il est bon, en matière artistique, de pouvoir aimer ce qu’on analyse, à condition de savoir s’en distancer pour conserver le regard critique de celui qui tente de découvrir et d’expliquer. …

En quoi réside donc la profonde originalité de Tadeusz Kantor ?

Il n’est pas auteur, même si son dernier spectacle Wielopole-Wielopole ne comporte pas d’auteur préexistant. Il n’est pas metteur en scène au sens traditionnel du terme, même s’il dirige les comédiens, et impulse, car sa fonction est à la fois autre et plus vaste. Il n’est pas comédien, même s’il en a le tempérament et si, depuis La Poule d’eau il est constamment présent sur l’aire de jeu : qu’y fait-il ? … Il est de par ses origines et ses pratiques conjointement artiste plasticien (peintre et plus que cela) et homme de théâtre, sans qu’à aucun moment le théâtre soit pour lui une sphère d’application de la peinture. Ceci dit, tout en restant peintre, le peintre qu’il est se mue en homme de théâtre pour créer l’appel visuel de ses spectacles, démarche garante de leur harmonie.…

Denis Bablet

  • Taille : 27,5cm x 22cm
  • Table des matières.
  • « Petit manifeste » par Tadeusz Kantor. pg7
  • Avant-propos par Denis Bablet. pg9
  • Remerciements. pg13
  • Tadeusz Kator et le Théâtre Cricot 2 par Denis Bablet. pg15
  • La Classe Morte.
  • Avant-propos par Denis Bablet. pg57
  • Le Théâtre de la mort par Tadeusz Kantor. pg59
  • « La Classe morte » » (scènes) par Tadeusz Kantor. pg67
  • Commentaires par Tadeusz Kantor. pg69
  • Avertissements par Tadeusz Kantor. pg71
  • Les personnages de « La Classe morte » par Tadeusz Kantor. pg73
  • L’action de la pièce de S.-I. Wiekiewicz « Tumeur Cervicale » par Tadeusz Kantor. pg75
  • La partition scénique par Tadeusz Kantor. pg79
  • Présence de Tadeusz Kantor par Denis Bablet. pg181
  • Wielopole-Wielopole.
  • « Wielopole-Wielopole » (les séquences) par Tadeusz Kantor. pg195
  • Wielopole-Wielopole par Brunella Eruli. pg201
  • Annexes. pg273
  • Chronologie. pg273
  • Brève bibliographie sélective. pg276
  • Filmographie. pg278
  • Index. pg279
  • Crédits photographiques. pg281
Le Théâtre de la Mort
1977
Ed. L'Age d'Homme
Le Théâtre de la Mort
Auteur : Tadeusz Kantor, Denis Bablet

«  ceci n’est pas un livre sur Tadeusz Kantor, mais un recueil d’écrits. En même temps qu’il peint, qu’il élabore la réalité scénique pour créer ces spectacles, quand on fait le point, accuse et s’explique en une série de témoignages - manifeste, partition de spectacles et de happening, interviews, articles - qui éclaire sa démarche en affirme son originalité. » Denis Bablet

  • Taille : 21cm x 13,7cm
  • Table des matières
  • Avertissements pg7
  • Introduction par Denis Bablet
  • - «le jeu et ses partenaires » pg9
  • Le thétre indépendant (1942 - 1944)1 - Credo pg31
  • 2 - Là où le drame se crée pg31
  • 3 - Action pg32
  • 4 - le rôle émoussant du théâtre pg32
  • 5 - Concrétise pg32
  • 6 - L’extériorité ou réalisme extérieur pg33
  • 7 - Notes en marge des répétitions dur « Retour d’Ulysse » pg33
  • 8 - L’illusion et la réalité concrète pg34
  • 9 - le jeu des acteurs pg35
  • 10 - Déformations de l’action pg36
  • 11 - La croissance et le renforcement de l’illusion pg36
  • 12 - Illusion et réalité pg36
  • 13 - Communications intérieure du spectacle avec la scène pg36
  • 14 - Les deux réalités pg37
  • 15 - Abstraction, stylisation, naturalisme pg37
  • 16 - Les prétendus décors pg38
  • 17 - Pathos (remarques en marge du Retour d’Ulysse) pg39
  • 18 - Le retour d’Ulysse - I pg39
  • 19 - Le retour d’Ulysse - II, 1942 pg40
  • 20 - Le retour d’Ulysse - III pg 40
  • 21 - résumé pg41
  • Le théâtre Cricot 2 Naissance du théâtre Cricot pg45 Partition : la pieuvre de S. I. Witkiewisz pg47
  • Le théâtre informel essai : le « théâtre informel » pg55
  • Partition : Dans le petit manoirde S. I. Witkiewisz. Extrait pg58
  • Complexes Theater Préface-manifeste dans le programme du spectacle Der Schrank (l’Armoire) au Theater der Stadt, Baden-Baden, 1966 pg67
  • Les Emballages Emballages manifeste pg69
  • Le premier emballage pg73
  • L’idée d’emballage
  • 1 - Du collage à l’emballage pg74
  • 2 - Enveloppe - paquet pg76
  • 3 - Idée d’une exposition à la poste pg77
  • 4 - Vêtement - emballage pg77
  • 5 - Emballage humain pg79
  • 6 - De l’emballage à l’idée de voyage pg79
  • 7 - Parapluie pg80
  • Le Théâtre Zéro vers le zéro pg83
  • Manifeste du « Thétre Zéro » pg85
  • Partition : Le fou et la none de S.I. Witkiewicz. Extrait pg96
  • Description de l’action : le fou et la nonne pg107
  • Les essais sur le Théâtre zéro :
  • 1 - Le thétre zéro pg113
  • 2 - Le non-je u pg116
  • 3 - Notes concernant le théâtre zéro pg117
  • 4 - Anti activité pg118
  • 5 - Jeu en « sourdine » pg119
  • 6 - Effacement pg120
  • 7 - Absorption de l’expression pg120
  • 8 - Végétation. conomie de gestes et d’émotions pg121
  • 9 - Automatisme pg121
  • 10 - Situations gênantes pg121
  • 11 - Réduction à zéro des valeurs de signification et de contenu pg122
  • 12 - Elimination par l’usage de la force pg122
  • 13 - Le jeu sous la contrainte pg122
  • 14 - emballage pg123
  • Aux frontières de la peinture et du théâtre Contre la forme (Essais) :
  • 1 - Crise de la forme pg125
  • 2 - Remarque générale pg125
  • 3 - Evolution pg126
  • 4 - Objet et images pg127
  • 5 - Happening pg129
  • 6 - Informelle pg129 anti exposition pg129
  • Happening-cricotage (partition) pg133
  • Happening : grand emballage (partition) pg139
  • La lettre. Happening-cricotage pg149
  • « Happening panoramique de la mère (partition) pg153
  • Le thétâre-Happening méthode de l’art d’être acteur pg159
  • La condition d’acteurs pg162
  • Préexistence scéniques pg165
  • A propos de la Poule d’eau pg166
  • Le Thétre « I » Explication pg171 Les partitions :
  • 1 - (…) pg178
  • 2 - la chambre pg178
  • 3 - Casino pg179
  • 4 - Les montagnes pg182
  • Du réel à l’invisible Histoire de la chaise pg185
  • Manifeste 1970 pg191
  • Sur l’oeuvre de Maria Stangret essaie de oui/Brodsky : « L’oeuvre de Maria Stangret, collaboratrice et actrices de Cricotent 2 » pg201
  • Théâtre Cricot 2
  • La structure et l’ensemble du Théâtre Cricot 2 pg201
  • Le Théâtre Impossible(Essais ) pg207
  • Le Théâtre de la Mort
  • Essai : Le Théâtre de la mort pg215
Grotowski
1970
Ed. L'Age d'Homme
Grotowski
Auteur : Raymonde Temkine

« L’étude sur Jerzy Grotowski et sans thétre laboratoire que voici se propose de faciliter l’accès à une ouvre insolite qui, bien souvent, au premier abord des routes et fascine à la fois : des clés qui manquent, mais on sent, derrière la porte, une chambre au trésor. Il y a l’obstacle de la langue, bien sr. On le déplore, mais il est visible et on n’en tient compte. Il y a l’obstacle de toute une culture, différente de la nôtre sans qu’on s’en avise assez. Et aussi celui d’une forme thétrale qui s’invente en bafouant notre tradition. D’où les désarrois, des réticences. Si la fascination et la plus forte, on s’enflamme au contraire ; mais là aussi, souvent, dans le malentendu. » Raymonde Temkine

  • Taille : 20,5cm x 12cm
  • Table des matières
  • Note liminaire pg9
  • Avant-propos
  • - l’entreprise de théâtre en Pologne pg13I
  • - Approches
  • 1 - Un événement au Thétâre des Nations pg21
  • 2 - « Akropolis » à l’épée de bois pg35
  • 3 - Une découverte pg39
  • II - Etapes1 - Jerzy Grotowski pg53
  • 2 - Du théâtre à l’institut pg61
  • III - Une conception du théâtre
  • 1 - Refus d’éléments parasites pg69
  • 2 - Théâtre et littérature pg81
  • 3 - Théâtre et philosophie pg93
  • 4 - le spectateur du Théâtre-Laboratoire pg107
  • IV - L’exercice du métier
  • 1 - Les conditions du travail pg121
  • 2 - Le couple acteur-metteur en scène pg135
  • 3 - Le travail d’acteur pg145
  • 4 - De l’authenticité au théâtre pg159
  • V - De quelques spectacles
  • 1 - Spectacles en chaîne pg165
  • 2 - « Akropolis » pg173
  • 3 - « La vie tragique du Docteur Faust » pg183
  • 4 - «  le Prince constant » pg193
  • VI - Mises au point
  • 1 - Grotowski et Stanislavski pg207
  • 2 - Grotowski et Brecht pg215
  • 3 - Grotowski et Artaud pg221
  • 4 - Grotowski et le Living pg227
  • Il n’est pas question de conclure pg233
  • Le répertoire du Théâtre-Laboratoire pg237
  • Léquipedu Théâtre-Laboratoire pg239
  • Bibliographie pg245
Le Living Theater - histoire sans légende
1968
Ed.L'Age d'Homme
Le Living Theater - histoire sans légende
Auteur : Pierre Biner

« « Chaque fois que j’accepte un dollar de quelqu’un ou que je donne un franc à quelqu’un, je me sers du système guerrier et sanglant que les hommes ont adopté pour leurs échanges, et je lui apporte mon soutien. Nous sommes tous impliqués. Chaque mouvement que je fais est d’un acquiescement d’esclaves, face au système. La seule façon dont je pourrais vivre décemment et honorablement en ce qui touche le système serait de me trouver sous sa domination directe brutale et coercitive. » Cette déclaration de Judith Malina date des premiers mois de l’exil européen du Living. Et l’indication de tout jugement exclusivement esthétique et inadéquat, lorsqu’il s’applique au Living. S’il y a de la beauté, de l’art dans les spectacles du Living, ça ne peut être qu’en plus. Dialoguer, d’abord. Dire. Dire non à la guerre, à toutes les atteintes à la liberté, à toute violence, quelle que soit la bonne cause. » Pierre Biner

  • Taille : 20,4cm x 12,2cm
  • Table des matières
  • Avertissement pg9
  • 1 - Du papier à en-tête pg11
  • 2 - 6000 dollars, c’est beaucoup trop pg14
  • 3 - Changer le langage, d’abord pg20
  • 4 - Faust III pg23
  • 5 - Miss Stein et Mr. Williams pg28
  • 6 - One Hundretch Street pg33
  • Un théâtre pour rêver pg35
  • 7 - La tache noire pg38
  • 8 - Fourteenth Street pg39
  • 10 -The Connection pg42
  • 11 - Artaud ? C’est tout droit pg47
  • 12 - Jeux de hazard pg51
  • 13 - Money, money, money pg58
  • 14 - The Brig pg61
  • 15 - Petit bilan pg71
  • 16 - Les journées d’octobre 1963 pg72
  • 17 - La loi, fière de sa rigidité pg76
  • 18 - Mysteries and Smaller Pieces pg82
  • 19 - Les méchants gamins de huit ans pg91
  • 20 - De l’analogie pg95
  • 21 - Les Bonnes pg103
  • 22 - Trois hommes, pas trois jolis garçons pg110
  • 23 - les sources lointaines de Frankenstein pg113
  • 24 - Frankenstein, premier acte : naissance de la créature pg117
  • 25 - Frankenstein, deuxième acte : découverte du monde tel qu’il est pg128
  • 26 - Frankenstein, troisième acte : si l’on réussissait la pièce ? pg140
  • 27 - La soirée scandale pg140
  • 28 - Antigone : de Sophocle à Brecht, de Brecht au Living pg150
  • 29 - « Un jour peut-être, nous serons pleinement une communauté anarchiste » pg167
  • Documents - Informations pg175
  • Production du living thétre à New York pg175
  • Film auxquels le Living Thétre a participé pg176
  • Principal émissions TV (spectacles) pg182
  • Discographie pg183
  • Bibliographie sélective pg184
  • Tournées européennes pg191
  • Table des photographies pg201
Ma vie dans l'Art
1999
L'Age d'Homme
Ma vie dans l'Art
Auteur : K. Sergueevitch Stanislavski, Denise Yoccoz

ISBN : 2-8251-1278-X

« Ma vie dans l’art a l’intérêt De nous présenter l’évolution de l’armée de l’artiste, de nous donner un compte rendu de ses variantes et de ses errances. Parmi tous les 19 qui marqua son chemin, Stanislavski et le grand mérite de n’en exclure aucun a priori, tant il avait horreur de l’idée toute faite, la stagnation et du contentement de soi. Il croyait à la pluralité des voix de la. »

  • Taille : 22,5cm x 15,4cm
  • Table des matières
  • Avant-propos par Denise Yoccoz pg7
  • Introduction par Denise Yoccoz pg9
  • Ma vie dans la Enfance artistique (titre de la rédaction)vieille aussi pg17
  • Entêtement pg27
  • Le cirque pg30
  • Le thétre des marionnettes pg38
  • L’Opéra italien pg41
  • Le jeu pg46
  • Notre éducation pg52
  • Le théâtre Maly pg57
  • Premier début pg64
  • Le métier d’acteur dans la vie pg71
  • La musique pg77
  • L’école dramatique pg87
  • Adolescence artistiquele cercle Alexeev - l’Opérette pg101
  • Un concurrent pg110
  • Le ballet - ma carrière dans l’Opéra - cercle d’amateurs pg117
  • Jeunesse artistique
  • La société moscovite d’art et de littérature pg133
  • Première saison : chirurgie pg136
  • Heureux hasard pg144
  • La maîtrise de soi - amère destinée pg149
  • Deux pas en arrière - l’hôte de Pierre - intrigue et amour pg154
  • « Quand vous jouez un méchant, chercher ce qu’il a de bons »
  • - les autocrates pg158La composition
  • - la fit sans doute
  • - un rouble pg162
  • Nouvelle méprise
  • - ne vit pas comme il te plaît
  • - secret de femmes pg166
  • Les Meininger pg171
  • Apprentissage pg173
  • Première expérience de mise en scène dramatique
  • - les fruits de l’instruction pg179
  • Un succès très personnel
  • - Le bourg de Stepantchicovo pg182
  • Où je fais connaissance avec Léon Tolstoï pg186
  • Un succès auprès du public
  • - Uriel Acosta pg192
  • Où je me passionne pour mon travail de metteur en scène
  • - Le juif polonais pg198
  • Mes expériences avec de véritables acteurs pg204
  • Othello pg212
  • Le château de Turin pg223
  • La cloche engloutir pg227
  • Une rencontre qui fait date de pg234
  • En attendant l’ouverture du Théâtre d’Art de Moscou pg241
  • Mise en scène dans la ligne du réalisme historique pg265
  • Le fantastique pg271
  • Symbolisme et Impressionnisme pg277
  • La ligne de l’intuition et du sentiment
  • - La Mouette pg280
  • Tchekhov vient nous voir
  • - Oncle Vania pg288 1900
  • - voyage en Crimée pg293
  • Les Trois Soeurs pg297
  • Premier voyage à Pétersbourg pg302
  • Tournée en province pg308
  • Savva Morozov et la construction de notre théâtre pg310
  • La ligne sociale et politique
  • - un ennemi du peuple pg314
  • Maxime Gorki - les Petits-bourgeois pg319
  • Les Bas-Fonds pg324
  • Réalisme en guise d’intuition et de sentiments
  • - la puissance des ténèbres pg330
  • Réalisme historique en guise d’intuition et de sentiments
  • - Jules César pg333
  • La Cerisaie pg338
  • Le studio de la rue Povarsskaïa pg351
  • Premier voyage à l’étranger pg361
  • Maturité artistique
  • Découverte de vérités depuis longtemps connues pg369
  • Le drame de la vie pg381
  • Ilya Satz et Léopold Soulerjitski pg386
  • Velours noir pg389
  • La vie de l’homme pg396
  • En visite chez Maeterlinck pg405
  • Un mois à la campagne pg405
  • Isadora Duncan et Gordon Craig pg412
  • Tentative de mise en pratique du « système » pg427
  • Le premier studio du Théâtre d’Art pg432
  • Les « Soirées au Chaud » et « Chauve-Souris’» pg442
  • Un acteur doit savoir parler le spectacle Pouchkine pg449
  • La Révolution pg456
  • La catastrophe pg461
  • Caïn pg464
  • Le Studio d’Opéra du Grand Théâtre pg469
  • Départ et retour pg478
  • Bilan et avenir pg488
  • AnnexesAdditifs
  • 1 - Othello pg499
  • 2 - Ernst Possart pg503
  • 3 - Le spectacle de Klimentova-Mouromtseva pg506
  • 4 - Réalisme historique en guise d’intuition et de sentiments - Jules César pg508
  • 5 - Le réalisme politique social pg510
  • 6 - Désaccord avec le décorateur pg511
  • VariantesMise en scène dans la ligne du réalisme historique pg514
  • La ligne de l’intuition et du sentiment - La Mouette pg516
  • Tournée en province pg517
  • Savva Morozov et la construction de notre thétre pg517
  • La Cerisaie pg519
  • Le Studio d’Opéra du Grand Théâtre pg521
  • Notes pg524
Lexique de termes techniques Théâtre en 8 langues
1964
Ed. et Ateliers d'Art Graphiques Elsevier
Lexique de termes techniques Théâtre en 8 langues
Auteur : Kenneth Rae, Richard Southern

Nombreux sont ceux qui ont été à la réalisation de ce livre, et nous voulons leur exprimer notre sincère gratitude, en particulier à la maison Strand Electric, qui, très généreusement, nous a fourni la matière de base de cet ouvrage. Nous sommes reconnaissants aussi envers Madame Louis Yudkin qui nous a permis d’utiliser la documentation que son mari, aujourd’hui disparu, avait réuni pour une semblable publication.

Nous n’oublions pas que beaucoup d’autres nous ont aidé. A eux aussi nous adressons nos remerciements. Sans l’aide des centres de l’I.I.T., notre travail n’aurait pas été possible

  • Taille : 17,2cm x 12,5cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg7
  • Introduction pg11
  • Premières parties :
  • Sections générales pg18
  • Deuxième partie :
  • Américain pg135
  • Néerlandais pg120
  • Anglais ( voir première partie) pg18
  • Français pg103
  • Allemand pg87
  • Italien pg11
  • Espagnolpg95
  • Suédois pg128
Lexique termes techniques Théâtre huit langues
1959
Ed. et Ateliers d'Art Graphiques Elsevier
Lexique termes techniques Théâtre huit langues
Auteur : Kenneth Rae, Richard Southern

Nombreux sont ceux qui ont été à la réalisation de ce livre, et nous voulons leur exprimer notre sincère gratitude, en particulier à la maison Strand Electric, qui, très généreusement, nous a fourni la matière de base de cet ouvrage. Nous sommes reconnaissants aussi envers Madame Louis Yudkin qui nous a permis d’utiliser la documentation que son mari, aujourd’hui disparu, avait réuni pour une semblable publication.

Nous n’oublions pas que beaucoup d’autres nous ont aidé. A eux aussi nous adressons nos remerciements. Sans l’aide des centres de l’I.I.T., notre travail n’aurait pas été possible

  • Taille : 17,2cm x 12,5cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg7
  • Introduction pg11
  • Premières parties :
  • Sections générales pg18
  • Deuxième partie :
  • Américain pg135
  • Néerlandais pg120
  • Anglais ( voir première partie) pg18
  • Français pg103
  • Allemand pg87
  • Italien pg11
  • Espagnol pg95
  • Suédois pg128
Etudes histoire Théâtre France au Moyen-Age, à la Renaissance
1956
Gallimard
Etudes histoire Théâtre France au Moyen-Age, à la Renaissance
Auteur : Gustave Cohen

Ce livre est un recueil d’articles dispersés pendant près d’un demi-siècle dans des revues spécialisées, si introuvable qu’il a parfois fallu les faire photographier. L’auteur est reconnaissant à Gaston Gallimard, toujours prêt aux initiatives les plus à dire, de lui avoir commenté de les réunir.

  • Taille : 20,8cm x 14,3cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg9I
  • - Le Moyen Âge
  • Chapitre 1
  • - Le Drame Liturgique pg15
  • Chapitre 2
  • - Le plus ancien document du théâtre liégeois pg32
  • Chapitre 3
  • - L’évolution de la mise en scène dans le thétre français pg43
  • Chapitre 4
  • - Le termes de sénologie médiévale : Mansion, Chape d’Hellequin pg60
  • Chapitre 5
  • - La « Comédie » Latine en France dans la seconde moitié du XIIe siècle pg71
  • Chapitre 6
  • - La Scène de Pèlerins d’Emmaüs pg106
  • Chapitre 7
  • - La Scène de l’Aveugle et de son Valet pg126
  • Chapitre 8
  • - Le Thème de l’Aveugle et du Paralytique pg152
  • Chapitre 9
  • - Mystères religieux et profane en Avignon à la fin du XIVe siècle pg163
  • Chapitre 10
  • - Le théâtre à Paris et aux environs au XIVe siècle pg169
  • Chapitre 11
  • - Le Mystère du Siège d’Orléans pg179
  • Chapitre 12
  • - Marie-Madeleine dans le théâtre du Moyen-Âge pg204
  • Chapitre 13
  • - Une grande représentation théâtral à Mons, en 1501 pg231
  • Chapitre 14
  • - Les Grands Farceurs du XVe siècle pg245
  • Chapitre 15
  • - Un recueil de Farces inédites du XVe siècle pg261
  • - La Renaissance
  • Chapitre 16
  • - Rabelais et le Théâtre pg271
  • Chapitre 17
  • - Rabelais et la Légende de Saint-Martin pg327
  • Chapitre 18
  • - La Cléopâtre captive de Jodelle pg343
  • Chapitre 19
  • - Clément Marot et le Théâtre pg346
  • Chapitre 20
  • - Ronsard et le Théâtre pg354
  • - Résurrection du Théâtre médiéval
  • Chapitre 21
  • - Gabrielle d’Annunzio et le Martyre de Saint-Sébastien pg363
  • Chapitre 22
  • - Le vrai Mystère de Saint-Sébastien pg370
  • Chapitre 23
  • - La Renaissance du Théâtre breton pg385
  • Chapitre 24
  • - Expériences Théophiliennes pg425
  • Table des planches pg449
Le Théâtre en France au Moyen-Age
1948
Presses Universitaires de France
Le Théâtre en France au Moyen-Age
Auteur : Gustave Cohen

« …

c’est prémices posé et ses exemples donnés, il apparaît moins audacieux, moins inexacte, moins irrévérencieux aussi de dire que le théâtre est sorti de l’Eglise, qu’il a balbutié d’abord ses dialogues en latin, langue du rituel, souligné par les gestes prescrits, au pied des autels, pour se ensuite dans la nef, pour envahir enfin la place publique, les arènes, les salles aménagées pour le contenir ; que les premiers acteurs ont été des prêtres, les seconds, des amateurs, noble, bourgeois, clair et artisans, les troisièmes, au XVIe siècle seulement, des professionnels; que les six sectateurs ont été d’abord des fidèles, ensuite des croyants curieux, ensuite des gens ne cherchant plus que l’émotion ou le plaisir au lieu de l’édification. Rien de plus curieux que de suivre dans les textes comme dans la sénologie, chez les auteurs comme chez les interprètes et les auditeurs, l’invasion il l’efflorescence croissante de l’élément laïque ou profane, voire du comique dans le thétre religieux.

… »

  • Taille : 22,6cm x 14,3cm
  • Table des matières
  • Premières parties
  • Le théâtre religieux
  • Introduction pg3
  • Chapitre premier.
  • - Le drame liturgique pg71
  • - Le cycle de parc pg72
  • - Le cycle de Noël pg103
  • - Autre drame liturgique pg 124
  • - La mise en scène simultanée pg1125
  • - Apparition de la langue vulgaire : le Sponsus pg146
  • - Conclusions pg15
  • Chapitre II
  • - Le drame semi-liturgique (XIIe siècle)1
  • - Introduction pg172
  • - Le jeu de la résurrection pg183
  • - La Trilogie du Jeu d’Adam pg194
  • - Nativité liégeoise pg24
  • Chapitre 3
  • - Jeux et Miracle du XIIIe siècle pg28
  • - Introduction pg281
  • - Le Jeu de Saint-Nicolas de Jean Bodel pg282
  • - Le Miracle de Théophile de Rutebeuf pg30
  • Chapitre 4
  • - Mystères et Miracle du XIVe siècle pg341
  • - Introduction pg342
  • - Miracle de Notre-Dame pg353
  • - La passion du Palatinust pg37
  • Chapitre 5
  • - Les grands Mystères du XVe siècle pg391
  • - Introduction pg392
  • - La passion d’Eustache Marcadé pg403
  • - La passion d’Arnoul Greban pg424
  • - La passion de Jean Michel pg555
  • - La mise en scène pg596
  • - Conclusion pg637
  • - Bibliographie du thétre religieux pg65
  • Deuxième partie
  • Le thétre profane
  • Chapitre premier
  • - Introduction pg691
  • - De pg692 - survivance classique pg733
  • - Minime et jongleurs pg74
  • Chapitre 2
  • - Le XIIIe siècle pg751
  • - Arras, berceau du thétre comique pg752
  • - Notre premier auteur comique :
  • - Adam le bossu dit que la Hale pg77A
  • - Sa vie pg77B
  • - le jeu de la Feuillée pg79C
  • - Le jeu de Robin et Marion pg903
  • - la première farce : - Le Garçon et l’Aveugle pg974
  • - Le premier monologue comique :
  • - Le Dit de l’herberie de Rutebeuf pg995
  • - Conclusion pg100
  • Chapitre 3
  • - Le XIVe siècle pg1021
  • - Moralité liégeoise pg1022
  • - Eustache Deschamps pg1023
  • - Les miracles de Notre-Dame pg1034
  • - L’histoire de Grisélidis pg1045
  • - Conclusions pg105
  • Chapitre 4
  • - Le XVe siècle pg1071
  • - Troupes et représentations pg1072
  • - Les différents genres pg1093
  • - Pièces et recueils pg1114
  • - De latine pg1125
  • - Mystères sujet profane pg1126
  • - Le monologue dramatique pg1137
  • - La Moralité pg1178
  • - La Sottie pg1209
  • - La Farce pg12210
  • - La première comédie :
  • - L’avocat Pathelin pg12511
  • - Formation des troupes professionnelles pg140
  • Chapitre 5
  • - le XVIe siècle pg1461
  • - Mère Sotte :
  • Pierre Gringoire pg1462
  • - Autre acteurs pg1493
  • - La Condamnation de Banquet pg1504
  • - Conclusions.
  • Renouvellement et continuité pg1515
  • - Bibliographie du thétre profane pg153
  • Table des planches pg155
Petit traité de maquillage théâtral
1944
Editions Maréchal
Petit traité de maquillage théâtral
Auteur : René Hensenne

Préface de Georges Randax, Professeur d’Art dramatique au Conservatoire Royal de Liège

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table des matières
  • Index pg5
  • Avant-propos pg7
  • Introduction pg9
  • La boîte à maquillage pg11
  • Liste d’articles pour la boîte de maquillage d’un jeune premier pg12
  • Pour un comédien chargé de composition pg12
  • Bâton ou tube pg14
  • Avant de vous maquiller pg14
  • Maquillage simple pg14
  • Mea-Culpa pg17
  • Différente compositions pg18
  • Vieux beau distingué pg19
  • Vieux beau ridicule pg23
  • Vieux beau comique pg23
  • Vieux bot antipathique pg24
  • Tête comiques pg24
  • Sourcils pg26
  • Pâtes à nez pg27
  • Dents pg 27
  • Pochard invétéré pg28
  • Postiches pg28
  • Travail du crêpé pg29
  • Des cheveux, de la perruque et du front pg30
  • Les lèvres pg32
  • Différentes combinaisons de maquillage pg34
  • Maître d’hôtel pg35
  • Campagnard et Marins pg35
  • Le nez pg38
  • Plaies et cicatrices pg39
  • Transpiration pg39
  • Statues pg40
  • Les militaires pg40
  • Les écclésiastiques pg41
  • Pour vous engager à en savoir davantage pg42
Histoire du Théâtre Italien
1965
Presses Universitaires de France
Histoire du Théâtre Italien
Auteur : Philippe Van Tieghem

Chapitre premier.

Le Moyen Âge (Extrait).

En Italie, comme dans le reste de l’Europe, la ruine politique de l’empire romaine entraîna une rupture dans la tradition de l’art dramatique. Cette rupture était d’ailleurs amorcée, dès avant les grandes invasions, par l’incontestable décadence du théâtre dans l’Empire. Les Romains des premiers siècles après J.-C. avaient eux-mêmes rompus avec la tradition issue la dramaturgie grecque, qui avait été plus ou moins latinisée au cours des deux siècles antérieurs à Jésus-Christ. Aucune rénovation ne s’annonçait depuis le premier siècle après J.-C. L’art dramatique n’était pas seulement sclérosé, comme pourrait l’être la tragédie dans l’Europe du XVIIIe siècle ; il était vraiment mort quant à notre politique nouveau, issus des grandes invasions, vint s’établir peu à peu en Italie comme ailleurs en Europe. Je ne

les causes de cette décadence, puis de cette disparition du théâtre dans l’Empire Romain sont multiples. Je réside sans doute moins dans la carence de l’imagination et du talent dramatique chez les individus portés par nature à écrire, que dans l’absence d’un public homogène, condition première de la vie du théâtre. Cette condition se trouvait à nouveau remplie lorsque les cadres de la vie religieuse chrétienne se furent installés et organiser, et que, sur le plan religieux au moins, une communauté psychologique et culturelle se fut établie, indépendante des divisions la hiérarchie sociale.

En Italie, comme dans les autres pays d’Europe, et spécialement en France, cédant le sein de l’Eglise que le théâtre a pu renaître ; et cela n’ont pas, comme on le dit trop souvent, par ce que le sentiment religieux, le sens du mystère, sont liées à l’essence même de la création dramatique originelle, mais parce que la religion était alors seule apte à constituer, dans des groupes humains plus ou moins étendus, une homogénéité de conceptions propres à former un public. En fait, seules les cérémonies religieuses groupaient un public permanent. Ce sont les incidences sociales du culte qui ont fait naître le théâre de l’Eglise, et non l’essence du sentiment religieux.

  • Taille : 17.5cm x 11.5cm
  • Table des matières
  • Chapitre premier.
  • - Le Moyen Âge pg5
  • Chapitre II.
  • - Du XVe au XVIIe siècle pg 15
  • - 1. Le théâtre comique, 15.
  • - 2. La commedia dell’arte, 29.
  • - 3. Le théâtre humaniste et scolaire, 33.
  • - 4. La tragédie, 37.
  • - 5. La pastorale, 42.
  • Chapitre III.
  • Le XVIIIe siècle pg45
  • - 1. le mélodrame et Métastase, 45.
  • - 2. Goldoni et Gozzi, 47.
  • - 3. La tragédie, 52.
  • Chapitre IV.
  • Le XIXe siècle pg58
  • - 1. Prêromantisme et romantisme, 58.
  • - 2. De Manzoni à Giacometti, 65.
  • - 3. le Vérisme, 71.
  • - 4. La recherche d’un thétre national, 75.
  • - 5. Le théâtre dialectal, 88.
  • Chapitre V.
  • Le XXe siècle pg96
  • Quelques termes du thétre italien pg117
  • Bibliographie sommaire pg121
  • Index des noms d’auteur dramatique pg123
Le Théâtre d'Opéra, Histoire, réalisations scéniques, possibilités
1946
Editions de Flore
Le Théâtre d'Opéra, Histoire, réalisations scéniques, possibilités
Auteur : Bronislaw Horowicz

Ce livre n’est pas un docte traité musicologique ni une thèse d’histoire du théâtre laborieusement préparée.

Ce sont tout simplement les résultats des recherches ainsi que des réflexions d’un homme de théâtre qui, la tête dans ses mains et les coudes appuyés sur une barrière imaginaire, derrière laquelle se trouve un orchestre également imaginaire, laisse chanter en lui, par exemple … leur fait de Gluck et, les yeux fixés sur la scène - imaginaire comme le reste - pense à ce qu’on pourrait y faire des sons qu’il entend dans le « théâtre de l’âme » (Wyspianski), réfléchit au drame musical … à l’Opéra … au théâtre d’Opéra.

  • Taille : 22cm x 14cm
  • Table des matières
  • Avertissements pg11
  • Premières parties pg13
  • Prises de position.
  • - Quelques opinions sur l’opéra : la Bruyère, Boileau, Saint-Evremont, Voltaire, Lessing, Schopenhauer, Goethe, Schiller, Hoffmann, Théophile Gautier, Tolstoï.
  • - l’opéra et conventionnel !
  • - Le plus ancien théâtre du monde. La parole chantée et la musique expressive.
  • - Sources de l’opéra.
  • - Elément théâtral dans la musique.
  • - Comédie harmonique de Vecci.
  • - Le drame lyrique florentin.
  • - Cercle Bardi.
  • - Euridice de Jacopo Perry.
  • - Monteverdi.
  • - Stilo rappresentativo. L’opéra en France.
  • - Ronsard et Baïf.
  • - Ballet comique de la Reine. Lully.
  • - Rameau. La musique dramatique en Italie après Monteverdi.
  • - Francesco Cavalier.
  • - L’opéra bouffe.
  • - La guerre des bouffons.
  • - Jean-Jacques Rousseau et sont de 20 du village.
  • - Grimm et Diderot. L’opéra-comique français.
  • - Le théâtre de la foire.
  • - Le Sage.
  • - Grétry et ses théories. Gluck.-
  • Mozart.
  • - Beethoven.
  • - Weber. L’opéra italien au XIXe siècle : Rossini, Doizetti, Bellini. Le » grand opéra »
  • - Meyerbeer. Wagner. Debussy. Ferruccio Busoni.
  • - Paul Hindemith.
  • - Albane Berg.
  • - Igor Stravinsky.
  • - Arthur Honegger. L’opéra et la danse.
  • - Définition du livret d’opéra : Goethe, Hoffmann, Ibsen, Debussy, Schegel, Musset.
  • - Le vérisme, une erreur esthétique.
  • - L’irrationnel dans l’opéra.
  • - Les airs.
  • - Le rôle de l’orchestre.
  • - L’opéra, évocation sonore du drame.
  • - Oedipus-Rex de Stravinsky.
  • - l’élargissement du champ visuel du drame musical. Deuxième partie pg81
  • Réalisation scénique.
  • - Une procession à Bruxelles en 1549.
  • - Deus ex machina, une survivance du thétre antique.
  • - Eurydice de Peri en 1600.
  • - Représentation dans les églises.
  • - L’enfer et les flammes.
  • - Conseil de Sabatini.
  • - Décors et perspectives.
  • - Changement à vue.
  • - Le luxe de la mise en scène.
  • - Bâtiments géants.
  • - Le jeu des chanteurs, la manière de chanter.
  • - Conseil des théoriciens de l’époque.
  • - Rome.
  • - Florence.
  • - La manière de grouper les solistes et les choeurs. L’opéra italien au XVIIIe siècle.
  • - Sa décadence du au chanteur.
  • - L’art des castrats.
  • - Les opinions des voyageurs français.
  • - Farinelli.
  • - Bel canto.
  • - le satyre de Bennetto Marcello.
  • - Le public d’opéra : opinion de Burney, de Mozart et de Stendhal.
  • - Les décors et les costumes.
  • - Nouvelle trouvaille dans le domaine de la perspective.
  • - Ferdinando Galli-Bibiena.
  • - Place d’honneur pour les prime donne. l’éclairage : le témoignage de Goethe.
  • - la gesticulation des castrats.
  • - Le balai dans l’opéra. L’opéra en France au XVIIe siècle.- Orfeo de Luigi Rossi.
  • - Relation du Père Ménestrier et de Théophraste Renaudot.
  • - Machiniste et décorateur italien la cour de France.
  • - La Fontaine sur la machinerie.
  • - Bérain et ses successeurs.
  • - La troupe de Lully.
  • - La Champmeslé;
  • - Racine et la déclamation tragique.
  • - Lully éducateurs des chanteurs.
  • - Le jeu des acteurs. L’opéra en France au XVIIIe siècle.
  • - Rameau.
  • - Sa troupe.
  • - Témoignage de Collé, de Grimm et du vaudevillliste Panard.
  • - les théories naturalistes des Encyclopédistes.
  • - Les décors et les costumes.
  • - Le jeu des acteurs. Opinion de Mademoiselle Clairon et de Rousseau.
  • - La salle des spectacles du Palais-Royal.
  • - François Boucher.
  • - Servandoni.
  • - Le ballet à l’opéra.
  • - Les danseurs masqués.
  • - Les cours.- Le chef d’orchestre.
  • - Les tueries de Jean-Georges Noverre.
  • - la réforme du costume. Gluck à Vienne et à Paris.
  • - Gluck metteur en scène.
  • - Les acteurs de son temps.
  • - L’orchestre.
  • - Une opinion de Sébastien Mercier. Mozart dramaturge et metteur en scène. L’opéra au XIXe siècle.
  • - La mise en scène de La Juive à l’Académie Royale de musique.
  • - Essai de reconstitution historique.
  • - Cicéri, Desplechin et Cambon.
  • - L’invasion de la cavalerie à l’opéra.
  • - Le docteur Véron, «  Alexandre de la mise en scène ».
  • - Les trappes et les machines.
  • - L’éclairage.
  • - L’introduction du gaz et de l’électricité.
  • - Le témoignage de Chopin.
  • - L’attitude des grands esprits romantiques envers le décor.
  • - Les scénarios notés.
  • - Le style de l’interprétation.-
  • Une opinion de Musset.
  • - La Malibran.
  • - Les cours.
  • - Le ballet de l’opéra. Le théâtre-Italien de Paris.
  • - Castil-Blaze et ses opinions sur l’art du chant.
  • - Rubini.
  • - Les décors et les costumes. Une définition de Théophile Gautier.
  • - Othello joué par une femme.
  • - Peut-elle au visage blanc.
  • - Adelina Patti. Wagner.
  • - Le théâtre grammaticalement : Goethe, Klingemann, Immermann, Tieck, Les Meiningen.
  • - Divergence entre le monde politique et idéaliste des drames de Wagner et son esprit réaliste de metteur en scène.
  • - Les conseils de Wagner concernant l’interprétation vocale de ses ouvres.
  • - Le chanteur comédien. Le mauvais enseignement tiré des réalisations wagnériennes.
  • - Le naturalisme chaotique et descriptif des réalisations du début de notre siècle.
  • - La réaction qui se produit après la guerre 1914-1918.
  • - Les « lois du genre ». Troisième partie pg178
  • La synthèse des arts dans l’opéra.
  • - Le théâtre grec.
  • - Les conventions.
  • - Shakespeare sur la convention théâtre.
  • - Molière.
  • - Goethe.
  • - Gordon Craig.
  • - Wyspianski. la composition d’une ouvre d’art.
  • - L’élimination de l’accidentel.
  • - L’accidentel et le comédien.
  • - La surmarionnette de Gordon Craig. le Paradoxe du comédien. Le rythme.
  • - La musique, créatrice de geste.
  • - Deux aspects de la musique dramatique : moteurs et émotifs.
  • - Les liens entre la musique et le geste.
  • - Jacques-Dalcroze et ses théories.
  • - L’espace scénique fonction de la musique.
  • - Adolphe Appia. La Synesthésie : les rapports entre les sons et les couleurs.
  • - Grétry, Goethe, Baudelaire, Rimbaud, René Ghil, Théophile Gautier, Gustav Mahler, Antoine Bourdelle.
  • - L’élimination du naturelle de l’opéra. les chefs d’orchestre et le metteur en scène.
  • - Mahler et Toscanini.
  • - l’acteur lyrique moderne.
  • - Les « méthodes » d’éducation appliquée jusqu’ici.
  • - Les méthodes à appliquer dans l’avenir.
  • - Chaliapine.
  • - L’éducation vocale et corporelle d’un acteur lyrique moderne. Résumé des conclusions. Bibliographie pg245
  • Index des noms cités pg253
Théâtre et cinéma années vingt
1990
L'Age d'Homme
Théâtre et cinéma années vingt
Auteur : Collectif, Claudine Amiard-Chevrel

ISBN : 2825100498

Les créateurs d’aujourd’hui - metteur en scène, acteur, décorateur, auteur - passent facilement de la scène à l’écran ou vice versa, à la recherche d’autres modes de création et de narration, de techniques et de contacts différents, voire de remise en cause. Un retour aux racines de ce siècle finissant découvre les premières manifestations de ces étroites relations, permet d’analyser leur fonctionnement.

  • Taille : 16cm x 23cm
  • Table des matières
  • Volume 2
  • Polyvalence des avant-gardes :
  • Relâche, un spectacle phare, par Sally Jane Norman pg9
  • Ni théâtre ni cinéma :
  • Les jeux de lumières colorées au Bauhaus, par Didier Plassard pg25
  • Aelita de Protazanov :
  • Du décor de théâtre au décor de cinéma, par Christine Hamon pg39
  • Théâtre et cinéma dans l’oeuvre de Luis Bunuel d’Hamlet à l’Age d’or, par Duarte Mimoso-Ruiz pg52
  • Mythe d’une époque au thétre et au cinéma :
  • Masse en action, action sur les masses, par Claudine Amiard-Chevrel pg75
  • A partir de Metropolis de Fritz Lang :
  • Le gesalt de masse et ses espaces, par André Combes pg178
  • Tableau chronologique pg225
Histoire du Théâtre 5 - symbolisme, avant-garde
1968
Gérard & C°
Histoire du Théâtre 5 - symbolisme, avant-garde
Auteur : Collectif

Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des oeuvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Volume 1 :
  • Origine du spectacle
  • Théâtre antique
  • Comédie médiévale et Renaissance
  • Volume 2 :
  • Commedia dell’Arte
  • Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
  • Volume 3 :
  • Théâtre anglais
  • Romantisme
  • Science de la mise en scène
  • Volume 4 :
  • Vaudeville
  • Théâtre social
  • Régionalisme et universalisme
  • Volume 5 :
  • Symbolisme
  • Avant-gardeThéâtre et histoire
Histoire Th. 4 - vaudeville, th. social, régionalisme, universalisme
1968
Gérard & C°
Histoire Th. 4 - vaudeville, th. social, régionalisme, universalisme
Auteur : Collectif

Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Volume 1 :
  • Origine du spectacle
  • Théâtre antique
  • Comédie médiévale et Renaissance
  • Volume 2 :
  • Commedia dell’Arte
  • Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
  • Volume 3 :
  • Théâtre anglais
  • Romantisme
  • Science de la mise en scène
  • Volume 4 :
  • Vaudeville
  • Théâtre social
  • Régionalisme et universalisme
  • Volume 5 :
  • Symbolisme
  • Avant-garde
  • Théâtre et histoire
Histoire Théâtre 3 : th.anglais, romantisme, science mise en scène
1968
Gérard & C°
Histoire Théâtre 3 : th.anglais, romantisme, science mise en scène
Auteur : Collectif

Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Volume 1 :
  • Origine du spectacle
  • Théâtre antique
  • Comédie médiévale et Renaissance
  • Volume 2 :
  • Commedia dell’Arte
  • Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
  • Volume 3 :T
  • héâtre anglais
  • Romantisme
  • Science de la mise en scène
  • Volume 4 :
  • Vaudeville
  • Théâtre social
  • Régionalisme et universalisme
  • Volume 5 :
  • Symbolisme
  • Avant-garde
  • Théâtre et histoire
Histoire Th. 2 : comedia dell'arte, th. religieux, classicisme, th. Kabuki
1968
Gérard & C°
Histoire Th. 2 : comedia dell'arte, th. religieux, classicisme, th. Kabuki
Auteur : Collectif

Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Volume 1 :Origine du spectacleThéâtre antiqueComédie médiévale et RenaissanceVolume 2 :Commedia dell’ArteThéâtre religieuxclassicisme / Théâtre KabukiVolume 3 :Théâtre anglaisRomantismeScience de la mise en scèneVolume 4 :VaudevilleThéâtre socialRégionalisme et universalismeVolume 5 :SymbolismeAvant-gardeThéâtre et histoire
His. Th. 1: th. antique, comédie médiévale et renaissance
1968
Gérard & C°
His. Th. 1: th. antique, comédie médiévale et renaissance
Auteur : Collectif

Origine du spectacle, théâtre antique, comédie médiévale et renaissance.

Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Volume 1 :Origine du spectacleThéâtre antiqueComédie médiévale et RenaissanceVolume 2 :Commedia dell’ArteThéâtre religieuxclassicisme / Théâtre KabukiVolume 3 :Théâtre anglaisRomantismeScience de la mise en scèneVolume 4 :VaudevilleThéâtre socialRégionalisme et universalismeVolume 5 :SymbolismeAvant-gardeThéâtre et histoire
Souvenirs et notes de travail d'un acteur
1946
Odette Lieutier
Souvenirs et notes de travail d'un acteur
Auteur : Charles Dullin

Considération sur les acteur japonais - Correspondance mai 1940.

Rencontre avec Meyerhold - Correspondance 1931.

Théâtre et Cinéma.

  • Taille : 18.5cm x 12cm
  • Notes et souvenirs
  • I. - Vocation pg11
  • II. - A l’école du mélodrame pg29
  • III. - Naissance et vie des personnages pg33
  • IV. - Théâtre de guerre pg55
  • V. - Acteurs japonais pg59
  • VI. - Visite à Meyerhold pg65
  • VII. - L’âme des vieux théâtres pg71
  • VIII. - Mort d’un acteur pg75
  • Conseils à un jeune élève
  • I. - Sincérité pg81
  • II. - Notes sur l’acteur pg87
  • III. - Technique élémentaire pg97
  • IV. - De la musique avant toute chose pg105
  • V. - Improvisation pg109
  • De quelques conventions du théâtre et du cinéma
  • I. - Théâtre et Cinéma pg135
  • II. - En bref pg149
Trattato di Scenotecnica
1978
Serje Gôrlich
Trattato di Scenotecnica
Auteur : Bruno Mello

Prospettiva teatrale - Restituzioni - Pratica nella pittura e nella confezione delle scene - Macchineria - Trucchi di palcoscenica - Materiale elettrico - Luministica e illuminotecnica - Impianto elettronico

  • Taille : 29.5cm x 22,5cm
  • Indice
  • Prefazione pg5
  • Breve cenno storico di scenografia pg9
  • Costumi pg34
  • Elementi di scenotecnica pg53
  • Restituzioni pg76
  • Scenografia teorico pratica pg86
  • Geometria pg114
  • Disegno architettonico pg119
  • Prospettiva pg133
  • Piante e cambiamenti pg141
  • Palcoscenico pg149
  • Cambiamenti rapidi di scena pg168
  • Definizione delle parti di una scena pg177
  • Sipario pg184
  • Telai pg187
  • Panorama pg202Crolli pg216
  • Strada o guida pg221
  • Trabocchetti pg227
  • Carri pg233
  • Macchine pg236Voli pg244
  • Effeti di luce pg256
  • Rumori di palcoscenico pg257
  • Effeti speciali pg260
  • Armature pg263
  • Costruzioni pg271
  • Scenografo realizzatore pg286
  • Ricettario pg290
  • Come si confezionano la scene pg301
  • Pratica per dipingere sulle scene di tela e di carta pg314
  • Constuzioni tridimensionali pg317
  • Soluzioni tecniche e prospettiche di elementi di scena pg321
  • Attrezzeria teatrale
  • Luministica e illuminotecnica pg326
  • Apparecchiature pg339
  • Accorgimenti e trucchi pg343
  • Proiezioni pg344
  • Attrezzature elettriche pg352
  • Impianto ellettronico pg364
  • Qualche appunto sulla scienza dei colori pg372
  • Bibliografia pg377
La représentation mystère de la Passion à Valenciennes 1547
1969
Ed. Centre National Recherche Scientifique
La représentation mystère de la Passion à Valenciennes 1547
Auteur : Elie Konigson

Le texte du mystère de la Passion joué à Valencienne en 1547, et conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris dans deux manuscrits à peintures - Mss. Fond français 12536 et Collection J. de Rothschild I.7.3. - a déjà été l’objet de plusieurs études.

Ce manuscrit a été terminé trente ans après la représentation pour le compte d’un curieux de ce temps.

  • Taille : 31.5cm x 24.5cm
  • Table des matières
  • Introduction pg7
  • I - Généralités pg9
  • a) Valenciennes durant la première moitié du XVIe siècle pg 9
  • b) les cérémonies et les fêtes pg11
  • c) les problèmes religieux pg13
  • d) la représentation du mystère de la Passion pg15
  • II. - organisation du mystère de 1547 pg17
  • a) acteurs, superintendant, conducteurs et facteurs de secrets pg17
  • b) l’obligation. La durée du jeu pg19
  • c) pris et recettes. valuation du nombre de spectateurs pg21
  • d) censure de l’Eglise pg22
  • e) témoignage contemporain pg23
  • III. - Hubert Cailleau et l’illustration de la Passion pg25
  • Description des manuscrits de la bibliothèque de Douai orné par Cailleau
  • - Vie de Cailleau
  • - Description des manuscrits de la Passion de la Bibliothèque Nationale de Paris
  • - Cailleau et l’art de son temps
  • - Comparaison entre les manuscrits de Douai et les manuscrits de la Passion
  • - Les manuscrits d’illustration du ms. Roth. et H. 1-7-3.
  • IV. - Les décors et les costumes pg33
  • 1) le hourdement de Valenciennes.
  • - Critique.
  • - Cailleau créateur du décor. Description du hourdement.
  • - Comparaison entre A et B pg33
  • 2) Les Mansions pg37
  • a - Mansions permanentes à usage unique - planche 1- 2 pg37
  • b - Mansions permanentes à usages multiples pg42
  • c - Stylede hourdement - planche 3 pg44
  • d - Emploi des rideaux pg46
  • e - Les superstructures, les voleries. La montagne - planche 4 pg47
  • f - Mensurations des mansions
  • 3) Les costumes pg52
  • V. - Le texte et la mise en scène pg55
  • a - Les lieux de l’action. La parole crée les lieux de l’action. Décor et machinerie suppléant aux limites du discours. Lecture du décor. Liaison entre la scène et des spectateurs pg55
  • b - Thèmes pg57
  • c - Temps et espace du mystère pg59
  • VI. - Mis en scène des 25 journées pg61
  • 1er journées page 65
  • 2e journée page 69
  • 3e journée page 73
  • 4e journée page 77
  • 5e journée page 81
  • 6e journée page 85
  • 7e journée page 89
  • 8e journée page 92
  • 9e journée page 97
  • 10e journée page 99
  • 11e journée page 102
  • 12e journée page 104
  • 13e journée page 108
  • 14e journée page 111
  • 15e journée page 114
  • 16e journée page 117
  • 17e journée page 119
  • 18e journée page 121
  • 19e journée page 124
  • 20e journée page 127
  • 21e journée page 130
  • 22e journée page 132
  • 23e journée page 136
  • 24e journée page 138
  • 25e journées page 140
  • Conclusion pg143
  • Bibliographie pg147
  • Table des illustrations pg149
  • Planches hors-texte (à la fin du volume)
Encyclopédie Théâtre contemporain-Volume 1 1850-1914
1957
Publications de France
Encyclopédie Théâtre contemporain-Volume 1 1850-1914
Auteur : Gilles Quéant, Frédéric Towarnichi, Aline Elmayan

Avertissement.

« Encyclopédie du Théâtre contemporain ». Nous avons longtemps hésité à adopter ce titre … à deux tranchants. voquant la formule du dictionnaire, il peut rebuter les lecteurs qui n’ont guère l’occasion ni l’envie de se documenter sur le théâtre par ordre alphabétique, comme il peut attirer les professionnels qui hument l’ « instruments de travail » précis et complet. Assuré de détromper les premiers, nous avons eu souci de ne pas décevoir les seconds. Ce livre diffère d’une encyclopédie courante que l’on consulte pour y puiser un renseignement précis, avant d’en claquer les lourdes mchoires ; nous proposons ce qu’une somme de pure documentation ne saurait apporter ; une synthèse vivante, une vision d’ensemble, le choix de l’essentiel et des figures de premier plan, la suggestion par l’image du « climat » et du style, le théâtre situé dans son cadre historique, ses liens avec la société et l’évolution des autres arts.

Le théâtre : si ce mot pris ici dans son acception la plus large, puisque nous y incluons le ballet, l’art lyrique et même les variétés, ne précise pas les divers aspects de notre programme, il en indique les limites. Ces arts de la scène, nous les avons surtout envisagés dans la mesure où ils font parti de l’ « art théâtral » ; le chant, la musique, la danse, arts qui ont leurs techniques propres, ont moins retenu notre attention que le jeu, la recherche du « lieu scénique » et l’unité du « spectacle ».

Une histoire du thétre contemporain qui commence au Romantisme, il y a peut-être là de quoi surprendre. En fait, de même que le théâtre d’aujourd’hui est né de la révolution du Théâtre Libre, celle-ci ne se comprend que si l’on évoque la situation du théâtre en France au cours de la période précédente. En France ? Nous sommes nous imposés de nouvelles limites ? Oui et non, car si le cadre de cet ouvrage ne nous permette de pas de nous étendre aux pays d’Europe et d’Amérique, nous ne pouvions, par exemple, passer sous silence l’oeuvre des grands metteurs en scène et théoricien étranger, autres pionniers du théâtre contemporain.

Nous souhaitons que ce livre puisse parcourir, comme un film qui instruit et divertit par le seul déroulement de ces images. Des essais de synthèse, servant de prologue et d’un trône action, permettent de suivre dans ses grandes lignes l’évolution de l’art théâtral, sans s’arrêter au détail. On pourra y faire halte, ici ou là, il y a les études de spécialistes qui analysent l’oeuvre des grands animateurs et développent les thèmes les plus importants. On n’y trouvera des témoignages de ceux qui ont connu le théâtre de cette époque et y ont pris part. enfin, presque tous ceux qui ne valait pas, à nos yeux, que l’on y consacra un chapitre et commenter ou seulement situé dans trois chroniques ou la Scène et la Petite Histoire s’entremêlent. Car, tout en nous appliquant à dégager l’essentiel, nous avons tenu à donner à cet ouvrage à caractère encyclopédique, confirmé à la fin de ce volume par un tableau synoptique et qui se précisera dans le second volume (à partir de 1914), où l’on trouvera un répertoire biographique ainsi qu’une complète biographie.

Gilles Quéant

  • Taille : 32cm x 25,5cm
  • Table des Matières
  • Avertissement, par Gilles Quéant pg4
  • Avant-propos, par Madame Simone pg5
  • Préface, par Léon Moussinac, directeur de l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs pg7
  • Du drame romantique au théâtre bourgeois (Prologue) pg 9
  • Les PionniersChronique illustrée (1878-1894) pg17
  • Autour du Théâtre d’Art, par Paul Fort pg24
  • Naturalisme et Symbolisme pg25
  • Antoine (du Théâtre Libre à l’Odéon), par Frédéric Towarnicki pg31
  • Lugné-Poe et le Théâtre de l’Oeuvre, par F.T. pg47
  • Stanislavski (le Théâtre Artistique de Moscou), par Nina Gourfinkel pg59
  • Appia et Craig, par André Veinstein pg65
  • Reinhardt, Fuchs et Erler, par Denis Bablet pg69
  • Paris-Sur-Scène en 1900
  • Chronique illustrée (1894-1907) pg73
  • Les étoiles du Caf’ Conc’ pg81
  • Albert Carré et l’Opéra-Comique, par André Boll pg89
  • Les chanteurs pg96
  • Le Ballet de France, par Marie-Françoise Christout pg101
  • Dieux et Déesses (Acteurs et Actrices), par Dussane pg105
  • Gémier, les pièces socialistes, le Théâtre Populaire, le Théâtre en Plein Air, par G.Q. pg123
  • Les auteurs et le théâtre de la Belle Epoque, par Robert Kemp, de l’Académie Française pg131
  • De la féérie au traiteau nuChronique illustrée (1907-1914) pg137
  • Les peintres et l’art du décor pg141
  • Diaghilev et les Ballets Russes, par Jacques Damase pg153
  • Autour de Diaghilev, par Jean Cocteau, de l’Académie Française pg154
  • Jacques Rouché et le Théâtre d’Arts, par F.T. pg173
  • Du rôle de Jacques Rouché dans la carrière de Jacques Copeau, par Francis de Miomandre pg183
  • Jacques Copeau et Le Vieux-Colombier, par Georges Lerminier pg185
  • La Guerre (1914-1918) pg197
  • Tableua synoptique (1880-1914)
  • Table des références pg199
  • Index alphabétique pg202
Catalogue exposition Le T.R.M. au 44-De la Muette au Sacre
1979
Céédit Communal de Belgique
Catalogue exposition Le T.R.M. au 44-De la Muette au Sacre
Auteur : Collectif

Que « La Muette de Portici » au Théâtre Royal de la Monnaie est été le détonateur de la révolution qui nous a conduit à l’indépendance, est-ce surprenant ?

Cet événement historique ne s’inscrit pas dans le caractère fondamentalement indépendant d’une des plus importantes (sans doute la plus importante) institution artistique de notre

pays ?

Si le Théâtre Royal de la Monnaie a maintenu à travers trois siècles une place originale et remarquée dans le concert des opéras européens, c’est précisément par son esprit international, novateur et créatif.

Les premières représentations de Wagner en langue française, les créations d’oeuvre de Massenet, de Berg et de tant d’autres, et de toujours les créations d’opéra et plus encore celle du « Ballet du XXe Siècle », sont autant d’initiatives qui ont placé notre Opéra Nationa parmi les opéras les plus vivants d’Europe.

Il nous appartient de sauvegarder ce caractère indépendant et créatif du Théâtre Royal de la Monnaie, au moment où nos institutions subissent des réformes profondes.

Je suis particulièrement heureux de voir célébrer conjointement, par une brillante exposition au Crédit Communal, l’indépendance de la Belgique et celle du Théâtre Royal de la Monnaie.

Maurice Huisman,

directeur du Théâtre Royal de la Monnaie.

  • Taille : 29.5cm x 21cm
  • Table des matières
  • Pourquoi la Monnaie ? pg6
  • Les trois salles de la Monnaie pg8
  • Directions, directeurs, … tendances ! pg18
  • Au fils du temps : programme, créations, répertoire pg30
  • Les créations pg32
  • Les créations d’oeuvres belges pg34
  • Les créations de traductions pg35
  • Le répertoire pg42
  • Spectacle spéciaux pg43
  • Au miroir … du chant pg44
  • La réalisation scénique pg72
  • Rêve ou réalité pg72
  • Décors et costumes pg74
  • Metteurs en scène pg96
  • Opéra StudioUn monde futur au travail pg101
  • La Danse« De la Camargo à Béjart » pg104
  • Pour conclure … pg117
  • … Un choix de chanteurs ayant passé à la Monnaie pg118
Art du Japon - Théâtre Classique
1989
Publications Orientalistes de France
Art du Japon - Théâtre Classique
Auteur : René Sieffert, Michel Wasserman

ISBN : 2716903158

L’étude du théâtre japonais dans son ensemble fournit des thèmes de réflexion extrèmement stimulants sur les conditions de la naissance et de l’évolution de l’art dramatique dans une société déterminée, ainsi que sur le rôle sociologique et esthétique de cet art dans la formation d’une structure culturelle globale. De plus, l’historien du théâtre et le comparatiste trouvent là une matière sans doute unique au monde, du fait que ces formes d’art spécifiques se sont constituées de toutes pièces, en partant d’éléments autochromes ou déjà assimilés, à des époques où le Japon était pratiquement fermé aux influences étrangères.

Une rare perfection formelle, résultat d’une recherche constante dans les voies diverses et toujours originales, un répertoire d’une haute tenue littéraire dû à des dramaturges de génie, voilà qui doit retenir l’attention de qui s’intéresse à l’art dramatique pour les trois formes classiques du th éâtre japonais : le nô, le théâtre des poupées d’Osaka et le kabuki.

  • Taille : 22cm x 16cm
  • Table des matières
  • Préface pg5
  • Le théâtre classique pg7
  • La préhistoire du théâtre
  • Danses et spectacles d’origine japonaise pg11
  • Danses et spectacles importés du continent pg27
  • Danses « bouddhiques » pg39
  • Le Nô
  • Histoire du Nô pg43
  • Le répertoire pg50
  • Les Kyôgen pg67
  • Les éléments de la représentation pg73
  • Le ningyô-jôruri
  • Récit épique et jeux de marionnettes pg83
  • Takémoto Gidayû et Chikamatsu Monzaémon pg88
  • L’oeuvre de Chikamatsu pg91
  • Sources et thèmes pg97
  • Emules et successeurs de Chikamatsu pg105
  • La scène et les interprètes pg111
  • Le Kabuki
  • Les enfants du Kabuki pg117
  • L’âge classique du Kabuki pg131
  • Le Kabuki et la modernisation du Japon pg159
  • Les auteurs de ces articles sont :
  • René Sieffert pg5 à 116, pg159 à 167Michel Wasserman pg117 à 158
23
1980
CCC
23
Auteur : AAA

Très belle photographies de masques japonais

  • Taille : 35.5cm x 27cm
Theâtre du Vieux-Colombier : 1913-1993
1993
Norma
Theâtre du Vieux-Colombier : 1913-1993
Auteur : Marie-Françoise Christou, Noelle Guibert, Danièle Pauly

ISBN : 2909283070

Le petit théâtre de la rue du Vieux-Colombier qui avait si vite acquis ses lettres de noblesse pendant les années fondatrices selon les vues de son concepteur Jacques Copeau, aurait pu, après son départ, ne pas connaître de lendemain. Il n’en fut rien. Le Vieux-Colombier va se trouver dans les différentes phases de son histoire porteur de destins et d’avenir. A chaque page de cette histoire, racontée par les programmes, les dossiers de presse, les affiches, les photographies, surgissent des noms de comédiens, d’auteurs, de metteurs en scène, de décorateurs qui ont laissé une trace, un sillon.

  • Taille : 28.7cm x 22.7cm
  • Table des matières
  • Un nouveau lieu théâtral
  • Du tréteau nu à la scène architecturée, 1913-1924
  • L’Athénée Saint-Germain pg16
  • La rénovation de Francis Jourdain pg18
  • Une scène nue et neutre afin que toute délicatesse y paraisse pg21
  • Genèse d’une nouvelle scène pg25
  • Le Vieux-Colombier à New York pg29
  • Nous pouvons dans cette petite boîte, faire de vraies merveilles pg35
  • Les utilisations de la scène par Copeau et Jouvet pg37
  • Jacques Copeau et le Théâtre du Vieux-Colombier, 1913-1924
  • La naissance du Vieux-Colombier pg68
  • Un regard neuf sur le spectacle pg69
  • Le miracle de La Nuit des rois pg75
  • La guerre : rupture et permanence pg77
  • L’aventure américaine pg79
  • Le retour à Paris pg81
  • Une réouverture très attendue pg85
  • La saison 1920-1921 : reprises et créations pg89
  • La saison 1921-1922 : de Beaumarchais à Gide pg91
  • Dernières saisons : l’importance croissance de l’Ecole
  • De la scène architecturée au plateau actuel, 1930-1993
  • La scène d’André Barsacq (1930) pg97
  • La rénovation d’André Boll (1935) pg100
  • Le plateau de Bernard Guillaume et de René Alio (1961) pg104
  • Le projet de Bernard Kohn (1993) pg109
  • Le Vieux-Colombier après CopeauLe cinéma d’avant-garde avec Jean Tedesco (1924-1934) pg114
  • La Compagnie des Quinze au Vieux-Colombier (1930-1933) pg117
  • Les Pitoëff au Vieux-Colombier (1933-1934) pg120
  • La direction René Rocher (1935-1939) pg121
  • La direction Jacques Caris (1941-1942) - Guy Rotter (1943) pg125
  • L’avènement de l’existentialisme : la direction Paul-Annet Badel (1943-1955) pg126
  • Le jazz au Vieux-Colombier pg133
  • Au fil des saisons pg134
  • La direction Roger Dornès (1955-1960) pg140
  • Les années Jenny (1960-1970) pg144
  • La courageuse tentative de Merthe Mercadier (1970-1971) pg156
  • Le Vieux-Colombier, seconde salle de la Comédie-Française pg158
  • Notices bibliographiques pg161
  • Bibliographie pg170
  • Index des pièces citées pg172
Bellone, alchimie d'une maison
1995
Editions Racine
Bellone, alchimie d'une maison
Auteur : Serge Creuz

ISBN : 2-87386-042-1

Avant-dire.

Voici donc l’histoire de cette merveilleuse Maison de la Bellone de la rue de Flandre, du quartier Sainte-Catherine et du Marché aux Poissons en passant par quelques autres lieux du centre vivant de la capitale.

Le peintre Serge Creuz, en passionnée, invita mille et une découverte. Ce livre fois sonne d’informations, d’anecdotes. Pour être érudit, l’humour y a sa place. l’image de cette ville de la bonne alchimie, le sérieux, le dramatique parfois même, côtoient le sourire. L’auteur propose une lecture inédite des sculptures et reliefs de cette façade tricentenaire. C’est un livre de passion amoureuse. Les amoureux de Bruxelles trouveront l’écho de leurs propres émotions.

Vive cette Bellone que sauva Charles Buls au début du siècle ! Vive aussi cette Maison du Spectacle fondé voici 15 ans. Elle aussi inédite et qui donna ce lieu superbe une nouvelle jeunesse. Avec l’aide des pouvoirs publics, avec l’accueil de la Ville, cette maison du spectacle à la Bellone sert le Théâtre, la danse, acteurs et spectateurs.

Serge Creuz l’a fondée.

Une petite équipe ardente l’anime, dirigée par Anne Molitor qui voit aujourd’hui Monique Duren à ses côtés. Le festival Bellone-Brigittines confirme un axe de qualité et d’exigence.

Un voile de verre sur une structure légère protégera la maison et la cour de la Bellone. Ainsi, les activités multiples, les expositions, les spectacles, les concerts, les rencontres auront un espace de toutes les saisons. Je suis heureux quand parfait accord avec la Ville de Bruxelles, son Collège Bourgmestre et Echevins, son conseil communal, le Gouvernement de la Région apporte son aide à cette réalisation qui allie à la beauté d’autrefois, la qualité esthétique et technique d’aujourd’hui.

Déjà estimée, connue et visitée la Bellone aura ainsi un attrait supplémentaire. Maison de l’Art, maison des arts, maison de la passion partagée, voici la Bellone plus vivant que jamais. Ce livre en atteste.

Charles Picqué

Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale

  • Taille : 30cm x 25.4cm
  • Table des matières
  • Voulez-vous jouer avec möa ? pg11
  • Ah Dieu, que la guerre est folie ! pg18
  • Ciel Brouillé pg 22
  • François-Marie Arouet pg 26
  • Les Augustins pg 27
  • Ordo ab chao pg31
  • Rouge et Vert pg34
  • L’homme du gaz pg37
  • Langue des oiseaux pg39
  • Volatiles pg40
  • Noir et blanc pg45
  • Les chiffres et les lettres pg50
  • Bellone raconte et fait compter pg57
  • Motus liber pg61
  • Les feux de la rampe pg63
  • Couronnes des martyrs ? pg72
  • Entrée des fauves pg74
  • Charles, Wolfgang, Vincent …En scène, Madame … pg76
  • Boucliers pg81
  • Trophées pg84
  • Matin du monde pg87
  • Beauté pg89
  • Force pg91
  • Sagesse pg92
  • Eveil
  • Un nouveau matin du monde pg94
  • Oh Leporello mio, và tutto bene ! pg96
  • Le quartier pg 103
  • Le livre pg106
  • D’un bon diable à l’autre pg108
  • Onze Chaarel pg110
  • Vive la Sociale pg114
  • Les habitants de la Bellone pg123
  • A votre santé pg125
  • Les belles plumes font les beaux oiseaux pg126
  • Expositions pg133
  • Manifestations pg135
  • Lectures et références pg139
  • Iconographie pg140
Maison de la Bellone, des origines à la maison du spectacle
1984
Aux presses de la Bellone
Maison de la Bellone, des origines à la maison du spectacle
Auteur : Serge Creuz

Oyez gentes dames, gentils messieurs, la véridique histoire de cette maison de la Bellone.

Elle participe des avatars et des joies de la bonne ville de Bruxelles, plus précisément de ce quartier populaire de la rue de Flandre, de la place Sainte Catherine et du « Vismet », Marché aux poissons.

Ecoutez. Imaginez.

Si le soleil accompagne votre visite, bénissez-le.

Asseyez-vous sur la margelle du petit jardin.

Rêvons, évoquons des souvenirs très anciens, ou d’autres à peine fanés.

Serge Creuz

  • Taille : 27cm x 21cm
l'Opera, un Chant d’Etoiles
2000
La Renaissance du Livre
l'Opera, un Chant d’Etoiles
Auteur : Laurent Busine

ISBN : 2-87193-266-2

Cet ouvrage a été édité à l’occasion de l’exposition L’Opéra, un chant d’étoiles, prganisée par le Théâtre royal de La Monnaie aux Ateliers de La Monnaie, Bruxelles, du 16 janvier au 2 juillet 2000 dans le cadre du Tricentenaire de La Monnaie et en collaboration avec Bruxelles 2000 - Ville européenne de la Culture.

  • Taille : 30.5cm x 25cm
  • Sommaire
  • La Monnaie, affaire de banquiers ? - Luc Onclin pg10
  • L’Opéra, ou le sens en mouvement - Bernard Foccroulle pg11
  • Une Poussière de Soleil - Laurent Budine pg17
  • Les confessions du vieil Opéra - Catherine Clément pg41
  • Un Opéra tricrntenaire - Manuel Couvreur, Roland Van der Roeven, Jeffrey Tyssens, Katia Segers pg93
  • Les Machines de rêves - Michel Dumont pg177
  • José Maria Sicilia pg210
  • Thomas Ruff pg214
  • Thierry Decordier pg221
  • James Lee Byars pg222
  • Peter Fischli & David Weiss pg226
  • David Claerbout pg232
  • Michel François pg236
  • Fausto Melotti pg 239
  • Luciano Farro pg246
  • Table des illustrations pg249
  • Références bibliographique des citations pg256
  • Repères bibliographiques pg257
  • Artistes contemporains pg258
A. Barsacq : Cinquante ans de théâtre
1978
Bibliothèque nationale
A. Barsacq : Cinquante ans de théâtre
Auteur : Marie-France Christout, Noëlle Guibert

ISBN : 2717714286

Catalogue de l'exposition réalisée par le Département des Arts du Spectacle sous la direction de Cécile Giteau, son conservateur en chef. La responsabilité en a été confiée à Marie-France Christout, conservateur spécialiste, qui a rédigé le catalogue assistée de Noëlle Guibert, conservateur.

Exposition du 17 juin 1978 au 1er octobre 1978

  • Taille : 24cm x 18cm
  • Préface par Georges Le Rider V
  • Liste des prêteurs VIII
  • Chronologie : la vie, l'oeuvre et la carrière d'André Barsacq IX
  • Cinquante auteurs dramatiques mis en scène par André Barsacq XIX
  • Comédiens ayant joué sous la direction d'André Barsacq XX
  • NOTES ET RÉFLEXIONS D'ANDRÉ BARSACC XXIII
  • A propos de Jean Anouilh XXIII
  • A propos de Félicien Marceau XXVI
  • A propos d'Anton Tchekhov XXVII
  • Découvrir un nouvel auteur XXVIII
  • 1. RÉVÉLATION DE L'HOMME DE THEATRE 1
  • 1. Jeunesse
  • 2. Le scénographe. Premiers dispositifs scéniques et costumes dethéâtre 8
  • Collaboration avec Charles Dullin 8
  • Collaboration avec La Compagnie des Quinze 13
  • Collaboration avec Jacques Copeau 16
  • 3. Le fondateur, metteur en scène et décorateur du Théâtre desQuatre Saisons (1937-1940) 21
  • ANDRÉ BARSACO ET LA RÉNOVATION DU RÉPERTOIRE THÉATRAL (1940-1972) 39
  • 1. André Barsacq et les auteurs dramatiques contemporains 39
  • "Trois favoris" : Jean Anouilh, Marcel Aymé, Félicien Marceau 41
  • Divers auteurs français : Alfred Adam, André-Paul Antoine et Jean-Pierre Dorian, Jacques Audiberti, Jean Bernard-Luc, Jean-ClaudeCarrière, Colette et Léopold Marchand, Georges Couturier, RémoForlani, Georges Neveux, René de Obaldia, Henri-François Rey,Dominique Rolin, Françoise Sagan, André Barsacq 72
  • Auteurs étrangers : Ugo Betti, Friedrich Dürrenmatt, Bernard Kops,David Mercer, Tennessee Williams 91
  • 2. Retour aux sources slaves. Traductions et adaptations 99Nicolas Gogol, Alexandre Ostrovski, Fedor Dostoïevski, Ivan Tour-gueniev, Anton Tchekhov, Vladimir Maïakovski 99
  • 3. Un regard neuf sur les "classiques" anciens et modernes 126
  • Molière, Regnard, Lesage, Marivaux, Gozzi, Beaumarchais, Musset,Labiche, Claudel, Pirandello 127
  • III. ANDRÉ BARSACO ET LES DIFFÉRENTS ARTS DU SPECTACLE 145
  • 1. Théâtre musical : le metteur en scène 145
  • 2. Cinéma : le décorateur, le réalisateur 150
  • 3. Télévision : le réalisateur 159
  • IV. RÉFLEXIONS ET DIFFUSION 161
  • 1. Tournées164
  • 2. Conférences, articles
  • V. ORGANISATION ET DÉFENSE DE LA PROFESSION 167
  • 1. Syndicat des metteurs en scène 167
  • 2. Jurys divers 169
  • 3. Association des théâtres privés. Théâtre pour l'Enfance et la Jeunesse de Paris 170
  • Table des citations 175
  • Table des illustrations 177
  • Table des matières 179
Le théâtre grec;
1925
Payot
Le théâtre grec;
Auteur : Octave Navarre

Avertissement.

Ce petit livre n’a pas été écrit pour les spécialistes ; il s’adresse, d’une manière plus générale, à tous ceux qui aiment l’Antiquité, mais n’ont, selon le mot de La Bruyère, « que beaucoup d’esprit, sans érudition ». C’est pourquoi tout appareil scientifique n’a été écarté. L’auteur ne s’en est pas moins efforcé d’être, sur tous les points, exact et informé. Si cependant quelqu’une des publications étrangères de ces dernières années lui avait échappé, il demande que les difficultés et les lenteurs des relations internationales d’après-guerre lui servent d’excuses.

Toulouse, juin 1924.

Octave Navarre

  • Taille : 18.5cm x 12cm
  • PREMIERE PARTIE L'EDIFICE
  • Chapître 1 : Description du théâtre grec
  • 1.Origine et formation du théâtre grec
  • 2.Description des parties du théâtre grec, d'après les édifices subsistants
  • 3.L'évolution générale du théâtre grec, d'après l'histoire du théâtre athénien de Dionysos
  • 4.La transition entre le théâtre grec et le théâtre romain : édifice du type gréco-romain
  • Chapître 2 : La scène dans le théâtre grec.
  • 1.Impossibilité d'une scène haute à l'époque classique (Ve s., milieu du IVe s.)
  • 2.Le proskénion hellénistique est-il un décor, comme le prétend M.Dörpfeld ? Réfutation
  • 3.Pour quelles raisons une scène haute est devenue possible, à partir du milieu du Ve s. environ : décadence et disparition du choeur
  • 4.Origine et évolution du proskénion et particulièrement de sa colonnade antérieure
  • 5.Aspect du fond de la scène (frons scenae)
  • Chapître 3 : Les décors.
  • 1.Les décors au Ve siècle
  • 2.Le décor de fond. Principaux types, tragique, satyrique, comique
  • 3.Le décor latéral ou périactes; les entrées latérales
  • 4.Le rideau
  • Chapître 4 : Machines et praticables.
  • 1.L'ekkykléma
  • 2.Machines à apparitions : la méchanè et le théologéion
  • 3.La distégie
  • 4.Escaliers souterrains et trappes. Machines diverses
  • DEUXIEME PARTIE
  • Les concours dramatiques
  • Chapître 1 : Occasions des représentations dramatiques à Athènes : les Fêtes Dionysiaques
  • 1.Caractère religieux du drame athénien
  • 2.Désignation des poètes
  • 3.Désignation des acteurs
  • 4.Groupement des chorèges, des poètes et des protagonistes
  • 5.Le proagön
  • Chapître 3 : Les concours (suite) Histoire et règlement des concours.
  • 1.Histoire des concours
  • 2.Règlements des concours de tragédies
  • 3.Règlement des concours des comédies
  • 4.Concours entre les acteurs
  • TROISIEME PARTIELA REPRESENTATION
  • Chapître 1 : Structure technique de la tragédie et de la comédie.
  • 1.Structure de la tragédie grecque
  • 2.Structure de la Comédie ancienne : théories récentes
  • 3.Structure de la Comédie nouvelle
  • Chapître 2 : L'interprétation vocale, musicale, orchestrale.
  • 1.Variété des débits en usage dans le drame grecque
  • 2.Musique
  • 3.Danse4.
  • Formation, marches, évolution du choeur
  • 5.La règle des trois acteurs : qu'on en a nié à tort la réalité
  • Chapître 3 : Les masques et costumes dans la tragédie et le drame satyrique.
  • 1.Origine religieuse du masque. Description
  • 2.Les masques tragiques à l'époque classique
  • 3.Les masques tragiques à l'époque hellénistique et romaine
  • 4.Le catalogue des masques tragiques d'après Pollux
  • 5.Le costume tragique. Le cothurne; la matelassure; le costume proprement dit
  • 6.Masques et costume satyriques
  • Chapître 4 : Les masques et le costume dans la Comédie.
  • 1.Les masques et le costume dans la Comédie ancienne : origine de cet acoutrement
  • 2.Les masques et le costume dans la Comédie nouvelle
  • 3.Le catalogue des masques de la Comédie nouvelle, d'après Pollux
  • 4.Symbolique des masques
  • Chapître 5 : Le public.
  • 1.Les femmes étaient-elles admises au théâtre ?
  • 2.Répartition des places au théâtre de Dionysos
  • 3.Le public athénien
  • QUATRIEME PARTIEAPRES LA REPRESENTATION
  • Chapître1 : Le jugement; Procès-verbaux officiels des concours; Ex-Voto.
  • 1.Jugement et les prix
  • 2.Procès-verbaux officiels des concours
  • 3.Ex-Voto chorégiques
  • Bibliographie
  • Table des figures
Grandes Heures Théâtre à Paris, suivi d'un guide des théâtres parisiens
1965
Librairie Académique Perrin
Grandes Heures Théâtre à Paris, suivi d'un guide des théâtres parisiens
Auteur : Pierre Aimé Touchard

La Porte-Saint-Martin.

Chapitre premier. (Extrait)

La Porte-Saint-Martin est certainement la salle de théâtre parisienne les plus délibérément ouvertes, depuis sa fondation même, au grand public populaire. Il se trouve qu’elle a été aussi le lieu de deux des événements les plus importants de l’histoire de la littérature dramatique du XXe siècle : la naissance du mouvement romantique, dans les années 1830 et la renaissance du théâtre en vers avec Cyrano de Bergerac, 1897. L’un des objets de la présente étude sera de déterminer dans quelle mesure ce double épanouissement et le fait du hasard, ou au contraire ne serait pas la conséquence directe d’un contact permanent avec un public aux gots simples mais aux exigences précises.

Mais le Théâtre de La Porte-Saint-Martin a aussi cet intérêt d’avoir eu pendant des années sa célébrité, et plus tard sa légende liée au sort de deux comédiens exceptionnels, Frédérick Lemaître et Marie Dorval. Ces couples de théâtre sont évidemment assez nombreux et notre génération en a connu de très durables, depuis Gemini et Mégard, Chevalier et Mistinguett, George et Ludmilla Pittoëff jusqu’à Pierre freinait Yvonne Printemps ou Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud. Mais le couple Lemaître et Dorval, qui ne fut dans la vie qu’un couple éphémère et au thétre même un couple assez rarement réuni, joignit à l’originalité d’une troublante rencontre de talents celle de deux destinées également tragiques est également démonstrative de la grandeur et de la misère du comédien. travers leur vie, l’histoire du Thétâre de La Porte-Saint-Martin prend, pendant une trentaine d’années l’aspect d’une des aventures les plus pathétiques de la passion et du génie.

La première salle construite sur l’emplacement actuel du Thétâre de La Porte-Saint-Martin le fut dans des circonstances peu banales, en l’année 1782. L’Opéra avait brlé le 8 juin 1781, et la reine Marie-Antoinette qui s’intéressait au théâtre lyrique supplia qu’un nouvel Opéra fut élevé le plus rapidement possible. On n’en trouve à l’emplacement sur un terrain vague où l’on remisait les décors, et qui n’était autre qu’un ancien signe tiers protestant désaffecté. L’architecte Lenoir qui fut chargé de l’édification de la nouvelle salle s’évertue à donc abattre tous les records de la rapidité. Rassemblant 3800 ouvriers, il réussit ce miracle - qui serait encore un miracle aujourd’hui, vers des excavatrices et du béton armé - de livrer le thétre en état de marche soixante-quatre jours exactement après le premier coup de pioche. Ce succès devait paraître si sensationnel que le bruit se répondu qu’une construction si active ne pouvait être solide, et qu’elle s’effondrerait à la première utilisation. Aussi le directeur utilise des toutes simples d’organiser pour la populace une matinée gratuite au cours de laquelle l’épreuve serait faite de la solidité des murs … Les internautes avant 1781, le public populaire, étonné d’une pareille générosité, se pressent foule devant la nouvelle salle dont il admirait les trois auteurs et trouant sous un auvent la façade sans relief. son arrivée, la construction n’était pas encore tout à fait achevée : il manquait plusieurs marches au grand escalier. On les posa en toute hte, et les amateurs de ballet et de musique pure accédait d’un petit confiant à la superbe salle où ils gotèrent en toute sécurité la surprise d’un rideau de scène révolutionnaire : les petits pains du velours traditionnel étaient pour la première fois remplacée par la reproduction d’un véritable tableau représentant une scène mythologique.

Après quoi, tribune, corbeille et amphithétres ayant tenu bon, la Reine elle-même et sa Cour 20 rock inaugurée en grande pompe le nouvel Opéra, où triomphait Vestris et Derivis.

  • Taille : 22cm x 14.7cm
  • Pierre Aimé Touchard
  • La Porte-Saint-Martin
  • L'Odéon
  • Le Théâtre Pigalle
  • Jacques Crépineau
  • Comédie-Française
  • Théâtre des Ambassadeurs
  • Théâtre de l'Ambigu
  • Théâtre Antoine
  • Théâtre de l'Atelier
  • Théâtre de l'Athénée
  • Théâtre des Bouffes-Parisiens
  • Comédie des Champs-Elysées
  • Théâtre du GymnaseThéâtre
  • Hébertot
  • Théâtre de la Madeleine
  • Théâtre Marigny
  • Théâtre des Mathurins
  • Théâtre Michel
  • Théâtre de la Michaudière
  • Théâtre Montparnasse
  • Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
  • Théâtre des Nouveautés
  • Théâtre de l'Oeuvre
  • Théâtre du Palais-Royal
  • Théâtre de Paris
  • Théâtre de la Renaissance
  • Théâtre Sarah-Bernhardt
  • Théâtre des Variétés
  • Théâtre du Vaudeville
  • Théâtre du Vieux-Colombier
Trucs et décors, la machinerie théâtrale
1893
A la Librairie Illustrée
Trucs et décors, la machinerie théâtrale
Auteur : Georges Moynet

ainsi qu’on le reconnaîtra, par la citation des sources, nous nous sommes renseignés, pour chaque matière, auprès des hommes qui occupent une place distinguée dans l’art dont nous décrivont les procédés. Nous rendons grce ici aux bonnes volontés qui, partout, nous ont accueilli.

Nous devons une mention spéciale à M. Eugène Godin, qui a bien voulu nous confier ses plans et ses nombreux documents en les accompagnant d’explication et de conseils, plus précieux encore. Monsieur Eugène Godin est non seulement l’habile chef machiniste dont on a applaudi les créations à la Gaieté et à l’Eden Théâtre, etc. ; mais, en sa qualité d’ingénieur-constructeur, il a édifié de nombreuses machineries dans les théâtres neufs de la France et de l’étranger.

Nous devons également de vifs remerciements à Monsieur Ernest Vallenot, machiniste en chef de l’Opéra, dont chacun apprécie la compétence, et qui a mis à notre disposition toute l’aide et la complaisance imaginables.

Si notre rôle s’efface quelque peu devant cette constatation, le lecteur y trouvera une sreté de plus dans la valeur des renseignements qui lui sont soumis.

Georges Moynet

  • Taille : 25cm x 16cm
  • PREMIERE PARTIE
  • 1. Le plancher de la scène
  • Un théâtre le matin — Première impression — Parfun spécial — Le rideau de fer — Le manteau d'Arlequin — Le plancher — Plantation d'un décor — Division en plan — Les rues — Les trapillons ou fausses rues — Les costières — Murs de face et de lointain — Le plancher et la convention — Représentations peintes du sol.
  • 2. Les dessous
  • L'ossature d'une machinerie en bois — Choix des essences — Construction du dernier dessous — Parpaings, semelles, poteaux et sablières — Deuxième dessous — Les entretoises et les planchers à claire-voie — Les crochets d'écartement — Premier dessous — Les sablières à rail — Les grands et les petits chariots — Potelets — Chapeaux de ferme — Tiroirs — Reculées — Le proscenium et la rampe.
  • 3. Les services du cintre
  • Division des corridors de service — le gril et son solivage — Le pouce — Échelles et trous de chat — Pont du lointain — Les ponts volants — Montants de châssis mobiles — Lices, chevilles et rouleaux — Assemblages — Entures en trait de Jupiter, en sifflet, etc. — Le bois et le fer — Inconvénients et avantages — La mobilité des échafauds — Les machineries métalliques — Exemples peu concluants.
  • 4. Les moteurs
  • La gravitation et les contrepoids — Allèges — Cheminée — Équipe exotique — Les tambours — Les petits et les grands diamètres — La commande — Les jumelles — Palettes, tourtes et paliers — Les treuils — Tambours en fer — Oxydation : difficulté des amarrages — Les différentes phases de la construction d'une machinerie.
  • 5. Les équipesLes rideaux — Perches, fourreaux et bavettes — Les fils d'appels — Équipe sur un tambour — La commande et les faux cordages — Crochets à paillette — bandes d'air, plafonds et frises — Moufles de famille — La poignée — Les châssis — Traverses à pomme — Mouchoirs — Voliges chantournées et taquet — La guinde — Les couplets — Les fermes — Cassettes et âmes.
  • 6. La construction des décorsAperçu sur les différentes plantations des décors — Plantations carrées ou obliques — Praticables — Un vaisseau mobile — Départ du paquebot — Effet panoramique — Bal à bord — Orage et naufrage — Les roulis et les cerces — Tapis de mer — Mouvement des flots — Les simulateurs de vagues — Une corvette instable — Le cul de poule — Les panoramas convergents — La patience et la sangle — Le piano truqué — L'emprisonnement d'un virtuose.
  • 7. Décor à trucs avec trappes anglaisesLa diversité des trucs — Changement à vue et décor truqué — Les volets — Les acteurs anglais — La chambre d'hôtel — Un ivrogne persécuté — Les bottes qui marchent — Les meubles — Substitution de clowns — Péripéties multiples — Bataille finale — Chaises à bascule — Trou à bavette — Saut du trou — Porte à bascule — Trappe anglaise — Le truc du bougeoir — l'araignée — Armoire truquée — Bâti du dessous — Trappe en étoile — Bâtis à glissières et à emboîtement.
  • 8. Trucs classiquesLa tour enchantée — Le donjon de Quinquengrogne — La jeune captive et le prince Belazor — Espoir déçu — La colombe messagère — La poudre de perlimpinpin — L'écroulement — Un escalier somptueux — Fermes de mer à crètes mobiles — La tour et son armature — construction des marches — Le bâti et l'escalier replié — Horizon relevé — La barque de Belazor — Truc du navire qui vire de bord — Les trois châssis superposés.
  • 9. Gloires, vols et apothéosesVieilles traditions — Les apothéoses d'autrefois — Un document inédit — Adonis — Germanicus sur le Rhin — Énumération des maquettes — Les théâtres vénitiens au XVIIe siècle — La machinerie du Saint -Sauveur — Niccolo Sabbatini — Le palco et le parapetto — Équipe d'une grande gloire — Bâti pendant à cassettes — Apothéoses mouvementées — Développement des nuages — Les vols obliques et les vols tournants — La Mouche d'or et les Poupées nageuses — Le treuil à caoutchouc — L'écrou et sa vis — Le câble — La manoeuvre — Le grand vol — Le corset et le mousqueton.
  • DEUXIÈME PARTIE
  • 1. L'Opéra de Paris (Dessous)
  • Une machinerie métallique — Projet primitif — La cuve étanche — Une nappe d'eau souterraine — La scène, les dégagements, le foyer de la danse — Cinq dessous — Colonnes en fonte et sablières en tôle cornières — Chariots et cassettes en fer — Les cheminées de contrepoids interrompues — Un repentir — Les équipes du dessous — Les tuyaux pour la vapeur d'eau — Les bâtis du vaisseau de l'Africaine — Les caves — Les salles des machines — La canalisation de gaz abandonnée — L'ascenseur des chevaux — Le chemin des rideaux.
  • 2. L'Opéra de Paris (Les cintres)
  • L'Opéra et les machines — La scène — Les cases à décors — Chiffres comparatifs — Les mâts à échelons — Trapillons de costières — Les changements d'affiche — L'encombrement du matériel — Six étages de corridors de services — Structures — Les trois grils — Les pannes en treillis du grand comble — Trois étages de tambours — Les magasins — Aveu mélancolique.
  • 3. La force hydraulique au théâtreL'Opéra de Budapest — Hôtel de ville et caserne — Aspect général du monument — Dimensions et aménagements de la scènerie — Fractionnement du plancher — Mobilité partielle ou totale — Les presses hydrauliques — Double pistons — Aménagement du gril — Suspension des rideaux — Equipes de vol — Le grand horizon — Suppression des frises — Chemin de roulement — Eclairage par transparence — Simplification du service — Lenteur et humidité — L'Asphaleïa — M. Quéruel, ingénieur — L'hydraulique à la Gaité, priorité de l'emploi sur un théâtre français — Les grilles de l'Hippodrome.
  • 4. L'éclairageEclairages incendiaires — Les méfaits de l'huile à brûler — Les étuves — Le bol de punch — Un défaut peu regretté — L'éclairage conventionnel — La rampe d'avant -scène — Les herses — Les portants — Les traînées — Les projections — Le jeu d'orgue — Les rhéostats — La déperdition de la lumière — Herses teintées — Les appareils Clémançon et Cie — Commutateurs du jeu d'orgue — Le mica — Quelques chiffres — Améliorations nécessaires — Un document officiel.
  • 5. Appareils accessoiresMachines électromotrices — Le rideau de fer de la Comédie -Française — Feux d'artifices électriques — Apothéose de lampes à incandescence — Le flambeau d'Ascanio — Les caisses à lumière et les lanternes de projection — L'arc -en -ciel — Les éclairs au magnésium — Un opérateur aveuglé — Le tonnerre — Le chariot — La plaque de tôle — La caisse à roulements — La fusée — L'éclat de foudre — La trémie — Le vent — La pluie et le tube aux pois secs — La neige — La mousse de savon — La râpure de corne — La lune — Le soleil — Les étoiles — Illusions olfactives — Les tonneaux de harengs.
  • 6. Illusion d'optiqueLe pas de deux du miroir — Le rêve du fumeur d'opium — Le physicien Robin et les spectres vivants et impalpables — Pepper's ghost — Le Zouave d'Inkermann — Le Démon de Paganini — La glace sans tain — Le Secret de miss Aurore — Robert-Houdin et la Czarine — Les trucs macabres et les trucs gracieux — Double apparition dans l'eau — Amphitrite — Les prestidigitateurs et l'abus des trucs à miroir — La crémation magique — Les toiles métalliques — La Danse Serpentine — La Loïe Fuller — Lanternes à disques tournants — Les squelettes intermittents — Un truc à rajeunir.
  • 7. Les théâtre géantsLes théâtres antiques — Spectacles oculaires — Mépris injuste — La catastrophe d'Ischia — Un théâtre dans un bassin — Pantomime patriotique — Un plancher robuste — Equipes simplifiées — L'Ode triomphale de Mlle Augusta Holmès — Décoration du palais de l'Industrie — Installation du théâtre — Le grand cadre et la voussure — Le rideau — Aspect du décor — Le défilé — La plantation panoramique — Un directeur entreprenant — Néro — Venise, l'épouse de la mer — La sale et la scène de l'Olympia à Londres — Un cadre d'ouverture de 76 mètres — Machinerie peu compliquée — Les décors à l'italienne.
  • 8. Trucs et effets décoratifs récentsI -Les courses de chevauxII -Le grand éventail du ballet Le Rêve à l'Opéra GarnierIII -Démolitions et écroulements — le temple de Samson et DalilaIV -La chevauchée des Walkyries
  • 9. Les décors et la mise en scèneLa peinture en détrempe — La couche d'impression — La trace — La mise à l'encre — Le poncif — La perspective théâtrale — Le point de vue —Artifices de plantations — Divers exemples — L'ancien théâtre des Funambules — Le système panoramique — Un métier pénible — Les chefs d'atelier — Préliminaires d'une mise en scène — Les notations — Le ballet italien, l'Orgie d'Amor — Mises en scènes régulières et mises en scènes pittoresques — Un manuscrit curieux — Les ballets du père Menestrier de la Compagnie de Jésus — Conclusion.
Le lieu théâtral à la Renaissance
2002
Editions du CNRS
Le lieu théâtral à la Renaissance
Auteur : Jean Jacquot, Marcel Oddon, Elie Koningson

ISBN : 2271060168

Du XVe au XVIIe siècle le théâtre, et particulièrement le lieu thétral, connaît une transformation profonde dans ses modes de représentation comme dans ses fonctions sociales et idéologiques.

Instauration fréquente de lieu fixe à l'opposé des lieux temporaires du Moyen Âge, établissement de rapports originaux et divers entre public et action dramatique, rencontre de l'architecture et de la peinture, développement de la perspective thétrale, déploiement de la machinerie sur certaines scènes d'Europe, nouvelle conception scénique du rapport espace - temps : autant de remise en cause. Mais durant ces trois siècles, si neuves que soient les formes qui apparaissent, il en est qui ne rompent pas totalement avec le passé et instaurent des compromis entre des structures anciennes relevant de l'Antiquité ou de la vision médiévale et des aspirations vers un avenir incertain.

A travers toute l'Europe une extraordinaire floraison de formes scéniques novatrices, de la scène élisabéthaine à la scène à l'italienne, témoigne des réalités sociales, esthétique, scénique d'un monde en mutation. Certaines se développeront pour être mises en question au tournant de notre siècle, d'autres disparaîtront pour servir de source d'inspiration à notre époque.

Véritable plongée dans le passé cet ouvrage est une ouverture sur les problèmes thétraux de notre temps, Il nourrit la réflexion des hommes de la pratique (metteurs en scène, scénographes, architectes, etc.) et des spécialistes de théâtre. Les bouleversements du XXe siècle sont bien ta l'image de ceux de la renaissance.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Avant-Propos. vii
  • Les éditions illustrées de Térence dans l'Histoire du Théâtre, par T. ELawrenson et Helen Purkis. pg1
  • ÉVOLUTION DU LIEU THÉÀTRAL EN ITALIE (1470-1640)
  • Dessins d'une scène, exécutés par Léonard de Vinci pour Charles d'Amboise,par Carlo Pedretti. pg25
  • Le Dessin de Léonard de Vinci pour la représentation de la " Danaé " de Baldassare Taccone, par Rate T. Steinitz. pg35
  • Cortile et Théâtre, par André Chastel. pg41
  • Vitruve et le Théâtre de la Renaissance italienne, par Robert Klein et HenriZerner. pg49
  • Les Rapports entre la scène et les spectateurs dans le théâtre italien du XVI siècle, par Cesare Molinari. pg61
  • Espace scénique et durée de l'action dans le théâtre italien du XVI siècle et de la première moitié du XVII siècle, par Per Bjurström. pg73
  • Le Lieu des Spectacles (publics ou privés) à Venise au XV et au XVI siècles,par Maria Teresa Muraro. pg85
  • Le Théâtre de tournoi en Italie pendant la Renaissance, par Elena Povoledo. pg95
  • Lettres de Parme (1618, 1627-28) et débuts du Théâtre Baroque, par Irving Lavin. pg105
  • LE LIEU THÉATRAL HORS D'ITALIE.
  • Scènes organisées sur d'autres principes que ta perspective et l'illusion
  • Le Théâtre en Autriche au temps de Maximilien Fr, par Heinz Kindermann.pg159
  • Les Fétes de la Renaissance à la cour de Bavière, par Giinter Schöne.pg171
  • Le Jeu du Carnaval de Nuremberg au XV siècle et au XVI, par Joël Lefèbvre. pg183
  • La scène du Laurentius à Cologne et le nouveau document sur le Hellsbrunner Hot à Nuremberg, par Cari Niessen. pg191
  • La mise en scène de l'auto sacramental à Madrid aux XVIe et XVIIe siècles, parJ. E.Taret. pg215
  • La Représentation de l'auto " La Margarita preciosa " de Lope de Vega àSégovie, en 1616, par J. F. Flecniakoska. pg227
  • Quelques aperçus sur la mise en scène de la « comedia de santos » dans lapremière moitié du XVII siècle, par Lucette Roux. pg236
  • Un exemple d'aménagement de lieu théâtral à l'occasion d'une canonisation,par Lucette Roux. pg253
  • Le dessin de Comba et l'ancien théâtre espagnol, par N. D. Shergold. pg259
  • La Salle de banquet et le théâtre construits à Greenwich pour les fétes franco-anglaises de 1527, par Sydney Anglo. pg273
  • Les Interludes au temps des Tudor, par Richard Southern. pg289
  • Reconstitution du Théâtre du Swan, par Richard Hosley. pg295
  • Emblème et image : quelques remarques sur la manière de figurer et de représenter le lieu sur la scène anglaise au XVIe, par Glynne Wickham. pg317
  • La Représentation de Gijsbreght van Aemstel » de Vondel. Inauguration du siècle, par Schouwburg d'Amsterdam (1638) par W. Gs. Hellinga. pg323
  • Unité et pluralité dans le théâtre français (1450-1650), par Raymond Lebuègue. pg347
  • La "Condamnation de Banquet » et les tapisseries de Nancy, par Iris Brooke. pg357
  • Le Mémoire de Mahelot et I'« Agarite de Durval : vers une reconstitution pratique, par T. E. Lawrenson, Donald Roy et Richard Southern. pg363
  • LE LIEU THÉÂTRAL HORS D'ITALIE.
  • Diffusion de la scène à l'italienne» au XVIe siècle
  • Une maquette de décor récemment retrouvée pour le "Ballet de la Prospéritédes armes de France" (1641) : étude sur la mise en scène au Palais Cardinal avant l'arrivée de Torelli, par Agne Beijer. pg377
  • Dessins de costumes français datant d'environ 1640, par Per BitrasTaôm. pg405
  • "La Naissance de la Paix" ballet de cour de René Descartes, par Agne Beijer. pg409
  • Les Débuts du drame lyrique en Espagne, par Charles V. Aubrun. pg423
  • La "Médée" de Jan Vos (contribution néerlandaise à l'histoire du théâtreeuropéen) par H. H. J. de Leeuwe. pg445
  • L'Héritage de la Renaissance dans la mise en scène en Angleterre (1642-1700), par James G. Manaway. pg459
  • Les types du lieu théâtral et leurs transformations de la fin du Moyen Age aumilieu du XVII siècle, par Jean Jacquot. pg473
  • Leo Schrade (1903-1964). pg511
  • Index. pg513
  • Table des planches. pg527
  • Table des matières. pg531
La Monnaie, les coulisses de l'opéra
2006
Renaissance du Livre
La Monnaie, les coulisses de l'opéra
Auteur : Martine D. Mergeay, Frank De Crits

ISBN : 2874155756

DVD

  • Taille : 30cm x 25.4cm
  • PRÉFACE
  • 7 Guy Verhofstadt, Premier ministre
  • EDITORIAL
  • 9 Bernard Foccroulle, directeur général
  • LE MOT DES AUTEURS
  • 10 Des deux côtés du miroir — Martine D. Mergeay
  • Dans les cuisines de l'opéra — Frank De CritsLa Calisto
  • 01 La Calisto
  • 12 FASTES ET FARCES DE L'OPÉRA VÉNITIEN
  • 18 Un tandem improbable et fameux : René Jacobs et Herbert Wernicke
  • 22 L'atelier des décors
  • 02 Benjamin Britten
  • 26 MAÎTRE DE L'OPÉRA MODERNE
  • 31 Peter Grimes, le chef-d'œuvre
  • 39 Grande musique pour petits enfants, The Golden Vanity
  • 44 Le service éducatif
  • 03 L'Orfeo
  • 46 L'HOMMAGE DE LA DANSE À LA MUSIQUE
  • 52 L'abstraction confrontée à l'expression
  • 58 Les machinistes
  • 04 Wintermârchen
  • 62 LE DERNIER OPÉRA DU XXE SIÈCLE
  • 68 Interdépendance et solitude
  • 76 L'atelier de sculpture
  • 05 Aida
  • 78 UN DRAME INTIMISTE
  • 84 Les lumières d'Aida
  • 92 La régie
  • 06 Tannhäuser
  • 96 LA LIBERTÉ DE L'ARTISTE
  • 102 Jan Fabre, un monde en soi
  • 11 2 Les ateliers de coiffure et de maquillage
  • 07 Hanjo
  • 116 UN NÔ MODERNE
  • 122 Orient-Occident
  • 128 L'orchestre
  • 08 Die Zauberflöe
  • 132 LA NUIT ET LA LUMIÈRE
  • 136 Explorateurs en tandem
  • 146 Le bureau d'études
  • 09 Cosi fan tutte
  • 148 LE CHANT, LE CORPS ET LE THÉÂTRE
  • 154 En ouverture de l'année Mozart
  • 164 Les ateliers des costumes, la teinturerie, la cordonnerie
  • 10 Boris Godounov
  • 170 UN DRAME AUX ACCENTS CONTEMPORAINS
  • 176 Résonance universelle
  • 182 Les chœurs
  • 188 Les distributions
  • 191 Le DVD Les éditions musicales
Zeami and his theories on Nö
1973
Tsunetarö Hinoki, Hinoki Shoten
Zeami and his theories on Nö
Auteur : Toyoichirö Nogami, Ryözö Matsumoto

Zeami (世阿弥?, 1363 - 1443), de son nom complet Zeami Motokiyo, aussi appelé Kanze Motokiyo (観世 元清?) du nom de l'école Kanze qu'il a créé avec son père, est un acteur et dramaturge japonais, ainsi que le théoricien du nô et l'un des grands dramaturges de l'histoire du théâtre japonais

  • Taille : 23cm x 17cm
  • Translator' NoteZeami-Motokiyo
  • The Works of ZeamiImitation (Monomane)
  • Transcendental Phantasm (Yügen)
  • The Flower (Hana)
  • The Returned Flower (Kyakuraika) and the Attained Skill (Ran-i)
  • The Signifiance of Age in the Training of Nö
  • Bibliography
Les Cent visages du Cinéma
1948
Grasset
Les Cent visages du Cinéma
Auteur : Les Cent visages du Cinéma

Avertissements.

Cet ouvrage et moi une histoire qu'un bilan du cinéma. Un bilan de fin de demi-siècle.

Nous en avons écarté la description détaillée du mécanisme des appareils qui reproduisent images et sons. Des livres copieux, sérieux et bien Fabian était consacrés. Les lecteurs curieux de techniques mécanicienne pourront s'y reporter…

Nous n'avons pas voulu entrer davantage dans les polémiques institué autour de l'invention du cinéma. Nous nous sommes borner à énumérer des expériences qui ont précédé les réalisations de Reynaud, de Marey et de Lumière. Pour nous, c'est trois nous sont inséparables et leur association, résultant d'un groupement de faits, peut attester que le cinéma est une invention française.

Puisque la naissance du cinéma, en tant que spectacle public et commercialement exploité, date du jour où les frères Lumière projetèrent leur premier film sur l'écran du Grand Café, c’est cette soirée du 28 décembre 1895 que nous avons prises pour point de départ. Opérant un grand retour en arrière, nous avons étudié les spectacles d'ombres et de lumière (fantasmagories, silhouettes) qui ont précédé le cinéma, puis nous avons suivi le cheminement des multiples tentatives qui visèrent à la reconstitutionutiliser de l'image animée. Ceci pour démontrer que le « cinématographe » était un aboutissement logique.

Une fois cette « continuité » établie, nous avons examiné comment le cinéma s'est installé dans nos habitudes. Nous avons évoqué la naissance et le développement de l'industrie française du film est marqué les influences reçues de l'étranger.

Dans la seconde partie, nous avons décrit l'extension du cinéma dans les divers pays d'Europe, d'Amérique, d’Asie – et même, quoi que cela soit beaucoup moins important, d'Afrique et d'Océanie.

Ce bilan ne s'applique pas seulement à l'esthétique du film. Il considère le cinéma dans ses rapports avec la vie politique et économique. Autrement dit, nous n'avons pas envisagé le cinéma dans le cadre restreint de l'écran, mais dans le cadre immense de la vie des peuples.

  • Taille : 25.3cm x 20.2cm
  • PREMIERE PARTIELE CINEMA VU DE CHEZ NOUS
  • CHAPITRE PREMIER.
  • NAISSANCE DU CINÉMA  13
  • La représentation du 28 décembre 1895 au Grand Café. Physionomiede la soirée. Le programme. Les impressions des spectateurs.
  • CHAPITRE II.
  • - LES ANCÊTRES  17
  • La caverne de Piston. Les mystères d'Éleusis. Découverte de lachambre noire. La lanterne magique et les tableaux optiques. Robertsonet ses fantasmagories. Les truquages du lantascope. Les ombres chinoises.Le wayang javanais. Le théâtre de Seraphim les ombres du Chat-Noir.
  • CHAPITRE III.
  • -ARTISANS ET PRÉCURSEURS 33
  • La persistance rétinienne et les jouets optiques. Baudelaire et lephénakistiscope. Réalisations diverses et le théâtre optique de Reynaucl.Destin d'un inventeur. De la chambre noire à la daguerréotypie. L'intuitionde Champfleury. Projections holographiques. L'analyse du mouvement
  • Muybridge, Janssen, etc. Étienne-Jules Marcy et la chronophotographie.Thomas Edison et le kinétoscope. Comment le cinéma faillit vendre aumonde avec la faculté de parole. Les frères Lumiere. Quelques experi-mentateurs. L'étrange aventureux de Leprince.
  • CHAPITRE IV. - PREMIERE ENFANCE 43
  • Les premiers films. Mesguich et Promio. L'Arroseur arrosé Le Coucherde la Mariée et ses imitations. L'oeuvre de Georges Mies : découvertede la technique de la mise en scène et de la prise de vues. La finmisérable d'un précurseur. À la recherche du cinéma « préhistorique ».L'opérateur Lear et le frère Basile. L'histoire de Charles Pathe et deses premiers films. Les methodes de Ferdinand Zecca. Les débuts de lamaison Gaumont. Comment on tournait les premiers films a scénarioles décors. les costumes, la mise en scène. Les films à poursuites (techniqueet truquages). Les sujets de films. Premiers essais de synchronisation del'image et du son. Les films en couleur & Émile Cohl, inventeur dudessin anime. Les premiers metteurs en scène et leurs acteurs. Gribouille,Rigadin et Max Linder.
  • CHAPITRE V. - LE PUBLIC ET LES SALLES  70
  • L'incendie du Bazar de la Charite et ses conséquences. Le cinémaa la foire. L'Exposition de 1900 et ses écrans. Le cinérama et le phono-cinéma-théâtre. Les premiers «cinés» : bonimenteurs et bruiteurs. Lavente et la location des films. Comment le public populaire a assuré la viedu cinéma. Les programmes. L'emploi du film au théâtre.
  • CHAPITRE VI. - ÉDUCATION ARTISTIQUE 83
  • La fondation du Film d'Art. Arrivée des comédiens et des auteursofficiels. L'Assassinat du Duc de Guise. Les Rides de Lavedan et leurapplication. Le répertoire du Film d'Art. Sarah Bernhardt au cinéma.Le cinéma des gens de lettres. Exploitation du feuilleton et du mélodrame.Influence sur révolution du cinéma. La production Pathé Gaumont,Eclair, etc. Les films historiques, comiques, sociaux et autres. LouisFeuillade et le cinéma naturaliste. Les films d'aventures et les filmspoliciers. Les nouveaux films en couleurs et les phonoscènes. La créationdes actualités filmées : Pathe-Journal et ses confrères. Cinema et music-hall : la revue filmee.
  • CHAPITRE VII. - PERSONNEL ET MÉTHODES, DE 1908 A 1914 106
  • Évolution des techniques. Recherche de la mise en scène réalisteSouci de reclairage. Victor Jasset et les principaux metteurs en scèneLes acteurs sortent d’anonymat. Ceux qui passent du théâtre au cinémaLes importations étrangetés. L'exploitation se développe : les grandessalles. Studios, usines et laboratoires. La presse et le cinéma. Deuxenquêtes sur la rivalité « cinema-theatre ». Une curieuse étude de ReneDoumic. Suprématie de la production française.
  • CHAPITRE VIII. - LE CINÉMA EN GUERRE (1914-1918) 122
  • Régression de la production nationale. La Section cinématographiquede l'Armée. Films patriotiques en tons genres. Reprise du cinéma « artistique ». Les nouveaux metteurs en scène. La concurrence etrangereCabiria, For failure. Découverte de Chariot. L'ère du roman-cinéma influence des Mysteres de New York. L'institution de la censure. L'invasion américaine : le cinéma français est en danger.
  • CHAPITRE IX. - LA BELLE ÉPOQUE DU CINÉMA MUET 142
  • Le cinéma français au lendemain de la guerre. Hésitations. Canudoet le septième art. Louis Delluc et son oeuvre. Le cinéma est-il un art?Les Français ont-ils le sens du cinéma? Abel Gance, Marcel L'Herbier,Germaine Dulac, J. de Baroncelli, Henry Roussel, Andre Antoine, LeonPoirier, Raymond Bernard, Jean Epstein, Henri Fescourt, Jacques Feyder,Severin-Mars. Jamie Catelain. Louis Feuillade et ses disciples. Réalisateursdivers. La generation montante : Rene Clair, Jean Renoir, Alberto Caval-canti, Julien Duvivier, Andre Berthomieu, Henri Chomette, Jean Gremillon,Andre Sauvage, Claude Autant-Lara, Jean Choux, Jean Dreville, MareAllegret, Georges Lacombe.
  • CHAPITRE X. - LA BELLE ÉPOQUE DU CINÉMA MUET (suite) 173
  • Les importations américaines. Le cinéma nordique. Les films allemandsRevelation du cinéma soviétique. Les Russes en France. Un acteurMosjoukine. Hirsanoff et les films sans sous-titres. Le personnel artistique.Emprunts à la littérature. Films de guerre. Cinéma et music-hall. Essaisde synchronisation et de relief. Le « film large ». L'art et l'argentcinéma et finances. Protectionnisme et contingentement. Concentration desgrandes firmes. Le film français dans le monde. Public et critique.
  • CHAPITRE XI. - TOURNANT HISTORIQUE 197
  • De l'Inconvénient des sous-titres. L'avant-garde. Recherches techniqueset cinéma pur. Le Vieux-Colombier, le Studio des Ursulines, le Ciné-Latin,le Studio 28. Les Ciné-Clubs. Les films de Bunuel : le Chien andalou,l’Age d'or. Jean Cocteau- tourne le Sang d'un poète Revell du film sonore.Synchronisation de fortune. Opinions sur le « parlant ». Les premières« talking pictures tn France. Production franglaise et allemande.Sous les toits de Paris.
  • CHAPITRE XII. - DEUX LUSTRES DE CINÉMA PARLANT 211
  • Les metteurs en scène franges s'adaptent. La production européennede la Paramounte. Que devient Pinternationalite du cinéma ? Le doublageet lea versions multiples. Les versions originales sous-titrées. Le filminternational. Nouveaux films de guerre. Films divers. Les étrangers enFrance. Sujets théâtraux et vieux sujets. Réalisateurs : René Clair, JeanVigo, Raymond Bernard, Feyder, Marcel Pagnol, L'Herbier, Duvivier,Chenal, Christian Jaque, Marcel Carrie, Jean Benolt-Levy, Lacombe, JeanRenoir. L'apport étranger.
  • CHAPITRE XIII. - COMMERCE DU CINÉMA  232
  • Les suites de la concentration. Les producteurs indépendants. Le rôledes distributeurs. Insécurité financière et intervention de l'État. L'exploitation, les taxes et la location. Organisation sociale du personnel. Les grèves.Le statut du cinéma. Le public et ses tendances. La presse. Le problèmede la concurrence étrangère. À l'Exposition de 1937. Les « vedettespréférées ». Georges Duhamel contre le cinéma.
  • CHAPITRE XIV. - LA DEUXIÈME « CAMPAGNE » DU CINÉMA (1939-1915) 242
  • Le cinéma français en 1939. La mobilisation. La censure militaireLa propagande. Films patriotiques et antihitleriens. Le Service cinématographique de l'Armée. Juin 1940. L'occupation allemande. Réorganisationdu cinéma : le C.O.I.C. La censure de Vichy. La production en zone nonoccupée. La société « Continental-Films ». La production sous Poccupation.Films de propagande. Accords franco-italiens. Les « autorisations deproduire ». Les films qui ont été tournés. Le « simplifilm ». Les réalisations de Came, L'Herbier, Christian-Jaque, Gremillon, Pierre Blanchar,Daquin, Becker. Cocteau et Giraudoux Ocrivent pour l'écran. L'Institut desHautes Études cinématographiques. La Liberation. Les Actualites Françaises. Retour des films américains, anglais et soviétiques. Les films surla Resistance. La nouvelle production. Situation matérielle du cinéma.L'accord Blum-Byrnes. La filmologie. Le Festival de Cannes. Le Centrenational de la Cinematographie. Succès des films français.
  • CHAPITRE XV. - LES RIGUEURS D'ANASTASIE 209
  • La morale a l'écran. Escarmouches. La commission Lafrerre et lacensure de 1919. Quelques interventions. Les exploitants demandent lagarantie de la censure. L'affaire de la Garconne et quelques autres.Les Nouveaux Messieurs. Censure policière : les Tisserands, Chalnes.Mesures contre le film soviétique. L'interdiction de l'Âge d'or. Censuresmunicipales. Le cas de l'Opera de Quarsous. La censure préventive. Pourle droit commun. Le cinéma et l'enfance. Spectacles réserve. La reformede la censure.
  • CHAPITRE XVI.- IMPORTANCE SOCIALE 287
  • Le cinéma, témoignage humain et document social. Résultats d'uneenquête d'Henry Poulaille. Difficultés d'aborder les questions socialesà l’écran. Le cinéma conformiste °. Le cinéma et la science (Doyen, Comandon,Painley& etc.). Le cinema a Pee°le. Les films documentaires et le public.La propagande d'hygiène sociale. L'enseignement technique, la rationalisation et la prévention des accidents du travail. La classe ouvrière et lecinéma. Les religieux, leurs films et leur censure particulière.
  • CHAPITRE XVII. - DESSINS ANIMES ET MARIONNETTES 311
  • Hommage a Grandville. La technique d'Émile Cohl. Les « cartoons »américains : Stuart Blackton, Mac Manus, Ben Harrison, Many Gould, etc.Mutt and Jeff, Felix le chat. Lortac et les autres dessinateurs frangés.L'équipe des Fleischer. Les débuts de Walt Disney. Les dessins animéssonores et en couleurs : Mickey et cie. Comment travaille Disney. Histoirede Betty Boop et de Popeye le marin. Technique de la sonorisation. Lesproducteurs américains. Ce qu'on fait en Europe. Les films de silhouettesdo Lotte Reiniger. Les dessins animent Allemands, Soviétiques, Italiens, etc.Réalisations franglaises. Dessins de long métrage : Blanche-Neige, Gulliver,Pinocchio. Pendant la guerre : expériences françaises : Marty, GrimauIt.La Fantasia de Disney.Films de marionnettes : Ladislas Starevitch et le Roman de Renard.Paul Bianchi, Henri Gad. Marionnettes italiennes, allemandes, russes,beiges. Le Barbe bleu de Jean Painlevé. Les films de maquettes.
  • DEUXIÈME PARTIELE CINÉMA DANS LE MONDE
  • CHAPITRE PREMIER. - DEBUTS AMERICAINS 335
  • Do Muybridge a Edison. Acmé Le Roy. Les premiers films. Le trustet la guerre des brevets. Succès des producteurs indépendants. Premiersstudios, premiers metteurs en scène, premiers acteurs. Les « westerns ».Développement de la production. William Hart. Comment on jugeait lecinéma. Installation dans la vie sociale. Naissance de Los Angeles et deHollywood. Les pionniers pittoresques : débuts modestes des grandesfirmes. Pendant la guerre de 014-1918 filme de propagande. D.-W.Griffith, Thomas Ince, C.-B. de Mille, Allen J. Holubar. Les films comiquesMack Sennett, Chaplin. Autres films de la période de guerre.
  • CHAPITRE II. — L'USINAGE DE HOLLYWOOD (SANS PAROLES) 359
  • Le cinéma, moyen d'expression. Utilité d'un manque de traditionthéâtrale. Recours aux réalisateurs français : Gasnier, Perret, Capellani, etc. Autres Europeens : Éric Von Stroheim, etc. Dix ans de cinemaamericain : Douglas Fairbanks, Mary Pickford, Pauline Frederick, ThedaBara, Valentino, Charles Ray... Des comiques : Harold Lloyd, Buster Keaton,les « gags ». Diversité des films. Les documentaires de Flaherty. JamesCruze. Quelques grands films : l'Opinion publique, les Dix Commandements,Ben-Hur, la Grande Parade, la Foule, Solitude. Lon Chaney et seamaquillages. Les doublures : «stunt men et stand in». Films d'enfants etfilms d'animaux. Les stars et les vedettes. Les nouveaux trusts. Faiblessedes scénarios. Critiques sur le monde du film. Les censures publiqueset privées : le Code moral de W. Hays. Scandales et tragédies. La propa-gande américaine par le cinéma.
  • CHAPITRE III. — L'USINAGE DE HOLLYWOOD (AVEC PAROLES ET MUSIQUE) 385
  • Synchronisation primitive. Les travaux de Lee de Forest et de CaseNaissance commerciale du film parlant. La découverte des frères Warner.Don Juan et le Chanteur de jazz. Les assises financières et industriellesdu cinéma parlant. Tons les producteurs suivent le mouvement. Petitequerelle de brevets et entente américano-européenne. Des artistes qui s'envont et d'autres qui arrivent. Chaplin contre le film parlant. Un grandfilm : Hallelujah. Carl Laemmle lance «À l'Ouest rien de nouveau». À larecherche des scénarios. Inspirations littéraires. Nouveaux westerns. -Filmspoliciers : les gangsters. Films d'Opouvante et films fantastiques. Filmshistoriques. Films de guerre. Films sociaux : chômage, criminalité, enfanceabandonnée, etc. Films musicaux. Une réalisation curieuse : Verts Peitu-rages. Nouvelles comédies (New-York-Miami et autres). Films satiriqueset films loufoques. W.-C. Fields, Laurel et Hardy, les frères Marx et lesfrères Ritz. Quelques acteurs. L'odyssée de Greta Garbo. Les Allemandsemigres Is Hollywood. Cinéma en couleurs et télécinéma. Situation économique : intrigues financières, grèves, le N.R.A. Hollywood contre lefascisme. Nouvelle offensive des Ligues de décence. Les méthodes detravail. Le rôle de l’auteur. Le cinéma américain veut conquérir l'Europe.Le gouvernement de Washington centre les trusts. Derniers films du tempsde paix. La guerre : union sacrée et propagande. Le cinéma est mobiliséau service de la victoire. Les films de bataille et d'héroïsme. Mickeyfait de la propagande. Nouveaux collaborateurs littéraires et reprises devieux succès. Nouvelles vedettes. Les Français de Hollywood. L'avant-garde. Conflits sociaux.
  • CHAPITRE IV. - MADE IN GERMANIE 438
  • Les premiers films. Guido Seeber. L'opposition des directeurs dethéâtres. Max Reinhardt, des poètes et de grands acteurs viennent aucinéma. Morale et censure. La méfiance des socialistes. Les debuts d'HennyPorten, de Jannings, de Wegener. La collaboration danoise. La guerre de1914. Propagande à l’intérieur et à l'extérieur. Arrivee de Pola Negri.Le Lichtspieloper. La U.F.A. est constituée. Fin de la guerre : le cinemaallemand se developpe. La vogue des films historiques : Lubitsch,Buchowetzky. L'Amérique s'intéresse à la production berlinoise. Filmsrevanchards.Expressionnisme et néo-romantisme : le Cabinet du docteur Caligari.Les films de Wiene. Fritz Lang et les Trois lumières. Paul Leni etFigures de cire. Films d'épouvante. L'expressionnisme de Jessner : l'Esca-Her de service. Folklore germanique : les Nibelungen. Le réalismela Rue, de Carl Grune; les oeuvres de Lupu Pick; Murnau et le Dernierdes Hommes. Dupont et Varietes. Hennie Porten, la plus grande artiste.Pabst et la Rue sans joie. Films psychologiques (Nju), sociaux (les Tisserands). Adaptations littéraires, films comiques. Documentaires. Metropoliset la Femme sur la Lune. L'avant-garde : Eggeling, Richter, Ruttmann,Dudow, etc. Le cinéma dans le théâtre de Piscator.Les acteurs du cinéma. Le commerce du film. Combinaisons internationales. La crise des U.S.A. et l'intervention de Hugenberg. La « Westi ».Enseignement et propagande. Les Allemands en Amérique. Recherchestechniques. Procédés de films parlants. Création de la Tobis. La Melodiedu Monde et les premiers films synchronisent. Productions franco-allemandes. Sternberg et l'Ange bleu. Thiele et le Chemin du Paradis. Autresfilms. Pabst tourne Quatre de l'Infanterie, l'Opera de Quat'sous. Lesnationalistes et le cinéma. Difficultés de l'industrie. Films de jeunesse.Le cinéma jusqu'a 1933.L’avènement de l'hitlérisme. Le cinéma sous la direction de Goebbels.Les premiers films nazis : Horst Wessel, Hitlerjunge Qum. Le cinémanationalise. Les films de Leni Riefenstahl. Goebbels impresario. L'Academiedu Cinéma. Rétrospective du cinéma autrichien. L'Anschluss. Commentet pourquoi on tournait des films français à Berlin ? Le cinéma jusqu'à 1939.La guerre. Films sur les campagnes de Pologne et de France. Quelquesproductions importantes. L'occupation des écrans. Le cinéma en couleursla Ville dorée. Après la défaite du Reich : occupation et épuration. Filmsd'après-guerre. Renaissance du cinéma autrichien.
  • CHAPITRE V. - DERRIÈRE LES ALPES 507
  • Débuts du cinéma italien. Les grandes firmes de Rome, de Turin etde Milan. Outrance du geste. Drames sentimentaux et historiques. Premièresvedettes. Films historiques en carton-pâte. La censure. On tourne la DivineComédie. Le «Quo Vadis»?» de Guaroni. Un film sensationnel : Cabiria. L'étatde guerre favorise le cinéma italien. De sombres drames et de curieusesadaptations littéraires. Les idées d'Eleonora Duse. Un manifeste de Marinelli. Après la guerre : crise du cinéma italien. Le témoignage d'EmilioGhione et quelques faits. Jannings dans «Quo Vadis ?», «Les derniers joursde Pompéi».Le fascisme. Fondation de la L.U.C.E. Les Italiens veulent se defendrecontre les films étrangers. Avènement du film parlant. Films fascistesAn VW, Camicia nera, etc. Les productions de Camerini, Gallone, Genina,Blasetti, etc. «L'Escadron blanc» et «Scipion l'Africain». Creation de Cinecitta.Conflit avec les Américains. La production pendant la guerre. Effondrementet reprise rapide.
  • CHAPITRE VI. - POÉSIE SCANDINAVE 531
  • a) SUÈDE. Premiers films. Débuts de Stiller et de S3ostrom. SelmaLagerlof fournit des scenarios. Les qualités des films suédois. La Charrettefantôme, le Tresor d'Arne, l'Épreuve du feu, la Legende de GostaDebuts de Greta Garbo. Stiller et Sjostrom a Hollywood. Le cinémaparlant. Les films franco-suédois de Molander. Nouveaux artistes. Laproduction nationale reprend de la vigueur. Le Chemin qui conduit audel. La doctrine de Rune Lindstrom.
  • b) DANEMARK. Initiatives d'Ole Olsen. Urban Gad et Asia Nielsen.Waldemar Psilander. Un scenario de G. Hauptmann : Atlantis. Combinaisons germano-danoises. A.-W. Sandberg adapte Dickens. Viceuvre deCarl T. Dreyer : de la Quatrieme alliance de Dame Marguerite a Dies Irae.Christiensen et Sorcellerie. Doublepatte et Patachon. Films documentaires.c) NORVÈGE. Les salles communales. Knut Hamsun a Cecran. Quelquesfilms.
  • d) FINLANDE Organisation du cinéma finlandais. Films d'amour etfilms antibolchevistes. Films de guerre. Un cinéma de tradition populaire.
  • CHAPITRE VII. - FILMS BRITANNIQUES 551
  • Le theatrograph et Canimatograph. Robert W. Paul, Cecil Hepworth,G.-A. Smith, Williamson, pionniers du cinéma anglais. La Gaumont British.Innovations techniques. Films a poursuites et films réalistes. Premiersacteurs et premiers auteurs. On adapte Shakespeare et Dickens. Lesgrands films. Les Américains contre le cinéma anglais. Essais de filmsparlants. Création de la censure. La guerre de 1914. Films de circonstances.Le cinéma d'après-guerre. Influences et participations étrangères.Les idées de Gordon Craig. Les films muets qui ont été tournés. Lecontingentement. Nouveaux metteurs en scène : Anthony Asquith, HarryLachmann, Alfred Hitchcock. Polernique internationale autour de Dawn.Apparition des talkies. Atlantic, de Dupont. Les résultats du contingentement. La censure continue. Offensive contre le cinéma du dimanche.Baird et la télévision. La production parlante. L'exemple de Cavalcade.Le Hongrois Korda organise le cinema national: la Vie privee de Henri VIII.Avalanche de films historiques. Clair et Feyder tournent k Londres. Letravail des régisseurs allemands. Les films inspirent de Wells. J. Griersonet le néoréalisme. Le public et la situation du marché. Ententes anglo-americaines. Démonstrations de télécinéma.Pendant la guerre : Le Lion a des ailes. Films sur Cartnee, la marine,l'aviation, sur la vie des civils Desert Victory, Tunisian Victory. Ledébarquement. La fin de la guerre. Lawrence Olivier tourne Henri V.La situation commerciale du cinéma. Nouvelles concentrations. L'actionde M. Rank. Nouvelles difficultés anglo-américaines.
  • CHAPITRE VIII. - LE CINÉMA EN RUSSIE 584
  • On filme le couronnement de Nicolas II. Mesguich a Nijni-Novgorod.
  • La location des films. Les grandes sociétés de production. L'opinion deTolstoï. Les metteurs en scène : Tchardynine, Protozanoff, Bauer. Lesartistes : Pavlova, Lissenko, Mosjoukine, etc. Les films tournés jusqu'a. 1917.La Revolution. L'exode de la troupe Ermolieff. Les Soviets s'intéressentau cinéma. Une déclaration de Lenin. La nationalisation : le Sovkino.Les critiques de Krassine. Films pour les paysans et pour les ouvriers.Trotzky pane de l'influence du cinéma. Des films satiriques. Moskvinedans Polikouchka et le Maître de Poste. La formation des acteurs.Eisenstein (la Greve, le Cuirasse Potemkine, Octobre, la Ligne générale). Poudowkine (la Mere, la Fin de Saint-Pétersbourg, Tempete surl'Asie). Koulechoff, Room, Dovjenko, Preobrajenskaia, etc. Dziga Vertoffet le cinéoeil. L'organisation du cinéma soviétique et ses réalisations. Lesobjections de Panaït Istrati.Le film parlant. Les procédés Chorine et Tager. Le manifesto Eisenstein-Poudowkine-Alexandroff. La Vie est bonne et les premiers filmssonores. Le Chemin de la Vie. Enthousiasme critique par Radek. Morttagnesd'or. Eisenstein au Mexique. Piscator tourne la Revolte des Pecheurs.Opinions de techniciens étrangers. Des films qui comptent : Tchapaieff,les Marins de Cronstadt.Exaltation de l'esprit national : Pierre le Grand, Alexandre Newsky.Films sur Lenine et sur Staline. L'U.R.S.S. en guerre. Films militaireset antihitleriens. Eisenstein et Ivan le Terrible. Couleur et relief. Lenouveau plan quinquennal.
  • CHAPITRE IX. - LE CINÉMA EN EXTRÊME-ORIENT 625
  • a) JAPON. Débuts en 1896. Premiers films inspires de thèmes scéniques.
  • Masques et traditions. Construction de nouveaux studios. Influence américaine. Jujiro, de Kinugasa. Comment on exploite les films : les lecteursde titres. Influence soviétique : velléités de cinéma socialiste. Le cinémadans l'enseignement.
  • Les premiers films parlants. Nippon. L'impérialisme et le militarismes'emparent du cinéma. Observations sur les Enfants dans le vent. La Symphonie pastorale. La guerre sino-japonaise : la Bataille de Hang-Keou.
  • La guerre mondiale : les Volontaires de la mort.
  • b) CHINE. À l'origine, préférence pour les scènes réalistes. Essai dethéâtre filmé en 1913. Nouvelles entreprises : films sur les « nuits deShanghai ». Ce que les Chinois pensent de l'influence morale des filmsoccidentaux. Le Kouomintang et le cinéma éducateur. Theatre et cinema.Un singulier « cinéma national ». La guerre : Joris Ivens en Chine.Films antijaponais.
  • AILLEURS... (Siam, Indochine, Philippines, Îles de la Sonde, Oceanic).
  • CHAPITRE X. - EN EUROPE CENTRALE ET DANS LES BALKANS 644
  • a) TCHÉCOSLOVAQUIE. Premiers films en 1898. Le cinéma national estcrée en 1918. Karel Anton et Lama. Les idées de Zet Molas. Des films Erotikon, Telle est la vie, Saint-Venceslas, Tanischka. Le cinéma parlant: méfiance à l’égard des productions allemandes. Quelques réalisationstchèques. Mort et résurrection.
  • b) POLOGNE. L'importance de la production muette. Les films parlants.Un effort intéressant.
  • c) HONGRIE. Comment on encourageait les films nationaux. Paul Fejos et son oeuvre. Des Allemands émigrent en Hongrie. Les événements internationaux les en chassent Collaboration avec le Troisieme Reich. Reprise,après la guerre, de la production nationale.
  • d) BOUMANIE. L'indépendance de la Roumanie (1912). Quelques autresfilms. Un appel d'Helene Vacaresco. Films tournés pendant la guerreet depuis.
  • e) YOUGOSLAVIE. Petite production. Des studios récents & Influencessoviétiques.
  • f) BULGARIE. Quelques films nationaux. Domination allemande, puisdomination russe.GRÈCE. Production insignifiante et défavorisée par les événements.
  • CHAPITRE XI. - LE CINÉMA IBÉRIQUE ET HISPANO-AMÉRICAIN 664
  • a) ESPAGNE. Les premiers films en 1896. Deux centres : Madrid et Barcelone. La Hispana Film. Débuts de Raquel Meller. Des Françaistournent en Espagne. Le cinéma devient parlant. Benito Perojo et Adelqui Millar. Un grand metteur en scène : Florian Rey. Pour un cinéma hispanique : le congre de Madrid. Terre sans pain, de Bunuel. La guerrecivile : films républicains et films franquistes. Terre d'Espagne, d'Ivens.
  • L'Espoir, de Malraux. L'accord culturel germano-espagnol. Films divers.
  • b) PORTUGAL. Le cinéma muet : Albuquerque, Duarte, etc. Le cinemaparlant : nouveaux metteurs en scène. Leitao de Barros, etc. Le cinemaofficiel : Reibeiro et sa Revolution de Mai. Salazar et le cinéma.
  • c) AMÉRIQUE LATiNE. Le cinéma mexicain : Sonadores de Gloria, lesRevoltes d'Alvarado. L'opposition aux films fascistes. Pendant la guerre,la production se développe. Steinbeck tourne le Village oublie. De nombreux films en tons genres. Nouveaux succès de Dolores del Rio. Le travailclans les studios argentins & la situation au Brésil, au Pérou, au Chiliet dans les autres Républiques sud-américaines.
  • CHAPITRE XII. - ET CETERA 681
  • a) BELGIQUE. Le cinéma avant 1914. La période do guerre. Les films patriotiques qui l'ont suivie. Coopération franco-belge. Metteurs en scene Paul Flon, Wicheler, Dekeukelaire, Henry Storck, Rene Leclere, GastonSchoukens. Quelques initiatives plus ou moins heureuses. Les filmsparlants. Le style Beulemans. L'invasion de 1940. Sous l'occupation, laproduction des documentaires se maintient. Après la Libération, renouveaudes films patriotiques.
  • b) HOLLANDE. Production importante avant 1914. Le tragedien Bouw-meester. Après la guerre, naissance de l'avant-garde. La Filmliga. JorisIvens, Franken, etc. Les productions parlantes.
  • c) SUISSE. Ce sont les étrangers qui tournent en Suisse. Quelquesessais nationaux. Jean Choux et Michel Simon. Susceptibilités helvétiques.
  • Des documentaires. C.-F. Ramuz a l'écran : Separation des races, Farinet.Le Michel Ange de Curt Oertel. Recherches scientifiques. On construit desstudios. La Derniere Chance, de Lintberg.
  • d) PAYS BALTES. Lithuanie, Estonie, Lettonie.
  • e) TURQUIE. Difficultes avec les livres sacre. Un metteur en scènenationale : Ertogroul Moushin Bey.
  • f) ÉGYPTE. Du soleil, des acteurs de théâtre, des metteurs en scène.
  • L'Enfant de la vallée du Nil, Zeinab, la Rose blanche, Monsieur Arnaud,Donia, etc.
  • g) AFRIQUE DU NORD ET ETATS DU LEVANT. Le cinéma en Algérie. Laproduction au Maroc et en Tunisie. L'exploitation en Irak, en Iran, en Sync et au Limn. Possibilité d'un cinéma islamique.
  • h) PALESTINE ET FILMS Kin. Quelques productions palestiniennes. Lesfilms juifs tournés en Allemagne, en Pologne, aux États-Unis. Les Israelitesdans le monde du cinéma.
  • CHANTRE XIII. — CONCLUSIONS 698
  • Les perfectionnements attendus. Ce que cela suppose de retours enarrière et de mises au point. La question de la couleur et celle du relief.
  • Le télécinéma et les problèmes qu'il posera. Les questions économiquescommandent les questions techniques.
  • La production européenne devant le commerce américain. Le vieux continent sera-t-il colonisé? Que sera le cinéma de demain?
L'Opéra de Rennes : Naissance, vie d'une scène lyrique
1998
Editions du Layeur
L'Opéra de Rennes : Naissance, vie d'une scène lyrique
Auteur : M.-C. Le Moigne-Mussat, J.-Y. Andrieux, Daniel Bizeray, Claude Nougaro

ISBN : 2911468198

Inauguré en 1836, l'Opéra fut construit par Charles Millardet

Après l'incendie de 1856, la reconstruction fut confiée à Charles Claudel

Dirigé par Pierre Nougaro (1960-1971), il prend le nom de Théâtre de la ville sous Cherif Khaznadar (1980-1983) et Jean Garrec (1983-1992) et devient l'Opéra de Rennes en 1993 avec Daniel Bizeray

  • Taille : 25.7cm x 24cm
  • Introduction : L'OPERA AU COEUR DE LA VILLE
  • Marie-Claire Mussat, professeur d'histoire de la musique à l'Université de Rennes 2
  • I - LES SALLES DE SPECTACLE A RENNES AVANT 1836
  • Marie-Claire Mussat
  • II - LE THEATRE DE CHARLES MILLARDET (1831-1836) :
  • Du PROJET AU PROCES, LA GENESE D'UN MODELE pg22
  • Jean-Yves Andrieux, professeur d'histoire de l'architecture à l'Université de Rennes 2
  • III - LA RECONSTRUCTION DE LA SALLE (1856-1858) pg48
  • Marie-Claire MussatI
  • IV - LOPERA ET LA PRATIQUE THEATRALE AU XIXe SIECLE pg62
  • Marie-Claire Mussat
  • V - LA MACHINERIE pg94
  • Jean-Yves Andrieux
  • VI - DES MUSES GRECO-ROMAINES A L'APOTHEOSE BRETONNE :
  • LE DECOR DU THEATRE DE RENNES pg102
  • Denise Delouche, professeur émérite d'histoire de l'art à l'Université de Rennes 2
  • VII - L'ENTRE-DEUX-GUERRES pg128
  • Sylvie Clair-Pondard, professeur certiflée d'éducation musicale, docteur en musicologie
  • VIII - PIERRE NOUGARO : PORTRAIT DE L'ARTISTE EN DIRECTEUR pg144
  • Catherine Laurent, Conservateur des Archives municipales de Rennes
  • IX - MON PERE AVAIT DES TREPAS SOMPTUEUX pg156
  • Claude Nougaro
  • X - NOTRE BEAU PETIT THEATRE pg158
  • Henri Terrière, critique artistique à Ouest-France
  • XI - LES REPRESENTATIONS pg164
  • Marie-Claire Mussat
  • XII - LA RENOVATION pg180
  • Daniel Bizeray, directeur de l'Opéra de Rennes
  • Conclusion : L'OPERA, UN NOUVEAU RENDEZ-VOUS pg188
  • Marie-Claire Mussat
  • BIBLIOGRAPHIE
Le grand répertoire : Machines de spectacle
2003
Actes Sud
Le grand répertoire : Machines de spectacle
Auteur : François Delarozière

ISBN : 2742744932

Concepteur et constructeur de décors et machineries, François Delarozière explore depuis une vingtaine d’années l’art du mouvement. Spécialisé dans le théâtre de rue et intimement associé, dès 1983, à l’aventure de la compagnie Royal de Luxe, il est aujourd’hui un créateur accompli et une référence pour ses pairs.L’exposition et le livre Le Grand Répertoire dont il est l’instigateur posent un regard renouvelé sur quatre-vingts machines de théâtre. Un concentré d’âme et de mécanique, d’aventure collective et de recherche personnelle, de matière et de poésie. Car la structure d’une machine n’est jamais anodine. Les matières parlent entre elles, et confèrent à l’objet sa justesse, sa profondeur, son réalisme. Dans le choix des matériaux et de la forme, il est question d’éthique et de plaisir. C’est en grande partie ce choix qui donne du sens à son travail. Et bien sûr, au coeur de la démarche de François Delarozière, le mouvement s’avère fondateur. C’est par lui que s’insère la vie, offrant une dimension nouvelle à l’objet. Sans mouvement, le temps et les cycles ne s’incarnent pas. Il n’y a ni vitesse ni lenteur. Et donc pas d’histoire. Chef de bande, François Delarozière adore les histoires…surtout communes. Il possède le sens du partage. Mieux que ça, il en a l’impératif besoin. Ça tombe bien, l’art n’est que nécessité.

Christine Amara

  • Taille : 28cm x 22.3cm
  • Preface de Jean-Luc Courcoult
  • Histoires de machines de Francois Delaroziere
  • Le Grand Repertoire Machine et théâtre, de Marcel Freydefont
  • Machine et art Histoires de concepteurs, histoires de compagnies Le Grand Repertoire Inventaire des machines
  • Machine par machine 34
  • Le laboratoire des grands voyages Le laboratoire des machines musicales Photographies, dessins Equipe de l'exposition Histoires de villes
  • Annexe : index, crédits iconographiques
Royal de luxe, 1993-2001: Entretiens Jean-Luc Courcoult
2001
Actes Sud
Royal de luxe, 1993-2001: Entretiens Jean-Luc Courcoult
Auteur : Odile Quirot, Michel Loulergue

ISBN : 2742734295

Photos, dessins, collages et entretiens retracent près de dix ans d'aventures théâtrales d'une troupe tout à fait hors normes.

  • Taille : 28.7cm x 22.7cm
  • Sommaire.
  • Préface : les Bricoleurs de poésie, Odile Quinot. pg11
  • Chronologie. pg20
  • Royal de Luxe et Jean-Luc Courcoult. pg23
  • Le Géant tombé du ciel. pg26
  • Dernier voyage. pg46
  • Projets perdus : le Chapiteau sur la façade, le 737 de Johannesbourg, Opéra dans la terre. pg64
  • Voyages en Afrique. pg70
  • Contes : la Boîte à sardines, le Fou furieux, le Concert des impressionnistes, l’Architecte. pg98
  • Retour d’Afrique. pg104
  • Projets perdus : New York : Festival d’art lyrique (Pepsicosummerfire). pg128
  • Petits contes nègres. pg130
  • Projet perdu : l’Horloge de l’an 2000, le Troupeau d’éléphants pour l’an 2000, la Poupée géante, le Vélo volatil de Phéraille, le Chauffeur d’avenue, les Chaussures tango, la Musique mécanique. pg158
  • Les Chasseurs de girafe. pg166
  • De l’Afrique à la Chine. pg208
Dictionnaire raisonné et illustré du théâtre à l'italienne
1992
Actes Sud-Papiers
Dictionnaire raisonné et illustré du théâtre à l'italienne
Auteur : Alain Roy

ISBN : 2869433573

Préface.

On peut « faire du théâtre » partout : dans un espace vide, dans un jardin, sur une place publique, dans un hangar, etc., il suffit de deux acteurs et d’un texte qui leur permet de s’opposer ou de s’aimer ,et d’un public. partir du moment où, dans notre civilisation, on s’est mis à organiser les choses, on a construit des lieux spécifiques, des théâtres. L’architecture des théâtres à bien sr évoluait suivant les pays et les époques, selon des objectifs sociaux et artistiques précis. Si, après des structures grecques antiques, romaines, médiévales et celles de la Renaissance élisabéthaine ou espagnole, le fameux théâtre à l’italienne a été adopté dans tout l’Occident puis sur toute la planète, c’est qu’il a atteint 1° exceptionnel dans la capacité d’ordonnancer un spectacle, presque à volonté. C’est bien, comme on dit en histoire, le théâtre des temps modernes.

Tout se tient dans le théâtre à l’italienne : machinerie, scénographie, salle, édifices et répertoire. C’est un tout compact et homogène, engendré par une philosophie globale qui tente de représenter le monde à une société structurée qui a des doutes sur ses certitudes, et qui vient déraisonner au théâtre dans les joies de l’illusion et du merveilleux.

Il ne s’agit pas ici de refaire le célèbre traité pratique de Sabbatini, instruisant les élèves machinistes des différentes techniques à mettre en ouvre pour produire tel ou tel effet scénique. Il s’agit de constater que le thétre à son vocabulaire, comme toute activité spécifique (la marine à voile, par exemple), que ce vocabulaire peut paraître obscur au profane au nouveau venu dans le métier ; il mérite donc d’être explicité.

Si c’est bien le théâtre à l’italienne qui a mis au point ce vocabulaire, en continuant d’utiliser dans les thétres plus récents, qui se veulent différents dans leur structure architecturale et scénographique. On ne se détache pas du théâtre à l’italienne, et surtout de sa scène, même si l’architecture évolue. Autrement dit, au fil des siècles, le théâtre, dans son ensemble, s’est identifié, en les affirmant, aux techniques créées par les Italiens à partir du XVIe siècle, au moment où, entre autres, on invente et met au point les lois de la perspective.

Et pourtant, au XXe siècle, on a abandonné une partie du théâtre à l’italienne dans sa forme devenue classique : la salle. En effet, la sala italienne est le reflet d’une société pour qui allez au thétre était d’abord un acte social ; cette salle était conçue pour que les spectateurs puissent voir entre : ce fameux ovale de la salle permettait à chacun d’observer les autres puisque l’éloge des différentes étages se trouvait face à face, à part celle du fonds qui était les moins nombreuses. Cela n’empêchait pas de regarder le spectacle bien sr mais créé pour toutes les loges de côté - les plus nombreuses - un angle de vision de plus en plus faible à mesure que l’on s’approchait du cadre de scène. Bonne pour l’oreille, ce qui importe à l’opéra, ces loges était mauvaises pour l’oeil. On a donc imaginé des salles où toutes les places soient bonnes pour l’oil aussi, en allant progressivement vers un trapèze, en supprimant l’éloge - et même les balcons - pour arriver à une volée de gradins s’évasant vers le fond. Cela faisait moins de place, à moins de monter les gradins très hauts, ce qui revenait à faire de nouveau d’équivalent des balcons ; mais l’effet psychologique était différent : les classes sociales n’étaient plus séparées par des étages distincts, et tout le monde était logé apparemment à la même enseigne ; on était en démocratie.

Mais quelle que soit la structure de la salle, la scène est restée fondamentalement à l’italienne, dans son principe comme dans sa machinerie, c’est-à-dire que les outils de fabrication du spectacle n’ont pas vraiment changé même si les matériaux ont, bien sr, évolué.

Paradoxalement, la salle à l’italienne était plus conviviale et plus chaleureuse, car il n’y avait pas de grands murs visibles, mais une succession de loges habitées comme une série d’alvéoles bien vivantes. Dans une architecture contemporaine, le spectateur ne voit que la nuque de ceux qui sont devant lui et il doit se retourner tôt à la scène pour voir les visages de ceux qui sont venus ce soir-là assisté au même spectacle. Il est certain que l’émotion et la conscience collective se propageaient et s’amplifiaient plus facilement dans une salle à l’italienne. Mais le spectateur du XXe siècle peut se concentrer sur le spectacle, sans être distrait par l’épaule nue ou le fin profil de la dame qui est dans une loge en face, ou par la gueule rigolote du Dieu qui est dans la loge à côté ! On n’en finirait pas d’évoquer les mérites et défauts comparés des salles italiennes et des salles contemporaines ; mais quand le rideau se lève, c’est le spectacle de la scène qui doit normalement l’emporter sur le spectacle de la salle …

  • Taille : 28cm x 21.5cm
  • Le théâtre à l’italienne est une réalité bien vivante qui, comme tout grand outil élaboré, englobe son passé dans son présent et développe une technique évolutive qui contient autant de pratiques que de significations. En partant des termes de son vocabulaire, Alain Roy, scénographe en exercice, non seulement explique mais aussi analyse et commente ce qui, au-delà d’une machine à faire du spectacle, exprime une vision du monde, de l’art, du théâtre, propre à éclairer les amateurs et les professionnels autant qu’à faire rêver les poètes.Et l’on commence à entrevoir pourquoi et comment l’homme a déployé tant d’ingéniosité pour fabriquer de l’illusion et de l’éphémère, illustrations à l’appui…JEAN-PIERRE MIQUEL
Salle de spectacle de Bordeaux
2011
Mollat Editions
Salle de spectacle de Bordeaux
Auteur : Monsieur Louis

ISBN : 2358770000

Il s'accompagne de contenus supplémentaires tels que des vidéos, images en 3D et commentaires audio disponibles par une application téléchargeable gratuitement sur téléphone mobile ou ordinateur.

  • Taille : 33cm x 24.5cm
  • Imprimé en 1782, ce texte fait la synthèse de sept années de travaux qui ont permis l'édification du Grand-Théâtre de Bordeaux inauguré par l'architecte V. Louis en 1780.
La danse artistique aux U.S.A. Tendances modernes
1949
Editions Elzevir
La danse artistique aux U.S.A. Tendances modernes
Auteur : B. de Rothschild

Préface.

Il est monstrueux que l’on puisse croire que le rythme du jazz, que le Foxtrot expriment l’Amérique, s’écriait Isadora Duncam, indigné et révolté.

En vérité, que c’est l’homme « quelconque » sur la Danse aux tats-Unis ? Il nommera sans hésiter quelques danses de salon en vogue : les Swings, les Jitterburgs, les Snakes ; il parlera du jazz. D’autres, un peu mieux informé, conna issent l’existence d’IsadoraDuncan et, vaguement, celle de Loïc Fuller. Je doute que les faits reprendre la danse eux-mêmes puissent citer plus de deux grandes danseuses américaines actuelles.

Nous sommes très mal informés sur la danse artistique aux tats-Unis. C’est le mérite deB. de Rothschild de nous renseigner sur les tendances esthétiques dans le domaine de la Danse artistique aux USA et cela avec clarté, précision et sans parti pris. ma connaissance c’est la première monographie qui traite, avec toute l’ampleur et la compétence voulue, les problèmes chorégraphiques et salltatoires posés par l’évolution prodigieuse de la danse en Amérique.

Puisque depuis 16 ans mes fonctions mobilisent de suivre attentivement la presse chorégraphique américaine, de dire ou de parcourir les livres paraissant sur la danse en USA, je me crois autorisé à consigner ici, en toute modestie, quelques remarques marginales suggérées par une lecture B réitérée du manuscrit de de Rothschild.

Avant tout, je voudrais rendre hommage évoqué quelque figure d’artistes innovateurs et rappeler que précisément la réforme de la Danse et du à des conceptions réformatrices des danseuses anglo-saxonnes.

On devrait inscrire tout angle de la page le nom de Emma Harte, femme de Lord Hamilton, dont Goethe parle avec émerveillement. Mais, pour notre malheur, nous ne possédons pas encore une monographie sur la « danseuse » qui a dû avoir une très forte personnalité artistique pour captiver les beaux esprits de son époque. Nous savons cependant que, par ses idées révolutionnaires, elle est, peut-être, le précurseur de la Pléiade des danseuses américaines qui vont apparaître au début du XXe siècle.

  • Taille : 27.7cm x 21cm
  • PREFACE
  • NTRODUCTION
  • REMERCIEMENTS
  • Chapitre I.
  • LES ORIGINES ET LA NATURE DE LA DANSE MODERNE
  • Historique du ballet — Isadora Duncan et les precurseurs de la dansemoderne — Histoire de la danse aux Etats-Unis — Caractere de ladanse moderne.
  • Chapitre 2.
  • MUSIQUE ET DANSE : Les rythmes — L'accompagnementLes instruments — Conditions pour une danse autonome.
  • Chapitre 3.
  • LES TRADITIONS Les pionniers — L'esprit américain.
  • Chapitre 4.
  • MARTHA GRAHAM, SA VIE ET SON OEUVRE : Biographie
  • Portrait et caractère — La danseuse Les oeuvres — Son théâtre caractères – Sa technique Critiques.
  • Chapitre 5.
  • MARTHA GRAHAM, ANALYSE DES OEUVRES ET DISCUSSIONTrois solos; a Lamentation ”, Deep Song a Frontier — Prim-live Mysteries , — Deux satires : Punch and the Judy Every Soul is a Circus — El Penitente — Salem Shore — American Document —a Letter to the World Deaths and Entrances ,Appalachian Spring Herodiade — a Dark MeadowSerpent Heart — oeuvres recentes — Discussion.
  • Chapitre 6.
  • DORIS HUMPHREY ET CHARLES WEIDMAN : Doris Humphrey :Biographic — Portrait et caractere La danseuse — Sa chorégraphieSa technique et sa conception esthétique — Les oeuvres — a Canonade — The Shakers —a Inquest — Son theatre — Charles Weidman : Biographic et ceuvre —a On my Mother's Side a AHouse Divided auvres recentes de Humphrey et de Weidman.
  • Chapitre 7.
  • AUTRES ARTISTES : Helen Tamiris — Hanya Holm — Lesartistes de ballet — oeuvre des jeunes danseurs modernes; caractèreet forme chorégraphique — Artistes de couleur — CommentairesAutres genres de danseurs.
  • Chapitre 8.
  • L'ESPRIT DES DANSEURS MODERNES : Aspects de la dansecontemporaine -- Influence du pays -- Influence de l'epoqueConclusion.
  • Chapitre 9.
  • DANSE MODERNE AMERICAINEDANSE ALLEMANDE BALLET : Comparaison avec Mary Wigman et Kurt jooss — Le ballet; technique et expression caractéristique — Le ballet théâtral — La dansemoderne; technique et expression caractéristique — La danse modernethéâtrale — Comparaisons esthétiques — Relations historiques.
  • Chapitre 10.
  • L'ENSEIGNEMENT DE LA DANSE MODERNE : Les institutionsLes écoles techniques; Graham, Holm, Humphrey-Weidman — Enseignement de la chorégraphie; Louis Horst — Enseignement dans lescollèges — Littérature sur la danse — Conclusion.
  • Chapitre 11.
  • LA RENOMMEE DE LA DANSE MODERNE : Centres de dansemoderne Problèmes economiques — Le Théâtre Fédéral
  • Conclusions.
  • PLANCHES REFIRENCES ANGLAISES
  • BIBLIOGRAPHIE
  • INDEX ALPHABATIQUE
Les voies de la création théâtrale 1
1970
Centre National de la Recherche Scientifique
Les voies de la création théâtrale 1
Auteur : Collectif

Présentation.

Ce recueil, et ce qui lui succéderont sous ce titre, un sembleront les résultats d’une recherche collective de longue haleine, commencée en 1966, et qui se poursuit alors où paraissent ces pages. Nous proposons d’étudier les rapports de l’écriture dramatique et de la mise en scène, nous avions posé en principe que « la composition du texte, et la mise en oeuvre, en vue de la représentation, des moyens d’expression scénique, serait considérés comme des aspects complémentaires de la création, des éléments interdépendants du langage théâtral ». Nous refusions donc de dissocier ces deux éléments constitutifs du spectacle, de privilégier le texte par rapport à la mise en scène, à plus forte raison de ramener l’étude du théâtre à celle d’un genre littéraire. Cependant les habitudes de la langue confirment l’évidence : on « met en scène » que ce qui existe préalablement comme texte, ou du moins comme canevas. Et notre analyse du distingué, elle aussi, ces deux étapes.

Mais cette distinction n’est vraiment rigoureuse que dans le cas où celui qui monte la pièce se respecte scrupuleusement le texte, et où l’auteur s’abstient d’intervenir. Or on sait qu’une collaboration s’établit souvent entre l’auteur et son metteur en scène, et qu’une pièce peut se modifier considérablement au cours des répétitions, ou après avoir subi l’épreuve du public. Il se peut même qu’un metteur en scène devienne son propre auteur, c’est le cas de Planchon, aucun auteur comme Gatti devienne son propre metteur en scène. Le texte est alors mis au point au cours d’un travail avec une équipe théâtrale. Mais dans tous ces cas, qui seront examinées dans les volumes suivants, l’initiative appartient d’abord à l’écrivain. Par contre, dans les modes de création qui nous intéresse ici, l’initiative passe au metteur en scène et à ses comédiens, non plus seulement au stade de la réalisation du spectacle, mais dès le début, lors de l’élaboration de la forme.

Entre les démarches créatrices du Théâtre-Laboratoire de Wroclaw ,de l’Odin Teatret, du Living Theatre, qui sont examinés dans ce livre, il existe des différences profondes. Cependant toutes ont en commun l’importetance attachée à l’expression corporelle, à l’émission vocale, à l’improvisation comme moyen de mettre au jour des matériaux qui seront ensuite incorporés au spectacle. Ni le travail sur le corps et la voix, ni le recours à l’improvisation, ni l’appel aux ressources psychiques profondes du comédien, ne sont d’ailleurs des pratiques absolument nouvelle. Mais trop en question ont recours à des techniques qui ne sont pas sans rapport avec celle de Stanislavski (pour ne citer que lui). Mais la conception de la dramaturgie et, partant, du personnage, s’est transformée. Il ne s’agit plus de la motivation psychologique d’un caractère, dans une action qui se réfère à des situations concrètes de la vie réelle, mais du recours à un fonds mythique, archétypale. Dans la mesure où une philosophie, une discipline morale sous-tende l’activité de ces groupes, elle visent à remettre en question l’« ego », tel qu’il résulte d’une adaptation de l’individu au milieu, à détruire le masque façonné par le comportement en société. Si on cherchait un dénominateur commun alors démarche, on le trouverait peut-être dans le souci de rendre sensible, voire insupportable, la contradiction entre les comportements du « moi » social et des aspirations profondes. Ce thétre vise à libérer des forces captives. Le but n’est pas pas cependant le déchaînement incontrôlé de la libido (bien que certaines expériences de « thétâre libre » du Living aient pu avoir cet effet). Il s’agit de remédier à une rupture, où un conflit, entre le « moi » adapté et l’être profond il s’agit de récupérer des énergies d’autant plus dangereuses qu’elle reste aux étrangères à la conscience, d’opérer une intégration. Mais leur manipulation ne va pas elle-même sans danger : elle relève de la thérapeutique du rituel. Au cours de la création le directeur-metteur en scène est appelé à jouer (d’une manière plus ou moins marquée) le rôle de guide spirituel. Lors de la représentation, le spectateur est soumis à une action qui tend à le transformer, soit en provoquant chez lui un choc, un malaise susceptible d’avoir un effet salutaire, soit en lui proposant l’exemple de l’accomplissement dans un acteur d’une personnalité, soit en le faisant participer à une sorte de célébration.

Mais si l’on discerne des points communs, il faut aussitôt introduire des distinctions, quant au buts et aux moyens mis en oeuvre. La ressemblance et les différences apparaîtront mieux si l’on examine tour à tour le travail de l’acteur et la rapport qui s’établit avec le spectateur, l’utilisation du texte et le rapport avec l’auteur, les thèmes choisis et leur rapport avec notre héritage culturel et le fonds mythique de notre civilisation.

  • Taille : 27.3cm x 21.5cm
  • Presentation
  • THEATRE LABORATOIRE DE WROCLAW :
  • Le Prince Constant, scénario et mise en scène de Jerzy GROTOWSKY.
  • Introduction, par Jean JACQUOT
  • Etude et reconstitution du déroulement du spectacle, par Serge OUAKNINE
  • L'entraînement par les exercices méthodiques
  • Processus de Création
  • Structure de la partition Reconstitution et description
  • Aspects de l'Oeuvre
  • ODIN TEATRET - HOLSTEBRO :
  • Kaspariana, adaptation scénique et mise en scène parEugenio BARBA.
  • Etude de Christiane AUBERT et Jean-Luc BOURBONNAUD
  • THE LIVING THEATRE.
  • Etude de Jean JACQUOT
  • Le Living Theatre a New York et la decouverte d'Artaud
  • The Brig Frankenstein Antigone
  • Paradise Now THE OPEN THEATRE :
  • The Serpent, création par l'Open Theatre Ensemble en collabo-ration avec Jean-Claude van ITALLIE, sous la direction de Joseph CHAIKIN.
  • Etude de Jean JACQUOT
  • Le Cimetière des Vultures, un spectacle de Victor GARCIA, a partir de quatre pièces d'ARRABAL.
  • Etude de Odette ASLANIndex
Le Recueil Fossard. La Commedia Dell'Arte au XVIe siècle
1981
Librairie Théâtrale
Le Recueil Fossard. La Commedia Dell'Arte au XVIe siècle
Auteur : Agne Beijer, Pierre-Louis Duchartre

"Avec les habillements de tous leurs personnages tant sérieux, que comiques dont les plus considérables étaient le Seigneur Léandre, la Dona Cornelia, Francisquine Harlequin, le Seigneur Dottor, Pantalon, & Zani qui ont été les Originaux, & les modèles des autres Comédiens qui ont paru ensuitte sous les règnes de Henry 4ème et Louis 13ème et Louis Le Grand".

  • Taille : 29.5cm x 21cm
  • Vivre et revivre la Comedia Dell’Arte, par Pierre-Louis Duchartre. pg2
  • Recueil de plusieurs fragments des premières Comédies Italiennes qui ont été représentées en France sous le règne de Henry III.
  • Recueil dit Fossard conservé au Musée National de Stickholm, présenté par Agne Beijer, Conservateur du Musée Théâtral de Drottningholm. pg11
  • Compositions de rhétorique de M. Don Arlequin présentées par Pierre-Louis Duchartre. pg35
  • Recuueil de plusieurs fragments des premières comédies italiennes qui ont été représentées en France sous le règne de Henry III.
  • Où l’on voit les différents Caractères qu’ils donnoient à leurs acteur, et les intrigues de leurs pièces mêlées de bouffonneries, et de beaucoup de licences.
  • Avec les habillements de tous leurs personnages tant sérieux, que comiques dont les plus considérables étaient le seigneur Léandre, la Dona Cornelia Fracisquine, Harlequin, le seigneur Doctor, pantalon, et les amis qui ont été les originaux, et des modèles des autres comédiens qui ont paru ensuite sous les règnes de Henry IV et Louis XV et Louis le Grand.
  • Le tout gravé en plusieurs estampes dont il y a quelques-unes d’enluminées
  • Et mise en ordre par le sieur Frossard, ordinaire de la musique dur Roy. pg45
Matériel de l'Art Théâtral. Musée Rétrospectif de la classe 18
1900
Imprimerie Belin Frères
Matériel de l'Art Théâtral. Musée Rétrospectif de la classe 18
Auteur : Charles Reynaud

( Chapître sur l'éclairage pg 141 )

Introduction. (extrait)

Sous le titre général : matériel de l’art théâtral, la Classe 18, à l’Exposition universelle de 1900, comprenez, pour ne citer que les principales branches qui la constituèrent : le décors, costumes et les accessoires.

Avant d’examiner séparément chacune de ces grandes divisions de la mise ancienne matérielle du théâtre dans l’exposition rétrospective de cette Classe, il nous a semblé utile de suivre l’ordre des époques et de présenter, pour chacune d’elles, une vue d’ensemble, afin d’obtenir une idée plus nette de ce qu’était le théâtre à son origine, et des transformations successives qu’il a subies avant d’être ce qu’il est aujourd’hui.

En effet, que nous remontions à la naissance du théâtre antique, que nous considérions notre théâtre moderne, ou que nous parcourions l’histoire du théâtre pendant les vingt-cinq siècles qui séparent ces deux points extrêmes, qu’il s’agisse d’une tragédie de Sophocle, d’une comédie de Plaute, d’une farce de basochien ou d’une parade de Tabarin, sur toute scène, qu’elle s’élève en face des gradins de pierre du théâtre de Dionisius, à Athènes, où des loges tendues de soi de notre Opéra, qu’elle était et battit pour des siècles par Pompée ou Scorus, ou, à la hâte et pour un jour, sous le porche d’une de nos églises, sur la place d’un marché, sur la table de marbre du Palais de justice, où les tréteaux des halles de Paris et de la place Dauphine, nous trouvons, aussi un Blue magnifique que soit cette scène, un décor, des acteurs portant des costumes et des accessoires, ici, attributs d’un rôle, et la, caractère d’une époque ou d’un milieu.

Le décor peut même faire complètement défaut, mais il est tellement nécessaire que le metteur en scène y substituera quoi que ce soit pour le remplacer, comme à ce thétre du Globe que Taine nous décrit en quelques lignes : « sur un terrain à fangeux, au bord de la Tamise, s’élève le principal dès cet thétre de Londres au temps de Shakespeare. Le Globe, sorte de grosse tour à six pans, entouré d’un fossé boueux, surmonté d’un drapeau rouge ; d’apprêts, de perspectives, peu ou point de décors mobiles. Un écriteau en grosses lettres indique au public qu’on est à Londres ou à Constantinople. » Et Taine, citant Philip Sidney, ajoute : « vous avez l’Afrique d’un côté et l’Asie de l’autre, avec une si grande quantité d’Etats secondaires que l’acteur, quand il entre, est toujours obligé de vous dire où il est, autrement on entendrait rien à son histoire. Puis voici trois dames qui se promènent pour cueillir des fleurs et, là-dessus, nous devons croire que la scène est un jardin. Un peu après, nous entendons parler, au même endroit, d’un naufrage, et notre devoir est d’accepter que ce même endroit pour un rocher. Arrive deux armées, représentée par quatre épées et un bouclier, et quel est le coeur si dur qui refuserait de prendre cela pour une bataille rangée ? Quand autant, ils sont encore plus libéraux. D’ordinaire, un jeune prince et une jeune princesse tombe amoureux l’un de l’autre ; après beaucoup de traverses, la princesse devient grosse, accouche d’ un beau garçon ; le versant éperdu, devient homme est prêt à engendrer un autre garçon… tout cela en deux heures ! »

Eh bien ! Là, sur la scène du Globe, cet écriteau, cette déclaration verbale de l’acteur vous disant où il est, comme un chef de train vous crie la station où vous arrêtez ; cette mimique de dames cueillant des fleurs, ce rocher dénoncé par le récit d’un naufrage, ces épées et ce bouclier, épaves de la bataille dont on va vous parler, sont des décors ; seulement ils appartiennent à l’école symbolique au lieu de relever de l’école réaliste.

Ce qui aboutit à ce paradoxe, qu’une scène sans décor en a plus que celle où se développe l’acte d’opéra le plus mouvementé, puisque, sur l’invitation de l’acteur, les spectateurs, procédant eux-mêmes au changement à vue n’est plus foudroyant, se figurent tous ce qu’on leur dit imaginer. Et vous avez ainsi tout juste autant de décors de spectateurs !

  • Taille : 29cm x 20cm
  • INTRODUCTION
  • Antiquite — Chez les Grecs. — Origine. — Le premier dialogue dramatique. — Tragédie — Comédie— Unité de décor. — Masques. — Costumes traditionnels. — Chez les Latins. — Ludi scenici— Fêtes des moissons. — Satyre — Livius Andronicus. — Theatres latins• — L'Atellane— Mimes et pantomimes.
  • Moyen Age— Le drame liturgique. — Les jeux et miracles. — Les Mystères. — Les Confrères de la Passion. — Théâtre comique• — Moralités• — Farces et sotties.Theatre de la Renaissance— Ronsard. — Jodelle. — Alexandre Hardy. — Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne.
  • THEATRE MODERNE ET CONTEMPORAIN
  • Les premiers théâtres permanents de Paris— La premiere salle de spectacles.— Théâtre du Marais. — Théâtre de Molière. — Théâtre de l'Opera.
  • Naissance du théâtre lyrique en France
  • Les ballets. — Le merveilleux an theatre.La mise en scène — Le metteur en scène. — Le décorateur. — Le machiniste. — Le costumier. — Accessoires et réglage des decors.
  • Du décor— Décorations en plein air. — De la plantation et de la peinture du décor aux dix-septieme et dix-huitieme jusqu'à Servandoni. — Réforme de Servandoni. — La scène et les décors depuis Servandoni jusqu'à nos jours.
  • Eclairage scénique— Premières représentations de nuit• — Chandelles. Bougies et Lampions. — Quinquets.— Gaz. — Electricité. — Influence de la lumière sur les décors. — Lumières vivantes et électricité. — Degrés d'intensité de la lumière.
  • Du costume— Les Mystères. — La Renaissance et l'époque classique. — Costumes des ballets et leur réforme. — Réforme du costume des théâtres lyriques. — Réforme du costume des théâtres dramatiques. — Talma. — Les costumes de 1792 à 1830.— Romantisme et réalisme.
  • Accessoires.
  • Bijoux.
  • Armes et armures
  • CONCLUSION
  • Liste des exposants
  • Table des gravures
Essai His. Th. mise en scène, décor, costume, archi., éclairage, hygiène
1893
Librairie Hachette et Cie
Essai His. Th. mise en scène, décor, costume, archi., éclairage, hygiène
Auteur : Germain Bapst

Comptes de la ville de Paris (détail des dépenses occasionnées par les entrées et réceptions de souverains. Entrée de Louis XII à Paris en 1498; entrée d'Eléonore d'Autriche en 1530).

Bibliographie des ballets du XVI au XVIIe siècle.

Bibliographie des peintres décorateurs du XVIIIe siècle.

Bibliographie des peintres décorateurs du XVe et du XVIe siècle.

  • Taille : 30cm x 21.5cm
  • PREMIERE PARTIE
  • LE MOYEN-AGE
  • LIVRE PREMIER
  • LES MYSTERES
  • DIALOGUES
  • CHAPITRE 1er. — Les origines des Mystères— Les Mystères à leur apogée— Les Mystères patriotiques — La disposition du théâtre — La scène — La plantation du décor et la machinerie— Costumes, diables, sots, fous, jeux de mise en scène — Les femmes sur le théâtre — La peinture décorative, les peintres décorateurs — Les pièces profanes et les confrèries — Fin des Mystères
  • LIVRE DEUXIEMELES
  • MYSTERES MIMES
  • CHAPITRE 1er— Les Mystères mimés au Moyen Age— Les Mystères mimés à l'époque de la Renaissance
  • PIECE JUSTIFICATIVE
  • Comptes de la yille de Paris
  • DEUXIEME PARTIE
  • LA RENAISSANCE
  • LIVRE PREMIER
  • LE THEATRE ET SES CONDITIONS MATERIELLES D'EXISTENCEAU XVIe SIECLE
  • CHAPITRE Ier.
  • - Le théâtre et bopinion publique au XVIe siècle— La scène et le décor au XVIe siecle— Les salles de spectacle a la fin du XVIe siècle— L'influence de la Ligue sur le théâtre— Les premiers théâtres parisiens— Le costume et les acteurs— Mirame et la premiere salle de spectacle en France
  • LIVRE DEUXIEMELE THEATRE LYRIQUE
  • CHAPITRE 1er- La mise en scène à l'Opéra depuis ses origines jusqu'au règne de Henri IV— Les ballets en France de Henri IV à Louis XIV
  • PIECE JUSTIFICATIVE
  • Bibliographic des ballets. Etat général du magasin de la Comédie-Francaise en 1782. Décors du théâtre de la cour de Versailles en 1770. Etat des décors existant dans les magasins au moment de 'Installation del'Opéra au boulevard Saint-Martin en 178o. Extrait des comptes des Menus Plaisirs relalifs a la fourniture ou a l'achatdes chaussures pour les actricesV. Relevé du produit du parterre a la Comédie-Française pendant les années 1775-1781. Bibliographie des peintres décorateurs du XVIIIe siècie
  • LiVRE TROISIEMELE
  • THEATRE CONTEMPORAIN
  • CHAPITRE 1er— Le théâtre pendant la Révolution— Le théâtre pendant la Révolution. Le public— Le théâtre pendant la Revolution. La mise en scène, les décors et les costumes — Le théâtre de la cour sous l'Empire— Les théâtres publics sous l'Empire. La mise en scene — Le théâre sous la Restauration — Le théâtre pendant la période romantique— Le théâtre pendant la monarchie de Juillet. Le théâtre patriotique, le théâtre historique, les théâtres du boulevard— Le théâtre pendant la monarchie de Juillet. Le costume— Les genres nouveaux : l'operette et la féérie — Le théâtre conternporain, la mise en scène — Les constructions théâtrales depuis 1830
  • PIECES JUSTIFICATIATES- Bibliographie des peintres décorateurs du XIXe siècle - Les Décorations de l'Opéra au XIXe siecle- Comptes des fournitures d'accessoires à l'Opéra et au Théâtre-Francais faitespar la maison Hallé- Le nouvel Opéra-Comique - L'Opéra de Prague - Les décorateurs des opéras de Wagner
  • CONCLUSION
  • TABLESTABLE BIBLIOGRAPHIQUE
  • TABLE DES GRAVURES
  • TABLE ANALYTIQUE DES MATIEREST
  • ABLE ALPHABITIQITE DES NOMS PROPRES ET DES PIECES CITES
  • TABLE DES CHAPITRES
La mémoire en jeu: histoire du th. langue francaise en Belgique (XIXe-XXe)
1995
La Lettre volée
La mémoire en jeu: histoire du th. langue francaise en Belgique (XIXe-XXe)
Auteur : Paul Aron

ISBN : 2873170476

Paul Aron et chargés de cours à l’université libre de Bruxelles et chercheur au fonds national de la recherche scientifique. Il travaille sur l’histoire des lettres belges de langue française et sur la sociologie de la littérature.

Il a consacré de nombreux articles aux écrivains de la fin du XIXe siècle et de l’entre-deux-guerres, de maternelle aux surréalistes ou à Dotremont. Il s’intéresse également aux relations que nous les monde de l’art et de la politique, ainsi qu’aux contacts entre les différentes formes artistiques.

  • Taille : 23.7cm x 18.5cm
  • AVANT- PROPOS
  • (1830-1918)
  • SCENES COMMERCIALES — SCENES LITTERAIRES
  • LES PLAISIRS DU SPECTACLE
  • Le théâtre de la libre entrepriseLes roles multiples du directeurBon goût et mauvais genres L'envers du décor
  • LE THEATRE, ENJEU IDÉOLOGIQUE
  • Alder les écrivains nationaux
  • L'art, miroir de beige
  • La comédie d'abord
  • UN GENRE SPÉCIFIQUE : LA REVUE « A LA BELGE »
  • Un brassage socia
  • lBruxelles sur scèneLe phénomene Beulemans
  • LA REVOLUTION DU LANGAGE THEATRAL
  • Apports du symbolisme belge Le versant méconnu
  • Prolongements, transpositions et adaptations
  • La nation et son théâtre
  • (1918-1940)
  • THEATRALISER LE THEATRELES ANIMATEURS DE LA MODERNITÉ
  • Un Copeau belge
  • Les laboratoires de l'avant-garde
  • Les leçons de la Flandre
  • Un poète de la scène
  • CRITIQUES ET AUTEURS
  • Provocations dadaïstes
  • Trois dramaturges expressionnistes
  • Relais critiques L'extraordinaire M. Poupeye
  • LE THEATRE DANS LA SOCIETE
  • Le chceur des militants
  • De l'agit-prop au scoutisme
  • VERS UNE POLITIQUE DU THEATRE
  • (1940-1970)
  • L'ART DE LA STABILITE
  • Défaite du pays, victoire du théâtre
  • L'Etat mécène
  • Le règne des directeurs
  • Le Rideau, théâtre littéraire
  • Les fastes du Téâtre National de Belgique
  • Les rigueurs du néoclassicisme
  • Les territoires du rêve
  • S'adapter au présent
  • Changements de thèmes
  • Changements sur scène
  • Changements de decor
  • Le prix de la permanence
  • (1970-1995)
  • CREER A TOUT PRIX
  • Du corps-rage de Baal au theâtre-danse
  • Vers un théâtre critiqueLes multiples facettes du jeune Théâtre
  • Convergences...et spécificités
  • PARCOURS D'AUTEURS
  • Un théâtre pour une Wallonie revolutionnaire ?
  • Les dramaturges, côté textes
  • Penser le present, dire le passé
  • LA REUSSITE NAIT DES RENCONTRES HEUREUSES
  • D'une décénnie l'autre La fin de l'avant-garde annonce le retour de l'acteur
  • D'autres publics, d'autres théâres
  • Le rationnement et la survie
  • EN GUISE DE CONCLUSION
  • BIBLIOGRAPHIE
  • SOMMAIRE
L'Art théâtral moderne
1924
Librairie Bloud et Gay
L'Art théâtral moderne
Auteur : Jacques Rouché

Avertissement au public.

La première édition de l’Art Théâtral Moderne, complètement épuisé aujourd’hui, date de 14 ans.

C’est pour répondre à de nombreuses demandes que nous tenons aujourd’hui la réimpression de cet ouvrage.

L’étude des niveaux antérieurs, les conversations avec les peintres, les metteurs en scène et les auteurs, enfin les faits recueillis au cours d’un voyage où l’auteur a pu apprécier sur place les systèmes appliqués dans les principaux théâtres de l’Europe du lion fourni les éléments de cet exposé, destiné à provoquer en France un mouvement parallèle, en attirant l’attention des artistes sur les problèmes de la mise en scène.

Les éditeurs

  • Taille : 25.4cm x 19cm
  • Introduction. pg1
  • Le Théâtre en Allemagne. pg13
  • Le Théâtre Russe. pg31
  • Les idées d'Edouard Gordon Craig. pg49
  • Les idées d'Adolphe Appia. pg57
  • Les bandes d'air. pg67
  • (Beleuchtungssystem Fortuny)
Le Théâtre des origines à nos jours
1957
Amiot Dumont
Le Théâtre des origines à nos jours
Auteur : Léon Moussinac

Introduction.

C’est sans doute dans l’animisme et dans la magie qu’il faut rechercher les origines vivantes du théâtre. L’animisme, élément passif, et la magie, élément actif de la religion à sa naissance, caractérisent en effet par de l’activité des groupes humains primitifs et l’on remarque que les premières formes réelles du théâtre secret et ce développe en même temps que se crée et se développent les rites, les cérémonies, les cultes.

Certes, avant toute chose, l’homme doit manger, boire, s’abriter ; les forces extérieures, et d’abord celle de la nature, dominent la vie quotidienne des origines et se présentent aux primitifs avec un caractère d’étrangeté inexplicable. L’homme imite par utilité est sans doute d’abord l’animal qu’il doit nécessairement tuer. Autour du feu, ou la horde est assemblée, les ombres ajoutent au ministère ; le mouvement des flammes invite le corps à danser, et modèle déjà de reflets un masque sur les visages ; un homme alors se sert de son corps pour communiquer avec le groupe, et ses mouvements créent le premier langage. Ce jeu mimétique est déjà du théâtre ; en se donnant en spectacle, l’homme est déjà un acteur.

Mais, chez cet homme, impuissant à lutter contre certains éléments, la foudre ou d’inondation, et provoqué la croyance en un surnaturel, en des esprits. Un stade plus évolué, le primitif croira en une survivance des ancêtres, pillant des dieux. Pour lui encore, le monde se dédouble, il n’est alors un monde mystérieux, où il découvre des « apparences enchantées », des images surgies de son cerveau, celui-ci s’animant peu à peu d’une vie propre, ébauchant bientôt des représentations.

C’est pourquoi il a pu être dit de la religion qu’il est le reflet fantastique de l’existence humaine. Les moyens du théâtre seraient donc menés, en quelque sorte, de la nécessité technique d’exprimer ce « reflet fantastique ».

Aussi, non moins, l’histoire du théâtre se présente-t-elle comme l’histoire d’une des formes de l’activité humaine et reste-t-elle, par là-même, constamment soumise aux lois du développement social du groupe, du clan, de la tribu (et ensuite la cité, de la nation ou de l’tat).

….

Léon Moussinac

  • Taille : 27.3cm x 21.5cm
  • Introduction
  • Le Théâtre d'Asie
  • L'AntiquitéLe Théâtre médiéval
  • Le Théâtre renaissant
  • Le Théâtre classique et baroque
  • La naissance du Théâtre bourgeois au XVIIIe siècle
  • Le Théâtre romantique
  • L'évolution du Théâtre contemporain
  • Index
  • Origine des photographies
Akarova. Spectacle et avant-gardes.
1998
A.A.M
Akarova. Spectacle et avant-gardes.
Auteur : Anne Van Loo, Daniel Dobbels, Giovanni Lista, Caroline Mierop

ISBN : 2-87143-056-X

Une des représentantes les plus actives de la danse moderne de l’entre-deux-guerres, Akarova (1904) incarne un idéal de création artistique " totale " : elle concevait non seulement ses chorégraphies mais aussi ses costumes, décors et accessoires de scène dont elle assurait toujours la complète exécution; elle réglait elle-même l’éclairage de ses spectacles et allait jusqu’à en dessiner les programmes.

L’ouvrage situe cette expérience chorégraphique dans le contexte européen de son époque et met en valeur ses rapports avec l’architecture des arts du spectacle et l’utopie d’un art total.

Des amitiés mutiples, des collaborations et des rencontres ont jalonné son parcours : le peintre et créateur de mobilier Marcel-Louis Baugniet, Jean-Jacques Gailliard, le groupe 7 Arts et les tenants de la " plastique pure ", l’école de La Cambre avec Henry van de Velde, le dramaturge Herman Teirlinck et l’architecte Jean-Jules Eggericx, les " laboratoires " du théâtre avec Jules Delacre, Léon Lepage et Le Groupe Libre, le théâtre populaire du Vlaamsche Volkstooneel avec le Hollandais Johan de Meester…

Théâtre du Commissariat générale de l'Exposition internationale de Bruxelles en 1935.

Salle Akarova

Construit en 1937 par Jean-Jules EGGERICX Typologie: Salle de spectacle

Style: Modernisme

AVENUE DE L'HIPPODROME 72 IXELLES

Classé comme Monument: Salle Akarova

Début de la protection: 02/05/1991 Protection définitive: 07/05/1992

Cadeau de Bernard Lansens à mes quarante ans

  • Taille : 30.5cm x 22cm
  • Sommaire
  • Avant-propos par Caroline Mierop et Anne Van Loo pg13
  • Rêverie sur un nom par Daniel Dobbels pg21
  • Akarova par Anne Van Loo pg41
  • Akarova par elle-même pg47
  • Marcel-Louis Baugniet. Témoignage pg 153
  • Akarova ou l’avant-garde entre syncrétisme et autarcie par Giovanni Lista pg217
  • Lettres dansantes.
  • Akarova et les avant-gardes théâtrales en Belgique par Fabrice van de Kerckove pg287
  • Les scènes d’Akarova par Caroline Mierop et Anne Van Loo
  • Ephémérides.
  • Biographie et chronologie comparée par Annette NèveInventaire des chorégraphies, des costumes et des décors pg477
  • Biographie pg533
  • Adresses des principaux lieux cités pg536
  • Crédits photographiques et sources des documents pg537
  • Index Noms et personnes pg539
  • Index journaux, revues et maisons d’édition pg547
  • Index Institutions, lieux de spectacle, galeries d’art et groupements artistiques pg547
Das Griechische Theater
1896
Barth & Von Hirst
Das Griechische Theater
Auteur : Wilhelm Dörpfeld, Emil Reisch

Très beaux plans des fouilles.

Dédicace de l'auteur.

  • Taille : 28.7cm x 21.7cm
  • Etude comparative du théâtre grec et romain sur base des Fouille du Théâtre de Dionysos à Athène.
Histoire du théâtre dessinée
1992
A.-G. Nizet
Histoire du théâtre dessinée
Auteur : André Degaine

ISBN : 2707811610

Un texte clair, précis, synthétique, respectant strictement l'ordre chronologique... Une " documentation-express " d'une étonnante richesse : 436 pages. 2000 illustrations (croquis pris sur le vif, documents d'époque, reconstitutions didactiques, BD...). 1300 noms dans l'index des noms propres. 1 index de Notions (" Censure ", " Eclairage ", " Excommunication des comédiens "...) permettant de faire, en quelques minutes, le tour de la question et de suivre son évolution à travers les âges. Pouvant se lire ou se consulter à plusieurs niveaux, cette vaste synthèse (qui ne néglige pas les prodigieuses étrangetés - méconnues ! - de l'Histoire du Théâtre) concerne tous les publics. Du très jeune lecteur (qui se laissera imprégner par les illustrations) au " théâtrophile " curieux et cultivé (qui goûtera l'inédit absolu de certaines pages) en passant par les lycéens, étudiants et, bien sûr, enseignants/enseignés des Ecoles de Théâtre.

  • Taille : 29.5cm x 21cm
  • Table.
  • Préhistoire du Théâtre. pg5
  • Théâtre égyptien. pg9
  • Dionysos. pg11
  • I.Le temps du service public. pg191
  • -Théâtre grec. pg212
  • -Théâtre romain. pg553
  • -Théâtre médiéval. pg81
  • II. Le Temps des Auteurs. pg105
  • 1 -Théâtre élisabéthain. pg107
  • 2 - Siècle d’Or (Espagne). pg139
  • 3 - Commedia dell’arte et (Italie). pg153
  • 4 - Le « Monopole » (France. pg177
  • 5 - Le Théâtre Bourgeois (17e et XIXe siècle). pg245
  • III. Le Temps des Metteurs en Scène. pg285
  • 1 - Antoine. pg286
  • 2 - Lugné-Poe. pg306
  • 3 - Copeau . pg315
  • 4 - Le Cartel. pg327
  • 5 - Recherches et engagement. pg335
  • 6 - Les Années Sombres. pg350
  • 7 - Le Théâtre de l’Absurde. pg364
  • 8 - Le Théâtre Populaire. pg36
  • 9 - Tendance du Théâtre contemporain. pg406
  • Annexe 3 : Magdelaine Bérubet. pg407
  • Annexe 4 : Jean Lagénie. pg409
  • Annexe 5 : Les Stages de l’Education Nationale. pg413
  • Annexe 6 : Théâtre corporatif. pg417
  • Annexe 7 : Le Théâtre-Ecole de Montreuil. pg419
Les dix livres d'architecture de Vitruve
1995
Bibliothèque de l'image
Les dix livres d'architecture de Vitruve
Auteur : Claude Perrault, Antoine Picon

ISBN : 2-909808-26-2

Vitruve est l’auteur d’un célèbre traité nommé De architectura (en français, « au sujet de l’architecture »), écrit à la fin de sa vie (ier siècle av. J.-C.), et qu’il dédie à l’empereur Auguste. Dans la préface du livre i, Vitruve donne comme but à ses écrits d’exposer sa connaissance personnelle de la qualité des bâtiments à l'empereur. Vitruve fait allusion à la campagne de réparations et d’améliorations des bâtiments publics menée sous Marcus Agrippa. De architectura est le seul livre majeur qu’il nous reste sur l’architecture de l’Antiquité classique.

Ce texte « a profondément influencé, dès la Renaissance, des artistes, des penseurs et des architectes, parmi lesquels Leon Battista Alberti (1404-72), Leonard De Vinci (1452-1519), et Michel-Ange (1475-1564) » selon Petri Liukkonen (2008). Excepté le De architectura, le livre majeur sur l’architecture le plus ancien dont nous disposons est la reformulation par Alberti des Dix Livres en 1452.

Vitruve est resté célèbre pour avoir fait valoir dans son De architectura qu’une structure devait présenter les trois qualités de firmitas, utilitas, et venustas — autrement dit forte (ou pérenne), utile et belle. Selon Vitruve, l’architecture est une imitation de la nature. C’est ce que l’on appellera par la suite la conception classique de l’architecture.

En perfectionnant cet art de la construction, la Grèce antique a inventé les ordres architecturaux : dorique, ionique et corinthien. Elle leur a donné un sens des proportions, culminant dans la compréhension des proportions du corps humain. Ceci conduit Vitruve à sa définition de l’homme vitruvien, qui sera ultérieurement réactualisé avec Léonard de Vinci et son célèbre dessin : le corps humain inscrit dans le cercle et le carré (tracé géométrique des caractéristiques fondamentales de l’ordre cosmique).

Vitruve est parfois considéré hâtivement comme le premier architecte. Il est plus exact de le décrire comme le premier architecte romain dont les écrits nous soient parvenus. Il cite lui-même une multitude de travaux qui lui sont antérieurs, moins complets que les siens. Il est moins un penseur original qu’un codificateur de la pratique architecturale de son époque. Les architectes romains pratiquaient une grande variété de disciplines ; en termes modernes, ils pourraient être décrits comme étant des ingénieurs, architectes, architectes-paysagistes, artistes et artisans. Étymologiquement, le mot architecte dérive du mot grec qui signifie « maître » et « constructeur »4. Le premier des dix livres traite de nombreux sujets qui se situent dans le champ que l’on définit de nos jours par le paysage.

  • Taille : 29.5cm x 21cm
Histoire du Cirque royal, 1878-1995
1995
Le Cri
Histoire du Cirque royal, 1878-1995
Auteur : Laurent Weinstein

ISBN : 2871061726

« Demandez le programme ».

Mesdames et Messieurs,

le cirque royal de Bruxelles vient de loin et revient de loin.

Son histoire ?

La voici, raconter, je dirais de l’intérieur, par ceux qui l’ont aimé, suivi, remis en selle … et finalement sauvé.

Ceux qui ont répété sans relche : « demandez le programme ! » Au moment, précisément, où le spectacle risquait de ne plus être programmé !

Quand je dis « son histoire », je devrais dire « cette biographie », car il apparaît par la magie de son auteur Laurent Weinstein, que ce « Monsieur Royal » était le cirque personnifié. En vérité, ce « Monsieur cirque », c’était quelqu’un, une manière de Frégoli qui changer d’aspect, de visages, de costumes, de genre et de style à chaque nouveau spectacle.

Tantôt il serait temps de la peau de l’ours …

Tantôt de celle du lion.

Tantôt il se disait dompteur …

parfois il se disait diseur.

Quelquefois il se faisait chanteur, le canotier sur l’oreil.

« ma pomme ! » Ou le chapeau mou planté comme une auréole sur ses cheveux fous … Il y a de la joie ! »

« Demandez le programme ! »

Raymond Devos.

  • Taille : 24cm x 15.5cm
  • Préface par Raymond DevosIntroduction
  • En guise d'ouverture
  • Une galerie de personnages
  • Les spectacles
  • Annexes :
  • Cirques divers programmés au Cirque Royal de 1878 à 1995Béjart au Cirque Royal
  • Bibliographie
  • Index des noms et oeuvres cités
Les ombres chinoises; amusez-vous dans le noir
2011
Courrier du Livre
Les ombres chinoises; amusez-vous dans le noir
Auteur : Sophie Collins

ISBN : 2702906443

Oubliez ordinateur et consoles pour entrer dans le monde fascinant des ombres chinoises. Avec juste une lampe de poche, vos deux mains et un peu d'entraînement, vous créerez quantité d'animaux, de la grenouille au chameau en passant par l'ours qui grogne... Très vite, vous vous perfectionnerez en créant paysages et personnages que vous mettrez en scène pour aboutir à un spectacle complet qui enchantera petits et grands. Une centaine d'animaux à découvrir et à réaliser ; des conseils précis pour vos mises en scènes et effets sonores ; des personnages étonnants qui vous rappelleront le " Guignol " de votre enfance. Les ombres chinoises : un peu de nostalgie et beaucoup de fous rires...

  • Taille : 16.5cm x 13.5cm
  • Sommaire.
  • Introduction aux ombres chinoises. pg6
  • Comment réaliser les ombres ? pg8
  • Exercice des mains et des doigts. pg10
  • Réaliser des formes basiques. pg12
  • Les a nimaux. pg15
  • Animaux à une main. pg17
  • Animaux à deux mains. pg37
  • Animaux difficiles. pg123
  • Animaux complexes. pg195
  • Perfectionner son savoi r. pg225
  • Effets sonores et mis en scène.pg227
  • Personnages humains. pg269
  • Index et bibliographie. pg286
Adolphe Appia, ou, Le renouveau de l’esthétique théâtrale
1992
Editions Payot
Adolphe Appia, ou, Le renouveau de l’esthétique théâtrale
Auteur : Adolphe Appia, Richard C Beacham, Jorg Zutter, Martin Dreier

ISBN : 2-601-03118-2

Audacieuses et d’une modernité déconcertante pour l’époque, les idées du Genevois Adolphe Appia (1862 - 1928) ont révolutionné les arts de la scène.

Six spécialistes européens rendent hommage au génie de cet homme de thétre et révèle son talent de dessinateur.

Plus de 100 dessins et documents reproduits, dont 16 en couleurs.

  • Taille : 26cm x 21cm
  • Avant-propos
  • par Jorg Zutter
  • Adolphe Appia aujourd'hui.
  • le point de vue d'un historien du théâtre par Martin Dreier
  • L'institut Jaques-Dalcroze a Hellerau
  • par Marco de Michelis
  • La gymnastique au service du theatre.
  • Un essai de reformepar Gemot Giertz
  • Du rêve à la réalisation.
  • Trois mises en scène signées Appia
  • par Richard C. Beacham
  • «Des pieds nus gravissant un escalier »par Jacques Gubler
  • La musique rendue visible par Jorg Zutter
  • Repères biographiques
  • Index
La vie théâtrale au temps de la Renaissance
1963
Institut Pédagogique National
La vie théâtrale au temps de la Renaissance
Auteur : Collectif

Préface (extrait)

le Thétre de la Renaissance. Ces mots suscitent d’abord devant nos yeux la scène tragique et la scène comique de Sergio, ou bien les nombres proportion du Théâtre Olympique de Vicence. Oui, on pense d’abord à l’Italie, et aux origines d’une scénographie fondée sur la science de la perspective, d’une architecture et d’une dramaturgie inspirée l’une et l’autre par des modèles antiques. Et certes cette nouvelle vision plastique, jointe au souci de faire fructifier le patrimoine latin, et bien le point de départ d’une révolution dans l’art théâtral dont les effets se font encore sentir en notre siècle.

Cependant, jetant un coup d’oil sur la chronologie, nous nous apercevons que le mystère de la Passion de Valenciennes (1547) est à peu près contemporaine des premiers livres d’architecture de Serlio, que l’année où l’on inaugure avec Oedipe-Roi le Théâtre Olympique (1585) on joue à Lucerne une Passion encore toute médiévale. Le dernier quart du XVIe siècle est aussi celui qui voit apparaître, à Londres et à Madrid, les premiers théâtres publics. Shakespeare et Lope de Vega, c’est aussi la Renaissance, mais les scènes sur lesquels on les joue, qu’ont-elles de commun avec celle de l’Italie ?

On pourrait multiplier les questions de ce genre. Et le but de cette exposition est justement d’amener le visiteur à se déposer, et de l’aider à trouver des réponses. Il suffit donc de l’accueillir en lui disant que la Renaissance, telle qu’on peut la définir pour les besoins de notre étude, est une période où les formes théâtrales prolifèrent et se transforment. C’est une longue période de transition entre le Moyen Âge et la phase longue de plusieurs siècles dont nous sortons à peine, et que carectérise le cadre de scène à l’italienne.

Nous nous sommes donnés pour tâche d’illustrer, à l’aide de documents visuels, les aspects les plus typiques d’une évolution complexe dont les développements essentiels s’inscrivent entre le milieu du XVe siècle et le milieu du XVIIe siècle mais qu’on ne peut comprendre sans tenir compte de ce qui s’accomplit dans les siècles qui précèdent et qui suivent.

Jean Jacquot

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Table des matières
  • Avant-propos V
  • Préface IXI.
  • - L’ancien théâtre religieux pg3
  • Vitrine 1.
  • Le château de persévérance pg6
  • Vitrine 2.
  • Le martyre de sainte Apolline pg7
  • Vitrine 3.
  • Vitrine a et b. La passion de Vienne pg9
  • Vitrine 4. Quatre passions d’Allemagne et du Haut Adige pg11
  • Vitrine 5. La passion de Valenciennes pg15
  • Vitrine 6. fête de l’annonciation. Florence, 1439 pg19
  • Vitrine 7. Machines de Brunelleschi pour l’Annonciation pg21
  • Vitrine c. Fête de l’Ascension du Christ et de l’Assomption de la Vierge pg23
  • Vitrine 8. La Passion de Lucerne de 1583 pg24
  • Vitrine d. le Weingartenspiel Jacob Ruf. 1539 pg26
  • II. - Moralités et farce pg29
  • Vitrine 9. La condamnation de banquet pg31
  • Vitrine 10. Les scènes des maîtres chanteurs de Nuremberg et les jeux du carnaval de Hans Sachs pg35
  • Vitrine 11. Les jeux de carnaval en Suisse pg38
  • Vitrine e. Le « Cristlich Spil von Kinderzucht » de Johann Rasser. 1573 pg40
  • Vitrine 12. les tréteaux de la foire pg41
  • Vitrine 13. Baraques foraines dans les provinces du Nord pg43
  • Vitrine 14. La farce pg45
  • Vitrine 15. la Commedia dell’Arte et en France pg48
  • Vitrine 16 et 17. Scène de la Commedia dell’Arte et pg50
  • Vitrine F. Scenarii pg51
  • SalleIII. - Le Théâtre et les RêvesA. Théâtre et cortège : scènes et décors des entrées pg55B. Théâtres et cortège : les spectacles sur char pg64
  • C. Tournois et mascarade pg73
  • IV. - Léonard de Vinci pg89
  • V. - Renaissance du théâtre antique et création de formes nouvelles en Italie pg95
  • A. La scène est « térencienne » pg97
  • B. Les éditions de Vitres et l’étude du théâtre antique pg102
  • C. La scène en perspective et le théâtre « serlien » pg106
  • D. Andrea Palladio pg112
  • E. Vicenzo Scamozzi pg118
  • F. Influence du Palladio en Angleterre pg120
  • VI. - Le théâtre hors d’Italie pg123
  • A. Le théâtre en Espagne pg124
  • B. Le théâtre élisabéthain pg135
  • C. Le thétre de Rederijkers pg147
  • D. Le Schauwburg d’Amsterdam pg150
  • E. Le Laurentiusspiel de Stephan Broelmann. 1581 pg156
  • F. Le mémoire de Mahelot et la mise en scène à l’Hôtel de Bourgogne pg157
  • VII. - Des comédies à intermèdes aux premiers opéras
  • A. La comédie à Internèdes à Florence pg173
  • B. Instrumentarium des intermèdes de la Pellegrinina pg178
  • C. Origines du drame en musique pg184
  • VIII. - La scène italienne dans la première partie du XVIIe siècle
  • A. Florence. Giulio et Alfonso Parigi pg187
  • B. Le théâtre Farnèse et les fêtes de Parme (1628) pg190
  • C. San Alessio, au théâtre Barberini. Rome (1634) pg195
  • D. Les débuts de l’opéra vénitien pg196
  • IX. - Généralisation de la technique italienne
  • A. Récapitulation : évolution de la scène « italienne » après Serlio
  • B. Inigo Jones et le masque de cour. Introduction de la scène « italienne » en Angleterre pg210
  • C. Le ballet de cour pg217
  • D. Torelli en France et le triomphe de la « scène italienne » pg224
  • Epilogue pg226
Dans l'atelier Menus Plaisirs du Roi, Spectacles, Fêtes et Cérémonies
2011
Editions Artlys
Dans l'atelier Menus Plaisirs du Roi, Spectacles, Fêtes et Cérémonies
Auteur : J. de La Gorce, P.Jugie, B.-M. Le Brigand, J. Gorguet-Ballesteros

ISBN : 9782854954395

Les Menus-Plaisirs du Roi étaient le service de la Maison du Roi, responsable des « plaisirs du Roi ». Ils comprenaient la préparation des cérémonies, fêtes, et spectacles de la cour. Ils furent placés sous la direction d'abord d'un trésorier, et plus tard d'un intendant. Déjà, sous Henri III, cette administration absorbait annuellement 70 M £. La direction des spectacles de la cour devint par la suite une des charges les plus importantes. Les menus plaisirs étaient une sorte de petite direction des beaux-arts. En 1750, les bâtiments des Menus-Plaisirs furent construits. C'était une sorte de garde-meuble où on emmagasinait le matériel des fêtes de la Cour. En 1787 et 1788, les deux assemblées des notables se tinrent dans une salle de l'hôtel des Menus Plaisirs, à Versailles, ainsi que l'ouverture des Etats généraux. L'administration des Menus-Plaisirs avait son siège à Paris, faubourg Poissonnière IXe, dans un vaste immeuble qui s'étendait de la rue Bergère à la rue Richer

actuelles. C'est là que la Convention installa en 1795 le Conservatoire de musique.

  • Taille : 28cm x 24,5cm
  • Sommaire
  • Introduction pg11
  • Les Menus Plaisirs du roi, par Jérôme de La Gorce. pg11
  • Le fonds de la Maison du roi et les archives des Menus Plaisirs aux Archives nationales, par Pierre Jugie . pg14
  • Antoine Angélique Levesque, par Jérôme de La Gorce pg20
  • La collection Levesque, par Jérôme de La Gorce pg26
  • Catalogue, par Jérôme de La Gorce pg32
  • Prélude : Antoine Angélique Lervesque et sa collection d'arts graphiques pg32
  • Les créateurs des Menus Plaisirs pg42
  • L'héritage de l'Italie dans les théâtres et les spectacles pg82
  • Scénographie de l'Opéra pg108
  • Machine d'opéra pg144
  • Les fêtes pg178
  • Les pompes funèbres pg214
  • Annexes pg244
  • La base de données « Menus Plaisirs du roi », par Pierre Jugie pg244
  • Chronologie pg246
  • Bibliographie pg248
  • Index pg252
Le Théâtre Marais, berceau Opéra et Comédie-Française 1648-1673, tome 2
1958
Librairie Nizet
Le Théâtre Marais, berceau Opéra et Comédie-Française 1648-1673, tome 2
Auteur : Sophie Wilma Deierkauf-Holsboer

Avant-propos

Dans l'introduction du premier volume de cet ouvrage, nous avons annoncé que nous disposions d'une soixantaine de documents inédits pour retracer l'histoire du Théâtre du Marais. La poursuite de nos recherches dans les archives nous a permis d'exhumer une nouvelle série de minutes relatives à la salle de spectacle de la rue Vieille-du-Temple. Il en résulte que l'histoire de la période qui s'étend de 1648 à 1673 dans le second volume est étayée par soixante-douze pièces d'archives, ce qui porte le total des documents mis à contribution à cent dix-huit.

Parmi les actes notariés nouvellement découverts se trouvent notamment l'inventaire des titres du Marais, pièces qui a été d'une grande utilité pour la composition du tome deux . Par ailleurs les données que nous avons recueillies nous ont obligé à apporter quelques rectifications et additions au texte du volume un. Nous les faisons suivre ici.

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  • Taille : 25cm x 16cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg7
  • Chapitre 1
  • l'opéra italien à Paris. - Thémistocle et le Désniaisé. - Initiatives remarquables des comédiens du Marais. - Représentation de cinq pièces à grand spectacle. - Succès du Marais. - 1647 - 1649 pg13
  • Chapitre 2
  • Mazarinades et estampes satiriques. - Censure de Mansart. - Difficulté des comédiens, des auteurs, du public parisien et des propriétaires sous la Fronde. - répertoire du Marais. - 1649 - 1653 pg34
  • Chapitre 3
  • Mauvaise situation de la troupe en 1653. - Mesure des propriétaires. - Fermeture de la salle en 1654. - L'association à Nantes. - Reprise d'Andromède. - Noël Le Breton et les Désurlis. - La troupe en avril 1655 et son répertoire. - Intervention de Louis Redhon, comte de Talhouet. - Fermeture du Marais en 1657. - La location de la salle par Madeleine Béjart. 1653 - 1658 pg56
  • Chapitre 4
  • La troupe du Marais et ses deux baux de 1659. - Vente de la propriété. - Les affiches des comédiens en 1660. - Paiement du prix d'achat par le sieur de Fontenay. - 1659 - 1660 pg99
  • Chapitre 5
  • La troupe au début de 1660. - Histoire de la Toison d'or. - Buffequin, le décorateur du Marais. - Six troupes à Paris en 1660. - Dorimond et son drame de famille. - Le répertoire du Marais de 1661 et 1662. - Malveillance de l'Hôtel de Bourgogne et de Molière. - Se s conséquences. - 1660 - 1662 pg121
  • Chapitre 6
  • La troupe du Marais en 1662 - 1663. - Rosidor et sa femme. - L'Inventaire des décorations. - Mort de L'Espy. - Les comédiens en 1665. - Les Amours de Jupiter et de Sémélé. - Les Champmeslé et Rosimond. - Le départ de Rosidor. - La troupe en 1668. - 1 662 - 1668 pg148
  • Chapitre 7
  • Le répertoire du Marais 1668 à 1670. - Départ et Champmeslé. - L'hiver 1670 - 1671. - Composition de la troupe en 1671. - Le mariage de Bacchus et d'Ariane. - Lully, le Florentin. - Pulchérie. - L'Ambigu comique et Vilain. - Contrat de société du 3 février 1673. - Mort de Molière et démembrement de sa troupe. - Nouvelle intervention de Lully. - Le départ de Rosimond. - Acte d'association du 22 mai 1673. - Germanicus. - Fermeture du Marais. - Les événements antérieurs à la fermeture. - Sentence du Chtelet du 4 août 1673. - Histoire de la fusion de la troupe du Marais et de celle de feu Molière. - Catherine Desurlis . - 1668 - 1 673 pg171
  • Conclusion pg204
  • Liste des comédiens du Théâtre du Marais de 1648 à 1673 pg212
  • Liste des pièces créées par les comédiens du Théâtre du Marais. 1629 - 1673 pg217
  • Appendice pg221
  • Bibliographie pg331
  • Index pg335
  • Table des planches pg353
  • Table des matières pg355
Le Théâtre Marais, période de gloire, de fortune 1634 (1629)-1648, tome 1
1954
Librairie Nizet
Le Théâtre Marais, période de gloire, de fortune 1634 (1629)-1648, tome 1
Auteur : Sophie Wilma Deierkauf-Holsboer

Introduction

L'histoire de l'Hôtel de Bourgogne et du Théâtre du Marais, les deux salles de spectacles, qui ont été à la tête de l'évolution théâtrale à Paris dans la première moitié du XVIIe siècle, n'a pu être tracé jusqu'à ce jour. Les premiers historiens du théâtre tel Tallemant des Réaux (1657), Chappuzeau (1674) et les Frères Parfaict (1735) s'en sont préoccupés, il est vrai, dans leurs ouvrages, mais ils en parlent aussi succinctement qu'il a été totalement impossible de donner une image tant soit peu complète de l'activité théâtrale à cette époque. De plus, nous avons constaté que les informations de ses auteurs dans les pages consacrées à cette question sont suspectes, ce qui n'a rien d'étonnant, puisqu'en l'absence de documents authentiques ils ont d avoir recours la plupart du temps à des communications orales.

Il va de soi qu'on a essayé par la suite, à maintes reprises, de supplier à cet état de choses en interrogeant le passé. Jal, Campardon, Vitu, Loiseleur, Rigal, Fransen, Lemoine et s'il est permis de nous citer nous-mêmes - tous nous avons fait appel aux sources d'archives et nous nous sommes donnés des peines infinies pour faire la lumière sur l'histoire du théâtre en France au XVIIe siècle et particulièrement sur celle de la capitale. De telles investigations n'ont pas été vaines : un nombre important de documents a été découvert qui se rapportent surtout à l'Hôtel de Bourgogne, à l'Illustre Théâtre et aux comédiens qui étaient attachés. Mais ces trouvailles, si intéressante soit-elle par la quantité de détails inconnus qui en ont été tirés, ont seulement fait connaître quelques fragments de l'histoire des principaux théâtres parisiens au XVIIe siècle. En dépit de la somme de connaissances apportées par les érudits trop de lacunes subsistent encore ; plusieurs périodes de l'histoire théâtrale à Paris demeurent obscures.

C'est principalement le thétre du Marais qui est resté dans l'ombre malgré les efforts infatigables des chercheurs. Le résultat médiocre auquel ils ont abouti sembler confirmer la révélation faite par Jal dans son Dictionnaire critique de biographie et d'histoire : la totalité des actes notariés sera portant à cette salle de spectacle et à ses comédiens a été détruite par un incendie. C'est ainsi que l'opinion a prit naissance que l'histoire du théâtre de la rue Vieille-du-Temple resterait à jamais inconnue et qu'il faudrait se contenter des indications, fort rares d'ailleurs, recueillies au cours des siècles et que la plupart des histoires du théâtre ont résumé de la façon suivante : une troupe de comédiens sous la direction de Montdory emportant avec elle le manuscrit de la Mélite, la première pièce de Pierre Corneille, est arrivé à Paris en 1629 ou en 1630. Après avoir occupé divers locaux dans la capitale cette compagnie s'établit définitivement au jeu de paume de la rue Vieille-du-Temple. Elle lui un vif succès grce aux représentations des poèmes dramatiques de Corneille. En 1637, lors de la paralysie de Montdory, le Marais est refoulé au second plan, bien que le grand poète classique demeure encore fidèle à ce théâtre durant de nombreuses années.

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  • Taille : 25cm x 16cm
  • Table des matières
  • Introduction pg7
  • Chapitre 1
  • Histoire du jeu de paume du Barret. - Historique de la troupe de Charles Lenoir et de Montdory. - Fondation du théâtre du Marais. - Les premières de Pierre Corneille 2000 629 634. pg13
  • Chapitre 2
  • Dislocation de la troupe du Marais par le roi. - Sa reconstitution par Montdory. - 1634 - 1635 pg37
  • Chapitre 3
  • Une période glorieuse du Marais. - La paralysie de Montdory. - Mort du fondateur, Charles Lenoir. - Somptueuse garde-robe de comédiens du couple Lenoir. Relations de Jean de Rotrou avec la Troupe Royale. - 1635 - 1637 pg51
  • Chapitre 4
  • Six années de prospérité et de succès. - Floridor et Pierre Corneille. - Nouveau démembrement de la troupe. - Le projet de Lettres patentes. - 1638 - 1643 pg73
  • Chapitre 5
  • L'incendie du Marais et ses conséquences. - L'Illustre Théâtre de Molière. - Nouvelle salle du Marais avec sa description et son plan. 1644 pg93
  • Chapitre 6
  • Une nouvelle période de succès du Marais. - Débâcle de l'Illustre Théâtre. - Le départ de Floridor et de Corneille. - Ses conséquences pour le Marais. - 1645 - 1648 pg119
  • Conclusion pg139
  • Liste des comédiens du Marais. 1634(1629) - 1648 pg149
  • Appendice pg151
  • Bibliographie pg215
  • Index pg219
  • Table des planches pg227
  • Table des matières pg229
Le Théâtre Français au XVIe et au XVIIe siècle
1871
Laplace, Sanchez et Cie, Ed.
Le Théâtre Français au XVIe et au XVIIe siècle
Auteur : Maurice Sand

Vingt très belles gravures en couleurs de Maurice Sand et H. Allouard sur papier Velun. Une note sur chaque auteur d'Edouard Fournier

Introduction

Ce qui manque surtout dans la partie du théâtre français dont ce volume a recueilli quelques épaves, c'est l'influence française.

Les inventions y fourmillent, mais presque toutes viennent du dehors. Pas une est encore du vrai cru gaulois.

On imite d'abord, nous allions presque dire - dans ses premières copies sont loin des modèles - on singe un peu les Anciens.

On passe ensuite, mais d'un plus vif élan, aux auteurs d'Italie, qui se sont faits plutôt un théâtre ; puis aux Espagnols, qui plus vite aussi se sont fait des tragédies, des comédies et - ce qui est une grande ressource pour les chercheurs d'inventions - une ample littérature de nouvelles et de romans.

Dans tout cela nos auteurs vont en maraude, reviennent assaisonner chez eux ce qu'ils ont rapporté de cette chasse à l'étranger. Ils y mettent leur adresse et leur selle, mais parfois gâte aussi, pour en vouloir trop prendre et trop entasser, le meilleur de ce butin d'Italie ou d'Espagne.

Un homme arrive enfin, qui règle, dose et choisi ; qui prend un peu, mais donne davantage ; qui, après ses courses à l'aventure dans les mêmes parages de comédies, de nouvelles, et de romans, fait un adroit triage de ses glanes, les mélange, les assortit, se les rend propres par le choix et l'usage qu'il en fait, et, quand on vient à compter, rend une fleur pour un chardon, un beau louis tout neuf pour un pauvre écu ou un vieux sou.

« En ces heureuses mains le cuivre devient or. »

Cet homme, c'est Molière.

Ce volume va jusqu'à lui ; mais, puisque notre lot précaire et de n'y donner que des pièces de transition et de préparation, pour ainsi dire, sans rien de complet encore, sans rien de parfait surtout, il s'arrête à lui.

  • Taille : 28,5cm x 20cm
  • Table des Notices et des Pièces
  • Jodelle pg1
  • L'Eugène pg3
  • Rémy Belleau pg25
  • La Reconnue pg26
  • Pierre de Larivey pg55
  • Les Esprits pg57
  • Odet De Turnèbe pg90
  • Les Contens pg91
  • François D'Amboise pg132
  • Les Néapolitaines pg132
  • François Perrin pg166
  • Les Escoliers pg167
  • Adrien De Montluc, comte de Gramail pg192
  • La Comédie des Proverbes pg196
  • Tabarin pg228
  • Farces tabariniques, 1ere farce pg229
  • 2e farce pg232
  • L. Du Peschier pg235
  • La Comédie des Comédies pg236
  • Pichou pg257
  • Les Folies de Cardenio pg258
  • Gougenot pg283
  • La Comédie des Comédiens pg285
  • Pierre De Ryer pg319
  • Les Vendanges de Suresne pg322
  • Antoine Mareschal pg348
  • Le Railleur pg349
  • Jean De Mairet pg373
  • Les Galanteries du duc d'Ossonne pg376
  • L. C. Discret pg400
  • Alizon pg400
  • Desmarets Saint-Sorlin pg428
  • Les Visionnaires pg430
  • AnonymeLa Comédie de chansons pg458
  • Rotrou pg494
  • La Soeur pg497
  • Claude De Lestoille pg523
  • L'Intrigue des Filous pg524
  • Bois-Robert pg551
  • La Belle Plaideuse pg553
Le Théâtre - janvier 1898 à décembre 1899
1898
Jean Boussod, Manzi, Joyant et Cie
Le Théâtre - janvier 1898 à décembre 1899
Auteur : Cillectif

Notre programme

Voici ce que nous désirons que soit le Théâtre :

Un journal dans les pages duquel vienne se fixer et se classer la vie du théâtre ;

Un journal qui enregistre d'une façon définitive la physionomie, le geste et l'attitude des acteurs de ce temps ;

Un journal qui, pour chaque pièce à succès, donne une idée suffisante du décor, de la mise en scène générale, l'aspect le plus frappant de chacun des tableaux, l'instantané de la scène à effet - qui, par là, détermine et établisse la tradition ;

Un journal qui, par les portraits d'actrices et d'acteurs dans tout leurs rôles importants, fournisse des notions exactes et certaines sur le costume ;

un journal qui, depuis les théâtres subventionnés jusqu'au plus semble saine, sans nul esprit de coterie, sans le moindre parti pris de boutique, recherche uniquement le succès ; qui rendent compte, non. De toutes les pièces qu'on représente, mais de celle seulement qui obtienne une grande vogue qui sont intéressantes comme manifestation d'art ; qui pour le faire, appel à parler de la matière où ils sont le plus compétents, les critiques les plus autorisés ; qui soit une tribune libre où les auteurs, aussi bien que leurs interprètes, aient libre accès pour raconter leurs efforts et dire leurs impressions ; qui, au point de vue du texte, garantisse à tous une impartialité entière et une bonne foi absolue ; où, si l'on peut dire, l'instantané de la pensée complète l'instantané de la vision ;

Un journal qui ne se cantonne. point exclusivement dans les théâtres patentés, mais qui est ses entrées partout où se produit une représentation théâtrale, curieuse ou amusante, qui ne néglige ainsi aucune occasion de fournir sur les moeurs et les habitudes mondaines de ces documents certains qu'on trouverait sans prix sur les Théâtres de Saint Assise, de Trianon ou de Malmaison ;

Un journal qui, à l'étranger, surveille les grands artistes, surprenne leurs façons, leurs attitudes et leurs mises en scène ; qui se tienne au courant des grandes premières lyriques ou dramatiques aussi bien que des pantomimes, des féeries et des pièces à trucs ; qui suive aux besoins de nos acteurs en tournée et saisisse parfois leurs spectateurs mêmes.

Un journal enfin où chacun fasse de son mieux pour le service du public, qui n'ait d'autre programme que de lui plaire, qui se montre tel qu'il est et qui, de tout ce qui a des degrés divers appartiennent au théâtre et qui s'y intéressent, des auteurs, des acteurs, les spectateurs, sollicite l'appui, les conseils et la collaboration.

Le Théâtre paraît une fois par mois, par fascicule de 32 pages de format in - 4° Jésus, comprenant :

Une couverture en couleurs,

Deux planches en couleurs,

Vingt-quatre pages de textes illustrés.

Prix du fascicule : Deux francs

Abonnements :

Paris : 22 Fr. - France : 24 Fr. - étrangers : 28 Fr.

Abonnement et vente : 26, rue Drouot.

Publicité : 24, boulevard des Capucines.

On s'abonne dans tous les bureaux de poste

  • Taille : 36cm x 29cm
Le XVIIe siècle vu par Abraham Bosse, graveur du Roy
1967
Les Editions Roger Dacosta
Le XVIIe siècle vu par Abraham Bosse, graveur du Roy
Auteur : Nicole Villa

La vie d’Abraham Bosse

Malheureusement on a peu de renseignements sur la vie d'Abraham Bosse. Il est né en 1602,un an après Louis XIII, dont il est parfaitement le contemporain. Sa ville natale et Tours. Ses parents - Louis Bosse, tailleur d'habits, et Marie Bosse, née Martinet - étaient calvinistes. Abraham épousa, en 1632, Catherine Sarabat, protestante comme lui et fille d'un maître horloger de Tours. Le mariage fut célébré à tour, mais aussitôt après, Abraham emmena sa femme à Paris, où il avait commencé, quelque 10 ans auparavant, ces études de graveur auprès de Melchior Tavernier, son coreligionnaires, graveur et imprimeur en taille-douce la Maison du Roi.

Il est possible qu'Abraham Bosse célibataire et logé chez Tavernier, dans l'île de la cité, appelé à cette époque « il est du Palais ». Marié, il habita, en tout cas, ce quartier et certaines de ses gravures nous donnent ses diverses des adresses. Lorsqu'en 1645, Tavernier, devenu contrôleur de la maison du duc d'Orléans, abandonna sa boutique « A la Sphère », quai de l'Horloge - un drame Bosse s'y installa et à la mort de son vieil ami, (1665), il demeura le locataire des héritiers de l'imprimeur éditeur. Abraham Bosse eut six fils et trois filles. Quatre de ses enfants seulement ne sont pas morts en bas ge, mais on ignore s'ils ont eu des descendants. Abraham survécut sept ans à sa femme et mourut en 1676.

Sa vie professionnelle est plus connue que sa vie privée. On sait qu'il avait été très vivement marqué par l'enseignement d'un professeur de géométrie, Girard Desargue (1593 - 1661), qui fut un ami de Descartes et qui inspira à Pascale ses premières découvertes en mathématiques. Ce professeur fut à l'origine des idées de Bosse sur la perspective et, toute son existence, notre graveur ne cessa jamais de les défendre. On peut même dire que, si la gravure a fait vivre Abraham Bosse, c'est la perspective qui est vraiment le plus occuper son esprit et son temps. Lorsqu'en 1648, l'Académie royale de Peinture fut créée, elle demanda à l'artiste de donner des leçons de perspective ; pour le remercier de cet enseignements, elle le nomma, en 1651, académiciens honoraires avec voix de délibérative, alors que les statuts ne permettaient pas aux graveurs d'être admis dans cette compagnie (on avait nommé en même temps que lui un chirurgien, chargé des cours d'anatomie). Mais Abraham Bosse n'était pas un esprit pacifique ; il aimait, semble-t-il, la discussion, la polémique et la soulevait lors même qu'il n'était pas pris à partie.

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Théâtre

Abraham Bosse, précisément, n'a pas négligé le Théâtre. Tout le monde connaît de lui la gravure intitulée l'Hôtel de Bourgogne (planche 27), qui date de 1634. Sur la scène des acteurs de la "Troupe Royale", l'ancêtre du Théâtre français. L'un d'eux, dans le rôle de Turlupin, s'apprête à voler son voisin qui, les lunettes à la main, regarde, d'un air faussement distrait, Gros Guillaume en conversation avec une dame élégante. gauche et à droite, à la fois spectateurs et acteurs, un Français ironique et un Espagnol effarouché - de type classique de la Farce. (Ces deux personnages ont été recopiés pour illustrer la page de titre de l'ouvrage de R.Gentilis, The Antipathie between the French and Spaniard, Londres, 1641. La planche dans son ensemble a, elle aussi, été copié par I.Veenhüysen, pour une page de titre également, celle du Roman Comique de Scarron, en 1678). La balustrade interrompue qu'on remarque au premier plan, de part et d'autre de l'image, n'est pas, ainsi que certains l'ont cru, destinée à séparer du parterre la scène fort peu élevée. Elle marque les limites dans des décors simultanés qui étaient en usage à cette époque : Bosse à représenter seulement le fond de la scène et « en coupe », comme on dirait de nos jours. Cette gravure et pour l'histoire du thétre document de toute première importance.

Bosse aurait également peint sur marbre Molière dans le rôle de Mascarille des " Précieuses ridicules » et Armande Béjart dans le rôle de Madelon, la même pièce.

Les décors de théâtre étaient, certes, bien fait pour inspirer un artiste si passionné par les problèmes de perspective et d'architecture.

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  • Taille : 28cm x 20,5cm
  • 107 gravures dont planche 27, l'Hôtel de Bourgogne
Mémoires de Jean Monnet, Directeur du Théâtre de la Foire
1909
Louis-Michaud Editeur
Mémoires de Jean Monnet, Directeur du Théâtre de la Foire
Auteur : Jean Monnet, Henri d'Alméras

Monnet et le Thétâre de la Foire

Jean Monnet naquit à Condrieu, qui est aujourd'hui un chef-lieu de canton du département du Rhône et qui fut de tout temps célèbre pour son vin blanc. Ce vin blanc a d grandement contribuer à l'humeur joviale des habitants du pays, et à celle de monnaie en particulier.

Dans une excellente étude qui lui consacra en 1884 et à laquelle j'aurais souvent recours dans cette notice, Monsieur Arthur Heulhard cite son acte de naissance, retrouvé dans les archives de Condrieu :

ouvrez les guillemets Jean Monnet, né le septième septembre mil sept cent et trois, fils de Jacques Monnet, bolanger (sic) de Condrieu et de Louise Bonnardel, ses père et mère, à esté baptiser le huitième dudict mois et an que dessus dans l'église de Condrieu, par moy, vicaire subsigné. Son parrain à esté Jean Bonnardel, grand-père de l'enfant, cordonnier, sa marraine Françoise Dambuyen, en présence de Michel Duche et de Joseph Thonnerieu, qui ont signé.

(Signé) Thonnerieu, Duche, Mouton, vicaire"

Monnet, dans ses Mémoires, par le peu de son enfance et ne parle pas du tout de sa famille, qu'il jugeait sans doute trop peu digne de lui. Entre un bolanger et un directeur de théâtre la distance était trop grande.

Il se contente de dire qu'orphelin à huit ans, il fut recueilli par un oncle, resta chez lui jusqu'à 15 ans, et entra ensuite chez la duchesse de Berry. Dans quelles conditions ? Il se garde bien de nous l'apprendre. Probablement comme domestiques.

La mort de la duchesse de Berry en 1719, lui enleva une protectrice dont il avait grand besoin, mais le libéra d'une situation humiliante qui ne lui plaisait guère. Maître de son temps, il se consacra à l'amour, avant de se consacrer au théâtre, ce qui était un peu la même chose.

Ses débuts d'amoureux, qu'il raconte d'ailleurs, comment va le voir, avec beaucoup de verve, laisse à désirer au point de vue de la morale, même la moins sévère. Et encore il ne dit pas tout. On peut invoquer à son excuse les habitudes du temps. La plupart des jeunes gens de la condition de monnaie, et même parfois d'une condition plus élevée, faisaient leur stage comme greluchon.

Les loisirs que lui laisser ses aventures passionnelles, monnaie les réservait à diverses professions qui ne semblent pas lui avoir apporté beaucoup. La moins intermittente fut celle de littérateur. A travers ce qu'il dit dans ses Mémoires, sans insister même sans préciser, on entrevoit qu'il écrivit édita des ouvrages très libres, vendu en général sous le manteau, et ce qui semble le prouver c'est cet extrait du registre de la Bastille, de 1660 à 1789 :

le sieur de Beaufort, ancien lieutenant d'infanterie, détenu au fort Lévêque par ordre du Roy.

Le sieur Monnet, détenu au fort Lévêque, par ordre du Roy.

Tous ces papiers consistants manuscrits, contenant des comédies, vers et chansons infâmes, et un petit livre qui a pour titre :

les annales amusantes, ou Mémoires pour servir à l'histoire des amusements de la nation en tout genre.

Le commissaire de l'Epinay Perrault, lieutenant de la prévôté, général des Monnoyes.

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Les Foires Saint-Germain et Saint-Laurent ont été les plus importantes du Paris d'avant la Révolution. Aucune de celles qui existent aujourd'hui ne peut donner l'idée de leur vogue.

Elles étaient très anciennes. Les premiers documents qui en fassent mention sont 1176 pour la foire Saint-Germain et 1344 pour la foire Saint-Laurent, mais ce n'est que dans les dernières années du XVIe siècle que des comédiens, si on peut leur donner ce nom, commencèrent ainsi installer.

« En 1595, Jehan Courtin et Nicolas Poteau, chefs d'une troupe ambulante, donnèrent des représentations à la foire Saint-Germain. Leur succès mécontenta des comédiens de l'Hôtel de Bourgogne, qui, s'appuyant sur d'anciens privilèges, voulurent faire fermer leur thétâre. Les parisiens, que Jehan Courtin et Nicolas Poteau divertissaient fort, des approuvèrent bruyamment les prétentions des acteurs de l'Hôtel de Bourgogne et leur témoignèrent leur mécontentement par des huées et des sifflets. On dit même que quelques-uns d'entre eux fut roulé de coups par ce public peu tolérant. Bien plus, le Châtelet de Paris, que les comédiens avaient requis de faire justice à ces misérables forains, de la pleinement raison à ces derniers et leurs permis de continuer leurs représentations. »

23 ans plus tard, en 1618, de comédiens, André Soliel et Isabel Le Gendre, dont on ne connaît que les noms et dont on ignore la spécialité, sollicitèrent des religieux de Saint-Germain-des-Prés l'autorisation, qui leur fut accordé le 20 janvier, « de donner quelques récréations au peuple pendant la tenue de la foire. »

C'était probablement des danseurs de cordes ou des montreurs de marionnettes, car ce genre de divertissement précéda, et de beaucoup, les spectacles proprement dits auxquels s'opposèrent aussi longtemps qu'ils le purent les théâtres privilégiés.

« Je crois, écrivait un correspondant anonyme des frères Parfaict, que les marionnettes ont eu l'avantage de l'ancienneté. Scarron En parle dans sa description burlesque de la foire de Saint-Germain. Comptons y le fameux Broché, qui transporta ses machines. Il fut suivi de beaucoup d'autres dans le même genre. Ensuite parurent les animaux sauvages, tels que les lions, léopard, tigres, ours, etc., qu'on faisait voir dans différentes loges. Les géants succédèrent ; ensuite les animaux familiers tels que des chiens, rats, singes, que je devais nommer les premiers comme les plus spirituels, mais que je mets ici par ordre de date. »

Parmi les singes qui se distinguent guère à la foire Saint-Germain, le plus connu et le singe de Brioché, Fagotin. On sait que Cyrano de Bergerac, se croyant insulté par lui, le tua d'un coup d'épée.

Les rats acrobates, à la même époque, ne montraient pas moins de talent et n'obtenaient pas moins de succès. Il y en avait qui, debout sur leurs pattes de derrière, marchaient sur la corde, en tenant un petit balancier. D'autres, au son des violons, esquissaient sur une table un pas de ballet, avec autant de grâce que des baleines de l'Opéra. Un rat blanc de Laponie dansait la sarabande, comme un Espagnol, et on ne payait qu'un sol pour assister à ce spectacle.

Peuplé de montreurs de marionnettes ou d'animaux, de gargotiers, de cabaretiers, de chanteurs ambulants, de paradistes - sans compter les marchands et les filous - la foire Saint-Germain, plus encore que la foire Saint-Laurent, constituait à cette époque, c'est-à-dire vers le milieu du XVIIe siècle, pour les Parisiens et les Parisiennes, un spectacle très apprécié et qui ne manquait pas d'amateurs.

Loret, dant sa Gazette du 22 février 1664, annonce les curiosités de tout genre qui excitaient l'admiration un peu naïve et facile à contenter les badauds :

Citrons, limonades, douceurs,

Arlequin, sauteurs et danseurs,

Outre un Géant dont la structure

et prodiges de la nature ;

Outre les animaux sauvages,

Outre cent et cent batelage,

les Fagotins et les guenons,

les mignonnes et les mignons,

on voit un certain habile homme

(Je ne sais comment on le nomme)

Dont le travail industrieux,

Fait voir à tous les curieux,

Non pas la figure d'Hérode,

Mais du grand colosse de Rhodes,

Qu'à faire on a bien du temps mis.

Les hauts murs de Semiramis,

Ou cette reine fait la ronde ;

Bref les sept merveilles du monde

Dont très bien les yeux sont surpris ;

Ce qu'on peut voir à juste prix.

...

  • Taille : 19,5cm x 13cm
  • Table des chapitres
  • Monnet et le Théâtre de la Foire pg9
  • Avis aux lecteurs pg57
  • Chapitre 1
  • Naissance, éducation , premières amours pg59
  • Chapitre 2
  • Séjour au couvent de la Trappe. Nouvelles aventures pg62
  • Chapitre 3
  • Qui contient des choses auxquelles on ne s'attend pas, et que je n'avais pas prévues moi-même pg66
  • Chapitre 4
  • Nouveaux stratagèmes, et leurs suites pg69
  • Chapitre 5
  • Visite imprévue, facheux contretemps et plaintes chez le Commissaire pg72
  • Chapitre 6
  • Rupture forcée pg76
  • Chapitre 7
  • Réforme de l'ancien Opéra-Comique, et fondations d'un nouveau pg78
  • Chapitre 8
  • Duel singulier pg89
  • Chapitre 9
  • Voyage, aventure, etc. pg95
  • Chapitre 10
  • Continuation du précédent et quelque chose de plus pg101
  • Chapitre 11
  • Nouveau projet dont on verra l'issue pg117
  • Chapitre 12
  • Où l'on verra que le tonnerre et bon à quelque chose pg120
  • Chapitre 14
  • Connaissance agréable, Lettres, etc. pg126
  • Chapitre 15
  • Nouvelle entreprise, voyage à Londres, acteur singulier, etc. pg138
  • Chapitre 16
  • Continuation des Lettres de Mademoiselle N. pg141
  • Chapitre 17
  • Embarquement, tempête, arrivée à Londres pg149
  • Chapitre 18
  • Journée de Haymarket pg153
  • Chapitre 19
  • Départ de Londres, entreprise de l'Opéra-Comique à Paris pg162
  • Poinsinet pg192
  • Les mystifications du sieur P. pg205
  • Chapitre 1
  • Comment le petit P... manifesta dés la bonne heure ses inclinations futures et sa vocation pour les sifflets pg208
  • Chapitre 2
  • Comment P... est mieux accueilli par les Comédiens français que par les marionnettes pg210
  • Chapitre 3
  • Comment le petit P... fait, dans une assemblée choisie, une lecture de sa pièce qui ne lui réussit pas, contre son attente pg211
  • Chapitre 4
  • Comment la Pièce ne fut pas aussi bien accueillie du Public que des Comédiens pg213
  • Chapitre 5
  • Expédients merveilleux que l'on suggère aux Poète sifflé pour se tirer d'embarras. Nouveau désastre dont il est suivi pg214
  • Chapitre 6
  • Comment P... imagine de tourner ses talents vers l'Opéra-Comique pg216
  • Chapitre 7
  • Comment le petit P... fit un souper très agréable d'abord, mais dont la digestion fut étrangement troublée, et de tout ce qui s'en suivit pg218
  • Chapitre 8
  • Comment P... trouve moyen d'éluder son signalement, et conclusion de l'aventure pg224
  • Chapitre 9
  • Comment P... est fait Gouverneur du fils d'un Grand Prince d'Allemagne, qui n'a pas encore de fils ; et comment il se dispose à remplir cet important emploi pg227
  • Chapitre 10
  • Comment, par un quiproquo perfide, P... perd une de ses meilleurs dedans, au grand préjudice de son appétit pg231
  • Chapitre 11
  • Comment l'aventureux P...fit la rencontre d'un fameux Magicien qui le rendait invisible à sa volonté pg236
  • Chapitre 12
  • Comment l'aventureux P... est métamorphosé en un vase de porcelaine pg240
  • Chapitre 13
  • Autres soupers magiques, ou, par un moyen aussi simple que le précédent, P... est pris par toute la Compagnie pour Mademoiselle C... pg242
  • Chapitre 14
  • Autre souper magique. Désirs immodestes de P... et leur punition pg243
  • Chapitre 15
  • Autre souper ou P... entendit très distinctement parler une carpe pg246
  • Chapitre 16
  • Etrange précaution de P... pour se préserver des enchantements dont il était menacé par une Salamandre pg249
  • Chapitre 17
  • Autre souper magique, où P... apprend, comme Socie, non sans beaucoup de surprise, qu'il n'est pas lui, mais un autre pg251
  • Chapitre 18
  • Comment P... ne put se rendre à l'Assemblée des Comédiens qui avaient pris jour pour répéter une de ses pièces pg253
  • Chapitre 19
  • Comment le désastreux P... passe trois jours dans le plus sévère régime pour certaines galanteries qu'il pouvait savoir mériter, mais qu'il n'avait pas pg256
  • Chapitre 20
  • Bonne fortune de P... qui ne finit pas fort heureusement pour lui pg261
  • Chapitre 21
  • Comment P... fut tenté d'acheter la charge d'Ecran des petits appartements pg266
  • Chapitre 22
  • Comment P... fut reçu, avec une distinction marquée, par un ambassadeur de la Porte que personne n'a jamais vue que lui pg268
  • Chapitre 23
  • Comment P... fut élu membre de l'Académie Impériale de Saint-Pétersbourg pg271
Des Lumières et des Ombres
1985
F Editions
Des Lumières et des Ombres
Auteur : Henri Alekan

Né le 10 février 1909 à Paris, Henri Alekan suit, dès 1928, les cours du soir du Conservatoire des Arts et Métiers, ceux de l'Institut d'Optique ainsi que les cours pratiques de Pathé-Cinéma, mais c'est en fréquentant assidûment les studios qu'Henri Alekan apprend véritablement son métier. Jusqu'en 1937, il est assistant opérateur et travaille en particulier avec le légendaire Eugen Schuftan qui lui enseigne avant tout un art et l'incite à une réflexion, jamais interrompue, sur la lumière et l'image. Il participe à de nombreux films, aux prestigieux réalisateurs : G. W. Pabst, Max Ophuls, Marc Allégret, Robert Siodmak. Cameraman de 1938 à 1940 sur les films de G. Lacombe, Marcel Carné et Marc Allégret, il n'entame sa véritable carrière de directeur de la photo en 1941. Le premier film dont Henri Alekan ait fait la photographie, Tobie est un Ange, d'Yves Allégret, fut malheureusement détruit dans l'incendie d'un laboratoire. Quatre ans plus tard, deux films l'imposent comme artiste complet : La Bataille du rail, de René Clément, et La Belle et la Bête, de Jean Cocteau. Deux styles opposés, mais tous deux chargés de création et de travail. Ensuite, Henri Alekan ne cesse de collaborer avec les plus grands réalisateurs français et étrangers, comme Marcel Carné, Yves Allégret, Abel Gance, Julien Duvivier, Joseph Losey, Terence Young, André Cayatte, William Wyler, Anatole Litvak, Jules Dassin, Peter Ustinov, Yves Ciampi, Jean Delannoy, Alain Robbe-Grillet, Gitaï Amos et Wim Wenders, pour ne citer que les plus célèbres. En 1958, il a réalisé un court métrage, L'Enfer de Rodin, sorte de ballet mettant en mouvement des statues de Rodin, couronné au festival de Prague en 1961. Il obtient en 1983 le César de la photographie pour La Truite, de Joseph Losey, et participe à la fondation de la Cinémathèque Française et à la création de l'IDHEC, dont il fut vice-président. Chevalier de la Légion d'honneur, officier des Arts et Lettres, médaille des Combattants volontaires de la Résistance, Croix du combattant 1939-1945, Henri Alekan restera dans les mémoires comme la lumière du septième art.

  • Taille : 29cm x 29,5cm
  • Sommaire
  • Lumière pg5
  • Avant-propos pg7
  • Rôle de la lumière pg10
  • Interprétativité de la lumière pg10
  • Le clair et l'obscur pg11
  • La lumière métaphysique pg21
  • La lumière solaire pg29
  • Caractéristiques de la lumière solaire pg31
  • Les principales options de la lumière pg35
  • Le langage plastique de la lumière pg36
  • La représentation picturale du soleil pg39
  • La lumière et l'eau pg51
  • La lumière et le temps pg56
  • La lumière et le cosmos pg60
  • Complexe plastique pg63
  • Orchestration de la lumière pg64
  • Atmosphère ciné plastique pg67
  • Eclairage diffus ou multidirectionnelles pg76
  • Eclairage solaire mouvant : lumière fluctuante pg79
  • Signifiantce de la lumière mouvante pg83
  • Lumière hivernale et lumière diffuse naturelle pg86
  • Eclairage composite crépusculaire pg88
  • La lumière nocturne pg91
  • Psychologie de la lumière nocturne pg93
  • Eclairage nocturne naturel et éclairage arbitraire pg93
  • Lumière lunaire pg96
  • Eclairage composite nocturne pg97
  • Eclairage nocturne artificiel en extérieurs pg100
  • Transposition d'effet solaires en lunaire dit « Nuit américaine » pg112
  • La lumière artificielle pg115
  • Eclairage et lumière artificiels pg117
  • Le solaire et l'antisolaire pg119
  • Qualité de la lumière pg124
  • Principe de l'éclairage artificiel pg127
  • Mécanique de l'éclairage pg127
  • Eclairage directionnel pg128
  • Eclairage modelé et aplat pg130
  • Architecture de la lumière pg135
  • Lumière principale pg140
  • Lumières complémentaires pg140
  • Lieux scéniquex et intérieurs naturels pg142
  • Continuité et unité plastique pg145
  • Lumière temporelle et intemporelle pg150
  • Effets de lumière pg155
  • Effets naturalistes et effets esthétisants pg156
  • Hypothèse créatrice pg165
  • Eclairage artificiel en studio pg167
  • Eclairage diffus en intérieur naturel et en studio pg178
  • Eclairage de comédie et lumière américaine pg180
  • La lumière des peintres et celle des cinéastes pg185
  • La lumière des peintres et celle des cinéastes pg187
  • Lumière et composition pg214
  • Eclairages néoréalistes pg243
  • La lumière nouvelle vague pg246
  • La lumière non signifiante pg249
  • Aventures et westerns pg251la lumière et l'acteur pg256
  • Dynamisme de la lumière pg268
  • Lumière et mise en scène pg278
  • De l'irréel plaqué sur le réel pg285
  • La lumière et la couleur pg291
  • Postface pg298
Pratique pour fabriquer scènes et machines de théâtre
1977
Ides et Calendes
Pratique pour fabriquer scènes et machines de théâtre
Auteur : Louis Jouvet, Melles Maria, Renée Canavaggia

Qui lira ce livre ? Et qui peut le lire aujourd'hui avec intérêt ? Comment dire l'humilité et la perfection qu'il contient, l'honnêteté qu'il enseigne, la science qu'il apporte et l'exemple qu'il donne aux gens de théâtre ? ...

Comment parler de « ce précis de géométrie théâtrale et de mise en scène » qui maintient constamment l'esprit dans l'imagination de l'action dramatique et la précision de son mystère ?

Ce manuel explique à la fois le théâtral et le dramatique. Il contient les rudiments les plus simples et, en même temps, les plus savants pour préparer les simulacres nécessaires à la cérémonie dramatique et à la fabrication des ombres et des fantômes de la scène.

Pour l'homme de métier, il enseigne ce qu'il doit connaître d'abord au théâtre avant d'autres préoccupations : la pratique de la sincérité et les lois physiques du simulacre, les tours de main et d'esprit qu'il faut acquérir pour changer les réalités en illusion et faire vrai l'invraisemblable.

Le poète a besoin des artifices des machinistes et du décorateur ; l'acteur ne saurait s'en passer ; le public les exige et les réclame.

C'est d'abord par l'étrange, le fabuleux, où le fantastique créé par l'appareil de la scène et de ses décors, que le spectateur suit docilement le poète dramatique dans cet empire inconnu du théâtre qui n'a plus rien de commun avec le monde sensible qui nous entoure. Toiles, rideaux, châssis qui montrent en mille formes diverse tout ce que Dieu créa en six jours et tout ce que l'homme a ajouté : aurores et crépuscules, nuages et arcs-en-ciel, mers et montagnes, fontaines et rivières, palais, maisons, leurs et leurs places, paradis et enfer : il n'est pas jusqu'aux spectres que Sabbattini n'ait « pratiqués » ou fabriqués.

Hormis l'art d'écrire ou de jouer, Sabbattini sait du théâtre tout ce qu'on en peut savoir. Il parle et enseigne si parfaitement ce qu'il sait, qu'en le lisant on s'imagine qu'il serait peut-être possible d'apprendre aussi l'art de jouer et d'entendre une oeuvre dramatique, si l'on s'avisait d'avoir le même esprit que lui.

...

Louis Jouvet dans sa Préface

  • Taille : 27cm Xx19,5cm
  • Table des matières
  • Lettre de Louis Jouvet à l'éditeur XIII
  • Découverte de Sabbattini XV
  • Qui était Sabbattini ? XVI
  • Qu'est-ce que la machinerie ? XVIII
  • L'architecture dramatique XX
  • Les quatre ordres de la mise en scène XXIII
  • Signification de Sabbattini XXX
  • Sabbattiniet le machiniste XXX
  • IVLa théorie et la pratique XL
  • En guise de conclusion LIV
  • De la pratique pour fabriquer les scènes
  • Livre premier
  • Où il est traité des scènesavis généraux concernant la bonne ordonnance d'une scène - de l'emplacement du plancher de la scène - comment faire le plancher de la scène - comment faire le ciel de la scène - comment colorier le ciel - comment délimiter la largeur première d'une scène, la largeur de ces deux premières maisons et sa longueur aussi - comment mettre le point le concours - comment trouver le point milieu - comment accommoder les fils d'un point à l'autre - comment dessiner le plan de la scène - comment ajuster les châssis des maisons et de la perspective médiane - comment couvrir de toile les chssis des maisons et de la perspective médiane si l'on ne le veut faire en planches - comment fixer au plancher de la scène les châssis des maisons et de la perspective médiane - comment figurer l'entablement des toits - comment faire l'ébauche du coloris de la scène - comment et de quel lieu de faire venir la lumière pour colorier la scène - comment on peut trouver le milieu de chaque façade en perspective des maisons et autres - commenter dessiner les portes qui semblent occuper le milieu des façades en perspective - comment dessiner plusieurs fenêtres sur les façades en perspective - comment dessiner des boutiques sur les façades de droite et en perspective - comment figurer sur les façades en perspective les entablements des corniches et leurs compléments - comment figurer des balcons sur les façades en perspective - comment figurer des balcons partie sur les façades droites, partie sur les façades en perspective - comment figurer une place sur une façade en perspective - commande dessiner une rue qui paresse s'enfoncer à angle droit en une façade en perspective - comment dessiner la perspective médiane - comment dessiner plusieurs rues en la perspective médiane moyennant un ou plusieurs points - Comment simuler des toits et des cheminées - comment peindre les scènes - comment colorier le parapet de la scène - comment décorer le commencement du ciel - comment dessiner et peindre le dallage de la scène - comment accommoder la place du Prince - comment faire des gradins pour les spectateurs - comment accommoder les musiciens - comment et de quelle façon enlevée le rideau qui cache la scène - comment accommoder les lumières hors de la scène - comment placer les lumières sur la scène - comment et suivant quelles règles accommoder les spectateurs - comment allumer les lumièresLivre secondOù il est traité d'intermède et de machinesde la disparition et du changement des scènes - les châssis des deux premières maisons. Comment on les doit faire - l'avant de la scène. Comment on le peut ordonner - comment couvrir le reste des scènes afin qu'elle ne se puisse transformer de la première façon - comment changer les scènes - comment transformer les scènes d'une seconde façon - comment transformer les scènes d'une troisième façon - comment, lors d'une disparition, l'emplacement de la scène peut être agrandi - comment, au cours d'un changement, a rapetissé l'emplacement de la scène - comment faire semblant que toute la scène se démolisse - comment faire semblant que toute la scène soit en flammes - comment on peut obtenir que toute la scène s'obscurcisse en un instant - comment ouvrir la perspective médiane, seconde façon - comment ouvrir la perspective médiane, troisième façon - comment ouvrir la perspective d'une médiane, quatrième façon - comment ouvrir et fermer les ouvertures du plancher de la scène - première façon de faire sortir avec prestesse des hommes de l'ouverture du plancher de la scène - seconde de façon de faire sortir avec prestesse des hommes de sous le plancher de la scène - troisième façon de faire sortir avec prestesse des hommes sur le plancher de la scène - quatrième façon de faire sortir des hommes du plancher de la scène sans que nul ne s'en avise - comment faire apparaître un enfer - autre façon de faire voir un enfer - comment faire surgir des monts ou autre de sous le plancher de la scène - comment faire qu'une personne ne se change en rocher ou autre - comment représenter la transformation de pierres ou rochers en homme - première façon de faire apparaître la mer - seconde façon de faire voir la mer - troisième façon de représenter la mer - comment faire que la mer tout d'un coup se soulève, s'enfle, s'agite et change de couleur - comment faire apparaître des navires ou galères ou autres vaisseaux qui parcourent la mer - comment faire que des navires, galères ou tous autres btiments à voiles ou à rames avance sur la mer vers les spectateurs et puis plaisir et s'en retournent en arrière - comment faire semblant qu'un navire ou autre vaisseaux mouille au milieu de la mer - comment faire apparaître des dauphins ou autres monstres marins qui, tout en nagant, auront l'air de souffler de l'eau - comment faire une rivière avec un cours d'eau continuel - comment représenter une fontaine qui est l'air de jeter continûment de l'eau - façon de faire le ciel en plusieurs morceaux - comment faire que, petit à petit, une partie du ciel se couvre de nuages - comment tout soudain couvrir le ciel de nuages - autre façon de couvrir tout soudain le ciel de nuages - comment faire apparaître l'iris ou arc-en-ciel - façon de couvrir de nuages une partie du ciel en commençant par un petit nuage, lequel devient de plus en plus grand échange continûment de couleur - comment faire qu'un nuage descende droit du ciel sur la scène, avec des personnes dedans - comment d'une autre façon faire descendre du ciel sur le plancher de la scène un nuage avec des personnes dedans - comment faire descendre un nuage qui du fond du ciel vienne en avançant toujours jusques au milieu de la scène avec des personnes dessus - comment faire descendre un petit nuage qui, à mesure qu'il descend, devient toujours plus grand - comment faire qu'un nuage traverse la scène - comment, d'une autre façon, faire qu'un nuage traversé la scène - comment faire descendre un nuage qui se divise en trois parties et, en remontant, se fonde derechef en une - comment faire, sans nuages, descendre une personne du ciel, laquelle arrivée sur le plancher de la scène y pourra aussitôt marcher et danser - le vent, comment le simuler - comment simuler des éclairs - le tonnerre, comment le simuler - comment représenter un paradis - façon de faire naître l'aurore - comment faire paraître et disparaître avec prestesse une ombre au fantôme en divers endroits du plancher de la scène - de la facilité de la pratique
Shakespeare's Globe Rebuilt
1997
Cambridge University Press
Shakespeare's Globe Rebuilt
Auteur : J. R. Mulryne, Margaret Shewring

ISBN : 0521590191

The rebuilding of the Globe theater (1599-1613) on London's Bankside, a few yards from the site of the playhouse in which many of Shakespeare's plays were first performed, must rank as one of the most imaginative enterprises of recent decades. The realization of the vision of Sam Wanamaker and his architect Theo Crosby, it has aroused intense interest among scholars and the general public worldwide. In anticipation of the official opening and the first performance season, visitors have been drawn in large numbers to the auditorium and exhibition. Shakespeare's Globe Rebuilt offers a fully-illustrated account of the research that has gone into the Globe reconstruction, drawing on the work of leading scholars, theater people and craftsmen to provide an authoritative view of the twenty years of research and the hundreds of practical decisions entailed. Documents of the period, both visual and written, have been explored anew; the techniques of timber-framed building have been relearned; the archaeology of the Globe and the neighboring Rose playhouse has been further evaluated; the decorative practices of Elizabethan craftsmen have been researched; and all this reconciled with the requirements of the actors and the practical and legal restrictions of modern architectural design. The result is a book that will fascinate scholarly readers and laymen alike.

  • Taille : 24,5cm x 17,5cm
  • Contents
  • List of illustrations pg7
  • Preface pg11
  • Acknowledgements pg12
  • Note on the spelling of Elisabethan Names pg12
  • Part One
  • Past and present
  • Chapitre 1
  • The Once and Future GlobeRonnie Mulryne and Margaret Shewring pg15
  • Chapitre 2
  • Shakespeare's GlobeA History of Reconstructions and Some Reasons for TryingAndrew Gurr pg27
  • Part Two
  • Varieties of Research
  • Chapitre 3
  • Designing the Globe
  • Reading the DocumentsJohn Orrell pg51
  • Chapitre 4
  • The Archaeological Evaluation of the Globe Playhouse
  • Simon Blatherwick pg67
  • Chapitre 5
  • Design as Reconstruction/Reconstruction as DesignJohn Greenfield pg81
  • Chapitre 6
  • Timber Framing, the Two Bays and AfterJohn Greenfield pg97
  • Chapitre 7
  • Totus Mundus Agit HistrionemThe Interior Decoration Scheme of Bankside GlobeJohn Ronayne pg121
  • Chapitre 8
  • The Iconography of the Bankside GlobeSiobhan Keenan and Peter Davidson pg147
  • Part Three
  • The Globe in Performance
  • Chapitre 9
  • Staging at the Globe
  • Andrew Gurr pg159
  • Chapitre 10
  • Playing the Globe
  • Artistic Policy and PracticeMark Rylance pg169
  • Part Four
  • Documents of The Elisabethan Playhouse
  • Selected Documents from the Elisabethan Playhouse
  • Edited by Ronnie Mulryne pg177
Shakespeare: Court, Crowd and Playhouse
1993
Thames and Hudson
Shakespeare: Court, Crowd and Playhouse
Auteur : Francois Laroque

ISBN : 0500300356

A universal master whose achievement is timeless, Shakespeare is nevertheless inseparable from his age - the brilliant pageant of Elizabethan England, glorified by Queen and courtiers, soldiers and explorers, Renaissance poets and scholars. Theatrical professional and consummate dramatist, Shakespeare wove the human comedy being played all around him into masterpieces which have shaped the English language to this day.

  • Taille : 17,5cm x 12,5cm
  • Contents
  • Chapitre 1
  • Stratford-Upon-Avon pg13
  • Chapitre 2
  • London pg41
  • Chapitre 3
  • The World of Theatre pg61
  • Chapitre 4
  • Elisabeth I : Myth and propaganda pg91
  • Chapitre 5
  • From decadence to the Baroque pg109
  • Documents pg129
  • Further Reading pg184
  • Chronomogy pg184
  • Shakespeare's Works pg 185
  • List of illustrations pg186
  • Index pg190
Shakespeare's Globe Exhibition
2001
Shakespeare Globe Center Ltd
Shakespeare's Globe Exhibition
Auteur : Rosemary Linnell

ISBN : 0953648028

Tant le public que les comédiens vivent toute représentation ou atelier au Théâtre du Globe comme une expérience extraordinairement stimulante ; annule autre pareille.

L'exposition, qui occupe le « " Sous-globe » - l'espace de la taille d'une cathédrale située sous le théâtre -, mais ne le visiteur vers une telle expérience. Dès son arrivée, l'importance du théâtre devrait le frapper - à la fois comme scène circulaire toute de couleur et de puissance dramatique et comme reflet de l'intérêt que suscite Shakespeare et son théâtre de par le monde.

Le voyage qu'entreprend le visiteur moderne à mesure qu'il progresse dans l'Exposition rapporte une histoire tout aussi empreinte d'intensité dramatique que n'importe quelle oeuvre de Shakespeare. La naissance du Théâtre du Globe, les relations soutenues qu'il entretient avec d'autres pays, l'exploration du fonctionnement de la propre troupe de Shakespeare à Bankside, les comédiens, les publics, la musique et les costumes : ainsi se présente les actes de cette pièce.

L'Exposition propose au visiteur un point fort : la visite guidée ou virtuelle du théâtre. En effet, le compteur donne véritablement vie à cet extraordinaire auditorium. Avec expertise et enthousiasme, ils le font pénétrer dans l'espace ou ont vu le jour nombre des meilleures pièces de Shakespeare.

L'histoire qu'elle raconte reste pourtant sans fin car le Théâtre du Globe se veut un espace de recherche et d'expérience continue. De par ses objectifs mêmes - approche pédagogique et représentation proprement dite - le théâtre n'est jamais vide.

L'Exposition change sans cesse. Les travaux de construction se poursuivent et les visiteurs n'en finissent pas de faire de nouvelles découvertes ; qu'ils viennent d'Amérique, du Japon, d'Europe, d'Australie ou tout simplement de notre quartier de Southwark. Voilà pourquoi l'Exposition sur Shakespeare et son Théâtre du Globe et la visite du centre dans son ensemble resteront pour tous un moment inoubliable, source inspiration.

  • Taille : 19,5cm x 21cm
  • Table des matièresShakespeare's Globe : une Exposition pg2L'histoire de Sam pg3Le Globe aujourd'hui pg9Le Londres de Shakespeare pg18Comédien, Public et Architecture pg25Musique pg33Symbolisme pg36Reconstruire le thétre du globe pg40Les hommes du Roi pg48Imprimer les oeuvres pg52Parler l'Anglais de Shakespeare pg60Des vêtements pour les acteurs pg62Aller de l'avant pg72Aux Quatre Coins du Globe pg74Remerciements et coordonnés pg76
Vivre époque empereurs romains-100 av.J.-C.-200 ap. J.-C.
1997
Time-Life
Vivre époque empereurs romains-100 av.J.-C.-200 ap. J.-C.
Auteur : Daphné Halin

ISBN : 2734408228

...

Cet ouvrage vous conduit à travers les rues grouillantes de la cité de Rome, à l'intérieur des villas des riches Romains, dans les camps de l'armée à la discipline stricte et dans l'arène des cirques et des amphithéâtres. Fresques murales, pavements de mosaïques et bas-reliefs dressent un portrait vivant de ces lieux et de leurs habitants comme ce marchand en compagnie de ses singes destinées à attirer les clients, et ses auriges fouettant leurs attelages vrombissants. Des objets tels que tablettes de plomb maléfiques, jeux d'osselets et pain conserveé dans les cendres des ruines de Pompéi vous donnent un aperçu de la vie privée des Anciens Romains.

Pour leur nouvelle collection de Vivre à l'Epoque ..., les auteurs et les documentalistes de Time-Life ont puisé dans les bibliothèques d'historiens et de voyageurs de renom, dans les musées et les universités afin de pouvoir se représenter la manière dont vivaient les gens d'autrefois.

Chaque volume de la collection richement illustrée par des peintures, des objets ouvragés d'époque ainsi que des reconstitutions détaillées et des plans. Au début de chaque ouvrage une introduction accompagnée d'un tableau chronologique offre un vaste panorama de la période concernée. Présenté d'une façon aussi originale qu'attrayante, chaque détail, chaque image, chaque anecdote vous fait revivre la vie des gens d'autrefois.

  • Taille : 26cm x 26cm
  • Sommaire
  • Des siècles de luttes et de Création :Tableau chronologique pg8
  • Chapitre 1
  • La lutte pour le pouvoir pg14
  • Chapitre 2
  • Des hommes de tour Rangs pg58
  • Chapitre 3
  • Combattre dans l'armée de César pg98
  • Chapitre 4
  • Splendeur des jeux pg132
  • EssaisLes villas romaines pg48
  • Travailler pour vivre pg89
  • L'esprit des lieux pg125
  • Glossaire pg158
  • Remerciements pg160
  • Crédits photographiques pg160
  • Bibliographie pg161
  • Index pg164
Théâtres, 4 siècles d'architectures et d'histoire
1980
Éditions du Moniteur
Théâtres, 4 siècles d'architectures et d'histoire
Auteur : Pierre Pougnaud

ISBN : 2862821349

Il y a de cela 10 ans à peine, il était de bon ton de démolir les thétâres. Témoignages désuets, attendrissants ou dérisoires, d'un passé apparemment condamné, alors que les bons esprits estimés que le spectacle ne devait trouver sa place que dans la rue, dans les usines ou dans les installations de fortune, voire ne pas être distingué de la vie quotidienne. Notre patrimoine de salle - plus de 400 - connu des heures particulièrement sombres. Ce que le temps, les modes et l'incendie avait laissé subsister se trouva donc remis en question et la création même de nouveaux lieux de spectacle sembla devoir être suspendue, renvoyée à des lendemains meilleurs. On se souvient de la manière dont le Théâtre de l'Ambigu disparu malgré les vives protestations de la communauté artistique. Ce fut pour certains - et pour l'auteur de ces lignes - l'occasion d'une prise de conscience, mais cette cause n'est pas encore gagnée. La connaissance, la défense et la promotion de nos lieux théâtraux s'impose plus que jamais en l'année du patrimoine.

Cette démarche procède du même esprit que d'autres « redécouvertes » récentes. On commença bien juste titre à porter attention aux gares, aux btiments industriels, à certains aspects méconnus de l'architecture rurale. Les théâtres méritent assurément tout autant notre intérêt. Temples modestes ou glorieux de l'illusion et du rêve, ils sont aussi pour les professionnels du spectacle un instrument de travail. Ils sont pour le sociologue un indicateur précieux des valeurs, des hiérarchies et des aspirations du public ... ou d'un public. our l'animateur ou l'élu local, ils fournissent des lieux propres au développement de la vie culturelle de la cité. Enfin, ils ne sont pas sans intérêt pour l'historien de l'art, surtout si on considère que les Français ont été plus d'une fois à l'avant-garde dans la recherche de solutions techniques ou de partis esthétiques originaux. La première salle de thétre permanent a été ouverte en France il y a quatre cent trente-deux ans. Il y reste encore des édifices remontants à la première moitié du XVIIIe siècle. Seule l'Italie peut rivaliser avec notre pays du point de vue de la qualité architecturale moyenne, du nombre des bâtiments et encore elle se situe bien en retrait sous le rapport de la diversité des réalisations.

Dans les chefs-d'oeuvre les plus unanimement reconnues, l'Opéra Louis XV de Versailles, le Palais Garnier ou le Grand Théâtre de Bordeaux qui fête cette année son bicentenaire - comme dans la plus humble salle de sous-préfecture -, il règne le même esprit au service de la même fonction.

Au cours de cette promenade à laquelle vous êtes conviés, l'Histoire, la grande Histoire, et l'histoire anecdotique, vous accompagnera. Mais l'étude du passé n'a d'intérêt que si l'aide à la compréhension du présent, à la construction de l'avenir. La longue aventure des théâtres de France n'est pas achevée ...

Pierre Pougnaud

  • Taille : 21cm x 19cm
  • Sommaire
  • Avant-propos pg3
  • L'Ancienne Comédie1548 - 1774 pg7
  • Le Grand Théâtre1774 - 1789 pg29
  • L'âge néoclassique1789 - 1848 pg49
  • Intermezzo1848 - 1860 pg65
  • L'ère Garnier1860 - 1912 pg83
  • Les temps modernes1913 - 1968 pg109
  • L'époque contemporaine pg125
  • Répertoire des salles de théâtre, de concerts et de cirque pg147
  • Bibliographie pg159
L'Acteur-Roi ou le Théâtre dans La Rome Antique
2003
Les Belles Lettres
L'Acteur-Roi ou le Théâtre dans La Rome Antique
Auteur : Florence Dupont

ISBN : 225133811X

Rome, civilisation des spectacles, est connue pour les jeux du cirque, mais on ignore que le théâtre y tint une place au moins aussi importante. Les Romains, dès la Republique, allaient au théâtre dix fois plus que les Athéniens.Ce livre veut donc rendre justice a la tragédie, la comédie, mais aussi au mime et a la pantomime romaine. Car ce théâtre fut aussi profondément original. Par la place qu'il tint dans la vie du citoyen romain, comme espace de libertés - liberté politique et libération de l'imaginaire. Par le statut ambigu des acteurs: véritables stars, ils fascinent les Romains, recoivent des cachets somptueux et sont suivis par des foules d'admirateurs, en même temps qu'ils sont marqués d'infamie et assimilés a des prostitués. Par le caractère musical des représentations, chantées et dansées, ou il faut voir l'origine de l'opéra.Il est impossible de comprendre ce que fut véritablement Rome si l'on ne reconstitue pas ce loisir privilégié du citoyen, qui peu a peu devora sa vie privée et publique, au point que saint Augustin, a la fin de l'Empire, définira le Romain comme un spectateur, pour ainsi dire, " drogué " de théâtre.

  • Taille : 22,5cm x 14cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg9
  • Table des matières pg11
  • Première partie :
  • Le théâtre dans la société romaine
  • Chapitre1
  • Une civilisation du spectacleHomo spectator pg19
  • La politique spectacle pg24
  • L'éloquence spectaculaire pg31
  • L'esthétique du trompe-l'oeil pg34
  • Chapitre 2
  • Le théâtre et les autres spectacles de l'OTIUMArs ludicra pg43
  • Circus et cavea pg51
  • L'espace et le temps pg57
  • Chapitre 3
  • Les techniques scéniquesL'organisation des ludi scaenici pg69
  • Le décor et la machinerie pg72
  • La mise en scène et la question du masque pg77
  • Le jeu de l'acteur pg82
  • La musique pg88
  • Chapitre 4
  • L'acteur dans la société romaine
  • L'infamie sociale pg93
  • La star pg98
  • La vie de Roscius pg102
  • Du ludion aux pantomimes pg109
  • Chapitre 5
  • Le public romainUne mauvaise réputation pg113
  • Un peuple musicien pg115
  • Un public politique pg119
  • Un public coupé en deux pg123
  • Deuxième partie :
  • Les formes du théâtre Romain
  • Chapitre 1
  • Les faux problèmes des origines
  • Théâtre grec et traditions italiques pg133
  • les témoignages historiques pg136
  • le théâtre en Etrurie pg140
  • Chapitre 2
  • Livius Andronicus, le traducteurLa rupture de 240 pg145
  • La traduction comme expiation pg147
  • "L'homme et l'oeuvre » pg156
  • Chapitre 3
  • La tragédieLes Romains avaient la tête tragique pg165
  • Tragédie et mythologie pg168
  • Les furieux de la fable pg181
  • Les parties de la tragédie pg190
  • La poésie tragique : le champ obscur de la langue pg199
  • Chapitre 4
  • La prétexteLa prétexte : comédie ou tragédie ? pg215
  • La prétexte : célébration des valeurs politiques pg218
  • La tragédie prétexte pg224
  • Octavie pg226
  • Chapitre 6
  • La comédieMisère de la vulgate pg231
  • Le référent grec : la Néa pg233
  • Le code de la paliata pg248
  • la poésie et la structure de la comédie pg266
  • Chapitre 7
  • Exodium Exodiarius pg289
  • L'Atellane pg292
  • Le mime pg296
  • Troisième partie :
  • Les temps et les hommes
  • Chapitre 1
  • De Livius Andronicus à VariusLes professionnels de la scène pg311
  • Ennius et la nouvelle mémoire pg318
  • Les nouveaux poètes et les orateurs pg326
  • Horace et le théâtre consensuel pg335
  • Chapitre 2
  • Mimicus Risusde l 'acteur d'exodium au poète comique pg345
  • La chanson plautinienne pg351
  • Le ballet des masques : les Captifs pg354
  • La comédie et ses doubles : Amphitryon pg359
  • Chapitre 3
  • Térence : la Comédie romanesqueUn météore des lettres pg367
  • La révolution romanesque : le Phormion pg372
  • Comédie de la vérité ou vérité de la comédie : les Adelphe pg381
  • Chapitre 4
  • Le nouveau théâtreLa pantomime : un ballet tragique pg389
  • Les lectures publiques pg399
  • Les poètes dramatiques pg403
  • Chapitre 5
  • Les jeux et la politiqueLe théâtre impérial et les spectacles civiques pg413
  • Néron ou le théâtre généralisé pg422
  • Chapitre 6
  • Sénèque le méconnuLe ministre poète pg441
  • Les tragédies du furor pg446
  • Les tragédies de la Mémoire pg453
  • Annexes
  • Tableau de repères chronologiques
  • Glossaire
  • Index nominum
Les Théâtres de la Foire (1660-1789)
1970
Lenox Hill Pub & Dis. Co.
Les Théâtres de la Foire (1660-1789)
Auteur : Maurice Albert

ISBN : 833700308

Ce n'est pas aux Foires des Invalides ou de Neuilly que je voudrais conduire le lecteur, mais à celles où se pressait si joyeusement, au préau Saint-Germain, au faubourg Saint-Laurent et au boulevard du temple,nos pères du 17e et du XVIIIe siècle. Le spectacle vaut le voyage.

Tous les directeurs de théâtres forains, depuis les Alard jusqu'à Nicolet, et leurs fournisseurs ordinaires, les Lesage, les Piron , les Favart , les Vadé et les Sedaine, ont déployé, pour divertir les Parisiens, tant de courage et de ténacité, tant d'ingéniosité et d'esprit, que nous pouvons sans crainte risquée cette expédition.

Si d'aventure nous revenons bredouille et désappointé, ce sera ma faute

  • Taille : 18cm x 13,cm
  • Table des matières
  • Introduction pg1
  • Chapitre 1
  • Foires parisiennes et acteurs forains (1660-1689)
  • La Foire Saint-Germain et la Foire Saint-Laurent
  • - les troupes d'Allard et de Maurice Vondrebeek
  • - les Forces de l'Amour et de la Magie
  • - le privilège de la Comédie
  • -Française et les franchises de la foire pg1
  • Chapitre 2
  • Les acteurs forains et la Comédie
  • -Française (1689 - 1710)
  • Les marionnettes de Bertrand
  • - naissance et première phase du conflit entre la Comédie
  • -Française et les Forains
  • - comédies foraines. Scènes détachées ; dialogues ; monologues ; pièces de la muette pg16
  • Chapitre 3
  • Les acteurs forains et l'Académie Royale de Musique l'Opéra
  • -Comique (1710 - 1718)
  • Contrat entre les théâtres de la Foire et l'Opéra. Reprise des hostilités avec la Comédie
  • -Française. Pièces par écriteaux
  • - Dominique, Octave, Pellegrin, Fuzelier, D'Orneval et Lesage
  • - Arlequin, roi de Serendib, et la parodie de Télémaque
  • - l'Opéra-Comique. Ses premières heures, ces progrès, sa mort et ses funérailles pg40
  • Chapitre 4
  • Les acteurs forains et les Comédiens Italiens rappel de la Foire à la vie (1716 - 1722)Hostilité des Comédiens Italiens contre les acteurs forains au moment de la suppression des théâtres de la Foire. Leur union sous le précédent règne
  • - les Italiens à la Foire ; leur insuccès
  • - résurrection des spectacles forains pg82
  • Chapitre 5
  • Acteurs et auteurs forains à la fin de la Régence et au début du règne de Louis XV (1722 - 1726)
  • Nouvelles tribulations des acteurs forains - renaissance du monologue - Piron et ses opéras-comiques
  • - les Marionnettes étrangères de Lesage, et les Grandes Marionnettes de Francisque
  • - dernières farces de Piron et nouvelles farces de Lesage
  • - tolérance du pouvoir et de la Comédie-Française
  • - Louis XV, le bien-aimé des Forains pg118
  • Chapitre 6
  • Nouveau directeurs et nouveaux auteurs forains (1726 - 1745)
  • Les Forains hors de la Foire
  • - Honoré
  • - Pontau
  • - Panard et Fagan
  • - de Vienne
  • - Carolet, Laffichard, Gallet, Favart
  • - troupes étrangères
  • - changement de direction : Jean Monnet - Berger
  • - suppression de l'Opéra-Comique pg156
  • Chapitre 7
  • Renaissance et transformation des Théâtres Forains (1751, 1762)
  • Rétablissement de l'Opéra-Comique
  • - nouvelle direction de Jean Monnet
  • - Vadé
  • - les bouffonnistes et les Lulliste à la Foire Saint-Laurent
  • - le genre poissard
  • - Sedaine, Favart, Corby
  • - fusion de l'Opéra-Comique et de la Comédie Italienne pg180
  • Chapitre 8
  • Les spectacles Forains au Boulevards (1762 - 1772)
  • La Réunion - incendie de la foire Saint-Germain
  • - vieux spectacles forains renouvelés
  • - les Nicolet
  • - la Foire Saint Ovide
  • - Boulevard du Temple
  • - Taconnet
  • - Audinot
  • - les Comédiens de Bois de Sa Majesté
  • - les Grands Danseurs du Roy
  • - l'Opéra bouffon pg216
  • Chapitre 9
  • L'Art du Théâtre Forain (1769)
  • Les spectacles forains et la critique
  • - attaques et défense
  • - Nougaret
  • - la Critique de l'Ecole des Femmes et l'Art du Théââtre
  • - Nougaret et Boileau
  • - théorie de l'opéra bouffon pg238
  • Chapitre 10
  • Les Théâtres de la Foire et du Boulevard sous Louis XVI (1774, 1784)
  • Retour des acteurs forains aux Foires
  • - décadence, mort, renaissance et mort définitive de la Foire Saint-Laurent
  • - multiplication des théâtres du Boulevard : Théâtre de Monsieur, les Nouveaux Troubadours, les Elèves de l'Opéra, les Associés, l'Ecluse et les Variétés amusantes
  • - diversité des pièces jouées
  • - reprise des anciennes hostilités pg267
  • Chapitre 11
  • Dernières transformations des Théâtres de la Foire et du Boulevard (1784-1789)
  • L'Opéra et les Forains
  • - dernière incarnation de Nicolet. Le Théâtre de la Gaieté
  • - les Variétés amusantes au Palais-Royal
  • - résistance, défaite et victoire d'Audinot
  • - la Comédie-Française et les nouvelles troupes foraines
  • - Gaillard et Dorfeuille
  • - conclusion pg296
L'ouverture du Nouvel Opéra - 5 janvier 1875
1986
Ed.de la Réunion des Musées Nationaux
L'ouverture du Nouvel Opéra - 5 janvier 1875
Auteur : Martine Kahane

ISBN : 2711820793

Le mardi 5 janvier 1875, jour de l'inauguration du Nouvel Opéra, et aussi jour d'ouverture de la Chambre. La solennité politique de l'événement, car la cérémonie est loin d'être mondaine, s'en trouve renforcée.

Cette soirée met un point final à une construction commencée 15 ans plus tôt, traversé par les vicissitudes des dernières années de l'Empire, de la guerre de 1870 et de la Commune.

L'Opéra de la rue Le Peletier, s'il était commu en Europe comme le berceau du grand opéra français et du ballet romantique, le lieu de consécration obligée des divas et des étoiles, reste un bâtiment petit et malcommode, de piètre allure. La construction d'un Opéra dans les nouveaux quartiers élégants de l'Ouest, ceux du commerce, des banques et des gares, à la croisée des grands boulevards, est une pièce essentielle des projets de Napoléon III et d'Haussmann pour Paris.

Le 29 septembre 1860, la construction d'une nouvelle salle d'Opéra est décrétée oeuvre d'utilité publique. Trois mois plus tard, jour pour jour, un concours est arrêté pour un avant-projet. Le 6 juin 1861, Charles Garnier, jeune architecte de 36 ans, prix de Rome, qui n'est encore l'auteur d'aucun ouvrage important, est désigné comme lauréat du concours. Son projet, qui remplissait à la lettre toutes les clauses imposées par le lourd cahier des charges, a été choisi pour ses évidentes qualités de clarté et de grandeur. Les travaux commencent immédiatement, ils dureront 15 ans. Le régime impérial est déjà en difficulté auprès des Chambres. On n'ose avouer le devis réel des travaux, une évaluation de 12 millions est défendus, puis un devis de 31 millions de francs que le gouvernement fera réduire à 18 millions, cette somme insuffisante donnera lieu chaque année à de lourdes séances lors des discussions du budget.

  • Taille : 26cm x 18cm
  • Sommaire
  • Un contre-événement pg5
  • Les vedettes de la soirée : le Lord-Kaire et le grand escalier pg10
  • L'architecte et la deuxième loge 28 pg16
  • Le plan de la salle pg19
  • Le programme pg24
  • A travers la presse et l'édition pg33
  • Sur le boulevard pg36Chronologie pg42
  • Notes pg45
  • Annexe 1 : Dépouillement de la presse illustrée pg47
  • Annexe 2 : Dépouillement des conventions du clan pg49
  • Annexe 3 : Victor Navlet, le grand escalier de l'Opéra pg51
  • Liste des oeuvres exposées pg53
Le Mémoire Mahelot, Laurent Hôtel Bourgogne Comédie-Trançaise 17e siècle
1920
Librairie Ancienne Honoré Champion
Le Mémoire Mahelot, Laurent Hôtel Bourgogne Comédie-Trançaise 17e siècle
Auteur : Henry Carrington Lancaster

Introduction

Au XVIIe siècle, plusieurs décorateurs avaient l'habitude de noter dans un manuscrit les objets matériels dont ils avaient besoin pour les représentations qui avaient lieu à l'Hôtel de Bourgogne et, après l'union des troupes, à la Comédie-Française. D'ordinaire on appelle ce manuscrit Le Mémoire de Laurent Mahelot et de Michel Laurent, car ce sont les seuls noms d'auteurs que nous possédions. Il nous donne les titres de 268 pièces de théâtre, le décor et quelques costumes que demandent 192 d'entre elles, et, pour 47 pièces, des dessins qui expliquaient la scène encore plus clairement. L'étude de ce document est essentielle à la connaissance de l'histoire dramatique du XVIIe siècle. Sans elle on est exposé à regarder le théâtre de Corneille et de Racine d'un point de vue livresque, un peu comme les critiques de la Renaissance ont compris le théâtre grec. Avec son aide on arrive à reconstruire d'abord la scène pittoresque et confuse des années 1633 et 1634, héritée du Moyen Âge, puis la scène sévère de la période classique. Aussi apprend-on comment la transition s'est faite de l'une à l'autre, car le germe de celle-ci est déjà contenu dans celle-là. On peut suivre ainsi en raccourci non seulement l'histoire du théâtre français à travers le grand siècle, mais aussi le progrès des idées et des goûts dans cette période importante. Enfin nous apprenons quel pièces on joua à certaines époques, de nouvelles dates pour plusieurs pièces, les noms et les sujets d'une vingtaine qui sans ce manuscrit, serait entièrement inconnue.

...

Henry Carrington Lancaster

  • Taille : 25,5cm x 17cm
  • Table des matières
  • Introduction pg7
  • Les auteurs pg13
  • Les dates pg17
  • Décoration, accessoires, costumes pg33
  • Le mémoire.
  • Index des décorateurs pg47
  • Oeuvre de Laurent Mahelot pour l'Hôtel de Bourgogne pg65
  • Oeuvre de Michel Laurent et d'autres décorateurs pour l'hôtel de Bourgogne pg109
  • Oeuvre de Michel Laurent et d'autres décorateurs pour la Comédie-Française pg123
  • Index pg147
Scénographie : Théâtre, cinéma, télévision
1990
Jean-Michel Place
Scénographie : Théâtre, cinéma, télévision
Auteur : Jacques Polieri

ISBN : 2858931291

Polieri Jacques, metteur en scène, scénographe et théoricien. On lui doit de nombreuses créations et mise en scène (Mallarmé, Kafka, Pirandello, Kandinsky, Miro, Atlan, Ionesco, Beckett, Tardieu, Butor, Arrabal, Faye ...), pour lesquelles il inaugure d'importantes recherches d'ordre formel ; la création et l'organisation, avec Le Corbusier, des Festivals de l'Art d'avant-garde (1956 - 1960) et l'élaboration d'espaces scéniques ou de communication révolutionnaire (Théâtre mobile de la Maison de la culture de Grenoble, 1968 ; Théâtre du mouvement total, à l'Exposition Universelle d'Osaka, 1970 ; Jeu de communication vidéo, aux Olympiades de Munich, 1972). Il a conçu depuis 1980 une série spectacles "multimédia" complétés par des vidéotransmissions intercontinentales (images générée par ordinateur et projetées sur écrans géants, hologramme, etc.). Il a également réalisé divers spectacles dont il est l'auteur (ballet Gamme de 7, musique de Xénakis, 1967), ainsi que des films (Sonorité jaune, 1976). Théoricien de la mise en scène et de la scénographie moderne, il a publié, entre autres : Scénographie, sémiographies (1971), Jeu(x) de communication (1981). L'ensemble de son oeuvre abolit les notions de limites et de séparation des genres et des techniques, et renouvelle l'idée de représentation.

Larousse. L5 - 1987

  • Taille : 31,5cm x 24,5cm
  • Sommaire
  • L'espace scénique nouveau par Jacques Polieri pg2
  • Les inventions et les progrès de la machinerie scénique
  • Rappel historique pg4
  • Automatisation de la machinerie pg22
  • Les Arts plastiques et les automatismes pg26
  • Télécommande et automatismes par Ch. Pepin bio-électronique et psycho commande pg30
  • Les techniques de l'éclairage
  • Qualité des sources lumineuses pg32
  • Techniques de l'éclairage de la lumière pg34
  • Projecteurs mobiles pg42
  • Emplacement scénographique de la lumière pg44
  • Possibilité d'avenir, par Yves le Grand pg46
  • L'Image projetéeEvolution de la lanterne magique pg48
  • Appareils contemporains pg58
  • Scènes lumineuses pg60
  • La polarisation chromatique en lumière parallèle, par R. Bouchoux pg63
  • La scénographie cinématographique
  • Historique de l'image à 360° pg64
  • Technique totale pg72
  • Cinéma imaginaire. Cinéma surréaliste et lettriste pg90
  • L'image en reliefInvention du stéréoscope pg92
  • Photosculpture pg94
  • Relief à vision directe pg96
  • La notion visuelle du relief pg98
  • Cinéma stéréoscopique pg100
  • Différents procédés du cinéma en relief pg103
  • Cinéma sans écran, image virtuelle pg104
  • Photographie aérienne pg106
  • L'image électronique
  • Les caractéristiques de l'image électronique pg109
  • Critères de qualité d'une image électronique pg110
  • Les éléments fondamentaux de la chaîne pg111
  • La fabrication de l'image électronique. Les phases de l'émission pg113
  • Le studio de télévision et son équipement pg114
  • La prise de vue en télévision : les caméras pg115
  • Les installations d'éclairage en télévision pg116
  • La prise de son et l'équipement sont en télévision pg118
  • Les annexes techniques du studio pg119
  • Autres ensembles importants dans le centre de production pg121
  • Les procédés d'enregistrement de l'image pg122
  • Historique pg124
  • La projection de l'image électronique sur grand écran pg126
  • Perspectives et promesses pg127
  • La télévision en couleur par M. Oudin pg128
  • Scénographie de l'image électronique, par Jacques Polieri et M. Oudun pg129
  • Lois élémentaires d'une studiologie, par A. Frank pg130
  • Les promotteurs de la scénographie moderneRichard Wagner, Mallarmé, Gordon Craig, Adolf Appia pg132
  • E. Prampolini, V. Meyerhold pg134
  • Kiesler, Oscar Schlemmer, S. Syrkus pg130
  • Autant-Lara, N. Bel Geddes, Antonin Artaud pg138
  • Les salles modernes et les principes scénographiquesIdéologie à pg140
  • Plasticité pg142
  • Structures pg144
  • Acoustique pg146
  • Systématisation de l'espace scénographique, par Jacques Polieri pg156
  • Plans et schémas comparés des salles de conception moderne
  • Rupture de perspectives pg162
  • Scènes triples pg163
  • Salles transformables pg164
  • Scènes simultanées pg168
  • Arts et actions. Cinq principes dramaturgiques pg172
  • Scènes verticales pg174
  • Scènes annulaires pg176
  • Salles cinétiques pg180
  • Projets et réalisations de Jacques Polieri
  • Théâtres mobiles à scènes annulaires pg182
  • Théâtres mobiles pg184
  • Théâtre transformable automatique pg185
  • Théâtre du mouvement total. Etude un et deuxpg186
  • « Salles à mouvements complexes » pg190
Place Dancourt-La vie, l'oeuvre, l'Atelier d'A.Barsacq
2005
Gallimard
Place Dancourt-La vie, l'oeuvre, l'Atelier d'A.Barsacq
Auteur : Jean-Louis Barsacq

ISBN : 207077595X

André Barsacq (1919 - 1973) est un des grands noms de l'histoire du théâtre. D'abord décorateur, il travaille au thétâre avec Dullin et Copeau, au cinéma avec Grémillon et, à l'Opéra, avec Ida Rubinstein. 30 ans, il se lance dans la mise en scène. Dullin lui confie alors la direction du Théâtre de l'Atelier. Infatigable découvreur de talents, Barsacq révèle au public des auteurs et des comédiens souvent inconnus dont les noms deviendront célèbres.

On se souvient particulièrement de ses créations des pièces de Jean Anouilh, Marcel Aymé, Félicien Marceau, René de Obaldia, François Sagan, Jean-Claude Carrière ... Place Dancourt nous fait entrer dans les coulisses de l'Atelier aux jours heureux et aux jours sombres car il lui bien des « petits fours » et les caisses étaient souvent vides.

C'est aussi une chronique familiale fertile en événements. En particulier sous l'Occupation, Mila Barsacq, la femme d'André, craint pour sa vie. Jean Anouilh la cache, puis cherche pour elle un refuge dans le Béarn. Il faut établir des faux papiers, mystifier les autorités d'occupation ...

A la Libération de Paris, Antigone d'Anouilh monté par Barsacq engendre une polémique enfiévrée. Le public n'en a cure et fait à la pièce un accueil enthousiaste.

Jean-Louis Barsacq, fils aîné d'André et Milan, étaie Place Dancourt de correspondances souvent inédites, et nous fait revivre une période légendaire et passionnante.

  • Taille : 24cm x 15cm
  • Table des matières
  • Premier acte : l'entre-deux-guerres pg11
  • Chapitre 1
  • Premier souvenirs de mes parents pg13
  • Chapitre 2
  • 1909 - 1919, Enfance et Révolution pg16
  • 1 - André en Crimée pg16
  • 2- 1000 : de Saint-Pétersbourg à Lausanne pg25
  • 3 - André : arrivée en France via Constantinople pg35
  • Chapitre 3
  • 1920 - 1129. La décennie Dullin pg41
  • 1 -Mila et André à la découverte l'un de l'autre pg41
  • 2 -Charles Dullin et l'atelier pg46
  • 3 -Volpone pg50
  • 4 -A l'Atelier, après vol par année pg56
  • 5 -Le métier de décorateur pg59
  • 6 -Dullin et Barsacq
  • Chapitre 4
  • 1 -La Compagnie des Quinze et les ballets d'Ida Rubinstein pg67
  • 2 -Jacques Copeau et lle Maggio Fiorentino pg87
  • 3 - André Barsacq et le cinéma pendant les années 30 pg97
  • 4 -Metteur en scène, enfin ! Les débuts des Quatre-Saisons pg106
  • Chapitre 5
  • 1 -Première tournée des Quatre-Saisons aux Amériques pg116
  • 2 -La création du Bal des Voleurs pg123
  • 3 -Deuxième tournée des Quatre-Saisons à New York pg132
  • Chapitre 6
  • 1939 - 1940. La deuxième guerre mondiale pg140
  • 1 -Vers la déclaration de guerre pg140
  • 2 -La drôle de guerre pg148
  • 3 -La grande débâcle pg162
  • Deuxième acte :
  • l'Occupation pg171
  • Chapitre 1
  • 1940 - 1941. L'entrée à l'Atelier pg173
  • 1 - Passage de relais au Théâtre de l'Atelier pg173
  • 2 - La générale du Rendez-vous de Senlis pg187
  • 3 -Salies- de-Béarn pg200
  • Chapitre2
  • 1941 - 1942. Les sombres années pg206
  • 1 -Vêtir ceux qui sont nus de Eurydice pg206
  • 2 -Je vous salue, Mila pg211
  • 3 -Sylvie et le fantôme pg221
  • 4 -Correspondance de Salie pg225
  • 5 -Courfruit pg237
  • Chapitre 3
  • 1942 - 1943. L'Honorable Mr Pepys pg248
  • 1 -Naissance de Michel pg248
  • 2 - de Mongols en Khazars pg254
  • 3 - l'Honorable Mr Pepys, et des péripéties pg262
  • 4 - Léon Barsacq, Alexandre Trauner et Les Enfants du Paradis pg278
  • 5 - Trois mois en Auvergne pg281
  • Chapitre 4
  • 1943 - 1944. Antigone pg293
  • 1 -Les embûches pg293
  • 2 -La générale « occupée » d'Antigone pg301
  • 3 -Arrestation, bombardements, Libération pg310
  • 4 -Paris et Dampierre libérés pg320
  • Avertissement au lecteur pg329
  • Troisième acte : les Trente Glorieuses pg331
  • Chapitre 1
  • « une certaine idée du théâtre » pg333
  • 1 -Les difficultés financières pg334
  • 2 - Les petits fours pg336
  • 3 -Audacieux, têtu et plein d'idées pg339
  • 4 -La concurrence déloyale de l'Etat pg341
  • Chapitre 2
  • 1945 - 1959. La Libération de Paris à la guerre d'Algérie pg345
  • 1 -1945. Répétition des Karamazov, ou « quand Mila s'en mêle ... »
  • 2 -1946. Roméo et Jeannette, de Jean Anouilh pg348
  • 3 -1947. Crec'h Simon, île de Bréhat, Côtes-du-Nord pg350
  • 4 -1947. L'Invitation au Chteau, de Jean Anouilh pg351
  • 5 -1950. Henri IV, de Luigi Pirandello pg353
  • 6 -1951. Colombe, de Jean Anouilh pg356
  • 7 -1952. La Tête des autres, de Marcel Aymé pg358
  • 8 -1953. Médée : Au revoir, Anouilh ... Adieu, Barsacq pg362
  • 9 -1954. Les Quatre Vérités de Marcel Aymé pg364
  • 10 -1955. La Mouette, d'Anton Tchekhov pg366
  • 11 -1955. Représentation unique de l'Ours, d'Anton Tchekhov pg368
  • 12 - 1957 et 1958. L'Oeuf, de Félicien Marceau pg370
  • 13 -1959. La Punaise, de Vladimir Maïakovski pg374
  • Chapitre 3
  • 1959 - 1973. De la guerre d'Algérie à la crise pétrolière pg380
  • 1 - Les beaux dimanches des Barsacq pg380
  • 2 -1968 et 1961. Château en Suède, de Françoise Sagan pg382
  • 3 -1960. Mila à Roscoff pg385
  • 4 -1962. Franck V, de Friedrich Dürrenmatt pg387
  • 5 -1963. Le Satyre de La Villette, de René de Obaldia pg388
  • 6 -1963. Un mois à la campagne, d'Ivan Tourgueniev pg391
  • 7 -1966. L'Idiot, d'après Dostoïevski pg397
  • 8 -1973. La mort d'André Barsacq pg398
  • 9 -1968. L'Aide-mémoire Jean-Claude Carrière pg403
  • Généalogie pg409
  • Remerciements pg411
Souvenir d'un Revuiste
1922
Des Presses de l'Expansion Belge
Souvenir d'un Revuiste
Auteur : Georges Garnir

Quand je contemple tout ça, avec le recul du revuiste chevronné et dont le cheveu se fait rare, j'aperçois un carnaval de costumes de toutes les coupes et de toutes les époques, de perruques multicolores, des épaules plâtrées, de commères de tout âge et de toute architecture, un tohu-bohu de ballet et de défilés se bousculant sous des herses de gaz ou de projecteurs électriques, des villes, des palais et des paysages fantastiques dans des royaumes de toiles et de cartons, des décors éphémères, somptueux et dérisoires, des poitrines multiformes accommodées à la mode du jour, depuis des gorges triomphales nacrées que marquait jadis le voluptueux sillon jusqu'à celle, récente, qui obéissent à l'impératif « laissez-les tomber ». J'entends des musiques énamourées, où le violoncelle y va de sa larme, des musiques légères et joyeuses, voltigeant comme des feux follets au bout de l'archet ; des musiques tonitruantes, rythmées par les trompettes thébaines et le tonnerre déchaîné des tambours - et des musiques canailles qui font tourner le gigolo et la gigolette dans les bals de barrières. Je revois des artistes dévoués et compréhensifs, à qui revient la grosse part du succès des scènes « bruxelloises » ; je revois des directeurs avisés, des directeurs hirsutes et des directeurs ahuris ; des chefs d'orchestre butés et ignares et des chefs d'orchestre qui, toujours d'attaque, ayant leurs hommes et acharnés à bien faire, deviennent les précieux collaborateurs du revuiste ; des maîtres de ballet artistes et d'autres qui, rossant et injuriant le peuple soumis et peureux des danseuses, règlent, à grand fracas, de déplorables chorégraphies ; des théâtreuses dont la parfaite stupidité constitue une calamité sans retour et des petits rôles qui apportent modestement, a dire les deux phrases qu'on leur confie, de l'intelligence et du talent. Je revois des costumiers imbéciles et des habilleuses qui, les soirs de première, d'un tour de main expert, chiffonnent, comme des fées, un chapeau manqué et sauve un corsage en y piquant une fleur ; je revois des machinistes incapables d'appuyer un rideau et d'autres qui, à la minute désespérée ou le changement à vue va rater, grimpe au mât comme des mousses sur un navire en perdition et, s'agrippant aux cintres au risque de se casser les os, vont décrocher des pendrillons qui gênent la manoeuvre. Je revois les laborieuses répétitions à l'avant-scène, quand on sort sans voix, sans jambes et sans foi, à côté d'autres où la bonne volonté, l'émulation généreuse, le courage fraternel, les trouvailles, l'amitié des interprètes suppriment la fatigue et l'ennui de la scène vingt fois reprise, vingt fois refaites et finalement condamnées; les « générales » qui finissent à cinq heures du matin, dans l'hébêtement de tous et de chacun; les heures d'angoisse de la première où le sentiment des responsabilités morales vous lancine brusquement ... Puis, le désintérêt, la lassitude après la partie gagnée - quand on a gagné la partie, c'est-à-dire quand, dans un sourire et une poignée de main, derrière le rideau que la claque à fait relever cinq fois le directeur et le régisseur vous ont dit : « Ca y est ! » Et que la commère, classiquement, vous embrasse coram populo.

C'est la bataille ; c'est de la vie trépidante et fiévreuse.

Et l'on oublie la médiocrité finale de la tâche et l'inexistence totale d'une revue de fin d'année au regard de Sirius, parce que, au moment de l'action, on a été transporté par l'effort.

Quand on appartient, comme votre serviteur, à une génération qui, ayant dépassé le point culminant de la montagne russe de l'acquis, descend déjà vers le terminus, on est plus excusable, semble-t-il - si haïssable que soit le mot - quand, parlant des autres, on est amené à parler de soi-même : la prescription a commencé de courir ...

Je tâcherai, en notant ses souvenirs, d'être l'homme de bonne humeur qui, un peu las de la grande ville égarée des autos, raconte des histoires à des amis, par une belle après-midi d'été, dans le jardin d'une villa d'où l'on voit couler la Meuse, en buvant du vin frais sous les arbres.

  • Taille : 28cm x 18,5cm
  • Table des matières
  • Chapitre premier
  • De quelques avantages et de quelques inconvénients de la carrière de revuiste. Confessions préliminaires pg5
  • Chapitre 2
  • Bruxelles en 1885 - 1890. Revues de et revuistes de l'époque. Malpertuis et l'Alcazar pg9
  • Chapitre 3
  • Le théâtre universitaire. La « Princesse Malsaine ». « Eendracht maakt Macht ». Mes débuts chorégraphiques. Un punch mémorable. « Sur le bi du bout du Gand ». « Le Mons où l'on s'ennuie ». Les étudiants belges à Paris, en 1889 pg13
  • Chapitre 4
  • « ex ... Charmonde ». Un directeur qui lève le pied. Les artistes de la Monnaie à l'Alcazar. "Le pater ». « Salambooth ». Le journal « l'Etudiant ». La presse quotidienne en 1890. « C'truc for life ». Le « Hoch-Pot académique » et les "Crotjes". pg21
  • Chapitre 5
  • Le conflit universitaire. La police à l'université. Le recteur Philippson devant les étudiants. Les incidents Graux-Buls-Martha. L'art de dénicher les recteurs. Epilogue. Le « chant des étudiants ». pg27
  • Chapitre 6
  • L'"Alcazar" et "Le Soir". Histoire pittoresque d'un théâtre de genre. Les revues de l'Alcazar. Le trio Ambreville-Milo-Crommelynck. Un théâtre où tout le monde travaille et où personne ne s'ennuie. Le passage Saint-Hubert en 1905. Dubosq et Bertieri. V. La Gye, G. Nazy, Rotiers, Victor Hallaux. La parodie du "Rêve" et Nitsom. L'"Almanach des Apaches ». pg33
  • Chapitre 7
  • Un revuiste qui se fait avocat et journalistes. Benjamin Crombez. Les Rayons X. Ferdinand Sicard. Ambreville. Alfred Jacques. Le « Smoel-Club » et la « Taverne Royale ». Maurice Campion. pg45
  • Chapitre 8
  • Le Théâtre des Galeries et la direction de Maugé. Les audaces de Maugé. Comment on improvise des grenadiers à une répétition générale. Monsieur Buls et le chameau. La « clocheté frâçaise de bienfeisâce ». Alexis Goffaux dit Maubourg, chef d'orchestre et théoricien musical. Comment on engage des choristes. Histoire d'un petit rôle. La Revue des quatre commères et le cramignon dans la salle. La bague de la comtesse de Flandre pg55
  • Chapitre 9
  • Edouard Dewattine et la zwanze bruxelloise. L'aventure de Louis Dumont - Willden. Le cabaret des Bossus. Les Revues de la Scala. Alph. De Gunst. Esther Deltenre. Georges Hauzeur. Une histoire de chef d'orchestre. pg71
  • Chapitre10
  • Le théâtre belge enchaîné. La « Défense du Bonheur ». Le Théâtre du Parc et Victor Reding. La revue-comédie. « Le gendre de Monsieur Van Mol ». Le « Milliard ». Le directeur d'un théâtre subventionné doit être un homme de théâtre. pg77
  • Chapitre12
  • Les Revues au Cirque. Edouard Wulff. L'oeil crevé. « Bruxelles ! Tout le monde monte ! » « 1904, parlez ! ». Le cheval qui fait le saut périlleux. Gustave Lagye et Rataplan. pg89
  • Chapitre13
  • Le gros lot aux Galeries. Bolossy Kiralfy. « Au pays des Merveilles ». Un ténor qui plonge et ne reparaît plus. La Revue à Liège. Gustave Thiriar. L' « Hippodrome » à Anvers. Léon Osterrieth. « Au pays de Manneken-Pis ». Le théâtre Déjazet et son directeur. Un trait de Maubourg. pg97
  • Chapitre 14
  • Le théâtre bruxellois au lendemain de l'armistice. La grande revue parisienne à l'Alhambra. Volterra, Mistinguett et Jacques Charles. La revue d'autrefois et la revue d'aujourd'hui.
  • Rideau. pg105
Spec. 70-75 dans monde: Nouv. mises en scène, nouv. décors, nouv. auteurs
1975
Meddens
Spec. 70-75 dans monde: Nouv. mises en scène, nouv. décors, nouv. auteurs
Auteur : René Hainaux

ISBN : 2870130066

Spectacles 70 - 75 dans le Monde

Sur les conseils et avec l'aide de correspondants bénévoles et de certains Centres de l'I.I.T., René Hainau a retenu 179 spectacles qui ont fait date dans la période 1970 - 1975 : nouvelle mise en scène d'une oeuvre classique (le Hamlet de Lioubimov, la Locandiera de Missiroli, le Ring de Wagner ...), implantation scénographique originale (Orghast de Brook, 1789 au Théâtre du Soleil), mais aussi oeuvre nouvelle d'un grand auteur ou compositeur ou chorégraphes contemporains, ou encore première pièce d'un auteur nouveau ...

Spectacle-témoin ou spectacle-phare, tous ont en commun de mettre l'accent sur les aspects non traditionnels de la production contemporaine.

Commençant avec Eschyle pour finir avec Andrew Lloyd Weber (né en 1948 ), se survol est révélateur : dans l'interprétation audacieuse qui leur est imposée, les oeuvres classiques restent vivantes, sans pour autant tarir le jaillissement de vos nouvelles.

  • Taille : 30,5cm x 24,5cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg5
  • Cinq années à vol d'oiseaux, par René Hainau et Nicole Leclercq pg7
  • Les clefs de l'ouvrage - interprétation des légendes pg16
  • Illustration pg17
  • Index des illustrations, par ordre alphabétique des auteurs et des compositeurs pg153
  • Index des illustrations, par ordre alphabétique des metteurs en scène, chorégraphe, décorateur et créateur de costumes pg156
  • Indications biographiques pg158
Programme Théâtre de l'Atelier-La Mouette, Tchekov
1955
Ed. et impression W. Fischer
Programme Théâtre de l'Atelier-La Mouette, Tchekov
Auteur : Collectif

En 1936, la Compagnie des Quatre Saisons débute en renouant avec la tradition des troupes ambulantes. A l'Exposition de 1937, elle présente le Roi Cert de Carlo Gozzi dans une adaptation de Pierre Barbier et ce spectacle révèle la jeune troupe au grand public. Deux saisons au French Theater de New York, des séries de représentations à Paris, au Brésil, en Belgique, en province, s'inscrivent entre ce premier succès et la guerre.

En 1940, Charles Dullin, fondateur de l'Atelier, quitte ce théâtre qui l'animait depuis 1922 avec amour et talent, dotant la scène française de réalisation inoubliable. Il confie sa succession à Barsacq qui, en 1928, à 18 ans, a fait ses débuts de décorateur sur cette scène en créant les costumes et les décors de Valpone.

Sous la direction d'André Barsacq, le Théâtre de l'Atelier présente successivement les oeuvres suivantes :

1940

le Bal des Voleurs, de Jean Anouilh (412 représentations).

L'Enterrement, d'Henri Monnier (614 représentations).

1941

le Rendez-vous de Senlis, de Jean Anouilh (363 représentations).

Vêtir ceux qui sont nus, de Luigi Pirandello (49 représentations).

Eurydice, de Jean Anouilh (90 représentations).

1942

Sylvie et le Fantôme, d'Alfred Adam (276 représentations).

1943

L'Honorable Monsieur Pepys, de Georges Couturier (383 représentations).

1944

Antigone, de Jean Anouilh (645 représentations).

A quoi rêvent les Jeunes Filles, d'Alfred de Musset (106 représentations).

1945

L'Agrippa, d'André Barsacq (146 représentations).

Les Frères Karamazov, de Jacques Copeau et Jean Croué, d'après Dostoïevski (227 représentations).

1946

Roméo et Jeannette, Jean Anouilh (123 représentations).

1947

L'Invitation au Château, de Jean Anouilh (591 représentations).

Les trente-sept sous de Monsieur Montaudoin, deux Eugène Labiche et Martin (153 représentations).

1948

le Révizor, de Nicolas Gogol, dans une adaptation d'André Barsacq (61 représentations).

1949

Le Pain dur, de Paul Claudel (128 représentations).

Nuit des Hommes, de Jean-Bernard-Luc (44 présentations).

La Perle de la Canebière, de Eugène Labiche et Marc Michel (44 présentations).

1950

Henri IV, de Luigi Pirandello, dans une adaptation de Benjamin Crémieux (182 représentations).

1951

Colombe, de Jean Anouilh (458 représentations).

1952

La Tête des Autres, de Marcel Aymé (506 représentations).

1953

Médée, de Jean Anouilh (32 représentations).

Zamore, de Georges Neveux (32 représentations).

Le Joueur, de Hugo Betty, dans une adaptation de Maurice Clavel (45 représentations).

1954

Les Quatre Vérités, de Marcel Aymé (99 représentations).

Catalina, de Félicien Marceau (44 présentations).

Chaque saison, la troupe du Théâtre de l'Atelier joue, lance tant en France qu'à l'étranger, dans les décors et la mise en scène de leur création, les pièces les plus caractéristiques de son répertoire.

  • Taille : 18cm x 13,5cm
  • Théâtre de l'Atelier
  • Place Dancourt - 18eTéléphone : Montmartre 49 - 24
  • Métro : Anvers, Pigalle, Abesses, Barbès.
  • Autobus : 30, 85,67
  • DirecteurAndré Barsacq
  • Administrateur Georges Villar
  • Secrétaire générale Jean Flory
  • Directeur de la scène Paul Mathos
  • Régisseur Paul - Laurent
  • Chef machiniste : André Courtiller Chef et Tricia, André Boucry
  • Saison 1955 - 1956
Vie de l'Art Théâtral des origines à nos jours
1932
Librairie Plon
Vie de l'Art Théâtral des origines à nos jours
Auteur : Gaston Baty, René Chavance

On a beaucoup écrit sur le théâtre. Mais les auteurs s'en tiennent, d'ordinaire, un seul de ces aspects. La plupart n'étudient que la littérature dramatique. Certains n'accordent d'attention qu'aux décors rouges.

Or le théâtre est un art complexe et autonome. Si dans ce petit livre, nous apportons à son sujet quelque chose de nouveau, c'est le souci de ne jamais perdre de vue la totalité de ces éléments.

Issus d'une même source, tantôt ils demeurent unis et tantôt ils se séparent. L'un de parfois de mines. Les autres cependant continuent de se manifester obscurément pour reprendre à leur tour la première place. Ainsi se déroule toute la vie de l'art théâtral, avec ses périodes de plénitude, ces accidents et ses déchéances.

Par des exemples concrets nous nous sommes efforcés de la décrire, mais en nous limitant à ses grandes lignes pour la rendre plus aisément saisissable. Aussi voudra-t-on bien de s'étonner d'aucune omission. Des hommes comme les oeuvres nous avons entendu ne retenir que l'essentiel.

De même il nous a fallu passer rapidement sur des facteurs secondaires mais non sans importance dans l'élaboration du drame : tels, la condition sociale des comédiens, la législation théâtrale, l'économie financière des spectacles, les rapports avec l'Etat. Nous n'avons pu faire que des allusions très brèves à la composition du public et à sa répartition dans les salles selon les coutumes du siècle et les initiatives des architectes, toute contingence qui ne laisse pas d'influer sur l'ouvre dramatique.

Enfin sans prétendre établir une bibliographie rationnelle, nous avons voulu simplement énumérer les ouvrages nous avons puisé des renseignements.

Libérer l'art théâtral d'illusoires dépendances et le placer sur son plan véritable, tel a été notre unique dessein. Puissions-nous par surcroît susciter chez nos lecteurs un peu de la passion qui'il nous inspire !

  • Taille : 20cm x 13cm
  • Table des matières
  • Chapitre 1
  • Naissance pg1
  • Chapitre 2
  • Le miracle grec pg18
  • Chapitre 3
  • Les résonances du théâtre grec pg45
  • Chapitre 4
  • Le théâtre de la chrétienté pg71
  • Chapitre 5
  • L'humanisme et la réforme pg87
  • Chapitre 6
  • Le miracle élisabéthain pg115
  • Chapitre 7
  • Le classicisme à la française pg144
  • Chapitre 8
  • La tradition comique pg164
  • Chapitre 9
  • Les tréteaux pg185
  • Chapitre 10
  • Du romantisme au réalisme pg213
  • Chapitre 11
  • Le réveil de l'imagination pg247
  • Chapitre 12
  • Carrefour pg273
  • Bibliographie pg295
  • Table des illustrations pg307
Travaux en hauteur sur corde
2007
Vagnon
Travaux en hauteur sur corde
Auteur : Jean-Paul Sounier

ISBN : 2857255934

Le métier de cordiste est appparu il y a un peu plus de 20 ans quand des alpinistes et des spéléologues ont utilisé leurs techniques de corde pour des interventions dans le bâtiment et les travaux publics. L'introduction de ces techniques de progression a rapidement fait l'unanimité grâce à leur facilité de mise en application et la sécurité apportée.

Telle l'araignée pendue à son fils, le cordiste évolue à la frontière de sa passion dans l'exercice d'une activité professionnelle récente qui s'est structurée. Le besoin d'efficacité qui caractérise notre époque et la diversité des domaines d'intervention réserve de beaux jours à ce métier d'avenir.

Ce Code Vagnon est l'ouvrage de référence des formations des Certificats de qualification professionnelle de cordiste (CQPC) et des Certificats d'aptitude aux travaux sur corde (CATSC).

  • Taille : 24cm x 15,5cm
  • Sommaires
  • Introduction pg7
  • Chapitre 1
  • Les milieux d'intervention pg9
  • Chapitre 2
  • Notions de physique - application aux travaux sur corde pg15
  • Chapitre 3
  • Le matériel pg27
  • Chapitre 4
  • Comment équiper pg65
  • Chapitre 5
  • Déplacement sur corde pg95
  • Chapitre 6
  • Techniques de progression sur constructions métalliques pg117
  • Chapitre 7
  • Déplacement de charges pg133
  • Chapitre 8
  • Techniques d'intervention de secours sur corde pg141
  • Chapitre 9
  • Réglementation pg149
  • Annexe
  • Quelques adresses Internet utiles pg157
The Mask-A monthly journal of Art of Theatre-Volume 1 n° 12-Febr.-1909
1909
John Semar
The Mask-A monthly journal of Art of Theatre-Volume 1 n° 12-Febr.-1909
Auteur : Edward Gordon Craig

Début de la publication février 1908

Fin de la publication 1929

70 publications irrégulières

  • Taille : 34cm x 23cm
  • Contents
  • The Shakespeare Memorial. A National Theatre
  • Venetian costumes from the book of Cesare Vecellio by Alelen Carric & D. Nevile Lees
  • The white fan by Hugo von Hofmannsthal : translated by Maurice Magnus
  • Two theaters by Leon De Schildenfeld Schiller. Concluded
  • Note on an old engraving by Allen Carric
  • Mr Spence on tolerance in dramatic criticism by Gordon Craig
  • The eight command, (international copyright) by John Balance
  • A note on applause, by Adolf Furst. Book reviews
  • Foreign notesIllustrations
  • Frontispiece. A design for a scene for Macbeth by Gordon Craig
  • Seven designs from the book of Cesare Vecellio
Designing With Light : An Introduction to Stage Lighting
1997
Mayfield Publishing Company
Designing With Light : An Introduction to Stage Lighting
Auteur : J. Michael Gillette

ISBN : 1559345276

This comprehensive survey of the practical and aesthetic aspects of basic lighting design treats lighting design for the stage as both an art closely integrated with the director’s, actor’s, and playwright’s vision, and a craft that provides practical solutions for the manipulation of stage space.

  • Taille : 23,5cm x 19cm
  • Contents
  • Preface
  • Chapter 1
  • An introduction to designing with light pg1
  • Chapter 2
  • Lighting production team pg12
  • Chapter 3
  • Electrical theory and practice pg21
  • Chapter 4
  • Lenses, lamps, and lighting instruments pg37
  • Chapter 5
  • Cables and connectors pg70
  • Chapter 6
  • Intensity control pg82
  • Chapter 7
  • Projections pg97
  • Chapter 8
  • Praticals and effects pg112
  • Chapter 9
  • Color pg122
  • Chapter 10
  • Advanced technology instruments pg135
  • Chapter 11
  • The design process pg147
  • Chapter 12
  • The image of light pg157
  • Chapter 13
  • The lighting key pg165
  • Chapter 14
  • Using the lighting key to draw the light plot pg176
  • Chapter 15
  • Drafting for lighting design pg189
  • Chapter 16
  • Design examples pg208
  • Chapter 17
  • Rehearsal and performance prodedures pg28
  • Glossary pg246
  • Index pg259
Photometrics Handbook
1997
Broadway Press
Photometrics Handbook
Auteur : Robert C. Mumm

ISBN : 0911747370

Dozens of newly manufactured lighting instruments, and many old ones not included in the first edition, bring this second edition up to date. Photometric data-beam angles, field angles, foot candles and beam diameters at various throw distances, etc.-on over 500 theatrical lighting instruments make this an indispensable reference for lighting designers and electricians.

  • Taille : 23cm x 15cm
  • Table of contents
  • Introduction
  • Fresnels pg52
  • Plano-convex spotlights pg91
  • Ellipsoidal reflector spotlight pg102
  • Moving Lights pg381
  • Beam projectors pg413
  • Scoops pg428
  • Follow spots pg458
  • Striplight cyc lights pg546
  • Par-type units and reflector lamps pg579
  • Appendix pg609
  • Index pg629
A.A. Bakhrushin State Central Theatre Museum
2004
AAA
A.A. Bakhrushin State Central Theatre Museum
Auteur : Collectif

A.A.Bakhrushin State Central Museum keeps a unique collection of theatre relics of Russia. Here one may see the history of all kinds and genres of theatre art from the beginning to recent times. Almost 1,5 million exhibits are stored in the reserves of the Museum: they are archives of theatre personalities, portraits of eminent actors, singers, producers, dramatists, ballet-masters, dancers, composers, painters; costumes, personal belongings and properties; set designs and sketches made by great masters of scenery; posters and programmes, photographs of artists and performances, rare books devoted to theatre art, video and cinematographic documents, articles of the theatre daily life.

Aleksey Aleksandrovich Bakhrushin, who collected all these precious treasures, was born in a merchant family. In the 1890s A.A.Bakhrushin started gathering his theatre collection and this became his main occupation.

A.A.Bakhrushin Theatre Museum, the largest collection of monuments of theatre art, is well-known all over the world. Its exhibitions are organized in our country and abroad

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • The sources of the Russian National Theater
  • The Russian Theater of the 19th-Early 20th centuries
  • The Avant-Garde Theatre of the 1920s
  • The Room of F.I. Shalpapin
Meyerhold
2004
CNRS Editions
Meyerhold
Auteur : Béatrice Picon-Vallin

ISBN : 227106256X

Au début de ce siècle, Meyerhold est l'un des hommes qui, pour Louis Jouvet, « incarnent le mieux l'idée qu'il est permis de se former du metteur en scène ». Expérimentateur obstiné, polémiste hardy, il choisit, dès 1918, le camp de la Révolution, mais engage avant tout sa vie dans le théâtre. Initiateur en 1922 de l'Octobre Théâtral, il est exécuté en 1940, victimes de la répression stalinienne.

Son ouvre est inséparable des courants d'avant-garde qui revitalisent les scènes européennes, mais demeure profondément nationale. Autour de lui, des écrivains et des poètes russes : Gogol l'inspirateur, Blok, Maïakovski, Erdman récemment redécouvert après des années d'occultation, et des compositeurs tels que Glazounov, Gnessine, Chostakovitch, Prokofiev ...

Du symbolisme au constructivisme, à travers la réflexion sur la convention, le grotesque, le théâtre de foire, la commedia dell'arte, le théâtre oriental, le parcours de Meyerhold est aussi riche que complexe. Ces contradictions sont celles d'un créateur qui, fidèle à ses options fondamentales, ne s'en remet pas moins en question à chacun de ses spectacles.

A travers l'analyse de ces grandes mises en scène - spectacles quasi légendaires - la Baraque de foire, le Bal masqué, le Cocu magnifique, la Forêt, le Mandat, le Révisor -, Béatrice Picon-Vallin dégage les processus de la création théâtrale, donne à voir le travail du metteur en scène avec le texte, l'acteur, l'espace. Elle interroge des rapports étroits évolutifs que le théâtre de Meyerhold entretient avec les arts plastiques, cinéma, la musique.

Ce livre fait découvrir une oeuvre aussi exigeante à l'égard d'un acteur polyvalent est d'abord musicien, qu'à l'égard d'un spectateur dont elle requiert l'actif collaboration. Une oeuvre dont on a pu dire qu'elle a donné « des racines au thétâre de l'avenir ».

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Table des matières
  • Remerciements pg7
  • Avertissement pg9
  • Introduction pg11
  • Interférence pg12
  • Meyerhold et le thétre européen. La synthèse des arts pg14
  • Meyerhold et le grotesque pg16
  • De la stylisation au grotesque
  • Baraque de foire et bal masqué pg26
  • Le théâtre de la convention pg27
  • La première Baraque de foire pg33
  • Une activité multidirectionnelle. Expérimentation sur les genres (1908 - 1912) pg39
  • Le grotesque doit devenir l'âme de la scène pg48
  • Le Studio de la rue Borodine pg56
  • Le Bal masqué pg63
  • Autour de l'Octobre Théâtrale
  • Constructivisme et Biomécaniques pg74
  • Petrograd 1917 - 1919 pg75
  • Moscou 1920 - 1921. Les principes de l'Octobre Théâtrale pg85
  • Rationalisation du spectacle et du jeu de l'acteur pg91
  • La voix du grotesque pg125
  • La scène dans la cité, entre la piste de cirque, le champ de manouvres et l'écran pg141
  • Les métamorphoses de la mort de tard elle qui ne pg141
  • La Terre cabrée pg145
  • Un théâtre dans la cité pg149
  • Le lac Lull. Théâtre, cinéma, cinéfication pg151
  • D. E. Cinéma, jazz, danse pg154
  • « La Forêt ». Classique russe et burlesque américain pg160
  • Pourquoi Ostrowski ? La variante sage : une place lucrative pg161
  • Le travail dramaturgique. Construction d'une nouvelle machine à jouer pg166
  • L'interprétation des personnages. Une comédie de masques. Agitation et traditions pg171
  • L'organisation spatiale pg174
  • Le montage dramaturgique et le scénario des actions scéniques pg179
  • La part du burlesque américain pg188
  • Le jeu de l'acteur avec les objets pg192
  • Arkachka-Ilinski. Genèse montage du personnage pg200
  • La puissance du thétre pg204
  • Une dramaturgie grotesque : « le Mandat » pg206
  • La drôle de carrière d'un auteur commique à succès pg206
  • Le « héros » dans l'oeuvre d'Erdmann pg208
  • Le texte du Mandat pg209
  • La tradition gogolienne dans le Mandat pg213
  • La structure du Mandat. Le « rire à travers les larmes » pg217
  • La construction des dialogues pg219
  • Outrance ou vérité pg220
  • Les réactions des spectateurs. Une salle en ébullition pg221
  • Un décor dynamique pg223
  • Les principes de la mise en scène pg226
  • Statut du personnage et de l'acteur pg230
  • Le tragi-comique de l'acte III pg237
  • Principes pour la construction des personnages pg242
  • L'évolution du jeu grotesque pg245
  • Théâtre et Musique« le professeur Boubou » et les transformations du théâtre politique pg250
  • Les solutions spatiales : une construction sonore pg251
  • Le « sociomécaniques ». La construction du rôle pg253
  • Jeu tragi-comique et pré-jeu pg255
  • La partition musicale et le jeu sur la musique pg259
  • « le Révisor » et le processus du travail théâtral chez Meyerhold pg264
  • La richesse du spectacle pg265
  • Théâtre et littérature pg266
  • Travaux préparatoire pg270
  • La construction du texte pg275
  • Recherche de la polyphonie visuelle pg278
  • La genèse du spectacle pg280
  • La construction de l'espace pg285
  • Théâtre et cinéma pg298
  • Réalisme ou « surnaturalisme » ? pg303
  • Les répétitions de « la Lettre de Tchmykov ». Jeu en filigrane pg306
  • La scène muette pg308
  • Personnages et acteurs. Révision et interprétation pg310
  • Le montage dans le personnage de Khlestakov pg315
  • Le burlesque, le biologique pg323
  • Le personnage, entre biologie et mécanique pg326
  • Choeur ou troupeau ? Le Révisor, une comédie du pouvoir et de la peur pg330
  • Le grotesque pg334
  • Un Théâtre musical pg340
  • Musique et peinture pg341
  • Musique et texte. Instrumentation du texte du Révisor pg34
  • Lla partition et la construction musicale. Musique audible et inaudible pg348
  • Analyse de la composition musicale et plastique dans le Révisor pg355
  • Pouchkine, Prokofiev et Boris Godounov pg361
  • Meyerhold et la musique de son temps pg36
  • Ll'évolution de Meyerhold vers une théorie du contrepoint pg371
  • Une dramaturgie musicale pg374
  • Le jeu de l'acteur et de la musique. De l'acrobate acteur chinois pg378
  • Entre l'improvisation et la rigueure scientifique pg380
  • Conclusion pg384
  • Les années 30 pg384
  • La dimension utopique. Théâtre engagé, national, polémique pg387
  • Le grotesque, structure de l'oeuvre théâtrale pg390
  • Vers une organisation des rapports entre les arts et leurs matériaux pg393
  • Annexe : Glossaire des noms et sigles russes et étrangers pg397
  • Chronologie 1874 - 1930 pg399
  • Biographie pg403
  • Index pg415
  • Sources des documents photographiques pg425
Meyerhold - World of Love
2004
AAA
Meyerhold - World of Love
Auteur : N.F. Makerova

Meyerhold is as great, as incomprehensible. The drama of Master's destiny may be compared only to the drama of ihis Art. And in thid respect, the only thing we should do is to repeat Nikolai Gogol's words and exclam "Now, I can't stand it any more ... Give me another pen. My pen is languid, dead and too weak for this canvas".

...

The cards included in this section - are only a small part of exhibits among wich are sketches of scenery, models, suits created by prominent theater artists of Meyerhold's plays, rare books from his library, personal things and pieces of interior from the flat in Brusovsky, wich were saved by a miracle, manuscripts and photos - many of them are unique and published for the first time.

...

  • Taille : 21cm x 14,5cm
  • Cartes photographiques
Art et Décoration
1930
Editions Albert Lévy
Art et Décoration
Auteur : Léon Moussinac

Deux théâtres soviétiques à Paris

Les Russes ont profondément le goût et le sens du théâtre. C'est à Moscou qu'avant de créer le Théâtre des Arts, en 1910, jJacques Rouché alla étudié les travaux de Meyerhold et de Dantchenko ; c'est à Moscou que le plus grand théoricien du théâtre moderne, Gordon Craig, monta son Hamlet, en 1912 ; enfin, cette Russie que les ballets de Serge de Diaghilev nous apportèrent la révélation de Shéhérazade par quoi dix années de décoration théâtrale, et aussi de mode, furent directement influencés.

Depuis la Révolution d'Octobre, le théâtre russe a connu de nouveaux développements. Le nombre des scènes, des studios s'est accrue du fait que la pièce est considérée non seulement comme une matière à création artistique, mais aussi comme une matière à propagande et que le théâtre attire à lui des larges masses populaires. Ainsi s'explique le nombre et la valeur des recherches des metteurs en scène qui, sous le nouveau régime, suscitèrent la création d'une quantité considérable de clubs théâtraux dans toute l'Union (plus de 2000 en 1929).

Il eût donc été logique de connaître d'abord le théâtre d'État de Meyerhold, puisqu'il constitue en quelque sorte le plus audacieux des laboratoires de mise en scène de la Russie soviétique… Les circonstances ont fait que Paris qui connaissait déjà le Théâtre Kamerny (1923), le Théâtre Stanislavsky (1924), le Théâtre Habima (1925) et le Théâtre juif d'État de Granovsky (1127), le théâtre Voktanghov (1928) n'aura vu qu'en dernier les réalisations de Meyerhold.

Le succès du Théâtre Kamerny a été vif, quoi que une pièce comme Giroflé-Gitofla (1922), par exemple nous et paru appartenir déjà à l'histoire du théâtre, parce que représentant des efforts et des recherches qui ont été, depuis, dépassées. Peut-être eût-il mieux valu à la place de l'Orage (1124), redonner cette Phèdre étonnante dont la révélation au Théâtre des Champs-Élysées en 1923 suscita tant de polémiques, où nous montrer l'Annonce faite à Marie, de Claudel, Sainte Jeanne, de Shaw ou l’Antigone, d’Hasenclever. Surtout la qualité dramatique des deux pièces récentes de O’Neil était vraiment insuffisante : Tous les enfants du bon Dieu ont des ailes (1929) et l'Amour sous les Ormes (1926). Celles-ci nous ont permis, néanmoins, de nous rendre compte de l'évolution d'Alexandre Taïroff dont le goût, l'imagination et la science reste extrême, et qui fait de plus en plus de place, dans le spectacle, à l'expression des forces intérieures du drame. La période du seul dynamisme dramatique qui fut si nécessaire pour redonner au théâtre son sens vrai et son caractère social, est dépassée.

Quant à la somme des sottises qui ont pu être écrites par l'adaptation par Meyerhold du Révisor, de Gogol (1926), elle mesure l'incompréhension et l'égarement d'une critique intoxiquée de littérature, rongé par les préjugés du dialogue qu'ici la fortune des pièces de Bataille et d’Hervieu et pour qui la mise en scène est, avant toute chose, le triomphe d'une machinerie décorative dont le peintre à la plus grande responsabilité. Des vedettes, des mots d’esprit, des clichés dramatiques ou comiques, une sorte de « métier » vulgaire : il n'en faut pas davantage pour combler d'aise les censeurs contemporains.

La critique française a complètement perdu le sens des réalités théâtrales et des traditions d'un art essentiellement collectif est populaire en décadence continue depuis Molière. Heureusement que le public n'en est pas encore là et qu'en faisant un très grand succès aux représentations de Meyerhold sur la scène du Théâtre Montparnasse, il a manifesté sa joie de trouver enfin dans un spectacle ce qu'il exige secrètement qu'un spectacle lui apporte : la fantaisie, l'émotion, le rire, la joie des sens, le plaisir de l'esprit, la poésie et la satire. En somme, des raisons de se divertir, de s'instruire et de s’exalter.

Grâce à un contact direct entre le spectateur et l'acteur que facilite la suppression du rideau, de la rampe, des bandes d'airs et des décors à portants traditionnels, mais recréer une illusion nouvelle, intérieur, dont vit tout son théâtre. Il renouvelle la vieille loi des contrastes en l'enrichissant d'actualité : c'est ce qu'il appelle « rajeunir » le répertoire. Il se moque ou s’émeut, joue de tous les claviers, parfois avec frénésie, toujours avec volonté, utilise à fond les moyens d'expression que l'acteur complet met à sa disposition, en prolongeant le jeu de l'acteur par l'emploi d'instruments scéniques appropriés, d'une construction et d'une organisation de l'espace, sans trompe-l'œil, que le geste, le mot, le mouvement, la lumière feront vivre d'une vie singulièrement forte. C'est pourquoi ces lumières ne sont vraies, ni ses décors réalistes.

Le caractère social de tels spectacles s'affirme hautement sans que jamais la poésie en souffre, dont tous les éléments de création scénique accroissent le rayonnement, aiguisent la puissance d'expression (la scène d'amour et celle du départ dans La Forêt, les scènes de la romance et du menuet, ou la scène de la folie du préfet dans Le Revisor par exemple).

Le souci du détail, chez Meuerhold, ne tolère aucune négligence. C'est dépouillé et dense tout à la fois, et si tout vient au premier plan, il reste au spectateur a choisir et à prendre ce qu'il peut. Meyerhold qui s'est voué à l’art du théâtre depuis plus de 30 ans déjà, possèdent une science de la composition et du jeu, une technique de la scène puissante originale (je tiens la scène du salon dans la troisième partie du Révisor pour un pur chef-d'œuvre d'une force comique, d'une richesse de nuances, d'une unité d'expression et d'une mise au point technique incomparable). Le renouvellement est continu, chez Meyerhold. Sa passion du théâtre emporte tout. Aucune audace, aucun problème ne l’arrête. Il découvre, crée sans cesse et c'est pourquoi on peut justement le considérer comme le premier metteur en scène de ce temps. Le Révisor est une date dans l'histoire du théâtre.

En patronnant et en aidant pratiquement les manifestations de Meyerhold à Paris, Gaston Baty, Charles Dullin, Louis Jouvet, Pitoëff et Sydney Ross ont rendu à l'artiste un juste hommage et ont trouvé leur compréhension du théâtre, face à la critique ignorante et contre l'hostilité intéressée de quelques immigrés russes de leurs amis politiques français.

Léon Moussinac

  • Taille : 29,5cm x 21,5cm
Georges Méliès, mage-Mémoires par Georges Méliès
1961
Jean-Jacques Pauvert Ed.
Georges Méliès, mage-Mémoires par Georges Méliès
Auteur : Maurice Bessy, Lo Duca

La vie de Méliès est une oeuvre d'art. En elle on chercherait en vain l'ennui, la méthode, le prévisible.

Tout lui réussissait. Mais cette réussite avait un soupçon de routine. Méliès connaissait trop les ficelles et les recettes de ces innombrables miracles pour en être lui-même dupe. Il lui fallait aller au-delà du miroir, au-delà de cette feuille d'argent qu'est la réalité.

Six mois après le cinématographe de lumière, Méliès possédait déjà son premier studio, le premier studio du monde, à Montreuil-sous-Bois. Les marchands, avec leur habituelle légèreté, avait attribué au cinéma le rôle d'un enregistreur de farce grossière et facile. Qu'il demeura un divertissement de kermesse c'était leur seule ambition. Méliès chassa les marchands de la foire et imposa la féerie, dont il se fit le mage. De 1896 à 1914, il devait réaliser 1200 films environ et tout inventés : la technique, l'exploitation commerciale, la mise en film, l'organisation corporative, le décor, la prise de vue, les trucages, le scénario, le montage, la régie, la publicité, l'interprétation, la figuration.

La guerre et le baron Haussmann ruinèrent ses entreprises. La procédure fit le reste. Méliès sombra. Dans l'euphorie de l'avant-guerre, personne ne se souvenait plus de ce Méphisto de la croix de Malte à qui le cinéma devait tout.

  • Taille : 18cm x 18cm
  • Table des matières
  • Chapitre 1
  • Rencontre avec Méliès
  • Jeanne d'Alcy décapitée pg10
  • Jeanne d'Arc monte au paradis (croquis de mise en scène ) pg15
  • Le théâtre Robert Oudin pg21
  • Les cartes vivantes (H. - T.) pg28
  • Chapitre 2
  • Méliès prestidigitateur manuel pré-cinématographique ou le musée burlesque des figures de cire pg34
  • Méliès caricaturiste pg38
  • Bertrand et Robert Macaire pg39
  • De la caricature à la farce pg40
  • Les illusions fantaisistes (film en 14 images) pg41
  • Si j'étais Roi et Le Royaume de Neptune (H. - T.) pg45
  • Chapitre 3
  • Vie sans miracle de Mélièsle Géant et les Cloches pg49
  • Chapitre 4
  • Technique de la fantaisiele studio de Méliès pg58
  • Rêve d'une nuit d'été (H. - T.) pg60
  • Le laboratoire de la Star Film pg62
  • Caméra (Kinétographe) de Méliès pg63
  • Le truc des vues sous-marines pg65
  • Machinerie des apparitions pg68
  • Machinerie pour le géant de la Conquête du Pôle pg70
  • Le truc de l'Homme à la tête de caoutchouc pg75
  • Au Pays des Fées (H. - T.) pg77
  • Chapitre 5
  • Les films de Méliès pg79
  • Le Voyage dans la Lune (scénario) pg92
  • Le Voyage dans la Lune (film en 35 images) pg93
  • New York - Paris en automobile (scénario) pg99
  • Les Quat'Cents Farces du Diable (scénario) pg105
  • Voyage à travers l'impossible (scénario) pg117
  • 20.000 Lieux Sous les Mers (scénario) pg127
  • Le Livre Magique (film en 10 images) pg132
  • Le Mélomane (film en 13 images) pg134
  • Les Incendiaires (histoire d'un crime) (film en 7 image) pg138
  • Féérie du Printemps (H. - T.) pg40
  • Méliès créateur du Film de publicité pg141
  • Tout ce qui subsiste de milliers de films, d'un million d'images pg145
  • Hydrothérapie Fantastique (film en six images) pg150
  • Robert Macaire et Bertrand pg152
  • Au pays des jouets (H. - T.) pg157
  • Chapitre 6
  • Bibliographie
  • Chapitre 7
  • Appendice : « Mes mémoires » par Georges Méliès
  • La jeunesse de Méliès pg171
  • De Robert Houdin au cinéma pg174
  • Le cinématographe et la lutte du début pg180
  • Techniques de fantaisie pg185
  • Appareil de prise de vue et opérateurs d'avant 1900 pg189
  • Du Congrès du Cinéma aux malheurs d'un honnête homme ph197
  • De la période noire au Gala Méliès pg203
  • A la maison de la Mutuelle du Cinéma pg209
  • Toile de fond de Méliès (H. - T.) pg212
Les Trucs du Théâtre, du Cirque et de la Foire
1909
Librairie Armand Colin
Les Trucs du Théâtre, du Cirque et de la Foire
Auteur : Max de Nansouty

Le théâtre, sous ses diverses formes, depuis l'humble baraque foraine jusqu'à la vaste et resplendissante scène que contiennent les grands monuments spéciaux, et, sinon un besoin, du moins une des distractions principales de toutes réunion humaine.

L'histoire en a été faite avec ampleur par des auteurs du plus haut mérite, et nous nous empressons de dire, en le rendant tout d'abord, que nous ne l'entreprendrons pas ici.

Nous nous contenterons, si nos lecteurs le veulent bien, de causer avec eux d'une façon tout à fait familière et élémentaire de ce qui constitue « le théâtre » dans ses procédés d'exécution techniques : décors, trucs, illusions.

Il est bien intéressant de constater, lorsque l'on fait un petit voyage de ce genre autour de la scène et sur la scène, que de très grands effets sont ingénieusement produits par des moyens d'action très élémentaires.

En dehors de son rôle philosophique et éducateur qui est considérable, mais que nous n'envisagerons nullement ici, c'est ce qui fait, pour le public, l'attrait principal du théâtre. Il lui vend, il lui donne souvent, car la générosité des artistes et traditionnelle cette chose qui n'existe pas et qui joue un si grand rôle dans l'existence humaine : l'Illusion.

Dans ces formules pratiques, l'art théâtral fait entrer le rêve et s'efforce, avec succès, d'arracher pendant quelque temps le spectateur aux rigueurs et aux soucis de la réalité. Il possède, pour arriver à son but, la poésie, la couleur, la lumière, le son des instruments de musique.

Donc le théâtre a le droit et la mission de nous fournir « de l'illusion ».

A-t-il besoin pour cela de recourir à des moyens compliqués et puissants ?

Quelque surprenant que cela puisse paraître, nous pouvons répondre que non.

C'est par des procédés très simples, par des trucs classiques élémentaires, auquel l'ingéniosité des machinistes et des décorateurs apportent le temps à autre une petite contribution nouvelle, que l'on arrive à réaliser des « mises en scène » qui paressent très compliquées lorsqu'on les regarde à distance de spectateurs. Le charpentier jouant un plus grand rôle que le mécanicien.

Un soir que nous assistions sur la scène de l'Opéra, à Paris, en 1884, à l'émouvant naufrage du vaisseau de l'Africain, feu Mataillet, le chef machiniste, nous faisait remarquer avec fierté professionnelle qu'il n'y avait qu'un seul et unique morceau de fer dans cette construction destinée à chavirer bien sagement dans les toiles peintes en « flots irrités » : cette pièce de métal, c'était un gros taxe autour duquel s'opérer la rotation.

Nous étions sous la charpente même au moment où le bon Mataillet nous fournissait cette explication : elle faisait son mouvement de bascule, et ce fut une grande marque de confiance que nous lui donnâmes de demeurer sans sourciller dans le faux pont du navire qui engloutissait en apparence les héros du programme musical de Meyerbeer avec une multitude de figurants.

Est-ce à dire que le théâtre ne fait pas appel aux procédés scientifiques pour réaliser ses effets ?

Ce serait une erreur, et le beau parti qu'il a tiré de l'électricité appliquée, sous toutes ses formes, suffirait à démontrer qu'il est toujours prêt à progresser et à s'assimiler les moyens d'actions qui peuvent faciliter sa tâche. Nous en trouverons de nombreux exemples dans la suite de ce petit ouvrage.

Mais, en principe, des trucs auxquels on a recours sont simples : ils ne peuvent être autres, sous peine de devenir dangereux, alors que, dans un espace restreint, et quand et que les instants sont comptés, le personnel doit accomplir toutes sortes de manouvres diverses. C'est ainsi, par exemple, que des moyens d'action imaginée à l'origine pour certaines grandes féeries classiques, tels que le Pied de Mouton, les Pilules du Diable, les Sept Châteaux du Diable, etc., sont restés sensiblement tels quels.

Le progrès scientifique s'est manifesté principalement dans les music-halls auxquels le publique demande de lui montrer des tours de force et de l'acrobatie. Cependant, là encore, tout le succès de quelque dangereuse manoeuvre repose sur la mise en pratique audacieuse, parfois téméraire, une petite formule d'algèbre, du tracé d'une courbe géométrique pendant longtemps considéré comme une simple curiosité mathématique. Il convient d'observer au point de vue philosophique que ce qui combinent des trucs et des acrobaties sur un principe de ce genre ne l'expérimentent jamais eux-mêmes : ils s'en remettent pour cela à l'acrobate, lequel leur témoigne, lui aussi, sa confiance en faisant l'essai ; c'est un échange de bons procédés entre la science et la pratique.

Dans tout ce que nous allons examiner par la suite, nous trouverons donc, d'une façon évidente, l'illusion produite par la simplicité : nous la trouverons dans le décor, dans le costume, dans la reproduction des phénomènes naturels que le théâtre est obligé de faire entrer dans son cadre.

Il n'est besoin, pour tout cela, ni d'énormes efforts, ni de vastes emplacements. Après avoir assisté dans la soirée une pièce de théâtre, lorsque l'on a l'occasion de revoir la salle le lendemain matin, dans le demi-jour, dans le silence, sans lumière, sans spectateur, on est généralement surpris de ces petites dimensions : c'est encore bien autre chose, si l'on monte sur la scène muette.

En effet comme nous le disions dès le début, le théâtre, c'est l'illusion, et l'illusion n'a ni dimensions ni limites.

Voyons les moyens élémentaires de la produire.

Max de Nansouty

  • Taille : 20cm x 13cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg5
  • La scène, les dessous, les cintres, les décors pg9
  • Chapitre 1
  • Petit truc et grand truc pg37
  • Le tonnerre ph37
  • Les éclairs pg39
  • La pluie, la grêle pg40
  • La neige pg40le brouillard pg41
  • Le vent pg41
  • Cris d'animaux pg42
  • Artillerie et pyrotechnie pg43
  • Les faux incendies au théâtre pg46
  • Les flots de la mère pg46
  • Les trappes anglaises pg48
  • Les naufrages pg48
  • L'aéroplane pg57
  • Chapitre 2
  • L'emploi des miroirs pg59
  • Aux pays du rêve : l'antre des fantômes pg59
  • La décapitait aquatique pg61
  • La tête à l'envers pg63
  • La femme-araignée pg66
  • La décapitée parlante pg68
  • Les fantoches vivants pg70
  • Les filles de Neptune pg72
  • Le palais des Mirages pg78
  • Chapitre 3
  • Les illusions pg78
  • L'escarpolette diabolique pg78
  • La caisse mystérieuse pg80
  • L'enfant évaporé pg83
  • La femme flottant dans l'air pg86
  • Le coup d'épée pg88
  • Le coup de hache pg90
  • Chapitre 4
  • Trucs de physique pg94
  • Le masque de base un mot pg94
  • La « seconde vue » dévoilée pg96
  • Chapitre 5
  • Grands mécanismes pg100
  • Les courses de chevaux sur la scène pg100
  • Chapitre 6
  • Grande acrobatie pg103
  • Le looping-the-loop pg103
  • La flèche humaine pg106
  • Le tourbillon de la mort pg107
  • Montagnes russes nautiques pg109
  • Le toboggan nautique ph109
  • La Loïe Fuller pg111
  • Les Frères Davenport pg114
  • Chapitre 7
  • Pantomime pg117
  • Chapitre 8
  • L'art de se grimer de se travestir pg122
  • Chapitre 9
  • Le costume des gymnastes et des acrobates pg124
  • Chapitre 10
  • Les jeux japonais pg127
  • Chapitre 11
  • Les automates pg130
  • Chapitre 12
  • Cinématographie pg135
  • Fusil photographique pg136
  • Tachyscope pg136
  • Kinétoscope pg138
  • Cinématographe pg138
  • Mutoscope pg140
  • Chronophotographie pg142
  • Chapitre 13
  • Jouets et petits trucs pg143
  • Le petit jongleur mécanique pg143
  • Le clown dessinateur pg144
  • Les deux acrobates pg144
  • La mouche mécanique pg146
  • Le cycliste et son chien pg147
  • L'oiseau mécanique pg147
  • Le scarabée automate pg148
  • Le petit rémouleur pg149
  • Le match cycliste pg150
  • Le gai violoniste pg151
  • Le muguet artificiel pg151
  • Pour faire soi-même un kaléidoscope pg152
  • Un baromètre à mon marché pg153
  • Conclusion pg155
Les lieux scéniques en France, 1980-1995
1997
As/Actualite Scenographie
Les lieux scéniques en France, 1980-1995
Auteur : Jean Chollet, Marcel Freydefont

ISBN : 2912017009

Le présent ouvrage se présente sous des habits modestes : à première vue, on dirait un aide-mémoire ou un simple catalogue de ce qui s'est construit en France, en matière de salles de spectacles, entre 1980 et 1995, c'est-à-dire à une époque fortement marquée dans le domaine de la culture par les deux ministères de Jack Lang (1981 - 1986 et 1988 - 1993). On aurait tort, cependant, de s'en tenir aux apparences : Marcelle Freydefont et Jean Chollet, en établissement avec rigueur cette suite de monographies, de fiches documentaires, de rappels chronologiques et d'index, ont certainement eu conscience de contribuer à l'histoire récente du théâtre français, sous l'angle de son rapport à la cité et à la société, mais aussi quant aux enjeux esthétiques des débats qui l'ont agité. Tout au long de leur travail, ils ont eu le souci d'éclairer l'une pour l'autre architecture et politique, scénographie et ambitions dramaturgiques, construction des édifices et pratique du spectacle.

Robert Abirached

  • Taille : 26cm x 21cm
  • Sommaire
  • Avant-propos par Philippe Douste-Blazy pg8
  • Préface par Robert Abirached pg13
  • Introduction par Jean Chollet et Marcel Freydefont pg17
  • Présentation de 87 lieux scéniques selon le schéma suivant :
  • - Un texte général
  • - Deux plans (coupe longitudinale et plan de masse de la salle)
  • - Trois vues du lieu (vue extérieur, une vue sur scène et une vue sur salle) pg37
  • Présentation succincte des autres lieux inventoriés pg215
  • Annexe
  • Une chronologie générale (1943 - 1996) pg267
  • Une biographie, présentation des concepteurs : architectes, scénographes, acousticiens, ingénieurs pg279
  • Une biographie pg305
  • Les fiches techniques documentaires des 87 lieux pg307
  • Index
  • Un index général des lieux cités pg369
  • Un index général des personnes citées pg375
  • Un index géographique (régions et villes) pg379
Le Théâtre en France
1993
Armand Colin Editeur
Le Théâtre en France
Auteur : Jacqueline Jomaron

ISBN : 2253063967

Le but du présent ouvrage est de retracer l'histoire du théâtre français du Moyen Âge à nos jours et de rendre compte de son évolution en liaison avec l'histoire de notre pays. Les bouleversements politiques, sociaux et religieux, ont en effet retenti tout particulièrement sur un art éminemment lié à la vie publique.

L'histoire du théâtre ne peut s'inscrire sur le mode des autres arts. Le théâtre n'existe qu'au moment où il a lieu, et son caractère éphémère est lié à sa nature même. Il a, de plus en plus, l'ambition de réunir tous les arts en un seul : poésie et littérature, musique et peinture, sculpture et architecture. Il possède ses propres moyens d'expression : diction, jeux corporels, danse, mime, costumes, éclairage. Enfin, les documents qui jalonnent son histoire sont lacunaires, hétérogènes, souvent difficile à interpréter.

Nous avons voulu rendre compte du « fait théâtral » dans toutes ses composantes : élaboration des esthétiques des formes dramaturgiques, mode et lieux de production, pratiques et techniques scéniques, représentation, public, jeux de l'acteur, relations avec les autorités politiques et religieuses.

Nous avons cherché à définir les « grands moments » qui, des mystères du Moyen Âge à la dramaturgie nouvelle d'Adamov ou d'Ionesco, confère au théâtre une chronologie originale.

Nous avons écarté tout plan standard d'un chapitre à l'autre. Chaque auteur a écrit en toute liberté un essai personnel. En parcourant ces essais on retrouvera néanmoins, comme un écho à travers des époques, les grands débats esthétiques qui sont encore les nôtres.

  • Taille : 19cm x 12,5cm
  • Table
  • Sommaire pg7
  • Préface par Ariane Mnouchkine pg9
  • Note aux lecteurs par Jacqueline de Jomaron pg11
  • Première partie
  • La Piété et la Fête ( des origines à 1548 )
  • Le théâtre de l'église par Bernard Faivre pg17
  • L'acteur et le jongleur par Bernard Faivre pg38
  • Le théâtre de la Grand-Place par Bernard Faivre pg47
  • L'automne du Moyen Âge : les formes brèves pg63
  • L'automne du Moyen Âge : les grandes formes pg82
  • Deuxième partie
  • Et si on essayait le contraire ? (1548 - 1629)
  • Le théâtre Phénix par Jacques Scherer pg105Les actes pg105
  • Les ouvres pg116
  • La profession de comédie par Bernard Faivre pg129
  • Métamorphose de l'espace scénique par Jacques Scherer pg150
  • La fin du monde pg150
  • L'époque de la miniaturisation pg155
  • Troisième partie
  • Loeil du prince (1629 - 1680)
  • La raison d'Etat par Jacqueline de Jomaron pg163
  • Le mécénat de la monarchie pg163
  • Les scènes parisiennes pg170
  • Les Comédiens au service du Roi pg180
  • « Droit d'auteur » et droits des auteurs pg200
  • Le métier d'auteur dramatique par Colette et Jacques Scherer pg209
  • Penser le théâtre pg209
  • La prise du pouvoir pg220
  • La constitution théâtrale pg227
  • Les provinces du théâtre pg242
  • Trois auteurs et leurs armes pg250
  • Dramaturgie classique et monarchie absolue pg260
  • Cinquième partie
  • Fabrique de l'illusion (17e et XVIIIe siècle)
  • L'illusion et l'éblouissement par Jean-Jacques Roubine pg403
  • L'exhibition de l'incarnation par Jean-Jacques Roubine pg458
  • Sixième partie
  • Les tréteaux de la Révolution (1789 - 1815)
  • Théâtre et fêtes de la Révolution par Pierre Frantz pg505
  • L'école de la République pg506
  • Athènes sur les boulevards pg513
  • Célébrer la Révolution pg525
  • Septième partie
  • L'air du grand spectacle (1815 - 1887)
  • Le moi et l'histoire par Anne Übersfeld pg534
  • Les théâtres sous la Restauration pg534
  • Du neuf et du Vieux neuf pg538
  • Le drame romantique pg544
  • Avant « Hernani » pg559
  • Après « Hernani » pg565
  • Le théâtre « dans l'esprit » pg591
  • La Grande magie et par Jean-Jacques Roubine pg596
  • Clous en tout genre pg596
  • Où l'on parle de mise en scène pg612
  • Les rites et les mythes pg631
  • Nouveaux usages pour instruments anciens pg649
  • Le crépuscule des dieux pg667
  • La tentation du vaudeville par Daniel Lindenberg pg675
  • Huitième partie
  • L'avènement de la mise en scène (1887 - 1951)
  • Reconstruire le réel ou suggérer l'indicible par Jean-Pierre Sarrazac pg703
  • Jacques Copeau : le tréteau nu par Jacqueline de Jomaron pg729
  • Ils étaient quatre par Jacqueline de Jomaron pg740
  • Charles Dullin : une inlassable course au trésors pg750
  • Georges Pitoëff : « poète de la scène » pg758
  • Gaston Baty : « l'illusion d'un monde encore plus beau » pg765
  • Un état d'esprit « d'ensemble » pg772
  • la Comédie-Française : une crise latente pg774
  • En quête de textes par Jacqueline de Jomaron pg777
  • A la découverte de l'étranger pg777
  • En France, plus d'auteurs que d'oeuvre pg790
  • Neuvième partie
  • Et par ailleurs
  • Un théâtre « pour le peuple » par Jacqueline de Jomaron pg803
  • Subversion : de Jarry à Artaud par Michel Corvin pg823
  • Le Boulevard en question par Michel Corvin pg843
  • L'Etat intervient par Emile Copfemann pg886
  • Dixième partie
  • Le théâtre de tous les possibles (1951 - 1988)
  • La décentralisation par Emile Copfermann pg901
  • Une écriture plurielle par Michel Corvin pg912
  • Une dramaturgie à l'ancienne ? pg912
  • Portrait-robot de nouveau théâtre pg919
  • Où la fiche d'identité se diversifie pg935
  • L'Age de la représentation par Bernard Dort pg959
  • Essai de libération pg959
  • L'illusion populaire pg964
  • Un « thétre littéral » pg974
  • La scène critique pg980
  • La représentation en acte pg989
  • La représentation représentée pg1004
  • Le roi nu pg1038
  • Chronologie pg1049
  • Bibliographie pg1159
  • Index des principaux noms propres pg1175
  • Index des ouvres pg1189
Le Théâtre de l'Oeuvre 1893-1900 - Naissance du théâtre moderne
2005
Cinq Continents
Le Théâtre de l'Oeuvre 1893-1900 - Naissance du théâtre moderne
Auteur : Collectif

ISBN : 8874392095

La fin des années 1880, le théâtre traverse en France une crise importante. Le monde dramatique est divisé entre les tenants de la convention, défendue par les scènes officielles, et les partisans d'une réforme en faveur d'un théâtre du vrai avec les naturalistes ou d'un théâtre du symbole. Née dans ce contexte agité, l'Oeuvre ne constitue pas une expérience scénique de plus, mais le moteur essentiel d'une réforme théâtrale attendue. Elle illustre également une collaboration unique entre les artistes.

Le musée d'Orsay a prit l'initiative de consacrer une exposition aux premières saisons de ce thétre d'avant-garde, fondée en 1893 par un acteur, Aurélien Lugné - dit Lugné-Poe en l'honneur du poète américain -, un écrivain, Camille Mauclair, et un peintre, Edouard Vuillard. Cette manifestation constitue un véritable défi, car rien n'a été conservé, ou presque, de ses représentations éphémères et souvent uniques. Une fois le spectacle donné, ne reste que des éléments séparés, vulnérable, qui ont presque tous disparus, à l'exception de rares maquettes de décors et de costumes. Aucune photographie ni film ne conserve la mémoire des mises en scène permettant de restituer l'alchimie subtile entre le texte, les acteurs et le décor. Les archives administratives, plus abondante, ne suffisent pas à nourrir seul le sujet. Elle compose cependant les vestiges d'une archéologie parlante illustrant le fonctionnement de cette scène « d'à côté ».

Exposer le théâtre est une affaire difficile ; faire comprendre son engagement esthétique, communiquer des émotions à travers les oeuvres liées à son histoire, dégager son originalité forment le socle de cette entreprise.

Placée au confluent des lettres et des arts, l'Oeuvre se prête admirablement à cette analyse. Son programme esthétique brise les conceptions figées d'un théâtre enfermé dans d'insoluble conflit. Face aux formules obsolètes des scènes officielles et à l'acharnement illusionniste pratiqué par Antoine au Théâtre Libre, elle répond au besoin de renouveau de l'art dramatique accéléré par le succès des spectacles libres et imaginatifs des cafés-concerts ou des cabarets fleurissant sur les flancs de Montmartre, comme celui du Chat Noir et son thétre d'ombres.

Lugné-Poe hésite entre différentes formules pour séduire son public. Il s'engage très tôt en faveur du symbolisme, cette distance nécessaire entre le monde et sa représentation. Dans la mouvance dd Puvis de Chavanne, peintre, poète et écrivain s'élève contre la vulgarité d'un art trop proche de la nature. Les découvertes sur la psyché, étayée par les travaux de Charcot, ouvrent parallèlement des voies inédites à l'exploration et à l'interprétation de l'âme humaine. La vision de la vie reflétée par le théâtre s'en trouve métamorphosée.

De nouveaux moyens sont expérimentés sur la scène de l'Oeuvre pour révéler les mystères de l'existence opaque à elle-même et faire accéder le théâtre au rang d'art à part entière. La quête d'authenticité et d'élévation entreprise par les pionniers du théâtre d'art, Paul Fort puis Lugné-Poe, soutenue par des intellectuels, des artistes et des snobs, s'oppose aux attentes du public amateur de vaudeville et d'effets artificiels dont dépendent les directeurs de scène.

Lugné-Poe au début de l'Oeuvre - il n'a que 23 ans - ignore l'ampleur du défi. Ne concevant pas le théâtre sans la peinture, il s'entoure d'un cercle d'amis, Maurice Denis, Edouard Vuillard, les frères Natanson, rencontré au lycée Fontanes, qui lui ouvrent les portes des ateliers et des revues d'avant-garde. Le choix du répertoire, l'habillage du plateau, le jeu des acteurs constitue autant de domaines où s'affirme son originalité et son travail de pionnier d'un art théâtral moderne.

La volonté de Lugné-Poe de placer l'Oeuvre au cour d'une création débarrassée des frontières traditionnelles entre les genres le situe à l'origine des expériences les plus novatrices du XXe siècle. Ennemie du réalisme vulgaire et des perspectives de la toile peinte, ses mises en scène annoncent les innovations du Théâtre d'Art de Stanislavski, celle du premier « studio » de Meyerhold, les synthèses décoratives d'Adolphe Appia et de Gordon Craig, jusqu'à la rénovation théâtrale de Jacques Rouché et même de Jacques Copeau au Vieux-Colombier.

« Sept ans me paraissent le stade maximum d'une entreprise d'avant-garde », constate-t-il dans ses Souvenirs. « D'ailleurs mon devoir et mon rêve, celui de Sourcier, s'associaient et renfermaient plus d'infini que tout ce que la réalité du métier pouvait me donner. (...) L'épicerie théâtrale devrait être plus tard ; l'Oeuvre serait une broderie, une illustration en marge ! ... Ah le bonheur de vivre, en restant en dehors ! ... Sous les étoiles ! »

Cette exposition mettant en rapport des artistes comme Vuillard, Denis, Bonnard, Toulouse-Lautrec, Munch, avec des dramaturges, inscrit dans la lignée des manifestations consacrées à l'histoire culturelle du XIXe siècle, organisé par le musée d'Orsay depuis son ouverture en 1986. En mêlant plusieurs formes d'expression - littérature, musique, peinture, sculpture, estampes, photographies, architecture, archives de toutes sortes - elles permettent d'expliquer l'époque et de restituer le dialogue fécond entre les différents modes de création.

Le projet sur le théâtre de l'Oeuvre, initié en 2001 est réalisé avec brio par Isabel Cahn, chargé d'études documentaires au musée d'Orsay, est complété par une programmation dans l'auditorium du musée d'Orsay. La reprise du spectacle pour marionnettes d'Ubu roi d'Alfred Jarry, monté pour la première fois depuis sa création en janvier 1898 avec la musique de Claude Terrasse, constitue un événement majeur en complément de cette exposition.

Serge Lemoine

  • Taille : 28cm x 22cm
  • Sommaire
  • Remerciements pg6A
  • L'Oeuvre pg8
  • Serge Lemoine, président du musée d'Orsay
  • Lugné-Poe et l'Oeuvre
  • Isabelle Cahn
  • Chargé d'études documentaires au musée d'Orsay
  • Commissaire de l'exposition pg11
  • Petite chronique de grandes rencontres
  • Antoine Terrasse
  • Historien de l'art pg41
  • Vuilllard et le théâtre : la peinture à l'Oeuvre
  • Guy Cogeval
  • Directeur du musée des beaux-arts de Montréal pg51
  • Les programmes lithographiées du thâétre de l'Oeuvre
  • Geneviève Aitken
  • Chargée d'études documentaires
  • Centre de recherche et de restauration des musées de France pg67
  • L'Oeuvre cosmopolite, un répertoire universel
  • Armen Godel
  • Comédien et metteur en scène pg85
  • Les Théâtres du Père Ubu
  • Philippe Cathé
  • Compositeur, musicologue, maître de conférences à la Sorbonne pg95
  • Lugné-Poe et la SACD
  • Florence Roth
  • Conservateur de la bibliothèque de la SACD pg105
  • Catalogue
  • Isabelle Cahn pg111
  • Les saisons de l'Oeuvre 1893 - 1900 pg151
  • Bibliographie générale pg155
Le Théâtre d'Art: Aventure européenne du XXe siècle
1997
Editions Théâtrales
Le Théâtre d'Art: Aventure européenne du XXe siècle
Auteur : Jean-François Dusigne

ISBN : 2907810995

C'est en France que le terme « théâtre d'art » apparaît pour la première fois : Paul Fort, en réaction contre le Théâtre libre d'André Antoine, fonde en 1890 le Théâtre d'Art. Le mot va faire fortune. Il est successivement employé dans divers pays d'Europe : Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko fondent le Théâtre d'Art de Moscou, Fritz Erler et Georg Fuchs celuis de Munich, tandis que Craig élabore la théorie d'un « théâtre d'art idéal ».

Cette notion sera notamment revendiquée et illustrée en France par les quatre du Cartel, Baty, Dullin, Pitoëff et Jouvet. Mais le terme lui-même disparaît quelque temps du vocabulaire, à la fin des années 50, lorsque les valeurs jusqu'alors défendues s'effacent derrière un nouvel enjeu, celui de "service public".

C'est en 1972 que Strehler, de retour au Piccolo Teatro de Milan, réhabilite la notion en annonçant un « théâtre d'art public ». Une dizaine d'années plus tard, Vitez a de nouveaux recours à ce concept ; après avoir lancé la formule polémique d'un « théâtre d'art, élitaire pour tous », il présente Jean Vilar comme le « continuateur » de cette lignée qui s'est évertué à « faire de la recherche d'objets même de la production, et de cette recherche ainsi produite l'objet du rassemblement public ». Aujourd'hui, la notion de « théâtre d'art » est une référence obligée.

  • Taille : 23cm x 18,5cm
  • Table des matières
  • La préface du passeurGeorges Banu à l'aube du XXe siècle pg17
  • Première partie
  • Les pionniers
  • En France pg23
  • En Russie pg51
  • En Angleterre pg71
  • En Allemagne pg81
  • De ces expériences exemplaires, une notion se forge pg91
  • Deuxième partie
  • Le temps de laisser
  • A Paris. Elitaire ou populaire ? pg97
  • Moscou, les Studios d'Art pg107
  • Munich. Du Kunstlerheater à Max Reinhardt pg121
  • Façonner le visage du théâtre
  • Du rêve à la réussite ? pg133
  • Troisième partie
  • Du côté français1900 - 1910 : un repli sur soi pg137
  • 1910 : l'Art théâtral moderne par Jacques Rouchié pg143
  • Les ambitions du Vieux-Colombier pg151
  • Quatrième partie
  • Un chaos de rêvesLe souffle révolutionnaire pg169
  • Contre un art de cimetière pg181
  • Cinquième partie
  • A Paris, le défi des années follesle Cartel : « sans faire des affaires, durer » pg189
  • Ecrouler les ruines ... pg209
  • Les théâtres d'art doivent-ils renoncer ? pg215
  • Sixième partie
  • Du théâtre d'art au théâtre public
  • Villard : un théâtre d'art et populaire pg229
  • L'avant-garde contre le théâtre d'art pg239
  • Des oasis artistiques pg243
  • La notion en oubli pg249
  • La rupture de 68 pg253
  • Septième partie
  • Retour à l'esprit « militant » du théâtre d'art
  • Strehler : le théâtre public doit être d'art pg263
  • Mnouchkine en marge de l'institution pg273
  • Vitez, un théâtre d'art élitaire pour tous pg281
  • Vers le XXIe siècle pg295
  • Notes pg299
  • Références bibliographiques pg315
  • Index des noms cités pg319
  • Sources iconographiques pg325
  • Remerciements pg327
  • Table des matières pg329
Le décor de théâtre dans le monde depuis 1960 - Scénographie
1973
Meddens
Le décor de théâtre dans le monde depuis 1960 - Scénographie
Auteur : René Hainaux

Sous l'impulsion de l'Institut International du Théâtre, les éditions Meddens ont déjà publié deux volumes concernant le décor de théâtre dans le monde.

Comme les précédents, ce troisième volume a bénéficié de la collaboration active des centres nationaux de l'I.I.T. Il rassemble 36 nations, près de 250 décorateurs et plus de 500 documents.

Cette fois, l'accent a été mis sur la production théâtrale non traditionnelle des 10 dernières années. Ceci permet d'observer les profondes modifications intervenues dans la relation scène - salle, aussi bien que dans la scénographie proprement dite, qu'elle s'applique aux classiques au moderne.

D'autre part, le classement des documents épouse la chronologie des auteurs. De cette façon, le présent volume permet un survol révélateur de la littérature dramatique mondiale, des origines à nos jours, telle qu'elle apparaît dans l'interprétation qu'en ont donnée des artistes les plus audacieuses et la dernières décennies.

Les problèmes scénographiques actuels font l'objet d'une étude approfondie, assurée par l'éminent spécialiste Yves-Bonnat. L'ouvrage comporte aussi un avant-propos de Paul Louis Mignon, une partie analogique, des notes, bibliographie et des index. La mise au point de la présentation sont l'oeuvre de René Hainaux, assisté par Christiane Fraipont et bénéficiant des conseils techniques d'Yves-Bonnat.

Un volume au format 24,5 X 30,5 cm, 240 pages, 556 illustrations et dessins en couleurs et en blanc et noir. Reliure de luxe sous jaquette plastifiée en couleurs.

  • Taille : 30,5cm x 24,5cm
  • Table des matières
  • Avant-propos, par Paul Louis Mignon pg5
  • Le théâtre remis en cause, par René Hainaux et Christiane Fraipont pg7
  • Décor : non - scénographie : oui, par Yves-Bonnat pg9
  • Les clefs de l'ouvrage - interprétation des légendes pg16
  • Illustration
  • Théâtre parlé pg17
  • Groupes pg169
  • Opéra - Ballet - Musicales pg175
  • Analogie de style et de techniques, par Yves-Bonnat pg219
  • Notes de travail pg223
  • Bibliographie sélective pg227
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des décorateurs pg231
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des auteurs et compositeurs pg233
Jouvet, Dullin, Baty, Pitoëff: Le Cartel
1987
Bibliothèque nationale
Jouvet, Dullin, Baty, Pitoëff: Le Cartel
Auteur : Marie-Françoise Christout

ISBN : 2717717714

Le 6 juillet 1927, il y a 60 ans, à l'initiative de Louis Jouvet dont on célèbre en 1987 le centième anniversaire de la naissance, secret le « cartel des quatre », « association basée sur l'estime professionnelle et le respect réciproque » qui consacre Baty, Dullin, Jouvet et Pitoëff une « solidarité » déjà ancienne.

Les animateurs du cartel ont alors atteint la quarantaine. Depuis leur jeunesse, ans trois à de graves difficultés matérielles et morales, il lutte avec désintéressement pour un théâtre sans compromission. Les Quatre ont en commun une fois, un certain idéal en réaction contre le mercantilisme qui sévit dans nombre de théâtres, à une époque où les subventions de l'tat sont encore inconnues.

Cette union libre ne s'embarrasse pas de formalités administratives ; elle repose sur un véritable esprit d'équipe, chacun des associés conservant cependant sa « pleine liberté artistique ».

L'exposition se devait donc de respecter avant tout la spécificité de l'ouvre de chacun. Elle prend valeur d'événements par la présentation concomitante des éléments les plus significatifs des « collections » Baty, Jouvet, Pitoëff et Dullin, l'une après l'autre, par la volonté des héritiers des membres du Cartel ont rejoint le Département des Arts du Spectacle : au-delà de l'éphémère de la représentation et de la vie, ultime élan de solidarité, de désintéressement et d'espoir dans le rayonnement du théâtre...

à ce titre, nous tenons à exprimer notre profonde gratitude aux familles Jouvet et Pitoëff, nos remerciements à M. Desportes de Lignières, scrupuleux exécuteur testamentaire de Charles Dullin évoqué, avec émotion, la mémoire de Madame Gaston Baty.

De nombreux artistes ayant ouvré dans le sillage du Cartel ont eux-mêmes, tel Henri Sauguet ou Lucien Coutaud, par le don généreux de documents en leur possession, confirmé leur attachement à ce mouvement de rénovation du théâtre qui se caractérise par l'unité dans la diversité.

La réalisation de cette exposition s'inscrit tout naturellement dans la dynamique menée depuis plus de 30 ans par les responsables du Département des Arts du Spectacle pour la mise en valeur et une meilleure connaissance du patrimoine théâtral, et cela, dans un esprit de coopération amicale avec les créateurs, les professionnels du spectacle, les chercheurs.

...

Cécile Gitteau

Conservateur en Chef à la Bibliothèque Nationale

Directeur du Département des Arts du Spectacle.

  • Taille : 24cm x 17cm
  • Table des matières
  • Avant-propos pg5
  • Chronologie synoptique 1919 - 1952 pg7
  • I. Le Cartel
  • Texte de présentation pg49
  • Notice pg50
  • II. George et Ludmilla Pitoëff ou la passion du théâtre
  • Texte de présentation pg55
  • Chronologie sommaire pg56
  • Mise en scène par Georges Pitoëff pg57
  • Notice pg63
  • III. Gaston Baty où la magie du spectacle
  • Texte de présentation pg73
  • Chronologie sommaire pg74
  • Le Messteur en scène par Gaston Baty pg75
  • Notice pg82
  • IV. Charles Dullin ou l'école du comédien
  • Texte de présentation pg97
  • Chronologie sommaire pg98
  • Réflexion sur la mise en scène par Charles Dullin pg99
  • Notice pg103
  • V. Louis Jouvet : l'homme de théâtre au service des auteurs
  • Texte de présentation pg119
  • Chronologie sommaire pg120
  • Le métier de directeur-metteur en scène par Louis Jouvet pg123
  • Notice pg128
  • Bande sonore pg143
  • Bbliographie : ouvrage des membres du Cartel pg145
  • Table des illustrations pg147
La Russie à l'Avant-garde (1900-1935)
2005
Fonds Mercator
La Russie à l'Avant-garde (1900-1935)
Auteur : Eugénia Petrova, Jean-Claude Marcadé, Joseph Kiblitsky

ISBN : 9061536022

Au départ de la modernité et de l'abstraction, un mouvement hors du commun secoue le monde artistique russe : dès 1907, la première avant-garde se dresse contre le naturalisme et les rêveries symbolistes. Les artistes russes, à ce moment, compte parmi les protagonistes les plus audacieux des bouleversements qui fondront l'art du XXe siècle. Ce mouvement avant-gardiste connaîtra de nombreuses étapes - cézannisme, fauvisme russe, néoprimitivisme, cubofuturisme, première abstraction, suprématisme, constructivisme, école de Matiouchine, école de Filanov - avant de se fondre progressivement dans l'idéologie soviétique.

L'exposition au palais des Beaux-Arts aborde le mouvement dans son ampleur pluridisciplinaire, afin d'établir un dialogue entre les tableaux, les sculptures, les reliefs, les objets artisanaux, les décors et costumes de théâtre, les courts métrages, les photographies et photocollages, les projets architecturaux, les affiches... Elle réunit ou opposera des artistes de légende, tels Gontcharova, Larianov, Filonov, Malevitch, Tatline, Exter, Popova, Rozanova, Stépanovaa ou encore Rodtchenko, Pevzner, Gabo...

Pour la première fois, le mouvement est restitué dans un contexte historique large. L'exposition en retrace l'histoire éclatante, depuis ses origines jusqu'au milieu des années 1930, et témoignent ainsi de cette évolution parallèle ou concomitante vers le réalisme soviétique, dont le dogme sera proclamé en 1934. Dans les années 1920, le postsuprématisme de Malévitch, le réalisme constructeur de Pougny, Altman ou Lébédev et les virtualités visionnaires de Filonov sont en effet contemporains des oeuvres architecturées de Deïnéka et de Samokhvalov ou des hiérarchies iconiques de Pakhomov et de Pakouline, qui mènent au grandes machineries idéologiques du réalisme soviétique.

  • Taille : 28cm x 23cm
  • Préface pg20
  • Essais pg22
  • L'art de gauche russe et soviétique
  • Une fulgurante et incontournable révolution esthétique du XXe siècle pg23
  • L'avant-garde russe et l'abstraction pg37
  • L'indéfectible figuratif dans l'Art Russe du début du XXe siècle pg49
  • Constructivisme et scénographie de l'avant-garde russe pg63
  • La photographie soviétique des années 1920 - 1930 :
  • Du modernisme au réalisme socialiste pg71
  • L'avant-garde architecturale soviétique :
  • D'un concours à l'autre pg77
  • « La place de l'Art dans la vie quotidienne » et l'institut des Arts Décoratifs pg85
  • Catalogue pg90
  • Précurseur pg92
  • Néoprimitivisme pg108
  • Livre futuriste pg136
  • Cubofuturisme - Futurisme pg152
  • Abstraction - constructivisme pg174
  • Art Figuratif pg212
  • Illustrations pour le théâtre pg222
  • Photographie pg242
  • Projets architecturaux pg248
  • L'Art dant la vie pg252
  • Epilogue pg268
  • Biographies pg276
L'Année De l'Opéra et De la Danse, 1979
1979
Calmann-lévy
L'Année De l'Opéra et De la Danse, 1979
Auteur : Sylvie De Nussac

ISBN : 2702103227

La saison 1978 - 1979, c'est d'abord la création mondiale, à l'Opéra de Paris de Lulu d'Albane Berg dans sa version intégrale, événement au retentissement international. C'est aussi la visite de la Scala à Paris avec Simon Boccanegra et Wozzeck, l'entrée au Palais Garnier du Nabucco de Verdi ; c'est aussi sur des scènes régionales au public de plus en plus fidèle, la réapparition d'ouvrages oubliés ...

Côté danse, c'est le triomphe de Baryshnikov-le-magnifique, la réapparition d'une mythologique de Jean Babilée, la visite des prestigieuses troupes soviétiques du Kirov et du Bolchoï.

Comme l'Année de l'opéra et de la danse 1978, ce livre retrace, mois par mois, l'essentiel de l'activité lyrique et chorégraphique en France, de l'été 1978 à l'été 1979. Comptes-rendus critiques des nombreux spectacles vus à Paris comme dans tout l'Hexagone ; un saut à Bayreuth, des panoramas des saisons voisines : Milan et Florence, la Belgique, la Suisse, l'Angleterre.

Qui a chanté, dansé, mis en scène, décoré, dirigé quoi ? On le trouvera dans la seconde partie, avec les fiches d'identité des 230 opéras présentés cette saison en France - autant pour la danse. Cet agenda est complété par une bibliographie, une discographie, une liste des retransmissions télévisées - et celle des personnalités disparues au cours de cette saison.

Un superbe album qu'illustrent près de 200 photos en couleurs et en noir et blanc

  • Taille : 27,5cm x 22,5cm
Cricot 2 Theater - Information guide 1986
1986
Center of Cricot 2 Theater
Cricot 2 Theater - Information guide 1986
Auteur : Collectif

ISBN : 2610873000

Première édition de la revue du Cricot 2 Theater

  • Taille : 29cm x 20,5cm
  • Contents
  • Introduction pg3
  • Tadeusz Kantor Cricoteka pg4
  • Warsaw Cracow pg5
  • Madrid pg15
  • Milan pg23
  • Katowice Symposium "The Art of Tadeusz Kantor" pg33
  • Bar The Festival of Cricot 2 Theater pg43
  • Turin pg65
  • Lyon pg71
  • Grenoble pg79
  • Milan Civica scuola d'arte drammatica pg83
  • West Berlin Hommage à Tadeusz Kantor pg97
  • Antwerp pg109
  • Ferrara pg127
  • Obie 1986 pg139
T. Kantor-Dessins de la collection Musée Sztuki w Lodzi
2001
Catalogue d'exposition
T. Kantor-Dessins de la collection Musée Sztuki w Lodzi
Auteur : Anna Saciuk-Gasowska

AAA

  • Taille : 23,5cm x 16,5cm
L'Illustration-1895-1935 Quarantième anniv. cinématographe
1935
L'Illustration
L'Illustration-1895-1935 Quarantième anniv. cinématographe
Auteur : R. Chenevier, J. Labadié, R. De Beauplan

Au moment où une manifestation nationale de portée internationale vient de finir en Sorbonne, en présence de Monsieur Albert Lebrun, président de la république, l’élite du monde scientifique français et étranger autour de Monsieur Louis Lumière pour célébrer en même temps que l’ouvre du savant le 40e anniversaire du cinématographe dont il est l’inventeur, l’illustration, conformément à une ligne de conduite dont elle ne s’est jamais des parties, a jugé de son devoir de s’associer à ce grand témoignage de reconnaissance publique. Mais également et l’a voulu se souvenir qu’il y a plus de 28 ans, le 10 juin 1907, la photographie des couleurs, autre découverte des plus remarquables, était présenté dans ces salons au nom de Monsieur Louis Lumière par Monsieur Auguste Lumière, son frère aîné : cette date marque l’essor prodigieux et mondial de la plaque autochrome. C’est pourquoi rapprochant les faits et joignant les hommes, unissant ces dernières dans une même illégitime gloire comme ils ont été unis dans un même et inlassable labeur, elle consacre aux frères Lumière cépages en hommage respectueux

  • Taille : 30.5cm x 25cm
  • N° 4836 de la page 299 à la page 310
  • Un grand Jubilé scientifique, par R. Chenevier
  • L’évolution technique du cinématographe, par Jean Labadié
  • Destin du cinéma, par Robert De Beauplan
Epitaph
2003
Ubulibri
Epitaph
Auteur : Societas Raffaello Sanzio, Romeo Castellucci

ISBN : 8877482168

Mentre cancella dal suo repertorio in transformazione storici spettacoli replicari per anni in tutto il mondo come genesi, la Societas Raffaello Sanzio fissa per noi in queste pagine un montaggio di immagini della sua opera : Sono fugure urlanti senza suoni, impaginate con un gioco di contrasti per esaltarme la fisicità, messa a confronto con la natura e con l’arte che ispira questa visionaria escursione nel terribile. Con Epitaph, Romeo Castellucci ci consegna la storia del gruppo in cui sono cresciuti i suoi figli, arrichendola pero con altre prospettive, grazie a una tensione pittorica che è a un tempo memoria, creazione e progresso : un libro d’arte da guardare comme uno spettacolo.

  • Taille : 24cm x 22cm
  • Sommaire
  • Textes
  • Ce livre de Franco Quadri pg22
  • « Dans ma tête, tout est confus. Donc, tout va bien. » de Frie Leysen pg26
  • Enfance, animaux, et automates de Alan Read pg28
  • Cicatrices d’une habituée du théâtre de Cristina Ventrucci pg32
  • Epitaph
  • Négation du réel Santa Safia Teatro Khmer, Martürion;Romolo und Remo pg35
  • Le conte.
  • Ligne de fuite. Créer la vie. Trouver une arme
  • La disscesa di Inanna; Alla bellezza tanto antica; Scuola sperimentale di teatro infantile anno I e anno II; La favole di Esopo; La prova di un altro mondo; Pelle d’asino pg47
  • Technologie du soiBrentano; Lucifero. Plus un mot est vieux, plus il va à fond; Masoch. Les triomphes du théâtre comme puissance passive, faute et défaite: Amleto. La véhémente extériorité de la mort d’un mollusque pg63
  • Occident
  • Orestea (una commedia organica ?) - Atto I L’Agamennone, Atto II Le Coefore, Atto III Le Eumenidi pg99
  • Onan e Psyche
  • Giulio Cesare - Atto I Onam, Atto II Psyche pg135
  • Madrigaux de la guerre. Représentations de théâtre musicalIl Combattimento, Voyage au bout de la nuit pg169
  • Genesi. From the museum of sleep - Atto I In principio (gerêsit), Atto II Auschwitz, Atto III Caino e Abele pg197
  • Appendice
  • Légendes pg247
  • Photocrédits pg250
  • Théâtrographie pg251
  • Filmographie, Vidéographie pg253
  • Bibliographie manuscrite, Autres publications pg253
  • Biographies des photographes pg255
La Parade-Sous les Etoiles souvenirs de th. (1902-1912)
1933
Ed. Nouvelle Revue Française
La Parade-Sous les Etoiles souvenirs de th. (1902-1912)
Auteur : Lugné-Poe

Chapitre premier (extrait).

La Marche aux Etoiles.

Maintenant, les années de bourlingueur ge commencent !… Le lecteur a déjà été prévenu qu’il ne doit pas compter trouver ici de l’histoire, de la chronologie, un journal de bord. quoi cela servirait-il. ? je ne m’en suis jamais soucié. Le temps est le théÂtre n’ont rien de commun. J’ignore si le temps renferme une vérité, mais je crois savoir que le théâtre, lui, n’est jamais que les apparences donc contenir une.

Toujours ramer… Jusqu’à l’affreuse tourmente de 1914 ou le travail s’interrompit !

1900… 1901 !… Poursuivre comment ?

J’espère bien que le ton ne va pas devenir trop grave - le lecteur me laisserait tomber dans sa corbeille à papier, s’il ne l’a déjà fait. Poursuivre… 901 ?… Ne sait comment… Ou bien ?… Ou bien peut-être que si, par la grce de ce sacré démon dans les moins elle qui fit de moi tout autant un diable sur les tréteaux, qui m’a rendu agressif, acaritre et souvent injuste à l’égard de chacun de ceux qui, en face de moi, penser à autre chose qu’au thétre ; j’en suis devenu impropre à tout le reste, à regarder ailleurs que .sur les planches.. En dessous ou même en dessus ! …

Lugné-Poe

  • Taille : 22cm x 17cm
  • Table des matières.
  • Chapitre I.
  • La marche aux étoiles. pg7
  • Chapitre II.
  • A la recherche d’une étoile. pg20
  • De Max. pg40
  • Mona-Vanna. pg47
  • Chapitre III.
  • Gabrielle d’Annunzio à « l’Oeuvre ». 57
  • Chapitre IV.
  • Eleonora Duse « l’Oeuvre ». pg71
  • Chapitre V.
  • Eléonora Duse à Paris. pg99
  • Chapitre VI.
  • « Prima donna » en route ! pg127
  • Chapitre VII.
  • Brésil… Omagio al Genio point pg151
  • Chapitre VIII.
  • Une soirée de gala à Buenos Aires. pg175
  • Chapitre IX.
  • … Ego nominor … pg202
  • Chapitre X.
  • L’Etna en scène avec Giovanni Grasso. pg217
  • Chapitre XI.
  • Isadora !… Et nos « Oeuvriers ». pg235
  • Albert Mathieu. pg259
  • José Savoie. pg261
  • Quelques lettres d’Eleonora Duse pg266
  • Liste des noms contenus dans cet ouvrage. pg291
Théâtre de Belgique N° 7
1955
Olivier Perrin Editeur
Théâtre de Belgique N° 7
Auteur : Collectif

.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Sommaire.
  • Editorial.
  • Théâtre ! Expression de notre temps ! par Herman Tierlinck
  • Affiches de juillet, août et septembre 1955.
  • Messieurs les critiques, tirez les premiers !
  • Les arbres meurent debout.
  • Victimes du devoir.
  • Lucifer.Montserra.
  • Le Valet des deux maîtres.
  • La Malle de Pamela.Magie rouge.Magie rouge.
  • L’art de la danse.
  • Les midis de la danse.
  • Naissance de la télévision.
  • Ce théâtre intime.
  • Le combat des jeunes.
  • Celui du studio 50
  • Premier contacts.
  • Le théâtre lumière.
  • Romeo et Juliette.
  • Depèches.
  • Le théâtre belge en France.
  • Le chariot de Thepsis.
  • Le T.N.B. en Amérique du Sud.
  • La poésie des castelets.
  • Les Pats
  • .La chronique du théâtre éducatif.
  • Un miracle à Stave.
  • Présence du comédien.
  • Catherine Fally
  • Le théâtre dans la société.
  • Théâtre ! Art du spectacle !
  • Destin du théâtre belge.
  • Hommage à Lode Cantens.Hierarchie.
  • Un acte de Henry Soumage
  • Couverture de Georgette Mariot.
Coulisses et secrets du Cirque
1934
Librairie Plon
Coulisses et secrets du Cirque
Auteur : Henry Thétard

Avant-propos. Ce livre n’est pas l’« Histoire du Cirque » que tant d’amateurs du spectacle de la piste m’ont demandé d’écrire et qui paraîtra en son temps, du moins je l’espère. Ici, j’ai compté simplement mes souvenirs personnels sur le monde du cirque et des forains, sur la « banque » et sur le « voyage » pour parler la langue de ce milieu qui est un peu plus attrayant et pittoresque que cette autre « milieu » dont on nous casse les oreilles depuis quelques années. J’ai compté mes impressions d’enfance, de l’époque où il y avait encore de belles fêtes foraines et de beaux métiers forains, et aussi les voyages que j’ai faits, depuis une dizaine d’années, en la compagnie de grands cirques ambulants d’Allemagne, de France et d’Angleterre. Enfin, j’ai relaté quelques impressions du dompteur amateur que je suis parfois … trop rarement à mon gré. Dans un autre ouvrage, je me réserve de parler du Zoo de l’Exposition Coloniale de Vincennes à la création duquel j’ai collaboré et dont je fus le premier directeur … Ceci dit, pour l’information des nombreux amis et sympathisants qui ont bien voulu s’intéresser à mon effort et me seconder avec tant de désintéressement.H Henry Thétard 1er mai 1934

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table des matières.
  • Préface. pgI
  • Avant-propos. pgVII
  • Chapitre I. La fête foraine et le cirque ambulant. pg1
  • Chapitre II. Le cirque des monstres. pg31
  • Chapitre III. Le cirque automobile. pg44
  • Chapitre IV. Un enfant de Marseille. pg72
  • Chapitre V. Des mousquetaires de fête foraine. pg88
  • Chapitre VI. Les rois des « Manouches ». pg102
  • Chapitre VII. Le cirque exotique. pg129
  • Chapitre VIII. De l’étal de la poissonnerie à la cage aux lions. pg139
  • Chapitre IX. La grande famille d’Ida Krone. pg151
  • Chapitre X. Le Maharadjah. pg164
  • Chapitre XI. Un cirque de gentlemen. pg200
  • Chapitre XII. Belluaires et bestiaires. pg219
Scénographie en Belgique-Scénographie, Architecture, Affiche...
1980
Inc.
Scénographie en Belgique-Scénographie, Architecture, Affiche...
Auteur : Serge Creuz

Cette exposition se porte sur des activités théâtrales de troupes et compagnie, de scénographe et d’architectes durant les 15 dernières années.

Il est constitué dans sa majeure partie des éléments rassemblés pour les quadriennal de Prague, Et d'une série de documents sur le jeune thétre de Belgique présentée par l'ABSTT à Paris (CISCO).

Elle montrera qu’avec des moyens assez modestes, un acharnement sans bornes, avec une ouverture très large, on peut faire un travail documentaire tout à fait inédit en Belgique. Jamais, en effet, une telle documentation thétrale n’avait été rassemblée chez nous.

Maquettes de décors, costumes, affiches, catalogues, plans et maquettes d’architecture, marionnettes, masques, constitueront pour le public, pour les chercheurs spécialisés la base d’une information très précieuse. Rappel pour ceux qui ont vécu ces activités culturelles naguère ou aujourd’hui, initiation pour les autres et pour les jeunes qui n’ont pas vu ses spectacles.

Ce sera surtout, espérons-le, l’amorce d’une collection plus riche encore, nourrie d’apports nouveaux, de dons, de dépôt précieux pour tous ceux que passionne - voire antagonistes, c’est vivifiant - le phénomène théâtral. Ce sera surtout, espérons-le, le coup d’envoi enfin donné, à cette « Maison du Spectacle », rêve déjà ancien pour lequel je milite sans relche depuis …depuis longtemps…

Pourquoi une telle « maison du spectacle »?

Tout simplement parce qu’elle est indispensable. Il y a là un créneau demeurait cruellement vacant jusqu’à ce jour. Le théâtre, le spectacle, participe de l’éphémère. Par essence même. Ce sont des arrhes de l’instant. Il en reste bien sr, et c’est important, le souvenir pour les spectateurs qui ont partagé cet instant. Cette mémoire est cependant fragile et tout ce qui a contribué à l’événement théâtral retourne vite à la poussière. On ne peut le perpétuer totalement, mais il est possible de préserver certains de ses éléments constitutifs. Outre cette mission conservatoire et documentaires, la « Maison du Spectacle » doit être un lieu de rencontre, un centre vivant d’expositions temporaires « donnant à voir » ce qui se passe à l’étranger comme chez nous, de colloques, de réunions de spécialistes, de scientifiques, de créateurs et de critiques, de stages de recherche technique ou théorique, de formation ou de perfectionnement. La cour sera en été, un lieu en tout point intéressant pour y présenter des spectacles.

La situation de la « Maison du Spectacle » en pleine ville active, proche de diverses moyens de communication, répond idéalement aux nécessités de ses fonctions diverses.

Depuis 1971 donc la Belgique est représentée aux quadriennales de Prague. de très flatteuse récompense (médaille d’or, médaille d’argent, diplôme d’honneur) décerné par un jury international distinguèrent notre participation parmi une trentaine de pays et non des moindres … Grce à notre obstination mais aussi par l’aide obtenue de certaines autorités. Ancêtres quelques années, nous avons eu plusieurs ministres. Tous ont soutenu nos efforts, Messieurs Parisis, Falize, Van Aal, Dehousse, Hansenne, Persoons et Degroeve. Il convient de remercier aussi leurs chefs de Cabinet, Messieurs Dimont, Godfroid, Luxen, Dehaybe, Inberg et leurs collaborateurs.

L’appui logistique et la sympathie des « Beaux-Arts et Lettres », à commencer par l’Administrateur Général Monsieur Remiche et par Monsieur Marcel Hicter, par Messieurs Maniquet, De Lulle, Lucas, Quaghebeur et Stouffs, nous furent d’un secours précieux.

Par deux fois, Liège accueilli des expositions au Centre d’Outremeuse qui nous fut ouverte à l’invitation de Monsieur Hubert Pirotte, Echevin des Beaux-Arts et de son Directeur Général Monsieur Robert Maréchal. Qu’ils trouvent tous ici l’expression de notre gratitude.

Enfin la Maison de la Bellone.

Le Bourgmestre Monsieur Van Halteren alors qu’il était encore Echevin des Beaux-Arts de la Ville de Bruxelles a bien voulu s’intéresser à cette idée. Son successeur Monsieur Pierson n’ont pas ménagé les efforts de la Ville et de ses services pour faire de la Maison de la Bellone restaurer un ensemble propre à concrétiser notre rêve.

Cette maison possède une merveilleuse façade bruxelloise du XVIIe siècle. Cette façade est en soi un des plus beaux décors du monde.

Elle est dédiée à Bellone, déesse de la guerre.

Bellone et la paix sont depuis le début des temps protagonistes des ouvrages dramatiques et lyriques.

Le Gouverneur de la Province du Brabant, Monsieur Yvan Roggen s’intéresse au projet de Monsieur Poupko président de la Commission Française des Commissions de la Culture de l’Agglomération de Bruxelles, joint ses efforts au nôtre.

Cette exposition est donc la première grande concrétisation de ce rêve très motivé.

Gageons qu’avec tous ces concours prestigieux, la déesse guerrière sera encline à protéger, elle aussi, nos très pacifiques théâtres d’opérations.

Serge Creuz

Président de l’Association belge des Scénographes et Techniciens de Théâtre.

Président de la Commission des Programmes de l’OISTT

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Jean-Claude De Bemels
  • Joelle Roustan et Roger Bernard
  • Jean-Marie Fievez
  • Andrei Ivaneanu
  • Daniel Scahaise
  • Bernard De Coster
  • Jacques D’Hondt
  • Raymond Renard
  • Roby Comblain
  • Serge Creuz
  • Jacques Van Nerom
  • Marie-Claire Van Vuchelen
  • Théâtre du Sygne
  • Création collective Le PlanK
  • Laboratoire Collectif Dur-An-Ki
Le Théâtre en France de la Révolution à nos jours
1989
A. Colin
Le Théâtre en France de la Révolution à nos jours
Auteur : Jacqueline de Jomaron, Collectif

ISBN : 2200371314

La publication d'une histoire du théâtre en France, du Moyen Âge à nos jours, est une « premier ». Qui s'y intéresse devrait jusqu'alors en chercher les morceaux et pas dans les histoires du théâtre mondiale ou dans les multiples ouvrages spécialisés consacré à telle ou telle période.

Cet ouvrage a l’ambition de rendre compte de l’histoire du théâtre en France dans sa continuité et sa complexité, dans ses liens avec l’histoire politique et social de notre pays.

À toutes les époques, le théâtre est un art ou sans gages collectivement auteurs, acteurs, metteurs en scène, spectateurs. Le Théâtre en France aborde le « fait théâtral » dans toutes ses composantes : élaboration des esthétiques et des formes dramaturgiques, modes et lieux de production, relations avec les institutions politiques et religieuses, pratiques et techniques scéniques, représentations, jeu de l’acteur, public.

La conception de cet ouvrage n'est pas celle d’une classique rédaction chronologique et événementielle. Un collectif de 13 spécialiste en études théâtrales, parmi les meilleurs théoriciens praticiens, se sont partagé 23 contributions, chacune constituant un véritable essai original et pouvant être lu comme tel. L'ensemble ne constitue pas moins, grâce a la préparation collective des deux volumes, une véritable histoire du théâtre en France,

cohérente et rigoureuse, aussi complète que possible dans le cadre imparti.

Madame Jacqueline de Jomarron à animer une équipe ainsi composée : Emile Copfermann, Michel Corvin, Bernard Dort, Bernard Faivre, Pierre Frantz, Jacqueline de Jomaron, Henri Lagrave, Daniel Linenberg, Jean-Jacques Roubine, Lean-Pierre Sarrazac, Colette et Jacques Scherer, Anne Uberfeld.

Plus de 400 documents, plans, gravures et tableaux, photographies, extraits d’écrits de chaque époque, prolongent et éclairent le texte.

  • Taille : 25,5cm x 18,5cm
  • Sommaire.Les Trétaux de la Révolution (1789 - 1815).
  • Théâtre et fêtes de la Révolution, par Pierre Frantz. pg9
  • L’Ere du Grand Spectacle (1815 - 1887).
  • Le moi de l’Histoire, par Anne Uberfeld. pg37
  • La grande magie, par Jean-Jacques Roubine. pg95
  • La tentation du vaudeville, par Daniel Lindenberg. pf163
  • L’Avènement de la Mise en Scène (1887 - 1951).
  • Reconstruire le réel ou suggérer l’indicible, par Jean-Pierre Sarrazac. pg191
  • Jacques Copeau : le trétau nu, par Jacqueline de Jommaron. pg215
  • Ils étaient quatre …, par Jacqueline de Jomaron. pg227
  • En quête de textes, par Jacqueline de Jomaron. pg271
  • Et par Ailleur …Un « Théâtre pour le peuple »,par Jacqueline de Jomaron. pg305
  • Subversions : de Jarry à Artaud, par Michel Corvin. pg323
  • Le boulevard en question, par Michel Corvin. pg341
  • L’Etat intervient, par Emile Copfermann. pg 381
  • Le Théâtre de tous les Possibles (1951 - 1988).
  • La décentralisation, par Emile Copfermann. pg395
  • Une écriture plurielle, par Michel Corvin. pg407
  • L’âge de la représentation, par Bernard Dort. pg451
  • Chronologie, bibliographie, index, table des matières. pg535
Stock Scenery Construction Handbook
1999
Brodway Press
Stock Scenery Construction Handbook
Auteur : Bill Raoul

ISBN : 0911747389

The book is all about the basics - flats, platforms, ramps, steps, curtains, drops, paint, Yawn. (It could be worse. It could be one another one of those expensive tomes on scenic and construction.) If you’ve never built scenery, this book will show you, in easy-to-follow steps, how to do it right the first time. If you are an experienced « technie » you will want to keep this book handy just in case you forget the answers to questions like :

On an inside opening in a flat, what is the correct set back for plywood fasteners ?

Should fresh muslin always be used for a dutchman ?

What solvent will get dried paint out of a paint brush ?

The autor, Bill Raoul has designed and built hundreds of productions, including Time of You Life twelve times. This second edition has additional information on drops and hardwall scenery, as well as a new chapter on paint.

  • Taille : 28cm x 21,5cm
  • Contents.
  • Preface. ix
  • Part I. The Basics. pg1
  • Part II. Flats. pg18
  • Part III. Soft Sceney. pg112
  • Part IV. Platforms. pg134
  • Part V. Steps and stairs. pg187
  • Part VI. Shop Math. pg214
  • Part VIII. Shop talk, Shop tricks and shop made tools. pg238
  • Part IX. Paint. pg247
  • Appendix. pg272
  • Index. pg273
Ecrits sur le Théâtre-Tome 2-1917-1929
1975
La Cité-L'Age d'Homme
Ecrits sur le Théâtre-Tome 2-1917-1929
Auteur : Vsevolod Meyerhold, Béatrice Picon-Vallin

1917 - 1929.

Epoque capitale dans l’histoire du thétre moderne et dans la quête de V. Meyerhold. Ce deuxième volume de ses écrits n’est pas un ouvrage théorique savamment construit, mais un recueil de lettres, de notes, d’études, d’entretien et d’articles écrits dans le feu de l’action, aux pulsations de l’époque, au rythme d’une activité créatrice sans cesse renouvelée.

L’aventure du Meyerhold des années vingt, c’est celle d’un homme qui s’engage résolument aux côtés de la révolution, mais qui ne peut séparer révolution esthétique et révolution politique, c’est celle aussi d’un metteur en scène qui rêve de promouvoir un véritable théâtre populaire libéré de tout publique élitaire, un théâtre politique qui active le spectateur, un théâtre social inscrit dans la vie quotidienne est capable de l’influencer, mais ce metteur en scène la ne croit pas qu’ils soient possibles d’y parvenir sont menés parallèlement à sa quête une véritable recherche de laboratoire qui permette de retrouver, de créer, d’expérimenter les moyens d’expression nécessaire.

Les Aubes, Mystère-Bouffe, Le Cocu magnifique, La Mort de Tarelkine, La Terre cabrée, la Forêt, D.E., Le Professeur Boubous, Le Mandat, Hurle, Chine!, Le Revizor, Malheur à l’esprit, La Punaise, La Grande Lessive, autant de spectacles clés qui éclaiVrent pour nous les écrit de. Meyerhold heureusement complétées par des articles de critique que Béatrice Picon-Vallin a judicieusement choisie. Voilà une démarche tantôt portée aux nues, tantôt soumise à des attaques croisées, voilà une série de créationMeyerhold pousse la remise en cause du thétre de son temps, une remise en cause qui touche autant la scène que l’épopée constructiviste dénude avant qu’on la repeuple, que l’acteur auquel la biomécanique fournit de nouveaux moyens d’expression essentiellement physique où se conjugue la nostalgie de la commedia dell’arte et et du cirque et le got pour le rationalisme de la mécanique. La dramaturgie aussi est touchée. Certes il y a Maïakovski, mais à côté un grand vide de pièces. La dramaturgie de la Révolution reste à créer. Si tuation difficile à laquelleMeyerhold fait face : adaptations de pièces modernes redécoupées, actualisation de classique, des constructions et reconstruction de texte, c’est tout un travail nouveau d’élaboration dramaturgique qu’il effectue.

Voilà une pratique très actuelle, comme son actuel l’improvisation, le travail collectif que prônent les pratiques Meyerhold et son équipe, et le réalisme social à base de grotesques et de conventions auxquelles sa recherche aboutit dans la seconde partie des années ving.

  • Taille : 23cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Préface par B. Picon-Vallin. pg7
  • Avertissement. pg25
  • Appel des acteurs au gouvernement soviétique (extrait d’un projet). pg27
  • Du travail et du loisir (1918p). pg28
  • Intervention à la réunion du Narkompros consacré au thétre (1918). pg30
  • La renaissance du cirque (1919). pg33
  • Plan d’un exposé pour le congrès des ouvriers, paysans et montagnards de la région de la mer Noire (1928). pg36
  • Les buts de la section théâtrale du Narkompros (1920). pg38
  • Intervention devant le collectif du premier Théâtre RSFSR (1920). pg40L
  • es Aubes (A. Gvozdiev) . pg44
  • Les Aubes.
  • I. La mise en scène des Aubes au Premier Théâtre RSFSR (1920). pg46
  • II. Intervention au premier Lundi des Aubes (1120). pg50
  • III. La scénographie des Aubes (1926). pg51
  • J’accuse (1920). pg53
  • Feuillets théâtraux.
  • I. La dramaturgie et la culture du théâtre (1921). pg56
  • II. La solitude Stanislavski (1921). pg62Mystère-Bouffe (A. Gvozdiev). pg67
  • Règlement du Premier Théâtre RSFSR (1921). pg69
  • Critique du livre de A.S. Taïrov, carnet d’un metteur en scène (1921 - 1922). pg71
  • L’acteur du futur et la biomécanique (1922). pg78
  • L’emploi de l’acteur (1922). pg81
  • Tableau des emplois. pg83
  • Travail d es données physiques naturelles de l’acteur. pg91
  • Le Cocu magnifique (A. Gvozdiev). pg92
  • Le Cocu magnifique.
  • I. Meyerhold à Lounatcharski (1922). pg94
  • II. Comment fut monté le Cocu magnifique (1926). pg97
  • La mémoire d’un chef (1922). pg99
  • La Mort de Tarelkine (A. Gvozdiev). pg101
  • Les mises en scène de Meyerhold au théâtre de la Révolution (B. Alpers).
  • I. l’Homme-Masse. pg103
  • II. Une place lucrative. pg104
  • III. Le lac Lull. pg105
  • La Terre cabrée (A. Gvozdiev).
  • La Terre cabrée.
  • I. un spectacle d’agitation (1923). pg109
  • II. Le dispositif de la Terre cabrée (1923). pg110
  • Lettre à Stanislavski (1923). pg111
  • La Forêt (A. Gvozdiev). pg107
  • I. intervention au cours d’un débat sur le spectacle (1924). pg114
  • II. Intervention avant le spectacle du 10e anniversaire (1934). pg115
  • Projet de mise en scène du Malheur d’avoir trop d’esprit au Théâtre de la Révolution. pg117
  • I. Conception générale du spectacle (1924). pg117
  • II. Lettre à A.I. Golovine (1924). pg119
  • Le Théâtre Malyi et A. Moissi (1924). pg120
  • D.E. (A. Gvozdiev). pg122
  • D.E. Entretien avec le collectif du théâtre Meyerhold (1924). pg124
  • Le Professeur Boubous (A. Gvozdiev). pg126
  • Le Professeur Boubous et les problèmes posés par un spectacle sur une musique.
  • I. Jeux et près je (1925 ). pg128
  • II. Exposé du 1er janvier 1925. pg129
  • Le Mandat (A. Gvozdiev). pg157
  • Le Mandat.
  • I. Réponse à une enquête du journal Vetchernaïa Moskva (1925). pg159
  • II. Intervention à la section théâtrale de l’Académie Russe des Sciences de l’Art (925). pg160
  • Hurle, Chine ! (A. Gvozdiev). pg163
  • Hurle, Chine ! Entretien avec le correspondant de Vetchernaïa Moskva (1926). pg163
  • Préface au livre d’Arcadi Avertchenko, carnet d’un rat de théâtre (1926). pg165
  • lettres à Maïakovski (1926). pg167
  • Intervention lors de la séance solennelle à la mémoire de E.B. Vakhtangov 1926. pg168
  • Le Revizor (A. Gvozdiev). pg172
  • Le Revizor.
  • I. Conception générale du spectacle (1925). pg175
  • II. Entretien avec les acteurs (1925). pg185
  • III. Remarque de travail (répétitions du premier acte) (1926). pg191
  • IV. Extrait d’un entretien avec les acteurs (1926). pg194
  • V. Bilan du travail sur Le Revizor (1927). pg196
  • A. 15 thèses pour 15 épisodes. pg196
  • B. Extrait du sténographe de l’exposé. pg197
  • Propos du spectacle Lioubov Iarovaïa (1926 - 1927). pg211
  • Entretien avec de jeunes architectes (1927). pg212
  • L’art du metteur en scène parenthèse (1927). pg216
  • Malheur à l’esprit (C. Roudnitski). pg225
  • Malheur à l’esprit (première version scénique ). pg227
  • I. Entretien avec les participants du spectacle (1928). pg227
  • II. Quelques mots sur la mise en scène de Malheur à l’esprit (1928). pg236
  • III. Lettre à B.V. Asafiev. pg237
  • L’originalité du Théâtre d’Etat Meyerhold (Gostim) (1928). pg239
  • La Punaise (A. Fevralski). pg241
  • La Punaise.
  • I. Télégramme à V.V. Maïakovski (1928). pg242
  • II. La nouvelle pièce de Maïakovski (1928). pg242
  • III. Extrait d’une intervention au Club de la Révolution d’Octobre (1929). pg243
  • IV. Intervention à la Maison centrale des Komsomols de Krasnaia Presnia (1929). pg243
  • Plan de la mise en scène de la pièce de S.M. Tretiakov Je veux un enfant. pg246
  • Le Gostim Et l’armée rouge (129). pg248
  • Le Commandant de la seconde armée (C. Roudnitski). pg250
  • Le Commandant de la seconde armée.I. Intervention au Conseil politique et artistique du Gostim (1929.) pg252
  • II. Intervention au Conseil politique et artistique du Gostim (mai 1929). pg253
  • III. Quelques mots sur la mise en scène (1929). pg254
  • La Grande lessive (C. Roudnitski). pg256
  • La Grande lessive.
  • I. Intervention au Conseil politique et artistique du Gostim (1929). pg258
  • II. intervention au Club de la remière imprimerie modèle (1929). pg261
  • III. propos de la Grande lessive de V. Maïakovski (1930). pg262
  • Tableau chronologique des mises en scène de meilleurs rôles de, de 1917 à 1930. pg265
  • Note. pg276
  • Index des noms cités. pg319
  • Table des matières. pg325
Magie lumineuse, du théâtre d'ombres à la lanterne magique
1979
Balland
Magie lumineuse, du théâtre d'ombres à la lanterne magique
Auteur : J. Remise, P. Remise, R. Van De Walle

ISBN : 2715802269

La lanterne magique est l'ancêtre des appareils de projection et particulièrement du projecteur de diapositives. Inventée au 17ème siècle par le père Athanase Kircher en Allemagne et par le père De Châle en France, elle permet de projeter des images peintes sur des plaques de verre à travers un objectif, via la lumière d'une chandelle ou d'une lampe à huile. Tout d'abord baptisée « lanterne de peur »par son inventeur, elle est, après plusieurs appellations successives, renommée« lanterne magique » par le jésuite Francesco Eschinardi en raison de la fascination que ses images exercent sur le public.

  • Taille : 26cm x 34,5cm
  • Table des matières.
  • I - Les origines de la lanterne magique. pg11
  • Les miroirs magiques . pg13
  • De la chambre noire à la lanterne magique. pg 18
  • La lanterne de Kircher . pg24
  • L’abbé Nollet et les successeurs de Kircher. pg30
  • II - La fantasmagoriede Robertson. pg39
  • Le physicien aéronaute E.G. Robertson. pg41
  • III - Les grandes heures de la lanterne magique. pg63
  • L’industrialisation avec Lapierre. pg65
  • La technique des lanternes . pg71
  • Les différents types de lanternes. pg102
  • Les plaques de verre. pg121
  • Les séances familiales. pg153
  • Les projections scientifiques et les conférences illustrées. pg169
  • Le théâtre optique d’Émile Reynaud. pg181
  • IV - Les récréations optiques. pg207
  • Jouets et divertissements. pg209
  • V - Les ombres. 233
  • Le théâtre d’ombres en Asie. pg235
  • Le théâtre de Sépharin. pg251
  • Les silhouettes . pg279
  • L’ombromanie. pg295
  • L’épopée du Chat-Noir. pg303
Traité d'Aménagement Salles Spec-L'équipement scènes, estrades
1950
Vincent, Fréal & Cie Ed.
Traité d'Aménagement Salles Spec-L'équipement scènes, estrades
Auteur : L. Leblanc, G. Leblanc

L’équipement des scènes et des estrades.

La première partie parut en 1939 - dispositions à prévoir en plan et en coupe dans le cadre des règlements - ne traitait pas de l’équipement de scène.

La présente étude destinée à compléter la précédente et tient compte non seulement les modifications apportées lors du décret du 7 février 1941, mais aussi de la révision de ce décret.

Pour ceux qui désireraient s’étendre sur l’histoire et sur l’évolution de la scénographie, nous renvoyons au bel ouvrage de Pierre Sonrel parus en 1944.

Ici, nous avons cherché à grouper en planches succinctes et dans l’esprit qu’a bien voulu souligner Henri Prost lors de notre édition antérieure, certains renseignements essentiels que les architectes et constructeurs, comme d’ailleurs les Services des Administrations publiques ou privées, désire également avoir sous la main.

Notre documentation est particulièrement axée sur l’expérience d’entreprise qui travaille pour les spectacles.

Certains éléments ont été retenus la pratique d’une industrie créée et développée à partir de 1905 pour l’équipement des scènes de sociétés.

Eugène Ramelet nous apportait, de son côté, à partir de 1930, l’expérience des grandes scènes où il assurait la direction technique auprès des frères Isola (Théâtre Mogador, Sarah Bernhardt, Opéra-Comique) après avoir secondé Albert Carré pendant de nombreuses années. Type du technicien de la scène, comme on n’en connaît surtout à l’étranger, il avait, avec Viel, fixer certaines traditions de la machinerie.

A la même époque, nous pouvions suivre, par une pratique assidue sur la scène du Théâtre National de l’Opéra, l’évolution de la vieille technique des artistes alliés au techniques les plus diverses d’une scène qui s’engageait vers la rénovation accomplie dans la décade suivante.

Une première ébauche de la présente étude avait été faite en 1930 sous forme d’Album documentaire. La question délicate du décor en a été reprise le plus objectivement possible avec Paul Leblanc qui tirait autour des années actives de 1943 à 1945 - fut à l’école de Jean Meyer en même temps qu’à celle de Brianchon.

Jacques Lomont, architecte en collaboration avec qui avait été faite la partie de cet ouvrage paru en 1939, a bien voulu établir ici, avec nous, les planches relatives à la construction proprement dite. Nous avons cherché dans ses planches à mettre en regard des conceptions souvent éloignées les unes des autres, mais dont il est souhaitable qu’elles ne s’ignorent pas ; scène profonde des théâtres classiques, estrade des thétres de sociétés qui, par centaines, ont créé - qu’on le veuille ou non - des formes qui s’inscrivent nécessairement dans l’histoire de l’évolution scénique, salles de cinéma, ou encore sale à usages multiples.

En éclairage de scène, une part a été réservée aux progrès de « l’éclairagisme » et à certains résultats pratiques des recherches qui nous a été données de poursuivre et réalisé avec la Compagnie Clémençon. côté de l’étude des moyens d’éclairage, nous nous sommes attachés à garder un repérage des effets obtenus - étude des éclairements, des luminances et des teintes - éléments qui caractériseront une mise en scène encore bien après que les moyens actuellement employés pour la mètrent en valeur auront, que, depuis longtemps disparu.

Georges Leblanc

  • Taille : 24,5cm x 31,5cm
  • Sommaire.
  • Différentes conceptions d’un théâtre. pg4 et 5
  • Scène d’exploitation et de sociétés. pg6 et 7
  • Les charpentes.La scène d’un théâtre classique (ces différentes parties). pg8
  • Scène avec cintre. pg9
  • Scène avec 1/2 cintre. pg10
  • Scène sous plafond et estrade. pg11
  • Evolution du cadre de scène.
  • Position du rideau. Avant-scène. pg12
  • Les rideaux.
  • Rideaux drapés. pg13
  • Jeu de rideaux.
  • Taps. pg14
  • Rideau peint. pg15
  • Lambrequin. Arlequin. Frise et portails. pg16
  • Les décors.
  • Elément du décor. pg17
  • Diverses plantations. pg18
  • Dimensions et matériaux. pg19
  • Diverses conceptions. pg20 et 21
  • Les palais. pg22
  • Chambre et Salons. pg23
  • Les rustiques. pg24
  • Jardins et forêts. pg25
  • Orient. La mère. pg26
  • Place publique. Terrasse. pg27
  • Lieux dramatiques. pg28
  • Le décor transformable. pg29
  • La machinerie.
  • Les équipes. pg30
  • Les mécanismes pour rideaux. pg31
  • Les dessous, maintien des chssis. pg32
  • Plateaux tournantx. Scènes coulissantes. Assemblages. pg33
  • Les éclairages.
  • Le matériel : sa répartition. pg34
  • Rampes et herses. pg35
  • Projecteurs de lumière (spots). pg36
  • Projecteurs d’images. pg37
  • Effets scéniques et artifices. pg38
  • Contrastes et mélanges de lumières. pg39
  • Tableau de commande. Jeux d’orgue. Rhéostats. Gradateurs. pg40 à 42
  • La distribution du courant. éclairage de sécurité et de panique. pg43
  • Dispositif contre l’incendie. pg44
Bühne und Welt, 1907-1908 tome 1
1907
Bühne und Welt
Bühne und Welt, 1907-1908 tome 1
Auteur : G. Elsner, H. Stûmcke

Bühne und Welt

  • Taille : 27cm x 19cm
  • Article page 351 :
  • Nouveau grand jour de Weimar.
  • Photo :Das neu großherzogliche hoftheater in Weimar.
  • Le nouveau Théâtre de la Cour Grand-Ducale à Weimar.
Automates et mécanisme à musique
1973
Conservatoire Nat. Arts-Métiers
Automates et mécanisme à musique
Auteur : Catalogue du Musée, Section Z

Depuis les temps les plus reculés les hommes ont eu l’ambition de faire reproduire à des dispositifs artificiels des actions d’hommes ou d’animaux. Nombreux sont les légendes qui témoignent de la persistance de ce désir. Des figurines animées à la main ont été fabriquées dès l’Antiquité.

Les mécaniciens grecs de l’époque alexandrine, Ctésibius, Philon de Byzance et Héron d’Alexandrie, qui vivait entre le troisième siècle avant J.-C. et le premier siècle de notre ère, ont été les premiers à faire connaître des procédés pour animer automatiquement des figurines. Il est difficile de faire la part d’invention de chacun est de savoir dans quelle mesure ils ont rapporté des moyens connus avant eux. En employant habilement des phénomènes pneumatiques et hydrauliques il savait faire tourner des statuettes ou des portes, animer des oiseaux en bois et leur faire émettre un sifflement qui rappelait leur chant. Ils sont même parvenus à faire jouer de véritables scènes animées à plusieurs figurines.

Les automates hydrauliques et pneumatiques ont été très recherchés à l’époque de la renaissance. La Desjardins et des fontaines qui s’est alors beaucoup développé à inspirer la fabrication de buissons artificiels peuplés de silhouettes mouvantes d’oiseaux dont les sifflets étaient actionnés par l’air chassé au moyen d’un courant d’eau.

Les organes mécaniques ont commencé à apparaître vers la fin du XVIe siècle avec l’invention du cylindre pointé. Ces instruments étaient actionnés à la main à l’aide d’une manivelle.

Des les premières époques de l’horlogerie mécanique on a commencé à fabriquer des automates placés dans les grandes horloges d’édifices. Les plus célèbres d’entre eux en France, les Jacquemarts, ont vu le jour en Bourgogne. C’est vers la fin du XVIIIe siècle que l’art de construire des automates et des mécanismes de musique est entré dans sa plus belle période. La collection du conservatoire possède quelques belles pièces de cette riche période, ces tableaux animés, la cage d’oiseaux chantants, et surtout la joueuse tympanon..

L’apogée de cette table se place sans conteste au dernier quart du XVIIIe siècle. C’est à ce moment qu’ont été réalisés de grands automates androïdes dont la perfection mécanique et esthétique n’a plus l’été atteinte jusqu’à nos jours. La première moitié du XIXe siècle a encore vu de brillantes réalisations, plus particulièrement de petits bijoux de luxe muni de figurines animées et de mécanismes à musique. Toutes les inventions mécaniques utilisables étaient alors trouvées. Par la suite la du décorateur c’est affadi ; les automates ont pris pendant la seconde moitié du XIXe siècle un aspect caricatural. La construction des appareils musicaux à évoluer vers des réalisations de plus en plus compliquées et volumineuses jusqu’à l’invention du phonographe. L’utilisation du moteur électrique a surtout servi le perfectionnement des appareils à enregistrer et reproduire le son qui échappait au domaine de la boîte à musique.

L’électricité n’a pas complètement supplanté le ressort d’acier pour animer les automates modernes. Ceux-ci ont cessé d’être des objets de luxe ; fabriqué en grande série ils sont devenus des jouets de vente courante.

  • Taille : 22cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Table des gravures. pg6
  • Liste des constructeurs. pg7
  • Plan d’indexation. pg9
  • Bibliographie. pg12
  • Tableaux animés - Z1. pg13
  • Automates et mécanismes à musique - Z2. pg23
  • Oiseaux chantants - Z - 1. pg14
  • Automates androïdes à musique - Z 2 - 2. pg30
  • Mécanismes à peignes et cylindres - Z 2 - 3. pg36
  • Orgues et mécanismes à cartons perforés - Z 2 - 4. pg39
  • Horloges et montres à automates et à musique - Z 2 - 5. pg45
  • Androïdes et animaux automates - Z - 3. pg53
Le cirque contemporain, la piste et la scène
1998
Centre nat. docu. pédagogique
Le cirque contemporain, la piste et la scène
Auteur : R.-F. Gauthier, J.-J. Arnault, J.-L. Baillet, . Ciret

ISBN : 9782240005496

A la fin des années soixante, le cirque semblait assoupi, si j’ai dans ses paillettes et ses roulements de tambours. Trois décennies plus tard, beaucoup de vent a soufflé sous les chapiteaux. Le paysage du cirque est en partie chamboulée. Une nouvelle génération d’artistes - acrobates, trapézistes, écuyers, jongleurs, funambules et clowns - la tiré de son sommeil. Un double mouvement s’est produit : d’un côté, le retour aux sources par la recherche « des traditions d’origine », de l’autre, la tentative d’inventer et de créer de nouvelles formes. Dans un cas comme dans l’autre, une volonté de prendre le mot « art » au sérieux avec, à la clé, la conquête de nouveaux publics.

Après avoir largué - parfois sans douceur - les amarres qui les arrimaient à la tradition patriarcale, les nouveaux artistes de cirque se sont lancés vers le grand large. Leur était au métissage des cultures, au piétinement des frontières entre les arts. Leur chemin les a conduits à en croiser d’autres, ceux des acteurs, des danseurs, des musiciens qui cherchaient de leur côté à bousculer la tradition des arts de la rue et de la scène. La tentation la plus forte fut celle du théâtre, à travers des spectacles inscrits dans un univers poétique, esthétique, souvent même politique.

Ce volume de la collection « Théâtre Aujourd’hui » mais en perspective de décennie mouvementée et prend appui sur les créations de quelques équipes : le théâtre équestre de Zingaro, Archaos, le Cirque Baroque, Que-Cir-Que, Les Nouveaux-Nez … En même temps, se tournant vers les gens de théâtre, il analyse la traction puissante que le cirque exercé sur nombre de metteurs en scène et de formateurs d’acteurs.

  • Taille : 21cm x 27cm
  • Sommaire.
  • Petite Pré-« histoire » du cirque … pg4
  • L’Oeuvre et le Menu par Jean-Claude Lallias. pg6
  • De l’Age Classique aux Mutations Contemporaines. pg9
  • Piste et plateau par Pascal Jacob. pg10
  • La transfiguration du cirque par Jean-Michel Guy. pg26
  • Bernard Kudlak. pg52
  • Cirque : la Tentation du Théâtre. pg55
  • Le globe et le cercle par Yann Ciret. pg56
  • Christian Taguet. pg90
  • Que-Cir-Que. pg91
  • André Riot-Sarcey. pg92
  • Gilles Defacque. pg94
  • Jérôme Thomas. pg96
  • Théâtre : La Tentation du Cirque. pg97
  • Des liens historiques par Christine Hamon-Siréols. pg98
  • A travers le cristal forain par Yan Ciret . pg107
  • Moïse Touré. pg117
  • Jacques Lecoq. pg119
  • Alain Gautré. pg120
  • Adrienne Larue. pg122
  • Danse, Cinéma : d’Autres Rencontres avec le Cirque. pg123
  • Les danses du cirque par Rosita Boisseau. pg124
  • Joseph Nadj. pg129
  • Dominique Dupuy. pg132
  • Philippe Decouflé. pg133
  • Chapelle, Keaton, Eustache : trois conceptions de la répétition par Thierry Lounas. pg135
  • Formation et Diffusion : le Renouveau. pg141
  • L’expérience du CNAC par Jean Vinet. pg142
  • François Cervantès. pg148
  • Guy Alloucherie. pg149
  • Sur la piste du mondele rôle de l’AFAA par Sylvie Martin-Lahmani. pg150
  • Jean Digne . pg151
  • Le cirque affiche la couleur ! Par Laurent Gachet. pg152
  • Glossaire. pg156
  • Bibliographie. pg157
  • Filmographie. pg157
  • Index. pg157
  • Adresse des utiles. pg158
Theatre Buildings : A Design Guide
2010
Routledge
Theatre Buildings : A Design Guide
Auteur : Association of British Theatre Technicians, Judith Strong

ISBN : 0415548942

The Association of British Theatre Technicians produced its first guide to the design and planning of theatres in 1972. Revised in 1986, it became the standard reference work for anyone involved in building, refurbishing, or creating a performance space. Theatre Buildings – a design guide is its successor.

Written and illustrated by a highly experienced team of international theatre designers and practitioners, it retains the practical approach of the original while extending the scope to take account of the development of new technologies, new forms of presentation, changing expectations, and the economic and social pressures which require every part of the theatre to be as productive as possible.

The book takes the reader through the whole process of planning and designing a theatre. It looks in detail at each area of the building: front of house, auditorium, backstage, and administrative offices. It gives specific guidance on sightlines, acoustics, stage engineering, lighting, sound and video, auditorium and stage formats. Aspects such as catering, conference and education use are also covered.

The information is supplemented by twenty-eight case studies, selected to provide examples which range in size, style and format and to cover new buildings, renovations, conversions, temporary and found space. The studies include Den Norsk, Oslo; The Guthrie Theatre, Minneapolis; The Liceu, Barcelona; Les Bouffes du Nord, Paris; The RSC’s Courtyard Theatre in Stratford on Avon; and the MTC Theatre in Melbourne. All have plans and sections drawn to 1:500 scale.

The book contains around 100 high quality full colour images as well as over 60 specially drawn charts and diagrams explaining formats, relationships and technical details.

  • Taille : 28cm x 22,5cm
  • Foreword by Sir Cameron Macintosh. VI
  • Preface. VIIISection 1 : Preliminary planning. pg1
  • Section 2 : Broad Principles. pg23
  • Section 3 : Front off hause. pg43
  • Section 4 : Auditorium Design. pg65
  • Section 5 : The Stage and Stage Machinery. pg95
  • Section § : Lighting, Sound and Video. pg119
  • Section 7 : Backstage Provision. pg141
  • Section 8 : Additional Spaces. pg161
  • Section 9 : Restauration, Conversion and Improvement of Existing Buildings. pg179
  • Glossary. pg280
  • Notes on Contributors. pg286
  • Index. pg290
Ceská divadelní architektura-Czech th. archi.
1999
Divaldelni ústav
Ceská divadelní architektura-Czech th. archi.
Auteur : Jiri Hilmera

ISBN : 70080876

Introduction to the Subject and Method.

The aim of the book is to capture the historical development of theatre architecture in what is now the Czech Republic. The book focuses on the design of the stage and auditorium and the way in wich they complement each other. This determines the book’s methodical conception whose angle encompasses both completed structures and important projects wich only reached the design stage.

  • Taille : 24,5cm x 17,5cm
  • Résumé.
  • Introduction to the subject and Method. pg9
  • Beginning on Record. pg10
  • Costanza e Fortezza.
  • Prague theatres during the second and third Quarters of the 18th Cenbtury. pg121
  • 8th Century Theatres in Bohemian and Moravian Castles. pg14
  • Nostitz / Estates Theatre. pg17
  • After the Opening of Estates Theatres (End of the 18th and First Half of the 19th Centuries). pg19
  • National Theatre. pg23
  • Theatres in Bohemia during the Construction of the National Theatre. pg29
  • Czech and Moravian Theatres Designed by the Fellner & Helmer Studio. pg38
  • Czech Theatre Architecture during the 1880s and 1890s. pg47
  • Other Prague Arena Theatres - Urania Exhibition Theatre. pg53
  • Municipal Theatre in Plzed
  • - Theatre Projects Designed by A. Balsanek from the Turn of the Century
  • - Municipal Theatre in Pardubice. pg56theatres Designed by Alexander Graf. pg68
  • Municipal Theatre in Royal Vinohrady. pg75
  • New Styles in Czech Theatre Architecture during the Decade before the First World War. pg81
  • Comptetition to Design the Czech National Theatre in Brno. pg85
  • Another Ambitious Project Thwarted by th War. pg92
  • Plans and Objectives during the Initial Post-War Yeriod. pg95
  • Competition to Design New Theatres in Ostrava, Olomouc and Prague during the Year 1920-22. pg96
  • Czech Theatre Architecture during the 1920s. pg105
  • German Theatres in Czech and Silesian Border Regions during the 1920s. pg114
  • Theatres Designed by Jindrich Freiwald. pg119
  • The Theatre in Usti nad Orlici. pg123
  • New Competition to Design the Czech National Theatre in Brno. pg125
  • Other Projects from the 1930s Wich Were Never Implemented. pg130New Theatres to Emerge during the 1930s. pg134
  • Competition to Design the Theatre in Podebrady. pg137
  • The Initial Post-War Years. pg140Socialist Realism and Unrealistic Megalomania. pg142
  • The First Post-War Competition to Design New Theatre Buildings. pg145
  • Culture House Projects from the Late 1950s and Early 1960s. pg156
  • South Bohemian Projects. pg158
  • Theatre Designs and Construction during 1960s. pg161
  • Jiri Myron Theatre and Other Projects by Ivo Klimes. pg166
  • Prolonged Reconstruction and Precipitate Construction Work. pg168
  • Conclusion : Experiments - and Perhaps Projects for the Future. pg172
PQ of Performance Design and Space 2007
2007
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 2007
Auteur : Ondrej Cerny

ISBN : 9788070082126

Among the many and varied branches of Art, scenography occupies a rather sprcial position, stradding, as it does, the boundary between the plastic arts and theatere. It does not usually aspire to make a mark with individual pieces of work : its purpose being more to serve than to impress, yet its absence could not fail to be marked.

For the programme of this year’s, the eleventh, Quadriennal, the participating countries have been given free reign in selecting a theme. In this respect, I believe that the organisers have sensitively captured the modern mood in the cultural sphere, in wich plurality and diversity rule.

Along with is other visitors, I look forward to all that this record-breaking exhibition of scenoraphy and theatre architecture has in store.

Vaclav Jehlicka

Minister of Culture of the Czech Republic

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Introduction. pg8
  • PQ Council. pg12
  • Jury. pg13
  • PQ Awards. pg16
  • Unesco Prize.. pg17
  • List of Participating Countries and Regiones. pg18
  • Introduction Speech. pg20
  • Exhibition Countries and Regions. pg23
  • Live Events. pg313
  • Accompanyiing Events. pg324
  • List of Schools. pg350
Bauhaus 1919-1933
1990
Benedikt Tachen
Bauhaus 1919-1933
Auteur : Magdalena Droste

ISBN : 3822801798

Le Bauhaus-Archiv Museum für Gestalung de Berlin possèdeBauhaus. Ces vastes archives sont composées de documents, de travaux d’atelier de tous les domaines du design, d’études provenant de cours ainsi que le plan est de maquettes d’architecture.

Fondée en 1960 par Hans M. Wingler à Darmstadt, l’institut s’est établi en 1971 à Berlin, où un btiment a pu être érigé en 1979 d’après les plans de Walter Gropius. Le travail des archives du Bauhaus B consiste à élaborera et à présenter scientifiquement l’histoire du Bauhaus. Cela inclut également des instituts qui lui ont succédé, comme le new bauhaus de Chicago et la Hochschule für Gestaltung d’Ulm. Les archives du Bauhaus comprennent une bibliothèque publiqBue et un musée où l’on peut voir, outre une exposition permanentAe relative aauhaus, des expositions spéciales relatives à différents domaines de l’école et à des thèmes analogues.

  • Taille : 30cm x 24cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg6
  • Les antécédents du Bauhaus. pg8
  • Le Bauhaus de Wiemar : le Bauhaus expressionniste. pg20
  • Les professeurs . pg22
  • Johannes Itten et son enseignement. pg24
  • Les ateliers. pg34
  • Fêtes - travail - jeux. pg38
  • Les femmes du Bauhaus. pg40
  • Les cours d’architecture et la planification de l’habitat. pg42
  • Le conflit Gropius-Itten. pg46
  • Le Bauhaus de Weimar entre les fronts politiques. pg46
  • Art et technique - une nouvelle unité. pg52
  • De Stijl ou Bauhaus. pg54
  • L’enseignement de Paul Klee .pg62
  • L’enseignement de Wassily Kadinsky. pg66
  • L’atelier de céramique. pg68
  • L’atelier de métal. pg75
  • L’atelier de menuiserie. pg82
  • L’atelier du verre et de peintures murales. pg86
  • Les ateliers de sculpture sur bois et de sculpture sur pierre. pg91
  • L’atelier de reliure. pg95
  • L’imprimerie graphique. pg98
  • Le théâtre au Bauhaus de Wiemar. pg101
  • L’exposition du Bauhaus, 1923. pg105
  • L’architecture au Bauhaus de Wiemar. pg110
  • L’étranglement du Bauhaus de Wiemar. pg113
  • Le Bauhaus de Dessau : l’Ecole supérieure de création. pg118
  • Le bâtiment du Bauhaus de Dessau. pg120
  • Les maisons de maître. pg126
  • La cité Törten. pg132
  • Les réformes scolaires de 1925 et 1927. pg134
  • Les livres du Bauhaus - la revue du Bauhaus. pg137
  • Les cours préliminaires de Joseph Albers et de Laszlo Moholy-Nagy à Dessau. pg140
  • L’enseignement de Paul Klee et de Wassily Kadinsky à Dessau. pg142
  • La production et l’enseignement dans les ateliers. pg146
  • L’atelier d’imprimerie et de publicité. pg148
  • L’atelier de textile. pg150
  • L’atelier de menuiserie, l’atelier du métal, l’atelier de peinture murale et l’atelier plastique. pg152
  • Le théâtre au Bauhaus de Dessau. pg158
  • les temps difficiles 1926/1927. pg161
  • La démission de Walter Gropius. pg163
  • Hannes Meyer : Besoins populaires au lieu de besoins de luxe. pg164
  • La réorganisation du Bauhaus. pg167
  • La réorganisation des ateliers. pg174
  • L’atelier de seconde oeuvre - la menuiserie. pg175
  • L’atelier de seconde oeuvre - Le métal. pg176
  • L’atelier de seconde oeuvre - La peinture murale. pg178
  • L’atelier de publicité. pg180
  • L’atelier de tissage. pg184
  • Le thâétre sous Hannes Meyer. pg186
  • Les classes de peinture libre. pg188
  • Les cours d’architecture sous Hannes Meyer. pg190
  • L’Ecole fédérale de Bernau. pg193
  • Les agrandissements de la cité Törten. pg196
  • La balance commerciale du Bauhaus sous Hannes Meyer. pg196
  • la révocation de Hannes Meyer. pg199
  • Mies von der Rohe : Le Bauhaus devient une école d’architecture. pg202
  • La nouvelle orientation du Bauhaus. pg204
  • Difficultés financières - lutte politique. pg207
  • Les cours d’architecture de Hiberseimer et de Mies von der Rohe. pg210
  • La cité Junkers. pg216
  • Les ateliers de publicité et de photographies. pg218
  • L’atelier de tissage et l’atelier de seconde oeuvre. pg224
  • La fin politique à Dessau. pg226
  • Un Bauhaus allemand ? La fin du Bauhaus. pg228
  • Le Bauhaus de Berlin. pg232
  • Appendice.Notes . pg240
  • Biographies. pg242
  • Bibliographie. pg254
  • Crédits photographiques. pg255
Orante-Tragi comédie
1659
A. Courbe au Palais, en Galerie des Merciers, la Palme
Orante-Tragi comédie
Auteur : Georges de Scudery

http://bibdramatique.huma-num.fr/scudery_orante

Qui était Georges de Scudéry ?

Et poette et guerrier il aura du laurier.

Il était une fois un dramaturge qui s’appelait De Scudéry. Ce poète rencontra un grand succès, et, selon son expression, il eut du laurier1. Il fut l’un des plus grands hommes de lettres de la première moitié du XVIIe siècle, et s’illustra dans tous les genres littéraires.

Mais cette renommée ne dura pas et la génération suivante le poussa peu à peu dans l’ombre. Le goût classique acheva de faire méconnaître ses qualités, et aujourd’hui peu de gens ont entendu parler de lui. Il fut pourtant, on va le voir, une des figures incontournables du monde littéraire du premier XVIIe siècle.

Georges de Scudéry2 est né au Havre le 11 avril 1601 (comme nous l’apprend son acte de baptême). Il est le deuxième de trois enfants qui moururent en bas âge. Madeleine naît en 1607. Nous savons que son père est issu d’une très ancienne famille noble3. Militaire, il semble s’être acquis une belle réputation sur les champs de bataille4. Il suit l’Amiral de Villars en Normandie, et devient en 1599, Capitaine du port du Havre de Grâce. Sa mère, qu’il épouse la même année, est Madeleine de Goutimesnil, « une riche demoiselle5 » de Normandie.

Pourtant en 1613 la mort de leurs parents laisse Georges et Madeleine sans fortune. Le capitaine, comme le dit Conrart6, « ne laissa pas ses affaires en bon état en mourant ». Il faut savoir que ce brave père de famille était en fait un pirate. G. Mongrédien nous dit : « Des documents irréfutables attestent que, pour grossir ses modestes gages de capitaine, il se livrait tout simplement à la piraterie7 ». Celui-ci a dépensé toute sa fortune pour le remboursement d’un navire hollandais qu’il avait pillé et détruit8. Cela lui valut deux mois à la conciergerie.

Leur oncle, « un honnête homme et riche9 » les recueille. Nous savons que Madeleine a été élevée chez lui, mais nous n’avons aucune information sur Georges. Eveline Dutertre pense qu’il a fréquenté un collège10. En effet Conrart11 donne beaucoup de détails sur l’éducation de Madeleine, mais ne fait aucune allusion à son frère. Il semble donc qu’il n’ait pas été élevé comme sa sœur chez son oncle.

Noble et pauvre, tout le destine à une carrière militaire. Il s’engage très tôt dans l’armée12. Cela lui donne l’occasion de voyager et de découvrir l’Italie. Comme le souligne la spécialiste du poète, il acquiert ainsi une connaissance précise des faits de guerre, qu’il ne manquera pas d’utiliser dans ses tragi-comédies. Il devient Capitaine du régiment des gardes (régiment d’élite), et se fait remarquer au pas de Suze, dans la guerre du Piémont. Ses qualités d’homme de lettres s’affirment déjà. Nous avons retrouvé des poèmes d’amour et d’éloge. Scudéry a même remporté un prix lors des Palinods de Caen pour le poème Odes sur l’immaculée conception de la vierge.

Il quitte l’armée en 1629, mais n’abandonne pas pour autant son identité de militaire qu’il n’aura de cesse de rappeler13. Selon Lancaster, il fait représenter un an après Ligdamon et Lydias, sa première pièce14. Il s’acquiert dès lors le soutien de Richelieu qu’il gardera jusqu’à la mort de celui-ci. Il s’installe à Paris, rue Vieille du Temple, dans le Marais. Selon Conrart, à la mort de leur oncle, Madeleine vient vivre chez lui15.

Dès son arrivée à Paris, il se fait une place dans la vie mondaine parisienne et s’introduit dans le salon en vogue : celui de madame de Rambouillet. Il y rencontre tous les hommes illustres de l’époque, et participe alors, sous le pseudonyme de Sarraïdes (selon la mode précieuse), à tous les jeux qui y sont organisés. Il prend part à la Guirlande de Julie, avec entre autres Malleville, Chapelain et Conrart, et écrit pour cette occasion ses Douze fleurs, qu’il publiera plus tard à la suite du Vassal généreux (p. 123-127 de l’éd. de 1636). Il participe aux querelles littéraires, et prend tantôt le parti de Malleville dans la « querelle des sonnets » en 1635, tantôt celui de l’Arioste dans la « querelle des Supposés ».

Cette période se caractérise par une production dramatique intense. À part quelques poèmes (« les douze fleurs » dans La Guirlande de Julie et des poèmes de louanges à Richelieu), il s’illustre surtout à travers son théâtre. Entre 1629 et 1642, il écrit douze tragi-comédies, deux tragédies, deux comédies dont une pastorale.

Il se donne une stature de théoricien de la littérature, en lançant une retentissante critique du Cid en 1637. Avec ses Observations sur le Cid16, contrairement aux autres adversaires de Corneille, il élève le débat, en dépassant le stade des injures stériles. Ses arguments, énoncés de façon assez informelle, sont tous issus d’Aristote. Cependant quelques mois plus tard, Les Sentiments de l’Académie française sur le Cid, rédigés pour l’essentiel par Chapelain, révéleront le peu de solidité d’un bon nombre de ses arguments. De plus cet épisode semble l’avoir brouillé pour longtemps avec Corneille.

En 1639, Scudéry continue son travail de théoricien dans L’Apologie du théâtre17 en montrant de quelle façon le théâtre doit permettre l’instruction morale. En 1641, dans la préface du roman de sa sœur, Ibrahim, Scudéry applique cette fois le principe de vraisemblance à la matière romanesque. Tous ses essais théoriques abondent dans le même sens : l’instauration d’une esthétique nouvelle que l’on appellera plus tard le Classicisme.

En 1642, il renonce brusquement et définitivement au théâtre. Nous ne connaissons pas les raisons précises d’une telle décision. Le reste de sa vie sera, de ce fait, beaucoup moins riche littérairement. Il semble utile de noter que cela intervient l’année de la mort de Richelieu.

Selon C. Biet et D. Moncond’Huy18, Scudéry semble se rendre compte qu’il ne peut pas appliquer les préceptes classiques qu’il a énoncés auparavant. Il est probable qu’il a préféré abandonner un genre dans lequel il ne pouvait pas se distinguer.

En 1642, grâce à Madame de Rambouillet, Scudéry obtient le gouvernement de Notre-Dame-de-la-Garde, à Marseille. Mais ce n’est qu’en 1644, qu’il prend ses fonctions. Georges et Madeleine s’installent donc à Marseille avec beaucoup d’enthousiasme. Mais bien vite le poète se sent exilé loin de la vie parisienne. De plus, il semble que le fort, loin d’être un site stratégique, ne soit qu’une triste masure. Mais cette inactivité laisse à Scudéry des loisirs : il écrit et fait publier en 1646, Le Cabinet de M. de Scudéry. Notre auteur est un amateur d’art éclairé. Il collectionne très tôt les portraits des poètes célèbres. Ce goût se retrouve dans ses pièces, ses poèmes et dans cette œuvre entièrement consacrée à cette passion, dans laquelle il commente cent douze œuvres, principalement des tableaux. Puis en 1647, Il publie Les Discours politiques des rois. Scudéry continue à écrire des poèmes qu’il publiera en 1649 sous le nom de Poésies Diverses.

Sans raisons apparentes, le frère et la sœur reviennent à Paris en 1647. Scudéry peut alors de nouveau se consacrer exclusivement à la littérature. Il est élu à l’Académie française en 1649, pour remplacer Vaugelas. En 1651, il écrit et publie un poème adressé à Louis XIV, Salomon instruisant le Roi. Après s’être essayé à la poésie, au théâtre et au roman, il s’attaque au genre noble par excellence : l’épopée. Il publie en 1654 Alaric ou Rome vaincue, dédiée à la reine Christine de Suède. Mais Scudéry ne se mêle plus à la vie mondaine comme auparavant. Il traverse apparemment une période de découragement. Mlle Du Val (une amie de Rouen) fait allusion dans un épigramme au « chagrin », à « l’espoir abattu » du poète.

À cet isolement, viennent s’ajouter des problèmes politiques. C’est en effet le début de la Fronde. Cette affaire va particulièrement affecter Scudéry puisque le prince de Condé est son protecteur. En 1654, il tombe en disgrâce car il est soupçonné d’être un informateur du prince de Condé, alors exilé et allié aux Espagnols19. Il doit partir pour la Normandie.

Scudéry reste exilé de Paris durant six années. Pendant ce temps, les seuls faits notables sont son mariage en 1655 avec Marie-Madeleine du Moncel de Martinvast, la naissance de son fils en 1658, et la composition du roman Almahide ou l’esclave reine. C’est un roman mauresque de 6 533 pages. D’après Somaize20, Mme de Scudéry, qui apparemment possède une belle plume, a participé à l’élaboration de ce roman.

Il revient à Paris en même temps que la famille Condé en 1660. Il ne retourne pas vivre avec sa sœur, mais s’installe dans le Marais, rue de Berry. Madeleine, pendant l’absence de son frère, s’est libérée de sa tutelle, et semble tenir à garder son indépendance.

En 1664, une pension de 1 200 livres lui est attribuée et l’année suivante, elle est augmentée de trois cents livres21. Il est donc à l’abri du besoin. Mais il reste cependant dans un certain isolement, et ne se mêle plus à la vie mondaine. Sa vie littéraire semble également s’éteindre. Il écrit une Ode sur le retour de monseigneur le Prince, publiée en 1660, un recueil de poèmes, intitulé Poésies nouvelles en 1661, puis son roman Almahide de 1661 à 1663.

Il meurt d’une attaque le 14 mai 1667.

L’image que les modernes ont retenue du personnage est celle d’un homme hautain et vaniteux. Charles Clerc titre son ouvrage consacré à Scudéry Un Matamore des lettres22. Il est vrai que tous les témoignages confirment ce trait de caractère. Gautier écrira deux siècles plus tard dans Les Grotesques : « C’est le bravache, le fanfaron […] un vrai mâche-laurier qui taille sa plume avec sa rapière, et semble à chaque phrase offrir un cartel à son lecteur. » Nous trouvons beaucoup d’exemples de cette arrogance, mais pour n’en citer qu’un, nous avons choisi les premiers mots qu’il ait publiés. En 1629, dans À qui lit, préface de Ligdamon et Lydias, Scudéry écrit :

La poésie me tient lieu de divertissement agréable, et non d’occupation sérieuse. Et quand même ce serait manquer que de se servir ensemble d’une épée et d’une plume, je tiens cette faute glorieuse, qui m’est commune avec César.

L’image du théâtre a évolué, mais à l’époque de Scudéry, il n’est pas de bon ton qu’un noble paraisse s’abaisser à n’être qu’un « auteur ». Nous comprenons qu’il ait été obligé de justifier ses activités littéraires. Nous pouvons aussi nous demander s’il n’a pas brandi de façon outrancière l’étendard de la noblesse pour compenser une absence de fortune.

Beaucoup l’ont attaqué sur son style. On lui a reproché de se répéter, de multiplier les longues descriptions et les aventures à tiroir. Pour ne retenir qu’un exemple, voyons les vers de Boileau dans sa Seconde satyre :

Bienheureux Scudéry dont la fertile plume

Peut tous les mois sans peine enfanter un volume !

Tes escrits, il est vray, sans art & languissants

Semblent estre formes en dépit du bon sens :

Mais ils trouvent pourtant quoi qu’on en puisse dire,

Un marchand pour les vendre, & des sots pour les lire.

Et quand la rime enfin se trouve au bout des vers,

Qu’importe que le reste soit mis de travers.

Scudéry a été la victime (comme beaucoup de dramaturges de cette époque), du jugement des hommes du XVIIIe siècle, qui à la lumière de la doctrine classique figée par Boileau ne comprenaient plus ce qui s’était écrit avant eux. Ils ont condamné dans ces pièces ce que les auteurs recherchaient et ce que le public adorait.

Principales œuvres publiées (classées selon l’ordre de leur publication, non de leur représentation) :

– Ligdamon et Lidias ou la Ressemblance, tragi-comédie, Paris, 1631, in-8°.

– Edition des Œuvres de Théophile, Rouen, 1632, 3 tomes en 1 vol., in-8°.

– Le Trompeur puni ou l’histoire septentrionale, tragi-comédie, Paris, 1633, in-8°.

– Le Temple, poème à la gloire du Roi et de M. le Cardinal […], Paris, 1634, in-4°.

– La Comédie des Comédiens (L’Amour caché par l’Amour), comédie et pastorale, Paris, 1635, petit in-4°.

– Le Vassal généreux, tragi-comédie, Paris, 1635, petit in-4°.

– Orante, tragi-comédie, Paris, 1635, in-4°.

– Le Prince déguisé, tragi-comédie, Paris, 1635, petit in-4°.

– Le Fils supposé, comédie, Paris, 1636, petit in-4°.

– La Mort de César, tragédie, Paris, 1636, in-4°.

– Didon, tragédie, Paris, 1637, in-4°.

– Observations sur le Cid, Paris, 1637, petit in-4°.

– Lettre de M. de Scudéry à l’illustre Académie, Paris, 1637, petit in-4°.

– La Preuve des passages allégués dans les « Observations sur le Cid », Paris, 1637, petit in-4°.

– Réponse de M. de Scudéry à M. de Balzac, Paris, 1638, petit in-4°.

– L’Amant libéral, tragi-comédie, Paris, 1638, in-4°.

– L’Amour tyrannique, tragi-comédie, Paris, 1639, in-4°.

– L’Apologie du théâtre, Paris, 1639, in-4°.

– Eudoxe, tragi-comédie, Paris, 1641, in-4°.

– Andromire, tragi-comédie, Paris, 1641, in-4°.

– Les Femmes illustres ou les Harangues héroïques, Paris, 1644, in-4°.

– Ibrahim ou l’Illustre Bassa, tragi-comédie, Paris, 1643, in-4°.

– Arminius ou Les frères ennemis, tragi-comédie, Paris, 1643, in-4°.

– L’Ombre du grand Armand, Paris, 1643, in-4°.

– Axiane, tragi-comédie en prose, Paris, Paris, in-4°.

– Les Femmes illustres ou les Harangues héroïques, 2e partie, Paris, 1644, in-4°.

– Le Cabinet de M. de Scudéry, première partie, Paris, 1646, in-4°.

– Discours politiques des Rois, Paris, 1648, in-4°.

– Poésies diverses, Paris, 1649, in-4°.

– Salomon instruisant le Roi, Paris, 1651, in-4°.

– Alaric ou Rome vaincue, poème héroïque, Paris, 1654, grand in-4°.

– Poésies nouvelles, Amsterdam, 1661, in-12°.

– Almahide ou l’Esclave reine, Paris, 1660-1663, 8 vol., in-8°.

  • Taille : 14cm x 9cm
  • Acte Premier.
  • Scène Première.
  • Rosiront, Isimandre. pg1
  • Scène Seconde.
  • Ormin. pg7
  • Scène Troisiesme.
  • Clindor, Nerine. pg8
  • Scène Quatriesme.
  • Lucide, Florance, Palinice. pg10
  • Scène Cinquiesme.
  • Orante. pg11
  • Scène Sixiesme.
  • Narine. pg13
  • Scène Septiesme.
  • Clindor, Nerine. pg14
  • Scène Huictiesme. Lucide, Ormin, Florance, Palinice, Nerine, Orante. pg15
  • Acte Second.
  • Scène Première.
  • Palinice. pg15
  • Scène Seconde.
  • Ormille. pg18
  • Scène Troisiesme.
  • Orante, Nerine. pg20
  • Scène Quatriesme.
  • Florence, Orante, Nerine. pg23
  • Scène Cinquiesme.
  • Lucinde, Florance, Orante, Nerine. pg25
  • Scène Sixiesme.
  • Ormin, Florance, Orante, Lucinde, Nerine. pg25
  • Scène Septiesme.
  • Isimandre. pg26
  • Scène Huictiesme.
  • Clindor, Isimandre. pg27
  • Acte Troisiesme.
  • Scène Première.
  • Florence. pg30
  • Scène Seconde.
  • Isimandre, Lindoman, Clindor. pg31
  • Scène Troisiesme.
  • Palinice, Lucide, Nerine. pg33
  • Scène Quatriesme.
  • Orante, Lindoman. pg36
  • Scène Cinquiesme.
  • Narine, Orante, Lindoman. pg37
  • Scène Sixiesme.
  • Isimandre, Orante, Nerine, Clindor, Lindoman. pg37
  • Scène Septiesme.
  • Orpin, Isimandre, Orante, Nerine, Clindor, Lindoman. pg40
  • Acte Quatriesme.
  • Scène Première.
  • Lucide, Palinice, Orante, Nerine. pg44
  • Scène Seconde.
  • Florence, Isimandre, Clindor. pg45
  • Scène Troisiesme.
  • Pliante. pg47
  • Scène Quatriesme.
  • Orante, Nerine. pg49
  • Scène Cinquiesme.
  • Clindor, Orante, Nerine. pg50
  • Scène Sixiesme.
  • Lucide, Palinice. pg51
  • Scène Septiesme.
  • Ormin. pg52
  • Scène Huictiesme.
  • Florence, Isimandre. pg52
  • Scène Neufiesme.
  • Orante, Isimandre, Florance, Clindor, Nerine. pg54
  • Scène Dixiesme. Orpin, Palinice, Lucide, Leriste. pg56
  • Scène Onziesme.
  • Florence, Lucide, Orpin, Palinice, Leriste. pg57
  • Acte Cinquiesme.
  • Scène Première.
  • Isimandre, Leriste. pg60
  • Scène Seconde.
  • Orante, Isimandre. pg63
  • Scène Troisiesme.
  • Pliante, Orante. pg63
  • Scène Quatriesme.
  • Clindor, Poliante, Orante. pg67
  • Scène Cinquiesme. Ormin. 68
  • Scène Sixiesme.
  • Florence, Argamor, Germant, Ormin. pg69
  • Scène Septiesme.
  • Isimandre, Leriste, Germant, Argamor, Florance, Ormin. pg69
  • Scène Huictiesme.
  • Lucide, Palinice. pg71
  • Scène Neufiesme.
  • Pliante, Clindor. pg72
  • Scène Dixiesme.
  • Ormin, Poliante, Isimandre, Clindor, Leriste. pg73
  • Scène Onziesme.
  • Lucide, Palinice, Poliante, Ormin, Isimandre, Clindor, Leriste. pg74
  • Scène Dernière.
  • Isimandre, Lucide, Orante, Ormin, Poliante, Palinice, Nerine, Clindor, Leriste. pg75
F. Gémier, démocrate du th.-anth. tex. F. Gémier
2008
Entretemps
F. Gémier, démocrate du th.-anth. tex. F. Gémier
Auteur : Firmin Gémier, Nathalie Coutelet

ISBN : 291287792X

Firmin Gémier a laissé de nombreuses traces de son idéal théâtral dans notre vie artistique contemporaine et, pourtant, son nom est relativement méconnu. Sans lui, on aurait peut-être jamais parlé de théâtre populaire. L’éclectisme de Gémier constitue à la fois sa caractéristique principale et sa faiblesse. Son apport à la démocratisation du spectacle fut néanmoins original est primordial. En effet, ainsi que le démontrent les textes choisis, Gémier (comédien, metteur en scène, professeur et directeur de théâtre) appliqua à toutes ses fonctions le concept dethéâtre populaire. Il a fondé le Théâtre National Populaire au Trocadéro 1920, et s’est attaché à développer la mission sociale de l’acteur. La mise en scène devenait également un outil de transmission du message poétique, chargés de mettre en lumière pour les spectateurs, notamment les moins instruits.

On peut trouver son héritage dans la décentralisation, car il a créé dès 1910 un Théâtre National Ambulant et a promu, au sein de la Société Universelle du Théâtre, initiée par ses soins en 1926, des relations internationales artistiques.

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg11
  • 1. Firmin Gémier interviewer par Gabriel Reuillard. pg37
  • 2. Lettre à André Antoine. pg41
  • 3. La création d’Ubu Roi. p.g45
  • 4. « Prièrep aux étoiles ». g49
  • 5. Le théâtre ambulant. pg57
  • 6. Le théâtre de demain et la Société Shakespeare. pg63
  • 7. L’art et le peuple. pg85
  • 8. « Il faut créer à Paris un théâtre d’art municipales ». pg89
  • 9. Couloirs et coulisses. pg93
  • 10. L’école professionnelle syndicale. pg95
  • 11. L’ère nouvelle au théâtre. pg97
  • 12. L’art de mettre en scène. pg101
  • 13. Lettre à Auguste Rondel. pg109
  • 14. Le Théâtre National Populaire. pg113
  • 15. Pourquoi j’ai pris l’Odéon. pg127
  • 16. Le tragédien. pg131
  • 17. Comment me ttre Molière en scène. pg135
  • 18. Pourquoi je fais du cinéma. pg139
  • 19. Gémier abandonne le TNP. pg141
  • 20. Avertissement inutile. pg143
  • 21. Gémier entre deux rôle. pg145
  • 22. M. Gémier répond à Max Reinhardt. pg151
  • 23. Le théâtre éducateur par la joie. g157
  • 24. Entretiens dramatiques. pg179
  • 25. La dramaturgie nouvelle. pg185
  • 26. M. F. Gémier embarquera le 18 octobre pour se rendre en Amérique. pg193
  • 27. Société Universelle du Théâtre - avant-projet. pg197
  • 28. Congrès de la Société Universelle du Théâtre - 1930. pg209
  • 29. Mes débuts au film parlant. pg215
  • Conclusion. pg219
  • Biographie de Firmin Gémier. pg225
  • Biographie sélective. pg229
  • Index. pg231
  • Table des matières. pg235
La Lumière
1882
Hachette et Cie
La Lumière
Auteur : Amédée Guillemin

Première partie.

Les phénomènes et leurs lois.

Entre le son, que nous avons étudié dans le premier volume du Monde Physique, et la lumière, qui va faire l’objet de celui-ci, il n’y en apparence aucune analogie, aucun lien, comme il semble ni en avoir aucun entre les phénomènes sonores et ceux de la gravitation ou de la pesanteur. Cependant la science nous apprend que la sensation de la lumière est déterminée en nous par l’impression, sur notre rétine, d’une série d’ondulations excessivement rapide émanées des sources lumineuses. Ces ondulations sont elles-mêmes excitées et développer par les vibrations synchrones dont ces sources sont le siège, et elles se propagent au sein d’un milieu éminemment fluide et élastique qui remplit tout l’espace, l’éther. C’est ainsi que nous avons vu le son résulté des vibrations moléculaires des corps élastiques et se propager dans des milieux telle colère, sous la forme d’onde sphérique jusqu’à l’organe de l’ouïe.

Comme le son, la lumière est donc un mode particulier de mouvement vibratoire ; et l’on verra bientôt cette analogie se poursuivre jusque dans l’énoncé des lois de la propagation des ondes lumineuses, lesquels ne se formulent à peu de choses près comme les lois relatives aux ondes sonores. Enfin, de même que les sons se distinguent les uns des autres par certaines propriétés, telles que l’intensité, la hauteur et le timbre, qui dépendent des conditions dans lesquelles s’effectue le mouvement vibratoire, la lumière offre pareillement des variations déclare, de couleur, de nuances produites par des causes toutes semblables.

Toutefois il existe entre les deux ordres de phénomènes, outre des différences considérables de mesure, cette autre différence capitale, à savoir que le son exige, pour sa production et sa propagation, l’intermédiaire de la matière pondérable, tandis que la lumière à sa source et son véhicule dans un milieu impondérable. Un même principe, l’élasticité, sert bien : de départ à la théorie de la lumière comme la théorie du son ; mais, dans l’une, c’est l’élasticité moléculaire des corps, dans l’autre, c’est l’élasticité de l’éther.

Il est utile, croyons-nous, n’assister à l’avance sur ses vues générales. Elles permettent de rapprocher des branches de la science en apparence étrangère les unes aux autres, de montrer le lien qui unit les divers phénomènes du monde physique, et de reconstituer ainsi, au moins en partie, l’unité qu’on pourrait croire détruite en quelque sorte par les nécessités de l’analyse scientifique. Cette reconstitution, il est vrai, n’est pas toujours possible ; et nous avons vu qu’on ne fait guère qu’entrevoir encore le moment où les phénomènes de gravitation seront rattachés, comme le sont dès maintenant ceux de la lumière et de la chaleur et probablement ceux de l’électricité et du magnétisme, un même principe universel, un même agent physique, l’éther.

  • Taille : 28cm x 18,5cm
  • Table des matières.
  • Première partie.
  • Les phénomènes et leurs lois.
  • Chapitre premier. La lumière dans la nature. pg5
  • Chapitre II. Propagation rectiligne de la lumière. pg29
  • Chapitre III. Vitesse de propagation de la lumière. pg43
  • Chapitre IV. Réflexion de la lumière. pg81
  • Chapitre V. Réfraction de la lumière. pg117
  • Chapitre VI. Réfraction dans les prismes et les lentilles. pg134
  • Chapitre VII. Dispersion de la lumière. pg15
  • 4Chapitre VIII. Analyse spectrale des corps célestes. pg179
  • Chapitre IX. Les radiations solaires lumineuses calorifiques et chimiques. pg217
  • Chapitre X. Les sources de lumière. Production et transformation des jeux habitation. pg231
  • Chapitre XI. Qu’est-ce que la lumière ? pg271
  • Chapitre XII. Phénomène de diffraction. pg283
  • Chapitre XIII. Double réfraction de la lumière. pg312
  • Chapitre XIV. Polarisation de la lumière. pg323
  • Chapitre XV. Les couleurs des corps. pg349
  • Chapitre XVI. Photométrie. pg377
  • Chapitre XVII. L’oeil et la vision. pgpg391
  • Chapitre XVIII. La lumière et l’Asie. pg422
  • Chapitre XIX. Les météores optiques. pg430
  • Deuxième partie.Optique - Application des phénomènes et des lois de la lumière.
  • Chapitre premier. Les miroirs et les instruments de réflexion. pg453
  • Chapitre II. Les phares. pg482
  • Chapitre III. Le microsco pe. pg493
  • Chapitre IV. Le télescope. pg519
  • Chapitre V. Le stéréoscope. pg563
  • Chapitre VI. Photographie. pg578
  • Chapitre VII. Photographies sur papier et sur verre. pg591
  • Chapitre VIII. Héliogravure. Photolithographie. pg618
  • Chapitre IX. Application de la photographie. pg637
Jozef Nadj Miniaturen/Les Miniatures
2007
Stockmans bvba
Jozef Nadj Miniaturen/Les Miniatures
Auteur : Josef Nadj, OttO Tolnai

ISBN : 9789077207161

Dans cette édition limitée et exclusive en 350 copies, Stockmans publie 54 miniatures de Jozef Nadj sur format original (6 x 8 cm). Ces œuvres ont été réalisées avec la plume et l'encre de Chine les plus fines possibles en 2000-2002, dans lequel il ?crirait à la plume. De petites fenêtres ouvertes sur un imaginaire qui nous transporte d'un univers à un autre. Les dessins miniatures très intimistes reflètent des scènes de l'univers de Josef Nadj, toujours circonscrites dans un cadre ou une fenêtre, tout comme l'univers - du chorégraphe Jozef Nadj - se déroule sur scène dans certaines limites.

  • Taille : 24cm x 18cm
Le Théâtre
1925
Bernard Grasset
Le Théâtre
Auteur : Firmin Gémier, Paul Gsell

Chapitre I.

La Religion du Théâtre. ( extrait)

C’était la première représentation de La Captive, le drame poignant de Charles Méré.

L’auteur et firmes de génie, alors directeur du Théâtre Antoine, avait désiré que le peuple eu la primeure de ce spectacle.

Ils avaient convié, ce soir-là, les adhérents des coopératives, ouvriers, artisans, commis, ensembles et braves gens, dont les fermes convictions sont la plus claire richesse.

Selon l’usage des représentations gratuites, les invités s’étaient ainsi ils avaient voulu. Et, comme il est juste, les meilleures places avaient été prises par les premiers arrivants. Nulle bousculade pourtant : car il règne dans ces associations populaires une touchante fraternité. A noter aussi que dans un auditoire ainsi composé, la civilité envers les femmes est mieux observée que dans les salles chic.

Envoyé au fauteuil et dans les loges, des spectateurs endimanchés, à la physionomie frustre, aux fortes mains rougeaudes. Ils étaient venus en famille. Car ils aiment partager leur plaisir avec toute leur maisonnée.

Une bonne mère gigogne, dont le chapeau se remet de larges fleurs artificielles, pivoine bleue et roses vertes, était flanqué d’une ribambelle de mioches qu’elle mouchée l’un après l’autre et qu’elle rabrouait quand ils se faisaient des niches.

De temps à autre un motard piailler et la maman l’emportait précipitamment dans le couloir.

Aux entractes, on dévorait Orange, banane, chocolat, gteau : une vraie kermesse.

La pièce plaisait beaucoup à ses auditeurs qui battaient des mains avec frénésie. Il ne pensait pas, comme les gens du monde, qu’il fallut apporter de la discrétion à leur assentiment.

On connaît le sujet du drame. Madame Suzanne Desprès représentait une femme qui, né dans un pays neutre, avait épousé d’abord un Allemand, puis devenue veuve s’était mariée à un Français.

Il avait eu des enfants de l’un et de l’autre. Charles Méré, pour généraliser son thème, avait remplacé les mots d’Allemagne et de France par des noms de pays imaginaire ; mais on discernait sans peine la réalité sous la fiction.

Tant que la guerre éclatait, les enfants des deux lits couraient rejoindre les drapeaux de leur nation et se transformer en adversaire prêt à s’entre-tuer.

Dans les tortures qu’elle subissait, la mère douloureuse apparaissait comme une image emblématique de l’Humanité qui pleurait sur ces fils fratricides.

Toute l’assistance versée des larmes.

Elle est en répondit plus encore qu’en se rencontrèrent les deux frères ennemis.

Sans doute, se rappelle-t-on la scène. Les deux jeunes gens ont été grièvement blessés. L’un est aveugle, l’autre invalide. D’abord, ils exhalent leur haine mutuelle. Puis ils échangent leurs impressions de guerre. Et le souvenir de leurs souffrances leur inspire de la compassion l’un pour l’autre. Toutefois le rapprochement n’est pas encore accompli. C’est un hasard insignifiant qui le provoque. L’aveugle désir fumé. Son frère chancelant sur ses béquilles lui donne du feu. Et au moment où ces deux infirmités se rejoignent à ttons, la pitié réciproque unit enfin les deux coeurs. Les frères s’étreignent. Ils ont tout à coup retrouvé cette affection que leur commander leur parenté.

La salle criait son admiration. Elle saisissait aisément la symbolique de cet épisode. En ses deux enfants d’une même mère, elle voyait les peuples qui s’étaient meurtris si cruellement et que la fraternité humaine devrait à jamais réconcilier.

La présence des gosses qu’on avait amenés au théâtre contribué à augmenter chez les parents l’horreur de la guerre. Dans ces familles presque toutes éprouvées par la dernière saignée universelle, on sentait la résolution de soustraire à de nouvelles boucheries les petits que les pères et les mères couverts et de leurs tendres regards.

Quant à le rideau fut tombé sur le dernier acte, la foule se leva et, au lieu de sortir aussitôt, elle entonna l’International.

Une voix commenca, toutes les réponses de champ :

La raison de son caractère :

options de

C’est l’éruption de la fin.

Ces paroles font sourire par leur rhétorique sonore. Mais l’air et le rythme, en cette occasion du moins, produisaient un effet majestueux.

Ceux qui chantaient l’hymne révolutionnaire, après avoir entendu le drame de Méré, portaient la sincérité et la solennité peintes sur leur traits. Ils semblaient les fidèles d’une église qui, à la fin d’un office, modulent un cantique.

  • Taille : 22,5cm x 15cm
  • Table.
  • Chapitre premier.
  • La Religion du Théâtre.pg9
  • Chapitre II.
  • Un rôle : Shylock. pg25
  • Chapitre III.
  • Les Secrets de la Mise en Scène. pg47
  • Chapitre V.
  • Séminaire d’acteurs. pg77
  • Chapitre VI.
  • Les Evangiles du Théâtre. pg99
  • Chapitre VII.
  • L’Autel de Dionysos. pg115
  • Chapitre VIII.
  • L’Evangile selon Shakespeare. pg129
  • Chapitre IX.
  • L’Evangile selon Shakespeare (suite). pg141
  • Chapitre X.
  • L’Evangile selon Corneille. pg151
  • Chapitre XI.
  • L’Evangile selon Molière. pg171
  • Chapitre XII.
  • L’Evangile selon Beaumarchais. pg185
  • Chapitre XIII.
  • Horizons. pg197
  • Chapitre XIV.
  • Horizons (suite). pg209
  • Chapitre XV.
  • L’Enclos réservé. pg221
  • Chapitre XVI.
  • La Vie publique. pg235
  • Chapitre XVII.
  • Clio chez Melpomène. pg251
  • Chapitre XVIII.
  • Fêtes publiques. pg265
The stage lighting handbook
2001
A&C Black
The stage lighting handbook
Auteur : Francis Reid

ISBN : 0713653965

This popular guide, now in its sixth edition, is widely regarded as a standard work on the subject. It explains the process of designing lighting for all kinds of stage production and describes the equipment used. This new edition embraces the latest technology, but it also continues to discuss the basic principles - even to the extent of advising how to use one singel spotlight if that is all that is available.

Francis Reids has been a professional lighting designer for over forty years. He lectures extensively around the world and has written nimerous books on theatre design and technology.

  • Taille : 22,5cm x 16cm
  • Contents.
  • Prologue. pg1
  • I. Aims in Lighting. pg3
  • II. Lighting Instruments. pg10
  • III. Automated Lighting Instruments. pg31
  • IV. Lighting Control. pg37
  • V. Rigging and Wiring. pg47
  • VI. Direction and Focus. pg56
  • VII. Colour. pg74
  • VIII. First Steps in Lighting Design. pg84
  • IX. The Lighting Design Process. pg90
  • X. Implementig the Lighting Design. pg99
  • XI. Lighting Plays. pg113
  • XII. Lighting Dance. pg135
  • XIII. Lighting Musicals. pg138
  • XIV. Lighting Opera. pg154
  • XV. Lighting Thrust Stages. pg159
  • XVI. Lighting in Repertoire. pg165
  • XVII. Computer-Aides Lighting Design. pg164
  • XVIII. Sqare One. pg174
  • XIX. Projection and Effects. pg180
  • XX. Comfort and Confidence. pg193
  • XXI. Agenda for a Post Mortem. pg196
  • XXII. Light Education. pg198
  • Glossary. pg203
  • Index. pg213
  • Websites. pg218
Louis Jouvet et la scénographie
1987
Edité par la Maison Jean Vilar
Louis Jouvet et la scénographie
Auteur : Louis Jouvet

Exposition réalisée dans le cadre de la Commémoration se du centième anniversaire de la naissance de Louis Jouvet.

Avant-propos.

Pour un homme de thétre, il est plusieurs manières d’aborder les problèmes de la scène. Dans la préface qu’il écrivit en 1941 pour la traduction en français du traité de Sabattini Louis Jouvet s’exprime très clairement sur la voie qu’il emprunta :

« A dix-huit ans j’étais régisseur », « tout ce que je sais du théâtre je l’ai appris d’abord avec une machiniste sur la scène «. « Dans ce métier, les théories ne peuvent pas précéder l’action ». « J’ai été contraint d’oublier ma vocation première ». « L’humble connaissance de la pratique et le chemin le plus sr pour aller à la vérité »…

Louis Jouvet, lors de sa disparition brutale en 1951, laissa son public la nostalgie d’un directeur de troupes hors du commun, d’un grand acteur, d’un metteur en scène inoubliable, d’un « poète du spectacle ». Côté coulisse, Louis Jouvet, toute sa carrière durant, fut un « artisan du thétre ». Dessinant sur une grande table de travail avec compas véhiculaire c’était aussi un homme de plateau qui, avec intelligence et méthodes, ce plaisait à imaginer des dispositifs scéniques, à construire de nouvelles scènes ; en exploiter les multiples possibilités pour servir les poètes, assisté des comédiens. Trois réalisations majeures ont, de ce point de vue, marqué l’évolution de la scénographie : le dispositif scénique du Garrick Theatre à New York en 1917, celui du Vieux-Colombier en 1919 puis l’aménagement du studio des Champs-Elysées en 1923. Louis Jouvet ne dissimule pas la joie qu’il éprouva parfois à commander les maçons, les charpentiers et « même l’architecte » . Ce sursaut d’orgueil - inhabituel pour un homme d’un naturel discret - lui apparaissait en fait comme le couronnement d’une pratique.

« Le thétre est un secret » qu’il faut découvrir avec humilité et ténacité. Jeune débutant, Louis Jouvet avait été à l’écoute d’Alphonse, anciens gabiers de marine, dont il avait appris « artificier tour de main », « lois physiques du simulacre » en marge des énoncés de la géométrie et de la mécanique. Plus tard, « Le Patron » choisi comme collaborateurs deux chefs-machinistes hors du commun : Léon Déguilloux (chef-machiniste constructeur) et Camille Demangeat (chef-machiniste constructeur et maquettiste). Le travail s’exécutait dans une compréhension mutuelle, sans mots inutiles.

« Lieu dramatique, machinerie, décor des représentations tienne ensemble » : la conception de la scénographie chez Jouvet passe par toutes les phases de la métamorphose. Les propositions des décorateurs ayant une place importante. Louis Jouvet, précis et méthodique, lui-même décorateur ingénieur et inventif, ne redoutez pas l’imaginaire et la fantaisie d’un peintre poète tel que Christian Bérard, sont décorateurs de prédilection. Comment aussi ne pas citer Pavel Tchelitchew, Guillaume Monin, René Moulard.

Les documents présentés ont été choisis en fonction de leur valeur d’évocation : documents techniques, maquettes construites, maquettes de décors et de costumes. Cette exposition propose un parcours à travers la carrière de Louis Jouvet sans prétendre en aborder toutes les facettes. Elle ne saurait témoigner dans toute son ampleur de l’intérêt passionné que Louis Jouvet n’a cessé de porter à l’architecture thétrale et à la scénographie ainsi que l’atteste l’ensemble de la collection constituée par lui tout au long de sa vie et remise en don au département des arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de 161 par Madame Louis Jouvet et ses enfants auxquels nous renouvelons nos sentiments de profonde gratitude.

Cécile Giteau,

Directeur du Département des Arts du Spectacle de la Bibliothèque Nationale.

  • Taille : 21cm x 25cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos par Cécile Giteau. pg5
  • Découverte de Sabbatini par Louis Jouvet. pg7
  • Chronologie sommaire. pg37
  • Bibliographie. Oeuvres de Louis Jouvet. pg45
  • Notice des documents exposés. pg47
  • La scénographie de Louis Jouvet sous l'optique contemporaine. pg65
20th International Poster Museum at Warsaw 2006
2006
Muzeum Narodowe
20th International Poster Museum at Warsaw 2006
Auteur : AA.VV., Maria Kurpic (curateur)

ISBN : 8371003838

The first international meeting with posters was held in Warsaw in june 1966. Luckily wasn’t a one-off event. On the contrary, its importance and prestige grew with time. Soon the Warsaw Biennale became not only a competition place for the best achievements of international design in the field of poster, but it also attracted many outstanding graphic designers and art theoricians. Biennale oftend served as a forum for sharp discutions and was always a place of friendly meetings ans a ttrue poster feast. Many Great artists took responsibility as jury members for awarding and choosing best posters. Even more devoted their time to work in the Organization Commitee and the Program Council. I think the 40th Anniversary of the Biennale is a good moment to recall and honnour their names and to express the deepest gratutude for keeping up their enthusion, highest artistic level and the exeptional prestige that the Waesaw International Poster Biennale enjoys worldwide.

Maria Kupik

Curator Poste Museum at Warsaw.

  • Taille : 28cm x 20,5cm
  • Contents.Honorary Committee. pg4
  • The Organizing Committee. pg5
  • 20th IPB International Jury. pg6
  • Andrzej Wajda,My First. pg7
  • Kazumasa Nagai, Congratulations … pg8
  • Niklaus Troxler, Biennale Plakatu w Warsavie. pg9
  • The Warsaw Poster Biennale
  • - An example for a One World Culture. pg9
  • Pierre Bernard, The Warsaw Biennale. pg10
  • Ryszard Otreba, Anniversary of printed picture. pg11
  • Szymon Bojko, Invitation to new, different world/Reminiscences of a participant/Finished. pg12
  • Trapani Aortomaa, Finish Journalistits … pg14
  • Dorota Folga-Januszewska, Self-killing poster. pg15
  • Magda Kurpik, 19 times Biennale. pg161
  • 9 times Biennale. pg162
  • 0th IPB Exhibition Catalogue. pg35
  • Debuts. pg198
  • 19th International Poster Biennale Laureates. pg251
Guide des promenades théâtrales à Paris
1999
Nizet
Guide des promenades théâtrales à Paris
Auteur : André Degaine

ISBN : 2707812447

Amoureux de Paris et du Théâtre, André Degaine entraîne ses amis dans des promenades le long et dieux théâtraux de la capitale qui le raconte à sa manière ludique. Les salles de théâtre bien sûr (les « actuelles » et les disparues), mais aussi … les deux maisons natales de Molière (la fausse et la vraie) … l’hôtel particulier de la Société des Auteurs … les domiciles illustres … les paysages parisiens devenus décors de pièces célèbres.

Bref, de l’étonnante histoire de l’Hôtel de Bourgogne (qui s’étend sur 235 ans) à celle de l’Odéon (plus de 200 ans) … du Grand-Guignol désaffecté au prestigieux Théâtre Pigalle transformé en garage … ici le passé est vivant.

260 pages, 2500 illustrations, un index des noms propres.

  • Taille : 24cm x 13cm
  • Table.
  • « Quelques mots… ». pg5
  • I - Premiers théâtres : de l’Hôtel de Bourgogne à l’Odéon. pg9
  • II - Du boulevard du crime à la chaussée d’Antin : du « Déjazet » au « Vaudeville ». pg9
  • 1III - Au flanc de Montmartre : des « Bouffes du Nord » au « Tristan Bernard ». pg135
  • IV - Madeleine, Opéra, Palais-Royal : de « la Madeleine » à la « Comédie-Française ». pg179
  • V - Rive Gauche : de la « Gaîeté-Montparnasse » à « La Huchette ». pg207
  • Les « Isolés ». pg228
  • Paris. Décors. pg248
  • Index des Salles et lieux divers. pg250
  • Index des Noms Propres. pg251
L'esprit du Bauhaus.
2016
Arts déco.: Fondation d'entreprise Hermès
L'esprit du Bauhaus.
Auteur : N. Fox Weber, J.-L. Gaillemin, M. Blanc, O. Gabet, ...

ISBN : 9782916914633

Fondé à Weimar en 1919, dissout à Berlin en 1933 face à la montée du nazisme, le Bauhaus est une école d’enseignement artistique qui s’est imposée comme une référence incontournable de l’histoire de l’art au XXe siècle. Elle a été créée par l’architecte Walter Gropius pour redonner vie à l’habitat et à l’architecture grâce à une synthèse des arts plastiques, de l’artisanat et de l’industrie. Le coeur de ce livre reflète la diversité du champ des expérimentations menées à l’école : dessin, peinture, mobilier, sculpture, textile, céramique, mais aussi typographie, photographie et théâtre sont abordés sous l’angle des ateliers où les élèves de l’école recevaient les enseignements. L’ouvrage pose la question des sources et des influences dont le Bauhaus a pu s’inspirer : la hiérarchie entre maître et compagnon héritée du Moyen Âge, le goût pour les contrastes et la composition dans les arts chinois et japonais, mais aussi les antécédents des modernités allemandes, des Arts and Crafts britanniques et des utopies viennoises. L’héritage du Bauhaus a été considérable, et dans ce livre c’est sous son versant le plus contemporain que ce sujet est abordé : l’artiste Mathieu Mercier a été invité à choisir une quarantaine de plasticiens, designers, graphistes ou créateurs de mode dont les réalisations, à ses yeux, incarnent l’esprit du Bauhaus en ce début du XXIe siècle.

  • Taille : 30,5cm x 24cm
  • Sommaire.
  • - Essais.
  • La chance de les connaitre mais aussi de manger avec eux, Nicholas Fox Weber. pg12
  • L’ésothérisme au Bahaus, Jean-Louis Gaillemin. pg22
  • - Sources et inspirations.
  • Le Bahaus et les bâtisseurs de cathédrales, Monique Blanc. pg36
  • L’influence de l’Art Asiatique, Béatrice Quette. pg40
  • L’Objet en question, de quelques utopies décoratives avant le Bauhaus, Olivier Gabet. pg58
  • - Ateliers et enseignements.
  • Vivre au Bauhaus : créer, enseigner, transmettre, Anne Monier. pg66
  • Céramique, Louise Curtis. ph80
  • Menuiserie, Raphaèle Billé. pg86
  • Métal, Raphaèle Billé. pg96
  • Textile, Raphaèle Billé. pg106
  • Peinture sur verre, Raphaèle Billé. pg114
  • Sculpture Raphaèle Billé. pg120
  • Peinture murale, Anne Monier. pg128
  • Imprimerie et reliure, typographie et publicité, Anne Monier. pg13
  • Théâtre, Louise Curtis. pg146
  • Architecture, Louise Curtis. pg158
  • Photographie, Louise Curtis. pg172
  • L’enseignement de Paul Klee et Wassily Kandisky, Louise Curtis. pg186
  • - Au coeur du Bauhaus.L’édition au Bauhaus : une intention plus qu’une réalité, Raphaèle Billé. pg196
  • L’exposition de 1923, bilan de quatre années mouvementées, Anne Monier. pg200
  • A Dessau, le Bauhaus total, Anne Monier et Louise Curtis. pg210
  • Mort et renaissance de Bauhaus, Anne Monier. pg222
  • - Bauhaus, une suite possible.
  • L’esprit des formes, Marie-Sophie Carron de la Carrière. pg238
  • Le Bahaus, une suite possible, Mathieu Mercier. pg240
  • Annexes.
  • Bibliographie. pg 256
  • Index. pg260
Le "Hochepot ou Salmigondi des Folz" 1596
1959
Editions Duculot
Le "Hochepot ou Salmigondi des Folz" 1596
Auteur : Roland Mortier

Introduction.

La diffusion et la vogue des oeuvres de Rabelais dans nos provinces au XVIe siècle ont fait l’objet, il n’y a guère, d’un excellent article de Monsieur Marcel de Grève parue dans la bibliothèque d’humanisme et renaissance sous le titre Rabelais au pays de Brueghel. Réflexion sur la popularité de Rabelais dans les Pays-Bas du XVIe siècle. Cette étude, dont seul l’intitulé prête peut-être à contestation, constitue à la fois une synthèse vigoureuse et une judicieuse mise au point d’un problème qu’on a trop longtemps débattu et tranché sans en avoir au préalable dégager tous les éléments.

Avec beaucoup de pertinence, Monsieur de Grève a prouvé que la cour, la bourgeoisie, et même le peuple pouvait avoir lu Rabelais et savait assez le français pour le pratiquer dans sa langue. Il a démontré ensuite, de façon irréfutable, que Rabelais avait bel et bien été élu par les « compatriotes de Brueghel» et il a apporté, à cet égard, des citations probantes. Restait à trouver, en dehors du non toujours cité de Marnix de Sainte-Alguedonde, la trace d’une influence réelle et directe dans une création littéraire originale, l’exemple d’une résonance qui fut plus et mieux qu’un simple écho. Monsieur de Grève affirme sa profonde conviction que de telles oeuvres devaient exister dans le domaine si vaste, et si peu explorée, de notre littérature du XVIe siècle, tant au néo-latine que flamande et française, et il marquait sa confiance dans les recherches à venir. J’espère pouvoir apporter ici la confirmation objective de l’exactitude de ce pressentiment.

Roland Mortier

  • Taille : 25,5cm x 16,5cm
  • Table des matières
  • Introduction. pg3
  • Chapitre I. Le placard hollandais de 1596. pg5
  • Chapitre II. Le libelle flamand. pg10
  • Chapitre III. Le « Hochepot, ou Salmigondi des Folz ». pg21
  • Chapitre IV. La langue du « Hochepot ». pg27
  • A. Adaptation et création p.g27B.
  • Les ressources verbales. pg33
  • Les emprunts à Rabelais. pg33
  • Vocables rares ou nouveaux. pg36
  • Les images médicales. pg38
  • Les images végétales et culinaires. pg39
  • Les Picards disent. pg42
  • Termes érudits. pg43
  • Proverbe, sentences et locutions populaires. pg44
  • Jeux et divertissements. pg49
  • Conclusion. pg51
  • Bibliographie. pg53
  • Appendice I. Le placard hollandais du 4 avril 1596. pg57
  • Appendice II. Le texte du libellé flamand «Der Mallen Redenkavel ». pg64
  • Appendice III. Le texte du « hochepot ou Salmigondi des Folz ». pg96
  • Table des matières. pg132
Petite histoire de l'Art et des artistes-Le Th. et Comédiens
1950
Fernand Nathan Editeur
Petite histoire de l'Art et des artistes-Le Th. et Comédiens
Auteur : Léon Chancerel

Histoire du Théâtre très bien illustrée

  • Taille : 21,5cm x 15cm
  • Table des chapitres.
  • I. Naissance et caractéristiques des Arts et Métiers du Théâtre. pg5
  • II. Le Théâtre du moyyen âge. pg15
  • III. Shakespeare et le Théâtre Elisabethain. pg27
  • IV. En Espagne, le siècle d’or. pg33
  • V. L’apport de l’Italie : la « Commedia dell’Arte ». pg43
  • VI. Le Théâtre en Asie du XIVe siècle à nos jours. pg54
  • VII. Le Clacissisme en France au XVIIe siècle, théâtre et Comédiens. pg64
  • VIII. Le théâtre pendant la Révolution et l’Empire. pg82
  • IX. Le XIXe siècle. pg102
  • X. Le Théâtre Contemporain. pg120
  • Sur quelques termes du théâtre. pg149
Th. et Lum. : les spec. Paris XVIIIe siècle
2001
Fayard
Th. et Lum. : les spec. Paris XVIIIe siècle
Auteur : Maurice Lever

ISBN : 2213610886

C’est par le théâtre que s’illustre avec le plus d’éclat le siècle des lumières. Voltaire et voit « la seule manière d’assembler les hommes pour les rendre sociables », les philosophes l’oppose à l’église comme lieu de l’éloquence profane et sanctuaire des idées nouvelles, les plus grands architectes édifient des temples à sa gloire ; comédien, comédienne, danseurs, cantatrisses, « enchanteresses » en tout genre occupe le haut du pavé. Quant au thétre de société (ou thétre « chez soi »), il passe pour le plus haut degré de la civilisation. L’esprit acquiert du got, le corps y cultive la grce, le libertinage y aiguise l’essence. Du grand seigneur dans cette terre à l’artisan dans son échoppe, la théâtromanie n’épargne personne : élèves des jésuites, magistrats, officiers, fermiers généraux, écrivains, savetiers, séminaristes ou filles galantes, tout le monde veut jouer la comédie.

Du démocratique « parterre » aux loges louées à l’année, de l’Opéra à la Comédie-Française, des Italiens à la baraque foraine et aux parades de boulevard, le public se presse aux spectacles, indiscipliné, turbulent parfois, mais toujours passionné, prompt à rire, à s’évanouir, à siffler, qui étend la réplique vengeresse ou l’équivoque obscène. l’époque où l’opinion ne dispose d’aucun espace public, le thétre apparaît comme un foyer sensible, où peut à chaque instant jaillir une étincelle de liberté.

Historien des lettres et de la société de l’Ancien Régime, connaisseur averti des choses et des gens de théâtre, Maurice Lever en trace un tableau exact et fidèle, non moins que jubilatoire.

Directeur de recherche émérite au CNRS, MauriceLever est l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels il faut citer au moins Donatien Alphonse François, Marquis de Sade (Fayard, 1991), Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, t. I, l’Irrésistible ascension 1737 - 1774 (Fayard, 1999) et, en dernier lieu, Louis XV, libertin malgré lui (2001).

  • Taille : 23,5cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Chapitre Ier.« Le chef-d’oeuvre de la société ».
  • - Les gentilshommes de la Chambre. pg12
  • - Papillons de la Ferté. pg15
  • - L’hôtel des Menus-Plaisirs. pg19
  • - Les affiches. pg20
  • - « La démocratie du parterre ». pg25
  • - « Les petites loges ». pg30
  • - Théâtre et subventions. pg33
  • - La police des théâtres. pg35
  • - « En voulez-vous des z’homards ?». pg38
  • - la « Bastille des comédiens ». pg41
  • - La claque et le « petit coin ». pg45
  • - Le sifflet. pg48
  • Chapitre II.« Les comédiens ordinaires du Roy ».
  • - « Simul et singulis ». pg54
  • - Tribulations. pg56
  • - Le Fossé-Saint-Germain. pg60
  • - Les comédiens et les « gentilshommes ». pg65
  • - Changement de rôle. pg67
  • - Censure des théâtres. pg70
  • - Les Comédiens-Français à Versailles. pg77
  • - Le droit des pauvres. pg79
  • - Le renouveau. pg82
  • - « Ces restes de barbarie ». pg85
  • - « On attendaitPyrrhus, on vit paraître un fat ». pg86
  • - Un généreux mécène. pg90
  • - Un souffleur sachant souffler. pg93
  • - Entre cour et jardin. pg96
  • - L’Odéon. pg101
  • - Voltaire au garde-meubles. pg104
  • - « Papa Grand Homme ». pg106
  • - La Folle Journée. pg108
  • - Les partants et les arrivants. pg111
  • - Le nouveau Roscius pg113
  • Chapitre III.Les Italiens.- Scaramouche, Arlequin, le docteur et les autres. pg119
  • - « Parle comme tu voudras ! ». pg123
  • - Les enfants de parodie. pg127
  • - Arlequin Protée. pg131
  • - Le Paris des « italiens ».pg133
  • - L’amour à l’italienne. pg136
  • - Cosi fan tutte ! pg138
  • - Cornichons, Coquinières, Grapignan et consorts. pg142
  • - Le commissaire « turlupiné ». pg145
  • - L’ « expulsion ». pg147
  • - La nouvelle troupe. pg150
  • - Des comédiens très chrétiens. pg154
  • - Les débuts. pg156
  • - « Io Rinasco ». pg162
  • - Les tourments de Lelio. pg164
  • - Les illusions perdues et retrouvées. pg166
  • Chapitre IV.L’Opéra.
  • - Un gouffre financier p.g170
  • - Un club très fermé. pg171
  • - Le bal de l’Opéra. pg172
  • - L’incendie de 1763. pg175
  • - La salle des Machines. pg177
  • - Un théâtre rénové. pg179
  • - « Comment s’en passer ? ».pg182
  • - Un travail de « Romains ». pg183
  • - Le théâtre des Arts. pg185
  • - « Ecole de galanterie et de luxure ». pg188
  • - Les « filles du Magasin ». pg191
  • - Un amour de Casanova. pg195
  • - « Divines enchanteresses «- pg197
  • - Un recrutement plus sélectif. pg202
  • - Contestation, autogestion, participation. pg205
  • - « De quoi faire tourner la tête ». pg207
  • - Le rapport Dauvergne. pg210
  • Chapitre V.De la Foire aux Boulevards.
  • - « Messieurs, ouvrez vos loges ! ». pg218
  • - Monsieur le rhinocéros. pg219
  • - Foire Saint-Laurent. pg221
  • - Les théâtres de la Foire. pg222
  • - Le singe de Broché. pg225
  • - Allard, Maurice, Bertrand et les autres. pg227
  • - « Romain » contre forains.. pg230
  • - Naissance de l’Opéra-Comique. pg235
  • - La comédie muette. pg236
  • - Résurrection de l’Opéra-Comique. pg240
  • - L’heureux retour. pg242
  • - La Nouvelle Troupe. pg244
  • - « La folie du jour ». pg247
  • - «Prrrrenez vos billets ! » pg251
  • - « De plus en plus fort chez Nicolet ! » pg254
  • - «Sicut infantes ». pg258
  • - Le théâtre des Associés. pg262
  • - Le bateleur-dentiste, Voltaire et Mademoiselle Corneille. pg263
  • - Juvénile, vidi, Vici ! pg266
  • - Variétés, délassements, ombres chinoises. pg269
  • Chapitre VI.La Théâtromanie.- La « minimomanie » des grands. pg276
  • - Barate et Thrimidate. pg278
  • - Le temple de Terpsichore . pg280
  • - Un amateur qui promet. pg282
  • - La folie Voltaire. pg284
  • - Le théâtre aux armées. pg291
  • - Le théâtre de la reine. pg294
  • - La Merluche la Cour. pg297
  • - Seigneurs et bateleurs. pg300
  • - Comédie et galanterie. pg302
  • - Le casque d’Achille. pg306
  • - Des Célimènes au bas troués. pg308
  • - Le loup dans la bergerie. pg309
  • - Une représentation au collège de Lisieux. pg312
  • - Le théâtre des bons pères. pg314
  • - Eros sur scène. pg319
  • - Le « poète de Sybaris ». pg324
  • Notes et références. pg331
  • Principaux ouvrages consultés. pg363
  • Index des noms de personnes. pg367
L'Avant Scène n°365 366, Spécial Cocteau
1966
L'Avant Scène du Théâtre
L'Avant Scène n°365 366, Spécial Cocteau
Auteur : J. Cocteau, P-L. Mignon, J. Pradère, L. Adès

Les Mariés de la tour Eiffel. Jean Cocteau. Préface de 1922. Toute oeuvre d’ordre politique renferme ce que Gide appelle si justement dans sa préface de Paludes : « la part de Dieu ». Cette part, qui échappe au poète même, lui réserve des surprises. Telle phrase, tel geste, qui n’avait pour lui qu’une valeur comparable à celle du volume chez les peintres, contiennent un sens secret que chacun interprète ensuite. Le véritable symbole n’est jamais prévu. Il se dégage tout seul, pour peu que le bizarre, les réels n’entre pas en ligne de compte. Dans un lieu féerique, les fées n’apparaissent pas. Elle s’y promènent invisibles. Elles ne peuvent apparaître au mortel que sur le plancher des vaches. Les esprits simples voient les fées plus facilement que les autres, car ils n’opposent pas au prodige la résistance des esprits forts. Je pourrais dire que le chef électricien, avec ses réflexions, m’a souvent éclairé la pièce. Je lisais, dans les souvenirs d’Antoine, le scandale provoqué par la présence, sur scène, de véritables quartiers de viande et d’un jet d’eau. Nous voici maintenant à l’époque où le public, convaincu par Antoine, se fâche si on ne pousse pas sur scène de véritables objets, si on ne les jette pas dans une intrigue aussi compliquée, aussi longue, que celle dont le thétre devrait servir à le distraire. Les Mariés de la tour Eiffel, à cause de leur franchise, déçoivent davantage qu’une pièce ésotérique. Le ministère inspire au public une sorte de crainte. Ici, je renonce au mystère. J’allume tout, je souligne tout. vident du dimanche, bétail humain, expressions toutes faites, dissociation d’idées en chair et en os, férocité de l’enfance, poésie et miracle de la vie quotidienne : voilà ma pièce, si bien comprise par les jeunes musiciens qui l’accompagnent. …

  • Taille : 26,5cm x 18,5cm
  • Sommaire.
  • Numéro 365 - 366 - 1er et 15 octobre 1966.
  • Préface de 1922 pour « les Mariés de la tour Eiffel », Jean Cocteau. pg3
  • Les Mariés de la tour Eiffel, Jean Cocteau (texte intégral). pg7
  • Pierre Bertin, par Paul-Louis Mignon. pg12
  • Une partition perdue et retrouvée, par Jacques Pradère. pg16
  • Une oeuvre commune peu commune, par Lucien Adès. pg16
  • L’enregistrement des « Mariés de la tour Eiffel », par Darius Milhaud. pg17
  • Les Chevaliers de la Table ronde, Jean Cocteau (texte intégral). pg27
  • Et page 63 notre supplément : Richesses Théâtrales : Jean Cocteau
Les Automates, figures arti. d'homme et d'animaux
1949
Ed. du Griffon
Les Automates, figures arti. d'homme et d'animaux
Auteur : A. Chapuis, E. Droz

L’homme a créé les images de ces dieux et, tel Prométhée en Pygmalion, il leur a donné par l’art et la magie, la vie des êtres animés. Cette illusion de la réalité, qui est pour lui la réalité même, il a accentué, l’émouvant par leurs membres mobiles, parlant par leur bouche. Par de multiples chaînons séculaires, les automates modernes sont les descendants là ici et de ses ancêtres sacrés.

W. Deonna

  • Taille : 28cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Chapitre I. Automate primitif et masques articulés. pg15
  • Chapitre II. Les automates dans l’Antiquité. - Des Arabes à la Renaissance. pg33
  • Chapitre III. De quelques horloges monumentales à automates. pg51
  • Chapitre IV. Horloges d’appartement anciennes et pièces d’Orfèvrerie avec automate. pg69
  • Chapitre V. Les automates dans les Pendules riches. pg99
  • Chapitre VI. Les horloges en bois et les pendules de fantaisie. pg125
  • ChapitreVII. Tableau mécanique. pg147
  • ChapitreVIII. Les jouets mécaniques. pg163
  • Chapitre IX. Montres et tabatières à automates. pg179
  • Chapitre X. Les Oiseaux chantants. pg199
  • Chapitre XI. Animaux mécaniques. pg229
  • Chapitre XII. Devin, Magiciens, Escamoteurs, etc. pg251
  • Chapitre XIII. Musique automatique. - Automates musiciens. pg271
  • Chapitre XIV. Androïdes écrivains et dessinateurs. pg297
  • Chapitre XV. Automates marchands, parlants. pg323
  • ChapitreXVI. Automate de fantaisie. pg335
  • Chapitre XVII. Vitrines animées. pg351
  • Chapitre XVIII. Mécanique truquée (Théâtre - pseudo automate - demi automate). pg361
  • Chapitre XIX. Des Robots et de l’Automatisme. pg387
  • Notes succinctes sur les principaux automates anciens. pg405
  • Notes et compléments. pg409
  • Index alphabétique. pg423
La Parade-Le Sot du Tremplin
1931
Librairie Gallimard
La Parade-Le Sot du Tremplin
Auteur : Lugné-Poe

Suite de La Parade - Sous les étoiles

  • Taille : 18,5cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • I. En route ! pg9
  • II. Le tremplin. pg38
  • III. Condorcet. pg54
  • IV. Malaquin. pg69
  • V. Premiers pas avec Antoine. pg89
  • VI. Conservatoire. pg122
  • VII. Soldats au 132e. pg143
  • VIII. Du 28 de la rue Pigalle à « l’Oeuvre ». pg187
  • IX. Lettres annexes au dernier chapitre, (de Maurice Denis, Maurice Maeterlinck, Paul Fort, Pierre Bonnard). pg236
89 95 - Drama Sng Maribor - Tomaž Pandur
1995
Sng Drama Maribor Ljubljana
89 95 - Drama Sng Maribor - Tomaž Pandur
Auteur : Tomaž Pandur

Tomaž Pandur, né à Maribor (Yougoslavie) le 19 février 1963 et mort à Skopje (Macédoine) le 12 avril 2016, est un metteur en scène slovène.

  • Taille : 39cm x 28,5cm
Scene design : a guide to the stage
1975
Dover Publications
Scene design : a guide to the stage
Auteur : Henning Nelms

ISBN : 0486231534

Anyone working on scene design for the first time will find this book indispensable - amateur and semi-professional groups, high school students and their teachers, even puppeteers who will find the advice on model building invaluable for their own sets. Whatever play you are putting on, designing the set will be no problem when you have this book to guide you.It contains an excellent discussion of scenery, sets, models, the principles of design, painting scenery, and arena design. Throughout this discussion, the author gives many tips that will save you much wasted materials and hours of work; working out sightlines before you design the set, choosing among different kinds of sets, constructing flats, making a truly realistic model, constructing a convertible set, working with a colour chart and tone solid, spatter painting, adding touches, and much more. When technical terms are used, all are defined with extreme clarity: raked set, cyclorama, set axes, flats, flippers, masking pieces, etc. The author's 110 drawings and diagrams are especially helpful floor plans of sets, audience views, reverse views, different scene designs on the same basic set, and similar material. There is also a complete index.

  • Taille : 27,5cm x 20,5cm
  • Contents.
  • Before you begin : Functions of Design, Scenery for the play, Economy of construction. pg6
  • I. Scenery of the stage : Scenery, Axes, A model stage house, Scale. pg11
  • II. Types of sets : Drapery sets, Symbolic sets, Impressionistic sets, Drops, Borders, and Wins, Exteriors, Interiors. pg17
  • III. The nature of scenery : Flats, Other two)dimensional units, Three-dimensional units, scene construction. pg29
  • IV. Model Scenery : Walls, Other units, Model properties, Enlarging and reducing. pg35
  • V. Designing with a Model : A fulscale convertible set, a convertible model, Matching floor plans, Originating Designs. pg47
  • VI. The Principles of Design :Balance, Emphasis and subordination, Design elements, Unity and variety. pg60
  • VII. Paining Model Scenery : Mixing paint, Colored light, Applaying paint, Special techniques. pg69
  • VIII. Exposition : Touches, Basic fact, Symbols. pg76
  • IX. Arena Design : Seating plans, Arena geography, Set design, Modified arenas. pg82
  • Index. pg95.
Claude Etienne, la mémoire ouverte
1993
Duculot/Rideau de Bruxelles
Claude Etienne, la mémoire ouverte
Auteur : Sophie Creuz

Extrait d’une lettre écrite par Pierre Harmel à Denyse Périer, 24 avril :

vous avez créé un thétre unique, dans son esprit et la richesse de ses choix ( …) Claude est un grand témoin, positif, créateur, de ce dernier demi-siècle. Il aura honoré l’art de son pays en multipliant autour de lui les talents (…) il s’en va, hélas, et peu de foi dans nos vies, nous aurons ressenti autant qu’aujourd’hui le vide de l’absence. Comment va-t-on vivre sans lui, sans son regard de bienveillance, de profondeur, d’enthousiasme ?

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Entre mystère et plein éclat. pg7
  • « Il faut avoir rêvé longtemps pour agir vite ». pg9
  • Le Rideau de Bruxelles, dans la lignée des aînés. pg20
  • L’aventure commence. pg24
  • « La véritable tradition dans les grandes choses n’est point de refaire ce que les autres ont fait, mais de retrouver l’esprit qui a fait ses grandes choses et qui en ferait de tout autre en d’autres temps ». pg29
  • « Sans tracer de chemin de peur de perdre l’étendue ». pg31
  • Le langage est la plus belle chose … pg41
  • Le Rideau de Bruxelles lance de jeunes auteurs. pg43
  • « Le spectacle est la seule forme d’éducation morale ou artistique d’une nation ». pg48
  • Tennessee Williams lance le Rideau de Bruxelles. pg50
  • Je suis avant tout un comédien. pg62
  • Cinquente ans de bonheur théâtral. pg72
  • Ce n’est pas moi, c’est la fonction qu’il faut respecter. pg85
  • Lorsque je publierai mes Mémoires, on n’y lira une méditation sur ce système que pose le comédien. pg93
  • Je ne suis pas un visuel. pg97
  • « C’est le Prince qui doit demander audien ce à l’artiste ». pg103
  • Paul Rogie, l’amitié « sans compter ». pg106
  • « La puissance des ouvres d’art fait changer une vie parfois radicalement ». pg110
  • J’aurais passé ma vie à exprimer avec les mots des autres. pg119
  • Itinéraire. pg127
  • Remerciements. pg166
  • Bibliographie. pg167
  • Crédit photographique. pg167
Ecrits sur le Théâtre-Tome 1-1891-1917
1973
La Cité-L'Age d'Homme
Ecrits sur le Théâtre-Tome 1-1891-1917
Auteur : Vsevolod Meyerhold, Béatrice Picon-Vallin

Le plus dangereux pour le théâtre, c'est de servir les goûts bourgeois de la foule. Il ne faut pas prêter l'oreille à sa voix, sous peine de tomber du sommet dans l'abîme. Le théâtre est grand lorsqu'il fait monter la foule à lui, ou, s'il ne la fait pas monter, alors au moins l'attire vers les hauteurs. Si on écoute la voix de la foule bourgeoise, on peut très facilement dégringoler. Le désir des hauteurs n'a de raison d'être que s'il est sans compromis. Il faut se battre, coûte que coûte. En avant, en avant, toujours en avant ! Tant pis s'il y a des erreurs, tant pis si tout est extraordinaire, criard, passionné jusqu'à l'horreur, désespéré au point de choquer, de faire peur, tout sera mieux qu'une médiocrité dorée. Il ne faut jamais transiger, mais toujours innover, jouer de feux multicolores, nouveaux, jamais vus. Ces feux aveuglent d'abord, mais ils se mettent à flamber en vifs brasiers et ils nous habituent à leur lumière. " Ainsi s'exprime en 1901 dans son Journal Vsevolod Meyerhold qui deviendra le plus important metteur en scène soviétique des années vingt, et une des figures-clefs du théâtre du vingtième siècle, celui en qui, au-delà de leurs différences, Planchon et Krejca, Chéreau, Lioubimov et Ariane Mnouchkine, Corsetti, Sellars et Lebl peuvent reconnaître un de leurs précurseurs. Meyerhold, metteur en scène révolutionnaire, Meyerhold, metteur en scène de la Révolution, disparaîtra en 1940, victime du stalinisme. Pour l'heure, âgé de vingt-sept ans, il se libère du naturalisme qu'il connaît en tant qu'acteur au Théâtre d'Art de Moscou, chez Stanislavski, son maître : en 1905 s'ouvre devant lui une période mouvementée de recherche, d'expérimentation, qui lui permet d'aborder le répertoire symboliste, et de s'essayer à tous les genres, du drame à la pantomime, du cabaret à l'opéra, du cirque au cinéma. Son uvre impose dès lors un théâtre de la " convention consciente ", où la musique tient une place capitale. Ce premier volume consacré à la période pré-révolutionnaire rassemble lettres, notes, études, articles et Du Théâtre, le seul livre abouti et publié en 1913. A travers ces textes, un artiste de théâtre, metteur en scène-acteur, se révèle - un homme érudit, inquiet, passionné, rigoureux. Sa sensibilité témoigne pour une époque, ses écrits rendent compte d'une uvre en perpétuel devenir, inséparable de la fermentation des milieux artistiques des vingt premières années du siècle. Ces textes sont essentiels pour qui veut comprendre les origines du théâtre moderne, qu'il s'agisse de mise en scène ou de jeu de l'acteur, de création ou de pédagogie. Voir le sommaire sur photos jointes.

  • Taille : 23cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Préface par B. Picon-Vallin. pg7
  • Extraits du journal de 1891. pg45
  • Extrait de lettre à O.M. Meyerhold. pg47
  • Lettre à A.N. Tikhonov. pg50
  • Extrait de notes de 1901 à 1902 : 1. Journal de 1901. pg532
  • Feuilles tombaient un carnet de notes. pg54
  • Extrait d’une lettre à un inconnu (fin 1901-début 1902). pg57
  • Lettres à Tchékov. pg59
  • Lettre à Stanislavski. pg68
  • Projet d’une nouvelle troupe dramatique près le Théâtre d’Art de Moscou. pg70
  • Lettre à Brioussov. pg74
  • Extraits de lettre à O.M. Meyerhold. pg76
  • Mots d’introduction avant la première de La Mort de Tintagiles à Tiflis. pg79
  • Extrait de lettre à O.M. Meyerhold. pg81
  • Lettre à Stanislavski. pg82
  • Du Théâtre.
  • Préface. pg85
  • Première partie :
  • Histoire et techniques du théâtre. pg87
  • La mise en scène de Tristan et Isolde au thétâre Mariinski. pg125
  • Deuxième partie :
  • I. Max Reinhardt (Berliner Kammerspiele), 1907. pg143
  • II.Edward Gordon Craig, 1909. pg148
  • III. 1908. pg150
  • IV. 1909. pg154
  • V. 1910. pg157
  • VI. Les auteurs dramatiques russes, 1911. pg159
  • VII. Le théâtre ancien de Saint-Pétersbourg, 1908. pg166
  • VIII. La mise en scène de Don Juan de Molière, 1910 pg168
  • IX. Après la mise en scène de Tristan et Isolde, 1910. pg173
  • X. La mise en scène de César et Cléopâtre au Nouveau Théâtre Dramatique, 1910. pg176
  • XI. Extrait de carnet de notes . pg179
  • Troisième partie :
  • Le théâtre de foire. pg181
  • Liste des travaux de mise en scène. pg203
  • Commentaires à la liste des travaux de mise en scène. pg209
  • L’Amour des trois oranges.A.K. Liadov. pg229
  • A.M. Scriabine. pg231
  • Le Grillon du foyer ou par le trou de la serrure. pg232
  • Benois, metteur en scène. pg236
  • Programme d’études du Studio de Meyerhold pour l’a nnée 1914. pg243
  • La baraque de foire. pg246
  • L’orage1 : Reprise de l’orage de A.N. Ostrowski auThéâtre Mariinski. pg253
  • 22 Brouillon d’article. pg259
  • Soulerjitski. pg262
  • Le Bal Masqué.
  • I. Préparation de la mise en scène. pg264
  • II. Le Bal Masqué au Théâtre Alexandrinski. pg265
  • IIII. Entretien sur Arbenine après la seconde lecture. pg265
  • IV. Première ébauche pour un article. pg265
  • V. Extraits de notes. pg267
  • VI. La dramaturgie de M.I. Lermontov. pg268
  • VII. Avant la première. pg271
  • La Révolution et le Théâtre. pg272
  • Appendice.
  • Meyerhold et le cinémas.
  • Du cinéma. pg273
  • Un homme fort .pg274
  • Le portrait de Dorian Gray. pg275
  • MMeyerhold vu par lui-même.
  • Souvenirs d’enfance. pg280
  • Eléments de biographie. pg281
  • Notes. pg289
  • Index des noms cités. pg329
  • Table des matières. pg335
Architectures scénographiques et décors de théâtre
1985
Ed. Magnard
Architectures scénographiques et décors de théâtre
Auteur : Jacques Gaulme

ISBN : 2210158028

Jacques Gaulme

peintre.

décorateur - scénographe

ancien professeur de scénographie

à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre

ancien Professeur Chargé de cours de maquillage de théâtre

au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique

Tout en dessins

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Sommaire
  • Avant-propos. pg5
  • I. L’ordre gréco-romain et le théâtre antique. pg6
  • II.L’ordre médiéval et le théâtre chrétien. pg13
  • III.L’ordre élisabéthain et le théâtre shakespearien. pg18
  • IV.L’ordre italien et le théâtre classique français. pg23
  • V.Les nouvelles architectures théâtrales. pg96
  • Tableau chronologique. pg130
  • Lexique.pg137
  • Table des dessins. pg140
Tadeusz Kantor-Photographies Caroline Rose
1991
Miroirs
Tadeusz Kantor-Photographies Caroline Rose
Auteur : Tadeusz Kantor, C. Rose

ISBN : 284003008X

… Telles les mouettes après le chalut …

J’ai vu les spectacles de Cantor, à Nancy, Paris, Varsovie, Florence, Milan, Genève, Nuremberg, Londres, Venise, Toulouse, Anvers, Lille …

« telles les mouettes après le chêne »

Incessants voyages ou l’art est au quotidien, Tadeusz se découvre, sulfureux, permanent, amical, grandiose humoriste.

C’est « l’Institut » d’un Etre, un Art en Marche, un Art-Cathédrale.

Presque 15 années de photographie nourrie par ce maître.

Où j’apprends que notre souvenir se projette à notre insu dans notre avenir et dresse ainsi notre destinée.

Où j’apprends que crie code de succède au cri cote d’avant-guerre et que ce mot lu à rebours, « to Cyrk », signifiant en Polonais : « Voilà le cirque », si évocateur dans les spectacles de Tadeusz.

Ce recueil, où j’ai laissé libre le choix nouveau d’images concernant six spectacles, se structure autour de textes inédits de Tadeusz Kantor, à fin que chacun puisse redécouvrir ce « magicien du cirque de la vie »,

Pour garder le souvenir …

Caroline Rose

  • Taille : 35cm x 25,5cm
  • La Classe Morte. pg11
  • Mais où sont les Neiges d’Antan. pg21
  • Wielopool Wielopool. pg31
  • Qu’ils Crèvent les Artistes. pg41
  • Je ne reviendrai jamais. pg51
  • Aujourd’hui, c’est mon anniversaire. pg61
  • De la Peinture. pg74
  • De la Poésie. pg78
  • Biographie. pg80
  • Bibliographie
50 ans, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles
1978
Jacques Hartung
50 ans, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles
Auteur : Monique Verken

1978.

4 décembre.

Pour conclure.

Le rythme des concerts, des spectacles et des expositions ne s’est pas ralenti dans le courant de cette année. Cependant nous ne parlerons que du 50e anniversaire. Tous les travailleurs du palais des Beaux-Arts, tous ceux qui l’ont animé de leur talent ou de leur appui, ont été invité à la séance académique en présence des ministres et des autorités officielles ; ensuite à la visite de la rétrospective Magritte et de l’exposition Panamarenko ; puis à la création d’un ballet de Maurice Béjart, dans la grande salle. Une grande salle Henri Leboeuf pleine d’amis et de collaborateurs, fidèle, était bien, ce jour-là, le cour de la vie des Arts en Belgique. Ici on passait tous les musiciens, tous les danseurs, tous les acteurs les plus célèbres du monde : le Palais des Beaux-Arts à donner au public la possibilité de connaître tout ce qui était important en ces domaines au cours de ce demi-siècle. Ici sont nés des initiatives qui ont rayonné en dehors de ces murs, sur la Belgique et même sur le monde : il suffit de songer aux Jeunesses Musicales, aux entreprises de l’ADAC, aux grandes expositions qui se font en pool. Des hommes de foi dans les plus hautes valeurs culturelles, à certains moments les plus révolutionnaires, les plus provocantes mais aussi les plus nécessaires parce qu’elles sont le message des artistes. Ils ont eu foi avec passion, quelquefois aussi contre leur gré. Mais ils ont voulu maintenir ce Palais des Beaux-Arts à la hauteur du rêve de ses fondateurs. Ils n’ont pas tous étés cités dans cette chronique, bien incomplète.

…….

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • 4 mai 1928, le Palais des Beaux-Arts ouvre ses portes.
  • Descriptif des manifestations organisées au Palais des Beaux-Arts jusqu’en 1978
L'Esprit du Cheval Dragon
2015
Actes Sud
L'Esprit du Cheval Dragon
Auteur : François Delarozieres

ISBN : 2330052405

Pour fêter le 50e anniversaire du rétablissement des relations diplomatiques entre la Chine et la France, François Delarozieres et sa compagnie imagine une nouvelle machine vivante - un cheval dragon -, dans l’esprit de la tradition millénaire chinoise, et la réalise grce à leurs techniques innovantes. Après avoir été dessiné, construit, fait ses premiers pas dans les rues de Nantes puis voyageaient en Antonov 124, le cheval dragon, accompagné de l’araignée, écrit sa légende sur le site olympique de Pékin devant plus d’un million de spectateurs.

  • Taille : 21cm x 21cm
  • Préface.
  • Introduction. pg9
  • Le défi de la construction du cheval dragon. pg19
  • Essais du public. pg51
  • Le voyage par les airs. pg73
  • Le spectacle. pg77
  • Crédits photographiques. pg149
Etude sur R. Roussel, par André Breton
1953
Arcanes
Etude sur R. Roussel, par André Breton
Auteur : J. Ferry, A. Breton, A.P. Sault

Postface.

Depuis quatre ans que ce livre a été terminé, il paraît que la situation s'est améliorée. Je veux bien le croire. Il est apparu sur la question en intéressant article de Monsieur Frédéric Grandel dans la « Gazette des lettres » du 15 janvier 1952.

Dans le numéro 306 et trois cents c'est des « Cahiers du Sud », le jeune, redoutable et intelligent critique Pierrre Schneider a publié une longue étude qu'il faut avoir lue, intitulé e: « la fenêtre au Piège à Roussel ». Pour la première fois, quelqu'un se penche avec amour sur la « Doublure » et la « Vue », donc je comprends seulement maintenant, grâce a Schneider, qu'elles ont beaucoup à nous apprendre. Si je ne partage pas toutes ces vues, tous les rapprochements picturaux de ce critique (qui a par ailleurs écrit sur Hugo-Océan des pages sensationnel et contre le surréalisme beaucoup de bêtises) je le remercie d'avoir dit : « Pas plus que la Vue, Impressions d’Afrique se laisse réduire à la littérature. »

En 1950, dans le livre « Genèse de la Pensée Moderne », Marcel Jean et Arpad Mezei ont consacré des pages importantes à Raymond Roussel. N'ayant pas la tête philosophique, j'ai beaucoup de mal à suivre la pensée de ces deux auteurs, exprimé en une langue hérissée de termes techniques. Sans adopter leurs conclusions sur les 9/10 de leur point de vue, j'attire vivement l'attention des curieux de Roussel sur ces pages très documenté, où l'on propose même une explication (page 206) à l'obscurité devant laquelle je déclare forfait page 74 du présent ouvrage, dont j'avais d'ailleurs communiqué en son temps le manuscrit à Marcel Jean.

Personnellement, je me suis vu refuser par le périodique « Arts » un article anodin sur un nouveau musée de cire parisien, qui contenait (l'article, comme le musée) trop d'allusion à Roussel. Il paraît que les lecteurs d’ »Arts » ce serait senti insulté par tant de référence un auteur dont ils n'ont jamais entendu parler. Je cite se fait minuscule comme démonstratif de l'état de la question Roussel en 1952.

Je profite de cette poste face pour remercier tous ceux qui ont contribué à la fabrication de ce volume, depuis son intrépide éditeur, jusqu'au 13 obligeant conservateur de la bibliothèque de l'arsenal, et surtout le charmant dessinateur qui a bien voulu plier ses dons personnel aux nécessités dirimantes des croquis explicatifs. Comme par hazard, il s’appelle A.P. Sau et de son vrai méiier, il est chef de réception à l’hôtel on s’en doutait, Napoléon.

1952

  • Taille : 14cm x 19cm
  • Table des matières.
  • I. Lecture du poème. pg35
  • II. La Première série. pg57
  • III. La Deuxième série. pg65
  • IV. La Troisième série. pg123
  • V. La Quatriemme série. pg129
  • VI. Une étrange rêverie. pg138
  • VII. Conclusion. pg145
  • VIII. Appendice (J.B. Brunius et Michel Leiris). pg153
  • IX. Appendice à l’appendice (La chaîne de la « Poussière de soleils »). pg163
  • X. Documents additionnels (« Etoile au Front » et l’honneutr de Vera). pg177
  • Postface. pg213
Serge Creuz, esquisse d'une biographie th.
1989
Libres Images
Serge Creuz, esquisse d'une biographie th.
Auteur : Serge Creuz

Scénographe à tout prendre qu’est-ce ?

C’est avant toute chose être utile télé ma conviction. Les objets qu’il invente : décors, costumes, maquillage, les ombres et lumières qu’il suscite compose la part visuelle d’un spectacle. Il importe de servir l’auteur, la mise en scène, l’acteur, le spectateur mais aussi les machinistes, les artisans qui coopèrent au bon accomplissement du travail théâtral. Mission complexe qui exige des qualifications multiples. La scénographie idéale doit être : psychologue : il lit dans les lignes de vie du texte et des personnages ; il doit être capable d’évaluer les rapports économiques, sociaux des protagonistes mais aussi être conscient du public auquel il s’adresse et, par son action, au sein du groupe créateur, apporter des éléments concrets qui résultent de son analyse, de son esprit d’invention ; il doit être architecte : il faut que l’habitat du drame réponde à de multiples convergences ; il doit être sculpteur : la lumière, les ombres doivent jouer, céder ou se contrarier sur des êtres humains, sur des objets dans l’espace scénique ; il doit être peintre : les décors, les costumes, les projecteurs, les masques, les accessoires sont autant de couleurs, de matière qu’il faut conduire à s’harmoniser ou à se heurter, selon le cas ; oserais-je ajouter qu’il doit être musicien puisque les matériaux choisis font résonner ou assourdissent les pas, les peurs, les gestes, les ; il doit être curieux : l’usager matériau nouveau - des trouvailles de la pétrochimie, par exemple - a permis des développements inattendus ; il doit être humble : son ouvre n’est qu’une des composantes du spectacle ; il doit être ambitieux : lui-même et son travail doive viser à un perpétuel dépassement (ce dépassement peut aller vers le monumental mais, je pense aussi, surtout, un dépassement en profondeur) ; il doit encore être beaucoup de choses, le scénographe, il doit posséder suffisamment de connaissances historique ou archéologiques pour ne pas être dupe et maîtriser les époques abordées, pour, qu’il transpose les styles, qu’il le fasse de l’intérieur et non pas par plaquage artificiel ; il doit être contemporain : son public et d’aujourd’hui, le thétre est un langage éphémère, mouvant … ; il doit être fraternel avec tous les autres collaborateurs de l’aventure théâtrale ; il doit être intransigeant : pour l’essence même de ces idées qu’il doit faire respecter ; il doit être souple : pour les détails, les impossibilités matérielles ou les manques involontaires ; il doit être exigeant pour lui-même d’abord et n’accepter ni sa propre paresse, ni celle des autres. Cette énumération pour longue qu’elle soit n’est pas exhaustive !

Servir.

Serge Creuz

  • Taille : 21cm x 21cm
  • Exposition Serge Creuz au Centre Wallon d'art contemporain Flemalle-Ramet
3D Printing Basics for Entertainment Design
2017
Routledge
3D Printing Basics for Entertainment Design
Auteur : Anne E. McMills

ISBN : 1138211354

Affordable 3D printers are rapidly becoming everyday additions to the desktops and worktables of entertainment design practitioners – whether working in theatre, theme parks, television and film, museum design, window displays, animatronics, or… you name it! We are beginning to ask important questions about these emerging practices: · How can we use 3D fabrication to make the design and production process more efficient?

· How can it be used to create useful and creative items?

· Can it save us from digging endlessly through thrift store shelves or from yet another late-night build?

· And when budgets are tight, will it save us money?

This quick start guide will help you navigate the alphabet soup that is 3D printing and begin to answer these questions for yourself. It outlines the basics of the technology, and its many uses in entertainment design. With straightforward and easy-to-follow information, you will learn ways to acquire printable 3D models, basic methods of creating your own, and tips along the way to produce successful prints.

Over 70 professionals contributed images, guidance, and never-before-seen case studies filled with insider secrets to this book, including tutorials by designer and pioneer, Owen M. Collins.

  • Taille : 23,5cm x 19cm
Les créations du Ballet Théâtre Contemporain
2003
Fage éd.
Les créations du Ballet Théâtre Contemporain
Auteur : Bernadette Bonis, Jocelyne Le Bourhis, Aurélie Gandit

ISBN : 2849750042

Lors de la création du Ballet Théâtre Contemporain, en 1968, il était difficile d'imaginer l'enthousiasme avec lequel les plasticiens allaient répondre aux sollicitations de son directeur Jean-Albert Cartier. Critique d'art dans différentes revues, dont Combat, Jean-Albert Cartier, secondé par Françoise Adret pour la chorégraphie, choisit naturellement de renouer avec la tradition des Ballets russes, reprise par Merce Cunningham aux Etats-Unis, et de solliciter musiciens, chorégraphes et plasticiens pour créer des œuvres originales. De toutes ces collaborations, il reste des souvenirs, des photographies, des programmes, des affiches et des dessins préparatoires de costumes et décors. Par les témoignages des principaux acteurs du Ballet Théâtre Contemporain, cet ouvrage, richement illustré, redonne vie à 20 années de création.

  • Taille : 25cm x 20,5cm
  • Sommaire.
  • Avant-propos, Didier Deschamps, directeur du Ballet théâtre de Lorraine. pg9
  • Des créateurs au service de la danse contemporaine, Blandine Chavanne, conservatrice du musée des beaux-arts de Nancy. pg10
  • De la décoration à la scénographie, Jean-Albert Cartier, fondateur et directeur artistique du BTC. pg12
  • La naissance du BTC, une date dans l’histoire de la danse, Bernadette Bonis, journaliste de la danse. pg16
  • Entretien avec Jean-Albert Cartier. pg22
  • Entretien avec Françoise Adret, chorégraphe et responsable de la chorégraphie du BTC. pg26
  • Témoignage de Noriko Kubota, danseuse du BTC, maîtresse de ballet au CCN de Nancy. pg30
  • Les créations, notices de Blandine Chavanne, Aurélie Gandit et Jocelyne Le Bourhis. pg33
Théo., techni., technolo. éclairage muséographique
2002
As/Actualite Sceno.
Théo., techni., technolo. éclairage muséographique
Auteur : Jean-Jacques Ezrati

ISBN : 2912017203

Le premier chapitre situera l'éclairage muséographique dans l'histoire mais aussi dans le contexte du musée, de l'exposition et de l'usage de la lumière du jour. Plus technique, voire technologique sera le deuxième chapitre consacré à la lumière comme matériau, à sa mesure et à sa production. Avec le troisième, on étudiera l'interaction de la lumière avec la matière, de là sa maîtrise pour en arriver à son utilisation raisonnée. Le quatrième chapitre, enfin, traitera de l'éclairage d'exposition comme élément intrinsèque à toute scénographie : c'est ici que se mêlent les aspects physiques et physiologiques, le côté objectif de l'éclairement, avec l'aspect sémantique et sensible, beaucoup plus subjectif, la lumination. Puis, en marge de l'éclairage, un dernier chapitre sur la mesure de la couleur et ses applications en muséographie.

  • Taille : 26cm x 21cm
  • Sommaire.
  • Préface. pg13
  • Introduction. pg19
  • Chapitre I. Le musée, la lumière et l’exposition. pg21
  • - Lumière et architecture. pg23
  • - De la mise en valeur au développement de l’exposition temporaire. pg27
  • Chapitre II. Lumière et technologie. pg33
  • - Nature de la lumière. pg35
  • - Base de photométrie. pg37
  • Chapitre III. Technologies et techniques. pg57
  • - Technologie de l’éclairage. pg59- Technique de l’éclairage. pg73
  • - Méthodologie de projet. pg77
  • - Eclairage de lieux spécifiques. pg82
  • Chapitre IV. De la lumière à l’éclairage. pg87
  • - De la lumière à l’éclairage. pg89
  • Chapitre V. Base de colorimétrie. pg107
  • - Colorimétrie et muséographie. pg109
  • - La colorimétrie visuelle. pg110
  • - La colorimétrie instrumentale. pg113
  • Annexes. pg123
The theater of the Bauhaus
1987
Wesleyan University Press
The theater of the Bauhaus
Auteur : O. Schlemmer, L. Moholy-Nagy, F. Molnar, W. Gropius

ISBN : 0819560200

« Out of the past, from one of the world’s tiniest stages, came some of the theater’s biggest and most imaginative ideas … Originally published in 1924, The Theater of the Bauhaus appears now for the first time in English. The book’s typography, layout and illustrations, accurately reproduced from 1924 original, are often as starthing and bizarre as thoughts and ideas expressed in Schlemmer and Moholy-Nagy’s text, lucidly translated by Arthur Wensinger ».

Architectural Forum

  • Taille : 25,5cm x 17,5cm
  • Contents.
  • Introduction, Walter Gropius. pg7
  • Man and Art figure, Oskar Schlemmer. pg17
  • Theater, Circus, Variety, Laszlo Moholy-Nagy. pg49
  • U-Theater, Forkas Molnar. pg73
  • Theater (Bühne), Oskar Schlemmer. pg81
  • Translator’s Note. pg105
Maïakovdki par lui-même
1961
Ed. du Seuil
Maïakovdki par lui-même
Auteur : Claude Frioux

Ma révolution. (extrait)

On ne peut parler d’Mune brusque rencontre du poète russe Maïakovski et de la révolution soviétique qu’il aurait, au milieu de sa carrière, soudainement transformé en barde officiel du régime socialiste. « La nouveauté des temps était le climat même de son sens », dit Pasternak. La révolution est, plus encore qu’une option, un tempérament, une manière de vivre, comme le contexte ininterrompu est nécessaire de toute son existence. Dès qu’il quitte les montagnes de son enfance, le grand air, les rochers, les forêts, les lourds fruits mrs de Géorgie, il se heurte au cosaque qui répriment les manifestations de 1905. ICEA dans un petit chef-lieu provincial, à 12 ans il court dans les rues avec les grévistes, reçoit des coups, lit des brochures marxistes, apprend des champs de combat. La révolution et les vers se sont d’une certaine manière confondue dans ma tête.

Moscou, lorsque son père est mort et sa famille au bord de la gêne, Maïakovski délaisse les études secondaires pour devenir membre professionnel du parti bolchevique sous le nom de Camarade Constantin. Il conspire, combine des évasions, organise des imprimeries clandestines quand d’inquiétantes maisons de faubourg, comme on en voit dans les yeux classiques du cinéma soviétique. 1908 : après l’échec de la révolution de 1905, la répression est terrible. Mais que qui a choisi le mot le plus dangereux. Il est pris et enfermé au cachot.

  • Taille : 18cm x 12cm
  • Table.
  • Ma révolution. pg5
  • Le poète dans l’armée de l’art. pg21
  • Homme tout entier. pg41
  • Moi-même. pg57
  • Eternel blessé d’amour. pg67
  • La couleur suprême du temps caméléon. pg79
  • Vladimir Maïakovski-tragédie. pg91
  • Je suis immortel. pg107
  • Comment faire des vers. pg115
  • Textes. pg132
  • Chronologie. pg183
  • Bibliographie - illustration. pg188
  • Index . pg189
La décoration théâtrale
1922
F. Rieder et Cie
La décoration théâtrale
Auteur : Léon Moussinac

Avant-propos.

La décoration théâtrale a presque constamment reflété les tendances générales de la peinture. Elle s’est développée, souvent, de façon parallèle, luttant contre une tradition, cédant à une mode, ou encore s’efforçant de suivre une école qui, dans ses théories absolues, représentait elle-même les tendances d’une époque vers un certain idéal artistique.

Durant ces quelques vingt dernières années, il est même arrivé qu’elle s’est imposée aux autres arts par la puissance de ses réalisations. Les Ballets russes, en 1909, ont prolongé leur influence, en effet, au point de peser encore sur nos arts décoratifs.

C’est qu’ils avaient réussi à condenser en quelque sorte et à exalter jusqu’au maximum d’expression possible les tendances artistiques d’une époque à laquelle la Perse et le Japon avait définitivement révélé le raffinement original et la merveilleuse précision de leur goût.

Aussi, au théâtre, les oeuvres dramatiques sont-elles moins remarquables, en général, durant ces années, que les recherches des peintres dans le domaine de la mise en scène est l’application pratique et théorie nouvelle, nées du symbolisme. D’ailleurs jamais cette application spéciale des travaux des peintres ne fut plus abondamment ni plus passionnément discutée. Mais il était assez difficile de démêler les faits et les théories, surtout de retrouver les ouvres, par suite de la dispersion des documents.

C’est pourquoi j’ai surtout voulu, dans cet essai, donner une idée d’ensemble de l’évolution de la décoration théâtrale depuis le temps où, par réaction contre le réalisme à la scène, on essaya d’obtenir l’unité artistique en demandant à des peintres de composer des décors et des costumes en harmonie avec l’esprit et le sens de l’oeuvre à représenter.

Un élément nouveau est d’ailleurs élargir bien vite les tentatives imparfaites du début en fournissant aux créateurs des possibilités originales et d’une étrange puissance : l’électricité. Désormais la lumière pourrait jouer aux besoins comme élément principal et provoqué l’application de techniques nouvelles auxquels l’art de la décoration thétrale restera de plus en plus soumis.

D’autre part, il semble bien que cette sorte d’aventures décoratives, qui commença aux environs de 1890, en France, au thétre d’art de Paul Fort, et qui entraîna toute l’Europe, soit aujourd’hui bien près de son terme. Elle enrichit quelque temps la scène, lui a fourni de réelle beauté, mais, - contrairement à ce que l’on pensait, - n’a pas contribué à enrichir la du théâtre proprement dit. Le moment paraît donc d’autant plus favorable pour esquisser les principales et les plus curieuses périple précis de ce mouvement original.

Léon Moussinac

  • Taille : 20,5cm x 13cm
  • Table des matières.
  • Chapitre premier.
  • Du réalisme au symbolisme. pg5
  • Réaction contre le réalisme du Théâtre Libre : Paul Fort au thétre d’art et Lugné-Poé au Théâtre de l’Oeuvre.
  • - Le décor « fictions ornementale ».
  • - Collaboration des peintres à la mise en scène : Maurice Denis, Vuillard, Bonnard, Toulouse-Lautrec, Séruzier, Odilon Redon, etc …
  • Chapitre II.
  • Influences étrangères. pg25
  • Un élément nouveau du décor : l’électricité. - Influence de Loïe Fuller.
  • Les idées de Gordon Craig sur l’art du théâtre.
  • En Allemagne : Georg Fuchs et Adolphe Appia.
  • - Les manifestations du Kunstlertheater de Munich et les réformes de Max Reinhardt.
  • En Russie : le Théâtre d’Art de Moscou.
  • - Stanislavski et Meyerhold.
  • - Le Théâtre Studia.
  • Les Ballets russes à Paris.
  • - Shéhérazade.
  • - Léon Bakstr, Alexandre Benoit, Roerich, Golovine, Fedorovsky, etc …
  • Le Théâtre de la Chauve-Souris à Paris.
  • Chapitre III.
  • Le Théâtre des Arts (1910 - 1913). pg53
  • Les idées de Jacques Rouché.
  • - Importance et retentissement des mises en scène du Carnaval des Enfants et du Sicilien.
  • - L’oeuvre des peintres Maxime Dethomas, Drésa, René Piot, Charles Guérin, d’Espagnat, Desvallières, Segonzac, Albert André, Delaw, J. Hémard, André Hellé, Hermann Paul, etc …, et de Poiret.
  • Chapitre IV.
  • Sur d’autres scènes (1912 - 1921). pg83
  • La leçon du thétre des arts.
  • - Les décors de J. Varie au à l’ouvre.
  • - Maurice Denis, Valdo Barbey, Dethomas, Drésa et René Piot.K.
  • - R. Roussel, Daragnnès, André Derain, Henri Matisse, Duffy, Fauconnet.
  • Irène Lagut, Jean Hugo.
  • Les costumes de Poiret pour le Minaret et Aphrodite.
  • Georges Lepape, Georges Barbier.
  • Steinlen, P. Bonnard, H. Laprade, Jules Flandrin Au Théâtre des Champs-Elysées.
  • Charles Dufresne.J.-G. Domergue, Guy Arnoux, etc …
  • Chapitre V.
  • Conclusion. pg113
  • L'art du théâtre proprement dit contre les peintres.
  • - L’effort de J. Copeau au Théâtre du Vieux-Colombier.
  • - Le cinéma contre le réalisme à la scène.
  • - La fin de l’aventure décorative au théâtre.
Le Théâtre du Soleil, Notre Théâtre
2010
L'avant-scène
Le Théâtre du Soleil, Notre Théâtre
Auteur : Collectif

ISBN : 2749811597

Ce numéro double, entièrement consacré au Théâtre du Soleil, explore plus particulièrement la question de la création collective, pilier essentiel du processus artistique orchestré depuis plus de quarante ans par Ariane Mnouchkine. Revenant sur l’histoire du théâtre et sur les grands spectacles, cet ouvrage entre au cœur du travail collectif, grâce à la publication d’extraits de notes de répétitions des trois derniers spectacles – Le Dernier Caravansérail (Odyssées), Les Éphémères et Les Naufragés du Fol Espoir (Aurores). S’enrichissant de textes sur la musique, d’analyses, d’entretiens avec Ariane Mnouchkine et les comédiens, ce numéro se veut le témoin de l’une des plus riches et des plus stimulantes aventures théâtrales et humaines contemporaines.

  • Taille : 19cm x 14cm
  • Sommaire ÉditorialAu-delà du théâtre, par Olivier CelikLe Théâtre du Soleil- Ariane Mnouchkine, l’éclat du Soleil, par Armelle Héliot- Rencontre avec Ariane Mnouchkine, par Olivier Celik- L’aventure épique du Théâtre du Soleil, par Fabienne Pascaud- De métamorphose en métamorphose, par Armelle HéliotNotes de répétitions (extraits)- Le Dernier Caravansérail (Odyssées)- Les Ephémères- Les Naufragés du Fol Espoir (Aurores)Créer ensemble - La création collective au Théâtre du Soleil, par Béatrice Picon-Vallin- Entretiens avec les comédiens, par Olivier Celik- Lettres aux comédiens, par Hélène Cixous- Le secret du Dernier des Dieux, par Hélène Cixous- Entretien avec Jean-Jacques Lemêtre, par Olivier Celik- « Notre théâtre », par Béatrice Picon-Vallin- L’ouverture au monde, l’aventure du Théâtre Aftaab- Lire, écouter, voir
Fifty english books 1580-1700
2004
Bernard Quaritch LTD
Fifty english books 1580-1700
Auteur : Collectif

Catalogue de vente de livres anciens anglais faisant partie d'une exposition au Globe actuel

  • Taille : 29,5cm x 22cm
  • Exemple d'ouvrage en vente : The Tragedy of Hamlet, Pince of Denmark - London 1676
La Lumière
1932
Librairie Delagrave
La Lumière
Auteur : A. Turpain

Introduction.

Dès que l’enfant s’éveille

et que ses petits yeux jusqu’alors fixe, se font chercheurs, c’est le rayon de lumière filtrant à travers les volets mal clos et venant effleurer sa couche, qu’il remarque, qu’ils recherchent et auquel il gazouille. 1000 le mystère sont cachées sous ce phénomène de clarté, dont l’humanité a à peine soulevé le voile depuis les quelques siècles qu’elle s’est livrée à l’observation de la nature. Cette lumière dont certes l’enfant ne peut même soupçonner la première raison, suffit à retenir son attention est satisfait son regard incertain.

Quand l’obscurité entoure de toutes parts, qu’aucune clarté ne vienne répondre à son éveil et dès lors il a peur, il souffre, il appelle, il crie bientôt, effrayés par la nuit.

Cette instinctive sympathie de l’enfant n’indique-t-elle pas déjà que la lumière est le symbole de la vie ? En fait la lumière a peut-être créé la vie, ou pour être plus exact c’est très probablement elle qui a coopéré aux premières transformations vitales, à moins cependant que la vie ne soit aussi ancienne, aussi éternel que la lumière et que la lumière même. Ce dont nous pouvons être assurés cependant, c’est que la lumière préside aux évolutions de la vie, elle en est la condition nécessaire et nous savons tous que notre globe privé de lumière et par suite de chaleurs (la chaleur n’étend qu’une forme particulière de la lumière) seraient incapables des manifestations de vie si multiples et si variée qu’il présente. Peut-être la vie demeurerait telle latente et comme à l’état de puissance, pouvant à nouveau y évoluer sous l’influence bienfaisante de la lumière. Sans la lumière et la chaleur qui l’accompagne la vie cesserait complètement. C’est la lumière, plus particulièrement la lumière du soleil qui anime la nature et par la terre de beauté. Elle donne aux océans leur mobilité, aux terres arables leur fécondité, aux forêts et au gazon leur verdure, aux fleurs leur couleur ; elle les fait belle. C’est elle encore qui, d’un pinceau subtil, habits des chatoyantes couleurs du prisme la secte comme le papillon ; c’est elle aussi qui fait les beaux yeux bleus ou bruns mais toujours purs des charmants bambins et la beauté des femmes était mère.

C’est du rayon de soleil que nous vient toute notre activité, notre puissance sur la nature. C’est la lumière qui fait mrir le fruit qui nous désaltère, elle verdit aussi l’herbe qui nourrit le ruminant, dans la chair entretient notre vie, dans le lait nous fournit mille mets exquis. C’est elle encore qui nous donne la laine, la soie, le coton, qui nous vêt par suite. c’est donc en définitive par la lumière du soleil que nous agissons et que se sont former ne tissus.

A. Turpain

  • Taille : 30cm x 20cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg5
  • Chapitre I. Les premiers pas de la lumière p.g9
  • Chapitre II. Ombres et silhouettes. pg13
  • Chapitre III. Réflexions et réfraction de la lumière. pg18
  • Chapitre IV. Les miroirs et leur curieux effet. pg23
  • Chapitre V. Prismes et lentilles. pg33
  • ChapitreVI. Dispersion et à chromatisme. pg36
  • Chapitre VII. Les instruments d’optique. pg41
  • Chapitre VIII. Les télescopes. pg53
  • Chapitre IX. Le spectroscope et la spectroscopie. pg77
  • Chapitre X. L’art des projections. pg97
  • Chapitre XI. Je de la lumière dans l’atmosphère. pg108
  • Chapitre XII. La vision et ses défauts. pg135
  • Chapitre XIII. Vision colorée. pg150
  • Chapitre XIV. Illusion d’optique. pg158
  • Chapitre XV. Vision binoculaire et stéréoscopie. pg171
  • Chapitre XVI. Durée des impressions lumineuses sur la rétine et stroboscopique. pg187
  • Chapitre XVII. Cinématographie. pg197
  • Chapitre XVIII. Sources artificielles de lumière. pg221
  • Chapitre XIX. Photographies ordinaires et en couleurs. pg248
  • Chapitre XX. La lumière est la vie. pg265
  • Chapitre XXI. La vie de la lumière. Lumière et matière. pg276
  • Chapitre XXII. La lumière ensemence les mondes. La théorie panspermiste et l’hétérogènèse.
Intersection: Intimacy and Spectacle
2011
Arts and Theatre Instit.
Intersection: Intimacy and Spectacle
Auteur : S. Lotker, S. Kubista, O. Sagiv, T. Brejzek

ISBN : 9788070082614

Catalogue of Intersection: Intimacy and Spectacle includes description of this a unique project consisting of living performative exhibition in public space and a series of performances and symposia exploring performative space and contemporary performance.

  • Taille : 27cm x 20,5cm
  • Contents.Intro. pg10
  • Spatial Background. pg18
  • Architecture. pg22
  • Boxes 1-32. pg30
  • Krétakor : Crisis Trilogy. pg64
  • Claudia Bosse : The Tears of Stalin. pg66
  • Philip Glass : Les Enfants Terribles
  • - National Theatre. pg68
  • Edward Gordon Craig : Space and Light - Victoria and Albert Museum. pg69
  • Out of the Box. pg71
  • Cinema. pg72
  • Intersection Talks : Expanding Scenography. pg76
  • Neither Nor
  • - A Conversation. pg80
  • Simon Donger : Broken Maze. pg90
  • Glossary. pg92
  • Intersection calendar. pg94
  • Intersection Team. pg95
  • Resumé. pg97
Le décor de film, 1895-1969
1990
Veyrier/Lib.l'Avenue
Le décor de film, 1895-1969
Auteur : Léon Barsacq

ISBN : 2851993429

Un grand décorateur, qui se révèle aussi grand historien, nous donne ici sur l’évolution esthétique et technique du décor cinématographique un panorama exhaustif.

Unique au monde sur le sujet, se livraient un ouvrage de standing professionnel et s’adresse à tous ceux qui s’intéressent au cinéma comme métier et comme moyen d’expression.

En seconde partie de l’ouvrage, un très important dossier rassemble un choix de textes, un dictionnaire des principaux décorateurs et des films les plus marquants, un répertoire professionnel, un lexique, des index et nombreux documents iconographiques.

Mais en Crimée 106, Léon Barsacq est mort décembre 1969 après avoir mit la dernière main à son livre qui est le fruit d’une longue expérience personnelle du décor de film.

Il était l’un des tout premiers décorateurs de films français et étrangers. On lui doit notamment le décor de nombreux films de René Clair, qui est ici son préfacier.

  • Taille : 28cm x 21.5cm
  • Sommaire
  • Note de l’éditeur pg5
  • Préface de René clair, de l’Académie française pg7
  • Avant-propos pg9
  • Histoire. L’optique cinématographique et l’évolution du décor pg11
  • Décors peints. Les primitifs français - 1895 - 1914 pg13
  • Décor construit. L’Italie - 1910 - 1915 pg23
  • Les tats-Unis - 1915 - 1920 pg25
  • Recherches esthétiques. La Suède 1917 - 1922 pg29
  • L’Allemagne 1919 - 1926 pg30
  • La France 1918 - 1926 pg37
  • Décors naturels. L’URSS 19 125 130 pg49
  • Triomphe du réalisme. Hollywood après 1920 pg53
  • La France après 1926 pg59
  • La Grande-Bretagne après 1930 pg82
  • L’URSS après l’avènement du parlant pg90Néoréalisme. L’Italie après la seconde guerre mondiale pg97
  • Nouvel essor. L’influence du néoréalisme pg107
  • Enrichissement des traditions nationales : la Suède pg108
  • Le Japon pg109
  • Nouvelle vague - Cinéma-vérité pg110
  • Technique. Rôle du décor dans le film et sa conception pg111
  • Etude des décors. La documentation pg117
  • Les films me dit d’ »époque » 1815 1915 pg120
  • Les films historiques pg124
  • Les films de music-hall, les films musicaux, les films ballets pg129
  • Les films fantastiques pg134
  • Couleurs et techniques nouvelles. La couleur pg139
  • Variation des formats : anamorphose, écran large, film large pg148
  • Le relief pg151
  • Réalisation des décors. Les studios pg153
  • La préparation des films pg156
  • Le personnel employé pg163
  • La cons truction des décorspg165
  • Trucage pg175
  • Conclusion pg187
  • Dossier. Quelques réflexions sur le décor pg189
  • Histoire du décor et du cinéma pg199
  • Biographie des 100 principaux décorateurs de film pg213
  • Filmographie des 110 film marquant dans l’histoire du cinéma pg221
  • Lexique pg229
  • Répertoire professionnel pg243
  • Index. Film cité pg249
  • Index. Non citépg265
  • Bibliographie pg269
Le Cid - Tragédie
1682
Guillaume de Luyne Libraire
Le Cid - Tragédie
Auteur : Pierre Corneille

Par Grâce et Privilège du Roy, donné à Saint-Germain-en-Laye, le 17 jours d’avril, l’an de gârce 1679. Signé, par le roi en son Conseil d’Alence, il est permis à Guillaume de Luyne, libraire juré de notre belle ville de Paris, d’imprimer les Oeuvres de Théâtre des sieurs Corneille frères, pendant le temps de dix années entières et accomplir : et défenses sont faites à qui que ce soit de les imprimer sans le consentement dudit de Luyne, à peine de trois mille livres d’amende, de tous dépens, dommages, et intérêts, comme il est plus amplement porté par lesdites Lettres.

Registré sur le livre de la Communauté, le 18 avril 1679. Signé, Courterot Syndic.

Achevé d’imprimer pour la première fois, le 14 avril 1682.

Et le dit de Luyne a fait parent du privilège ci-dessus à tienne Loyson, et Pierre Traboüillet, suivant l’accord fait entre eux.

  • Taille : 14cm x 8,5cm
  • Le Cite, tragédie.
  • Acte I.
  • Scène première.
  • Chimène et Elvire. pg1
  • Scène II.
  • L’infante, Léonard, page. pg3
  • Scène III.
  • Le compte, Don Diègue. pg6
  • Scène IV.
  • Don Diègue. pg10
  • Scène V.
  • Don Diègue, Don Rodrigue. pg11
  • Scène VI.
  • Don Rodrigue. pg12
  • Acte II.
  • Scène première.
  • Don Arias, le Comte. pg15
  • Scène II.
  • Le Comte, Don Rodrigue. pg17
  • Scène III.
  • L’infante, Chimène, Léonard. pg19
  • Scène IV.
  • L’infante, Chimène, Léonard, Le Page. pg22
  • Scène V.
  • L’infante, Léonard. pg22
  • Scène VI.
  • Don Fernand, Don Farias, Don Sanche. pg24
  • Scène VII.
  • Don Fernand, dont Sanche, Don Alonse. pg27
  • Scène VIII.
  • Don Fernand, Don Diègue, Chimène, Don Sanchez, Don Arias, Don Alonse. pg28
  • Acte III.
  • Scène première.
  • Don Rodrique, Elvire. pg32
  • Scène II.
  • Don Sanche, Chimène, Elvire. pg33
  • Scène III.
  • Chimène, Elvire. pg34
  • Scène IV.
  • Don Rodrigue, Chimène, Elvire. pg37
  • « Va, je ne te hay point. » pg41
  • Scène V.
  • Don Diègue. pg43
  • Scène VI.
  • Don Diègue, Don Rodrigue. pg44
  • Acte IV.
  • Scène première.
  • Chimène, Elevire. pg47
  • Scène II.
  • L’infante, Chimène, Leonor, Elvire. pg49
  • Scène III.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue. pg51
  • Scène IV.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue, Don Alonse, Don Sanche. pg55
  • Scène V.
  • Don Fernand, Don Sanche Don Arias, Don Alonse, Don Diègue, Chimène, Elvire et Don Fernand. pg56
  • Acte V.
  • Scène première.
  • Don Rodrigue, Chimène. pg63
  • Scène II.
  • L’Infante. pg64
  • Scène III.
  • L’infante, Léonore. pg65
  • Scène IV.
  • Chimène, Elvire. pg67
  • Scène V.
  • Don Sanche, Chimène, Elvire, pg69
  • Scène VI.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Snche, Don Alonse, Chimène, Elvire. pg70
  • Scène VII.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue, Don Snche, Don Alonse, L’Infante, Chimène, Léonore, Elvire.
PQ of Performance Design and Space 2011
2011
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 2011
Auteur : Pavia Petrova

ISBN : 9788070082591

Dear friends of contemporary theatre design,

I don’t think I need to tell you all the ways in which the Prague Quadrennial is unique. The greatest event of its kind in the world, organized with financial support from the EU, is simply predestined to be talked and written about in superlatives even before it starts. I firmly believe and earnestly hope, in the name of all the organizers, that it will be talked and written about in the same spirit even after it has concluded, and that tens of thousands of loyal and new theatregoers from all corners of the world will take home memories of a wonderful June experience in Prague.

Considering the nature of this event, I will take the liberty to add one more quite important wish. Let us hope that, from 16 to 26 June 2011, the weather will be in our favour !

Jiří Besser

Minister of Culture of the Czech Republic

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Introduction. pg8
  • PQ Council. pg11
  • Opening Statements. pg14
  • Jury. pg24
  • PQ Awards. pg27
  • List of Participating Countries and Regiones. pg28
  • Exhibition Countries and Regions. pg30
  • Projects. pg272
  • Index. pg316
  • PQ Team. pg324
Josef Svoboda
2004
l'Âge d'Homme
Josef Svoboda
Auteur : Denis Bablet, Danièle Monmarte

ISBN : 282511667X

60 ans de théâtre… Josef Svoboda, né en 1920, s’est éteint en avril 2002. Architecte et scénographe, il commence à travailler au théâtre en 1943, collabore avec Alfred Radok et Otomar Krejca au Théâtre National de Prague. L’histoire du théâtre za branou (théâtre derrière la porte) fondée en 1965 par Krejca (et fermé en 1972 par une décision arbitraire du pouvoir en place) est inséparable du nom de Svoboda. En 1958, il présente à Bruxelles Laterna Magika et développe le principe du « polyécran » qui l’a inventé. Depuis 1963, il crée des scénographies dans le monde entier.

Svoboda été fasciné par la musique (il a signé de nombreux décor d’opéra) et par la lumière dont il a fait l’un des principaux éléments de ces scénographies. Bricoleur et ingénieur, il a su s’intéresser aux technologies modernes des images et du son, sans jamais cesser de penser la présence de l’acteur dans les espaces magiques.

Denis Bablet a fait connaître en France l’ouvre de Josf Svoboda. Cet ouvrage traite de son activité jusqu’en 1970. Il est complété, pour cette réédition, par une iconographie et une chronologie qui prenne en compte la totalité de l’oeuvre immense (près de 700 titres) de ce grand scénographe tchèque de réputation internationale.

  • Taille : 22cm x 15cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • La formation. pg9
  • Une démarche. pg17
  • Un espace psychoplastique. pg57
  • L’homme, la scène est l’image. pg111
  • Vers un théâtre atelier. pg157
  • L’unité d’une ouvre. pg165
  • Annexes.Luigi Nono : Josef Svoboda. pg171
  • Virginio Puecher : la mise en scène d’Atomtod et le travail de Josef Svoboda. pg174
  • Prix et distinctions obtenues par Josef Svoboda. pg185
  • Chronologie des scénographies et réalisation de Josef Svoboda. pg187
  • Filmographie et bibliographie sélective. pg233
  • Index des noms et oeuvres citées. pg235
Les automates
1994
Musée de l'Automate de Souillac
Les automates
Auteur : Thierry Dehan

En conclusion,

Bien des années se sont écoulées depuis les premiers automates égyptiens et ceux présenter au Musée de l’automate de Souillac. Aujourd’hui, au seuil d’un nouveau siècle hautement technologique, on ne peut être que frapper par le contraste qu’il existe entre la simplicité des principes mécaniques et la subtilité de l’ensemble des mouvements qui donnent l’illusion de la vie à ces automates.

Retracer l'histoire et découvrir le secret des mécanismes n'est pas suffisant pour saisir toute la fascination qu'ils exercent sur nous.

encore faut-il tenter de comprendre en vertu de quoi - ou deux qui tiraient tant d’ingéniosité, d’invention, de patience et de persévérances ont été investies dans ces mécaniques animées.

Et si l’emportait, sur les automates, un autre regard.

  • Taille : 29,5cm X 21cm
  • Petite histoire. pg1
  • Les mécanismes. pg3
  • Les corps. pg5
  • Un autre regard. pg8
Penser la lumière
2017
Actes Sud Ed.
Penser la lumière
Auteur : Dominique Brugière

ISBN : 9782330084004

En quelques décennies, les éclairages sont devenus l'une des données majeures des créations contemporaines et l'objet de nombreuses expérimentations scéniques. Dans ce premier livre consacré à la lumière, l'une de ses artistes les plus reconnues, Dominique Bruguière, offre un récit à la fois sensible et théorique sur cette nouvelle approche du théâtre, témoignant de quelques-uns de ses riches compagnonnages, avec Claude Régy, Jérôme Deschamps, Patrice Chéreau...

Elle rend compte ici du cheminement nécessaire à la composition de la lumière et de la façon dont cette matière impalpable dialogue avec tous les enjeux de la mise en scène : la scénographie, le jeu des acteurs, le rythme de la représentation. Ce livre est la transmission d'une expérience foisonnante où le lecteur perçoit le déroulement de la pensée et son développement dans l'imaginaire.

Depuis plus de trente ans, Dominique Bruguière crée des lumières pour le théâtre, l'opéra et la danse. Prix de la critique pour Quelqu'un va venir, Les Variations sur la mort et Pelléas et Mélisande, elle a reçu deux Molière, pour Phèdre et Rêve d'automne. Ce livre est né d'une série d'entretiens avec Chantal Hurault, docteure en études théâtrales, membre du comité de ne-diction d'Alternatives théâtrales, responsable des publications et de la communication du Théâtre du Vieux-Colombier, Comédie-Française.

  • Taille : 22cm x 11,5cm
  • Table.
  • Avant-propos de Georges Banu : « Génération Lumière ». pg7
  • Préface de Chantal Hurault : la théâtralité de la lumière. pg29
  • Entre observation et fascination. pg33
  • La gamme infinie des matières. pg44
  • L’ombre comme altérité. pg53
  • Dialogue silencieux avec les acteurs. pg58
  • Chaque décor pourtae en lui sa lumière. pg65
  • Résonances cosmiques. pg83
  • La course du soleil. pg101
  • Graver le temps. pg107
  • Vers l’épure. pg111
  • Traversées sensibles et sensuelles. pg117
  • Postface de Christophe Honoré. pg129
  • Création lumière de Dominique Bruguière. pg131
  • Crédits photographiques. pg151
Picasso et le théâtre
1967
Editions Cercle d'Art
Picasso et le théâtre
Auteur : Douglas Cooper

L'expérience théâtrale de Picasso, en même temps qu'elle lui a permis de réaliser les oeuvres comptant parmi les plus originales et les plus puissantes de ce siècle, de même qu'elle constitue un champ d'investigation pour son art, a été la mesure qu'il a prise du monde.

Les saltimbanques et les acrobates non seulement ont été suivis de danseurs ou de toreros et d'innombrables autres personnages, mais ensemble ils ont préfiguré l'envol des milliers de colombes, messagères de la paix; ils n'ont fait que précéder les dénonciations retentissantes des guerriers-massacreurs de Guernica ou de Corée.

L'ouvrage contient près de 500 illustrations, des pages manuscrites de la pièce de théâtre de Picasso: Le Désir attrappé par la queue, et un supplément des dix-huit projets originaux de Picasso pour ce livre.

  • Taille : 32cm x 28cm
  • Table des matières.Répertoire des spectacles créés avec la participation de Picasso.En guise de préface. pg1
  • I - Picasso et le théâtre. pg3
  • II - Le Théâtre dans la peinture de Picasso : 1899-1915. pg5
  • III - Parade : 1916-1917. pg8I
  • V - Parade et la peinture de Picasso : 1915-1925. pg18
  • V - Le Tricorne : 1919. pg25
  • VI - Pulcinella : 1920. pg29
  • VII - Cuadro Flamenco : 1921. 34
  • VIII - Antigone, Mercure ey autres spectacles : 1922-1925. pg36
  • IX - Influences réciproques du théâtre et de la peinture : 1919-1925. pg45
  • X - Participation de Picasso à quelques spectacles plus récents : 1936-1962. pg50
  • XI - Le Théâtre au service de Picasso. pg54
  • Documents annexes inédits. pg289
  • Trois lettres de Picasso. pg291
  • Pages manuscrites de « Désir attrapé par la queue ». pg293
  • Onze lettres de Satie. pg301
  • Pages du carnet de travail de Jean Cocteau pour Parade. pg305
  • Bibliographie. pg309
IV, registres du Vieux Colombier II, America
1984
Gallimard
IV, registres du Vieux Colombier II, America
Auteur : J. Copeau, M-H. Dasté, S.Maistre Saint-Denis

ISBN : 20707015812

Après les deux premiers volumes des Registres de Jacques Copeau, Appels et Molière, voici le récit d'une aventure à laquelle on se réfère souvent sans toujours la connaître. Ce récit, reconstitué grâce aux correspondances, témoignages et textes contemporains, conservés puis organisés et classés, retrace un moment unique de vie : l'aventure d'un groupe, d'une compagnie, entraînés par un homme doué de vision. Ce récit nous concerne parce que la ferveur, l'intrépidité, l'implacable exigence envers soi-même y sont exemplaires. Chacun, non seulement au travers des créations offertes au public, mais des tentatives, des pressentiments, des rêves qui les entourent, reconnaîtra toutes les interrogations du théâtre d'aujourd'hui. Ce récit nous concerne tous parce qu'il se place aux racines de notre temps. Des documents de haute valeur (les correspondances notamment) font apparaître dans un éclairage inconnu à ce jour des hommes tels que André Gide, Roger Martin du Gard, Jean Schlumberger, Gaston Gallimard, ou tels que Louis Jouvet et Charles Dullin. Après la fondation de La Nouvelle Revue Française, il nous fait vivre la première saison du Théâtre du Vieux-Colombier, puis l'épreuve de la guerre qui ne détruit pas l'œuvre commencée mais fortifie les amitiés. Nous assistons enfin au départ de la jeune troupe, en mission de propagande, pour les États-Unis.

  • Taille : 20,5cm x 14cm
  • Préface. pg9
  • América I. Premier voyage de Jacopo aux Etats-Unis. pg21
  • L’été en France. pg111
  • América II. New York. pg165
  • Première saison du Vieux-Colombier à New York. pg171
  • L’été à Cedar Court. pg283
  • Deuxième saison du Vieux-Colombier à New York. pg331
  • Epilogue. pg449
  • peine 10. pg489
  • Notes. pg573
  • Index . pg609
Eloge de l'Ombre
1993
Publications Orientalistes de France
Eloge de l'Ombre
Auteur : Tanizaki Junichirô, René Sieffert

ISBN : 2716903069

Un amateur d’architecture qui, de nos jours, veut se faire concert une demeure de pur style japonais, se prépare bien des déboires avec l’installation de l’électricité, du gaz et de l’eau, et nuit en soi-même fait l’expérience de construire, il suffit d’entrer dans une salle de maisons de rendez-vous, de restaurant ou d’auberge, pour se rendre compte des efforts qu’il aura fallu déployer pour intégrer harmonieusement ces dispositifs dans une pièce de style japonais.

moins que l’on ne soit de ces amateurs de thé qui, dans leur suffisance, traite par le mépris les bienfaits de la civilisation scientifique, et qui établissent leur « chaumière » au fonds de quelques campagnes reculées, dès lors que l’on est à la tête d’une famille d’une certaine importance et que l’on habite la ville, je ne vois pas quoi l’on tournerait le dos, sous prétexte que l’on veut sa maison aussi japonaise que possible, au calorifère, au luminaire, aux installations sanitaires, toute chose inséparable de la vie moderne. Bien entendu, un homme tant soit peu méticuleux se torturera les méninges pour la moindre chose, le téléphone par exemple, qu’il reléguera sous un escalier, ou dans un coin de couloir, là où ils risquent le moins d’attirer l’oil. Il fera enterrer les fils électriques dans la traversée du jardin, dissimuler les commutateurs dans les placards, sous les étagères, courir les lignes intérieures à l’ombre de paravents, de telle sorte qu’il arrive, parfois, qu’aux termes de tant d’ingéniosité l’on éprouve quelques agacements devant cet excès d’artifice.

Une lampe électrique est désormais chose familière à nos yeux ; alors, pourquoi ces 2000 mesures au lieu de laisser tout bonnement en l’ampoule à nu, muni d’un banal abat-jour en verre mince élite, qui donnera l’impression du naturel et de la simplicité. Il m’est arrivé le soir , en regardant la campagne par fenêtre d’un autre, d’apercevoir, à l’ombre desshöji dunes maisons de paysans, et ampoules qui brillaient solitaire sous un de ses mains ses abat-jour désuets, et de trouver cela d’un got exquis.

Un ventilateur par contre est une autre affaire, car ni son bruni sa forme s’accorde aisément au style d’une pièce japonaise. Dans une maison ordinaire, si vous n’aimez pas cela, vous pouvez toujours vous en passer ; mais dans un établissement destiné à accueillir des clients en été, il ne peut être question de se conformer au seul got du propriétaire. Mon ami le patron du Kaïraku-en, assez fin connaisseur en matière d’architecture, tient les ventilateurs en horreur et s’est longuement refusé en faire installer dans les chambres ; mais tous les ans, était venu, il avait à subir les doléances des clients, de sorte qu’il a finie par céder.

Tanizaki Junichirô

  • Taille : 24cm x 16cm
  • Préface. pg7
  • Eloge de l’Ombre. pg15
  • Glossaire. pg105
  • Oeuvres de Tanizaki Junichirô. pg111
Dernière Pirouette
1946
Editions du Sagitaire
Dernière Pirouette
Auteur : Lugné-Poe

Avant-propos.

La publication de ses pages du subir un retard que les derniers événements ont entraîné. Plusieurs fois, d’ailleurs, je me suis interrogé si certains souvenirs restais encore utile à devoir être consigné. Mais nous avons eu des « mouvements artistiques », ces 20 dernières années, ayant produit de tels effets, entraîner de telles manifestent patient, qu’il apparaît nécessaire d’en consigner les relations qu’elles ont eues avec la vie de « l’Oeuvre ».

Avons-nous assez subi, par exemple le bourrage de crne des manifestations russes, mise en scène, discipline des troupes, etc… J’ai eu l’occasion de connaître fort bien les chefs de file de ces mouvements qui me déclaraient sur un petit temps assez méprisant et souriant que nos gens du Boulevard ne feraient jamais rien pour émanciper la vraie vie artistique, « la noblesse résidant dans les cours de nos amis peintres, décorateur et poète, etc., etc. ».

Je l’ai déjà dit, un des plus célèbres d’entre eux, Constantin Alexeieff Stanislavsky, fréquenta notre Conservatoire de Paris vers 1892. Mais grattez le Russe et vous trouverez toujours l’Asiate. Et lui autant que d’autres méprisaient la misère de notre domaine artistique. Maintes fois je le sollicite tes devenirs à Paris, de nous montrer ses mises en scène. Il me répondait toujours qu’il arriverait plutôt à persuader les Allemands que des Français… D’ailleurs, il me réservait toujours un accueil cordial, puisque qu’il me permit de faire une conférence sur la scène du Thétre artistique de Moscou en 1915.

Mais voilà qui peut fixer la niaiserie des poires qui se sont faites ces thuriféraires bien souvent. En 1906 je prie que Stanislavsky avait monté l’Oiseau Bleu de Materlinck. il me paraît juste de lui demander d’en donner la primeur à Paris ou Bruxelles - précisément il était en vacances au bord de la mer en Belgique. - Je trans crie la lettre qu’il me répondit, et je lui laisse pour compte son ton de dédain d’un affecté sans le savoir - du rôle benêt qu’il m’attribue :

Cher Monsieur et Maître,

on m’a renvoyé votre lettre de Moscou. Par cause de voyage, je ne l’ai reçu qu’aujourd’hui. Pardon pour le retard occasionné, la faute n’en est pas à moi.

Les bruits des journaux sont faux. L’Oiseau Bleu n’est pas encore joué, aucun projet pour le voyage à Paris n’est fait. Quant aux autres pièces du répertoire russe, je ne crois pas qu’elle puisse intéresser le public français qui a ses exigences toutes spéciales. Votre talent et votre activité que j’admire, n’ont pas toujours pu vaincre échanger les gots du public parisien.

Je souhaite de tout cour que votre énergie ne faiblisse. Et que, soutenu par la fermeté et la persévérance qui vous sont propres, et détruisent les traditions vieilles.

Je vous souhaite énergie et succès et je vous prie de recevoir mes salutations respectueuses.

C. Alexieff (Stanislavsky).

Westland, 10 août 1908.

… Oui, l’erreur russe a fait patauger beaucoup de nos intellectuels de la scène. Et dire qu’ils y croient encore ! 910, le père de notre cher Georges Pitoëff, M. Jean Pitoëff, délégué des thétres russes à Paris, comme il s’intitulait, admettait que « l’Oeuvre » pourrait être le théâtre-champion des mises en scène russe.

Quelque admiration qu’on puisse avoir pour leurs écrivains, leurs artistes, trop souvent nous ne devons pas été que des naïfs.

Lugné Poe

  • Taille : 18,5cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • Chapitre
  • I. Ce pauvre Alfred Savoir. pg11
  • Chapitre II.
  • Paul Claudel, vivifieet sanctifie l’Oeuvre. pg27
  • Chapitre III. pg55
  • Chapitre IV.
  • Le Cygne d’Orthez et quelques autres. pg79
  • Chapitre V.
  • Tout est à recommencer. pg103
  • ChapitreVI. Un four. Fusée. Ruth Draper. pg133
  • Chapitre VII. pg155
  • Chapitre VIII.
  • Faites-en autant. pg173
  • Claudel et Marie Kalff point pg181
  • Notre remise par Claudel à l’Oeuvre. pg187
  • Comment Jean Variot voyait les décors de l’Annonce. pg192
  • Quelques lettres de Francis Jammes à Lugné-Poe. pg198
  • Extrait d’une lettre de Mlle Gladys Maxhence. pg207
  • Extrait de la brochure rédigée par Ch. Plumet. pg209
  • Programme de la ligue d’art dramatique et littéraire. pg211
  • Note sur Max Reinhardt. pg203
His. Th. français en Be. depuis origine à nos jours-Tome I
1878
Arch. géné. du Royaume
His. Th. français en Be. depuis origine à nos jours-Tome I
Auteur : Frédéric Faber

Préface.

Je n’ai pas la prétention, en publiant une Histoire du Théâtre Français en Belgique, d’avoir fait un ouvrage irréprochable. Je laisse ce soin à de plus forts que moi, me considérant comme heureux si mes recherches peuvent leur être de quelque utilité.

Le manque de documents, l’abandon dans lequel a été laissée cette branche importante de notre littérature nationale, le peu d’ouvrages dramatiques indigènes que renferment nos bibliothèques publiques, ont rendu ma tâche ardue et difficile.

L’essentiel, dans un ouvrage de cette nature, était d’arriver à être int »ressant tout en restant méthodique. J’ai dpnc partagé mon travail en deux parties principales :

1°. La Belgique sous la domination étrangère;

2°. La Belgique indépendante;

Qui ont chacune comme subdivisions deux titres généraux :

I. Partie historique;

II. Partie bibliographique.

La partie historique est suivie d’une annexe, dans laquelle, pour ne pas grossir inutilement le texte, j’ai groupé tous les documents destinés à venir à l’appui des faits que j’avance.

Quant à la bibliographie elle se compose de :

1°. Les Ecrits relatifs au théâtre;

2°. Les Oeuvres dramatiques.

Il m’a semblé intéressant, pour ces derniers, de distinguer les auteurs belges de naissance ou naturalisés, des étrangers ayant produit quelques oeuvres dramatiques en Belgique. Elle comprend donc trois classes /

1°. Les Auteurs belges;

2°. Les Auteurs étrangers;

3°. Les Anonymes.

Enfin, en dernier lieu, je fais suivre chacune des deux parties principales, de tables renseignant :

1°. Les Auteurs cités;

2°. Les ouvrages dramatiques, dont il a été question.

Je remercie ici les personnes qui, par leur complaisance, ont facilité ma tâche. Les encouragements que j’ai reçu de toute part m’ont soutenu dans les moments où il me semblait que l’aridité du travail surpassait ma bonne volonté, et, en exprimant ma reconnaissance à ceux qui m’ont aidé de leur savoir, je réclame l’indulgence de mes lecteurs, les priant de considérer surtout le but de mon ouvrage, qui a été d’êtreutile à mes compratriote.

F. Faber

  • Taille : 24cm x 17cm
  • Table des matières.
  • Préface.
  • Chapitre premier.
  • Origines.
  • - Cortèges historiques.
  • - Entremets dans les festins princiers.
  • - Chambres de rhétorique.
  • - Entrées solennelles de souverains.
  • - Mysères, moralités, etc. pg1
  • Chapitre II.
  • Les Auteurs dramatiques de la première période (jusqu’en 1700). pg17
  • Chapitre III.
  • Les Collèges de la Compagnie de Jésus, en Belgique. pg39
  • Chapitre IV.
  • Les origines de l’Opéra en Belgique. pf51
  • Chapitre V.
  • Installation du théâtre régulier. pg79
  • Chapitre VI.
  • Le Théâtre Français dans la principauté de Liège, depuis son origine jusqu’à la Révolution de 1789. pg135
  • Chapitre VII.
  • Le Maréchal de Saxe et Favart.
  • - Les Comédiens Français du Comte de Lowendahl. pg163
  • Chatire VIII.
  • Le Théâtre Français en Belgique, après le départ du Maréchal de Saxe, jusqu’en 1766. pg193
  • Chapitre IX.
  • Les Comédiens Ordinaires de S.A.R. le Prince Charles de Lorraine 1766-1790. pg227
Illus. eprat. the.-Inter. fiorentini Opera comica veneziana
1975
Neri Pozza Editore
Illus. eprat. the.-Inter. fiorentini Opera comica veneziana
Auteur : F. Mancini, M T Muraro, E. Povoledo

Non v’è dubbio che la maggior difficoltà che nasce nelle invenzioni delle Scene Teatrali, ed anche altre prospettive di tal sorte, è quelle della differenza della prima idea fino all’ultimo termine di porla in opera, perché cala tanto, che alle volte non si conosce per quella che fu in mente formato nell’intelletto l’idea; se ne forma uno schizzo, o abbozzo, quale assai cala dal primo concetto; poi si disegna in carta secundo le regole della prospettiva ed architettura, ma per tali soggezione sminuisce assai; poi si disegna in opra, e tanto più va perdendo quello spirito che fu prima in idea; infine si dipinge e colorisce secondo l’arte, ma sempre in vece di crescere cala molto, ancorché per molto spirito e talento abbi chi opera ». (F. Bibiena, Direzione a giovani studenti nel Disegno dell’Architettura Civile …, Bologna, 1731-1732, Operazione (69).

Il ne fait aucun doute que la plus grande difficulté qui se pose dans les inventions des scènes théâtrales, et aussi d'autres perspectives de ce destin, est celle de la différence de la première idée jusqu'au dernier terme pour la mettre en œuvre, car elle tombe tellement, que parfois elle ne le fait pas nous savons par quoi l'idée s'est formée dans l'intellect; une esquisse ou une esquisse en est formée, ce qui est loin du premier concept; puis il est dessiné sur papier selon les règles de la perspective et de l'architecture, mais pour ces crainte, il diminue considérablement; puis il se dessine en opra, et d'autant plus que l'esprit qui était le premier dans l'idée perd; enfin, il peint et colore selon l'art, mais toujours au lieu de grandir il baisse beaucoup, même si pour beaucoup d'esprit et de talent il y a ceux qui travaillent ". (F. Bibiena, Direction aux jeunes étudiants en conception d'architecture civile ..., Bologne, 1731-1732, Opération (69)

  • Taille : 21,5cm x 16cm
  • Indice del volume.
  • Presentazione di Gianfranco Folena. pg7
  • Criteri della Mostra. pg9
  • Lorenzo Bianconi : Scena, musica e pubblico nell’opera del Sciento. pg15
  • Perluigi Petrobelli : Lo spacio e l’azione scenica nell’opera seria ettecentto. pg25
  • F. Mancini, M.T. Muraro; E. Povoledo : Guida e catalogo della Mostra. pg31
  • Sebastiano Serlio : La scena fissa rinascimentale. pg33
  • Bernando Buontalenti : Gli Intermedi e la scena mutevole. pg41
  • Alfonso Parigi : La scena nelle festa musicale. pg49
  • Jacopo Torelli : La scena come macchina. pg54
  • Ferdinando Tacca : Il fiorire della tipologia scenica. pg69
  • Marcantonio Chiarini : Alla ricerca di nuovi schemi prospettici. pg73
  • Ferdinando Galli Bibiena. pg87
  • L’architetto in teatro : Filippo Juvarra e Luigi Vanvitelli. pg97
  • Pietro Righini : Il modello replicato. pg102
  • Domenico Barone : Il vero a corte. pg109
  • Carlo Goldoni : L’opera comica veneziana. pgpg118
  • Fabrizio e Bernardino Galliari : La scena quadro. pg124
  • Perfezione e declino dell’illusionismo. pg128
  • L’orchestra, il balletto, genesi di uno spettacolo. pg135
  • Nino Pirrotta : Il luogo dell’orchestra. pg137
  • Marian Hannah Winter : Il balletto e lo spazio scenico. pg147
  • Mercedes Viale Ferrero : Enea nel Lazio : il melodramma e l’antichita classica. pg161
  • Illusione e pratica teatrale nei trattatisti (schede bibliografiche a cura di Rosanna Piscitelli Mancini). pg169
  • Indice delle collezioni e biblioteche. pg177
  • Indice dei modelli esposti. pg179
  • Indice dei nomi. pg181
Scénographie Sémiographie
1971
Denoël-Gonthier
Scénographie Sémiographie
Auteur : Jacques Polieri

ISBN : 978-2282201511

Créateur de la scénographie moderne, théoricien, Jacq ues Polieri a également produit d’importantes réalisations. Il a mis en scène les plus grands écrivains contemporains. Mallarmé, Kafka, Pirandello, Ionesco, Beckett, Tardieu, butor, etc., est conçu lui-même des spectacles dont il est à la fois l’auteur et le réalisateur.

De plus il a construit des salles édifiées des lieux de conception révolutionnaire (théâtre mobile à scènes annulaires, théâtre du mouvement total, etc.) un peu partout dans le monde.

En fait, les recherches publiées dans cet ouvrage dépassent le cadre et l’étude des communications à l’intérieur des lieux clos et tendent à dégager à mettre en place une théorie plus générale qui intéressé concerne l’environnement tout entier.

  • Taille : 22cm x 14cm
  • Table.
  • Il faut resituer. pg5
  • Terminologie. pg7
  • I - Textes manifestes.
  • Le théâtre kaléidoscopique. pg17
  • Partition pour un théâtre non-figuratif. pg19
  • Pour une nouvelle dimension scénique. pg23
  • II - Espace scénographique.
  • Architecture et scénogr aphie. pg29
  • L’espace scénique nouveau. pg33
  • III - Programmes.
  • Avant-projet.
  • Pavillon oecuménique de l’exposition universelle de Montréal. pg47
  • Note pour un p rogramme de recherche. pg59
  • Techniques scéniques.Théâtre du mouvement total. pg69
  • Scénographie de l’image électronique.pg77
  • IV - Arguments
  • -Partitions.
  • Systématisation.
  • Gamme de 7. pg89
  • Gamme de 21. pg93
  • Systématisation de l’espace scénographique. pg99
  • Système de notation pour une mise en scène à trois dimensions. pg109
  • Salle à mouvements complexes. pg113
  • Partitions-Spectacle.
  • Famille de gestes. pg123
  • Gamme de 7.
  • Argument pour un spectacle. pg125
  • Le livre de Mallarmé. pg133
  • Scénographie C. pg141
  • Ballet-rogrammes Miro. pg149
  • Sémiographie d’une partition. pg183
  • V - Sémiographie et environnement.
  • Comptabilité et caractéristiques techniques des types urbains « d’activités culturels » et incidence sur les comportements. pg191
  • Environnement, technique audio-vidéo et communication. pg199
  • Principaux travaux de Jacques Polieri. pg231
  • Références. pg239
Traité prat. perspective photographie-dessin appliqués à l'architecture et paysage
1983
Ed. de la Villette
Traité prat. perspective photographie-dessin appliqués à l'architecture et paysage
Auteur : Eric Jantzen

ISBN : 9782903539078

Tout comme le premier ouvrage de la collection « Savoir-faire de l’Architecture », cette nouvelle publication des Editions de La Villette s’adresse non seulement aux étudiants architectes mais aussi à tous ceux qui, de par leur profession ou leur intérêt personnel, souhaitent mieux connaître les différentes approches de la représentation en architecture.

Alliant la technique classique du dessin à l’usage prospectif de la photographie, Monsieur Eric Jantzen mais à notre portée un outil de travail indispensable.

Jean-Claude Thoret, Directeur, septembre 1983

  • Taille : 32cm x 24cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg7
  • 12 exemples. pg9
  • 1. Projection conique : Perspectives - Photographies. pg65
  • 2. Perspectives : Construction. pg79
  • 3. Maquettes. pg101
  • 4. Photographies. pg109
  • 5. Photomontage. pg155
  • 6. Dessin et rendu. pg165
  • 7. Graphi-montage. pg177
  • 8. Reproduction et tirages en petites séries. pg184
  • Références des illustrations. pg187
Un Théâtre d'Opéra-L'Equipe G. Mortier-La Monnaie
1986
Duculot
Un Théâtre d'Opéra-L'Equipe G. Mortier-La Monnaie
Auteur : Jean-Marie Piemme, Benoit Vreux

ISBN : 2801106860

Avant-propos

Le spectateur qui, un soir de spectacles, s’assied dans les fauteuils rouges de l’opéra sait toujours confusément que son plaisir est fabriqué par d’autres, il devine dans la magie la main du magicien. Ce spectateur aime s’étonner, s’éblouir, s’oublier, dans les élans insensés des personnages. Avec eux, il est haine et amour, constance et fidélité, allégresse et deuil. Avec eux, il est pleinement lui-même ou un autre. Lorsque l’entracte arrive et que le quotidien reprend ses droits, l’envie parfois le poussa soulever un coin du rideau qui vient de tomber. Il voudrait se lever et se hisser discrètement dans la coulisse pour découvrir l’envers du théâtre. Il s’imagine au coeur du mystère découvrant les sorciers à leurs obscures besognes. Mais si d’aventure, il pouvait franchir la rampe interdite, il serait surpris de ne voir pour toute alchimie que de simples hommes au travail qui font des gestes précis à des moments fixés. Il entre trop de mythologie légitime dans l’activité de l’opéra pour ne pas rappeler, avec quelqu’insistance au besoin, combien les pratiques de la scène engagent l’effort journalier de chacun. Dans les tches d’exécution et de création, l’exigence est de rigueur : sans elle présente, les dieux de l’art thétral et musical ne daignent jamais paraître, et la fête qui s’annonçait prometteuse s’achève dans une triste caricature d’elle-même.

D’un spectacle réussi, on emporte en sortant de la salle une pleine de mémoire d’images et de sons qui s’imposent à vous longtemps après que le rideau se soit baissé. Le temps efface la représentation, éphémère en son principe ; en revanche, il permet à celle-ci de déployer dans l’imaginaire des hommes ses effets les plus profonds. Mais la mémoire parfois aime s’arrêter à des traces concrètes qui réveillent en elle les souvenirs assoupis. Regardant les images ici proposées, vous entendrez peut-être la musique qui leur manque est sans doute imaginerez-vous à nouveau le rideau qui se lève. Les textes, quant à eux, disent un peu ce que nous sommes, il témoigne de l’esprit qui oriente le travail actuel et des interrogations qui le nourrissent lorsqu’il s’agit de faire l’opéra d’aujourd’hui. Voilà donc un document subjectif qui raconte une équipe un moment de son trajet.

Nous n’avons jamais écrit en historiens, conscient qu’une pareille démarche requérait des compétences spécifiques. Pourtant le passé de la Monnaie ne nous a pas laissé indifférent car ce n’est pas impunément qu’on habite un lieu vieux de trois siècles.

Notre maison est peuplée d’ombre. Aux soirs de spectacle, quand le public est là et qu’il attend le souffle digne de la représentation, d’étranges spectres rôdent dans la salle. On dit qu’ils ont vécu la très longtemps, travaillant eux-mêmes aux oeuvres de ce qui n’était pas encore le répertoire. Ils asistent en secret à notre travail et certains d’entre eux, proches de nos efforts, devinent à demi-mot la part qu’ils ont dans les voies que nous empruntons. Avant nous, ils ont célébré les noces de l’opéra et du théâtre. La tradition est un fil souterrain qui nous certaines époques, les forces à se voir et à reconnaître dans la direction de leur travail un parallélisme de problématique. On construit une tradition autant qu’on la reçoit en héritage car ce que nous voulons être permet de mieux comprendre ce que certains de nos prédécesseurs ont parfois atteint à sa manière ce livre est un hommage à ceux qui, il y a I siècle, franchir avec succès les chemins sur lesquel nous sommes à peine engagés.

Jean-Marie Piemme

  • Taille : 34cm x 25,5cm
  • Sommaire
  • Avant-propos pg9
  • La Monnaie en aperçus pg11
  • Le jeu des voix par José van Dam pg63
  • L’Opéra deux fois séduit par le théâtre par Jean-Marie Piemme pg93
  • Les enjeux musicaux du répertoire par Reinder Pols pg133
  • Sur les lieux de l’illusion par Henri Oechslin pg175
  • La force du chant par Gérard Mortier pg199
  • Annexes pg223
Odyssée théâtrale des jeunes-Chronique d'un voyage initiatique
2009
Lansman
Odyssée théâtrale des jeunes-Chronique d'un voyage initiatique
Auteur : Roger Deldime, Jeanne Pigeon

ISBN : 287282703X

Roger Deldime et Jeanne Pigeon racontent l'évolution de la fantastique épopée du Théâtre La montagne magique créé en 1995 par la Ville de Bruxelles. Composé de photos et d'échos de presse, d'analyses et de réflexions, de témoignages et de statistiques, le récit retrace, année après année, programmations et festivals, animations et ateliers, initiations et formations, colloques et publications.

Ce livre-album rend un magnifique hommage à la fois à la créativité des arts vivants de la scène proposés aux jeunes par les professionnels et à la qualité des ateliers-spectacles d'amateurs bien encadrés.

La montagne magique constitue un projet dont la vitalité lui donne la force d'une utopie en perpétuelle réalisation.

  • Taille : 25cm x 20,5cm
  • Un projet fondateur fort. pg9
  • Désir d’histoires, spirales de sens. pg19
  • Un théâtre citoyen. ph29
  • Permanent travail de fond. pg39
  • Le bal des paroles. pg49
  • Un théâtre plein de vie. pg61
  • Premières semences. pg71
  • Passeurs d’art. pg81
  • Des tréteaux pour l’expression. pg91
  • Puisatier d’imaginaire. pg101
  • La réflexion, source de progrès. pg113
  • Clés d’écoute et de vision. pg125
  • Un théâtre qui émancipe. pg137
  • Hymne aux bâtisseurs. pg151
Le Théâtre en France du Moyen Age à 1789
1988
A. Colin
Le Théâtre en France du Moyen Age à 1789
Auteur : Jacqueline de Jomaron, Collectif

ISBN : 2200371225

La publication d'une histoire du théâtre en France, du Moyen Âge à nos jours, est une « premier ». Qui s'y intéresse devrait jusqu'alors en chercher les morceaux et pas dans les histoires du théâtre mondiale ou dans les multiples ouvrages spécialisés consacré à telle ou telle période.

Cet ouvrage a l’ambition de rendre compte de l’histoire du théâtre en France dans sa continuité et sa complexité, dans ses liens avec l’histoire politique et social de notre pays.

À toutes les époques, le théâtre est un art ou sans gages collectivement auteurs, acteurs, metteurs en scène, spectateurs. Le Théâtre en France aborde le « fait théâtral » dans toutes ses composantes : élaboration des esthétiques et des formes dramaturgiques, modes et lieux de production, relations avec les institutions politiques et religieuses, pratiques et techniques scéniques, représentations, jeu de l’acteur, public.

La conception de cet ouvrage n'est pas celle d’une classique rédaction chronologique et événementielle. Un collectif de 13 spécialiste en études théâtrales, parmi les meilleurs théoriciens praticiens, se sont partagé 23 contributions, chacune constituant un véritable essai original et pouvant être lu comme tel. L'ensemble ne constitue pas moins, grâce a la préparation collective des deux volumes, une véritable histoire du théâtre en France,

cohérente et rigoureuse, aussi complète que possible dans le cadre imparti.

Madame Jacqueline de Jomarron à animer une équipe ainsi composée : Emile Copfermann, Michel Corvin, Bernard Dort, Bernard Faivre, Pierre Frantz, Jacqueline de Jomaron, Henri Lagrave, Daniel Linenberg, Jean-Jacques Roubine, Lean-Pierre Sarrazac, Colette et Jacques Scherer, Anne Uberfeld.

Plus de 400 documents, plans, gravures et tableaux, photographies, extraits d’écrits de chaque époque, prolongent et éclairent le texte.

  • Taille : 25,5cm x 18,5cm
  • Sommaire.
  • Préface, par Ariane Mnouchkine. pg7
  • Note au lecteur, par Jacqueline de Jomaron. pg9
  • La Piété et la Fête (des origines à 1548).
  • Le théâtre de l’église, par Bernard Faivre. pg15
  • L’acteur et le jongleur, par Bernard Faivre. pg33
  • Le théâtre de la grand-place, par Bernard Faivre. pg41
  • Si on essayait le contraire ? (1548 - 1629).
  • Le théâtre Phénix, par Jacques Scherer. pg89
  • La « profession de comédie », par Bernard Fraivre. pg111
  • Métarmophose de l’espace scénique, par Jacques Scherer. pg129
  • L’Oeil du Prince (1629 - 1680).
  • La raison d’Etat, par Jacqueline de Jomaron. pg143
  • Le métier d’auteur dramatique, par Colette et Jacques Scherer. pg185
  • Théâtre et Lumières (1680 - 1789).
  • Privilèges et libertés, par Henru Lagrave. pg237
  • Le drame selon les moralistes et les philosophes, par Jean-Pierre Sarrazac. pg295
  • Fabrique de l’Illusion (XVIIe et XVIIIe siècles.
  • L’illusion et l’éblouissement, par Jean-Jacques Roubine. pg357
  • L’exhibition et l’incarnation, par Jean-Jacques Roubine. pg407
  • Chronologie, bibliographie, index. pg444
Nos Théâtres
1897
Dépôt Général chez Istace. Galerie du Roi. Bruxelles
Nos Théâtres
Auteur : Louis-Philippe Mahre

L’histoire des théâtres, salles, cabarets, cirque à Bruxelles au 19e siècle.

  • Taille : 19,5cm x 13cm
  • Table des matières.
  • Préface de Saint-Geniez. IX
  • A-Propos de Léon Rog. Aperçus historiques. pg3
  • Théâtre de la Monnaie. pg5
  • Théâtre du Parc. pg11
  • Théâtre des Galeries. pg19
  • Théâtre de l’Alcazar. pg22
  • Théâtre de l’Alhambra. pg29
  • Théâtre du Vaudeville. pg35
  • Théâtre Molière. pg39
  • Théâtre Flamand. pg42
  • Cirque Royal. pg45
  • Théâtre du boulevard Jamar. pg52
  • Scala. pg53
  • Pôle Nord. pg54
  • Théâtres disparus. pg55
  • Vaueville de la rue de l’Evêque. pg57
  • Théâtre des Nouveautés. pg58
  • Théâtre des Délassements. pg60T
  • héâtre Lyrique. pg62
  • Nouveautés du Bain Royal. pg63
  • Théâtre de la Renaissance. pg64
  • Eden-Théâtre. pg66
  • Musée du Nord. pg79
  • Théâtre de la Bourse. pg80
  • Cirques disparus. pg82
  • Portraits et Biographies. pg83 ……….
Archéo-Danse, la Danse Contemporaine en FWB
2012
Contredanse
Archéo-Danse, la Danse Contemporaine en FWB
Auteur : Martine Dubois

ISBN : 2930146355

Comment la danse contemporaine s’inscrit-elle dans le paysage culturel de la fédération Wallonie-Bruxelles ? Comment les artistes gère-t-il les questions de production, de financement, de diffusion, de rapport au public ? Cette étude plonge dans le monde obscur des archives pour tenter de brosser un tableau de la création artistique vue sous l’angle de la production. Travail de mémoire qui s’apparente à l’archéologie, mais aussi tentative d’évaluation des politiques culturelles, et recherche de nouveaux moteurs. Car le paysage archéologique et lunaire : les émergences fulgurances les éphémères côtoient les terres arides et les fosses communes. Et la pierre de Rosette de la danse contemporaine reste indéchiffrable pour beaucoup. « Archéo-danse » se veut donc aussi un plaidoyer pour un plan Marshall de la danse. Martine Dubois est professeure et journaliste. Longtemps membre du Conseil de la danse dont elle a assuré la présidence durant quatre ans, elle a collaboré à de nombreux médias. Il enseigne actuellement à la haute école Galilée et dispense des formations à destination des enseignants.

  • Taille : 29cm x 20,5cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg7
  • Avant-propos. pg9
  • Introduction. pg11
  • Une utopie chorégraphique. pg12
  • Back to de futures : de Béjart à Ayelen Parolin. pg13
  • Êtes-vous contemporains ? pg17
  • Et la danse contemporaine made in Communauté française ? pg19
  • Un langage Pas si universel. pg25
  • Les Pouvoirs Publics en Communauté française. pg27
  • Méthodologie archéologique. pg31
  • A l’origine… pg33
  • Des frontières. pg35
  • Chapitre I : Paysage avec chorégraphie. pg37
  • D’ici et d’ailleurs. pg39
  • Grand-angle. pg40
  • Genres et hybridations. pg41
  • Cet animal étrange. pg44
  • Chapitre II : La danse entre éphémère et durable. pg47
  • Une offre importante. pg48
  • Une politique de la danse. pg50
  • Des chorégraphes éphémères. pg
  • Chapitre III : Petites et grandes formes. pg55
  • Seul ou en groupe. pg56
  • Création sonore. pg59
  • Court ou long. pg60
  • Combien ça coûte ? pg62
  • Chapitre IV : Production assistée .pg65
  • Dans les arcanes du pouvoir… pg66
  • Coproductions. pg70
  • Entreprises culturelles. pg72
  • Enquête. pg74
  • Chapitre V : Des lieux pour la danse. pg77
  • Quels lieu xpour la création ? pg78
  • Festival, mon amour. pg81
  • Chapitre VI : Ici et ailleurs. pg85
  • Outils de diffusion. pg86
  • Des incitants historiques. pg88
  • Des bureaux de diffusion pour l’avenir. pg88
  • Diffusion : la réalité du terrain. pg89
  • Festival,s festivals. pg92
  • Sur la scène, la danse… pg96
  • Détour par les Centres Culturels. pg100
  • Chapitre VII : Communiquez, communiquons. pg107
  • Programmateur, le nerf de la guerre. pg108
  • Médias et Culture : je t’aime, moi non plus. pg109
  • Public, aurais-tu ? pg109
  • Public, où es-tu ? Et, accessoirement, combien es-tu ? pg110
  • Forméer ou ne pas former ? pg111
  • Médigation des publics. pg111
  • Jeune Public, futur public ? pg111
  • La danse à l’école, une grande absente… pg113
  • Chapitre VIII : La formation en question. pg115
  • Enseignement secondaire artistique. pg116
  • Enseignement s upérieur artistique. pg117
  • Formation continuée. pg119
  • Chapitre IX : Vers l’avenir. pg121
  • Mémoire. pg122
  • L’image de la danse. pg23
  • Soutien à la création. pg123
  • Soutien à la diffusion. pg124
  • Publics. pg125
  • Formation. pg126
  • Annexes. pg129
L'Envers du Décor
2012
Gourcuff Gradenigo
L'Envers du Décor
Auteur : M. Auclair, A. Batifoulier, C. Coutin, P. Girard

ISBN : 9782353401239

Au cours des années 1820 et 1830, en donnant aux décors et à la mise en scène un rôle inédit, le théâtre opère la révolution qui accompagne le développement de nouveaux genres.Le drame à la Comédie-Française, l'opéra historico-romantique et le ballet romantique à l'Opéra sont l'occasion de créer des décorations qui enthousiasment les spectateurs. En témoignent Othello, Hernani, Robert le Diable, La Sylphide, Le Prophète, L'Africaine... Grâce à la machinerie installée dans les cintres et les dessous, aux trucages, à l'éclairage au gaz et bientôt à l'électricité, aux grandes machines préfigurant les peplums, tout est en place pour que le spectacle commence.S'appuyant sur l'intérêt suscité par l'Histoire, tous, librettistes, compositeurs, décorateurs, sans oublier le public, communient dans le rêve de couleur locale ou de vérité historique. On copie, détourne, imagine des édifices anciens. Certains sont gothiques d'autres renaissants et bientôt même rocaille. Comme on revisite le passé, on se tourne vers la Nature et un Orient mythique. Les décorateurs vont créer et avec l'aide de régisseurs - on ne parle pas encore de metteur en scène - des images si fortes qu'elles sont déclinées à l'envi jusqu'à la fin du siècle.Au moment où se constitue le roman national, le théâtre sait en être la caisse de résonnance et les décors, sa version imagée.

  • Taille : 22,5cm x 24,5cm
  • Sommaire.
  • Préface par Delphine Pinasa. pg5
  • Les révolutions scéniques par Catherine Join-Diéterle. pg7
  • Le fonds de maquette du département des arts du spectacle de la Bibliothèque Nationale de France par Cécile Coutin.. pg19
  • Les collections d’exquisses et de maquettes de décors du XIXe siècle de la Bibliothèque-Musée de l’Opéra par Mathias Auclair. 23
  • Les maquettes de décors dans le fond de la Comédie-Française par Agathe Sanjuan. pg27
  • Le cadre et les hommes.
  • L’Opéra et la Comédie-Française au XIXe siècle par Catherine Join-Diéterle. pg33
  • Les décorateurs : des dynasties d’artistes par Catherine Join-Diéterle. pg41
  • Le rôle des machinistes au XIXe siècle parJacqueline Razgonnikoff. pg57
  • De l’invention de la mise en scène à celle du metteur en scène par Noëlle Guibert. pg67
  • Chef machiniste et régisseur de l’Opéra de Paris au XIXe siècle par Mathias Auclair. pg77
  • La technique au service de la mise en scène.
  • Secret de coulisses… par Alain Batifoulier et Simon de Tovar. pg85
  • Trucs et curiosité par Alain Batifoulier et Simon de Tovar. pg99
  • De nouveaux décors.
  • De la couleur locale à la vérité historique, les décors de la première moitié du XIXe siècle par Catherine Join-Diéterle. pg117
  • Cicéri, Gué et Daguerre : la peinture en décor par Olivier Voisin. pg133
  • Décors et répertoires à la Comédie-Française dans la seconde moitié du XIXe siècle par Noëlle Guibert. pg141
  • L’évolution stylistique des décors à l’opéra de Paris de 1863 à 1907 par Pauline Girard. pg157
  • Notices des oeuvres. pg171
  • Bibliographie.
Encyclopédie Diderot et D'Alembert-Tome 19
1965
H. Veyrier
Encyclopédie Diderot et D'Alembert-Tome 19
Auteur : Diderot, D'Alembert

ISBN : 2914649916

Selon Diderot : Le but d'une encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre; d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, et de les transmettre aux hommes qui viendront après nous; afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été des travaux inutiles pour les siècles qui avenir.

Diderot s'en remet à la postérité pour juger de son uvre: «Cet ouvrage produira sûrement avec le temps une révolution dans les esprits, et j’espère que les tyrans, les oppresseurs, les fanatiques et les intolérants n’y gagneront pas. Nous aurons servi l’humanité.

  • Taille : 37,5cm x 24,5cm
  • Théâtres, contenant trente-huit Planches à cause de sept doubles.Planche IèrePlan et profil du théâtre d’Herculanum
  • Planche Ière
  • Première Table, du rez-de-chaussée au dessous du Théâtre
  • Planche II
  • Seconde Table, des constructions du Théâtre de Turin
  • Planche IIII
  • Troisième Table, du plein-pied et du premier rang des loges
  • Planche IV
  • Quatrième Table, du second rang des loges
  • Planche V
  • Table cinquième, du troisième étage des loges
  • Planche VI
  • Table sixième, du quatrième étage des loges
  • Planche VII
  • Table septième, du cinquième Ordredes loges
  • Planche VIII
  • Table huitième, du Paradis
  • Planche IX
  • Table neuvième, coupe sur toute la longueur du Théâtre de Turin
  • Planche X
  • Table dixième, plan géométrique en travers et la vue du parquet, la couronne
  • Plan, coupe et élévation de la Salle de la Comédie de Lyon, exécutée sur les dessins de M. Souflot, Architecte et Contrôleur des Bâtiments du RoyPlan du Théâtre d’Argentine à Rome
  • Coupe et élévation du Théâtre d’Argentine à RomePlan du Théâtre Tordinone à RomePlan du Théâtre Royal de Saint-Charles, à Naples
  • Plan au rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du premier étage de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du Théâtre de Parme
  • Plan de la Salle des Machines aux Tuilerie
  • Salles de Montpellier et de Metz
  • Salle de l’Opéra, exécuté sur les dessins de M. Moreau, Architecte du Roy et de la Ville
  • Plan et coupe d’un projet de salle de concert, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et BolognePlan du rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et Bologne
  • Plan et coupe du projet de la restauration de la Salle de Studgard, de la composition de M. de la Guepierre, chevalier de Saint-Michel, architecte de S.A.S. Monseigneur le Prince de Wirtemberg, et correspondant de l’académie royale d’architecture
  • Machines de Théâtre contenant quarante-neuf Planches à cause de quatorze doubles et quatre triples.
  • Dessinées et expliquées par M. Radel, Pensionnaire du Roi, et Architecte-Expert, sous la direction de M. Giraud, Architecte des Menus Plaisirs, et Machiniste de l’Opéra de Paris.Première section.
  • Détail général des Machines du Théâtre de l’Opéra de Paris.
  • Seconde section, contenant vingt-deux Planches doubles équivalentes à quarante-quatre Planches simples.
De la lumière
2000
Ed. Jean Michel Place
De la lumière
Auteur : Collectif

ISBN : 9782858935604

La beauté est comme l’éclair.

Mario Perniola.

l’art occidental a engendré de conceptions différentes de la beauté. La première, que l’on peut qualifier d’esthétique, attachent le bois une expérience de paix, de réconciliation et d’harmonie entre opposés ; la seconde, que j’appellerai stratégiques, envisage la beauté comme un pouvoir, une arme, une force tangible et effective. Cette deuxième conception de la beauté a été théorisée dans le traité hellénistique du sublime de Longin et d’Aguteza de l’écrivain baroque espagnol Balthazar Gracian. Les ouvres de Walter de Maria se rapporta cette même sphère.

De tous les travaux de Walter de Maria, The Lighting Field (le Champs d’éclairs), « sculptures terrestres permanentes » installées dans le désert du nouveau Mexique, se prête tout particulièrement à une interprétation stratégique de la beauté. Quatre cent poteaux d’acier, dont l’extrémité pointue fonctionne comme paratonnerre, se dresse sur un champ de 1 km sur 1 mile. L’importance de cette ouvre ne tient pas pas à sa forme mais à la force avec laquelle il impose une idée unique, simple et très ancienne : la beauté est comme l’éclair. En tant que forme et en tant qu’objet de contemplation désintéressée, l’ouvre s’annule elle-même : elle n’est pas belle en soi et pour soi, elle est la condition de l’avènement de la beauté. Malgré ses dimensions monumentales, The Lighting Field appartient à la poétique de l’art minimal et conceptuel. Ici la beauté n’est pas que considérée comme un attribut de l’ouvre d’art mais comme quelque chose venu de l’extérieur, un événement imprévu, dangereux, qui nous prend par surprise, nous effraie et nous laisse stupéfait. L’art n’est que ce qui permet au bon de se manifester.

Mais pourquoi, entre tous les phénomènes de la nature, est l’éclair qui semble relever spécifiquement d’une conception stratégique de la beauté ? En latin, les trois mots qui désignent l’éclair, fulmen, filgor et fulgus, se réfère aux trois aspects de l’expérience. Le premier, fulmen, signifie armes, flèches : dans la mythologie classique, c’est l’attribut du pouvoir de Jupiter, du mot grec keraunos, l’éclair ( de keraiso, détruire).

Le second mot, fulgor, fait implicitement référence à la splendeur, à la beauté du visible, à la brillance de tout ce qui se présente à nous. Le beau supposition résulta une victoire, par le simple fait de s’être manifesté avec succès, d’être là. Fulgor correspond au mot grec asteropé, mots employés dans l’épopée d’Homère pour désigner l’éclair diffus ; il vient du mot astér, étoile, et de la racine op, voire, l’oeil. Ainsi l’éclair diffus est-il pas eu de l’toile. Enfin le troisième mot,fulgus, exprime la soudaineté, la rapidité flamboyante de l’éclair. Ces deux états renvoient implicitement à la célérité de l’action guerrière et à la splendeur du feu. Le synonyme latin et corruscatio (du grec korruso, armer, exciter, enfler) ; en grec, fulgus correspond à prestér, qui implique la notion de feu et des options. En conclusion, et pour reprendre l’expression des anciens, fulmen frappe, fulgus apparaît, fulgor secoue. L’origine de tout cela est une perception du bon non seulement différente, mais totalement opposé à sa conception esthétique.

(Traduit de l’anglais par Catherine Makarius)

  • Taille : 27cm x 22cm
  • De la lumière.
  • La beauté est comme l’éclair par Mario Perniola. pg3
  • Présentation. pg5
  • Les obscures évidences de la lumière par Olivier Revault d’Allonnes. pg7
  • Fidelio : clarté dans la captivité par Daniel Banda. pg17
  • Les ténèbres comme oubli esthétique par Evgen Bavcar. pg27
  • Vers une esthétique de la lumière ? par Christine Buci-Glucksmann. pg33
  • Les splendeurs de la mimèsis. L’éclair dans la théorie de l’art de la Renaissance par Pascale Dubus. pg39
  • Une blancheur douce, un éclat infus … Note sur la lumière dans l’art du Bernin par Colette Garraud . pg49
  • La part de l’ombre et celle de la lumière. Turner : le dialogue de l’Ondine et de l’Ange (1846) par Pierre Tallemant. pg67
  • T. Théoesthétique de l’obscur par Michaël La Chance. pg75
  • Voile, feu, nuée. Les substrats italiques de la peinture de Marc Rothko par Danièle Gutmann. pg83
  • Retour sur un Fiat Lux. A propos de Shining force (tout George) de Barnett Newman par Michel Makarius. pg95
  • La clarté de Fontana par Giovani Joppolo. pg101
  • Claes Oldenburg, Coosje van Bruggen et les lumières de Las Vegas par Eric Valentin. pg109
  • Je ne sais pas seul à quoi je ressemble par Bill Viola. James Turrell : l’aura paradoxale par Brice Matthieussent. pg125
  • Le Moderne Light Art par Frank Popper. pg137
  • Cent lune au Pays du soleil levant par Florence de Mèredieu pg151
  • Lumière d'encre. Peinture et calligraphie chinoise par Yolaine Escande. pg165
  • Lumière noire par François Aubral. pg183
  • Lumière au cinéma, temps et pensée par Fabrice Revault d’Allonnes. pg187
  • Le goût du noir par Claire Margat. pg191
  • Notice sur les auteurs. pg199
  • Varia.Le complexe d’Orphée. Ce que la lecture de Michel de Certeau me suggère par Danielle Cohen-Levinas. pg205
  • Vu, lu, entendu.Article deux Danielle Cohen-Levinas et d’Isabelle Smadja. pg211
Mon gd ami Shakespeare-Mém. John Lacy
1934
Librairie Plon Ed.
Mon gd ami Shakespeare-Mém. John Lacy
Auteur : Longworth Chambrun

Les hommes déforment volontiers l’histoire pour satisfaire leur passion. Je d’autant plus facile que les thèmes est mal connue. Hors les circonstances et la rareté des documents font que, sur le plus grand des écrivains anglais, nous ne savons presque rien. Les passions ont eu beau jeu. Politique et religions s’en sont mêlées, puis sont venus les querelles d’érudits, de toutes les plus tenaces et les plus âpres. Les questions Shakespeare a fait naître des peines aussi violentes que l’affaire Dreyfus. Nous n’en sommes que plus reconnaissant à Madame de Chambrun d’avoir toujours étudié ces difficiles problèmes avec un respect objectif est fidèle des textes.

Spécialiste des recherches shakespeariennes, et nous avez apporté, depuis sa première étude sur les Sonnets jusqu’à sa récente vie de l’Acteur et du Poète, le fruit de ses découvertes dans les archives anglaises. Cette continuité d’efforts et ses récentes trouvailles lui donnent le droit, plus qu’a personne, de tenter la difficile expérience qu’est ce livre : la reconstitution d’un témoignage.

Dans la première notice biographique consacrée à Shakespeare, notice qui est de John Aubrey et qui fut déposée en 1693 dans une bibliothèque d’Oxford, l’auteur avait noté, sur une feuille volante, son intention de demander de nouveaux renseignements sur Shakespeare un vieux comédien, John Lacy. Aubrey obtint-t-il ce témoignage ? Put-il en tirer parti ? Nous l’ignorons, mais nous savons par l’auteur lui-même que le livre, tel qu’il fut publié plus tard, ne constituait qu’une partie du travail original. Madame de Chambrun à supposer que Lacy, interrogé par Aubrey sur Shakespeare, répond et raconte à sa manière la vie du poète. Tel est le sujet du livre. Hypothèse hardie, mais un peu analogue à celle que ce permis Maurice Barry quantifie raconter la vie de Marie Stuart par ces quatre filles d’honneur. Nous avons dit pourquoi personne n’avait, plus que Madame de Chambrun, le droit de tenter cette aventure romanesque. On a fait avec un grand scrupule, ne prêtant à Shakespeare, à Burleigh, a Southampton et aux autres héros du livre, aucun propos qui n’ait été tenu par eux ou qui ne figure dans un de leurs écrits.

Pour bâtir son roman, Madame de Chambrun a pu se servir des dernières découvertes shakespeariennes, les unes faites par elle-même, les autres par les érudits anglais et par cet recherche américain, Leslie Hotson, qui avait déjà trouvé les lettres inédites échangées entre Shelley et Harried, au moment de leur divorce. Le ressort essentiel du drame et, selon Madame de Chambrun, la persécution des catholiques par la reine Elisabeth, persécution qui fut un effet fort violent et qui s’exerça avec une particulière cruauté à Stratford-on-Avon et dans les campagnes environnantes, peuplé de papistes et de puritains qui refusaient, chacun à sa manière d’adhérer au nouveau culte officiel.

parmi les réfractaires poursuivis, ont trouvé de nombreux membres de la famille Shakespeare, le dénonciateur étend dans presque tous les cas Sir Thomas Lucy, shérif du comté et chtelain des environs de Stratford. On sait que Shakespeare, persécuté par ce personnage, le pénis sous le nom de Mr Justice Shallow, dans les Joyeuses Commères de Windsor. Madame de chambre à trouver de nombreuses preuves de la nature religieuse de cette persécution et Mr Leslie Hotson a découvert à Londres des traces écrites de la suite du conflit entre le poète et le seigneur local. On peut donc dire que l’hypothèse romanesque de Madame de Chambrun doit être assez proche de la vérité historique.

« Mais, sommes-nous tentés de demander, pourquoi Aubrey n’a-t-il rien dit de ses aventures ? » par ce que les textes d’Aubrey, tels que nous les possédons, sont des textes expurgés. Au moment où il les avait rédigés, il n’avait rien à craindre et pouvait écrire toute la vérité, car il n’avait pas l’intention de les publier. Aubrey n’était pas un auteur, mais un curieux, qui aimait à interroger ceux qui avaient connu des hommes célèbrent et notaient les anecdotes comptées par eux, parce que, disait-il, « sans un vieux bavard comme moi, tout cela se serait perdu ». C’est ainsi qu’il nous conservera des traits, petits mais extraordinairement vivant, de Bacon, de Milton, de Raleigh.

En 1667, il confia ses manuscrits à Wood qui en fit grand usage, mais qui, sous la menace d’une perquisition, détruisit une partie de ces textes trop véridiques. Nous ne saurons donc jamais si Aubrey avait pu, ou non, obtenir les témoignages de John Lacy.

Faut-il le regretter ? C’est peut-être un beau symbole que le total anéantissement de la personne terrestre de William Shakespeare. Tout artiste s’efforce de se dissoudre en son oeuvre. La plupart d’entre eux ne réussissent à faire passer dans leurs écrits ou dans leur musique qu’une mince part de même. côté de très sublime de l’homme qui sont devenus ceux de l’oeuvre, subsistent des éléments plus grossiers qui forment le personnage humain d’un Balzac, d’un Stendhal ou d’un Byron. Seuls les patients qui ont pu passer dans l’ouvre sont apaisés et comme effacer. Proust, ayant dit sans snobisme, avait cessé d’être snob, mais il resta Proust jusqu’à la mort, par sans infirmité physique et morale, comme Byron resta Byron.

Seul Shakespeare avait tout dit. Seul il avait été homme et femme, roi et serviteur, chrétiens et juifs, clown et sorcières, poète et médecins, Romain et anglais, Ariel et Calibans. Il avait arraché de lui-même pour les prêter asseyant la jalousie, l’ambition, la haine, l’amour, le désespoir et la folie. Il était devenu esprit et matière, villes et forêts, fantaisie et réalité, et l’on se plaît à penser qu’ayant peint toutes les passions, il s’étaient purifié de toutes et au moment où il renonça au théâtre, il n’y avait plus d’homme Shakespeare. De là peut-être, la merveilleuse transparence de ce fantôme que s’efforce en vain de saisir érudits et biographes. Mais il y eut un Shakespeare avant Shakespeare, et c’est celui-là que Madame de Chambrun à essayer de recréer.

André Maurois

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table des matières.
  • Préface. IPrologue. Lacy prend la plume. pg1
  • Livre premier.
  • La jeunesse à Stratford (1563 - 1585).
  • Chapitre premier.
  • Le maître de Stratford. pg7
  • Chapitre II.
  • Les fêtes de Kenilworth. pg15
  • Chapitre III.
  • Le départ d’un maître d’école. pg28
  • Chapitre IV.
  • Chasse gardée. pg36
  • Chapitre V.
  • Idylle de mai. pg46
  • Chapitre VI.
  • Entre l’amour et l’ambition. pg50
  • Chapitre VII.
  • Au milieu des abeilles. pg61
  • Chapitre VIII.
  • L’affaire Somerville et Arden. pg74
  • Chapitre IX.
  • Le shérif et sa femme. pg81
  • Chapitre X.
  • Les adieux. pg96
  • Livre II.
  • L’épreuve. Londres (1586 - 1592).
  • Chapitre XI.
  • Au théâtre de la Courtine. pg108
  • Chapitre XII.
  • Johannes Factotum. pg116
  • Chapitre XIII.
  • Songe d’une nuit d’été. pg123
  • Chapitre XIV.
  • Vision de barbarie. pg130
  • Chapitre XV.
  • la taverne du sanglier. pg140
  • Chapitre XVI.
  • Les « Sonnets sucrés ». pg149
  • Livre III.
  • Drame d’amour (1592 - 1596).
  • Chapitre WVII.
  • Sur la route d’Oxford. pg159
  • Chapitre XVIII.
  • l’auberge de la Croix d’or. pg164
  • Chapitre XIX.
  • Dans le grenier. pg181
  • Chapitre XX.
  • L’Enclos du Cygne. pg189
  • Chapitre XXI.
  • Joyeuses commères. pg200
  • Livre IV.
  • Drame politique que (1596 - 1601).
  • ChapitreXXII.
  • Complainte. pg213
  • Chapitre XXIII.
  • Ben Johnson de mauvaise humeur. pg221
  • Chapitre XXIV.
  • Sur la scène de l’Etat. pg227
  • Chapitre XXV.
  • La Porte des Traîtres. pg239
  • Chapitre XXVI.
  • Westminster. pg245
  • Chapitre XXVII.
  • Le Phénix et la Tourterelle. pg251
  • Livre V.
  • Nouveaux cieux (1601 - 503).
  • Chapitre XXVIII.
  • Penshurt. pg237
  • Chapitre XXIX.
  • L’Aigle du Nord. pg261
  • Livre VI.
  • La roue tourne (1603 - 1616).
  • Chapitre XXX.
  • L’Eclipse de Cynthia. pg283
  • Chapitre XXXI.
  • l’auberge connue plus tard sous le nom de la couronne. pg291
  • Chapitre XXXII.
  • Le Chant du Cygne. pg296
Encuentro Buens Aires-Seminario
2001
III Fes.Inter. de Buenos Aires
Encuentro Buens Aires-Seminario
Auteur : Jean-Guy Lecat

Analyse des espaces théâtraux de la ville (Buenos Aires)

  • Taille : 20cm x 14cm
  • Teatro General de San Martin. pg37
  • Teatro del Pueblo. pg51
  • Teatro Colon. pg59
  • Teatro de la Ribera. pg70
  • Centro Cultural Recoleta. pg73
10 rv en compagnie de Yannis Kokkos
2005
Actes Sud-Papiers
10 rv en compagnie de Yannis Kokkos
Auteur : Yannis Kokkos, Dany Porché

ISBN : 2742755470

Organisé en dix rendez-vous de deux heures environ, cet ouvrage aborde la pratique du théâtre par la notion d'espace. Il a été conçu comme un parcours proposé par Yannis Kokkos, scénographe et metteur en scène, et concrétisé par une enseignante, Dany Porche, en vue d'un travail avec des lycéens. D'un rendez-vous à l'autre, les élèves apprennent à réinventer la classe, lieu quotidien et non théâtral, en tant qu'espace scénique. Cette recherche progressive passe par divers supports visuels (tableaux, films, bandes dessinées) et d'autres arts (musique, marionnette), principalement autour du thème de la tempête, vue par Shakespeare et par Aimé Césaire.

Après 11 rendez-vous en compagnie de Rabin Renucci, c'est le deuxième titre de la collection "Les ateliers de théâtre" coéditée avec l'Association nationale de recherche et d'action théâtrale (ANRAT).

  • Taille : 20,5cm x 15cm
  • Sommaire.
  • 1. La salle de classe.
  • Chercher la théâtralité dans un lieu banal et non théâtral. pg10
  • 2. Le roman Interprétée de façon mobile un récit réaliste dans un lieu ordinaire. pg16
  • 3. Le cinéma.Raconter en s’inspirant du montage visuel et sonore. pg23
  • Cahier iconographique. pg33
  • 4. La peinture.
  • Traduire l’émotion d es corps dans l’espace. pg49
  • 5. La musique.
  • Aborder le texte de théâtre par un univers musical. pg59
  • 6. Ligne, couleur, volume.
  • S’initier à la scénographie. pg66
  • 7. La bande dessinée.
  • Dégager les lignes de force du texte. pg76
  • 8. De la bande dessinée au jeu dramatique.
  • Créer une forme brève. pg87
  • 9. Le théâtre de marionnettes.
  • Changer d’échelle. pg94
  • 10. La photographie.
  • Métamorphoser l’acteur. pg102
Bahaus 1919-1969
1969
Württembergischer kunstverein
Bahaus 1919-1969
Auteur : J. Leymarie, R. H.de Villefosse

Bauhaus 1919-1969

Musée National d’Art Moderne (encore situé au palais de Tokyo)

Musée d’Art Moderne de la ville de Paris

2 avril - 22 juin 1969

Exposition et catalogue dédiés à Walter Gropius

Commissaires généraux :

pour la France : Jean Leymarie, René Héron de Villefosse

pour l'Allemagne : Herbert Bayer, Ludwig Grote, Dieter Honisch, Hans Maria Wingler

Structure de l'exposition et maquette du catalogue

Herbert Bayer, Peter Wehr

Sur la couverture figure la triade géométrique fondamentale associée aux trois couleurs primaires, sur laquelle repose l'universalité permanente du langage plastique

...

Jean Leymarie

  • Taille : 22cm x 23cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg7
  • Walter Gropius et le Bauhous, Ludwig Grote. pg9
  • Ma conception de l’idée du Bauhaus, Walter Gropius. pg14
  • Formes élémentaires et fonctionnalisme, Ludwick Grote. pg18
  • L’esprit de la république de Weimar, Heinz Winfried Sabais. pg24
  • Chronologie. pg26
  • Catalogue. pg29
  • Propos de l’exposition, Dieter Honisch. pg31
  • Cours préliminaire et enseignement. pg33
  • Le cours préliminaire à Weimar à Dessau, Otto Stelzer. pg35
  • Les ateliers. pg73
  • Censée importance de la formation donnée par les ateliers du Bauhaus ,Hans Eckstein. pg75
  • Architecture et création. pg143
  • L’architecture et le Bauhaus, Nikolaus Pevner. pg145
  • La cité de Weissenhof à Stuttgart ,JÜrgen Joedicke. pg165
  • Peintures, sculptures, dessins, gravures. pg215
  • Les peintres au Bauhaus, Will Grohmann. pg217
  • La vie au Bauhaus. pg307
  • Portrait du bauhausler, Reginald Isaacs. pg309
  • La vie au Bauhaus et ses fêtes, Alfred Arndt. pg311
  • Le Bauhaus et la semaine du Bauhaus àWeimar (1923), Siegfried Giedion. pg316
  • Cercle rouge et carré bleu ?, Hans H. Stuckonschmidt. pg317
  • Le Bauhaus de Dessau, Ilya Eherenburg. pg318
  • Poursuite de l’enseignement. pg325
  • Résonance ces développements ultérieurs du Bauhaus aux tats-Unis ,Hans M. Wingler. pg327
  • Biographie, bibliographie. pg337
  • Index. pg359
Guide pr écl. musées, collections particulières et gal. d'art
1977
Lux
Guide pr écl. musées, collections particulières et gal. d'art
Auteur : A.F.E. , Collectif

ISBN : 2856040179

En 1971, l’Association Française de l’Eclairage (A.F.E.) a publié, au titre du Conseil International des Musées (ICOM), une brochure ayant pour sujet « la lumière et la protection des objets et spécialement exposé dans les musées et galeries d’art ». Une seconde édition, enrichi, d’une part, d’indication pratique pour la mise en valeur par la lumière est autre part, de description d’installations existantes, a été publié en 1977.

La considérable évolution des moyens techniques (des sources de lumière électrique, en particulier), depuis plus d’une décennie, a largement enrichi la muséographie.

La présente publication est un guide qui traite des divers aspects de l’éclairage des locaux d’exposition d’objets d’art.

Parmi les éléments que doit traiter le conservateur, l’éclairage est certainement l’un des plus difficiles. Cela est particulièrement vrai dans les musées de petites dimensions où, non seulement les budgets peuvent être limités mais aussi le manque de connaissance du personnel dans ce domaine et l’absence trop fréquente de recherche des conseils d’un spécialiste extérieur, conduisent à l’installation d’un éclairage qui ne convient pas.

Cependant, et de plus en plus, l’éclairage des btiments neufs est intégré au cahier des charges. Le fait qu’il puisse participer à l’interprétation des expositions et créer une ambiance particulière et mieux compris.

Une coopération étroite entre le personnel des musées, les architectes, les ingénieurs éclairagistes et les fabricants indispensables.

L’éclairage des musées se rapproche de plus en plus de l’éclairage scénique traditionnel des thétres de certaines vitrines de magasins. Grâce aux moyens techniques dont on dispose aujourd’hui, l’éclairage et la décoration peuvent transformer la visite de musées en spectacle.

Certaines parties de ce guide ont été rédigées à partir du chapitre 16 «Museum and art gallery lighting » de la publication 29.2 de la Commission Internationale de l’Eclairage « Guide on interior lighting » (1986), du CIBS Lighting Guide « Museum and art galleries » (1978) et du « Code de bonnes pratiques de l’éclairage des ouvres d’art et objets collection » normes belges NBN 13-003 (novembre 1980).

  • Taille : 30cm x 21.5cm
  • Sommaire.
  • Introduction. pg11
  • ChapitreI. Nature et mode d’éclairage
  • . 1. Eclairage naturel et lumière du jour. pg132
  • . Eclairage électrique .pg143
  • . Effets spéciaux. pg17
  • Chapitre II. Présentation des différentes catégories d’objets.1
  • . Aspects des objets. pg192.
  • . T.ype de support : murs, épis, panneaux, vitrines. pg203
  • . Différentes catégories d’objets de et d’ouvres d’art. pg234
  • . Expo sition temporaire. pg325
  • . Galeries d’art. pg326
  • . Eclairage des collections particulières. pg32
  • Chapitre III. Détérioration des objets par la lumière et protection.
  • 1. Paramètres d e détérioration par la lumière.pg33
  • 2. Le bois de réciprocité de l’action photochimique. pg33
  • 3. Composition spectrale. pg33
  • 4. Effet photochimique. pg35
  • 5. Effet thermique. pg36
  • 6. Sensibilité des objets à la lumière. pg37
  • 7. Réduction des effets de détérioration par la lumière. pg38
  • 8. Prises de vue. pg41
  • 9. Compromis entre contraintes antagonistes. pg41
  • Chapitre IV. Paramètres visuels.
  • 1. Acuité. pg45
  • 2. Sensibilité au contraste . pg45
  • 3. Perception des couleurs et une mémorisation. pg46
  • 4. Contrastes chromatiques simultanés. pg46
  • 5. Rendu des couleurs de la lumière. pg46
  • 6. Adaptation chromatique. pg47
  • 7. Eclairement et température de couleur. pg47
  • 8. Accommodation. pg47
  • 9. Adaptation aux variations de luminance. pg47
  • 10. Eblouissements. pg48
  • 11. Eclairement srecommandés. pg48
  • 12. Mesures physiques. pg48
  • ChapitreV. Autres équipements d’éclairage électrique.
  • 1. Installation électrique. pg51
  • 2. Eclairage de ronde p.g51
  • 3. Eclairage des zones de transition. pg51
  • 4. Eclairage des locaux annexes. pg51
  • 5. Eclairage des ateliers de restauration. pg52
  • 6. clairage de sécurité. pg52
  • ChapitreVI. Dépréciation et entretien des installations.
  • 1. Dépréciation des installations. pg55
  • 2. Entretien des installations. pg57
  • Chapitre VII. Terminologie . pg59
  • Annexe I. Rayonnement naturel. pg67
  • Annexe II. Lampes. pg71
  • Annexe III. Luminaires. pg77
Révélations-Th. danse en Belgique francophone-1968-2008
2010
Lansmann
Révélations-Th. danse en Belgique francophone-1968-2008
Auteur : Antoine Pickels, Célyne Van Corven

ISBN : 9782872827381

Le public révélé.

C’est une idée un peu folle qui a initié cette publication, et l’exposition qui est son pendant. En manque d’outils actualisés sur le thétre et la danse en Belgique francophone qui ne soit ni des anthologies neutres et exhaustives, ni des monographies laudatives, est confronté quotidiennement, notamment à l’international, à la méconnaissance de ces domaines artistiques pourtant très prolifiques, nous avons voulu produire deux objets qui permettent une meilleure connaissance de l’évolution de ces arts de la scène depuis la fin des années 1960. L’idée fut d’opérer un choix, de 40 « révélations » sur à peu près 40 ans, parmi les milliers de spectacles créés depuis lors.

Révélation. Le terme polysémique : fait de découvrir ce qui était resté secret, personne dont il est donné au public de découvrir le talent, phénomène par lequel des vérités cachées sont révélées, illumination individuelle, prise de connaissance brusque, voir ce sens photographique du terme (révélation de l’image latente…). Tous ses sens à vrai dirent étaient à notre esprit au moment où, à cinq personnes, d’âge et de « famille » du spectacle différent, nous avons choisi ces 40 spectacles. Pour guider ce choix, nous nous sommes attachés à l’aspect novateur et original des spectacles, à leur influence dans la transformation du champ des arts de la scène, et à leur importance esthétique dans le trajet de leur(s) auteur(s). C’est dire qu’on ne trouvera pas ici de reproduction de formes conventionnelles, d’ouvres sans influence, et qu’il ne s’agira pas toujours de « succès » en termes de publics ou médiatiques.

Ces 40 révélations scéniques sont réunies dans l’ordre chronologique, avec à chaque fois une fiche signalétique les concernant, une notule à leur propos, écrite par un spectateur avisé, et quelques traces visuelles. Vous trouverez en outre dans l’ouvrage de quatre textes plus longs, dessinant les parcours parmi ces 40 spectacles, tentant d’en faire une lecture plus ou moins globalisante, et quelques respirations, jouant plus librement avec la matière iconographique.

Sans prétention aucune à être un catéchisme, cet ouvrage (comme son reflet, l’exposition) s’affirme comme éminemment subjectif, d’autant qu’il est porteur d’un grand nombre de subjectivités. Outre le comité de réflexion, il faut compter en effet les 25 auteurs de cet ouvrage, les 40 spectateurs filmés pour l’exposition, les photographes qui ont bien voulu nous prêter leur regard, et tous ceux qui nous ont nourri dans notre recherche de documentation et d’information. Autant de points de vue individuels différents… qui au final produisent, réunis ici comme devant un grand spectacle, la rumeur ce que l’on appelle un public.

Un public dont la mémoire passionnée, est passionnante, et sans doute la première révélation de ce projet.

Antoine Pickels

  • Taille : 27cm x 20cm
  • Table des matières.
  • Le public révélé par Antoine Pickels. pg6
  • Mémoire, lacunes et révélations par Antoine Pickels et Célyne Van Corven. pg9
  • Mademoiselle Jaillir (1968);
  • Real Reel (1971).
  • Mistero Buffo (1972)
  • .La Passion selon Pier Paolo Pasolini (1977).
  • Hedges (1979).
  • Artefact (1980).
  • Ella (1980).
  • Jocaste (1981).
  • L’homme qui avait le soleil dans sa poche (1982).
  • Juste ciel (1985).
  • De la forme du sens au sens de la forme : 40 ans d’exportation scénique par Nancy Delhalle.
  • La Mission (1986).
  • If Pyramids were sqare (1986).
  • Hia (1986).
  • La Tragédie Comique (1988)
  • .Les Troyennes (1988).
  • Von Heute aufmorgen (1989).
  • L’Annonce faite à Marie (1989).
  • Watcha I Love You (1992).
  • Yvonne, Princesse de Bourgogne (1993).
  • La danse des pas perdus (1994).
  • Héritage et transmission par Cédric Juliens. pg131
  • S.A.B.E.N.A. such bad experience, never again (1994).
  • CyberChrist (1925).
  • Natures Mortes (1925).
  • Les Revues (1995 - 2008).
  • A-Ronne II (1996).
  • Le paradis des chiens (1926)
  • .In Between (2000).
  • Rwanda 94 (2000).
  • Enterrer les Morts / Réparer les Vivants (2000).
  • Les Ambassadeurs de l’Ombre (2000).
  • Une mémoire du théâtre par Catherine Simon. pg189
  • Le Dragon (2001).
  • Zugzwang (2001).
  • Made in Taiwan (2004).
  • Oxygène (2004).
  • La Fontaine aux Sacrifices (2004 - 2006).
  • La Terreur, Chronique de la Création (2006).
  • Amérika (2006).
  • Holeulone (2006).
  • Troupeau / Rebano (2006).
  • Het Maakt Nieks Uit, Het Blijf Onzichtbaar (2008).
  • 40 spectateurs. pg244
  • Crédits photographiques. pg246
  • Soutiens, remerciements. pg248
Vita tea. Lombardia. Opera balletto
1982
Cassa Risparmio Prov. Lombarde
Vita tea. Lombardia. Opera balletto
Auteur : Collectif

ISBN : 9786600172965

A cura di G. de Florentiis, S. Martinotti, G. Tintori. Testi di S. Angrisani, F. Attardi, A. Bassi, F. Cella, L. Ferrari, M. P. Ferraris, G. de Florentiis, C. Gallico, L. Inzaghi, S. Martinotti, E. Morini, L. Rossi, G. Tintori. Questo volume traccia il panorama dell'attività teatrale in Lombardia legata all'opera e al balletto. Se pure il Teatro alla Scala di Milano ricopre un ruolo da protagonista, non meno interessante é l'attività degli altri teatri milanesi e lombardi che si mette in luce. In passato i teatri nati per iniziativa privata hanno costituito anche un particolare fenomeno edilizio che andava studiando il balletto, nato alle sue origini in Lombardia, costituisce un capitolo particolare e a molti, forse, poco noto. A Milano, soprattutto, la scenografia ha avuto irripetibili momenti i napoletani, nel Settecento, arrivavano a Milano e nella regione per portare un fresco rinnovamento in genere con l'opera buffa, a formule collaudate e in qualche caso stantìe. Il grande arco del melodramma nato a Firenze, ma affermatosi a Mantova con l'Orfeo e, attraverso ormai quattro secoli giunto fino a noi, ha avuto in Lombardia una sua storia illustre o modesta, ma pur sempre di grande interesse. Le immagini ci immergono partecipi in questo mondo saturo di storia, di vita, di suggestione e di colore. Ottimo esemplare. (T-CA). ill. a colori n. t.

  • Taille : 36cm x 26,5cm
  • Sommario.
  • L’architettura de teatri d’opera lombardi, Maria Pia Ferraris. pg19
  • . I Teatri milanesi, Simonetta Angrisani. pg51
  • Orfeo di Monteverdi a Mantova,
  • . Il Primo capolavoro, e il primo secolo del l’opera in musica in Lombardia, Claudio Gallico. pg73
  • Mozart in Lombardia, Luigi In zaghi. pg83
  • La scuola napoletana a Milano nel Settecento, Feancesco Attardi. pg97
  • Il melodramma dell’Ottocento, Sergio Martinotti. pg109
  • Le opere veriste rappresentate in Lombardia, Adriano Bassi. pg151
  • La cultura lombarda e le nuove vie dell’opera, Luigi Ferrari. pg163
  • .IIl balletto in Lombardia, Luigi Rossi. pg175
  • La scenografia lombarda : teorie e protagonisti, Enrica Morini. pg213
  • Gli interpreti : cantanti e direttori d’orchestra, Luigi Inzaghi. pg241
  • I teatri lombardi e el pubblico, Graziella de Florentiis. pg261
  • Impresari in Lombardia, Giampiero Tintori. pg269
  • Editori in Lombardia, Giampiero Tintori. pg277
  • La librettistica nei poeti lombardi di nascita o di adozione, Franca Cella. pg285
  • Quattro secoli di « Prime » in Lombardia, Giampiero Tintori. pg301
Automates et automatisme
1948
Presse Universitaire de France
Automates et automatisme
Auteur : Pierre Devaux

Dans une salle du palais de Versailles, parmi la foule des robes à paniers et des habits de cour, l’excellent « automatisme » Roetgen présenta Louis XVI un nouveau chef-d’oeuvre. Cette joueuse de Tympanon, vêtu d’un corsage décolleté et d’une ample robe de soie brodée, suscite une curiosité générale ; on dit le corps de la poupée divinement modelée sous la robe, on s’émerveille de sa précision et de sa grce hautaine. Une ariette alerte s’égrène sous la grêle tes marteaux d’ivoire ; tout I siècle s’exhale de cette musique élégante et sèche ; et quant à la jeune femme, sous la haute coiffure bouclée, tourne la tête pour saluer, on murmure une auguste ressemblance …

Plus sensible au cour est plus parfaite en son mécanisme que l’Ecrivain et la Musicienne des Jaquet-Droz, ou le Canard de Vaucanson et ses flûtistes, la joueuse de Tympanon évoque fidèlement pourrons-nous le premier ge de l’automatisme.

  • Taille : 17,5cm x 11,5cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg5
  • Les automates.
  • I. Les automates dans l’histoire. pg11
  • II. Les chefs-d’oeuvre du XVIIIe siècle. pg21
  • III. Un « automatisme te » moderne. pg33
  • IV. Les « Robots ». pg42
  • L’automatisme.
  • V. Qu’est-ce que l’automatisme ? pg47
  • VI. L’intelligence mécanique. pg55
  • VII. Les machines automatiques. pg61
  • VIII. Automates électriques et robots habillent. pg71
  • IX. Le phare de Nividic. pg82
  • X. Le téléphone automatique et l’horloge parlante. pg88
  • XI. L’oil électrique. pg98
  • XII. Avions sans pilote. pg110
  • XIII. Deviendrons-nous des automates ? pg116
  • Epilogue. pg127
Guide au Théâtre Olympique (de Vicence)
1987
Academia Olimpica
Guide au Théâtre Olympique (de Vicence)
Auteur : Remo Schiavo

Au lecteur.

Ce guide a été pensé et écrit pour toi, à l’occasion du quatrième centenaire de la mort de Palladio, avec l’espoir que tu ne seras pas seulement le visiteur pressé, mais un amoureux de la vérité de la beauté.

Voilà, nous te présentons ce petit volume conçu en deux parties : la première - Guy de brefs - qui te permettra de suivre la visite immédiatement à l’aide des images ; la deuxième tirée par l’histoire - qui, après la visite, pendant le repos des fatigues après une pure journée de visite, au plus tard, au retour dans ta demeure, pourra t’aider à parcourir par la mémoire les itinéraires de ton voyage vicentin, et à enrichir ton souvenir de ces notations esthétiques et historique qui, pendant la visite, pourrait échapper.

Au seuil de l’antique Porte de l’Armurerie puissent accueillir les Muses et les Arts qui habitent ici à l’écart, dans leur propre « paradis ». De ce seuil, tournant le dos à la ville vivante de la Basilique et du Palais Chiericati, tu rentreras dans l’autre ville ; celle, imaginé et splendide, créée par Palladio et Scamozzi pour le délassement érudit des Académiciens Olympiques.

Sur ce seuil, de la rencontre entre l’enchantement de la contemplation et le plaisir de la parole, est née l’idée de ce livre, écrit avec une grande passion par son auteur, connaisseur érudit.

Nous le dédions à toi, hôte aimable deVicence et - peut-être - nouveau Goethe, en gage d’amitié.

L’Académie Olympique.

  • Taille : 21cm x 13,5cm
  • Index.
  • Première partie.
  • Guide bref. pg5
  • Deuxième partie.
  • Arts et Histoire.
  • Quel doit être l’approche du théâtre Olympique. pg51
  • Le jardin de lOolympique. pg59
  • L’Odéon et l’Académie Olympique. pg65
  • Palladio et le Thétâre.
  • Le théâtre des antiques. pg79
  • Le théâtre de Palladio. pg86
  • La construction du Théâtre Olympique. pg89
  • Description du Théâtre. pg92
  • La «frons scenae ». pg94
  • Les «versurae ». pg101
  • L’Orchestre. pg102
  • La Cavéa. pg105
  • Les Loges. pg108
  • Les plafonds. pg110
  • Les perspectives de la scène.
  • La ville idéale. pg114
  • L’Olympique vivant.
  • Ligne de direction du Théâtre et l’Oedipe Roi (1585). pg120
  • Les représentations à l’Olympique : les spectacles classiques de l’Académie. pg124
  • Manifestations et spectacles au Théâtre Olympique de 1585 à nos jours. pg134
  • La collection de costumes et dessins de l’Académie Olympique. pg141
  • Bibliographie. pg159
Bizarre Spécial Raymond Roussel-2e trimestre
1964
Jean-Jacques Pauvert
Bizarre Spécial Raymond Roussel-2e trimestre
Auteur : Jean Ferry, Collectif

Le manuscrit. Vingt-trois feuillets du format courant, dactylographiées à l’encre violette avec double interligne et rassemblé au moyen d’onglets en deux cahiers inégaux (1 à 14, 15 à 23), c’est ainsi que se présente - dans la copie retrouvée - le brouillon du texte de Raymond Roussel intitulé Flio, si toutefois c’est bien comme un titre qu’il faut interpréter ce mot, inscrit en minuscule et suivi du « (1) » répondant à la pagination, en tête et au milieu du premier feuillet. Vers le début de la première guerre mondiale, l’auteur - alors mobilisés - avait confié cette copie à son homme d’affaires et ami Eugène Leiris, dans une enveloppe fermée qui portait cette mention manuscrite : « Prière à Monsieur Eugène Leiris de bien vouloir déposer cette enveloppe dans sa caisse du bureau. » Raymond Roussel. 10 décembre 1914. Rien qui permette de déterminer la destination de ce texte : histoire isolée, ou conçus pour prendre place dans une large composition, comme il en est de la plupart des récits imaginés par Roussel ? Quant à l’adaptation, pas d’autre indice que la date du dépôt. D’autre part, en dépit du mot « (fin) » inscrit au bas et à droite du dernier feuillet, l’histoire est inachevée ; mais rien ne prouve qu’une suite ne fut pas remis à un autre dépositaire. Publier ce fragment de compte encore presque à l’état de notes est, certes, en contradiction flagrante avec le prodigieux souci de perfection formelle dont Roussel a toujours témoigné. La licence ainsi prise peut, toutefois, se justifier par l’intérêt du texte, en tant que telle et comme document sur la manière dont travaillait un écrivain qui fut longtemps méconnu, mais que l’ « épanouissement posthume » auquel il fit allusion transforme aujourd’hui en personnage public. Michel Leiris.

  • Taille : 27cm x 19,5cm
  • Sommaire.
  • Raymond Roussel. Flio, présenté par Michel Leiris. pg2
  • Jean Ferry. Première constatation à propos de Flio. pg14
  • John Ashbery. Les versions scéniques d’Impressions d’Afrique et de Locus Solus. pg19
  • Appendice A. Impressions d’Afrique, rôle de Julliard. pg26
  • Appendice B. Feuilleton du Journal des Débats, 20 mai 1912. pg31
  • Appendice C. Locus Solus, Acte IV, adaptation de Pierre Frondaie. pg35
  • Appendice D. Raymond Roussel et PierreFrondaie. pg52
  • La Presse et le Théâtre de Raymond Roussel. pg54
  • Edouard Dujardin. Le cas de Locus Solus. pg56
  • François Caradec. La machine à imprimer Roussel. pg59
  • Juann Esteban Fassio. La machine à lire Roussel, ou la machine à lire des nouvelles Impressions d’Afrique. pg63
  • Jean Borzic. Roussel en Sorbonn. pg67
  • Pierre Dhainaut. Raymond Roussel oseur d’influence. pg73
  • Raphaël Sorin. Le Pendule de Foucault. pg75
  • Michel Leiris. Le Voyageur et son ombre. pg77
  • Roger Vitrac. Raymond Roussel. pg79
  • Jean Cocteau. Raymond Roussel. pg85
  • Michel Heroullt. Ciel natal des positions astrologiques de Raymond Roussel. pg87
  • Elie Richard. Raymond Roussel, où Le Génie ne fait pas le bonheur. pg88
  • Robert André. La Stèle de Raymond Roussel. pg89
  • François Lorin. Raymond Roussel ou l’Irrémédiable Extase. pg93
  • Jean Chatard et Robert Momeux. Interview de Michel Ney, duc d’Elchingen Point pg98
  • Jean Ferry. Une autre étude sur Raymond Roussel.
  • pg106 Textes des Chants I, III et IV des « Nouvelles Impressions d’Afrique ». pg153
  • François Caradec. La tombe de Raymond Roussel. pg159
Ibsen
1936
Les Editions Rieder
Ibsen
Auteur : Lugné-Poe

A Si quelle heure de notre histoire du théâtre Ibsen débarqua à Paris ? (extrait)

depuis le jour où le critique anglais Edmond Gosse publia en 1872 sa mémorable chronique sur Ibsen, les articles, les livres se sont multipliés dans le monde entier. Bien difficile d’ajouter un caillou à ce monument. Tout a été dit. Chez nous, les pionniers de la première heure : Paul Desjardins, Sarolea, Prozor, Edouard Rod, Georg Brandes, nous ont aussi fourni des renseignements précieux. A plus forte raison après un demi-siècle, le formidable ouvrage de M. P.-G La Chesnays est-il venu depuis quatre ou cinq ans couronnés tant d’études étend d’ouvrages sur l’ouvre du grand dramaturge. Ici limitons-nous : l’aspect de la question Ibsen devant notre pays suffit à ce petit livre, dont le titre pourrait être : Résumé de l’histoire d’Ibsen à Paris.

l’est de chez nous, aussi bien que dans les pays du Nord, longtemps il s’est manifesté un courant d’esprit prétendant contrôler notre intérêt pour le théâtre d’Ibsen, et même le contester. On s’y est étendu avec complaisance sur notre incompréhension. La chose reste divertissante : jusqu’à un certain point nous pourrions, tout au plus, admettre d’être mis en garde contre des oeuvres purement norvégiennes d’Ibsen.

Mais encore il y a maintes raisons pour que ces pièces ne nous soit. Indifférente, beaucoup de descendants des vieux normands nous étant demeurés proches parents. Ibsen, lui-même s’émancipa et se manifesta avec éclat hors du foyer scandinave dès 1864. Ne peut-on dès lors admettre qu’il appartient également à la pensée française, et pour une part non négligeable ? Enfin de comédiens interprètent avec autant de lumière que ceux des autres pays. S’en amuser d’aider que la ration complaisante que le grand écrivain plus nous faire, il suffirait de se reporter à ces propos devant ses intimes. Après toutes les étapes ou Ibsen s’arrêta, ces idées ne évoluèrent-elles pas selon les faits qui se succédaient en Europe, et cela presque toujours au rythme des événements se déroulant en France ?

Ce résumé ne sera donc pas grand-chose à la considérable bibliographie Ibsénienne. Depuis longtemps les initiés ont les uns comme les autres, prévenu le lecteur (en apportant chaque fois leur contribution) que le problème avait été envisagé sous tous les aspects. Nos voisins, les Allemands - laissant de côté l’Angleterre - possède une véritable bibliothèque qu’il est précieux de connaître lorsque l’on veut commenter jusqu’à des commentaires.

Nous rapporterons ce que nous savons d’Ibsen du seul point de vue latin français, ce que nous avons pu glaner auprès de lui et après nos randonnées d’Europe ou d’Amérique. Ayant bien connu le plus grand poète moderne du théâtre, n’ayant jamais cessé de cultiver son ouvre, il apparaît bien qu’il y a encore quelques petites choses honneur de notre pays qui n’est pas été dite.

  • Taille : 20cm x 16cm
  • Table des matières.
  • A quelle heure de notre histoire du théâtre Ibsen débarque à Paris ? pg7
  • Résumé de la vie d’Henrik Ibsen. pg45
  • Mes rencontres avec Ibsen. pg71
  • Table des planches. pg101
Expo. franco-brit. Londres. Expo appli. élèc. Marseille 1908
1908
Imprimerie Nationale
Expo. franco-brit. Londres. Expo appli. élèc. Marseille 1908
Auteur : Service des Phares et balises

Notices sur les dessins et appareils exposés par le service des Phares et Balises.

Introduction.

Le Ministère des travaux publics a réuni dans une exposition très limitée qu’il a faite, à Londres (exposition franco-britannique) et à Marseille (application de l’électricité) les appareils, dessins et modèles suivants :

1° Un modèle de la tour du phare électrique d’Eckmühl.

2° Trois dessins représentant :

- la tour du fer électrique de la Coubre.

- Les btiments et la salle des machines du far électrique de la Coubre.

- l’appareil optique du far électrique de la Coubre.

3° Un des régulateurs arcs du far électrique de la Coubre.

4° Un dessin des cloches électriques de l’Estuaire de la Seine.

5° Un dessin de la commande électrique des cloches sous-marines.

6° Un dessin relatif aux communications et signaux par ondes Hertziennes.

7° Un appareil d’éclairage à incandescence par la vapeur de pétrole.

8° Une optique de 0m,1875 de distance focale avec brleur à mèche et à incandescence.

9° Une lanterne avec optique de 0m,25 de distance focale et manchons incandescence par le gaz de ville, pour bouée lumineuse.1

0° Une lanterne avec optique de 0m,1875 de distance focale et manchon à incandescence pour bouée lumineuse.

11° Un appareil à optique annulaire de 0m,95 de distance focale pour feu de direction, avec manchon à incandescence par le gaz de ville.

12° Un modèle de bouée lumineuse à queue de 12me  de capacité.

13° Un modèle de bouée lumineuse à plat de 5me de capacités.

Exposition des applications de l’électricité, à Marseille.

1° Un dessin de la tour du far électrique de Planier.

2° Un régulateur électrique arc, type Planier.

3° Un régulateur électrique à moteur différentiel pour arc long.

4° Un dessin de cloches électriques de l’Estuaire de la Seine.

5° Un dessin de la commande de cloche sous-marine.6

° Un dessin relatif aux communications et signaux par ondes Hertziennes.

7° Un appareil à feu permanent a été la groupée par trois, de 0m,15 de distance focale, avec dispositif de rotation électrique.

Ces divers appareils, modèles ou dessins tendent à faire ressortir, dans la mesure restreinte permise par les expositions dont il s’agit, les idées nouvelles appliquées par le Service des Phares dans les dernières années. Ces idées sont mises en évidence dans les chapitres suivants.

  • Taille : 21,5cm x 15cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg1
  • Chapitre Ier. Phares électriques. pg3
  • 1. Historique. pg3
  • 2. Arc et charbon. pg9
  • 3. Comparaison entre les arcs à courant continu et les arcs à courant alternatif. pg10
  • 4. Charbon minéralisé. pg13
  • 5. Régulateur symétrique, modèles 1901. pg13
  • 6. Régulateur à moteur différentiel pour arc long. pg17
  • 7. Dispositifs spéciaux pour charbon numéro lycée. pg21
  • 8. Optique. pg23
  • 9. Optique de la Coubre. pg24
  • 10. Machines électriques générales prissent. pg261
  • 11. Signal sonore. pg36
  • 12. Machines de motrices. pg37
  • 13. Frais d’installation des phares électriques. pg40
  • 14. clairage par incandescence électrique. pg41
  • 15. Auteurs et collaborateurs. pg42
  • ChapitreII. Application de l’électricité à la commande des signaux sonores. pg43
  • 1. Signaux à air comprimé. pg43
  • 2. Si installation de cloches ou signaux de brume dans l’Estuaire de la Seine. pg46
  • 3. Cloche sous-marine commandée électriqu ement. pg54
  • 4. Auteurs et collaborateurs. pg59
  • Chapitre III.
  • Application de transport électrique de la force à des chantiers de construction en mer. pg60
  • 1. Outillage électrique pour construction sur un récif isolé. pg61
  • 2. Outillage électrique pour l’immersion sur un plateau sous-marin d’un caisson métallique et l’exécution sur celui-ci de fondation d’un phare. pg63.
  • 3. Auteurs et collaborateurs. pg82
  • Chapitre IV.
  • Application des ondes Hertziennes aux communications entre les navires et les phares. pg84
  • 1. Emplois de la télégraphie sans fil pour le service d’un chantier en mer. pg84
  • 2. Etude des signaux de brume par ondes Hertziennes et la détermination de l’orientation. pg883
  • . Auteurs et collaborateurs. pg95
  • ChapitreV.
  • Eclairage des phares à l’incandescence par la vapeur de pétrole. pg96
  • 1. Huile minérale.pg96
  • 2. Manchon. pg97
  • 3. Brûleur du Service des Phares. pg98
  • 4. Réservoir à pétrole est à terre. pg100
  • 5. Fonctionnement. pg103
  • 6. Résultats obtenus. pg108
  • 7. Incandescence avec becs à mèches. pg109
  • 8. Auteurs et collaborateur. pg111
  • Chapitre VI.
  • Eclairage des bouées à incandescence par le gaz d’huile. pg121.
  • 1. Brûleurs à incandescence pour bouées. pg112
  • 2. Nouveau bateau baliseurs. pg113
  • 3. Types de bouées lumineuses. pg114
  • 4. Feux flottantx non gardés. pg116
  • 5. Auteurs et collaborateurs. pg119
Introduction au théâtre grec antique
1996
Le Livre de Poche
Introduction au théâtre grec antique
Auteur : Paul Demont, Anne Lebeau

ISBN : 2253905259

Notre connaissance du théâtre grec ne cesse de progresser. Les innombrables reprises ou adaptations de pièces antiques sur toutes les scènes du monde témoignent d’une tradition toujours vivante.

Destiné à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre cet héritage, l’introduction au théâtre grec antique retrace avec clarté les grandes étapes de sa formation et de son développement.

L’ouvrage relate la genèse des spectacles en Grèce, depuis les manifestations rituelles de l’époque minoenne jusqu’à la naissance des premières tragédies, lors des Grandes Dionysiens.

La description des représentations au siècle de Périclès, ge d’or de la production thétrale, met l’accent sur le lien qui rattache le thétre à la cité.

L’étude de la tragédie et de la comédie, comportant une analyse de toutes les pièces conservées, permet de souligner l’influence réciproque d’argent sur l’autre.

Enfin, la dernière partie envisage sous l’angle historique la présence culturelle du thétre grec jusqu’à l’époque contemporaine.

  • Taille : 18cm x 11.3cm
  • Table.
  • Introduction. pg5
  • Chapitre I.
  • La naissance du thétre grec antique. pg7
  • Chapitre II.
  • Le thétre à Athènes à l’époque classique. pg35
  • Chapitre III.
  • La tragédie. pg69
  • La tragédie grecque classique. pg75
  • Eschyle. pg81
  • Sophocle. pg97
  • Euripide. pg117
  • Chapitre IV.
  • La c omédie.pg155
  • Comédie ancienne et comédie nouvelle. pg158
  • Aristophane. pg163
  • Ménandre. pg193
  • Chapitre V.
  • Aperçus sur la postérité du thétre grec classique. pg205
  • Chronologie. pg233
  • Bibliographie. pg237
  • Index mythologique et historique. pg247
  • Index des termes techniques. pg251
  • Index des pièces de thétre antique. pg253
Théâtre et Fêtes- Louis Leblanc
1923
Etablissement Louis Leblanc
Théâtre et Fêtes- Louis Leblanc
Auteur : Etablissement Louis Leblanc

Théâtre & Fêtes

Etablissement Louis Leblanc

Nançois-Tronville (Meuse)

(Embranchement des lignes Paris-Strasbourg, Bar-Le-Duc- Dijon)

Catalogue 1923-1924

  • Taille : 24,5xm x 31,5cm
  • La scène d’un théâtre de ville. pg4
  • La scène d’un théâtre d’amateur. pg5
  • Le décor de théâtre. pg6
  • Machinerie de thétre. pg8Ameublement pour Sociétés et Théâtres. pg10
  • Façades et le Rideau d’avant-scène. pg11
  • Classement de nos Décors de Théâtre. pg12
  • Tarif de Décors de Théâtre. pg13
  • Accessoires pour scène en papier entoilé. pg14
  • Meubles peints sur papier entoilé. pg16
  • Guignol. pg17
  • Artifice de théâtre. pg18
  • Pour ce grimer. pg20
  • Parfumerie théâtrale. pg22
  • Postiches. pg23
  • Casques historiques et modernes. pg24
  • Armes et accessoires. pg25
  • Passementeries et fournitures pour costumes. pg26
  • Kermesse. pg27
  • Attractions diverses. pg28
  • Les jeux de plein air. pg30
  • Massacre, montgolfières. pg31
  • Pour vos ballets, vos danses et défilés. pg32
  • Ballons spéciaux pour décorer boutiques, rues, salles, etc. pg34
  • Illuminations et Retraites. pg35
  • Drapeaux riches pour Sociétés, Conscrits, Mairies, etc. pg36
PQ of Performance Design and Space 2015
2015
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 2015
Auteur : Pavla Petrova

ISBN : 9788070083505

"Le catalogue de la 13e Quadriennale de la scénographie et de l'espace théâtral de Prague présente les expositions nationales de 67 pays qui ont participé au PQ dans la section des pays et régions et la section des étudiants, y compris des informations sur les artistes exposants, des œuvres et un vaste matériel visuel. Il documente également les expositions d'accompagnement et les projets pédagogiques qui ont été mis en œuvre durant le PQ dans le cadre du projet international pluriannuel SharedSpace : Music Weather Politics. www. pq. cz.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Opening Statements. pg6
  • Shared Space. pg10
  • PQ in Historial Overview. pg17
  • Participating Countries and Regions. pg26
  • Exhibition Countries and Regions. pg28
  • Objects. pg304
  • Tribes. pg330
  • Further Projects. pg360
  • Jury, Awaeds, Council, Team.pg380
Tech. Design Solutions for Th. Vol. 3
2013
Routledge
Tech. Design Solutions for Th. Vol. 3
Auteur : Ben Sammler, Don Harvey

ISBN : 02408049021

Technical Design Solutions for Theatre is a collection of single-focus articles detailing technical production solutions that have appeared in The Technical Brief Collection, a publication of the Yale School of Drama’s Technical Design and Production Department. The primary objective of the publication was to share creative solutions to technical problems so that fellow theatre technicians can avoid having to reinvent the wheel with each new challenge. The range of topics includes scenery, props, painting, projections, sound, and costumes. Each article describes an approach, device, or technique that has been tested onstage or in a shop.

Great reference of tips and solutions to persistent technical challenges in theatre production 


Solutions provided by contributors from over twenty different producing organizations 


Ten years of The Technical Brief Collection articles bound in each of three volumes 


A comprehensive index to all three volumes included in Volume III

  • Taille : 28cm x 21,5cm
Ilya Kabakov: Installations, 1983-1995
1995
Centre Georges Pompidou
Ilya Kabakov: Installations, 1983-1995
Auteur : Ilya Kabakov, Nadine Pouillon

ISBN : 2858508267

Ouvrage publié à l’occasion de l’exposition « Ilya Kabakov : C’est ici que nous vivons »

organisée par le Musée national d’art moderne-Centre de création indistrielle et présentée du 17 mai au 4 septembre 1995 dans le Forum du Centre national d’art et de culture Georges Pompidou.

  • Taille : 30,5cm x 24cm
  • Sommaire
  • L’inaliénable par François Barré pg7
  • Kabakov témoin par Jean-Hubert Martin pg9
  • L’architecte du vide par Robert Storr pg13
  • Un homme qui veut duper le temps par Boris Groys pg17
  • Ilya Kabakov, entretien avec Nadine Pouillon Le musée : temple ou décharge ? pg20
  • L’installation totale par Ilya Kabakov pg26
  • Les installations 1983 - 1995
  • Avant propos pg29
  • La Fourmi pg30
  • Sept expositions d’un tableau pg32
  • Le Paysage déchiré pg36
  • Les Seize Cordes pg38
  • La Caisse de détritus pg40
  • Dans le coin pg42
  • La Corde de la vie pg44
  • Les Cordes en marche pg46
  • La Rivière souteraine dorée ph48
  • Le Bateau pg52
  • Les Paravents intellectuels pg56
  • La Mouche avec des ailes pg58
  • Avant dîner pg62
  • Les Dix Personnages pg66
  • L’homme qui s’est envolé dans l’espace pg70
  • L’homme qui s’est envolé dans le tableau pg74
  • L'homme tout petit pg76
  • L’Artiste sans talent pg78
  • L’Homme qui ne jetait jamais rien pg82
  • Le Compositeur pg86
  • Le Collectionneur pg90
  • Trois Nuits pg92
  • L’Incident dans le couloir, devant la cuisine pg96
  • L’Exposition d’un livre pg98
  • Le Labyrinthe. L’Album de ma mère pg102
  • Deux souvenirs d’une longue peur pg106
  • L’Homme métaphysique pg110
  • Il a perdula tête, s’est déshabillé et s’est enfui nu pg114
  • Les Cibles pg118
  • Le Wagon rouge pg122
  • A qui sont ces ailes ? pg126
  • La Cuisine communautaire pg128
  • L’Asile d’aliénés ou l’Institut de recherches créatrives pg132
  • Les Petits Hommes blancs pg136Dans la Cuisine communautaire pg138
  • La Cuisine communautaire. Nouveaux documents et matériaux pg240
  • 52 Entretiens dans la cuisine communautaire pg142
  • Nous partons d’ici pour toujours pg146
  • Le Pont pg150
  • Le Plat bleu pg154
  • La Vie des mouches pg158
  • Les Toilettes pg162
  • L’Incident au musée ou la Musique de l’eau pg166
  • L’illustration comme moyen de survie pg170
  • Je serai de retour le12 avril pg174
  • Le Tableau non accroché pg176
  • Le Musée vide pg178
  • Les Grandes Archives pg180
  • Rendez-Vous pg184
  • Le Pavillon rouge pg186
  • Le Cube blanc pg190
  • Concerto pour mouche pg192
  • La Mère et le Fils pg194
  • Le Bateau de ma vie pg198
  • La Sortie de secours pg202
  • L’Ecole n°6 pg204
  • NOMA pg208
  • La Colle pg212
  • La Salle d’opération. La Mère et le Fils pg214
  • A vendre ! pg218
  • Ma patrie. Les Mouches pg220
  • En mémoire d’agréables souvenirs pg224
  • Les Doutes de l’artiste ou la Conspiration des incapable pg226
  • Les Toilettes dans le coin pg230
  • Dans l’appartement de Viktor Nikolaïevitch pg232
  • Le Couloir de deux banalités pg236
  • Les Installationd non réalisées pg240
  • Le dialogue qui n’a pas lieu pg244
  • C’est ici que nous vivons pg248
  • Biographie pg253
  • Expositions pg254
  • Bibliographie pg256
The stage lighting handbook
1979
Pitman
The stage lighting handbook
Auteur : Francis Reid

ISBN : 0273002090

In addition to the lighting spacialist, every director designer and actor should have some knowledge of just what istechnicaly possible in terms of light on the stage. This book supplies that knowledge. It does not ignore the electricity that goes into the spotlight, but is more concerned with the light that comes out and how best to take advantage of it.

After etablishing the aims of stage lighting, Francis Reid descriptes the most popular types of lighting equipment avaible and explains the techniques of rigging and wiring. Lighting design follows, withnchapters on direction, focus and use of colour. A valuable section on organisation defines the lighting designer’s requirements and responsabilities in planning, rehearsal and performance. Then come four chapters devoted to the specific lighting needs of the straight play, the musical, the thrut stage production and the multi-perpose hall. A final chapter on effects including projection, gauzes and atmospheric effects, is followed by an entertaining postscript describing one of the less orthodox productions lit by the author There is also full glossary of British and American lighting terms.

Francis Reid, editor of The Stage Lighting Handbook has lit shows of every kind in venues ranging from schoolhalls to Glyndebourne Opera House. He has taught lighting at the Royal Academy of Dramatic Art in London and a number of North American universities. This book will be a handy reference work for thr rxperienced professional looking for a rapid check list but the wealth of pratical information is put across with an easy simplicity that also makes it ideal for the beginner in search of a way through a tangle of wires.

  • Taille : 23,5cm x 16,5cm
  • Contents.
  • Preface. pg1
  • 1. Aims in Lighting. pg3
  • 2. Lighting Equipment. pg10
  • 3. Rigging and Wiring. pg33
  • 4. First Steps in Lighting Design. pg39
  • 5. Direction and Focus. pg44
  • 6. Colour. pg54
  • 7. Otganisation. pg60
  • 8. Lighting the Play. pg73
  • 9. Lighting the Musical. pg91
  • 10. Lighting Thrust Stages pg100
  • 11. Square One. pg106
  • 12. Effects. pg111
  • Postscript : A Case History in an English Country Garden. pg117
  • Glossary. pg122
  • Index. pg127
Théâtres romantiques à Paris
2012
Paris musées
Théâtres romantiques à Paris
Auteur : Jean-Marie Bruson, Daniel Marchesseau

ISBN : 2759601935

Dans la première moitié du XIXe siècle, Paris a été la capitale internationale du théâtre ; tous les genres, du vaudeville à l’opera seria, du mélodrame à la pantomime, s’y sont épanouis dans la plus grande concentration de salles existant alors en Europe : Comédie-Française, Ambigu, Porte Saint-Martin, Théâtre-Italien, mais aussi Funambules, Gaîté, Variétés ou Gymnase.

Alors que les influences les plus diverses, de Shakespeare à Goethe, de Byron à Victor Hugo y forgeaient de nouveaux modèles, une étonnante effervescence intellectuelle rassemblait les plus grands acteurs – Talma, Mlle Mars, Rachel -, les compositeurs les plus célèbres – Rossini ou Meyerbeer –, les divas les plus admirées – Maria Malibran, Marietta Alboni, Pauline Viardot –, les étoiles de la danse les plus adulées – Marie Taglioni, Fanny Elssler ou Carlotta Grisi –, sans oublier le mime par excellence, Gaspard Deburau.

Une centaine d'oeuvres provenant du musée Carnavalet – portraits, aquarelles, dessins, décors, études de costumes, souvenirs – illustrent cette intense créativité et évoquent les principales figures qui l’ont illustrée.

Dans le poétique et séduisant "enclos Chaptal", où le peintre Ary Scheffer aimait à réunir les célébrités de la scène parisienne avec ses voisins de la Nouvelle Athènes - écrivains (George Sand, Tourgueniev, Charles Dickens), divas (La Malibran et sa soeur, Pauline Viardot) et musiciens (Chopin, Rossini avant Gounod), le musée de la Vie romantique devient l’écrin idéal pour accueillir cette exposition.

  • Taille : 25cm x 18cm
  • Sommaire.
  • Préface, Bertrand Delanoë. pg13
  • Côté cour - côté jardin, Daniel Marchesseau. pg15
  • Les collections théâtrales du musée Carnavalet. pg19
  • Grands et petits théâtres. pg23
  • Musée Dantan. pg73
  • La Petite Galerie dramatique. pg87
  • Naissance du ballet romantique. pg109
  • Le décor de théâtre à l’époque romantique. pg119
  • Objets souvenirs. pg154
  • Ouvrages consultés. pg163
  • Index. pg164
Tea. a Reggio Emilia-II Dalla Restaurazione al Secondo Novecento
1980
Sansoni Editore
Tea. a Reggio Emilia-II Dalla Restaurazione al Secondo Novecento
Auteur : S. Romagnoli, E. Garbero

Théâtre de Reggio Emilia

  • Taille : 26,5cm x 19,5cm
Josf Nadj (Nagy Jozsef) - Cyanotypes
2015
CCN D'Orléans
Josf Nadj (Nagy Jozsef) - Cyanotypes
Auteur : Josef Nadj

À cette fin des enjeux Clément inventaire et proposer souvent des figures, caractère, forme et paroles inconnues de nous les mortels, et merveilleux et dépourvu de sens selon l'usage habituel de la langue, mais nous induisant, à travers la plus haute admiration de notre raison, à une recherche assidue des choses intelligible, puis à la vénération et à l'amour de ses mêmes choses.

  • Taille : 21cm x 15cm
Anamorphoses ou "Thaumaturgus opticus"
1984
Flammarion
Anamorphoses ou "Thaumaturgus opticus"
Auteur : Jurgis Baltrušaitis

ISBN : 2080126040

Le jeu de perspectives auquel on a donné le nom d’anamorphose consiste à déformer l’image jusqu’à son anéantissement, de sorte qu’elle sort redresse, Ressuscité, lorsqu’on la regarde d’un point de vue déterminé. Il ne s’agit pas d’une aberration ou les images se substituent au gré des fantaisies et de détours de la pensée mais de la perspective proprement dite, des travées par une application particulière de ces lois propres.

L’ouvrage de Jurgis Baltrušaitis révèle tous les aspects de la question. L’anamorphose fait son apparition dès le début du XVIe siècle ; Léonard de Vinci, Dürer sans l’en avoir été les promoteurs. Holbein a construit autour d’elle sa plus grande ouvre, montrant un crne dissimulé dans la figuration des Arts et des Sciences, signifiant leur vanité profonde. Des scènes érotiques, des représentations religieuses, des portraits secrets se répandent en Italie, dans les pays du Nord et jusqu’en Angleterre.

C’est à la France, dans la première moitié du XVIIe siècle, que l’on doit l’ordre nouveau. Conçu par des religieux et des mathématiciens, les perspectives dépravées et rejoignent les hautes spéculations de l’esprit et se propage sous un signe cartésien : le doute philosophique et les méditations sur la réalité et l’apparence. Dans les écoles germaniques, et rejoignent la magie universelle. Une vision à l’amorphotique du monde apparaît en Italie avec une force particulière. Au cours du 18e et XIXe siècle, l’anamorphose se vide progressivement de son contenu métaphysique et se développe surtout comme un divertissement, un juge du paradoxe, sans compromettre ses effets.

L’anamorphose un miroir, ou les images défigurées se restituent non pas sous un regard oblique mais dans la réflexion d’un cylindre un cône, jouit de son côté d’une grande vogue. Leibniz décrits les faits de ce jouet dont la magie était connue en Chine. Simon Vouet a pris part alors retransmission en Occident. Mélange d’abstrait et le figuratif, où les figures renaissent d’un chaos et les mondes éclatent avant de se refaire, ces étonnantes compositions semblent être d’aujourd’hui. Nous assistons d’ailleurs à une reprise de ces astuces optiques haussant des différents courants modernes. Les deux derniers chapitres consacrés aux résurgences modernes surprennent par l’abondance de leur matière. L’anamorphose seule restitue dans toute sa diversité, comme un mystère d’autrefois ou comme raffinement à la pointe du progrès. Une pensée d’avant-garde (Cocteau, Barthes, Lacan entre autres) a été par ces machinations d’optique.

Le livre de Jurgis Baltrušaitis tonnes pour la première fois l’image de l’ensemble de ces déviations formelles et intellectuelles. Dans la série des perspectives dépravées, Anamorphoses ou Thaumaturgus opticus succèdent à la légende des formes, Aberrations, et précède la Quête d’Isis, essai sur la légende d’un mythe.

  • Taille : 28,5cm x 22cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg3
  • Introduction. pg5
  • Perspectives accélérées ou ralenties. pg7
  • Premières anamorphoses et diffusion : XVe et XVIIe siècle. pg15
  • Les Perspecteurs français : Salomon de Caus, Niceron, Maignan. pg37
  • Descartes : les automates et le doute. pg59
  • Querelle d’artistes : l’Académie contre Desargues et Bosse. pg69
  • Visionnaires allemands : Kircher et Schott. pg77
  • Les « Ambassadeurs » de Holbein. pg91
  • Divertissement optique : XVIIe et XIXe siècle. pg113
  • Anamorphoses un miroir. pg131
  • La Catoptrique, Géométrie et Prestidigitation. pg147
  • Prestidigitation chinoise. pg167
  • Résurgences de renouveaux. pg179
  • Les textes modernes. pg211
Fragments 2019 - PQ Performance Design Space
2019
Arts and Theatre Instit.
Fragments 2019 - PQ Performance Design Space
Auteur : Klara Zieglerova, Marketa Fantova

ISBN : 9788070083840

NON-COMPETITIVE EXHIBITION

Curated by Klára Zieglerová

6-16 June

Lapidarium of the National Museum at Výstaviště Praha

The exhibition Fragments recognizes and celebrates designs where the essence of the environment and the socio-political era is preserved, craft is perfected, and the artist becomes a beacon of the profession for their

life achievements. Participating countries have selected only one item showing the most iconic or breakthrough set, costume, lighting,

projection or sound design by one of their most celebrated “Living Legends” of performance design whose work keeps inspiring new generations of artists and audiences.

Disappearing Visceral Landscapes

We will share results of an ongoing EU grant project. The project is concerned with preserving memories of renowned artists whose work inspiration is traceable to a specific location and giving an opportunity to young designers to learn from the masters. In addition to the studio visits we will also record an interview with each artist that will preserve precious memories, views, thoughts and ideas in the artist’s own words. This way the ideas and thoughts will be accessible to young designers without any theoretical interpretation. These interviews will be used for further research and create a base for an on-line interview database.

Gallery Talks

Throughout PQ we are pleased to offer the opportunity for small audiences to hear from some of the “living-legends” whose work is exhibited within Fragments. Each session features a few artists giving a short introduction to their life, work, and practice before a moderated question session.

  • Taille : 27cm x 20,5cm
  • Contents.
  • Introduction, par Klara Zieglerova et Marketa Fantova. pg4 et 6
  • Projects.Andy Bargilly, CyprusSeven against Thebes. pg10
  • Paul Brown, Wales
  • Studio Section. pg16
  • Joseph Ciller, Slovakia
  • The Bride of the Ridge. pg20
  • Jean-Claude De Bemels, Belgium
  • La mission. pg26
  • Kirsten Dehlholm, DenmarkI
  • Only Appear To Be Dead. pg32
  • Xue Dianjie, China
  • Life of Galileo. pg38
  • Hélio Eichbauer, Brazil
  • O Rei Da Vela. pg44
  • Maria and Tolita Figueroa, Mexico
  • Unos Cuantos Piquetitos/A Few Small Nips. pg48
  • Paul Gallis, Netherlands
  • Count Your Blessings. pg54
  • Juan Gómez-Cornejo, SpainLighting For Pandur.
  • Fragmentos Del Alma. pg60
  • Dorita Hannah, New Zealand
  • PhoneHome: Island Icarus (“you peeled our skin off”). pg66
  • Yukio Horio, Japan
  • The Flying Dutchman. pg72
  • Pamela Howard, UKA Tri-Coloured World. pg76
  • Liisa Ikonen, Finland
  • Dialogic Scenography: Phenomenological Interpretation of an Alternative Work Process. pg82
  • Mary Kerr, CanadaThe Three Penny Opera. pg88
  • Ming Cho Lee, The United States of America
  • Boris Godunov. pg92
  • Alexander Lisiyansky, IsraelLost Between X-Y-Z. pg96
  • Thom Luz, Switzerland
  • Unusual Weather Phenomena Machine. pg102
  • Fruzsina Nagy, Hungary
  • “Villa on Andrássy Avenue” in the performance PestiEsti. pg106
  • Iva Němcová, Czech Republic
  • Morgiana. pg110
  • Franics O’Connor, IrelandTree of Nails. pg116
  • Kustav-Agu Püüman, Estonia
  • Beast on the Moon. pg120
  • Ali Raffi, IranFox Hunting. pg126
  • Cristina Reis, Portugal
  • The English Cat. pg132
  • Tumurkhuyag Burmaam, Mongolia
  • Shape of the Basement. pg136
  • Luis Carlos Vásquez, Costa Rica
  • TRAZOS DEL DELIRIO. pg142
  • Parteners. pg153
Créations de Josef Nadj
2004
Centre Chorégraphisue d'Orléans
Créations de Josef Nadj
Auteur : Lajos Somlosi, Ferenc Eln

Biographie. Josef Nadj naît à Kanjiža, en Voïvodine (ex-Yougoslavie, dans l’actuelle Serbie) dans une famille magyarophone. Les hommes qui causent la dysfonction érectile cherchent où acheter tadapox, avec des facteurs allant d’un prestataire de soins de santé mentale traitable s’il trouve régulièrement qu’il est important de noter qu’il peut y avoir encore plus de discussion à ce sujet ici – www.gulickhhc.com/drugs/premature-ejaculation/priligy.htm. Il se dirige tout d’abord vers le dessin. Après une formation aux Beaux-Arts de Budapest, il s’installe à Paris, suit des cours de mime et s’initie au tai-chi, au butô et à la danse contemporaine en tant qu’interprète auprès de Sidonie Rochon, Mark Tompkins, Catherine Diverrès ou François Verret. Son approche, novatrice et insolente, l’impose dès les années 80 comme un pionnier de la danse contemporaine. Depuis Canard Pékinois (1987), sa pièce fondatrice, Josef Nadj creuse le sillon d’une chorégraphie exigeante et passionnée. Qu’il visite des auteurs atypiques (Beckett, Kafka, Michaux) ou entraîne avec lui des plasticiens (Miquel Barceló) ou des musiciens (Akosh Szelevényi, Joëlle Léandre) sur scène, Josef Nadj s’épanouit dans une totale liberté. Comme pour réveiller nos sens, il mélange les références, les signes et les matériaux. Oscillant entre réel et onirisme, tradition et modernité, il interroge l’essentiel : le rapport de l’homme à lui-même. Chorégraphe, danseur, mais aussi plasticien et photographe, il pose un regard poétique et passionné sur l’humanité, toujours à la recherche de nouvelles formes. L’originalité de son geste créatif prend sa source dans son parcours d’artiste décliné au gré des soubresauts de l’histoire européenne. Josef Nadj est un artiste sans frontières ni barrières. Josef Nadj est l’auteur de plus d’une quarantaine de créations et d’expositions programmées dans près de 50 pays. Il a été artiste invité par des événements internationaux majeurs (Festival d’Avignon, Festival International Tchekhov, Quadriennale de Prague, etc.). Au fil des années, les œuvres de Josef Nadj sont devenues des incontournables de la danse contemporaine. Il a dirigé le Centre chorégraphique national d’Orléans de 1995 à 2016 avant d’établir sa nouvelle compagnie Atelier 3+1 à Paris en 2017. Avec Atelier 3+1, son œuvre se poursuit et prend parallèlement une nouvelle orientation. Tout en poursuivant sa recherche chorégraphique, il entend se saisir de l’opportunité de ce nouveau cadre de production pour replacer le travail plastique au cœur de son travail scénique et corporel. Josef Nadj été fait Chevalier des Arts et des lettres en 2002, pour la contribution de ses œuvres au rayonnement des arts en France et dans le monde. En 2011, il est promu Officier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.

  • Taille : 24cm x 21,5cm
  • Les créations de Josef Nadj.
  • 1987 - Canard Pékinois.
  • 1988 - Sept Peaux de Rhinocéros.
  • 1989 - la Mort de l’Empereur.
  • 1990 - Comedia Tempio.
  • 1992 - Les Echelles d’Orphée.
  • 1993 - Tractatus Bestial.
  • 1994 - Woyzeck. L’Anatomie du Fauve.
  • 1955 - Le cri du Caméléon.
  • 1996 - Les Commentaires d’Abacuc.
  • 1997 - le Vent dans le Sac.
  • 1999 - Le Temps du R Siepli. Les Veilleurs.
6th Oistat Theatre Architectural Competition
2003
OISTAT
6th Oistat Theatre Architectural Competition
Auteur : OISTAT

In 1968, OISTAT was founded in Prague enabling the exchange of ideas from both sides of the Iron Curtain. Originally the organization’s name was Organisation Internationale des Scénographes et technicians de Théatre-OISTT/OISTT. In 1985, the organization was renamed International Organisation of Scenographers, Theatre Architects and Technicians (OISTAT), to include theatre architects, who had already been in close cooperation with many OISTT members.

The founding countries of OISTAT were Canada, Czechoslovakia, the Federal Republic of Germany, the German Democratic Republic, Hungary, Israel, and the United States. International Theatre Institute (ITI) was an important supporter of OISTAT.

With the collapse of the Iron Curtain in the early 1990s, OISTAT’s membership expanded with new members from Latin America and Asia. OISTAT Secretariat relocated to Taipei, Taiwan in 2006. Five years later, OISTAT Secretariat became OISTAT Headquarters to better accommodate the organization’s continuous growth.

Continuing OISTAT’s mission into the first two decades of the twenty-first century, OISTAT serves as a global platform facilitating international collaborations on events and programmes, celebrating works from different regions around the world, and strengthening professional networks for performance designers, theatre architects, theatre educators, stage technicians, and performance researchers.stage technicians, and performance researchers.

The Forming of OISTAT Commissions

During the first OISTT international Congress in 1968, four commissions were established: Theatre Technology Commission, Theatre Architecture Commission, Scenography Commission (later changed to Performance Design Commission), and the Publication and Information Exchange Commission (later changed to Publication and Communication Commission.) In order to exchange ideas and knowledge between universities and promote collaborative international research, Education Commission and Research Commission were established in 1971 and 1976. Currently, OISTAT has six commissions to undertake the essential activities of the organization:

Architecture

Education

Performance Design

Publication & Communication

Research

Technology

  • Taille : 21cm x 30cm
  • Contents.
  • pg5 Préface.
  • pg6 Introduction.
  • pg6 Competition theme, the Brief.
  • pg8 Competition Rules and Regulations.
  • pg10 Jury Procedure and Comments.
  • pg11 Prize Winners.
  • pg14 First Equal Prizes.
  • pg26 Second Equal Prizes.
  • pg38 Third Equal Prizes.
  • pg44 Honorary Mentions.
  • pg58 Recommended for Publication.
  • pg80 Colophon.
ENSATT-L'école théâtre
2011
Solitaires Intempestifs
ENSATT-L'école théâtre
Auteur : Thierry Pariente, Véronique Bisciglia

ISBN : 9782846813211

Un jour de 1941, l'acteur Raymond Rognoni ouvre le Centre de Formation Professionnelle du Spectacle à Paris, devenu célèbre sous le nom de « La rue Blanche ». C'est ce Centre qui, pas à pas, va devenir l'ENSATT, aujourd'hui installée à Lyon.

Ecole Théâtre qui prépare de futurs professionnels à travailler sur les scènes ou dans leur proximité, l'ENSATT est un chaînon original entre le monde universitaire et celui de la culture. Un lieu où s'élabore une recherche en actes conduisant à l'acquisition de savoirs aussi bien théoriques que pratiques et à l'obtention de diplômes reconnus.

L'ENSATT fête ses 70 ans en 2011, l'année même où elle ouvre une seconde salle de théâtre qui vient compléter un outil riche d'ateliers, de studios, de laboratoires ou de salles pour l'écriture, la mise en scène, l'administration, le jeu, la scénographie, les costumes, la lumière, le son, la direction technique ou les spectacles.

Ce livre, né de l'écriture collective de professionnels issus, de tous les métiers de la scène, est une étape en vue de la constitution d'un réseau d'anciens élèves - d'Isabelle Huppert à Denis Lavant, de Jérôme. Deschamps à Kristin Scott Thomas, de Jean-Pierre Darroussin à Cécile de France, de Dominique Besnehard à Guy-Claude François, d'Eric Vigner à Olivier Py, de Georgia Scalliet à tous ceux à venir - qui, année après année, sont le témoignage vivant de la vitalité sans cesse renouvelée d'une école en prise directe avec la création théâtrale.

  • Taille : 23,5cm x 21,5cm
  • Sommaire.
  • Ouverture.
  • Avant-propos par Valérie Pécresse. pg9
  • S’engager par Robin Renucci. pg11
  • (Re)commencer par Thierry Pariente. pg13
  • I. Ici / aujourd’hui.
  • Une maison, des théâtres.
  • Du btiment et de son origine par Yves Favier. pg19
  • L’ENSATT aujourd’hui. pg22
  • Dix Métiers.
  • De l’enseignement technique à l’enseignement supérieur par Antoniella Mendez. pg27
  • Une maison des compagnons et une école d’art par Jean-Claude Le Gué. pg27
  • Ecrivain dramatique. pg32
  • Metteur en scène. pg33
  • Administrateur. pg35
  • Acteurs. pg37
  • Scénographe. pg41
  • Costumier coupeur. pg44
  • Réalisateurs lumière .pg49
  • Réalisateurs son. pg52
  • Directeur technique. pg54-55
  • Des savoirs en partage.
  • Arts et humanité. pg57
  • La formation continue. pg58
  • La communication. pg59
  • La bibliothèque . pg60
  • Le théâtre sans frontières. pg62
  • Des Ateliers-Spectacles.
  • Un temps de recherche pour archéologues et aventuriers. pg63
  • II. Quelque part / Toujours.
  • Paroles d’écrivains.
  • Apprentis chaosmique. pg71
  • Histoire d’une terre qui accoucha d’une école d’art 20.000 caractères ou petite traversée de l’ENSATT 8.961 caractères. pg75
  • Les lieux de l’histoire. pg77
  • ENSATT ou les sept vies de Blanche. pg83
  • Black et Mortimer à l’ENSATT. pg87
  • Témoignages.
  • Nous avions l’impression d’être sous l’ancien régime. pg91
  • De la révolution dans la régie la reconnaissance de l’administration. pg93-96
  • Un métier de troupes. pg97
  • Une année « blanche ». pg99
  • III. Ailleurs / Hier.
  • 1941 - 1944.
  • Raymond Rognoni, chronologie en trois temps. pg1091941, jeunesse !. pg119
  • Témoignage. pg125-127-129-1311944 - 1970.
  • De la rue Flachat à la rue Blanche. pg133
  • Egletons, l’école hors champ. pg139
  • En 68, la rue blanche vire au rouge. pg141
  • 1970 - 1991.
  • Des crises, des réformes et un nouveau théâtre. pg145
  • 1991 - 1997.
  • Une invitation au voyage. pg147
  • Depuis 1997.
  • Les étudiants de l’ENSATT. pg155
  • IV. Annexe.
  • L’ENSATT en chiffres.
  • Chiffres clés. pg163
  • 70 ans : six directions. pg163
  • Plan. pg164
  • Fiches techniques. pg166
  • L’ENSATT en lettres.Liste de spectacles montés à l’ENSATT entre 1956 et 1987. pg167
  • Liste des ateliers-spectacles depuis 1995. pg170
  • Mémoire de fin d’études à partir de 2001. pg172
  • L’ENSATT en images.
  • Ils ont été élèves à l’ENSATT. pg176
  • Avant 1997. pg180
  • Après 1937. pg190
  • Iconographie.pg202
  • Index. pg204
Arles antique: Monuments sites-Guides archéologiques
1989
Ministère de la culture
Arles antique: Monuments sites-Guides archéologiques
Auteur : Jean-Maurice Rouquette

ISBN : 2110810327

  • Taille : 21,5cm x 15cm
  • Sommaire.
  • Le site est l’histoire de la ville. pg11
  • Le site.
  • Les origines : l’habitat pré romain.
  • La fondation de la colonie.
  • Le premier plan d’urbanisme.
  • Le deuxième plan d’urbanisme.
  • L’Antiquité tardive.
  • La prime ainsi des gaules.
  • Le déclin.
  • L’histoire des découvertes archéologiques. pg27
  • Collections privées et musées publics.
  • Les premiers grands travaux.
  • Le début des fouilles scientifiques et l’action de Fernand Benoît.
  • Les découvertes récentes.
  • Les monuments et sites visibles. pg37
  • Les monuments d’époque auguste géhenne.
  • Les monuments d’époque la Vienne.
  • Les spectacles à l’époque romaine.
  • Les autres sites et monuments.
  • Les sites non visibles. pg87
  • Les monuments médiévaux. pg95
  • Glossaire. pg100
  • Bibliographie. pg102
  • Renseignements utiles. pg104
Lumières, je pense à vous
1985
Ed. Hermé
Lumières, je pense à vous
Auteur : Collectif

ISBN : 2866650107

Un livre, concours, une exposition.

Un ensemble de textes originaux, rédigés par des écrivains, des historiens, des philosophes, Jacques des lueurs nouvelles sur ces objets pleins de charme et de mystère : les lampes, et constitue une première histoire raisonnée de la lampe d’intérieur XXe siècle depuis l’apparition de l’électricité jusqu’en 1985.

  • Taille : 24cm x 20cm
  • Sommaire.
  • Préface par Jack Lang. pg11
  • Avant-propos :Claude Mollard. pg13
  • Anne-Marie Boutin. pg15
  • François Burkhardt. pg17
  • Introduction.L’exposition comme ouvre par Jean François Grunfeld. pg20
  • Histoire.
  • - Histoire de voir par Alain Beltran, Patrice A. Carré. pg30
  • - Lumière, luminaires… par Henri Raymond. pg40
  • - Ainsi que de lampes à lumière électrique que par Daniele Baroni . pg45
  • - Propos sur l’abat-jour :Albrecht Bangert. pg51Ingo Maurer. pg54
  • - Deux inventeurs :Gino Sarfatti, artisan. pg57
  • - Ingo Morer. pg62
  • - Du côté de chez Horta :Lumière et art nouveau par Françoise Dierkens-Aubry. pg64
  • - Lumière et architecture par Jean Deroche. pg67
  • - Le néon infini des cafés :photos Bruno Stevens. pg74
  • Images :
  • - La lumière dans l’art moderne par Bernard Lamarche-Vadel p.g80
  • - Lumière, vieille compagne … par Raymond Depardon. pg84
  • - Lumière mémoire par Jean-Marc Tingaud. pg89
  • - Lumières et cinéma par Henri Alekan. pg90
  • Mots :
  • - Lumière, écriture par Michèle Perrein. pg100
  • - Lumière et lueur par Raymond Abellio. pg103
  • - Lettres lumineuses par Anne-Marie Koenig, Jean-Louis Hue. pg104
  • Le concourspour la création de nouvelles lampes de bureau par Jean-François Grunfeld, commissaire général. pg109
  • L’exposition.Inventaire des objets présentés dans l’exposition par Marie-Laure Jousset, commissaire général. pg119
  • Index. pg177
Théâtre russe contemporain
1931
Ed. Albert Lévy
Théâtre russe contemporain
Auteur : Nina Gourfinkel

https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb321851944

ark:/12148/bpt6k3381311n

Ceci n'est pas un panorama du théâtre russe contemporain. J'ai essayé de mettre en lumière la nouveauté des principes d'art, les idées motrices du mouvement théâtral russe et la lutte des groupements artistiques.

C'est donc à dessein qu'ont été laissés de côté tels théâtres « arrivés », haut cotés, trop généralement respectés ; mais d'autres, de pauvre réputation ou d'existence éphémère, ont retenu notre attention. Pour un observateur superficiel, ces efforts, ces outrances, ces faillites ne sont que des bulles d'air; peut-être, mais qui témoignent d'un ardent bouillonnement intérieur.

Je suis heureuse, au début de cet ouvrage, d'écrire le nom de M. Léon Chancerel. Sans ses encouragements amicaux, sans son aide sûre et avisée, ces pages n'eussent pu voir le jour.

Avec gratitude je pense à mon maître, M. Boris Warnecké, professeur à l'Université d'Odessa, éminent historien du théâtre russe, dont j'ai mis à profit les leçons et les œuvres ; à M. Serge Mokoulski, professeur à l'Institut d'État pour l'histoire des Arts à Leningrad, qui a bien voulu m'accorder l'appui de son érudition bibliographique. J'ai largement puisé dans le trésor de la collection de M. Rondel à l'Arsenal et de la Bibliothèque Russe Tourguéniev ; M. I. Akivisson a aimablement mis à ma disposition sa belle bibliothèque théâtrale.

Et que mes chers amis qui, de loin, avec tant de généreuse sollicitude, ont secondé mon effort, retrouvent ici ma pensée fraternelle.

Nina Gourfinkel

Décembre 1929.

  • Taille : 25cm x 16,5cm
  • Table des matières
  • Sommaire - le théâtre professionnel. pg9
  • I - les traditions du théâtre russe. pg9
  • II - les recherches esthétiques et la révolution. pg10
  • III - la théâtralisation de la Russie. pg10
  • IV - le style monumental. les fêtes de la révolution. pg11
  • V - les petites formes. les clubs ouvriers. pg12
  • VI - l’éducation par le théâtre. pg12
  • VII - les fondements du nouveau théâtre russe. pg13
  • Le théâtre professionnel pg15
  • I - les traditions du théâtre russe. pg15
  • II - les recherches esthétiques et la révolution. pg62
  • Le théâtre du peuple pg97
  • I - la théâtralisation de la Russie. pg97
  • II - le style monumental. les fêtes de la révolution. pg122
  • III - les petites formes scéniques. les clubs ouvriers. pg146
  • IV - l’éducation par le théâtre. pg175
  • V - les fondements du nouveau théâtre russe. pg195
  • Appendice1. — Décret de la nationalisation des théâtres pg2132.
  • — Rapport de M. Kergentsev sur les fêtes du peuple au premier congrès du théâtre ouvrier et paysan, en novembre 1919. pg2173.
  • — Plan d’études et de production artistique du théâtre moscovite de la jeunesse ouvrière (tram) pour les trois ans d’enseignement pg219
  • I. — Règles fondamentales des trams. pg219
  • II. — Plan d’enseignement. pg219
  • III. — programmes des matières. pg220
  • IV. — travail de production pg222
  • V. — Enquête pour connaitre le spectateur pg224
  • 5. — Lettre de Stanislavski pg226
  • 6. — Lettre de six représentants de la jeunesse du théâtre artistique pg228
  • Bibliographie - Le théâtre professionnel. pg230
Artaud et le th. 1920-1935, 15 ans de bonheur
1997
CRDP Midi-Pyrénées
Artaud et le th. 1920-1935, 15 ans de bonheur
Auteur : Mireille Larrouy

ISBN : 2865651843

Préface.

Un livre de plus sur Artaud et le thétre ! En effet. Et pourtant l’entreprise est originale car elle est sans prétention. L’auteur se propose tout simplement de faire descendre Artaud du piédestal où l’on hissait - hors de portée du vulgaire - de savants exégètes. Pourquoi ? Pour transmettre au plus grand nombre. Pour simplifier. Mais simplification n’est pas simplisme, ni caricature.

Par touches successives, en un itinéraire qui respecte la chronologie des événements et fait une large place à des textes importants, MireilleLarrouy tente de comprendre - et de nous faire comprendre - quel théâtre Artaud rêvait. Elle nous guide avec clairvoyance dans les 15 années de sa vie d’homme car tout a consacré surtout au théâtre. Ces quinze années, enfin dévoilées éclaircies au quotidien, permettent de mieux comprendre la suite, c’est-à-dire les écrits théoriques.

De cette période - 1920-1935 -, la postérité a préféré retenir les interventions au cinéma, que la pellicule a immortalisées. Il est vrai que les gens de théâtre travail dans l’éphémère. C’est pourquoi ce mari était courageux mais nécessaire. C’est un pari gagné.

Jack Lang.

  • Taille : 20cm x 13,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • I. Les années d’apprentissage : 1920-26.
  • - « Ça a l’air vrai ».pg9
  • - « Il en est qui vont au théâtre ». pg11
  • - « Sentir, vivre, penser … ». pg16
  • - « Je livre à l’idiote critique … » . pg18
  • Texte 1 (« au commencement … »). pg21
  • II. Le théâtre Alfred-Jarry : 926-30.
  • - Le Premier Manifeste de la genèse du Théâtre Alfred-Jarry. pg31
  • Texte 2 (« quoi de plus abjecte … »). pg31
  • Texte 3 (« si nous faisions théâtre … »). pg34
  • - « Nous concevons le théâtre … » : 1er spectacle. pg36
  • - « Si le texte ne sert pas … » : le 2e spectacle. pg39
  • - «  Ce drame fut monté … » : le 3e spectacle. pg44
  • - «  Un thème, un moyen, un but » le 4e spectacle. pg52
  • Texte 4. (« Madame … »). pg56
  • Texte 5 («  Ce rôle infect … »). pg59
  • III. Les années d’écriture : 1930-35.
  • - «  Le théâtre se passe ... ». pg61
  • Texte 6. ( «  M’est suggéré …  ). pg65
  • Texte 7. ( «  Les théâtres, cinéma … »). pg66
  • «  La vie, la plus gigantesque des tragédies ». pg69
  • Texte 8. ( Fin des Cenci …). pg74
  • «  La vie est une cruauté … ». pg77
  • IV. Un héritage « éclaté ».- Antigone, par le Living Theatre. pg86
  • - Paradise now, par le Linving Threatre. pg87
  • - Le Cimetière de voitures, Arrabal-Garcia. pg88
  • -Marat-Sade, par Peter Brook. pg89
  • - Les Paravents, Genet-Blin. pg90
  • - Tartuffe, par Ariane Mnouchkine. pg92
  • - Kafka-théâtre complet, par André Engel. pg94
  • - Ouverture du Xe Festival de théâtre de rue d’Aurillac, 1996. pg96
  • - «  Je suis Antonin Artaud ». pg98
  • V. Annexes.- Quelques éléments biographiques. pg100
  • - Pistes d’exploration pédagogique. pg103
  • - Interventions d’Artaud au théâtre (1921-1935). pg109
  • - Filmographie d’Artaud (1921-1935). pg112
  • Bibliographie. pg115
Les automates des Jaquet-Droz
2000
Ville de Neuchâtel
Les automates des Jaquet-Droz
Auteur : Alfred Chapuis, Edmond Droz

Avant-propos.

Le 1er mai 1909, la Société d’histoire et d’archéologie du canton de Neuchâtel remettait en don à la ville de Neuchtel trois automates dus au génie et à la patience de Pierre Jaquet-Droz, horloger mécanicien à la Chaux-de-Fonds, d’Henri Louis Jaquet-Droz, son fils, et de quelques collaborateurs.

Ces automates représentent un écrivain, un dessinateur et une musicienne.

Déposer dès ce moment au Musée d’histoire de Neuchâtel, ces pièces de mécanique font preuve, chaque mois, devant un public de tout ge, de leur talents particuliers. Malgré l’usure provoquée par un fonctionnement prolongé pendant plus de deux siècles, malgré la négligence dont ils eurent à souffrir parfois durant leurs voyages et leurs séjours en terres étrangères, ces automates sont encore capables d’exécuter leurs tches comme au premier jour. Il faut reconnaître qualité et le retour au pays natal, ils ont été l’objet de soins attentifs et continuels de la part de mécaniciens spécialement qualifiés et dévoués.

Les automates auxquels lesJaquet-Droz ont été conçues et construits avec un souci de perfection rare. Rien n’a été négligé pour que chaque pièce du mécanisme, terminé avec soin, remplisse son rôle dans l’ensemble et que le résultat cherché soit tenu à la satisfaction de leurs créateurs. Le public qui assiste aux séances organisées par le Musée d’histoire c’est qu’il a sous les yeux des engins compliqués, mais ils ne se doutent pas combien leur comportement est délicat. L’écrivain, en particulier, ne supporte pas, ou du moins supporte mal, les brusques changements de température. Que celle-ci s’élève au sa baisse de quelques degrés et le voici de mauvaise humeur. Il commet des fautes d’orthographe, il oublie d’écrire une lettre, de respecter les espaces. Mais le mécanicien averti le surveille du coin de l’oil, et sans tarder le remet sur le droit chemin.

Le public assiste au travail qu’exécute le dessinateur ou l’écrivain, il entend la musicienne jouée, il s’émerveille de sa gracieuse révérence, mais il souhaite souvent acquérir un texte explicatif, complétant les renseignements donnés par les mécaniciens au cours des séances mensuelles et permettent de conserver le souvenir des automates. Feu Monsieur Alfred Chapuis, l’historien bien connu de l’horlogerie, à rédiger les quelques pages qui suivent, dans lesquelles il ne parle pas seulement des Jaquet-Droz et de leurs ouvres, mais également des automates en général et de mécanismes qui en dérivent : la boîte à musique et les oiseaux chantants.

Monsieur Chapuis a estimé, avec raison que son exposé à caractère historique ne donnerait pas satisfaction à chacun. Dans un pays comme le nôtre ou les horloges et les mécaniciens sont nombreux, il est indispensable, lorsque l’on parle d’automates, de donner une description, même sommaire, de leur structure interne, c’est-à-dire de leurs mécanismes. Monsieur Edmond Droz, ancien professeur à l’Ecole de mécanique de Neuchâtel, l’un des mécaniciens auquel le Musée d’histoire à confier l’entretien des trois androïdes, a bien voulu écrire pour chacun de ceux-ci une description technique succincte, que les spécialistes apprécieront certainement.

Léon Montandon.

  • Taille : 20cm x 13,5cm
  • Avant-propos. pg3
  • Des automates en général. pg5
  • Les androïdes et leurs auteurs. pg6
  • Les automates du Musée de Neuchâtel. pg11
  • Autres automates des Jaquet-Droz. pg25
  • Boîtes à musique. pg27
  • Oiseaux chantants mécaniques. pg28
Trois siècles d'Opéra à Lyon
1982
Bibliothèque Municipale de Lyon
Trois siècles d'Opéra à Lyon
Auteur : Gérard Corneloup

ISBN : 2900297001

L’exposition « Trois siècles d’Opéra à Lyon » a pour premier mérite de retracer la place qu’occupe depuis toujours l’Opéra dans notre ville.

Illustré à la fois par l’évocation de l’architecture, du chant et de quelques grands noms de la musique, cette rétrospective montre combien l’éclat actuel de l’Opéra de Lyon trouve ses racines dans un passé prestigieux et poursuit une longue tradition : plus d’ailleurs, l’histoire et la vie de notre cité sont inséparables de grandes réalisations culturelles.

En second lieu, cette exposition contribue à faire connaître la richesse et la variété du patrimoine lyonnais. Pour réaliser cette manifestation, les organisateurs ont choisi des partitions est délivré dans le remarquable fonds ancien de la Bibliothèque de la Ville qui se sont assurés le concours des Archives municipales et départementales ainsi que celui d’associations de collections privées.

Aussi, l’exposition « trois siècles d’opéra à Lyon » est-elle une tentative originale et réussie d’illustration d’un art par définition éphémère, grce à des documents évocateurs d’une grande valeur historique.

Francisque Collomb,

Maire de Lyon, Sénateur du Rhône.

  • Taille : 21cm x 23cm
  • Table.
  • Avant-propos. pg6
  • De l’Académie Royale de Musique à l’Opéra-Nouveau. pg9
  • Les directeurs de l’Opéra de Lyon. pg20
  • Trois siècles de créations à Lyon. pg23
  • Les emplacements successifs de l’Opéra de Lyon. pg26
  • L’Académie Royale de Musique en quête de gîte. pg29
  • Les beaux jours du Théâtre Soufflot. pg49
  • D’une révolution à l’autre. pg75
  • La charnière de deux siècles. pg151
  • Regards sur un demi-siècle. pg177
  • L’Opéra-Nouveau. pg195
  • Documents originaux. pg208
  • Aperçus bibliographiques. pg212
Les Hommes de l'ombre-20 ans avec eux derrière les rideaux
2018
Labelpages
Les Hommes de l'ombre-20 ans avec eux derrière les rideaux
Auteur : Claire Allard

ISBN : 9782960214802

Le projet

20 ans derrière les rideaux

20 ans que j'ai commencé ce reportage sur les techniciens de spectacle... 20 ans que je suis ces hommes, que je passe comme eux d'un chantier à un autre... 20 ans que j'observe et que je capte la lumière sur leurs visages, que j'épie leurs moindres gestes, 20 ans derrière les rideaux avec eux...

J'en connais certains depuis le début de ce projet, d'autres sont récemment entrés dans ma vie de photographe.... Chacun d'entre eux a eu le même regard méfiant à mon égard durant les premières heures, voire durant plusieurs jours... Il a fallu user de toute ma patience pour me faire admettre parmi eux. Particulièrement il y a 20 ans où les femmes n'y avaient pas encore leur place et n'y étaient encore que rarement présentes.

En 20 ans traversés avec eux, j'ai pu constater des changements, une évolution... Je ne parlerais pas vraiment d'un avant ou d'un après...Mais peut-être plus simplement d'une adaptation des mentalités aux exigences du monde moderne. D'où très certainement de la présence plus importante de femmes dans ce métier.

Je n'ai pas connu l'époque dite bénie des années 60-70, où graviter dans ce milieu était essentiellement et pour beaucoup, de la débauche en tout genres. Je n'ai pratiquement connu que des chantiers où sérieux et professionalisme étaient au rendez-vous.

Ce n'est pas un métier sans risque, loin de là. Ils se doivent d'être vigilants à chaque instant, mais en ne laissant paraitre que du détachement, comme si tout était facile. C'est un code de conduite d'une certaine manière, un peu macho aussi en quelque sorte : "Vois comme j'accomplis ces tâches difficiles avec facilité!"

Ces dernières années, dans certains pays, la sécurité s'est consirablement renforcée : port du casque obligatoire, chaussures de sécurité, baudrier (ou harnais de sécurité anti-chute) pour ceux qui grimpent dans les ponts. (Les ponts sont les structures portantes sur lesquels viennent s'accrocher les lumières et le son)

Les techniciens de spectacle ne sont pas des travailleurs comme les autres. Ils ne comptent pas leurs heures. Ils commencent très tôt et finissent très tard. Ils enchaînent bien souvent 18 heures d'affilée et ne dorment parfois que quelques heures avant le montage du spectacle suivant. (Sauf dans certains pays comme les Etats-Unis ou la Hollande entre autres, où la réglementation est bien plus structurée et stricte à ce sujet ) Ils ne sont pratiquement jamais libres les week-ends, et rarement en soirée. La plupart du temps, leurs familles, leurs amis ne comprennent pas ce qu'ils font. Du fait de leurs horaires, ils mènent, pour la plupart, une vie de famille compliquée. Et en comparaison aux heures prestées, on peut dire que le salaire n'est pas élevé : ils ne roulent pas sur l'or.

Mais ils ont une chose en commun : leur façon de penser, de voir, de vivre leur vie professionnelle. Ils me l'ont tous répété : "Tu fais ce métier parce que, malgré la pénibilité de la tâche, tu y prends du plaisir et tu te sens libre.". A ma question "Pourquoi faites-vous ce métier?", les réponses sont presque toujours les mêmes, il s'agit de l'amour de la musique, l'ambiance de travail, la liberté et les nombreuses rencontres liées aux déplacements. Certains m'ont dit : "Le jour où je ne m'amuserai plus, j'arrêterai!" Et effectivement, ceux qui ne s'amusent pas ne restent pas très longtemps.

Quant à moi, je me suis beaucoup amusée à les écouter raconter leurs différentes tribulations d'un chantier à un autre. Car on peut être sûr d'une chose avec eux : ils ont tous une histoire à raconter. Et de préférence une histoire qu'ils auront exagérée au fil du temps qui passe. Je le sais parce qu'au bout de 20 ans passé avec eux, j'étais présente à quelques unes de leurs péripéties vécues avec eux : que ce soit une fête épique durant un day off ou un camion rempli de matériel dont on a besoin, embourbé quelque part, alors que l'évènement doit commencer dans une heure... Mais c'est ça aussi qui fait leur particularité : quoi qu'il se passe, le spectacle aura toujours lieu et même s'ils en voient les défauts, le public sera toujours comblé. Le dicton "Show must go on" n'est pas une légende. En 20 ans avec eux, je n'ai jamais vu un spectacle annulé à la dernière minute parce qu'ils n'avaient pas pu remplir leur contrat. Et de cet aspect-là, ils en retirent énormément de fierté.

Le public, quant à lui, est là pour le divertissement. Public qui ne verra pas leur travail, qui ne les verra pas. Eux, les techniciens du spectacle sans qui le dit spectacle n'aurait pas lieu.

La culture n'existerait pas sans les artistes. Mais la culture n'existerait pas non plus sans ces travailleurs de l'ombre qui mettent en place les desiderata des artistes. Ils sont le lien entre l'artiste qui veut partager son rêve et le public qui peut ainsi accéder aux siens.

Et parce que leur entourage, leur famille ne parviennent pas à comprendre ce qu'ils font, parce que le public ne se rend pas compte que souvent, deux minutes avant le show, ils sont toujours en train de finaliser quelque chose, que deux minutes après le spectacle, ils prépare déjà le jour suivant, parce qu'ils doivent se battre contre une administration qui ne comprend pas la réalité de leur vie, que j'ai eu envie de les mettre en image et en lumière. C'est aussi ça notre réalité culturelle et contemporaine.

Leur travail est un éternel recommencement, les mêmes gestes répétés à l'infini; pourtant chaque jour est différent, chaque lieu est nouveau, ce qui entraîne un lot de nouveaux visages à chaque montage de spectacle. Un technicien de spectacle, c'est un peu un Sisyphe moderne qui, tous les matins, porte une pierre différente...

Claire Allard

  • Taille : 21cm x 21cm
PQ of Performance Design and Space 2019
2019
Ars and Theatre Instit.
PQ of Performance Design and Space 2019
Auteur : Markétta Fantová, Brad Caleb Lee

ISBN : 9788070084212

PQ 2019 était vivant, monumental, progressif, artistiquement distinct, mais aussi éphémère. Pour les passionnés de la scénographie et de l'architecture théâtrale les plus modernes, il existe le catalogue PQ 2019, grâce auquel s'incarnent des centaines de présentations du monde entier.

Revivez 11 jours d'événements en direct, de performances, d'expositions et de conférences en parcourant le catalogue, dans lequel les textes des conservateurs sont complétés par une documentation photographique authentique spécifique au site, non seulement du palais industriel Art nouveau et du parc des expositions de Prague, mais également du DAMU et du musée historique, centre de Prague.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Introduction. pg8 à pf43
  • Opening Ceremony Speeches about PQ 2019.Artistic Concept.Central Hall. II. Imagination. pg44
  • Student Exhibition.Emergence Exhibition.Site Specific Performance Festival.PQ Studio.Festival.Workshops.Result Driven Workshops.Exploratory Workshops.Common Design Projects.PQ Youth and Family.III. Transformation. pg324
  • Exhition of Countries & Regions.Performance Space Exhibition.Formations.360°. Blue Hour, Light Spot, Sound Spot.PQ Talks.IV. Memory. pg576
  • FragmentsV. Awards. pg600
  • Awarded Projects.Best Publication Award.VI. PQ+ 2019. pg626
  • VII. About us. pg638
  • Team PQ 2019.Parteners.
Le levage et ses moyens
1998
I.R.M.A. Editions AS
Le levage et ses moyens
Auteur : Gérard Rocher

ISBN : 291201705X

Les mémentos du spectacle,

une collection Asdec.

L’information et la qualification des professionnels intervenants dans les champs de la création et de l’action culturelle suppose la meilleure diffusion possible des publications spécialisées les aidant à exercer leurs différentes activités.

Agissant déjà dans leurs disciplines respectives, plusieurs éditeurs dont les Editions AS (« Actualité de la Scénographie »),l’IRMA (« L’Officiel de la Musique », « Profession Artiste »), ont décidé de regrouper leurs moyens et leur savoir-faire pour des opérations transversales.

Ainsi est née l’idée de cette collection de fascicules pratique consacrés à des questions scéno-techniques, de réglementation de sécurité et de pratiques professionnelles, valable pour l’ensemble du secteur.

Ce cinquième numéro, consacré au levage et ses moyens, dresse un inventaire des machines de levage ainsi que leurs accessoires, tout en définissant les réglementations et les précautions d’emploi.

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Sommaire.
  • Avant-propos de collection. pg1
  • Introduction. pg6
  • I. Les poutres « aluminium ». pg8
  • I.1. Les charges réparties et ponctuelle. pg8
  • I.1.A. : Définitions. pg8
  • I.1.B. : Utilisation. pg8
  • I.2. La suspension des grils et poutres. pg9
  • I.3. L’accrochage et l’architecture. pg9
  • I.4. Grils et poutres srement de levage. pg10
  • I.5. La stabilité. pg11
  • I.1.5.A. La nature du sol. pg11
  • I.1.5.B. Les conditions climatiques. pg12
  • I.1.5.C. Les poussées de foule. pg12
  • I.6. La sécurité ERP. pg12
  • I.6.A. Les dégagements. pg12
  • I.6.B. Les moyens de fixation. pg12
  • II. Les accessoires de levage. pg13
  • II.1. Les manilles. pg14
  • II.1.A. Définition. pg14
  • II.1.B. Normalisation. pg14
  • II.1.C. Précautions d’emploi. pg14
  • II.1.D. Marquage. pg15
  • II.2. Les maillons rapides. pg15
  • II.2.A. Définition. pg15
  • II.2.B. Précautions d’emploi. pg16
  • II.2.C. Marquage. pg16
  • II.3. Détendeur - ridoirs. pg17
  • II.3.A. Définition. pg17
  • II.3.B. Normalisation. pg17
  • II.3.C. Précautions d’emploi. pg17
  • II.3.D. Marquage. pg17
  • II.4. Les crochets de levage. pg18
  • II.4.A. Définition. pg18
  • II.4.B. Normalisation. pg18
  • II.4.C. Précaut ions d’emploi. pg18
  • II.4.D. Marquage. pg19
  • II.5. Les coupleurs et les palefreniers. pg19
  • II.5.A. Définition. pg19
  • II.5.B. Normalisation. pg19
  • II.5.C. Précautions d’emploi. pg20
  • II.5.D. Marquage. pg20
  • II.6. Les élingues : pg20
  • II.6.A. Définition. pg20
  • II.6.B. Normalisation et réglementations. pg21
  • II.6.C. Précautions d’emploi. pg21
  • II.7. Les élingues textiles. pg21
  • II.7.A. Définition. pg21
  • II.7.B. Normalisation. pg23
  • II.7.C. Précautions d’emploi. pg23
  • II.8. Les élingues en câble acier. pg24
  • II.8.A. Définition . pg24
  • II.8.B. Normalisation et ré glementations. pg24
  • II.8.C. Précautions d’emploi. pg25
  • II.9. Les élingues en chaînes points pg28
  • II.9.A. définition. pg28
  • II.9.B. Normalisation. pg29
  • II.9.C. Précautions d’emploi. pg29
  • II.9.D. Marquage. pg30
  • III. Les machines de levage (les moyens). pg31
  • III.1. Les palans, les tirfors, les moufles. pg31
  • III.1.B. Les palans. pg31
  • III.1.C. Le tirfors. pg34
  • III.1.D. Pour lire et moufles. pg35
  • III.2. Les chariots élévateurs. pg37
  • III.2.A. Réglementation et normalisation. pg37
  • III.2.B. Autorisation de conduite est permis de conduire. pg37
  • III.2.C. Les vérifications. pg38
  • III.2.D. Résumé des consignes. pg38
  • III.2.E. Conseils d’utilisation. pg39
  • III.3. Les curieux. pg39
  • III.3.A. Définit ion. pg39
  • III.3.B. Normalisation. pg39
  • III.3.C. Réglementation. pg40
  • III.3.D. Précautions d’emploi. pg40
  • IV. Les annexes. pg42
  • Annexe loi. pg42
  • Annexe règlement. pg43
  • Annexes normes. pg46
  • V. La bibliographie. pg49
  • Bibliographie générale. pg49
  • Bibliographie particulière. pg52
Manuel éclairage muséographique
1999
OCIM
Manuel éclairage muséographique
Auteur : Jean-Jacques Ezrati

ISBN : 2110913983

Avertissement.

Ce manuel est rédigé, aussi bien, l’attention des conservateurs des restaurateurs du Patrimoine, que des muséographe, scénographe, régisseur et techniciens éclairagistes. Chacun pourra y puiser les éléments qui les recherchent suivant les besoins du moment. Il se compose de trois parties suivantes :

- la première partie traitant de la photométrie et des sources en constituent néanmoins la base commune pour tous ;

- la seconde partie consacrée à la colorimétrie trouvera sa pertinence auprès des restaurateurs, ingénieur et régisseur lumière ;

- la troisième partie sur la technique de l’éclairage muséographique intéressera plus particulièrement les conservateurs, architecte et techniciens muséographes.

  • Taille : 30cm x 21.5cm
  • Sommaire.
  • Avertissement. pg5
  • I.Théorie et technologie lumière.
  • Vision des couleurs. pg7
  • 1. La lumière incidente.
  • 2. La surface objet.
  • 3. L’organe récepteur.
  • Nature de la lumière. pg8
  • 1. Les ondes électromagnétiques.
  • 2.Influence des ondes électromagnétiques sur la matière.
  • Base de photométrie. pg10
  • 1. Grandeurs et unités énergétiques.
  • 2. Sensibilité de l’oil humain.
  • 3.Grandeurs et unités visuelles.
  • 4. Calcul de l’éclairement.
  • 5. Niveaux d’éclairements recommandés.
  • 6. Mesures.
  • Eléments de physiologie de la vision. pg14
  • 1. Le récepteur visuel.
  • 2. Les mécanismes de la vision des couleurs.
  • 3. Les anomalies de la vision des couleurs.
  • 4. Les conditions d’observation.
  • Sources de lumière. pg18
  • 1. Lumière naturelle.
  • 2. Lumière artificielle.
  • II.Bases de colorimétrie.
  • La colorimétrie visuelle. pg33
  • 1. Principe.
  • 2.Procédure de mesure.
  • La colorimétrie instrumentale. pg34
  • 1. Appareils de mesure.
  • 2. Eléments de colorimétrie.
  • 3. Calculs.III.
  • Théorie et pratique de l’éclairage muséographique.Scénographie, muséographie et expographie. pg41
  • Rappel des éléments de détérioration. pg43
  • 1. La nature des collections.
  • 2. La composition spectrale des sources.
  • 3. L’exposition lumineuse.
  • Moyens de protection. pg46
  • 1. En lumière du jour.
  • 2. En lumière artificielle.
  • 3. Un exemple vécu.
  • Pratique de l’éclairage muséographique. pg52
  • 1. De la lumière à l’éclairage.
  • 2. Les appareils d’éclairage.
  • 3. Du concept à la réalisation.
  • 4. L’éclairage général.
  • 5. L’éclairage d’accentuation.
  • 6. Le cas particulier des vitrines.
  • Bibliographie. pg63
  • Index .pg65
L'Architecture au temps du baroque 1600-1750
2008
Flammarion
L'Architecture au temps du baroque 1600-1750
Auteur : Frédérique Lemerle, Yves Pauwels

ISBN : 208011588X

La Renaissance a invent de nouvelles formules et un nouveau langage architectural. La priode dite " baroque " reprend et amplifie ces formes avec une rhtorique spectaculaire propre magnifier la force retrouve d'une glise catholique revivifie par la Contre-Rforme, en mme temps que la nouvelle puissance des tats europens, la richesse de leurs lites et la gloire de leurs monarques. Rome et Naples, Paris et Versailles, Vienne, Prague et Dresde se couvrent d'glises somptueuses et de palais prestigieux, mais aussi de demeures prives de plus en plus belles et confortables. Frdrique Lemerle et Yves Pauwels analysent les formes de l'architecture des XVIIe et XVIIIe sicles ainsi que les conditions du dialogue permanent entre commanditaires et architectes qui en permit la ralisation. Les protagonistes en sont d'un ct les papes Borghse, Barberini ou Pamphili, Richelieu, Colbert et Louis XIV, les rois d'Espagne, les empereurs d'Autriche et les tsars de Russie, de l'autre les crateurs, Pierre de Cortone, Borromini, Bernin, Mansart, Le Vau, Gabriel et tous les artistes qui, entre " baroque " et classicisme ", donnrent l'art europen l'une de ses plus blouissantes parures.

  • Taille : 29,5cm x 22cm
  • Sommaire.
  • « Baroque ? » pg7
  • I. Les figures de l’efficacité. pg14
  • Nouvelles sensibilités urbaines, nouvelles villes. L’âge de l’urbanisme. pg16
  • L’apogée de l’architecture militaire. pg20
  • La circulation des idées et des formes. L’architecture de papier. pg29
  • II. La rhétorique architecturale italienne. pg42
  • Rome, le « grand atelier » du baroque. pg44
  • L’Italie baroque. pg82
  • III. L’architecture à la française. pg104
  • Les mutations du goût. pg106
  • L’apogée de la manière française. pg116
  • IV. Le monde hispanique. pg162
  • L’architecture en Espagne et au Portugal. pg164
  • Les colonies sud-américaines. pg182
  • V. Le baroque au nord et à l’est de l’Europe. pg188
  • L’architecture dans le monde germanique et en Europe de l’Est. pg190
  • L’europe du Nord. pg207
  • La fin de l’ère baroque. pg225
  • Bibliographie. pg231
  • Index des noms cités. pg237
Lumière instantanée
2004
Philippe Rey
Lumière instantanée
Auteur : Andreï Tarkovski, Giovanni Chiaramonte, Dominique Fernandez

ISBN : 284876015X

« La photographie à développement instantané accompagne André Tarkovski dans la dernière partie de son oeuvre : en Russie lorsqu’il mûrit la décision de quitter pour toujours sa patrie, et en Italie, lorsqu’il tourne avec Tonino Guerra Temps de Voyages et Nostalgihia, en cherchant un lieu où se construire une demeure rien que pour lui, une maison pouvant accueillir non seulement sa femme Larissa, en exil avec lui, mais aussi son fils Andreï et son chien Dak, resté douloureusement loin, otages du pouvoir soviétique.

Ces images en couleurs sont encore plus petites que celle en noir et blanc que renferme l’agenda des souvenirs ; mais c’est précisément de cette petite dimension, à la limite extrême de la visibilité, que jaillisse toute la force et la douceur de la lumière qui les a modelés à travers les yeux et le cour de l’auteur, en demandant l’humble geste de se rapprocher et de se pencher vers elle avec attention. »

Giovanni Chiaramonte

  • Taille : 21,5cm x 15,5cm
  • Sommaire.
  • Dominique Fernandez, La dérive du Nomade. pg6
  • Tonino Guerra, Tendres adieux. pg11
  • Andreï Tarkovski, Russie. pg15
  • Andreï Tarkovski, Italie. pg65
  • Giovanni Chiaramonte, L’image comme souvenir. pg121
  • Légendes. pg135
  • Sources. pg137
  • Biographies. pg138
Magasin th.- Choix pièces nouvelles jouées Théâtres Paris
1842
Marchand Ed.
Magasin th.- Choix pièces nouvelles jouées Théâtres Paris
Auteur : Collectif

Halifax, comédie mêlée de chant, en trois actes, avec un prologue, par Alexandre Dumas, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre des Variétés, le 2 décembre 1842.

  • Taille : 25cm x 16,5cm
  • Table du 33e volume.
  • Claudine, drame en trois actes, par MM. Ch. Desnoyers et Lubise.
  • Céline, comédie-vaudeville en deux actes, par M. Fournier.
  • Les Pilules du Diable, trois actes et 20 tableaux, par MM. F.
  • Laloue et Anicet Bourgeois.
  • Les Deux Brigadiers, vaudeville en deux actes, par M. Rosier.
  • Le Roi d’Yvetot, opéra-comique en trois actes, M parM. Brunswick et de Leuven.
  • L’Auberge de la Madone, drame en cinq actes, par MM. H. Hostein et Tavenet.
  • Les Ressources de Jonathas, comédie-vaudeville en un acte, par MM. Varin et d’Avrecourt.
  • Halifax, comédie en trois actes par Al. Dumas.Le Prince Eugène, trois actes et 14 tableaux, par MM. F. Laloue et Labrousse.
  • Le Baron de la Fleur, comédie en trois actes, en verre, par M. C. Doucet.
  • Une Vision du Tasse, monologue en verre, par M. Al. Vanauld.
  • La Main Droite et la Main Gauche, drame en cinq actes, par Léon Gozlan.
  • Madeleine, drame en cinq actes, par MM. Anicet Bougeois et Albert.
  • Mademoiselle de la Faille, drame en cinq actes, par MM. Anicet Bourgeois et G. Lemoine.
Meyerhold-World of Love
2004
A.A.Bahrushin State Teatre Museum
Meyerhold-World of Love
Auteur : N. F. Makerrova

Meyerhold - World of Love. Meyerhold is as great, as incomprehensible. The drama of Master’s destiny may be compared only to the drama of his Art. And in this respect, the only thing we should do is to repeat Nikolaï Gogol’s words and explain « Now, I can’t stand it any more … Give me another pen. My pen is languid, dead and to weak for this canvas ». This year marks the 130th anniversary from Vsevolod Meyerhold’s birth, the 130th anniversary from the birth of his wife and mother of his three daughters - O. M. Munt; the 110th anniversary from the birth of his second wife Zinaïda Nikolaïevna Raih (Reich) the « adored Ninotchka ») - the actress of State Meyerhold’s Theatre; the 80th anniversary from the birth of Meyerhold’s grand daughter - Maria Alekseevna Valency, the winner of State Premium of the Russian Federation, whose selflessness has allowed us not only to pronounce Meyerhold’s name, but also study his heritage, and visit the native house in Penza, to come to his flat at 12, Brusovsky lane in his memorial apartment-museum. Here, in « Master’s Space », a new exposition named « Meyerhold. World of Love », has been opened. Thee cards included in this section - are only a small part of exhibits among witch are sketches of scenery, models, suits created by prominent theatre artists for Meyerhold’s plays, rare books from his library, personal things and pieces of interior from the flat in Brusovsky, witch were saved by miracle, manuscripts and photos - many of them are unique and published for the first time. Today Meyerhold’s creative works are on programs of nights schools. His discoveries in many respects have determined the development of modern Theatre of the World. E. Vahtangov asserted prophetically « Meyerhold has laid down the roots for the theaters of the future. and the future will reward him ». At the same time, the everyday family life of « Frantic Master » always remained in shadow. We are not talking about lesser narrow-minded curiosity, about « unimaginable absurdity of the street » witch, as Boris Pasternak was used to say disgustedly, tried to touch Meyerhold and Raih. But the talk is about Love. Hight, passionate and pure. …

  • Taille : 21cm x 15cm
  • 32 cartes photographiques : portraits de Meyerhold, ses femmes, ses filles et quelques photographies de spectacles
Kantor en Rhône-Alpes
2006
Comédie de Valence
Kantor en Rhône-Alpes
Auteur : Tadeusz Kantor

Dire de Tadeusz Kantor qu’il est l’un des plus éminents artistes polonais de la deuxième moitié du XXe siècle, c’est bien peu de choses. Pour l’art polonais, Kantor signifie ce quiesignifie Joseph Beuys pour l’art allemand ou encore Andy Warhol pour l’art américain. Auteur d’une vision nouvelle, tout à fait indépendante du théâtre, participant actif des révolutions de la néo- avant-garde, théoricien de l’art peu commun, innovateur solidement enraciné dans la tradition, peintre anti-picturale, happener-hérétique, concepteur ironique : voilà quelques-uns des multiples visages de cet « artiste total ». Tadeuz Kantor fut en outre un animateur un inlassable de la vie artistique dans la Pologne de l’après-guerre, il en fut l’une des principales forces motrices. Ce ne sont pas exclusivement ses ouvres qui décident de sa grandeur, mais lui-même, considéré dans sa totalité, tel un Gesamtkunstwerk spécifique englobant son art, ses théories et sa vie.

Jaroslaw Suchan, commissaire de l’exposition Tadeuz Kantor - L’impossible

  • Taille : 24cm x 14cm
  • Dans le cadre de leur coopération bilatérale, la région Rhône-Alpes et la région Malopolska (Pologne) organisent un évènement autour de l'artiste Tadeusz Kantor. Les Célestins - Théâtre de Lyon, le Théâtre des Asphodèles, le Nouveau Théâtre du 8e à Lyon, La Comédie de Valence -CDN Drôme-Ardèche, le CRAC Scène Nationale de Valence et le CREARC à Grenoble en collaboration avec la Cricoteca de Cracovie proposent un itinéraire permettant la découverte (ou la redécouverte) de l'œuvre de Tadeusz Kantor autour de deux créations majeures : La Classe Morte et Wielopole, Wielopole
Un siècle de spectacles au Théâtre du Peuple (Bussang) : 1895-1995
1995
Casterman
Un siècle de spectacles au Théâtre du Peuple (Bussang) : 1895-1995
Auteur : P. Chan, A. Hauttecoeur, P. Pelot, P. Voltz

ISBN : 2203620013

Cent ans de vie ininterrompue, pour un théâtre dépourvu de l’avantage d’une situation en ville et d’un public potentiel important, sentant déjà d’utopie ! Voilà qui justifie qu’on en recherche l’explication, surtout lorsque cette utopie se prolonge. Le Théâtre du Peuple possède des caractères originaux très fort qui attirent des artistes capables de lui apporter leur vision dans un esprit de fidélité à son message initial. L’originalité et la permanence des caractères du Théâtre ont facilité son renouvellement ; aucune étape, aucuns virages n’affectèrent sa vocation.

Pierre Richard-Willm, Tibor Egervari, les directeurs artistiques de ces dernières années et tous les participants (comédiens, techniciens …) ont eu le même désir d’entrer dans un le jeu du Théâtre, avec respect, avec ferveur. Qui ne ressent « l’esprit de Bussang » ne peut s’y intégrer durablement. Cet esprit de Bussang est également partagé par le public, fidèle et partisans.

Jadis, l’oeuvre de Maurice Pottecher cimentait le rapport établi entre le public et la troupe ; malgré l’ouverture du répertoire à d’autres auteurs, le rapport à l’oeuvre originelle s’est maintenu. Le public, formé de toutes les catégories sociales - et qui mérite d’être appelé populaire - exprime des réactions sincères et libres de toute convention. Bussang peut être fier de conserver et d’élargir un tel public. Cette relation étroite avec son milieu et également nourri par la présence d’amateurs et de professionnels.

Pour la plupart des spectateurs, se rendre à Bussang suppose parfois un long trajet. Retrouver ce paysage forestier Montaigne constitue un dépaysement que renforcent des représentations données l’après-midi. La fête du spectacle, liée à son émotion, constitue un rite est un « pèlerinage ». Dans la conception de ce btiment en bois (à la fois grange et cathédrales !) Au mur de fond de scène ouvrant sur la colline boisée - et plus particulièrement dans le plan de la salle - règne l’esprit de la nature et du spectacle populaire, telles que l’exprimer des grandes références de Maurice Pottecher : théâtre antique, théâtre élisabéthain, théâtre wagnérien de Bayreuth.

Site, public, aura du souvenir, architecture … les éléments de l’originalité du Théâtre du Peuple sont d’ordre matériel et moral. C’est leur cohérence qui assure le secret de sa durée.

  • Taille : 26,5cm x 27cm
  • SommaireI.
  • I. Portrait de Maurice Pottecher par Pierre Chan pg11
  • II. Maurice Pottecher, Bussang et nous par Pierre Voltz pg29
  • III. La scénographie au Théâtre du Peuple par Anne Hauttecoeur pg63
  • IV. Un siècle de spectacles au Théâtre du Peuple (1895-1995) par Anne Hauttecoeur pg73
  • V. Où vont les hommes qui marchent sous l’écorce ? par Pierre Pelot pg187
  • Chronologie des spectacles (1885-1995) pg200
  • Index des lieux, des revues, des Théâtres et des personnalités pg202
  • Les auteurs pg204
  • Remerciements et crédits photographiques pg205
Les tombeaux de Josef Nadj
2006
Oeil d'or et Jean-Luc André d'Asciano
Les tombeaux de Josef Nadj
Auteur : Myriam Bloedé

ISBN : 2913661203

La création artistique de Josef Nadj s'organise autour d'un ensemble de motifs qui reviennent constamment et qui, pour la plupart, s'enracinent dans son enfance. Au jeu des questions, Josef Nadj répond par des histoires. Allégories ou métaphores ouvertes, suspendues. Ce texte de Myriam Blodé, accompagné de 75 photographies et dessins de Josef Nadj, restitue ici quelques-unes de ces histoires, évite la chronologie et l'analyse systématique des pièces pour faire apparaître la cohérence de l'ouvre scénique et plastique. Inviter à une traversée de son univers, en suivant le fil des motifs et surtout de ces figures qui le « hantent positivement ».

  • Taille : 21cm x 13,5cm
Josef Svoboda, scenographer
2008
Theatre Institute, Prague
Josef Svoboda, scenographer
Auteur : Helena. Albertová, Josef Svoboda

ISBN : 9788070082294

The monograph examines the scenographic work of the Czech stage designer and architect Josef Svoboda (1920–2002), from his first efforts as an amateur in his native town of Čáslav, to his final production in 2002. It endeavours to record his most important undertakings – his work at the Grand Opera of 5 May in Prague, overcoming socialist realism at the National Theatre in Prague, the golden years with Alfréd Radok and Otomar Krejča at the same theatre, the genesis, successes, and fate of Laterna Magika, entry onto the great world stage of opera and ballet, and work with prominent world directors in drama. In the case of Josef Svoboda, it is not enough just to name and describe the productions he worked on, as an integral part of his work and world fame were his discoveries in the field of new theatre technologies. Expanding his ‘scenographic alphabet’, as he himself described the arsenal techniques that modern theatre can use in stage design, became his lifelong obsession. Better knowledge of Svoboda – the architect – should be provided by a chapter on his unrealised projects for theatre buildings. An important and innovative part of this monograph is the complete list of his works accompanied, wherever possible, by a small informative picture on each entry.

  • Taille : 29cm x 23cm
  • Contents
  • From Author and Editor. pg5
  • Part I
  • Childhood and Student Dayys. pg9
  • The Birth of the Professional Designer. pg15
  • « Under the Flag of Socialist Realism ». pg29
  • On the Treshold of the Vhange. pg42
  • Part II
  • The Important Year of 1958. A Sunday in August, the Lanterna Magika and Polyecran. pg47
  • What the Lanterna Magika ans Polyecran Brought to the Theater. pg59
  • The Destiniy and Developement of the Lanterna Magika in Prague. pg81
  • Svoboda’s Style was Born in Prague on the Stage of National Theater. pg89
  • Part III
  • Opera and Ballet on the Great Stages of the World. pg137
  • Svoboda and Wagner. pg151
  • More Designs for Opera and Ballet in the Eighties and Nineties. pg169
  • PartIVSome New Inspirative Liasons. pg18
  • Epilogue.
  • The Magic Mirrord and Phantoms. pg211
  • Part V
  • Unfulfilled Dreams.
  • Unrealised Projects for Theatre Buildings. pg225
  • List of illustrations. pg234
  • Brief chronology of life work. pg243
  • Selected bibliography. pg259
  • List of works. pg265
  • Register of the namrs. pg322
Recueil fragments Comédies italiennes. Henry III
1928
Editions Duchartre
Recueil fragments Comédies italiennes. Henry III
Auteur : Agne Beijer

Agne Beijer - suivi de Compositions de rhétorique de Don Arlequin - présentées par P.L. Duchartre. Recueil de plusieurs fragments des premières comédies italiennes qui ont esté représentées en France sous le règne de Henry III: recueil dit de Fossard, conservé au Musée national de Stockholm. Editions Duchartre et Van Buggenhoudt. Paris. 1928. Couverture papier d'origine, en feuillets, non relié. Non coupé. 36 pp. de texte (les 2 dernières pages sont vierges) + 62 pp. de planches en noir et blanc, et 8 en couleurs; 42 x 29 cm.

  • Taille : 39cm x 28cm
  • `Avant-propos, par P.L. Duchartre. pg5Le recueuil Fossard. pg7Composition de réthorique de Mr Don Arlequin, P.L. Duchartre. pg27Recueil de plusieurs fragments des premières Comédies italiennes qui ont été représentées en France sous le règne de Henry III où l’on voit les différents Caractères qu’ils donnoient à leurs Acteurs, et les intrigues de leurs pièces meflées de bouffonneries, & de beaucoup de licences. pgICompositions de rhétorique de Mr Don Arlequin, Comicorum de civitatis Noualentis, Corrigidor de la bonna langua Francese & latina, Condutier de Comediens, Connesable de Messieurs les Badaux de Paris, & Capital ennemi de tut les laquais inventeurs desrobber chapitaux. pgXLV
La Décoration, guide des styles et des techniques
1991
Dessain et Tolra
La Décoration, guide des styles et des techniques
Auteur : K. McCloud, M. Crockett, G. Pierson

ISBN : 2249278326

Ce livre de techniques pour la décoration par excellence, créatif et nouveau, présente des centaines de décors originaux, de choix de couleurs et de variantes de styles. Chacun d’eux est spécialement construit,. Et présenté par l’auteur. Vous trouverez aussi des instructions détaillées, facile à suivre, sur le matériel, les matériaux et leur mise en oeuvre.

  • Taille : 29cm x 22,5cm
  • Sommaire.
  • Introduction. pg8
  • Principes de décoration.La recherche des idées. pg16
  • Couleurs d’époque. pg18
  • Diviser l’espace plural. pg20
  • Caractéristiques structurales. pg22
  • Utilisation du rythme. pg24
  • Style d’éclairage. pg26
  • clairage et atmosphère. pg28
  • Décorer toute la maison. pg30
  • Plaisir de la décoration. pg32
  • Répertoire des styles.Style méditerranéen. pg34
  • Chambre mauresque. pg36
  • Salle de bains antiques. pg40
  • Chambre baroque espagnole. pg44
  • Toilettes byzantines. pg48
  • Style classique urbain. pg52
  • Entrée néoclassique. pg54
  • Bureau empire. pg58
  • Salle de bains Biedermeier. pg62
  • Salon baroque anglais. pg66
  • Chambre parisienne. pg70
  • Salle à manger rococo. pg74
  • Living-room colonial américain. pg76
  • Salon régence. pg80
  • Styles rustiques. pg84
  • Escalier suédois. pg86
  • Cuisine française. pg90
  • Living-room Nouvelle-Angleterre . pg94
  • Salle à manger Santa fait . pg98
  • Cuisine de ferme. pg102
  • Salon Shaker. pg106
  • Cuisine Caraïbe. pg108
  • Styles médiévaux. pg112
  • Cuisine style primitif anglais. pg114
  • Bureau Néogothique. pg118
  • Chambre Médiévale. pg122
  • Salle de bains Gothiques. pg126
  • Styles Renaissance. pg130
  • Pièce de style Tudor. pg132
  • Entrée Florentine. pg136
  • Salle à manger Delft . pg140
  • Studio Vénitien.pg144
  • Styles Victoriens. pg148
  • Entrée du Collectionneur. pg150
  • Salon Ecossais. pg154
  • Salle de bains carrelés. pg158
  • Bureau du Globe-trotter. pg162
  • Balcons Australiens. pg166
  • Style 1900. pg17
  • 0Salle à manger Art Nouveau. pg172
  • Salon Art and Kraft. pg176
  • Entrée Macintosh. pg180
  • Jardin d’hiver italien. pg182
  • Année 1920 et suivantes. pg186
  • Chambre du Savoy. pg188
  • Living-room Oriental. pg192
  • Living-room Miami déco. pg196
  • Bureau Bahaus. pg200
  • Matériel - Produits et matériaux techniques.Introduction. pg204
  • Matériel.Bros se de décorateur. pg206
  • Brosse à tableau et pinceaux à remplir. pg208
  • Brosse à lisser et à vernir.pg210
  • Brosses spécialisées, peignes faux boit. pg212
  • Pochoirs. pg214
  • Grattoirs, cuillères et autres outils. pg216
  • Entretien des brosses. pg218
  • Produits et matériaux.Pigments et peintures artisanales. pg220
  • Types de peinture. pg222
  • Vernis et vernis gras. pg224
  • Solvants. pg226
  • Pâtes et poudres. pg228
  • La dorure. pg230
  • Les surfaces.Plâtre et Pierre. pg232
  • Décoration du plâtre. pg234
  • Bois naturel. pg236
  • Décoration du bois. pg238
  • Papiers et cartons. pg240
  • Finitions pour métal. pg242
  • Verre et plastique. pg244
  • Techniques.Effets décoratifs simples. pg246
  • Badigeon. pg248
  • Badigeon en trois couleurs. pg250
  • Badigeon sur bois. pg252
  • Badigeon à chaux brossé. pg254
  • Vernis adouci. pg256
  • Ve rnis décoratifs. pg258
  • Bois cérusé. pg260
  • Moucheté .pg262
  • Vieillir et patiner. pg264
  • Vieillir le bois peint. pg266
  • Craquelures. pg268
  • Patine. pg270
  • Plâtre patiné.pg272
  • Murs en plâtre vieilli. pg274
  • Imitations. pg276
  • Pietra serena. pg278
  • Grès. pg280
  • Cuiller. pg282Terre cuite, plâtre et plomb. pg284
  • Vert-de-gris. pg286
  • Fer et rouille. 288
  • Marbre de car et serpentins. pg290
  • Marbre jaune de Sienne. pg292
  • Marbres granitiques roses. pg294
  • Bois clair. pg296
  • Veinage à la brosse. pg298
  • Veinage au tampon faux boit. pg300
  • Dorures-feuilles d’or. pg302
  • Dorure poudre métallique. pg304
  • Or patiné. pg306
  • Vitrail. pg308
  • Motifs peints. pg310
  • Réalisation des pochoirs. pg312
  • Utilisation des pochoirs. pg314
  • Effet de pochoir. pg316
  • Utilisation des photocopies. pg318
  • Grisaille. pg320
  • Trompe-l’oeil.pg322
  • Référence du décorateur.Pigments et couleurs. pg324
  • Peintures, vernis et solvants. pg328
  • Recette. pg332
  • Conseils et suggestions. pg334
  • Glossaire. pg336
  • Index. pg344
  • Remerciements. pg352
Histoire & petites histoires grands théâtres verviétois
1999
Ed. du C. C. Ré. de Verviers
Histoire & petites histoires grands théâtres verviétois
Auteur : Marcel Dutilleux

Grand Théâtre de Verviers

  • Taille : 21cm x 14,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-pro pos. pg11
  • Prologue.
  • Les précurseurs. pg17
  • Acte un.
  • La bonbonnière . pg23
  • Acte deux.
  • Le « vrai » Grand Thétâre. pg45
  • Acte trois.
  • Une visite du Grand Théâtre. pg57
  • Acte quatre.
  • Structure et Statut. pg77
  • Acte cinq.
  • Les activités du Grand Théâtre . pg87
  • Epilogue. pg99
  • Bibliographie. pg105
Manuel de machinerie
2010
Actualité de la scénographie
Manuel de machinerie
Auteur : Jay O. Glerum, Clarisse Daull

ISBN : 2912017343

Outil indispensable à tout technicien de scène, ce manuel de machinerie permet approche pratique des différents systèmes de cintres, ainsi que la compréhension et le calcul des lois physiques et mécaniques s’y appliquant. La tr aduction française du remarquable travail deJay O. Glerum tirer qu’il réactualise approfondit sans cesse depuis 20 ans - prends garde de s’adapter étroitement aux réalités et aux normes européennes les plus récentes. En cela, voici enfin un ouvrage permettant de se familiariser, de progresser et de maîtriser la machinerie scénique, dans un total respect de la sécurité et des règles de l’art.

  • Taille : 26cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Note de l’éditeur. pg12
  • Préfaces. pg15
  • Partie I.
  • Les charges et les réactions. pg21
  • 1.01. Les 4 C. pg22
  • 1.02.. Connaître le système de machinerie. pg23
  • 1.03. Porter une charge. pg25
  • 1.04. Addition de force. pg35
  • 1.05. Analyse du nez lingue à deux brins, ou pattes d’oie. pg39
  • 1.06. Résistance des matériaux. pg50
  • Partie II.
  • Les palans en machinerie. pg65
  • 2.01. Introduction. pg66
  • 2.02. Anatomie d’un système à palan. pg67
  • 2.03. Distribution de la charge sur une poulie. pg69
  • 2.04. Multiplicateur mécanique. pg73
  • 2.05. Pour lire parallèle et perpendiculaire. pg83
  • 2.06. Inspection des palans. pg84
  • 2.07. Utilisation d’un système à palan. pg86
  • Partie III.
  • La machinerie « à l’italienne ». pg91
  • 3.01. Introduction. pg92
  • 3.02. Systèmes à fils . pg92
  • 3.03. Guindes. pg94
  • 3.04. Poulies. pg109
  • 3.05. Râtelier. pg116
  • 3.06. Lest. pg118
  • 3.07. Ligne Jack, ou valet. pg119
  • 3.09. Manipulation d’une machinerie « à l’italienne ». pg123
  • 3.010. Résumé pour l a manouvre. pg128
  • 3.11. Recommandations. pg129
  • 3.12. Résumé historique. pg130
  • Partie IV.
  • La machinerie « à l’allemande ».
  • équipe contrebalancée mécanique. pg133
  • 4.01. Introduction. pg134
  • 4.02. Système de contrepoids direct. pg135
  • 4.03. Système à contrepoids palanqué. pg136
  • 4.04. Matériels divers. pg137
  • 4.05. Câble d’acier. pg138
  • 4.06. Poulies. pg152
  • 4.07. lisse de commandes. pg155
  • 4.08. Tige de contrepoids. pg156
  • 4.09. Fils de commande. pg160
  • 4.10. Passerelle de charge. pg161
  • 4.11. Chargement et déchargement depuis une passerelle. pg164
  • 4.12. Chargement et déchargement sans passerelle. pg170
  • 4.13. Manouvres en cours de représentation. pg175
  • 4.14. Problèmes spécifiques aux équipes contrebalancées. pg178
  • 4.15. Résumé des opérations. pg181
  • PPartie V.
  • Les équipes motorisées. pg183
  • 5.01. Introduction. pg184
  • 5.02. Description des différents systèmes. pg186
  • 5.03. Moteurs. pg191
  • 5.04. léments d’un treuil électrique. pg194
  • 5.05. léments d’un treuil hydraulique. pg201
  • 5.06. Treuil manuel. pg202
  • 5.07. Ponctuels motorisés. pg204
  • 5.08. Manouvrer une équipe motorisée. pg210
  • 5.09. résumé des manouvres. pg213
  • 5.10. Résumé de l’inspection des sécurités. pg214
  • Partie VI.
  • La terminaison des cables.
  • L’attache des charges.
  • La résolution de problèmes. pg217
  • 6.01. Guindes en fibres. pg218
  • 6.02. Câble d’acier. pg221
  • 6.03. Terminaison. pg222
  • 6.04. Boulons. pg230
  • 6.05. Attaches des charges.pg231
  • 6.06. Problèmes particuliers p.g237
  • PPartie VII.
  • L’inspection de la machinerie. pg241
  • 7.01. Conserver les équipements en bon ordre de marche. pg242
  • 7.02. Fréquence de l’inspection. pg243
  • 7.03. Préparation. pg245
  • 7.04. Que vérifier ? pg247
  • 7.05. Marche à suivre. pg249
  • 7.06. Check-list d’inspection d’une machinerie « à l’italienne ». pg251
  • 7.07. Check-list d’inspection d’équipe contrebalancée . pg253
  • 7.08. Check-list inspection des moteurs. pg256
  • 7.09. Check liste d’inspection des rideaux pare-feu. pg257
  • 7.10. Check-list de l’installat ion. pg259
  • Partie VIII.
  • La formation. pg265
  • 8.01. Certi fication.pg266
  • 8.02. F ormation des seins triés.pg268
  • 8.03. Conna issance générale des utiles pour toute machinerie. pg269
  • 8.04. Conservez votre concentration. pg272
  • Bibliographie. pg275
Tea. a Reggio Emilia-I Dal Rinascimento alla Rivolu. Francese
1980
Sansoni Editore
Tea. a Reggio Emilia-I Dal Rinascimento alla Rivolu. Francese
Auteur : S. Romagnoli, E. Garbero

Théâtre de Reggio Emilia

  • Taille : 26,5cm x 19,5cm
N. Gogol Th. Le Revizor, Hyménée, Les Joueurs
1955
Ed. Denoël
N. Gogol Th. Le Revizor, Hyménée, Les Joueurs
Auteur : Nicolas Gogol, André Barsacq

Préface.

L’oeuvre de Nicolas Gogol occupe dans la littérature russe une place prépondérante. Véritable initiateur, cet écrivain de génie a su s’arracher aux conventions d’un romantisme décadent, pour trouver dans la description des hommes et des moeurs de son pays une source inépuisable d’un art réaliste et fécond.

Né le 20 mars 1809 à Sorotchinsk, petite bourgade de la province de Poltova, Nicolas Gogol passa son enfance dans la propriété de ses parents. Avec son grand parc et son étang, la maison familiale où régnait une vie calme et patriarcale, devait rappeler le décor désuet charmant décrit plus tard par Gogol dans cette délicieuse nouvelle : Un ménage d’autrefois.

Dès son enfance Nicolas Gogol s’est sentie attirer vers la scène. Ce got du thétre, il doit d’abord à la fréquentation des spectacles populaires ukrainiens, ensuite à l’influence de son père Vassili, homme de goût, passionné de thétre, auteur de comédies inspirées du folklore ukrainien, qu’il monte et interprète lui-même en petit russien, dans les thétres privés de ses amis.

Ces spectacles aussi certainement laissés une trace profonde dans l’esprit du jeune Gogol.

Au lycée de Niégine où ses parents le placent à l’ge de 11 ans comme interne, il participe avec ardeur à tous les spectacles scolaires et interprète avec succès les rôles de composition les vieillards du répertoire.

Doué d’un esprit vif et mordant, Google acquiert très vite, malgré son got de la solitude, un grand ascendant sur ses condisciples. lève assez médiocre, il consacre presque tout son temps à la lecture. Dès la troisième année de ses études, ses camarades le nomment bibliothécaire du lycée. Ce cotisant pour faire venir les dernières nouveautés, les jeunes gens font ainsi connaissance avec les auteurs contemporains : Joukovsky, Batiouchkov, Pouchkine surtout dont le célèbre roman envers Eugène Oneguine vient de paraître.

Sous l’influence de ces lectures, Gogol écrit ses pr emiers essais poétiques et participe à l’élaboration de la revue manuscrite Le Météore de la lLttérature que font paraître les élèves du lycée.

Mais ces exercices littéraires ne content guère à ses yeux, l’ambition de Gogol adolescent est plus vaste, il veut servir son pays, trouver un emploi où il pourrait être utile à l’humanité. La vie étouffante de la province commence à lui peser, il rêve de la capitale, la carrière brillante qu’il attend là-bas. Aussi, après la mort de son père, il refuse de suivre les conseils de sa mère, qui voudrait le voir s’installer dans leur propriété de Vassilievka. Et un terminé ses études au lycée en 1828, après un court séjour auprès de sa mère, il part pour Saint-Pétersbourg, impatient de réaliser cses projets d’avenir.

André Barsacq

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table.
  • Le Révizor. pg29
  • Hyménée. pg153
  • Les Joueurs. pg231
Les Robots arrivent
1978
Chêne
Les Robots arrivent
Auteur : Jasia Reichardt, André-Charles Cohen

ISBN : 2851081977

« … Car il est écrit que tout est machine, de l’atome à la galaxie et que seule la machine est éternelle ». Tea conclusion de l’histoire du monde, relaté par le roi Armoric à une époque indéterminée du futur, dans un récit de Stanislas Lem. Selon cette fiction, nous sommes à mi-chemin de l’histoire de l’humanité et de la machine, à une étape pour l’homme construit toujours les machines. Cette étape précède la création de machines intelligentes qui, à leur tour, concevons des machines parfaites.

La préoccupation de l’homme de créer ces machines intelligentes et le sujet de ce livre. Répertoriés comment beaux, ces machines ont déjà envahi la majeure partie des activités humaine, littérature, cinéma, art, sexe, bandes dessinées, je, guerre, enseignement, médecine, industrie et science. Les robots focalisent l’intérêt des écoliers, des financiers, des ministres, des syndicalistes et des philosophes.

Conçu, du moins en partie, à l’image de l’homme, les robots sont devenus responsables de multiples problèmes, car l’homme, ayant construit le robot, s’est mis à ce défier de cette nouvelle image de lui-même, de cette personnification de ce qu’il est et fait. L’homme a éprouvé tout aussitôt un sentiment profondément ambivalent à l’égard de sa création ; le robot lui est apparu comme une sorte de personnes « sous privilégiés ». Dans la littérature le robot est devenu la métaphore du citoyen « non à part entière ».

Parce qu’il est fait de métal, parce qu’il n’a pas subi les lois de l’évolution, parce qu’il pense en termes de transistors, plutôt que de composer protoplasmnique, le robot est presque toujours traité avec condescendance, même s’il fait preuve de qualités surhumaines, d’une grande loyauté et de nombreuses aptitudes.

C’est en réaction aux très nombreuses récits où les robots deviennent les tueurs qu’Isaac Asimov écrivit son ouvrage Three Laws of Robotics, 1940. Cet auteur a toujours décrit les logos comme des créatures inoffensives, effectuant des tches qu’on leur assigne. Le robot, « incapable de nuire à l’homme, a été toutefois pris comme victime par les êtres humains, qui souffrant du complexe de Frankenstein », ont considéré les pauvres machines comme de terribles et dangereuses créatures ». La firme U.S.Robot and Mechanical Men, Inc., où tous les rebords des récits d’Asimov sont fabriqués, tente de vaincre les préjugés du public en instituant des visites hebdomadaires de l’usine pour tous ceux qui seraient intéressés.

Puisque ces robots intelligents ont le don d’ubiquité et sont devenus indispensables dans de nombreux secteurs, une révision de leur statut peut être envisagée. Auront-ils des droits civils ? Seront-ils reconnus comme nos semblables ? Y aura-t-il des robots mles et des robots femelles ? Les deux premières questions ont fait depuis longtemps déjà l’objet des méditations des philosophes. La question du genre des robots à refus de surprenante réponse de la part d’un groupe d’écoliers londoniens. Les garçons considèrent qu’un robot est du genre neutre ; les files considèrent comme masculin, d’autres ont conclu : du genre féminin, peut-être ? Dans la mesure où la machine serait appelée à servir un homme !

La suprématie des robots sur les êtres humains n’est plus mise en doute dans les démonstrations d’endurance, de force, de fiabilité : mais il existe d’autres domaines où les gens accordent leur préférence aux machines. Dans les récits littéraires notamment, car les machines peuvent se montrer extrêmement loyales et dévouées, et dans la vie réelle, peut-être parce qu’elle ni maître pas de jugement de valeur.

Les prédictions sur l’usage des robots dans la maison, l’usine, et dans la conquête de l’espace, ne peuvent être contredite. Mais les révélations du temps qui nous sépare de leur réalisation a été trop optimiste. Quel qu’il soit, il est déjà évident que l’homme a peu à craindre des robots mais qu’il pourrait plutôt craindre un avenir sans eux !

  • Taille : 28cm x 20,5cm
  • Sommaire.
  • Préface : les robots méconnus. pg7
  • Du fond des âges. pg8
  • Humain, ne soyez pas dupes ! pg25
  • L’homme face à ses créations, ou le la mystérieuse vallée de Masahiro Mory. pg26
  • Définition. pg28
  • A la recherche de la perfection. pg32
  • Au XVIIe siècle, déjà … pg35
  • Karel Capek et R.U.R. pg36
  • Personnages de roman. pg41
  • Vers la machine en tant qu’être, et vice versa. pg48
  • Robots sur pellicule. pg62
  • Romans policiers un. pg70
  • Robot de performance. pg73
  • Tentative d’amours métalliques. pg83
  • Robots B.D. pg86Robots jouets. pg93
  • Quand les livres d’enfants et les enfants parlent des robots. pg100
  • Robot sprofesseurs. pg109
  • Robots domestiques. pg112
  • Robots militaires. pg118
  • Bras et mains artificielles. pg122
  • Des jambes pour marcher. pg130
  • Au travail ! pg13La cybernétique : clé de la robotique. pg152
  • Intelligence artificielle. pg15
  • Les sentiments des robots . pg160
  • Les robots, l’avenir et nous. pg163
  • Remerciements. pg166
  • Bibliographie. pg167
  • Index. pg168
Dominique Bagouet, un labyrinthe dansé
1999
Centre national de la danse
Dominique Bagouet, un labyrinthe dansé
Auteur : Isabelle Ginot

ISBN : 291412404X

Étude exhaustive de l'oeuvre de Dominique Bagouet, l'ouvrage d'Isabelle Ginot présente suivant l'ordre chronologique les différentes créations du chorégraphe. Chaque chapitre alterne analyse des pièces et suspensions réflexives permettant de faire le point sur les enjeux esthétiques propres à chacune des périodes. Cet ouvrage est issu d'une série de travaux de recherche dirigée par Michel Bernard (Département danse de l'université Paris VIII). Un document éclairant l'oeuvre de l'artiste, doublé d'un texte de référence mettant en place les premiers éléments pour l'analyse chorégraphique.

  • Taille : 24cm x 16cm
  • Sommaire.
  • Introduction. pg9
  • Chapitre I. Premières années et années d’expérience : naissance d’une écriture, 1976 - 1980 et 1980 - 1983. pg25
  • Avant Montpellier : un désordre prolixe . pg26
  • Une nouvelle période : les premières années mon collier Rennes. pg34
  • De Chansons de Nuit à Grande Maison. pg38
  • La tentation du grand écart : Insaisies, F et Stein. pg50
  • Chapitre II. Le règne de l’écriture, 1984 - 1986. pg63
  • Le ressaisissement des corps et de l’espace : Désert d’Amour. pg64
  • L’alphabet Bagouet. pg76
  • Mais ami. pg84
  • Le Crawl de Lucien. pg88
  • Assaï. pg98
  • Chapitre III. Langage : le verbe du geste. pg115
  • Le style nu. pg115
  • Quelle architecture ? pg128
  • Puissance et défaillance. pg135
  • Chapitre IV. Naissance de l’histoire, 1987 - 1988. pg141
  • Une nouvelle époque. pg141
  • Le Saut de l’ange, un chef-d’oeuvre pas comme il faut. pg147
  • Les Petites Pièces de Berlin. pg171
  • Chapitre V. L’interprétation partenaire de l’écriture. pg183
  • Un concept flou et concret ? pg183
  • Au centre de l’interprétation : le style. pg186
  • La présence. pg194
  • Le partage du territoire. pg206
  • Chapitre VI. Meublé sommairement : le temps du récit, 1989. pg211
  • Réciti, voix, geste, lectures. pg223
  • Métarécit et rhizomes. pg 237
  • Chapitre VII. Dernier(s) acte(s) : la vitesse, 1990 - 1992. pg249
  • Le chorégraphe citoyen. pg249
  • Jours étranges. pg254
  • Nécesito, pièces pour Grenade. pg262
  • So Schnell : si vite. pg271
  • Errances en guise de conclusion.pg287
  • Annexes. - Remarques. pg292
  • Repères biographiques. pg295 - Chronologie des oeuvres. pg295
  • Bibliographie. pg300
Stage Management
2019
Crowood Press
Stage Management
Auteur : Diane Norburn

ISBN : 9781785004438

Working at the heart of theater production, the stage management department is responsible for the smooth running of the show from day one of rehearsals to final curtain on the last performance. Stage Management examines, in depth, the roles and responsibilities of this indispensable team, including organizing rehearsals and performances, working with directors and designers to realize their creative ideas, and supporting the cast and other technical departments.

  • Taille : 24,5cm x 19cm
  • Contents.
  • Aknowledgements. pg6
  • Abbreviations. pg7
  • Introduction. pg9
  • 1. Theater Basics. pg13
  • 2. The Production Process. pg33
  • 3. The Assistant Stage Manager. pg51
  • 4. The Deputy Stage Manager. pg69
  • 5. Stage Manager. pg91
  • 6. Propping. pg111
  • 7. The Mark-Up and Stage Changes. pg129
  • 8. The Book. pg151
  • 9. Health and Safety. pg165
  • 10; Running a Show. pg187
  • 11. Moving Beyond Theatre. pg209
  • Glossary. pg213
  • List of Suppliers. pg220
  • Further Reading. pg221
  • Index. pg222
Matériel & Instal. Elec.-Ateliers H. Leclerc
1925
Ateliers H. Leclerc
Matériel & Instal. Elec.-Ateliers H. Leclerc
Auteur : Ateliers H. Leclerc

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7. La maison ne reprend pas les articles spéciaux faits sur commande.

8. Les rentrées acceptées par mois, ne sont portés en avoir au client, qu’après la rentrée des marchandises, sur les factures créées pendant le même mois.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Petit appareillage. pg1
  • Appareil spour tableaux. pg43
  • Tubes et accessoires. pg56
  • Outillage. pg66
  • Porcelaine. pg79
  • Coins en fer et divers. pg85
  • Appareils de mesure. pg91
  • Appareils hermétiques. pg108
  • Arcs. pg119
  • Ventilateurs. pg125
  • Appareils de chauffage. pg130
  • Foreuses électriques. pg134
  • Verreries. pg135
  • Divers. pg139
  • Lampes. pg140
  • Fils et Câbles. pg144
  • Sonneries. pg146
  • Accumulateurs. pg151
  • Paratonnerre. pg152
Vocabulaire de l'éclairage
1995
Lux
Vocabulaire de l'éclairage
Auteur : Association Française de l'Eclairage

ISBN : 2856040292

le Comité de rédaction s’est efforcé de conserver les définitions du Vocabulaire International de l’Eclairage - quatrième édition (1987) - commune à la Commission Internationale de l’Eclairage et à la Commission Electrotechnique Internationale. Dans ce cas, la traduction en anglais du terme, objet de la définition, est donné. Les compléments apportés sont indiqués par une impression en italique.

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Table des sections et annexes.
  • 1. Rayonnement.pg3
  • 2. Grandeurs lumineuses. pg5
  • 3. Phénomène relatif à la vision. pg9
  • 4. Couleur. pg12
  • 5. Caractéristiques optiques des matériaux. pg16
  • 6. Lampes et accessoires. pg18
  • 7. Luminaires. pg33
  • 8. Equipement pour la photométrie. pg33
  • 9. Eclairagiste. pg35
  • Annexes.
  • Luminaires d’éclairage intérieur « basse et très basse luminance ». pg43
  • Symboles littéraux. pg45
  • Index.pg46
La sécurité de l'individu au travail
1997
I.R.M.A. Editions AS
La sécurité de l'individu au travail
Auteur : Yann Métayer

ISBN : 2912017041

mémentos du spectacle,

une collection Asdec.

L’information et la qualification des professionnels intervenants dans les champs de la création et de l’action culturelle suppose la meilleure diffusion possible des publications spécialisées les aidant à exercer leurs différentes activités.

Agissant déjà dans leurs disciplines respectives, plusieurs éditeurs dont les Editions AS (« Actualité de la Scénographie »),l’IRMA (« L’Officiel de la Musique », « Profession Artiste »), ont décidé de regrouper leurs moyens et leur savoir-faire pour des opérations transversales.

Ainsi est née l’idée de cette collection de fascicules pratique consacrés à des questions scéno-techniques, de réglementation de sécurité et de pratiques professionnelles, valable pour l’ensemble du secteur.

Ce quatrième numéro, consacré à la sécurité de l’individu au travail, dresse un inventaire des outils utilisés, des moyens pratiqués et déréglementation à appliquer.

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Sommaire.
  • Editorial. pg2
  • Introduction. pg7
  • I. Les manutentions manuelles. pg9
  • I.1. Les charges maximales. pg9
  • I.1.A. La réglementation européenne. pg9
  • I.1.B. Le droit frança is. pg9
  • I.1.C. La norme française .pg9
  • I.1.D. limination ou limit ation du risque. pg10
  • I.1.E. valuation des risques - rôle du médecin de travail. pg10
  • I.1.F. Information et formation des salariés. pg10
  • I.1.G. Conclusion. pg10
  • II. Les équipements de protection individuelle. pg11
  • II.1. Les équipements de pr otection spécifique. pg11
  • II.1.A. Les chaussures. pg14
  • II.1.B. Les gants. pg17
  • II.1.C. Les casques. pg19
  • II.1.D. Les lunettes et masque anti projection. pg21
  • II.1.E. Les protecteurs de l’oublier. pg22
  • II.2. Les équipements de protection individuelle contre les chutes. pg23
  • II.2.A. Harnais et accessoires. pg23
  • II.2.B. Les ancrages. pg27
  • III. Le travail en hauteur. pg28
  • III.1. Les échelles. pg28
  • III.1.A. Normalisation. pg28
  • III.1.B. Utilisation. pg29
  • III.2. Les échafaudages de services. pg29
  • III.2.A. Réglementation - normes. pg30
  • III.2.B. Conception. pg30
  • III.2.B. Conception. pg30
  • III.2.C. Mon tage. pg31
  • III.2.D. Utilisation. pg32
  • III.3. Les échafaudages multidirectionnels. pg33
  • III.3.A. Réglementation - normes. pg33
  • III.3.B. Conception. pg34
  • III.3.C. Montage - qualité. pg34
  • III.3.D. Montage - sécurité du personnel. pg35
  • III.3.E. Utilisation. pg35
  • III.4. Les nacelles et plates-formes élévatrices. pg35
  • III.4.A. Réglementation - normes . pg36
  • III.4.B. Conception. pg36
  • III.4.C. Utilisation. pg37
  • IIII.4.D. Qualification et formation. pg37
  • III.5. Les grils fixes et mobiles. pg38
  • III.5.A. Charge maximale utile (CMU). pg38
  • III.5.B. Accès au gril fixe. pg38
  • III.5.C. Accès au gril mobile . pg39
  • III.5.D. Assura un juge horizontal. pg40
  • IIII.5.E. Rappel. pg40
  • IV. Annexes. pg41
  • Annexe législative : lois, règlements, normes. pg41
  • V. La bibliographie. pg46
  • Bibliographie générale. pg46
  • Bibliographie particulière. pg48
Le Théâtre de Boulevard, Ciel, mon mari!
1998
Gallimard
Le Théâtre de Boulevard, Ciel, mon mari!
Auteur : Olivier Barrot, Raymond Chirat

ISBN : 2070533824

«Ils l'endorment, leur public, avec leurs pièces de musée, leurs tragédies d'antiquaire et leurs malheureuses momies en peplum qui s'égosillent sans bouger ! Tandis qu'ici, aux Funambules, c'est vivant, ça saute, ça remue.» Le ton est donné : à côté du «grand théâtre», existe une tradition du théâtre populaire, particulière à Paris, qui remonte à la fin de l'Empire. Et depuis deux siècles, autour de ce genre théâtral, se sont déroulées en parallèle une histoire littéraire, une histoire du spectacle et une histoire sociale. Une sorte de ménage à trois, entre auteurs, acteurs et public. À l'orchestre ou au poulailler, aux Variétés ou à la Porte Saint-Martin, on vient rire, sourire ou s'émouvoir aux nouvelles pièces de Labiche, Feydeau, Guitry, Pagnol, Anouilh ou Poiret, et applaudir Frédérick Lemaître, Hortense Schneider, Pauline Carton ou Michel Serrault, Claude Brasseur et Rosy Varte.Cet art de vivre des soirées au théâtre est retracé par Olivier Barrot et Raymond Chirat qui l'affirment très haut : rien ne vaut une bonne intrigue, une bonne réplique. Les portes claquent et le ton monte : «Ciel, mon mari !»

  • Taille : 18cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • I. Le Boulevard, les Boulevardsd : 1815 - 1862.
  • - La parade. pg14
  • - Au paradis. pg16
  • - Le Boulevard Saint-Martin. pg18
  • - Le Boulevard du temple. pg20
  • - Ce qu’on applaudit très fort. pg22
  • - En coulisses. pg24
  • - Un public attentif.pg26
  • - Le grand déménagement.pg28
  • II. Le second empire, triomphe du Boulevard.
  • - Aux premières loges. pg32
  • - Labiche le malicieux. pg34
  • - Personnages hauts en couleur. pg36
  • - Le monde à leur spieds. pg38
  • - Sardou, le théâtre de l’époque. pg40
  • - Distraire avan t tout. pg42
  • - Paris, ville lumière. pg44
  • III. L’habit rouge (1900 - 1940).
  • - Le gratin des auteurs. pg48
  • - L’aman t dans le placard.pg50
  • - Feydeau, l’apogée du vaudeville. pg52
  • - L’empire Guitry. pg54
  • - Couples stéréotypes. pg56
  • - L’émotion intelligente de Rostand. pg58
  • - L’art du dialogue. pg60
  • - Nouveaux genres. pg62
  • - Sûres valeurs saisonnières. pg64
  • - Du rire aux larmes. pg66
  • IV. Boulevard : mode d’emploi.
  • - Monstres sacrés. pg70
  • - Tous s’affichent. pg72
  • - Rêves de midinettes. pg74
  • - Mondanités obligent. pg76
  • - Oeuvres complètes. pg78
  • - Le succès de la presse de théâtre. pg80
  • V. Le Boulevard de notre temps.
  • - Et la vie continue. pg84
  • - L’habileté de Jean Anouilh. pg86
  • - Le Boulevard Rive droite. pg88
  • - Elargir le public. pg90
  • - Lieux de spectacles. pg92
  • - Un Boulevard bien vivant. pg94
  • Témoignages et documents.
  • - Les auteurs. pg98
  • - Redoutables critiques. pg100
  • - Ambiance. pg106
  • - Le Théâtre des Variétés. pg108
  • - Le théâtre privé. pg112
  • - Défense et illustration du théâtre de Boulevard. pg114
  • - Annexes. pg116
Méliès, magie et cinéma
2002
Paris-Museées
Méliès, magie et cinéma
Auteur : Jacques Malthête, Laurent Mannoni

ISBN : 2879005981

Georges Méliès (1861-1938), dessinateur, magicien, directeur du théâtre Robert-Houdin, a réalisé plus de 500 films entre 1896 et 1912. Il a ouvert â la cinématographie les portes du rêve, de la magie, de la fiction ; il a accompli un acte fondateur en unissant l'univers de Robert-Houdin, maître de l'illusionnisme, aux images animées de Marey et des frères Lumière. Toute son oeuvre est un mélange explosif et unique de fantasmagorie, d'illusions, de flammes et de fumées soigneusement coloriées au pinceau ; tout semble avoir été conçu et utilisé par ce virtuose de la technique, qui préfigure George Lucas et Steven Spielberg. Cet ouvrage, riche en documents inédits, se structure autour du célèbre Voyage dans la Lune (1902), dont on fête le centenaire, et explore les relations étroites qui se sont très tôt nouées entre la magie et le cinéma naissant.

  • Taille : 29cm x 25,5cm
  • Sommaire.
  • La vie et l’oeuvre de Georges Méliès, petit précis spatiotemporel, par Jacques Malthête. pg12
  • Méliès, magie et cinéma, par Laurent Mannoni. pg36
  • Le Théâtre Robert-Houdin, de Jean-Eugène Robert-Houdin à Georges Méliès, par Christian Fechner. pg72
  • 1896, les premiers appareils cinématographiques de Georges Méliès, par Laurent Mannoni. pg116
  • Le voyage dans la lune, film composite, par Thierry Lefèvre. pg170
  • L’enregistrement fantastique ou quelques réflexions sur la nature et l’utilisation des trucages mélièsiens, par Laurent Le Forestier. pg210
  • Fimographie complète de Georges Méliès, par Jacques Malthête. pg240
  • Bibliografie. pg268
La formation de l'acteur
1982
Payot
La formation de l'acteur
Auteur : K. Sergeevič Stanislavski, J. Vilar, Él. Janvier

ISBN : 2228304514

Stanislavski qui fut le créateur du Théâtre d’Art de Moscou, est l’un des grands noms du théâtre contemporain et son livre célèbre sur la formation de l’acteur est resté l’un des classiques sur l’art du comédien.

Dans la préface de cet ouvrage, Jean Vilar montre à quel point le style de Stanislaski, son exemple, son école, sa méthode, ont marqué à jamais le monde du théâtre et ses plus brillants représentants : Rouché, Copeau, Antoine et bien d’autres.

  • Taille : 18cm x 10,5cm
  • Table des matières.
  • Introduction de Jean Vilar. pg5
  • I. Premier contact avec la scène.pg9
  • 2. Où jouer devient un art .pg19
  • 3. L’activité. pg39
  • 4. L’imagination .pg61
  • 5. La concentration. pg79
  • 6. La relaxation. pg103
  • 7. Séquences et objectifs. pg119
  • 8. La foi et le sens du vrai. pg135
  • 9. La mémoire affective. pg167
  • 10. Le contact. pg195
  • 11. L’adaptation. pg223
  • 12. Les moteurs de la vie psychique. pg241
  • 13. La ligne de comportement du personnage. pg249
  • 14. L’Etat créateur. pg259
  • 15. Le super-objectif. pg269
  • 16. Au seuil du subconscient. pg279
La scène Liégeoise sous toutes ses coutures
1984
Guy de Pierpont Ed.
La scène Liégeoise sous toutes ses coutures
Auteur : Marc Delaval

Note de l’éditeur.

Qui croirait que Liège comporte 119 salles de spectacles, pouvant accueillir 38 887 personnes ?

Cet ouvrage constitue l’édition, réactualisé, du mémoire présenté par Marc de Laval, en juin 1984, à la fin de ses études à l’Académie Royale des Beaux-Arts de la ville de Liège.

Le volume est publié dans le cadre du Festival du Jeune Théâtre de Liège et de la Communauté Française de Belgique.

La publication est le fruit d’un pur hasard : auteurs et éditeurs patientaient devant une photocopieuse encombrée ; la conversation s’est engagée et l’idée a surgi … Idée de publication, idée de collection à suivre.

La photocopieused’IPL aurait-elle été libre que cette recherche n’aurait peut-être pas été publiée ; tout hasard était favorable, et cette étude de la scène liégeoise ayant une valeur capitale, nous vous invitons à ouvrir son rideau.

Guy de Pierpont

  • Taille : 22,5cm x 18,5cm
  • Index.
  • Introduction. pg3
  • Marc Delaval. pg4
  • Préface de Robert Maréchal. pg5
  • Avant-propos. pg6
  • En bref. pg7
  • Première partie. pg9
  • A la courte échelle. pg9
  • Thétre Arlequin . pg12
  • Centre Culturel « 104 ». pg16
  • Centre Culturel Communale de Seraing. pg23
  • Maison de la culture « les Chiroux ». pg27
  • Cirque Divers. pg32
  • Société Libre de l’Emulation. pg34
  • Théâtre de l’Etuve. pg37
  • Foyer Culturel de Chênée. pg40
  • Foyer Culturel du Sart-Tilman. pg43
  • Opéra Royal de Wallonie. pg46
  • Palais des Congrès : salle Reine Elisabeth. pg51
  • Le pavillon de Flore (théâtre du Trianon). pg54
  • Le Petit Théâtre. pg57
  • Thétre Proscenium. pg60
  • Studio Théâtre de Liège. pg64
  • Thétre de la Place. pg68
  • Thétre d u Trocadéro. pg74
  • Deuxième partie.
  • Académie Royale liégeoise de Billard. pg79
  • Auditorium de l’Institut de Zoologie. pg80
  • Centre Culturel de s Haltes-Trixhes. pg81
  • Chapelle de Vertboit. pg83
  • Conservatoire Royal de Musique de Liège pg84
  • Ecole Communale rue Ch. Gothier. pg86
  • Ecole Communale Justin Bloom. pg87
  • Eglise Saint André. pg88
  • Eglise Saint Barthélémy. pg89
  • Eglise Saint Denis. pg90
  • Foyer Culturel de Flémalle. pg93
  • Foyer culturel de Soumage. pg96
  • Hall ’Omnisport de Bressoux. pg99
  • Palais des Mineurs. pg100
  • Maison du Peuple de Montegnée. pg101
  • Musée d’Art moderne. pg102
  • Musée du Fer et du Charbon. pg104
  • Palais des Sports de Coromeuse. pg105
  • Salle Omnisports de la Constitution. pg106
  • Théâtre des Sports de Cointe. pg108
  • Troisième partie (classement alphabétique). pg111
  • Scène - Type. pg118
  • Localisation. pg119
  • Adresse aux utiles. pg122
Scénographes en France (1975-2012)
2013
Actes Sud Papiers
Scénographes en France (1975-2012)
Auteur : L. Boucris, M.Freydefont, J. Chollet, V.Lemaire

ISBN : 9782330019495

Depuis 1975, le métier de scénographe s’affirme. Pourquoi ? Quelles en sont les figures majeures ? A travers trois réalisations incontournables du travail de 52 scénographes présentés dans ce livre se dessine une conception de l’espace - née de la scène théâtrale mais allant jusqu’aux salles de spectacles, en passant par le cinéma, l’exposition, l’opéra ou l’urbanisme - qui impose la scénographie comme un indispensable regard. Ses portraits sont complétés par 163 notules biographiques et une large bibliographie.

Un ouvrage collectif sous la direction de Luc Boucris et Marcel Freydefont, avec Jean Chollet, Véronique Lemaire et Mahtab Mazlouman.

  • Taille : 20,5cm x 17,5cm
  • Portraits / Paysage pg7
  • Introduction de Luc Boucris et Marcel Freydefont
  • Les Déchifreurs 1975 / 1985 pg19
  • André Acquart, Gilles Alliaud, René Allio, Michel RaffaelliL’Envolée 1985 / 1995 pg37
  • Gilone Brun, Jean-Paul Chambas, Alain Chambon, Françoise Darne, Gérard Didier, Guy-Claude François, Jean Haas, Yannis Kokkos, Michel Launay, Jean-Guy Lecat, Claude Lemaire, Christine Marest, Philippe Marioge, Chloé Obolensky, Agostino Pace, Richard Peduzzi, Roberto Platé, Nicky Rieti, Danièle Rozier, Jean-Marc Stehlé, Jean-Pierre VergierUn Enracinzmznt 1995 : 2005 pg121
  • Pierre Albert, Stéphane Braunschweig, Emmanuel Clolus, Yves Collet, Alexandre de Dardel, François Delarozière, Antoine Fontaine, Denis Fruchaud, Jacques Gabel, Goury, Daniel Jeanneteau, Rudy Sabounghi, Raymond Sarti, Nicolas Sire, Eric Soyer, Gilles Tachet, Chantal Thomas, Laurence Villerot, Pierre-André WeitzLes Nouvelles Donnes 2005 / 2012 pg199
  • Aurélien Bory, Damien Caille-Perret, Marc Lainé, Christophe Ouvrard, Laure Pichat, Philippe Quesne, Aurélie Thomas, Antoine VasseurNotices biographiques de Scénographes français actifs pendant la période 1975 / 2012 pg233
  • Biographie des auteurs pg261
  • Bibliographie pg262
  • Index aphalbétique pg264
  • Crédits photographiques pg267
  • Remerciements pg269
Images de la cul.-Danse-Dominique Bagouet-lesite.tv-19
2005
Ed. CNC
Images de la cul.-Danse-Dominique Bagouet-lesite.tv-19
Auteur : C. Aubry, I. Ginot

Mettre à disposition d'un large public toutes les images sur Dominique Bagouet, chorégraphe trop tôt disparu fin 1992, c'est le défi que nous avons relevé avec les carnets Bagouet, gardien de ces précieuses archives audiovisuelles. La collection en 29 volumes que nous présentons permet ainsi de revisiter entièrement l'œuvre de ce créateur hardy, une œuvre qui fait date dans la danse contemporaine par la variété de ses recherches chorégraphique. Un dossier complet préparé par Chantal Aubry et Isabelle Ginot.

  • Taille : 29,5cm x 23cm
  • Sommaire.
  • Dossier Dominique Bagouet par Chantal Aubry et Isabelle Ginot.
  • Dominique Bagouet, l’oeuvre oblique. pg04
  • Biographie. pg07
  • Anne Abeille, avec et sans Dominique Bagouet. pg10
  • Charles Picq, l’homme à la caméra. pg12
  • Ce que le temps fait au corps, entretien avec Marie-Hélène Rebois. pg14
  • La collection Dominique Bagouet. ph18
La Lumière dans tous ses états
1984
Ed. Centre Expé. Spec-Art-Scène
La Lumière dans tous ses états
Auteur : R. Narboni, V. Lanfant, J-P Chambaret

ISBN : 2904341021

Le tout réduit à ces fragments.

Entrevue comme manifestation du spectacle de la nature, de la technologie et de l’art, la lumière devenait à l’évidence un thème pour notre travail.

Mais notre assurance estompa au moment de saisir l’objet à représenter : impalpable, abstrait et pourtant nous servant de toutes parts ; objective, mesurables, quantifiables et pourtant nous confrontant à toutes les illusions.

L’exercice de la pensée brisa vite l’évidence de l’image préalable ne nous laissant percevoir que des fragments colorés, des ombres et des mirages. La séduction n’en était que plus forte. Fasciné, nous étions contraints à une vision multiple, parcellaire, subjective, nous rendant fébriles et modestes.

Ainsi, notre travail s’est-il apparenté à la construction d’un kaléidoscope, en ce sens qu’il a produit un volume contenant une série de textes et illustrations disposées dans une configuration géométrique et entre lesquels se sont glissés des fragments de vers et de proses brillant et colorés.

l’intérieur de ce dispositif le glissement du regard peut conduire à une lecture multiples, symétriques et changeantes, à effet de connaissances ou de distraction.

Claude Malric

  • Taille : 30,5cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Le tout réduit à ses fragments. pg5
  • I. La lumière, phénomène scientifique.
  • De Démocrite à de Broglie par Roger Narboni. pg9
  • II. La lumière, phénomène naturel.
  • Des étoiles aux vers luisants par Veronique Lanfant, Jean-Paul Chambaret. pg25
  • III. La lumière, phénomène sensoriel.
  • - L’œil, instrument d'optique par Jean-Paul Chambaret. pg43
  • - La rétine, support sensible par Jean-Paul Chambaret. pg51
  • - La couleur par Jean-Paul Chambaret. pg57
  • - Les illusions d'optique par Jean-Paul Chambaret. pg69
  • IV. Absence de lumière.Le noir par Pierre Mirailles. pg73
  • V. Lumières artificielless.
  • - De la torche au laser par Yves Chambaret. pg79
  • VI. Pièges à lumière.- Nouvelles technologies par Roger Narboni. pg117
  • - Miroirs et images par Roger Narboni. pg133
  • Supposons un bel espace … pg149
  • Bibliographie. pg153
Com.-Francaise: Le th. rue Richelieu 1799 à nos jours
2013
ART LYS
Com.-Francaise: Le th. rue Richelieu 1799 à nos jours
Auteur : J. Razgonnikoff

ISBN : 9782854955187

Un lieu de mémoire, mémoires d'un lieu...Pour célébrer la réouverture de la salle Richelieu après un an de travaux, les éditions Artlys et la Comédie française s'associent pour publier un beau livre de référence retraçant l'histoire de ce théâtre véritablement mythique. Située dans le quartier du Palais-Royal à Paris, la salle Richelieu, chef-d'oeuvre d'architecture théâtrale de Victor Louis, abrite depuis 1799 la troupe de la Comédie-Française. Cent fois rénovée, restaurée, parfois défigurée, cette salle recèle en ses murs une histoire riche et passionnante que nous raconte en détails Jacqueline Razgonnikoff, ancienne bibliothécaire de la Comédie française. Cet ouvrage extrêmement documenté est la somme des recherches entreprises par cette familière des lieux et propose un témoignage complet sur la Comédie-Française. De la construction de la salle de la rue Richelieu aux derniers travaux, de la scène aux coulisses, des grandes figures d'acteurs ou d'auteurs à la vie de la troupe en passant par l'évolution du public et tous les métiers qui ont forgé l'histoire de ce lieu exceptionnel, ce beau livre fait revivre plus de 200 ans d'histoire du théâtre en France.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Sommaire
  • Préface par Muriel Mayette. pg11
  • Avant-propos par Jacqueline Razgonnikoff. pg12
  • La Comédie-Française, lieu de mémoire par Agathe Sanjuan. pg15
  • 1790-1799 - Le Théâtre Français de la République. pg23
  • 1799-1825 - Le Théâtre-Français entre Empire et monarchie. pg43
  • 1825-1847 - Au coeur des batailles romantiques. pg69
  • 1848-1871 - Les grands bouleversements. pg93
  • 1872-1914 - La Comédie-Française du Tout-Paris. pg121
  • 1914-1946 - D’une guerre à l’autre. pg153
  • 1946-2012 - Soixante ans de travaux. pg181
  • Ma Comédie-Française : souvenir et impressions. pg207
  • Annexes. pg218
  • Sources. pg227
  • Index. pg230
Les Automates
1981
Ouest-France
Les Automates
Auteur : Charles Rickard

ISBN : 2858823588

La fascination de l’homme par l’automate ne date pas d’aujourd’hui. Quel est de toutes les époques et ses premières manifestations sont apparues à l’origine des civilisations de l’Antiquité : l’égyptienne, la chaldéenne, la grecque.

Dans les premiers ges historiques, l’automate impressionna les foules d’alliant les prestiges de la séance aux attraits du ministère, la science étend celle de la mécanique, le mystère étend celui du mouvement d’objets inanimés par nature. Ainsi devenait-il un agent de soumission à la cause que vous les servir le maître de l’automate, lequel faisait croire à l’intervention du surnaturel.

Plus tard, les fabricants d’automates cherchèrent plus simplement à répondre aux gots des amateurs de curiosité, publiques ou privées.

Aujourd’hui, le développement du mouvement automatique ne connaît plus de bornes puisque toute l’informatique lui appartient, depuis la calculatrice de poche jusqu’à l’appareil orienteur des fusées qui explorent notre univers.

il faut, cependant, certains conscrits cette étude et la limiter à ce qu’il est convenu d’appeler « aux tomates » dans le langage courant, c’est-à-dire, selon la définition du Petit Larousse : « une machine imitant le mouvement d’un corps animé ».

Ce domaine est vaste. Il commence au statut truqué des divinités antiques pour aboutir au robot de la science-fiction en passant par les héros mythologiques des grottes de la renaissance, les androïdes-phénomènes de Vaucanson et de Jacques-Droz et les merveilleuses créatures dont les photos accompagnent ce texte : les clauses, les joueurs de flte, les danseuses de cordes, les écrivains des Rouillet-Decamps, des Vichy, Lambert, que se disputent à très haut pris les collectionneurs du monde entier.

  • Taille : 23cm x 16,5cm
Le Grand Théâtre de Bordeaux : miroir d'une société
1993
CNRS Editions
Le Grand Théâtre de Bordeaux : miroir d'une société
Auteur : Christian Taillard

ISBN : 2858221154

« patrimoine au présent » se propose de retrouver l’esprit des lieux, de les faire revivre à travers leur histoire, de susciter, à partir de vestiges et de monuments du présent, l’imagination du passé. Chaque ouvrage de la collection s’appuyant sur les acquis les plus récents de la recherche, S’organise autour d’un thème privilégié, pour ajouter au plaisir d’une découverte active du site.

Enjeux d’un conflit de pouvoir entre tout-puissant gouverneur, le maréchal duc de Richelieu, une municipalité fière de son opulence, des spéculateurs avides et un intendant soucieux des deniers publics, le Grand Théâtre de Bordeaux fut inauguré le 7 avril 1780. Le chantier, qui devait être achevé en deux ans, en avait duré six ! Objet de l’admiration unanime de ses contemporains, le chef-d’ouvre de l’architecte Victor Louis témoignée par sa conception et ses parti pris technique de l’art de vivre d’un siècle et prix de plaisir et de spectacles.

Au fil du temps, au gré des modes, à travers les avatars des restaurations successives du prestigieux édifice - de la destruction du décor de Louis dès 1799 jusqu’à son exemplaire restauration en 1991 - se lit l’évolution des mentalités et des goûts. Miroir de la société, cet espace magique du plaisir et de l’illusion et le lieu du paraître. Une société s’y montre et investit progressivement la salle par le biais des clubs et des cercles. Mais il arrive que Molière, Rossini et Bizet cesse de dispenser leur enchantement, aux heures sombres, lorsque l’Assemblée Nationale doit se réfugier à Bordeaux…

Christian Taillard est professeur d’histoire de l’art et directeur du Centre d’études et de recherches sur le classicisme dans l’art moderne à l’université Michel-de-Montaigne-Bordeaux III.

  • Taille : 24cm x 19,5cm
  • Sommaire.
  • Plan I. pg2
  • La ville des lumières. pg8
  • Pour la gloire et l’argent. pg14
  • Le temple des muses. pg28
  • Plan II. pg44
  • La vie théâtrale à Bordeaux à la fin de l’ancien régime. pg58
  • Imiter Paris. pg68
  • Le Théâtre entre légitimistes et libéralisme. pg82
  • Le Grand Théâtre de Burguet. pg94
  • Du monument public aux monuments historiques. pg112
  • Annexes. pg126
A Method of Lighting the stage
1966
Theatre Arts Books
A Method of Lighting the stage
Auteur : Stanley McCandless

ISBN : 0878300821

The McCandless method is a particular approach to providing stage lighting, first proposed in his book, A Method of Lighting the Stage, which has been through several editions. The McCandless method is still in wide use today.[1]

In the McCandless method, the actors are meant to be fully front lit but also provided with some "sculpting" of the features. Full lighting is provided by at least two lights from opposite sides, above the plane of the actors by about 45 degrees and approximately 90 degrees apart. These two lights come in from opposite directions. Top lighting may also be used for fill, as may limited footlights. McCandless described these angles as being the diagonals of a cube in the center of the acting area.[2]

However, the key to the McCandless method is that one light of the primary pair is "cool" relative to the other. One may be blue (a cool color, i.e. higher kelvin temperature) and the other amber (a warm color, i.e. lower kelvin temperature). Thus, one fills the shadows left by the other in a way that produces a degree of depth which is striking and recognizable on the stage, similar to stage makeup in the way it exaggerates and clarifies the actors' faces.

This method of pairing a warm lantern with a cool lantern simulates sunrise in an outdoor environment, as in real life, giving the production a naturalistic (notion of realism on stage invented by Constantin Stanislavski) feel, thereby producing intimacy of the play with the audience. This coupled with the depth created, enhances the facial features of the actors, enabling them to convey emotion more effectively than before.

This comparison of warm and cool also enables the lighting designer to shift the balance of the warm and cool lanterns in accordance of what time of day it is. For example, if a scene was set in the middle of the day, the warm and cool lanterns would be equally bright, so the shadows created would be filled equally by warm and cool light, giving the actor's face a balanced look similar to that of standing outside in the middle of the day. However, as it becomes later in the day, the cool lantern would become brighter than the warm lantern, so the light upon the actors face becomes cooler overall, suggesting to the audience that the time has shifted into the evening, without any mention of time in the scene itself.

To be totally realistic in this representation of daylight, four lanterns should be used to cover one area of the stage, in two pairs at 45 degree angles, so on each side of the actor's face both a warm and a cool light would be present. This would enable the lighting designer at midday to switch the warm light from one side of the actors face to the other, simulating the sun passing overhead in real life, enhancing the realism.

Alternatively, this effect can be achieved with two lanterns equipped with scrollers (a device which fits on the end of the lantern capable of holding different colour gels and switching them during the performance) each containing a warm and a cool gel. However, scrollers are renowned for breaking unexpectedly in the middle of shows, and are also very noisy in operation, making them often unsuitable in a quiet venue, and therefore in a best case scenario two lanterns from each side should be used. Having said this, smaller theatres with fewer resources use this method to great success with only two lanterns per area of the stage.

A third method, developed before scrollers, was to use three instruments, two on one side and one on the other. Three gel colors were used. The colors in the two lanterns on the one side were picked to be relatively warm and cool in relation to the single color on the other side. For instance colors of pink, blue, and lavender might be chosen. Pink is warmer than lavender and blue is cooler than lavender, so the warm side can be chosen by deciding to use either the pink or the blue lantern. This was also an advantage during the end of a scene or the curtain call on a musical production, where the greatest possible amount of light was often desired and shadows were of little interest. All three lights could be brought to full brightness, producing somewhat unnaturally flat but bright illumination.

Stanley McCandless began devising this system while at Harvard College. He fully developed it following his move to Yale University, which was then near the center of American theatre, in part because many producers of Broadway-bound shows staged opening runs at New Haven's Shubert Theatre in order to assess their wider potential.

  • Taille : 21cm x 14cm
  • Contents.
  • Foreword. pg7
  • Introduction. pg9
  • Procedure. pg17
  • Legend. pg27
  • Lighting the acting area. pg33
  • Intensity. pg33
  • Color. pg49
  • Distribution. pg52
  • Control. pg61
  • Blending and toning. pg66
  • Borderlights. pg68
  • Footlights. pg79
  • Lighting background surfaces. pg86
  • Cycloramas. pg87
  • Ground rows. pg98
  • Backings. pg99
  • Creating special effects. pg103
  • Emphasis and acting area specials. pg105
  • Motivating light. pg111
  • « Effects ». pg128
  • Other uses of light. pg140
  • Appendix. pg144
Théâtre Eclairage 02-Application des techniques scéniques
1969
Bulthec
Théâtre Eclairage 02-Application des techniques scéniques
Auteur : Georges Leblanc, Jick Morin-Leztissac

Une seconde pépite en est l’éphémère revue Théâtre Eclairage, les numéros 01(1968/69) et 02(1969/70), que l’on doit à Georges Leblanc et à l’aide de la société Clémancon. Une grande société de réalisations électriques mais qui possédait une division spectacle : projecteurs, jeux d’orgues, filtres. Elle a disparu aux débuts des années soixante-dix.

On y trouve, entre autres, à part la description de la nouvelle installation scénique du théâtre Sarah Bernhardt devenu le théâtre de la Ville, celle du Chromon. Il s’agit d’un dispositif, disons un boitier, sur lequel une manette reliée à un stylet qui se déplace sur diagramme chromatique de la CIE. Il permet d’obtenir, à partir de groupes de projecteurs munis respectivement de filtres rouge, vert, bleu et sans filtre, la couleur au choix, sur le plateau.

  • Taille : 21cm x 13,5cm
  • Sommaire.
  • Bulthec 02.
  • Introduction.
  • Eclairage de scène et de studios :
  • - La commission internationale de l’éclairage.
  • La commission nationale française de l’éclairage.
  • - Ce qu’ils peuvent apporter au théâtre.
  • - Et la place qu’y tient le théâtre.Glossaire (Remarques ou Définitions).
  • Tabs français.
  • - Le règlement de mars 1969.
  • - l’Opéra de Paris.
  • - Tour d’horizon à travers diverses publications.
  • Scène Espace.
  • - Après les premiers voyages (de la Terre à la Lune).
  • Formatique.
  • - Traitement de la forme par la couleur.
  • - Enquête sur les bases de couleur utilisée dans les théâtres parisiens.
François Delarozière, Bestiaire, machines et ornements
2015
Actes Sud
François Delarozière, Bestiaire, machines et ornements
Auteur : François Delarozière

ISBN : 233005680X

François Delarozière, diplômé de l’École des beaux-arts de Marseille, est le directeur artistique de l’association "La Machine". Depuis toujours, il explore la machinerie des manèges et l’objet en mouvement. Inventeur et constructeur de décors et de créations pour le théâtre de rue, il conçoit et dirige la fabrication, depuis plus de quinze ans, de grandes machines de spectacle dont certaines de la compagnie Royal de Luxe. Parmi les plus emblématiques des pièces maîtresses de ces scénographies urbaines : le Géant, le Rhinocéros, le Petit Géant, les Girafes, la Petite Géante et le Grand Eléphant… Il est également le concepteur de la rue du Cargo Melquiades-Ville de Nantes (1992) ; le manège de Catimini (1994) ; le Beau Manège à Toulouse (1996) ; le Manège d’Andréa (1999) ; le décor du Passager pour le Channel, scène nationale de Calais (2000) ; la scénographie de l’exposition “Lisbonne/ Lisboa” pour le parc de La Villette à Paris (2002) ; le Géant des sept mers, créature hybride de 15 tonnes (élément central de la scénographie du spectacle du Forum 2004 à Barcelone) ; le Manège de Carré Sénart (2008) ; l’Araignée, créée pour Liverpool, capitale européenne en 2008. En 2004, il a créé avec le compositeur Mino Malan le spectacle La Symphonie mécanique. Il a participé à la réhabilitation du Channel (les anciens abattoirs à Calais) comme scénographe associé à l’équipe de l’architecte Patrick Bouchain (cf. Le Channel, collection “L’Impensé”, Actes Sud, 2008). Depuis plusieurs années, François Delarozière enseigne au département Scénographie de l’école d’architecture de Nantes.

  • Taille : 35,5cm x 29cm
Projections, les transports de l'image
1997
Hazan
Projections, les transports de l'image
Auteur : Collectif

ISBN : 285025570X

Présentation.

Alain Fleischer.

Cet ouvrage accompagne l’exposition inaugurale du Fresnoy-Studio national des arts contemporains, autrement que comme un catalogue traditionnel. D’une part, parce que les oeuvres présentées résistent elles-mêmes au catalogue, comme d’ailleurs elle résisteraient aux espaces traditionnels d’exposition (du musée, par exemple), sans être pour autant des oeuvres in situ, faites pour un lieu particulier, bien au contraire. Mais surtout parce que la conception même de l’ouvrage, les auteurs et la nature des contributions qu’il rassemble, en font un livre qui, indépendamment des oeuvres de l’exposition, attaque la question de la projection, des images projetées, à la fois dans son profil historique et dans une frontalité théorique qui littéralement fait apparition. Le livre expose ainsi, à sa façon, non plus des objets et des dispositifs transférés de leur espace physique (dont pourtant il évoque chaque projet), mais des objets et des dispositifs dans les espaces imaginaires où ils se sont d’abord constitués, dans l’espace de pensée où ils apparaissent et évoluent. Ainsi, on vérifiera sans doute que le livre se projette sur l’exposition plus encore qu’il n’en est le reflet : il s’y projette, non pas comme une ombre portée, ni comme une lumière blanche, aveuglante, mais lui-même comme imagent issues d’un texte organisateur, distributeur. Et l’exposition, sans être jamais l’illustration du catalogue, de même que le catalogue ne l’illustre pas, accepte ces images d’une nature différente, projetées parmi les siennes. Cette relation particulière d’un travail spéculatif - historique et théorique - avec des oeuvres d’art au travail, ainsi éclairée latéralement, préfigure peut-être les enjeux de la revue dont Le Fresnoy, dans une proche avenir se voudrait l’éditeur.

La conception de l’exposition inaugurale duFresnoy et de son catalogue fut confiée - il y a cinq ans déjà - P à Dominiqueaïni (secondé par Pascale Pronnier), directeur de la Cinémathèque française et aussi à la tête d’un projet de musée qui s’efforce de repenser les façons de présenter, de projeter le cinéma. La proposition qu’il formula aussitôt été d’une évidente justesse. On constate aujourd’hui à quel point elle ressemble de façon exemplaire les enjeux qui sont au coeur du projet du Fresnoy : des ouvres émancipées des classifications traditionnelles interrogent le sort de ces images voyageuses, fugitive, évanescente, immatérielle, que sont les projections cinématographiques, photographiques et vidéos graphiques, circulant non seulement dans des espaces et vers des surfaces perverties, mais d’un langage à un autre.

L’exposition illustre aussi le paradoxe d’inaugurer un lieu en commençant tout d’abord par devoir le nier. F Dans les superbes espaces réharbilités de l’ancienesnoy, l’exposition exigeait de faire le noir, a réclamé une architecture dans l’architecture - celle de Christian Kieckens à l’intérieur de celle de Bernard Tschumi - une nouvelle boîte dans la boîte. Un nouvel espace entre deux a été ainsi produit et ce n’est plus le btiment nouveau qui sert de couvercle et d’écrin à l’ancien mais, inversion, c’est l’ancien qui abrite une construction nouvelle sur laquelle il offre des points de vue. Cette situation est déjà Fen soi inaugurale d’un des deux casr de figure auquel les futures eexpositions dusnoy seront confronté : celui où les oeuvres dictent leurs besoins d’espace, d’isolement et de nuit. L’autre sera celui des oeuvres fascinées par l’architecture existante, avec laquelle elle dialogueront.

Pour certains d’entre nous (je parle ici pour la première fois en tant qu’artiste parmi ceux de l’exposition), la projection d’images fixes ou animées, silencieuse au sonore, détourné de leur dispositif de référence et provoquant parfois quelques courts-circuits de la représentation, est une pratique exploratoire déjà ancienne, régulièrement réinterrogée. Pour d’autres, elle apparaît comme une étape, dans la logique d’un parcours. Pour aucun, est née une petite idée à exploiter, ni un fonds de commerce à gérer. Pour tous, et les marqués par la dimension du risque et de l’aventure, une aventure qui dure sans s’épuiser - comme on peut le dire de certaines aventures amoureuses - ou une aventure qui marque ponctuellement par l’intensité de l’expérience.

Ainsi, on le voit, en une exposition et un livre, sont déjà constituées, dans leur complexité, les énergies dont le Fresnoy navire.

  • Taille : 20,5cm x 16,5cm
  • Sa mère.
  • Présentation par Alain Fleischer. pg6
  • Texte.
  • - Pour une petite histoire de la projection par Dominiqueaïni .pg11
  • - Morceaux choisis par HubertDamisch. pg15
  • - La « divine projection » et la « ressemblance des amants » introduction à deux motifs faisant sien du transport des images par Giovanni Careri. pg25
  • - Un rêve immense par Agnès Minazzoli. pg41
  • - Mademoiselle Paradis par Raymond Bellour. pg57
  • - Un dessin projectif : la photographie par Michel Frizot. pg73
  • - Entre projectiles et projets, aspects de la projection dans les années 20 par Patrick de Haas. pg95
  • - La couleur écran par JacquesAumont. pg127
  • - Mouvement de la passion par Yann Beauvais. pg148
  • Catalogue.
  • - Faut-il en finir avec la projection ? Par Dominique Païni. pg163
  • - Jean-Pierre Bertrand. pg204
  • - Patrick Bockanowski/Pitch. pg206
  • - La Cellule d’intervention Metamkine. pg208
  • - Atom Egoyan. pg210
  • - Alain Flescher. pg212
  • - Henri Foucault. pg214
  • - Anne Marie Jugnet/ AlainClairet. pg216
  • -Jozef Robakowski. pg218
  • - Bill Seaman. pg220
  • - Michael Snow . pg222
  • Annexe.- Liste des oeuvres exposées. pg226
  • - Biographies des artistes. pg227
  • - Biographie. pg234
  • - Crédits photographiques. pg235
Tadeusz Kantor, dessins-Qu'ils crèvent les Artistes
1985
Teatr Cricot 2
Tadeusz Kantor, dessins-Qu'ils crèvent les Artistes
Auteur : Tadeusz Kantor

Tadeusz Kantor (1915-1990) naquit dans un minuscule village de Galicie, Wielopole. Il étudie la peinture et la scénographie à l'école des Beaux-Arts de Cracovie. Il commence sa carrière par du théâtre expérimental au Grupa Krakovska dont il fut co-fondateur. Pendant l'occupation hitlérienne, il fonde à Cracovie le Théâtre Indépendant (Teatr Niezalezny). En 1947 il séjourne à Paris où il se fait le relais en Pologne de la vie culturelle française.

Les plus grands triomphes de Tadeusz Kantor viendront avec la première de La Classe morte (Umarla klasa, 1975), un récit sur le fugitif et le permanent. Il décède le 8 décembre 1990.

L'œuvre plastique de Kantor est fortement influencée par la Pologne et son contexte politique. Les sujets récurrents en sont l'enfance (durant la guerre 40-45), son village natal de Wielopole, la mort... Il aborde des thématiques comme le pouvoir et ses abus, la violence, et la permanence des souvenirs.

Entre 1965 et 1970 il découvre à New York le Pop Art, le minimal Art et le happening.

En 1970 il écrit le Manifeste 70, dans lequel il défend l'idée d'une œuvre quasiment impossible, sans valeurs, fondée uniquement sur l'acte créateur.

De 1970 et jusqu'à sa mort il créera de nombreux spectacles : Les Cordonniers de Witkiewicz, présentée en français au Théâtre 71 à Malakoff en 72, Les Mignons et les Guenons en 73 ; La Classe morte en 75, pièce qui consacre sa notoriété notamment au Festival mondial de Théâtre de Nancy , Où sont les neiges d'antan, « cricotage » (happening du théâtre Cricot) réalisé à Rome en 79 ; Wielopole-Wielopole, créé à Florence en 80, Qu'ils crèvent les artistes! en 85 et Je ne reviendrai jamais en 88. La mort le surprendra pendant les répétitions de Aujourd'hui c'est mon anniversaire.

Tadeusz Kantor, plasticien-scénographe-metteur en scène ne vient pas du monde des arts du mime et du geste mais il a profondément marqué les artistes de ce genre artistique qui ont pu assister à certaines de ses représentations. Ses spectacles mettaient en scène des personnages entre souvenirs et réalité, entre vivants et spectres. Ces derniers se construisaient autour d'une gestuelle non réaliste, une manière de stylisation propre à l'artiste et probablement propre à chacun des acteurs qui constituaient sa troupe. La répétitivité et le rythme des actions scéniques, la rigidité robotique de certains personnages exacerbaient cette manière de déconstruction mécanique du vivant. Tadeusz Kantor a été également considéré comme un homme du théâtre d'objets (par l'utilisation d'une scénographie réalisée à partir d'objets de récupération) ou du théâtre de marionnettes (faisant apparaître très fréquemment des sortes de pantins).

Mais d'une certaine manière on pourrait considérer que Tadeusz Kantor fut également inspiré par le cirque : en effet toutes les entrées en scène des personnages se faisaient par une porte au fond de l'espace scénique (comme dans le cirque traditionnel) et le jeu procédait d'un enchaînement d'apparitions-disparitions et d'entrées-sorties.

Pour le public français ses spectacles, où la dramaturgie était autant portée par le texte (dit en polonais) que par les personnages et leur gestuelle, furent un choc artistique visuel hors du commun.

Claire Heggen et Yves Marc

  • Taille : 30cm x 23 cm
  • 10 dessins de Tadeusz Kantor pour « Qu'ils crèvent les Artistes ».
L'enseignement de la scénographie en France
1999
Inc.
L'enseignement de la scénographie en France
Auteur : G.-Cl. François, M.Freydefont, S. Marzolff, C. Dehove

Depuis quelques années, les écoles délivrant un enseignement spécialisé de scénographie se sont réunis au sein d’un réseau d’échanges pédagogiques impliquant étudiants et enseignants, intitulé Réso-Scéno, soit l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique du Théâtre National de Strasbourg et l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre. Dans ce cadre, diverses des actions communes ont été menées qui ont démontré l’intérêt de cette mise en réseau.

Lors d’un séminaire consacré à « l’enseignement de la scénographie en France », qui s’est tenue à Clermont-Ferrand en mars 1998 en relation avec la Commission Formation de l’Union des Scénographes, d’autres établissements ont rejoint Réso-Scéno : établissements alors le mon frère oui j’ai la maison à ne rien faire facile comportant également un enseignement spécialisé en scénographie comme l’Ecole Supérieure d’Art et Technique à Paris, ou établissement comportant un enseignement dans le cadre général de leurs études, Ecoles d’Architecture (EA Paris-Villemin, EA Paris La Villette, EA Strasbourg, EA Rouen, etc) et Départemens Arts du Spectacles à l’Université (Paris III, Paris VIII, Paris X, Montpellier, Amiens, etc).

La présente publication entend rendre compte de cette pluralité, au-delà de l’exposition, consacrée essentiellement au sein de l’établissement spécialisé et aux jeunes scénographes qui en sont issus, en faisant état de l’ensemble des établissements délivrant un enseignement de scénographie. Cette publication est fondée en partie sur les actes du séminaire de Clermont-Ferrand, qui doivent être publié prochainement.

A compter d’octobre 1999, la formation de scénographie DPEA sera de délivrer par l’Ecole d’Architecture de Nantes.

  • Taille : 40cm x 28cm
Prop Building Guidebook: For Theatre, Film, TV
2013
Focal Press
Prop Building Guidebook: For Theatre, Film, TV
Auteur : Eric Hart

ISBN : 9780240821382

Theatre and film frequently require replicas of three-dimensional objects built for actors to use. This book lays the groundwork for an artisan to determine what materials and techniques to use to build these props. Walking the reader through the various tools and techniques used in historical and contemporary prop-making, the author present a process for deciding the materials and methods to build any prop. With an explanation of how the craft and its products have developed over time, the budding artisan will understand not just how and when to use certain techniques or materials, but also why to use them and what advantages they give. It arms the prop maker with a structured procedure for approaching the construction of any prop. Illustrated with step-by-step examples of how to use each construction method, and explanations of different types of materials, this book gives the beginner prop artisan a strong foundation to approach the construction of props and answers the question, "How should I begin?"

The author is hosting an online component to the book along with his successful blog. It will feature additional resources for the prop maker, including books, shops, contact information, and how-to videos.

Places materials, methods, and techniques in a historical context to show what construction practices work best for different types of props

Uses practial step-by-step examples of real props built for the stage

.....

  • Taille : 23,5cm x 26cm
  • Contents
  • Preface IX
  • Aknowledgments. XI
  • Chapter I. What is a prop. pg1
  • Chapter II. Needs and Means. pg11
  • Chapter III. Safety. pg25
  • Chapter IV. Shop space. pg45
  • Chapter V. Assemblage. pg59
  • Chapter VI. Measuring and marking. pg78
  • Chapter VII. Carpentry pg100
  • Chapter VIII. Metal. pg129
  • Chapter IX. Plastics construction. pg161
  • Chapter X. Structure and framework. pg182
  • Chapter XI. Fabric. pg198
  • Chapter XII. Patterning and draping. pg225
  • Chapter XIII. Sculptural materials. pg238
  • Chapter XIV. Molding and Casting. pg255
  • Chapter XV. Shells and laminates. pg291
  • Chapter XVI. Surfaces. pg307
  • Chapter XVII. Painting. pg321
  • Chapter XVIII. Graphics. pg352
  • Chapter XIX. Budget estimates. pg361
  • Special note. pg367
  • Index. pg371
  • Website. pg383
Chicago Stage Lighting Co
1926
Chicago Stage Lighting Co
Chicago Stage Lighting Co
Auteur : Chicago Stage Lighting

A softcover theatrical supply company.

Contains descriptions and illustrations of various theatrical supplies, including switchboards, lights, electric stage effects (fireworks, flowing water, flying angels, rising mist, rolling lava, smoke and flames, etc.), music equipment, hardware, etc. Most likely from the 1920 s. The illustrations are all in black and white. The covers have bumped corners and edges, some rubbing, a couple creases, and chips on the crown and foot of the spine. The pages are all in excellent condition.

  • Taille : 22,5cm x 15cm
  • Use our Engineering Department; it is always at your service.We will gladly assist you in the making of sketches or designs and furnish any data you need.
Théâtre français au moyen âge
1842
Firmin Didot Frères, Libraires-Ed.
Théâtre français au moyen âge
Auteur : L. J. N. Monmerqué, Francisque Michel

M. Magnin compte trois phases diverses de progrès de décadence que le drame hiératique successivement parcourues : 1° l’époque de la coexistence du polythéisme et du christianisme ; 2° l’époque de l’unité catholique et du plus grand pouvoir sacerdotal; 3° l’époque de la participation des laïque Rosa exercée jusque-là par le clergé seul.

La première de ces périodes s’étend du premier au sixième siècle etM. Magnin la nomme hiératique que. C’est à cette époque qu’il faut rapporter les Mystères des Vierges sages et des Vierges folles, par la suivre notre recueil.

Ouvrez les guillemets la troisième période, dit le même savant, ou l’époque des confréries, nous montre l’art dramatique échappant parti, comme les autres arts, des mains affaiblies du sacerdoce pour passer, au XIIe siècle, dans celle des communautés laïques, pleine de cette ferveur pieuse et de cet enthousiasme de liberté, qui perd trois siècles après l’entier affranchissement de la pensée qui la complète sécularisation des arts… (5) Il nous est resté de cette époque des monuments dramatiques en langue française à 50 érables et d’une assez grande perfection relative pour que l’on puisse supposer sans témérité qu’elle en a produit davantage ; quoi qu’il en soit, nous avons donné ce qu’il en reste : nous voulons parler des pièces qui suivent le miracle de tes Vierges sages et des Vierges folles et qui précède celui d’Amis et d’Amille.

C’est réellement à cette époque commence pour nous le thétre français dans le sens à ce dernier mot. M. Magnin le fait remarquer en ces termes :

« qu’est l’ouverture de la troisième, nous verrons le drame ecclésiastique obligé de renoncer à la langue latine et de la remplacer par des idiomes vulgaires. Devenu peu à peu trop étendu pour conserver sa place dans les offices, le drame liturgique fut représenté les jours de fête, après le sermon. La Bibliothèque Royale possède un précieux manuscrit des premières années du XVe siècle qui ne contient pas moins de 40 drames ou miracle, tous en l’honneur de la Vierge, la plupart précédés ou suivis du sermon en prose qui leur servait de prologue ou d’épilogue. Déjà, dans ce recueil, dont la composition remonte au XIVe siècle, plusieurs légendes laïques et chevaleresques, telle que celle de Robert-le-diable, dénote l’affaiblissement graduel de la prochaine décadence du drame hiératique (6). »

Il m’a paru nécessaire de donner ces notions préliminaires avant d’aborder l’histoire de notre travail. Sans doute j’eusse pu composer une introduction avec les matériaux que j’avais rassemblés pendant plusieurs années sur l’histoire de notre ancien théâtre, et me dispenser par la depuis ici largement dans l’ouvre d’autrui ; mais arrivé en présence du public avec des opinions que je devais à mes propres études, j’ai attendu qMu’il me fut permis de les exprimer et de le.s soutenir devant lui. Magnin s’était engagé en partie du même soin ; je l’ai entendu, j’ai mêlé mes applaudissements à ceux de la foule éclairée qui se pressait autour de lui ; et quand mon tour est venu de prendre la parole, j’ai d renoncer et m’en tenir au développement et aux conclusions de l’habile maître, qui fut pour moi de trouver sommeil en. Le tribunal de la critique, on le sait, a déclaré la cause entendue.

Francisque Michel

  • Taille : 27cm x 18cm
  • Table des matières contenues dans ce volume.
  • Les Vierges sages et les Vierges folles. pg1
  • La Résurrection du Sauveur. (Fragment de mystère.). pg10
  • Jeux, par Adam de la Halle. pg21
  • Le Miracle de Théophile. pg136
  • Jeu de Saint-Nicolas, par Jean Bodel. pg157
  • De Pierre de la Broche qui dispute à Fortune par devant Reson. pg208
  • Un Miracle de Notre-Dame d’Amis et d’Amille. pg216
  • Un Miracle de saint Ignace. pg265
  • Un Miracle de Saint-Valentin. pg294
  • Un miracle de Notre-Dame, comment elle garda une femme destre arse. pg327
  • Un Miracle de Notre-Dame, de l’empereris de Romme. pg365
  • Un Miracle de Notre-Dame. pg417
  • Un Miracle de Notre-Dame. pg481
  • Un Miracle de Notre-Dame. pg551
  • Un Miracle de Notre-Dame. ph609
La pyrotechnie
1997
I.R.M.A. Editions AS
La pyrotechnie
Auteur : D. Mandin, Y. Métayer

ISBN : 2912017017

Les mémentos du spectacle,

une collection Asdec.

L’information et la qualification des professionnels intervenants dans les champs de la création et de l’action culturelle suppose la meilleure diffusion possible des publications spécialisées les aidant à exercer leurs différentes activités.

Agissant déjà dans leurs disciplines respectives, plusieurs éditeurs dont les Editions AS (« Actualité de la Scénographie »),l’IRMA (« L’Officiel de la Musique », « Profession Artiste »), ont décidé de regrouper leurs moyens et leur savoir-faire pour des opérations transversales.

Ainsi est née l’idée de cette collection de fascicules pratique consacrés à des questions scéno-techniques, de réglementation de sécurité et de pratiques professionnelles, valable pour l’ensemble du secteur.

Le premier numéro, consacré à la pyrotechnie (la réglementation, les dispositions administratives, les produits utilisés et la formation), a vocation à offrir une information générale à l’ensemble des commanditaires institutionnels et privés, et à tous les utilisateurs.

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Sommaire.
  • Editorial. pg1
  • Introduction. pg5
  • I. La réglementation. pg6
  • I.1. Classification des produits. pg7
  • I.2. Autre classification internationale des matières explosives : le code ONU. pg7
  • I.3. Classification internationale pour le transport. pg8
  • I.4. Classification française des artifices de divertissement. pg8
  • I.5. mise en liaison pyrotechnique. pg10
  • I.6. Responsabilité juridique. pg11
  • II. Les conditions de mise en ouvre. pg12
  • II.1. Règle générale. pg12
  • II.1.A. Phase importante : le repérage du site et l’organisation du chantier. pg12
  • II.1.B. Distance de sécurité. pg13
  • II.1.C. Règles de mise en ouvre. pg13
  • II.2 Réception et stockage p.g20
  • II.2.A. Provisoire. pg20
  • II.2.B. Dépôt permanent. pg20
  • II.3. Transport et manipulation . pg21
  • II.3.A. Exemption du RTMDR. pg21
  • II.3.B. Transport par messagerie routière. pg22
  • II.3.C. Transport ferroviaire. pg22
  • II.3.D. Transports maritimes. pg22
  • II.3.E. Transport aérien. pg22
  • III. Les dispositions administratives. pg23
  • III.1. Documents administratifs pour le transport. pg23
  • III.1.A. La déclaration de chargement de matières dangereuses. pg23
  • III.1.B. Consignes de sécurité relative au transport par la route de matière et objets explosives de classe un. pg24
  • III.2. Autorisation. pg25
  • III.2.A. Dans les ERP. pg25
  • III.2.B. les Monuments historiques. pg25
  • III.2.C. Importation et exportation. pg25
  • III.3. Déclaration à la préfecture. pg26
  • III.4. Assurance responsabilité civile.pg26
  • III.5. Les contrats. pg28
  • III.5.A. Les employeurs des artificiers. pg28
  • III.5.B. Contrat de travail de l’artificier. pg28
  • IV. Les produits utilisés en pyrotechnie
  • .IV.1. Généralités sur les matières utilisées en pyrotechnie. pg29
  • IV.1.A. La caractéristique des produits. pg29
  • IV.1.B. La cla sse de feu des matières p yrotechniques.pg29
  • IV.1.C. Moyens d’extinction. pg30
  • IV.1.D. Les dangers de l’utilisation de produits pyrotechniques . pg30
  • IV.2. Les artifices de divertissement. pg32
  • IV.2.A. Fontaine où j’ai. pg32
  • IV.2.B. Les bombes. pg32
  • IV.2.C. Pots à feu et comète. pg34
  • IV.2.D. Les flammes de Bengale et embrasement. pg34
  • IV.2.E. Les fumigènes. pg34
  • IV.2.F. Les fusères. pg36
  • IV.2.G. Les nautiques. pg36
  • IV.2.H. Les soucoupes volantes. pg36
  • IV.2.I. Les pièces sur ma. pg38
  • IV.2.J. Les compacts. pg38
  • IV.3. Les accessoires. pg41
  • IV.3.A. Non pyrotechnique ou inerte. pg41
  • IV.3.B.Les accessoires pyrotechniques. pg44
  • IV.4. Les outils et le matériel de l’artificier. pg44
  • V. La formation professionnelle. pg47
  • V.1. La form ation en France. pg47
  • V.2. quivalence des formations des artificiers à l’étranger. pg44
  • VI. Les annexes. pg48
  • VII. La bibliographie « sécurité ». pg53
Carnaval, ou La fête à l'envers
1992
Gallimard
Carnaval, ou La fête à l'envers
Auteur : Daniel Fabre

ISBN : 2070531635

«Fais ce que tu voudras», proclame le carnaval, mais son ordre est rigoureux. Le domaine de chaque âge, sexe et condition, la relation aux morts, les formes du temps, tout le socle d'une société s'y révèle et s'ordonne sous le masque et par lui. Carnaval ! Le mot suffit à faire surgir parades et fêtes populaires parmi les plus tenaces.

Daniel Fabre en visite le royaume et en désigne la double énigme. Dans quelles filiations inscrire ces déguisements ? Comment comprendre cette inversion toujours renouvelée ?

  • Taille : 18cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • I. Le vertige des origines.
  • - Le roi caché. pg14
  • - Rites et temps. pg16
  • - Mémoire d’un exil. pg18
  • - La ronde des mois. pg20
  • - La villa des Mystères. pg22
  • - Les jours intercalaires. pg24
  • - Démons et masques. pg26
  • - Des voeux et des étrennes. pg28
  • - Les autres dieux. pg30
  • - En attendant carême. pg32
  • II. Carnaval des champs.
  • - Errances nocturnes. pg36
  • - Quêteurs et voleurs. pg38
  • - Paillardises. pg40
  • - La danse macabre. pg42
  • - Du cochon pour les morts. pg44
  • - La chasse aux filles. pg46
  • - Maîtresses femmes. pg48
  • - La conversion galante. pg50
  • III. Carnaval des villes.
  • - La messe de l’âne. pg54
  • - Le roi des coqs. pg56
  • - Noblesse en boucherie. pg58
  • - Abbés de Malgouvern . pg60
  • - Des carême prenant à Pâques. pg62
  • - Un langage d’initiés. pg64
  • - Le fol esquif. pg66
  • - Souffles et pets. pg68
  • - Le royaume du Christ. pg70
  • IV. Carnaval des cours.
  • - Fastes florentins. pg74
  • - La comédie des juifs. pg76
  • - Les «masquers » de Ben Jonson. pg78
  • - Entre rue et scène. pg80
  • - Maîtres et serviteurs. pg82
  • - Venise, un carnaval permanent … pg84
  • - Carnaval annexé. pg88
  • - De la cour à la ville. pg90
  • V. Le retour des masques.
  • - « Malades du carnaval ». pg94
  • - Chahuts et guinguettes. pg96
  • - Naissance des reines. pg98
  • - Les contraires s’affichent. pg100
  • - Du pain et des jeux. pg102
  • - Carnaval à la niçoise. pg104
  • - Figurent des Alpes. pg106
  • - Les visages de Narcisse. pg108
  • - Un royaume intermittent. pg110
  • Témoignages et documents.
  • - Les sots et les fous. pg114
  • - De la rue au théâtre. pg120
  • - 1788, Venise et Rome. pg126
  • - Les masques, les morts. pg134
  • - Carn aval à côté. pg140
  • - Les masques vivants. pg144
  • - Le carnaval en d’autres mondes. pg146
  • - Annexes. pg152
Understanding OISTAT Network of global Th. Professionals
2017
OISTAT
Understanding OISTAT Network of global Th. Professionals
Auteur : Shirley Yang

ISBN : 9789299006320

Are you still not getting what an international organization is? Are you still wondering what OISTAT is and what OISTAT does? Here is your best solution!

Understanding OISTAT – Network of Global Theatre Professionals is the best, most easy-to-read guidebook to peek into the international theatre organization – OISTAT. OISTAT, as a communication hub for the international theatre community since 1968, aims to generate and promote ongoing exchange of knowledge, international collaborations, and experimentations.

This book details OISTAT’s organizational structure, operations, activities, its transitions and challenges. It provides insights into its past and future. While revealing challenges many international NGOs face, it further offers suggestions in evolving with the ever-changing world. The book includes a complete record of OISTAT leadership, significant milestones, international activities and projects that will prove as a valuable resource for the worldwide theatre community.

OISTAT Headquarters as a moving entity has traveled from Prague, Amsterdam, and now to Taipei. With the advantage of being in a Mandarin-speaking country, this book was able to be composed in both English and Chinese, in order to serve broader readers.

As the only international NGO with a migrating Headquarters, through this book, you will see the transformation of the organization, the every-day works, the challenges and opportunities. The interviews with international theatre professionals are also featured, revealing the true face of OISTAT.

  • Taille : 18,5cm x 13cm
  • Contents.
  • Preface by Louis Janssen.
  • Ch 1 / Understanding OISTAT
  • Starting with basic questions.
  • Getting to know OISTAT. pg6
  • The Common Principles.
  • OISTAT Keywords. pg12
  • How it is Operated.
  • The Organization. pg14
  • Talking to Everyone around the World.
  • International Projects. pg24
  • Publishing Theater Arts.
  • Key Publications. pg3
  • 0Ch 2 / The Role of the Headquarters.
  • From Prague in the iron Curtain to Taipei in the 21st Century, the World Comes Together.
  • The Transition of the Headquarters. pg34
  • No Responsibility is Too Big or Too Small.
  • The Headquarters’ Functions. pg47
  • Ch 3 / Challenges of OISTAT.
  • Evolving with World.
  • Six Essential Challenges of OISTAT. pg56
  • Ch 4 / Future of OISTAT.
  • Insiders’ Point of View.
  • Going Forward. pg68
  • Through the Eys of a Theater-maker.
  • Tung-Yen Chou : Fostering Intangible Assets through Cultural Interchange. pg76
  • An Open Mind Leads to Endless Possibilities.
  • Tips for Newbies. pg81
  • What We Learned from Our Success and Mistakes.
  • Dos and Don’ts for the Headquarters Team. pg87
  • OISTAT Timeline 1968 - 2017. pg94
  • OISTAT Governance 1968 - 2017. pg101
  • OISTAT Publications. pg121
Peinture Décor
1990
Hachette
Peinture Décor
Auteur : A. Sloan, K. Gwynn, J.-J. Schakmundes

ISBN : 2010160924

Peindre ne signifie pas seulement appliquer au rouleau trois couches d’émulsion d’une même couleur …

En vous révélant les secrets des décorateurs, Annie Sloan et Kate Gwynn vous font découvrir des techniques de peinture décorative auxquelles vous n’aviez peut-être pas songé ou dont vous pensiez qu’elles étaient réservées aux professionnels.

Porte en « chêne », sol en faux marbre, tapis ou fenêtres en trompe-l’oil, plateau de table en « malachite », boîte à bijoux en « écaille de tortue », impression au pochoir, etc., toutes ces techniques sont expliquées, détaillées et illustrées de photographies en couleurs.

Un principe d’évaluation des difficultés permet aux novices comme aux plus expérimentés de faire leur choix : pour les uns, un véritable apprentissage, pour les autres, une nouvelle source d’inspiration.

  • Taille : 29cm x 21,5cm
  • Sommaire.
  • Introduction. pg6
  • Chapitre I.
  • Couleurs et autres sources d’inspiration. pg10
  • La palette - l’importance de la couleur - noir, gris et blanc - blancs cassés - jaunes - Roses - terres rouges - bleus - rouges - verts - les motifs.
  • Chapitre II.
  • Le matériel. pg28
  • Brosses et pinceaux -ponge, peignes et chiffons - peintures et vernis - autres accessoires - pochoirs - matériel pour vernis et dorures - les préparatifs - compatibilité des supports - la fin de journée.
  • Chapitre III.
  • Finitions simples. pg50
  • Chiqueté ou dépouillé à l’éponge - chiffon d’étamine - chiffon roulé - moucheté - essuyez - lycée - fouettez - effet vannerie - peigné.
  • Chapitre IV.
  • Finitions de prestige . pg76
  • Gesso - brosse à adoucir - marbre fantaisie - faux marbre - brèche - malachite - porphyre - lapis-lazuli - Agathe - granite - écaille de tortue - moiré - les faux bois - 20 - chaîne - érable madré - loupe de noyer - acajou - faux bois à l’eau - dorure à la feuille - patine vieillissement - vernis - laque et craquelé.Chapitre V.Le reste du décor. pg134
  • Boiseries et éléments de cuisine - portes et chambranles - lambris, plinthes et radiateurs - plafonds et corniches - cheminées - fenêtres et volets - vestibules, escaliers et balustrades - sols.
  • Chapitre VI.
  • Mobilier. pg156
  • Grands meubles - petits meubles - filets.
  • Chapitre VII.
  • Impression et pochoirs. pg172
  • Empreintes de végétaux - impressions en série - l’arbre imprimé - tampons - pochoirs - pochoirs « ready-made » - rayures - frottage.
  • Chapitre VIII.
  • Peinture à main levée. pg194
  • La brosse - improvisation - rigueur - trompe-l’oil - grisaille - portes des panneaux - Ciels - imitation pierre - impression sur tissu.
  • Glossaire. pg214
  • Index. pg217
  • Fournisseurs, décorateur, artistes .pg222
  • Remerciements. pg224
Manutentions-Evaluer et prévenir risques
2008
Serv. pub. fédé. Emploi
Manutentions-Evaluer et prévenir risques
Auteur : Ph. Mairiaux, Collectif

ISBN : D1998120513

Les risques que cette brochure veut prévenir, sont les risques associés à la manutention manuelle, c'est-à-dire non seulement les risques d'accidents de travail ayant des conséquences pour le dos, les membres inférieurs (entorses…) ou les extrémités (coincement des doigts…) mais également le vieillissement progressif des structures ostéoarticulaires, la fatigue et la dépense d'énergie excessives.

A cet effet, le guide fournit des outils d'auto-évaluation de ces risques et propose une démarche de choix des priorités et des stratégies de prévention.

La brochure a été élaborée par une équipe du Service de santé au travail et d'éducation pour la santé de l'Université de Liège.

Ce guide peut être utilisé avec la Fiche d'identification des facteurs de risque liés à la manutention (FIFARIM).

Cette publication est uniquement disponible en téléchargement.

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Tables des Matières
  • Avant-propos.
  • Chapitre 1
  • Pourquoi et Comment prévenir les risques ?. pg5A
  • ..L’importance.des.risques.:.quelques.chiffres.pg6B
  • ..Effets.et.dommages.potentiels.des.manutentions.manuelles. pg8 1..Effets.et.dommages.potentiels.liés.aux.contacts. pg8 2..Effets.et.dommages.potentiels.liés.aux.efforts. pg9 3..Effets.et.dommages.potentiels.sur.la.colonne.vertébrale. pg 11C..La.démarche.pour.la.prévention.des.risques. pg21 1..Quelques.définitions. pg21 2..Une.démarche.structurée.par.étapes.et.par.niveaux. pg23Chapitre 2Des outils D’analyse. pg27A..Le.repérage.des.sources.de.danger. pg28 1..Analyser.les.données.de.production. pg28 2..Analyser.les.données.relatives.aux.accidents.du.travail. pg30 3..Recueillir.les.plaintes.du.personnel. pg34B..L’évaluation.du.risque.:.la.FIFARIM. pg35 1..Le.mode.d’utilisation.de.la.FIFARIM. pg 35 2..Le.contenu de la FIFARIM. pg37C..Choisir.des priorités.pour.la.recherche de solutions. pg52 1.Méthodologie.our.la.sélection.des.priorités. pg52 2..Estimation.quantitative.du.niveau.du.risque. pg53Chapitre 3les stratégies de prévention. pg55Un.arbre.de.décision. pg56Un.exemple. pg58 Présentation.générale. pg60Etape.1.:.Transformer.radicalement.la.tâche. pg61 Etape.2.:.Eliminer.le.risque.associé.à.la.tâche. pg62 Etape.3.:.Réduire.le.risque.associé.à.la.tâche. pg65Annexes. pg89.Dispositions.légales. pg90Ressources bibliographiques. pg94
La Tour Lumière Cybernétique
1973
Denoël / Gonthier
La Tour Lumière Cybernétique
Auteur : Nicolas Schöffer

Une oeuvre d’art à l’échelle de la ville moderne, tel est l’objectif de Nicola Schöffer lorsqu’il est établi le projet de construction de la Tour Lumière Cybernétique. Première réalisation artistique conçue pour une grande métropole, elle symbolisera et concrétisera une des aspirations de l’homme actuel : mettre au service de l’art et de la culture les acquis techniques et scientifiques ; elle sera un exemple d’un art nouveau créé pour une société nouvelle.

  • Taille : 21,5cm x 13,5cm
  • Table.
  • Introduction. pg7
  • Historique. pg9
  • Qu’est-ce que la Tour Lumière Cybernétique ? pg21
  • L’image de laTtour. pg37
  • Aspect artistique de la Tour. pg61
  • Aspect urbanistique de la Tour. pg69
  • Aspects politiques de la Tour. pg77
  • Aspects économiques aux financiers et crédibilités de la Tour. pg81
  • L’avenir de la Tour.pg87
  • Postface. pg91
  • Appendices
  • 1. Schéma de fonctionnement du centre de contrôle et de régularisation d’une ville cybernétique. pg97
  • 2. Schéma théorique du fonctionnement de la T.L.C. pg98
  • 3. Descriptif du fonctionnement de la T.L.C. pg99
  • 4. Constitution de l’ensemble cybernétique de la T.L.C. pg102
  • 5. Programme du calculateur. pg107
  • 6. Simulation de fonctionnement et visualisation de certains éléments de la T.L.C. pg111
  • 7. Calcul préliminaire de la structure métallique. pg123
  • 8.Plan de la T.L.C. pg129
  • 9 . Plan de situation de la T.L.C. pg131
  • 10. Coupe générale . pg132
  • 11. Plan de situation et délimitations autour de la T.L.C. pg133
  • 12. Prévision du nombre de visiteurs. pg134
  • 13. Profil en long sur l’axe triomphal et situation de la T.L.C. pg135
  • 14. Sociétés ayant pris par aux études. pg136
  • 15. « Paris, centre d’évolution », extrait d’un manuel. pg137
  • Notice bibliographique. pg138
Woyzeck ou l'ébauche du vertige
1997
L'Arche éditeur
Woyzeck ou l'ébauche du vertige
Auteur : Josef Nadj, Lajos Somlosi

« Cette vérité, tout d'abord -connue et avérée, mais toujours oubliée : que Woyzeck est un drame inachevé, l'état d'une forme en devenir arrêtée net par la mort de l'auteur. Non pas une pièce en fragments, mais une pièce en morceaux : car le tout des morceaux n'est pas celui des fragments, il est moins noble, il n'a pas séjourné dans la science et ne se constitue pas en réseau mais s'empile simplement, strate après strate. Morceaux à l'étal, empilés sur la scène, comme ci ou comme ça... Les voix qui parlent dans Woyzeck parlent dans la folie qu'il n'y ait pas (ou plus) de loi et que la nature soit ce qui, aux pauvres gens, tienne lieu de loi, mais comme un vide : bouteilles bues dans les cabarets, lueurs animales dans la nuit. Parce qu'elle est écrite avant que les "pauvres gens" ne se constituent (ou ne soient constitués) en tant que sujet révolutionnaire -avant, donc, leur rassemblement autour d'une loi ou de ce qui peut en tenir lieu -, l'histoire de Woyzeck et de Marie, quoiqu'historiquement située, et même située dans le trou de rat de l'Allemagne au ciel très bas du Vormäz, échappe à l'agitation héroïque comme à toute récitation orientée ou édifiante... Jean-Christophe Bailly

  • Taille : 21,5cm x 17cm
  • Interprétation (création) Guillaume Bertrand, Istvan Bickei, Denes Debrei, Samuel Dutertre ou Franck Micheletti, Peter Gemza, Josef Nadj, Henrieta Varga
  • Interprétation (reprises) István Bicskei, Dénes Döbrei, Gyula Francia, Péter Gemza, János Mercs, Josef Nadj, Henrietta Varga Musique Aladar Racz
  • Lumières et Direction technique Raymond Blot Coproduction
  • Théâtre National de Bretagne – Rennes, Centre chorégraphique national d’Orléans Création
  • Théâtre National de Bretagne – Rennes, mars 1994 Durée 60 minutes
  • Prix Ce spectacle a remporté le premier prix du public au 32e Festival du « BITEF » à Belgrade en 1998, et le « Masque d’or » du meilleur spectacle étranger présenté en Russie pour l’année 2002.
Territoires intimes-M. Noiret-La danse-ciné
2009
Al. th. coédit. Cie M. Noiret/Tandem
Territoires intimes-M. Noiret-La danse-ciné
Auteur : P. Chabot, S. Laloux

ISBN : 2874280658

À travers les photographies de Sergine Laloux, les textes et les regards de Marie Baudet, Rosita Boisseau, Pascal Chabot, Claire Diez, Bernard Foccroulle, Bruno Follet, Thierry Knauff, Brigitte Lefèvre, Gérard Mayen, Joseph Noiret et Jean-Marie Wynants, se dessinera toute la richesse d’un parcours chorégraphique qui, depuis plus de vingt ans, explore l’humain et les multiples mondes qui l’habitent.

  • Taille : 30cm x 24cm
  • Préface
  • Michèle Noiret. pg9
  • Une gestuelle comme suspendue
  • Brigitte Lefèvre. pg10
  • Danser, voir, penserPascal Chabot. pg12
  • La complexité et l'épureJean-Marie Wynants. pg22
  • La danse comme création d'un sensJoseph Noiret. pg32
  • L'horlogerie du rêveClaire Diez. pg40
  • Une héroïne nocturneRosita Boisseau. pg48
  • Solo+à Mains NuesThierry Knauff. pg50
  • La danse comme un journal intimeBernard Foccroulle. pg52
  • Comment puis-je aimer Michèle Noiret ?Gérard Mayen. pg56
  • Graphies intimesMarie Baudet. pg62
  • Pour un spectateur acteur, voir(e) plus...Bruno Follet. pg68
  • Histoires naturelles de la CrevêcheJoseph Noiret. pg76
  • La mémoire du photographeSergine Laloux. pg78
  • Un réseau de créateurs
  • Michèle Noiret, Pascal Chabot. pg150
  • Créations et tournées. pg68
Picasso. El Sombrero de Tres Picos
1993
Museu Picasso
Picasso. El Sombrero de Tres Picos
Auteur : Brigitte Léal

ISBN : 8476095708

Catálogo de la exposición organizada por el Musée des Beaux-Arts de Lyón describe íntegramente la historia del primer ballet español de Picasso, El sombrero de tres picos. Por primera vez se publican juntos las fotografías y documentos de archivo de la época, las maquetas y bocetos de Picasso del telón de boca, de los decorados y del vestuario del ballet, las páginas de sus cuadernos de trabajo con los proyectos de maquillaje y atrezzo, así como un reportaje inédito sobre la realización del telón de boca en los talleres del Covent Garden de Londres en 1919.

  • Taille : 28 X 22,5
  • Sumario.
  • Presentacion. pg9
  • Picasso, Falla y Massine : un trio historico, de Vicente Garcia-Marquez. pg11
  • « Una escenografia maravillosa », de Brigitte Léal. pg21
  • Los decorados. pg31
  • El Vestuario. pg43
  • El Telon. pg69
  • Album polunin. pg79
  • Las presentaciones. pg91
  • Picasso y la danza de Brigitte Léal. pg99
  • Cronologia. g106
  • Revista de prensa. pg107
  • Lista de obras expuestas. pg112
  • Lista de documentos, de Laurence Berthon. pg116
  • Bibliografia. pg118
  • Expositiones. pg119
  • de Laurence Berthon
Photographies Jacquie Bablet
2009
Osrodek Dokumentacji Sztuki T. Kantora Cricoteka
Photographies Jacquie Bablet
Auteur : D. Bablet, J. Bablet, A. Halczak

ISBN : 8361213325

This catalogue presents 18 photographes documenting Kantor’s spectacles, taken by Jacquie Bablet. It also contains a DVD footage of an interview with Kantor speaking about his paintings (with English subtitles).

  • Taille : 20cm x 19,5cm
  • Table des matières
  • Préface par Anna Halczak. pg5
  • Tadeusz Kantor et la Photographie par Denis Bablet. pg11
  • La Classe Morte par Jacquie Babled. pg35
  • Jacquie Bablet. pg50
  • Denis Bablet 1930-1992. pg52
Współczesna scenografia polska
1983
Arkady
Współczesna scenografia polska
Auteur : Zenobiusz Strzelecki

ISBN : 8321330207

msc.J. Grotowski, sceno. Jerzy Gurawski - Opole (1960, 1962, 1963) - The Constant Prince after Calderon (1966) ...

Tadeusz Kantor - The Return of Odysseus (1943), In a Little Country House (1958), The Water Hen (1968), The Cobblers (1972), The Dead Class (1975) ...

  • Taille : 31.5cm x 24cm
  • 58 reproductions couleurset 497 reproductions noir et blanc
Eclairage électrique, Photométrie des Arcs
1920
Société Française des Electriciens
Eclairage électrique, Photométrie des Arcs
Auteur : Mr. Laporte, Mr. Jouaust

Société Française des Electriciens - Ecole Supérieure d’Electricité - Eclairage Electrique, conférence par Mr. Laporte - Photométrie des Arcs, conférence par Mr. Jouaust - Promotion 1919-1920 - Rédaction des Elèves

  • Taille : 23cm x 18cm
  • Première partie.
  • Les lampes électriques. pg3
  • La lampe à incandescence à filament de carbone. pg13
  • Lampe à filament métallique.Comparaison des lampes métalliques avec la lampe carbone. pg26
  • Lampe au tungstène. pg33
  • Lampe au tungstène dans l’azote. pg46
  • L’arc électrique. pg50
  • Arc en vase clos - Courant continu.
  • Charbons ordinaires. pg67
  • Arc à courant alternatif. pg69
  • Charbons ordinaires. pg77
  • Arc incandescent ou arc entre charbon minéralisé, arc à flamme, arc intensif. pg80
  • Les lampes à arc. pg93
  • Renseignements techniques pour la mise en route et l’entretien des lampes à arc. pg109
  • Sources lguminescentes. pg119
  • Tubes à gaz raréfié. pg126
  • Deuxième partie. Emploi des lampes électriques. pg132
  • Projet d’éclairage. pg155
  • Prix comparatif des divers éclairages. pg172
  • Bibliographie sommaire. pg173
  • Conférence de Monsieur Jouaust sur la photométrie des arcs. pg175
Ciné Almanach Prisma 2
1955
Prisma
Ciné Almanach Prisma 2
Auteur : Pierre Faveau

Voici la deuxième édition du Ciné Almanach Prisme, non seulement « revue et corrigée » comme il se doit, mais transformée, un peu dans la présentation, beaucoup dans sa rédaction est augmentée de nouveaux sujets.

Ce que nous avions dit de l’Art du Cinéma est d'aujourd'hui comme d’hier ; nous n'y avons apporté que quelques retouches.

Il en fallait au contraire dans l'exposé des notions essentielles, pour mieux montrer le rapport avec une bonne technique son tendon sans cesse dans les domaines nouveaux.

Ainsi, il nous a été possible de parler plus longuement de la couleur, domaine privilégié du cinéaste amateur, d'étudier les différents procédés de sonorisation des films et les nouveaux compléments optiques qui apportent à nos projections une meilleure sensation de relief et d'espace.

Comme pour le premier Ciné-Almanach Prisme nous avons adopté l’ordre alphabétique en lui donnant plus de souplesse. Il nous a paru, en effet, nécessaire de grouper les notions du même ordre, soit qu'elles se rapportent à l'optique, la lumière, la mécanique, soit au matériel, à la technique, à l'esthétique du film. Le débutant comme l'amateur déjà entraîné en trouverons la lecture plus aisée.

Pour que cet ouvrage soit un véritable guide, nous avons établi une liste complète du matériel de prise de vue et de projection ; elle fut mise à jour à l'occasion de la Biennale de la Photographie et du Cinéma.

La première édition du Ciné-Amanach Prisme été signé par Pierre Faveau et Pierre Boyer ; leurs compétences due à leur ancienneté dans l'étude des problèmes cinématographiques avait assuré à cet ouvrage le succès qu'il vérité.

Que ce titre Pierre Boyer trouve ici l'expression renouvelée de nos remerciements.

Pierre Faveau, parachevant le travail d'équipe déjà entrepris, assure seul la charge de cette nouvelle édition appelée, nous n'en doutons pas, au même succès.

  • Taille : 18,5cm x 14cm
L'Eclairage des spectacles
1982
Librairie théâtrale
L'Eclairage des spectacles
Auteur : Yves Bonnat

ISBN : 2734900009

Préface.

Préfacé un ouvrage, s’est donné la clé qui permet au lecteur d’entrer de plain-pied dans le monde de l’auteur.

Apparemment, ce qui est présenté ici comme une étude sur l’éclairage devrait se passer de cette clé.

Eh bien non ! Car si cette étude est limpide, admirablement documentée, elle recèle une richesse que son titre « technique » ne révèle pas. C’est sans doute là que réside la modestie de son auteur, Yves Bonnat.

Sachez que ce dernier se présente comme technicien du thétre, ce qui est, mais il est bien davantage. Il est un artiste dans toute l’acceptation du terme.

Oui, il est l’homme de l’art, car il connaît à merveille, pour les avoir pratiqué, toutes les données des spectacles : lyriques, dramatiques, revues, music-hall, cirque … rien en la matière ne lui est étranger.

Yves Bonnat semble se complaire à oublier qu’il est un excellent peintre, un décorateur de thétre, d’opéra, qui a fait avancer cette pratique d’une façon considérable durant des lustres. Que ce soit l’Opéra de Paris, sur les grandes scènes de France ou à l’étranger, il a apporté sa large contribution au dépouillement scénique à la rigueur que l’on a parfois tendance à négliger.

Qui plus est, B Yvesonnat, en tant que critique, a bourlingué dans toutes les salles de spectacles, de l’Opéra au Casino de Paris. Et c’est là que tout se forme : le got, la connaissance, la précision d’une opinion et surtout la sensibilité aux propositions des artistes qui font des spectacles.

Et quel intérêt y aurait-il à dépeindre toutes les possibilités de l’éclairage scénique si l’on n’avait pas éprouvé leur efficacité sur les réactions du public et des acteurs ?

C’est bien là que l’ouvrage diffère de ce que l’esprit présagé son titre .

YvesBonnat ne dit pas que dans cette étude. Certes, ils livrent tous les secrets des techniques de l’éclairage, c’est-à-dire un des éléments essentiels du spectacle ; le miracle qui lui donne vie. Mais il oublie de dire quelle âme il a souvent donné à ce monde du spectacle.

Je n’ai jamais vu de plus beau et de plus fort est car même que celui dont il a imaginé le dispositif scénique riche en lumière construite cette fois par un arc renversé, symbole du ciel et de la reine. Pas de fioritures, mais l’éclairage du chef-d’ouvre intime de Bizet.

Certes, Yves Bonnat parle de ce dispositif du Théâtre de Verdure d’Aix-les-Bains où se déroulait le Festival International de la Danse, mais inédit pas que ce fut lui l’me d’une manifestation unique en son genres et jamais renouvelés.

Si je dis tout cela, c’est pour que vous disiez « autrement » cette étude, afin d’acquérir davantage que la connaissance d’une technique. travers cet ouvrage, c’est la vie du spectacle que vous devez saisir à l’aide des mots simples d’Yves Bonnat derrière lesquels se cachent, avec pudeur, l’artiste qu’il est profondément.

Charles Humbert - Juillet 1982.

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Remerciements. pg6
  • Préface. pg7
  • Première partie : Historique et équipements. pg9
  • I. Origine de l’éclairage dans le spectacle. ph11
  • II. L’éclairage dans les lieux fermés. pg12
  • III. Naissance du jeu d’orgue et avènement de l’électricité. pg16
  • IV. L’évolution du jeu d’orgue. pg19
  • V. Les appareils.pg21
  • VI. Localisation de l’équipement électrique. pg24
  • VII. Equipements électriques en plein air. pg29
  • VIII. Equipements électriques dans les salles polyvalentes. pg33
  • IX. Equipements dans les lieux fermés non spécifiques. pg36
  • X. Equipements électriques des spectacles itinérants. pg38
  • Deuxième partie : Utilisation pratique et conception de l’éclairage d’un spectacle. pg39
  • I. Dans une situation classique. pg41
  • II. En plein air :
  • A) dans un thétre antique. pg48
  • B) Dans d’autres monuments historiques. pg50
  • Troisième partie : Opinions. pg61
  • Conclusion : Et si l’on revenait à la bougie. pg73
  • Glossaire. pg77
  • Bibliographie française sommaire. pg81
  • Table des illustrations. pg83
The Tribes : A Walking Exhibition
2017
Arts and Theatre Instit.
The Tribes : A Walking Exhibition
Auteur : S. Pantouvaki, S. Lotker, P. Borkovec

ISBN : 9788070083840

Almost one year after the 13th edition of the Prague Quadrennial of Performance Design and Space, a publication has been released dedicated to the SharedSpace: Music Weather Politics project with a particular look at the latest PQ exhibition.

Each of the essays, written by foremost professionals in the field of scenography, such as Irena Šentevska, Peter Crawley, Vojtěch Poláček, Rachel Hann, Sodja Lotker, Joslin McKinney, Sigrid Merx and others, presents a highly particular and personal “take" on the highly diverse constellations of PQ 2015 events. At the same time the book defines some of its key concerns, innovative approaches, questions, and challenges as well as the nature and considerations of scenography and theatre in the present moment.

  • Taille : 24cm x 19cm
  • Contents.
  • Acknowledgements. pg4P
  • reface. pg5
  • The Tribe at the PQ2015 - Introduction, par Sodja Lokter. pg6
  • The Tribe Route. pg16Tribes : Costume Performance and Social Interaction in the Heart of Prague, par Sofia Pantouvaki. pg24
  • The Artists’ Experience, par Sofia Pantouvaki. pg39
  • Experience. pg42
  • Spechtatorship. pg54
  • Spacial Dynamics. pg60
  • Aesthetic Variety. pg70
  • A Discution with Sodja Lokter, par Sofia Pantouvaki. pg93
  • Handa Gote : The Hut, par Sodja Lokter. pg102
  • Three Attempts at a Hut, par Petr Borkovec. pg107
  • The Tribes in Veles, Republic of Macedonia, par Sodja Lokter. pg110
  • Credits. pg117
  • Biographical Notes. pg119
Les Automates
1972
ABC décor
Les Automates
Auteur : Françoise Deflassieux, Jean Bedel

Musée de l'Automate

Place de l'Abbaye

46200 Souillac

  • Taille : 27,5cm x 20,5cm
  • Table des matières.
  • Jouet de Philosophes, amusement de Prince. pg5
  • Le lointain passé des automates. pg5
  • De l’occultisme à la science. pg10
  • Divertissement princier. pg16
  • Jacquemart et sa famille. pg20
  • Les renvois mécanicien. pg20
  • Au siècle des philosophes. pg24
  • Une demoiselle de 190 ans. pg38
  • Sorts et ressorts des automates. pg43
  • Chef-d’ouvre technique. pg43
  • La musique mise en boîte. pg58
  • Oiseaux chanteurs et bijoux musicaux. pg58
  • Autant des crinolines. pg66
  • Vivante tradition. pg67
  • Le secret des automates. pg75
  • Le temps des Jacquemart. pg79
  • Les mystères de Vaucanson. pg82
  • En avant la musique. pg85
  • Animaux en tout genre. pg85
Julio Le Parc, dialogue-lumière
1999
Publications Artistiques Françaises
Julio Le Parc, dialogue-lumière
Auteur : G. Gloanec, J-L Pradel, J. Le Parc

Recherches de lumière.

Comme toutes mes recherches, celle que j’ai faite avec la lumière ou quelque chose en suspens qui demande une continuation.

La presque totalité de mes recherches sont seulement sa : des recherches.

Elle prenne le minimum de chambre pour pouvoir être visualisé. Les potentialités de développement et d’adaptation ou d’intégration à différents domaines comme l’architecture, spectacles, cinéma…

De ces recherches de la fin des années 50 et début 60, bricoler rudimentaires ans, j’ai vu par la suite, avec l’aide du développement de la technologie de l’éclairage, des adaptations spectaculaires, grandiloquent ou simplement commercial, ou n’est qu’une mise en avant de puissance kilowatt et un répertoire des efforts faciles fournis par des ingénieurs en est chronique avec un cot de revient énorme.

Tout ceci est très loin du temps où je prenais l’ampoule de 60 W de la cuisine pour faire mes premières recherches avec la lumière artificielle. J’ai toujours pensé qu’il doit exister une corrélation entre les moyens utilisés et le résultat. L’imagination doit prévaloir sur la technique.

Ces expériences avec la lumière et le mouvement se rattache au principe d’éloignement d’une ouvre fixe, stable et définitive. Le spectateur se trouve devant, entouré par, le développement d’une multitude de changements. Le support uniforme des éléments ou des formes accentuent sans distraire l’instabilité mise en évidence. Ainsi le spectateur perçoit-il une partie des changements, ce qui suffit pour saisir le sens total de l’expérience.

cette époque, je pensais que mon intervention se limitait à confronter quelques éléments et qu’une fois le rapport établi, le résultat visuel obtenu en était la conséquence. Je pensais que ça ne devait être évident pour le spectateur et qui n’était pas à chercher les motivations émotionnelles, esthétique ou autres qui m’auraient conduit à choisir telle ou telle image.

Dans l’ouvre d’art traditionnel, tout est fixé par un système de signes et de clés qu’il faut connaître au préalable pour être en mesure de l’apprécier. Face à cette situation, nous pensions que la présentation d’expériences aux possibilités de changements multiples - dont les images étaient le résultat de la simple mise en rapport de quelques éléments plus ou moins complexe et non celui d’une main savante pour respirer de l’artiste - constituer un moyen, limitée certes, mais efficace, de commencer ou de poursuivre la démolition des notions traditionnelles sur l’art, son faire, son spectacle et son appréciation.

Les premières expériences avec la lumière furent réalisées fin 1959. Elles utilisent la lumière dans la petite boîte dont le but est de reproduire, multiplier et combiner, au moyen d’écran composé avec des plaques de plexiglas en forme de prisme, des carrés et des cercles utilisant une gamme de 14 couleurs. Comme dans d’autres recherches, il ne s’agit pas ici de faire des tableaux lumineux. La lumière n’était qu’un moyen, comme le plexiglas ou les formes géométriques, pour concrétiser certaines de mes préoccupations, tels que d’appréhender le potentiel de variation ainsi induite et les manifester dans un seul champ visuel.

De nombreuses expériences réalisées, dérivé du maniement des matériaux et de la différenciation des problèmes.

Pour circonscrire le spectateur, le placer au centre d’un phénomène, l’entourer d’une situation visuelle, quelques expériences furent réalisées dans le premier labyrinthe ; trois de mes propositions associent la lumière à des éléments réfléchissants pour donner forme à trois cellules que le spectateur est invité à traverser. Ces expériences excluent la possibilité d’appréhender le phénomène d’un seul coup d’oil comme dans le cas des tableaux traditionnels accrochés au mur ou des sculptures sur socle autour desquelles tournent le spectateur. Au contraire, elle plonge dans une situation visuelle en le sollicitant simultanément de tous les côtés, afin que l’image perçue pendant son passage soit le produit de son temps d’arrêt dans cet espace, des mouvements qu’il effectue, des images qui sont produites successivement, etc.

Sollicité par lumièrelumière pour faire quelque chose avec l’architecture des tours de la Rochelle et du fort Liédot l de’Ile d’Aix, je me retrouve en infériorité par rapport au maniement des technologies actuelles de l’éclairage. Il me reste à conjuguer les différents éléments et, comme d’habitude, avec une économie de moyens, mettre en fonction mon imagination et ma réflexion pour apporter des suggestions qui donnent pour résultat quelque chose de simple, direct évident.

Ainsi s’enclenche un processus de recherche qui ouvre de multiples possibilités à une échelle ou ma petite ampoule de 60 W est insuffisante. Les éventuelles réalisations doivent avoir un résultat basé sur une expérimentation réfléchie faisant surgir une idée claire avec une présence visuelle qui donne la possibilité de dialoguer avec celui qui regarde.

Julio Le Parc, avril 1999.

  • Taille : 30 X 23
  • Un voyage, deux escales par Guymette Gloanec. pg2
  • Julio Le Parc, l’enchanteur par Jean-Louis Pradel. pg3
  • Repères biographiques. pg13
  • Recherches de lumière par Julio Le Parc. pg16
Du décor à la scénographie : Antho. textes sur l'espace scénique
2014
L'Entretemps Ed.
Du décor à la scénographie : Antho. textes sur l'espace scénique
Auteur : Romain Fohr

ISBN : 2355391823

Depuis le glissement du terme de décor vers celui de scénographie en 1970, la thématique de l’espace de la représentation inspire de nombreuses réflexions pratiques et théoriques. Il nous a semblé nécessaire de réunir dans un même ouvrage les textes qui permettent de mieux comprendre les différents carrefours qui ont jalonné l’espace scénique depuis l’Antiquité. Comme il le pratique lors de ses cours au conservatoire, à l’université ou en école d’arts visuels et de design, Romain Fohr propose une amorce de réflexion avant chaque texte pour contextualiser le propos de l’auteur dans la situation de l’espace scénique de l’époque et du pays.

  • Taille : 19cm x 12cm
  • 104 décorateurs, scénographes, metteurs en scènes …
Traité scénotechnique: Machineries équipements salles spectacle
2012
Eyrolles
Traité scénotechnique: Machineries équipements salles spectacle
Auteur : Pierre Gautier

ISBN : 2212134584

Préface

La salle s’assombrit …

Le bruissement des conversations s’estompe et, imperceptiblement, s’éteint dans le noir absolu …

Voici, offerte au rêve, notre âme nue …

Une musique la prend par la main et l’entraîne dans l’irréel : un vent de nulle part se lève et fait scintiller, sous de mystérieuses lueurs, des frondaisons de métal qui semblent s’extraire du sol. Haut dans le ciel, dans un halo de lumière laiteuse, un personnage (est-ce un esprit ? Un ange ?) flottent dans l’espace avant de se poser avec légèreté dans la clairière devenue, entre-temps, miraculeusement rose …

Ainsi, quelque secondes ont suffi pour nous plonger dans le mystère des dieux qui ont fait surgir le rêve autour et en nous.

C’est « Dieu », nous les connaissons bien, leur nom s’affiche : l’auteur, le metteur en scène, le musicien, le chorégraphe, les acteurs … Ceux du fond de scène qui s’offre à nos applaudissements …

Mais qui connaît celui qui autour, dessous, derrière, dessus, en avant, en arrière de la sphère magique a conçu et mis en place les cables et filins, les vis et verins, les poids et contrepoids, les treuils et poulies, toute ces solides et concrètes choses mises à la disposition des «  dieu » pour exécuter leur tour de passe-passe ? Personne, si ce n’est les dieux eux-mêmes qui vénèrent ce modeste génie des tréfonds : le scénotechniciens …

Comment dites-vous scénotechniciens ? Qui c’est c’ui là ? Voyez bien, même son nom vous est inconnu.

Eh bien, en voilà un - et pas des moindres - qui sort de l’ombre des coulisses pour faire la magistrale démonstration de la résolution du rêve.

Pierre Gauthier, vous qui, pendant 50 ans d’exercice professionnel silencieux et fécond, n’avait révélé vos secrets cachés « dieu » magiciens, vous avez maintenant la parole à l’avant-scène.

Etonnez-nous encore …

Edmond Bonnefoy

  • Taille : 23,5cm x19,5cm
  • Sommaire
  • Préface pg5
  • Mes joies et mes scènes pg10
  • Destin de scène pg111.
  • Infrastructure de scène pg16
  • 1.1 Dessous de scène avec rues et fausses rues pg20
  • 1.2 Dessous de scène contemporain pg24
  • 1.3 Forme performente de dessous de scène pg26
  • 1.4 Parquets de scène pg282.
  • Electromécanique de l’infrastructure de scène pg32
  • 2.1 Aménagement du proscénium pg36
  • 2.2 Monte-orchestre pg39
  • 2.3 Plateau tournant, tournette pg47
  • 2.4 Scène mobile en élévation pg49
  • 2.5 Scène mobile en translation pg56
  • 2.6 Tampon ou trappe d’apparition pg58
  • 2.7 Rampe de scène escamotable pg60
  • 2.8 Trappe à tapis pg62
  • 2.9 Elévateur de décors roulés pg63
  • 2.10 Praticables de scène pg67
  • 2.11 Trappe à l’italienne pg70
  • 3. Superstructure de scène pg72
  • 3.1 Diverses formes de faux gril et de gril pg763
  • .2 Faux gril pg77
  • 3.3 Gril pg79
  • 3.4 Combinaison faux gril et gril pg81
  • 3.5 Gril et passerelles pg83
  • 3.6 Gril sandwich pg84
  • 3.7 Gril résille pg86
  • 3.8 Réseau de passerelles pg88
  • 3.9 Echelles et escaliers pg9
  • 44. Electromécanique de la superstructure de scène pg96
  • 4.1 Nappe de guidage pg102
  • 4.2 Protection de cheminée des contrepoids pg104
  • 4.3 Monte-charge, ascenceur et monte-charge pg110
  • 4.4 Draperies pg114
  • 4.5 Manteau mobile pg119
  • 4.6 Pont mobile pg121
  • 4.7 Autre dispositifs mobiles d’éclairage pg124
  • 4.8 Lambrequin mobile pg129
  • 4.9 Panneaux latéraux de scène pg133
  • 4.10 Cloison mobile de séparation de scène pg137
  • 4.11 Dispositif acoustique d’orchestre pg141
  • 4.12 Equipes diverses pg158
  • 4.13 Cyclorama pg175
  • 4.14 Motorisations pg179
  • 4.15 Groupes ponctuels pg184
  • 4.16 Patiences pg189
  • 4.17 Ecrans pg1975. Electromécanique de l’infrastructure de la salle pg204
  • 5.1 Elévateurs et planchers mobile pg209
  • 5.2 Scène et salle tournantes pg219
  • 5.3 Salle bascilante pg222
  • 5.4 Scène et salle roulantes et basculantes pg226
  • 5.5 Salle inclinable pg230
  • 5.6 Gradin relevable verticalement pg234
  • 5.7 Gradin relevable horizontalement pg238
  • 5.8 Gradins télescopiques pg242
  • Plancher mobile de couverture de salle pg248
  • 5.10 Salle transformable divisible pg254
  • 5.11 Régies mobiles basses pg258
  • 5.12 Elévateur pour plancher modulable pg263
  • 6.Superstructure de salle pg266
  • 6.1 Passerelles salle pg266
  • 6.2 Panneaux fixes latéraux et en plafond pg275
  • 6.3 Châssis de régies pg27
  • 6.6.4 Résies de plafond pg27
  • 6.7. Electromécanique de la superstructure de salle pg280
  • 7.1 Passerelle mobile pg284
  • 7.2 Panneaux mobiles pg289
  • 7.3 Nacelles fixes ou mobiles pg294
  • 7.4 Séparations de salle pg297
  • 7.5 Plafond mobile pg303
  • 7.6 Régie mobile pg306
  • 7.7 Levage de lustre pg310
  • 8. Tapisserie de scène pg312
  • 8.1 Rideau à la grecque pg316
  • 8.2 Rideau à l’allemande pg320
  • 8.3 Rideau à l’italienne pg321
  • 8.4 Rideau à la romaine pg324
  • 8.5 Rideau à la française pg330
  • 8.6 Tapisserie scénique pg336
  • 8.7 Rideau à enroulement en cotte de maille pg337
  • 8.8 Rideau spécial à lanières pg338
  • 8.9 Rideau bateau pg339
  • 8.10 Rideaux japonais pg340
  • 8.11 Rideaux historiques pg342
  • 9. Sécurité pg344
  • 9.1 Exutoires ou lanternaux de scène et de salle pg348
  • 9.2 Rideau pare-flammes pg353
  • 9.3 Rideau pare-flammes de type cintré pg359
  • 9.4 Rideau pare-flammes à enroulement pg362
  • 9.5 Portes coupe-feu, pare-flammes et isophoniques pg364
  • Annexes pg368
  • Electronique, pilotage et gestion informatique pg370
  • Mots de scène pg372
Théâtre Eclairage 01-Application des techniques scéniques
1968
Bulthec
Théâtre Eclairage 01-Application des techniques scéniques
Auteur : Georges Leblanc, Vincent Kaldor

Une seconde pépite en est l’éphémère revue Théâtre Eclairage, les numéros 01(1968/69) et 02(1969/70), que l’on doit à Georges Leblanc et à l’aide de la société Clémancon. Une grande société de réalisations électriques mais qui possédait une division spectacle : projecteurs, jeux d’orgues, filtres. Elle a disparu aux débuts des années soixante-dix.

On y trouve, entre autres, à part la description de la nouvelle installation scénique du théâtre Sarah Bernhardt devenu le théâtre de la Ville, celle du Chromon. Il s’agit d’un dispositif, disons un boitier, sur lequel une manette reliée à un stylet qui se déplace sur diagramme chromatique de la CIE. Il permet d’obtenir, à partir de groupes de projecteurs munis respectivement de filtres rouge, vert, bleu et sans filtre, la couleur au choix, sur le plateau.

  • Taille : 21cm x 13,5cm
  • Sommaire.
  • Eclairage de scène et de studios :
  • - Après Washington 67 qu’elle sera « l’état de l’art » 1970.
  • - Recommandations pour une présentation des paramètres photométriques.
  • - Bibliographies.
  • Taps français :
  • - A propos du Taps anglais.
  • A Paris un aspect du Théâtre de la Ville.
  • - A travers les techniques allemandes.
  • - Vue de l’Est : Acta Scénographica.
  • - Eclairage ? Par Vincent Kaldor
  • Scène Espace.
  • A propos de quelques idées exposées aux quatre jours du Mans.
  • Formatique.
  • - Chez les jeunes architectes.
  • - Contrôle de la couleur.
Esp., perspective, lum. : Au service de l'illusion théâtrale
2009
Actualité de la scénographie
Esp., perspective, lum. : Au service de l'illusion théâtrale
Auteur : A. Pagliano, M. Salem

ISBN : 2912017327

C’est à une passionnante plongée historique, esthétique et méthodologique que nous convie Alessandra Pagliano. En décrivant les avancées successives faites en matière de perspectives, en analysant la manière dont procéder, tout comme les jeux d’ombre et de lumière, ont été utilisé en peinture et sur scène, elle nous invite à décrypter comment les illusions de profondeur et de volumes se construisent géométriquement. Cette mise à plat permet à l’ouvrage d’être également un outil didactique que est pratique pour qui veut explorer les relation toujours renouvelée entre les mathématiques et l’art, et tout particulièrement l’art scénographique.

AlexandraPagliano est chargée de recherche et d’enseignement à l’université Frédéric II de Naples.

  • Taille : 25,5cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Note de l’éditeur. pg10
  • Présentation (Anna Sgrosso). pg13
  • Introduction. pg17
  • Chapitre 1.
  • Principes généraux de scénographie. pg21
  • Chapitre 2.
  • L’espace et la lumière. pg272
  • .1 La représentation de l’espace scénique : aperçu historique. pg282
  • .2 La lumière : loi géométrique et licences expr essives. pg462
  • .3 La symbolique de l’ombre portée dans l’oeuvre des grands peintres. pg712
  • .4 La lumière artificielle et sa représentation dans la peinture. pg75
  • Chapitre 3.
  • Géométrie appliquée à la scénographie. pg81
  • 3.1 Perspectives spatiales et décors de théâtre. pg82
  • 3.2 De la représentation graphique à la réalisation d’un décor. pg91
  • 3.3 Composition spectrale de la lumière. pg101
  • 3.4 De la flamme à l’électricité : évolution de la technologie des lumières artificielles. pg103
  • 3.5 Géométrie de la lumière artificielle et déformations des contours de l’ombre. pg104
  • Chapitre 4.
  • Effets de lumière au thétre. pg115
  • 4.1 Un théâtre or iental fasciné par les ombres. pg116
  • 4.2 Ombre et lumière sur les scènes occidentales. pg119
  • 4.3 Eléments de description de la lumière. pg124
  • 4.3.1 La diffusion. pg124
  • 4.3.2 La couleur. pg125
  • 4.3.3 L’intensité. pg126
  • 4.3.4 Le mouvement. pg127
  • 4.3.5 La direction. pg128
  • a) Lumière frontale. pg128
  • b) Lumière latérale. pg131
  • c) Contre-jour. pg133
  • d) Lumière zénithale. pg135
  • 4.3.6 Pour une composition ordonnée. pg136
  • Chapitre 5.
  • En guise de conclusion : Les Noces de Figaro dans les décors d’Ezio Frigerio. pg139
  • Bibliographie. pg155
Les Carnets de Léonard de Vinci-1
1989
Gallimard
Les Carnets de Léonard de Vinci-1
Auteur : Léonard de Vinci, E. MacCurdy, L. Servicen

ISBN : 2070708446

Les carnets de Léonard de Vinci.

Traduit de l’anglais de l’italien par Louise Servicen.

Préface de Paul Valéry.

Une douzaine de tableaux à peine peuvent être attribuée à Léonard avec quelques certitudes ou quelque vraisemblance ; et si l’on se référait aux témoignages de ses contemporains, ce nombre se trouverait tout juste doubler ou tripler. L’emploi de son temps demeurerait donc une énigme, n’était l’existence des Carnets. Ceux-ci, en effet, compte plus de 5000 pages non j’ai cherché à répartir le contenu sous quarante rubriques. Je sais ce que mon classement a forcément de sommaire et d’un complet, étant donné la variété infinie de la matière. Car de cet homme qui exécuta quelques ouvres d’art avec la plus divine perfection, on peut dire que toute de les branches du savoir plus sur familières et que ces travaux ont résumé tous les aspects d’une époque. Pour qui les a étudiées, ces manuscrits, produits de milliers d’heures d’activité cérébrale, atteste le travail de la plus puissante machine intellectuelle que fut jamais cerveau humain. Nous sommes en présence d’ébauche d’un plan immense, approfondie, méditer, mais jamais réalisé, et dont les Traités - somme de recherches anatomiques, physiologiques et géologiques - ne forme qu’une partie, l’esquisse d’une vaste encyclopédie de la connaissance humaine.

E. MacCurdy

  • Taille : 19cm x 12,5cm
  • Léonard de Vinci, par Paul Valéry. pg7
  • Note liminaire (extrait du journal d’Antonio de Béatis, 1517). pg13
  • Notes de la traductrice. pg15
  • Introduction de Edouard McCurdy. pg17
  • liste des abréviations. pg58
  • Préambule. pg59
  • I. Philosophie. pg63
  • II. Aphorismes. pg93
  • III. Anatomie. pg100
  • IV. Anatomie comparée. pg201
  • V. Physiologie. pg209
  • VI.Histoire naturelle. pg215
  • VII. Proportion de l’homme. pg217
  • VIII. Médecine. pg226
  • IX. Optique que. pg228
  • X. Acoustique. pg276
  • XI. Astronomie. pg288
  • XII. Botanique. pg315
  • XIII. Géologie. pg325
  • XIV. Géographie physique. pg322
  • XV. Notes topographiques. pg374
  • XVI. Atmosphère. pg390
  • XVII. Du vol. pg421
  • XVIII. Machines volantes. pg509
  • XIX. Mouvements et pesanteur. pg520
  • XX. Mathématiques. pg634
Six années Com.Française-Mémoire d'un administrateur
1953
Ed. du Seuil
Six années Com.Française-Mémoire d'un administrateur
Auteur : Pierre-Aimé Touchard

Les mémoires d'un administrateur de la Comédie Française qui, de 1948 à 1953, dut gérer à la fois la bonne santé administrative de la société malgré les problèmes de subventions, les affaires de personnes parmi les sociétaires et les divergences dans l'opportunité de certaines programmations. Une page de l'histoire du théâtre français…

Avec parfois beaucoup d'humour, il lui en fallu, l'auteur nous dresse les portraits des plus grands hommes de théâtre de cette époque; acteurs, auteurs, metteurs en scène ou techniciens. Il nous relate les grands succès de l'après-guerre mais aussi les plus retentissants échecs.

Des appendices, fort intéressants, donnent la listes des acteurs (sociétaires et pensionnaires), des pièces jouées, des tournées, des succès et des échecs ...

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table des matières.
  • Chapitre I.
  • La Comédie-Française cherche un administrateur.
  • Une candidature imprévue.
  • Un accueil chaleureux.
  • Conversation téléphonique.
  • Voyage à l’Alpe d’Huez.
  • Un dîner torturant.
  • Pierre Dux et Jean-Louis Barrault. pg9
  • Chapitre II.
  • Des problèmes difficiles.
  • La seconde salle.
  • Les congés.
  • Où l’on retrouve de vieux amis.
  • Une lettre de Pagnol.
  • Ma nomination.
  • Souvenirs sur Bourdais.
  • Mathis.
  • Chef de service et Sociétaire.
  • Martinelli, Mauriac et reprise d’Asmodée.
  • Les membres du Comité. pg15
  • Chapitre III.
  • La querelle des jeunes et des anciens au Comité.
  • Comment on distribuait les rôles.
  • Premières escarmouches.
  • Les démissions du doyen.
  • L’administrateur devant le metteur en scène.
  • L’hostilité à la seconde salle. pg28
  • Chapitre IV.
  • Sociétaire et pensionnaires.
  • On désaffiche à Luxembourg.
  • Les Jocrisses de l’amour.
  • Comment on juge la comédie.
  • Dux et le Misanthrope.
  • Paul Raynal et le Matériel Humain.
  • Suzanne Lalique, Attali.
  • Bati et Marie Dorval. pg37
  • Chapitre V.
  • Renvoi de pensionnaires.
  • Une nouvelle échelle de valeurs.
  • Le Comédien et l’Homme.
  • Le royaume de l’innocence.
  • La rentrée des dissidents. pied d’oeuvre. pg49
  • Chapitre VI.
  • Incendie à la comédie.
  • Nouvel échec à Luxembourg.
  • La peine capitale et Claude André Puget.
  • Annie Ducos dans rendre Mac.
  • Les Espagnols en Danemark.
  • Jean Meyer.
  • La seconde salle redeviendra-t-elle un nouvel Odéon ? pg58
  • Chapitre VII.
  • Sapho.
  • Monsieur de Pourceaugnac.
  • La reine morte.
  • Renault et Armide de Christian Bérard.
  • Audiberti. Le triomphe des Temps Difficiles.
  • L’accession au secrétariat et les douzièmes.
  • L’affaire Ducaux.
  • L’ami de la Comédie. pg67
  • Chapitre VIII.
  • La reprise du Soulier de Satin.
  • Claudel et Marie Bayle.
  • Menace de grève.
  • Une lettre de Paul Claudel.
  • L’inconnu d’Arras.
  • Les exigences de Salacrou.
  • Iphigénie. La querelle de la tragédie. « J’ai vu jouer Andromaque ». pg77
  • Chapitre IX.
  • Le répertoire de Giraudoux et la famille Giraudoux.
  • Renée Faure dans le Roi.
  • Korène dans la Parisienne.
  • Les tournées : Londres ; Rome ; l’Avare. Les difficultés des programmes.
  • La fatigue générale.
  • Mort de Colas.
  • Un premier bilan. pg87
  • Chapitre X.
  • Jeanne la Folle.
  • Toujours les deux salles.
  • L’Homme de Cendres ; le Cid.
  • Julien Berthaud.
  • La mort de Dullin.
  • La pierre de Yenne. pg98
  • Chapitre XI.
  • Les comités de fin d’année.
  • Une règle plus dure que celle d’un couvent.
  • La comédie et les cabales.
  • La joie des répétitions.
  • Othello.
  • Un décor de Cassandre.
  • De Shakespeare à Marivaux.
  • Une grève de plus d’un mois.
  • Tournée en Egypte.
  • La mort de Mathis. pg106
  • Chapitre XII.
  • Madame Quinze.
  • Le succès de la Belle Aventure.
  • Rentrée de Berthe Bovy.
  • Henri Rollan et l’Otage.
  • La lutte contre les décors poussiéreux.
  • Une nouvelle politique de l’alternance.
  • Radiodiffusion et télévision pg118
  • Chapitre XIII.
  • La bataille contre la seconde salle est engagée.
  • Le Comité demande le retour de la salle unique.
  • Nouvelle décision de renvoi.
  • Inquiétudes et manoeuvres.
  • Candidature de Jean-Louis Barrault à l’Odéon.
  • Nous conservons la seconde salle.
  • Les clans. Meyer et Berthaud.
  • La préparation des Caves du Vatican.
  • Déjeuner chez Gide à Juan-les-Pins.
  • Un programme de combat. pg127
  • Chapitre XIV.
  • Une série de succès : la Double Inconstance, le Conte d’Hiver.
  • Les émotions d’un gala.
  • Répétition avec Gide.
  • La première des Caves du Vatican.
  • Toujours la seconde salle.
  • La reprise d’Amoureuse.
  • Un bilan réconfortant.
  • Le duel de Jean Meyer. pg138
  • ChapitreXV.
  • Rentrée de Ledoux.
  • Tartuffe et Chacun sa Vérité.
  • Le général Eisenhower à Antigone.
  • Le triomphe du dindon.
  • Peut-on prédire un succès ?
  • La bataille de la seconde salle est gagnée.
  • Naissance de l’opposition.
  • La dictature de Meyer.
  • Considérations mélancoliques.
  • Les avatars de l’Homme que j’ai tué.
  • Une tournée triomphale en Scandinavie. pg150
  • Chapitre XVI.
  • Mort de Jouvet.
  • Jouvet et la Comédie.
  • La fin du Cartel.
  • La Comédie-Française et les metteurs en scène.
  • Une ligne politique : Copeaux, Jouvet, Bourdet.
  • Une grande bataille d’esthétique.
  • Une société de comédiens devant les exigences de l’oeuvre.
  • Une victoire et une coalition.
  • L’enjeu d’un combat. pg161
  • Chapitre XVII.
  • Le Bourgeois Gentilhomme.
  • Le problème des décors.
  • La politique des « Folies-Bergère ».
  • Donogoo ou la victoire de la pauvreté.
  • Comme il vous plaira à la salle Luxembourg.
  • Un comité houleux. pg172
  • Chapitre XVIII.
  • La région.
  • L’affaire Jean Marais : un tragédien ou une vedette ?
  • Une générale dramatique.
  • La mésaventure d’Hernani.
  • Nouveau succès à la salle Luxembourg : les Six Personnages en quête d’auteur.
  • La roche Tarpéienne est près du Capitole.
  • Intrigues et désaveu.
  • Je renonce à demander le renouvellement de mon mandat. pg180
  • Chapitre XIX.
  • Devoirs de vacances : médiation sur la condition d’administrateur.
  • Purisme ou clairvoyance ?
  • Protecteur et protéger.
  • Une drôle d’histoire, non datée.
  • Le plan Dufiel.
  • Si Asmodée m’avait aidé… Les raisons d’une décision . pg190
  • Chapitre XX.
  • Les courageux à la curée.
  • Je me pourvois au conseil d’tat.
  • L’affaire des metteurs en scène.
  • Heureusement le travail est là. Roméo et Juliette.
  • Debutcourt dans Don Juan.
  • Le gala Chaplin.
  • Nouvelle aventure.
  • Une élection mouvementée.
  • Un « à-propos » plein d’à-propos.
  • Considérations sans gaieté. pg203
  • Chapitre XXI.
  • Les chères répétitions.
  • Le succès de la Trouhadec et le triomphe du Jeu de l’Amour.
  • Pasiphaë et la Voix Humaine.
  • L’heure des adieux.
  • La belle aventure. pg221
  • Appendices.
  • I.Nom des artistes réintégrés engagés dans la troupe depuis 1947 y figurant encore en avril 1953. pg231
  • II. Tableau de la troupe en avril 1947 et en avril 1953. pg232
  • III. Abonnements classiques. pg235
  • IV. Représentations classiques et modernes. pg236
  • V. Les grandes tournées. pg236
  • VI. Calendrier des créations et des grandes reprises. pg238
  • VII. Les collaborateurs extérieurs à la Comédie-Française. pg243
  • VIII. Les metteurs en scène. pg244
  • IX. Emissions en studio de la Comédie-Française à la radiodiffusion de 1948 à 1953. pg245
L'Art des nœuds
1984
Gallimard
L'Art des nœuds
Auteur : Marc Pierre Gilles Berthier

ISBN : 2070601870

L'art des noeuds.

Les noeuds qu’il faut savoir faire,

ceux qu’il convient de savoir faire,

ceux qu’il vaut mieux éviter de faire …

  • Taille : 19,5cm x 9cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg6
  • Le noeud gordien. pg8
  • Le sac du matelot Quentin. pg14
  • Les instruments de Quentin.pg18
  • Présentation des cordages. pg20
  • Les nouds qu’il faut connaître.La surliure classiques. pg24
  • La surliure cousue sans aiguille. pg25
  • La surliure cousu avec aiguill es. pg26
  • La surliure en guirlandes. pg27
  • Le noeud de cabestan . pg28
  • Un tour mort et deux demi-clé. pg30
  • Le noeud de chaise . pg32
  • Le noeud en huit. pg33
  • Le noeud de chaise double. pg35
  • Tourner une écoute au taquet. pg36
  • Le noeud de drisse. pg40
  • Le noeud de croc. pg40
  • Le noeud de griffe. pg40
  • Lever un bout. pg42
  • Le noeud plat. pg44
  • Le noeud de vaches. pg44
  • Le noeud de pêcheurs. pg46
  • Le noeud d’agui. pg46
  • Le noeud de plein poing. pg48
  • Le noeud de ris. pg50
  • Le noeud de laguis. pg52
  • Le noeud coulant ou de cravate. pg52
  • Le noeud de carrick. pg54
  • Le noeud de bec d’oiseaux. pg56
  • Deux demi-clefs retournées. pg56
  • Le noeud de bosses. pg58
  • L’oeil du pêcheur. pg60
  • Le noeud de trésillon. pg60
  • Le noeud de jambe de chien. pg62
  • Le noeud de sacs. pg64
  • Le noeud de qcapelage. pg66
  • Le noeud de grappin. pg68
  • Le noeud d’orin. pg68
  • Brelage plat simple. pg70
  • Brelage plat double. pg70
  • Brelage plat avec bridure. pg70
  • Brleage en portugaise. pg72
  • Brelage en étrive. pg72
  • Brelage croisé. pg72
  • Plier un pavillon. pg74
  • Ferler un pavillon. pg74
  • Envoyer un pavillon. pg76
  • Où envoyer les pavillons. pg78
  • Réparer une voile. pg80L
  • es épissures.L’erseau. pg84
  • Le noeud du hauban. pg86
  • L’épissure carrée. pg88
  • L’épissure longue. pg92
  • L’oil épissé. pg96Cordage épissé sur lui-même. pg100
  • La boucle sur un cordage. pg100
  • L’épissure mixte. pg102
  • L’épissure mixte. pg104
  • L’oil épissé dans le métal. pg106
  • L’élégance à bord.Le noeud de catogan. pg110
  • Le noeud de godasses. pg110
  • Nouer un foulard carré. pg111
  • Nourer un foulard cravate. pg112
  • Le foulard nostalgique. pg113
  • Le noeud de cravate. pg114
  • Le noeud papillon. pg115
  • Le noeud papillon de soirée. pg116
  • Le noeud de cheikh. pg117
  • Le bandeau indien. pg117
  • La tresse de sirène. pg118
  • Le turban. pg119
  • Le bandage I. pg120
  • Le bandage II. pg121
  • Les noeuds pour faire joli.Le noeud carré. pg124
  • Le noeud en double huit. pg125
  • Le noeud de ligne. pg126
  • La tête de More. pg127
  • Le cul-de-porc simple. pg128
  • Le noeud de bouton simple. pg129
  • La pomme de touline. pg130
  • Le bonnet turc. pg131
  • Le noeud de piton. pg132
  • Le paillasson de pont. pg134
  • Une ceinture et des bretelles. pg136
  • Le filet I. pg138
  • Le filet II. pg140
  • La corde de cloche. pg142
  • Le fourrage.pg144
  • La tresse à huit brin I. pg146
  • La tresse à huit brin II. pg148
  • Le noeud Marcel. pg150
  • Le noeud de cravate. pg152
  • Le noeud de pendu. pg152
  • Remerciements. pg159
Th. mexicain 1999 : anthologie
1993
Ed. Gobierno Estado de Veracruz-Llave
Th. mexicain 1999 : anthologie
Auteur : Emilio Carballido

ISBN : 9706261060

Une image du théâtre mexicain.

L’histoire.

Nous ignorons quand il a commencé : le théâtre existait avant l’arrivée des Espagnols, peut-être longtemps avant Jésus-Christ ou un peu après. Les chronologies de notre culture reconnaissent des variations de centaines d’années, recule lors d’une nouvelle découverte archéologique mais reste encore incomplet et fragmentaire.

Avant de commencer leur génocide culturel, les envahisseurs ont rencontré un peuple qui mettait en scène d’énormes spectacles dramatiques devant les temples, sur les places. Il y avait des gens religieux, spécifique et comique. Tout n’est pas perdu : le XXe siècle a retrouvé des trésors littéraires dont un drame traduit mais nous ne possédons pas toutes les clés de la mise en scène.

Au XVIe siècle apparaît un nouveau genre, le théâtre religieux à l’espagnol, basé sur l’idée syncrétique d’utiliser l’ancien souci d’évangélisation. Parmi quelques dramaturges il faut remarquer Hernan Gonzalez de Eslava qui invente des allégories basées sur la vie quotidienne qui se déroule autour de lui ; c’est un précurseur de Lope, comme ses contemporains.

XVIIe siècle : règne du baroque. Une avalanche de poètes excellents dominés par un soleil dont le feu brille chaque jour un peu plus : Sor Juana Inès de la Cruz. Dramaturge éminente, Calderonienne. Deux comédies, trois autos, un bon nombre de «loas » (poème dialogué) indépendants. De mauvaises recherches nous livrent les noms de deux ou trois auteurs ; il doit y en avoir beaucoup plus.

La mort de Sor Juana ferme le siècle d’Or. (Son ami, Carlos de Siguenza y Gogora, a écrit le premier roman américain sous la forme déguisée du reportage : Las desventuras d’Alonso Ramiez. )

le XVIIIe siècle est un peu plus animé qu’en Espagne (littérairement parlant). Eusebio Vela, Comédiens itinérants, monte son propre répertoire qu’il écrit d’une plume un rien de plomb et allégorique ; Cayetano de Cabera y Quintero est, au moins, un bon poète et un dramaturge moyennement statique.

Todos contra el payo y el payo contra todos qui a fini par être attribué presque gratuitement à Fernandez de Lizardi est une ouvre exceptionnelle, de grande puissance, que les répertoires modernes n’hésitent pas à reprendre. Nous pourrions la qualifier de « pirandellienne ». En plus de son roman célèbre que tout se considère comme « le premier du continent » Lizardi a donné un drame estimable, particulièrement dans ses monologues élégamment appelésu « unipersonnels ». De même qu’une pastourelle assez fade.

Le XIXe siècle est un volcan. La Nation éclate de diverses reprises, nous sommes envahis par deux fois, notre territoire et mutilés. Dans ce chaos, le théâtre est florissant. D’innombrables dramaturges n’ont pas encore été recensés jusqu’ici par manque de recherche sérieuse et par la faute d’histoire du théâtre toujours trop partielles. Retenons plusieurs classiques : c’est un Hahn do Calderon, un romantique ; Manuel Eduardo de Gorostiza, le plus grand et le plus durable des néoclassiques de la langue, infiniment supérieur aux Espagnols, spirituel, et dont les portraits survivent et sont autonomes ; Manuel Acuna. Et beaucoup d’autres. Des compagnies étrangères de théâtre et d’opéra voyage fréquemment dans toute la République, malgré les circonstances. Et nous avons plusieurs compositeurs d’opéra. Nous couvons notre légendaire rossignol Angela Peralta. L’éclat aventurier, étincelant, populaire à cette époque est propice à l’apparition de la revue musicale, un genre qui régnera au siècle suivant pendant près de 50 ans. Paralysé dans un équilibre artificiel, le pays se maintient dans le XIXe siècle jusqu’en 1910. C’est alors que commence la Révolution.

C’en est fini des nombreux et superbes théâtres que l’on trouvait jusque dans les petits villages ; ils deviennent des casernes, des écuries ou d’héroïne. Ou encore des cinémas, ce qui est une forme de désastre plus lent et moins propre. la fin de la Révolution, le phénix dramatique tarde de quelque peu à renaître de ses cendres. Puis, les ailes un peu reniaient, il tente de s’envoler …

….

Emilio Carballido

  • Taille : 22,5cm x 16,5cm
  • Sommaire.
  • Une image du thétre mexicain, Emilio Carballido. pg5
  • Les noces (Las Bodas), Luisa Josefina Hermandez. pg13
  • Un foyer solide (Un hogar solido), Elena Garro. pg45
  • Les exclus (Pueblo rechazado), Vicente Lenero. pg59
  • La paix des braves gens (La paz de la buena gente), Oscar Vilegas. pg97
  • La nuit de la lune folle (La vela de la luna loca), Adrian Sotomayor. pg123
  • Les oiseaux noirs de l’adieu (Los negros pajaros del adios), Oscar Liera. pg149
  • L’homme du Sudeste (El ombre del sureste), Miguel Angel Tenorio point pg177
  • Entre Pancho Villa et une femme nulle (Entre Pancho Villa y una mujer desnuda), Sabina Berman. pg227
  • Sexe, pudeur et larmes (Sexo, pudor y lagrimas), Antonio Serrano. pg271
The Th. 3.000 years of Drama, Acting and Stagecraft
1941
Tudor Publishing Co
The Th. 3.000 years of Drama, Acting and Stagecraft
Auteur : Shelton Cheney

The whole adventure of man with the theatre is written in this book for the first time. Beginning with the primitive dances, moving on to the festival of Dionysus and the birth of tragedy, swinging from Japan to Spain, from French cathedrals and Italian opera houses to Gordon Craig setting and American moving picture studios, Mr Cheney tells what the dramatic impulse and achievement have meant in thity centuries of human life. The growth of the physical stage, the changes in acting, the story of the writing of plays is blended in one. As a result, the reader gets a sense of the relation of theatrical activities one to another which he could not find in any history of drama alone, of acting alone, or of the stage alone.

Yet with such ease of style and such conpactness has Mr. Cheney written this book that an account fit to guide students of the theatre, becomes also the most vivid and readable of books. Facts about great playhouses, anecdotes of dramatists and actors, glimpses of the birth of dancing and opera, the clash of machine age with the old theatre - all are glittering parts of a singel garment ofchanging hue. The glow of the theatre is over it all, and throughout appear great personalities of the stage world. From Eschylus and Platus to Eugene O’Neill, from the masked actors of Athens to Duse and Charie Chaplin, the book marches in a narrative glamorous exciting; it is itself a modern « chronicle play » of the eternal play world.

  • Taille : 24cm x 16cm
  • Content.
  • Dionysus. vii.
  • I. The Theatre, Human and Divine. pg1
  • II. Where the Theatre came from and when. pg11
  • III. Tragedy : the Noble Greeks. pg30
  • IV. Comedy : Greece and Rome. pg69
  • V. Sensuous and Intellectual Theatres : the Orient. pg104
  • VI. The Theatre in the Church. pg134
  • VII. The Medieval Spirit and Stage. pg152
  • VIII. The Glorious Renaissance - with Reservations. pg177
  • IX. A Pretty Interlude - Pastoral and Operatic. pg207
  • X. The Vulgar Popular Comedy. pg220
  • XI. The Chivalrous Theatre of Spain. pg242
  • XII. Shakespeare. pg261
  • XIII. The Puritans and the Chapel of Satan. pg285
  • XIV. Kings, Courrtesans, and Dramatists of France. pg307
  • XV. Opera, Picturing, and Acting. pg337
  • XVI. « Sturm and Drang ». pg354
  • XVII. The Theatre and the Birth of Democracy. pg379
  • XVIII. Romanticism : the Theatre as Escape. pg411
  • XIX. Well-Made Plays and Pretty Scenery : Victorianism. pg429
  • XX. Realism : Photography and Journalism on Stage. pg448
  • XXI. The Thatre and Its Swell Relations : the Other Arts. pg466
  • XXIII. The Rise of Production as an Art. pg515
  • XXIV. Machine-Age Developments. pg528
  • Epilogue : Yersterday, Today, and Tomorrow. pg539
  • Author’s Acknowledgment. pg543
  • General Bibliography. pg547
  • Index. pg551
Ecrans sur la sc., résistances de la sc. face aux images
1998
Age d'homme
Ecrans sur la sc., résistances de la sc. face aux images
Auteur : Collectif

ISBN : 2825111201

Archaïque, mais bricoleur, le thétre a toujours absorbé les inventions techniques de son époque, qu’elle soit mécaniques, électriques, filmiques ou électroniques. En intégrant ces nouveautés, il sert en détourner l’usage à son profit, tant que qu’il demeure dans son espace et dans son temps, marqué par la mémoire et par le jeu de ces acteurs polyvalents, maître de la scène, des mouvements de leur corps et de leur voix.

Histoire du thétre du XXe siècle est remplie d’exemples fameux ne plateau envahi d’écran - de Meyerhold à Sellars, de Piscator à Svoboda, Einstein à Peyret. Le maniement de l’outil-vidéo, plus souple que l’outil-cinéma, la possibilité de retraitement direct des images, transforment leurs conditions de production et les vingt dernières années du siècle en vue progressivement les moniteurs croître et se multiplier sur scène. Il peut s’agir là d’un simple effet de mode. Mais utiliser sur scène les images, des plus simples aux plus sophistiquées, ne signifie pas forcément céder à leur pouvoir et se soumettre à l’idoltrie del’ « imagerie » dominante. En effet isolé de la continence du flux communication Nesle qui la porte, l’image peut se faire étrange, lieu d’un possible discours critique.

Fruit du travail collectif de l’équipe « Théâtre et cinéma » du Laboratoire de recherches sur les arts du spectacle du CNRS, ce livre s’attache à recenser, contre certaines attitudes de repli frileux et à partir d’analyses de spectacles montés durant les deux dernières décennies, en Europe, aux USA, au Canada, les différents usages des écrans installés sur scène, les réussites, les échecs, les dangers. En quête d’une authentique écriture polivisuelle ou la scène instrumentalise les écrans sans abandonner les spécificités du fonctionnement de son dispositif propre, nombre de spectacles montre que, dans la fragilité et la marginalité où il se trouve aujourd’hui, le thétre peut intégrer par tissage et croisements les autres médias. Et que, confronté à une « multicorporéité », à ses doubles ou à ceux des autres, présent en sen ou bien absent, l’acteur apprend à produire un suspense capable de renforcer la qualité d’écoute et d’attention du public …

  • Taille : 22,5cm x 15,5cm
  • Table des matières.
  • Remerciements. pg7
  • Hybridation spatiale, registre de présence par Béatrice Picon-Vallin. pg9
  • Technologies nouvelles et magie théâtrales.Lucian Pintilie Au Théâtre de la Ville par Mirella Nedelco-Patureau. pg36
  • Usages et usures de l’image. Spéculation sur « le Marchand de Venise » vu par Petter Sellars par Frédéric Maurin . pg71
  • « La Dispute » de Marivaux sous l’oeil de Dominique Pitoiset quand la vidéo se fait une machine de théâtre par Sylvie Chalaye. pg106
  • Les images du rang le plus bas. Autour de Gabily par Bruno Tackels. pg122
  • Les charniers cathodiques de « Gibiers du Temps » par Sylvie Chalaye. pg141
  • Dioptrique des corps dans l’espace électronique.Sur quelques mises en scène de Giorgio Barberio Corsetti par Didier Plassaard. pg149
  • L’écran de la pensée ou les écrans dans le théâtre de Robert Lepage par Chantal Hébert et Irène Perelli -Contos. pg171
  • La Fura dels Baus : histoire d’images, du corps à l’écran par Valentine Garcia Plata. pg206
  • Théâtre et réalité virtuelle.Une introduction de la démarche de Mark Reaney par Frank Bouchard. pg225
  • Archaos et le piège des images par Katarina Flora. pg246
  • De l’installation à la performance : la tradition au coeur de la technologie. « S/N » ou « la Confession Impudique » par Christine Zeppenfeld et Nicole Le Bian-Prada . pg257
  • Texte, scène et vidéo par Jean-François Peyret. pg279
  • Propos de créateurs.Psychoplastique de l’espace dramatique par Josef Svoboda et Milena Honzikova (entretien avec Danièle Montmarte). pg295
  • « La Traviata » de Verdi : projections et reflets par Josef Svoboda. pg303
  • Des corps faits de lumière par Giorgio Barberio Corsetti. pg306
  • Manifeste canaille par Andreu Morte et Marcelli Antunez. pg311
  • L’image est un acteur par Micky Espuma (entret ien avec Valentina Garcia Plata). pg312
  • Le théâtre digital par Carles Padrisa I Singla. pg316
  • Cinq règles du Théâtre Digital par La Fura del Baus. pg319
  • Un autre rapport d’échelle par Dominique Pitoiset. pg320
  • Du théâtre d’ombres aux technologies contemporaines par Robert Lepage (entretien avec Ludovic Fouquet). pg325
  • Liste des auteurs. pg333
  • Index. pg335
  • Table des matières. pg343
Tadeusz Kantor-Kolekcja "A"-Katalog prac.
2003
Galeria Sztuki
Tadeusz Kantor-Kolekcja "A"-Katalog prac.
Auteur : Tadeusz Kantor

ISBN : 8391656624

Catalogue d’exposition

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Catalogue d’exposition
  • 289 oeuvres exposées
Sound and Music for the Th., Third Ed. : The Art & Tech. Design
2009
Focal Press
Sound and Music for the Th., Third Ed. : The Art & Tech. Design
Auteur : D. Kaye, J. LeBrecht

ISBN : 9780240810119

For every phase of theatrical production, Sound and Music for the Theatre traces the entire process of sound design from initial concept through closing night. The book discusses the early evolution of a sound design that supports the play, from researching sources for music and effects to negotiating a contract. It shows how to organize the construction of the sound design elements, how the designer functions in a rehearsal, and how to set up and train an operator to run sound equipment for a theatrical production. This instructive information is interspersed with "war stories” describing real-life problems with solutions that sound designers and composers can apply in their own work.

The new third edition still retains its focus on aesthetics, techniques, and process. However, it goes beyond to offer a brand new forum on sound reinforcement, unique information on computer-assisted playback systems, and a comprehensive perspective on using technology to build and execute shows.

Features:

*A fresh look at the technology used to build and execute shows

*How to maximize the Internet as a major, important, every day resource for today's sound designers and composers

*A new roundtable forum discussion with sound reinforcement designers that uncovers insights from the top professionals in this field

*Everyday paperwork, new examples for sound plots and cue sheets to increase the variety of examples you can use or build upon

  • Taille : 23cm x 15,5cm
  • Contents
  • Forword by Peter Sellars. VIII
  • Preface to the First Edition. X
  • Preface to the Second Edition. XII
  • Preface to the Third Edition. XIII
  • Introduction to the First and Second Edition by Richard Peaslee. XV
  • Introduction to the Third Edition by Mark Lamos. XVII
  • Acknowledments. XIX
  • The Art of Looking with the Ear by Tazewell Thompson. XXI
  • 1. The Evolution of the Sound Design. pg1
  • 2. The Foundation of Sound Design. pg12
  • 3. Developing the Concept and Design. pg40
  • 4. Research, Ressources and Selection. pg51
  • 5. The Sound Plot. pg65
  • 6. Working with the Theater Company. pg80
  • 7. Preparing to Build the Cues. pg95
  • 8. Recording, Editing, and Refining Cues. pg110
  • 9. Rehearsals. pg118
  • 10. Running the Show. pg141
  • 11. Approaches and Techniques. pg167
  • Feedback : A Directors’ and Playwrights’ Forum. pg186
  • More Feedback : A Sound Designers’ and Composers’ Forum. pg223
  • No more Feedback : A Sound Reinforcement Forum. pg289.
  • Glossary. pg307
  • Index. pg313
Les bâtisseurs de rêves, grds déco. thé. 1950 1980
2003
Paris bibliothèques
Les bâtisseurs de rêves, grds déco. thé. 1950 1980
Auteur : Roger Jouan, Alain Baude-Defontaine

ISBN : 2843311136

C'est en pleine renaissance de l'art dramatique, après la rupture brutale provoquée par la Seconde Guerre mondiale et l'Occupation, qu'une nouvelle génération de décorateurs de théâtre, par force et par nécessité, ont inventé un nouvel art du décor.

De la pauvreté des premières années à l'apogée de leur carrière sur les grandes scènes nationales et internationales, trente grands décorateurs, dont cinq peintres, sont évoqués par les auteurs, metteurs en scène, chorégraphes, dont ils ont servi les créations, avec de nombreuses reproductions de leurs maquettes de décors et de costumes, et leurs propres réflexions sur cet art.

1950-1980: trente années d'une richesse d'inventions architecturales et picturales, rares dans l'histoire de la décoration théâtrale en France.

  • Taille : 21cm x 28cm
  • Table des matières
  • .Avant-propos de Jean Dérens. pg5
  • Les bâtisseurs de rêves, Roger Jouan. pg7
  • L’apport des bâtisseurs, Roger Jouan. pg11
  • Une vie sur une toile. pg13
  • Le rideau s’ouvre …, Alain Baude-Defontaine. pg17
  • Christian Bérard. pg19
  • André Barsacq. pg23
  • Lucien Coutaud. pg27
  • Yves Faucheur. pg31
  • Georges Wakhévitch. pg35
  • Jean-Denis Malclès. pg39
  • André Beaurepaire. pg43
  • Bernard Daydé. pg47
  • Lila De Nobili. pg51
  • François Ganeau. pg55
  • Jacques Noël. pg59
  • Francine Galliard-Risler. pg63
  • Roger Harth. pg67
  • André Acquart. pg71
  • Jacques Dupont. pg76
  • André Levasseur. pg79
  • Jacques Marillier. ph83
  • Georges Richar. pg87
  • Pierre Simonini. pg91
  • Hubert Monloup. pg96
  • Augusto Pace. pg99
  • Daniel Louradour. pg103
  • Pierre Clayette. pg107
  • Yannis Kokkos. pg111
  • Guy-Claude François. pg115
  • La boîte noire contre la toile blanche, Roger Jouan. pg119
  • Pablo Picasso. pg119
  • Félix Labisse. pg123
  • Roger Chapelain-Midy. pg127
  • Léonor Fini. pg131
  • Jean Carzou. pg135
  • Lassociation de la Régie Théâtrale. pg140
  • Sources bibliographiques. pg142
Molière chef de troupe
2007
Plon
Molière chef de troupe
Auteur : Francis Perrin

ISBN : 9782259203562

Après avoir joué Scapin, Alceste, les canards elle, Mascarille, George dans le bain, Francis Perrin a décidé d’incarner dans un récit romanesque un Molière insoupçonné : chef d’entreprise avant l’heure, meneur d’hommes à l’énergie sans bornes et à l’imagination débordante, chef de troupe au besoin de création insatiable.

C’est dans sa vie quotidienne, au milieu des grimaces de la farce et des splendeurs de la grande comédie, entre les querelles d’acteurs et les problèmes financiers, que Francis Perrin, armé de son expérience des planches et poussées par son amour du thétre, a su saisir le plus fameux de nos deux auteurs dramatiques.

Comédien, metteur en scène, directeur de thétre, Francis Perrin a dirigé sa propre compagnie. Il a publié son autobiographie, mon panthéon est décousu (le rocher, 2003), et un premier roman, degré de lassitude (le rocher, 2005).

  • Taille : 22,5cm x 14cm
  • Table.
  • Chapitre premier : farceur malgré lui. pg7
  • Chapitre deuxième : auteur malgré lui. pg25
  • Chapitre troisième : imprimé malgré lui. pg59
  • Chapitre quatrième : querellé malgré lui. pg86
  • Chapitre cinquième : interdit malgré lui. pg145
  • Chapitre sixième : cocu malgré lui. pg181
  • Chapitre septième : malade malgré lui. pg203
  • Chapitre huitième : bourgeois malgré lui. pg253
  • Chapitre neuvième : mort malgré lui. pg285
  • Annexes. pg309
Le Ballet des singes et des autruches
2010
Gallimard
Le Ballet des singes et des autruches
Auteur : Philippe Beaussant

ISBN : 2070127990

Le 14 décembre 1645, Louis XIV, tout juste âgé de sept ans, assiste à la représentation du premier opéra joué en France, La Finta Pazza («la folle feinte») de Francesco Sacrati. L'enfant se fascine pour les ballets de singes, d'autruches, d'ours, d'indiens et de perroquets qui rythment les intermèdes. On peut même supposer qu'il colorie, avec une maladroite application, la suite de gravures qu'en tire, pour commémorer ces chorégraphies, Valerio Spada.

Une dizaine d'années plus tard, le jeune vainqueur de la Fronde danse devant sa cour les ballets d'un autre opéra, Les Noces de Thétis et Pélée. Il s'y grime en Apollon, en dryade, en élève de Chiron, en courtisan et en allégorie de la Guerre.

Dans leur contingence apparente, ces deux événements se recoupent en plusieurs points : outre d'impliquer la figure du roi et sa passion du spectacle, d'appartenir l'un et l'autre aux premières décennies d'une nouvelle forme d'art, ils furent l'objet de scénographies stupéfiantes, dues au même «Grand Magicien», virtuose des nues, des métamorphoses, des perspectives confondantes, des changements à vue : Giacomo Torelli. Ils représentent la Merveille Baroque à son apogée.

L'album de La Finta Pazza est aujourd'hui l'un des joyaux du Fonds Jacques Doucet, conservés à l'Institut national d'histoire de l'art, et il est ici reproduit pour la première fois en fac-similé dans sa totalité. Il est complété d'un choix de planches représentant les décors de Torelli pour Les Noces de Thétis et Pélée

  • Taille : 25cm x 20,5cm
Antonin Artaud, un insurgé du corps
2006
Gallimard
Antonin Artaud, un insurgé du corps
Auteur : Évelyne Grossman

ISBN : 2070337499

«Là où d'autres proposent des oeuvres je ne prétends pas autre chose que de montrer mon esprit. La vie est de brûler des questions», écrit en 1925 Antonin Artaud dans L'Ombilic des Limbes. Une dizaine d'années plus tard, son Théâtre de la Cruauté révolutionne la conception occidentale du théâtre : la littérature est un acte, martèle-t-il, la mise en jeu de forces, l'inverse d'une consommation à distance. Lui, que les psychiatres qualifieront de schizophrène, luttera inlassablement contre la rupture entre les choses et les signes, entre l'art et la vie. Evelyne Grossman retrace ici la trajectoire d'Artaud depuis ses premiers poèmes surréalistes jusqu'aux textes fulgurants de la fin : ses expériences cinématographiques et théâtrales, ses voyages vers les anciens mythes du Mexique ou d'Irlande, les neuf années d'internement psychiatrique, sa furie d'écriture et de dessins jusqu'à sa mort en 1948. Au-delà de la légende du poète maudit, se dessine le corps-oeuvre d'Artaud, cette «matérialisation corporelle et réelle d'un être intégral de poésie».

  • Taille : 18cm x 12,5cm
  • Sommaire.
  • Chapitre 1. « Une effroyable maladie de l’esprit ». pg10
  • Chapitre 2. Vers un thétre de la cruauté. pg28
  • Chapitre 3. Sur la voie des mythes. pg44
  • Chapitre 4. Les années d’enfermement basilaire. pg56
  • Chapitre 5. Le retour d’Artaud le Mômo. pg76
  • Témoignages et documents. pg97
Views of Paris 1750-1850
2013
Bibliothèque nationale de France
Views of Paris 1750-1850
Auteur : Eric Hazan

ISBN : 2814400363

In this book, the Parisian writer Eric Hazan takes you for a stroll through Paris as it was for his famous forebears Balzac, Stendhal, Hugo, and Nerval. A Paris that sparkles in the fresh, airy watercolours and drawings collected by the architect Destailleur, now housed in the Prints and Photographs Department of the Bibliothèque Nationale de France. Despite the city's enduring medieval look, the Paris illustrated here is stirred by a revolutionary spirit, a city that crowned emperors and twice restored the monarchy.This is the capital as it was before Haussmann's major transformations: from the Marais and the Latin Quarter to the Faubourg Saint-Germain and the Palais Royal, from the Pont des Arts and the Pont Neuf to the theatres on the Boulevards and the Louvre. In these views, the inhabitants ride about on horses or fish in the Seine, flounder in muddy streets, or sit outside in one of the newfangled sidewalk cafés to watch the world go by.

  • Taille : 25cm x 29cm
Oeuvres de Monsieur Voltaire
1742
Chez Jean Nourse
Oeuvres de Monsieur Voltaire
Auteur : Marie François Arouet de Voltaire

Le Malade imaginaire.

C’est une de ces farces de Molière dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie. La naïveté peut-être poussait trop loin en fait le principal caractère. Ces farces ont le défaut d’être quelquefois un peu trop basses et ses comédies de n’être pas toujours assez intéressante, mais avec tous ses défauts la, il sera toujours le premier de tous les poètes comiques. Depuis lui le thétre français s’est soutenu et même a été asservi à des lois de décence plus rigoureuse que du temps de Molière. On n’oserait aujourd’hui hasarder la scène où le tartuffe presse la femme de son hôte ; on n’oserait se servir des termes de dispute, de Carole mieux, et même de cocu ; la plus exacte bienséance règne dans les pièces modernes. Il est étrange que tant de régularité n’est plus le levée encore cette tche qu’un préjugé très injuste attache à la profession de comédiens ils étaient honorés dans Athènes, où il représentait de moins bons ouvrages ; il y a de la cruauté à vouloir avilir des hommes nécessaires à un état bien policier, qui exerce sous les yeux des magistrats un talent très difficile et très estimable ; mais c’est le sort de tous les gens à talent, qui sont sans pouvoir, de travailler pour un public ingrat.

Voltaire

  • Taille : 16,5cm x 10cm
  • Préface historique pour l’Edition de 1742.
  • Lettre de Monsieur le Cardinal de Fleury à Mr. de Voltaire. pg7
  • Réponse de Monsieur de Voltaire. pg9
  • Première lettre du Prince Royal de Prusse à Monsieur de Voltaire. pg10
  • Réponse de Monsieur de Voltaire. pg16
  • Lettre de Monsieur le Cardinal Alberoni à Mr. de Voltaire. pg23
  • Réponse de Monsieur de Voltaire. pg24
  • Lettre du 11 voix de Prusse à Madame la Duchesse de Brunswik. pg25
  • Préface de l’Edition de 1737 parMr. Linant. pg27
  • Traduction d’une lettre de Monsieur Antoine Cocchi. pg31
  • Idée de La Hrnriade. pg47
  • La Henriade.
  • La Henriade - Chant premier. pg3
  • La Henriade - Chant second. pg25
  • La Henriade - Chant troisième. pg43
  • La Henriade - Chant quatrième. pg67
  • La Henriade - Chant cinquième. pg87
  • La Henriade - Chant sixième pg105
  • La Henriade - Chant septième pg123
  • La Henriade - Chant huitième. pg147
  • La Henriade - Chant neuvième. pgpg171
  • La Henriade - Chant dixième. pg187
  • Essai sur la poésie épique par Monsieur de Voltaire. pg207
  • Chapitre premier.
  • Des différents goûts des peuples. pg210
  • Chapitre second.
  • Homère. pg219
  • Chapitre troisième.
  • Virgile. pg239
  • Chapitre quatrième.
  • Lucain. pg250
  • Chapitre cinquième.
  • Le Trissin. pg256
  • Chapitre sixième.
  • Le Camouens. pg261
  • Chapitre septième.
  • Le Tasse. pg268
  • Chapitre huitième.
  • Don Alonso d’Ercilla. pg287
  • Chapitre neuvième. Milton. pg297
  • Histoire de Molière et de ses ouvrages. pg315
  • Vie de Molière. pg319
  • L’Etourdi ou les contretemps : comédie en vers et en cinq actes, jouer d’abord à Lyon en 1653. Puis à Paris au mois de décembre 1658. Sur le théâtre du Petit Bourbon. pg335
  • Le Dépit amoureux : Comédie en vers et en cinq actes, représenté au théâtre du Petit Bourbon en 1658. pg338Les Précieuses ridicules : comédie en un acte et en prose, jouée d’abord en Province, et représentée pour la première fois à Paris sur le thétre du Petit Bourbon, au mois de novembre 1659. pg339
  • Le Cocu Imaginaire : comédie en un acte et envers, représentée à Paris le 28 mai 1660. pg342
  • Don Garcie de Navarre ou le Prince jaloux : comédie héroïque envers et en cinq actes, représentée pour la première fois le 4 février 1661. pg343
  • L’Ecole des Maris : comédie en vers et en trois actes, représentée à Paris en 1661. pg344
  • Les Facheux : comédie envers et en trois actes, représentée à Vaux devant le Roi, au mois d’août, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 4 novembre de la même année 1661. pg346
  • l’Ecole des Femmes : comédie en vers et en cinq actes, représentée à Paris sur le thétre du Palais-Royal le 26 décembre 1662 . pg348
  • La Critique de l’Ecole des Femmes : petite pièce en un acte et en prose, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 1er juin 1663. pg350
  • L’Impromptu de Versailles : petite pièce en un acte et en propose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 novembre de la même année. pg351
  • La Princesse d’Elide ou les Plaisirs de l’Ile enchantée : représenter le 7 mai 1664 à Versailles à la grande Fête que le Roi donna aux Reines. pg352
  • Le mariage forcé : petites pièces en prose et en un acte, représentée au Louvre le 24 janvier 1664 et au thétre du Palais-Royal le 15 décembre de la même année. pg353
  • L’Amour médecin : petite comédie en un acte et en prose, représentée à Versailles le 15 septembre 1665 et sur le thétre du Palais-Royal le 22 du même mois. pg354
  • Don Juan ou le Festin de Pierre : comédie en proposant cinq actes, représentée sur le thétre du Palais-Royal le 15 février 1665. pg355
  • Le Misanthrope : comédie en vers et en cinq actes, représentée sur le thétre du Palais-Royal le quatre de juin 1666. pg358
  • Le Médecin malgré lui : comédie en trois actes et en prose, représentée sur le thétre du Palais-Royal le 6 aot 1666. pg361
  • Le Sicilien, ou l’Amour peintre : comédie en prose et en un acte, représenté à Saint-Germain-en-Laye en 1667 et sur le théâtre du Palais-Royal le 10 juin de la même année. pg362
  • Melicerte, Pastorale héroïque : représenter à Saint-Germain-en-Laye pour le Roi au Ballet des Muses, en décembre 1666. pg363
  • Amphitryon : comédie en vers et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 13 janvier 1668. pg363
  • L’Avare : comédie en prose et en cinq actes, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668. pg366
  • Georges Dandin, où le mari confondu : comédie en prose et en trois actes, représenté à Versailles le 15 juillet 1668 et à Paris le 9 de novembre 1668. pg370
  • L’imposteur ou le Tartuffe : jouer sans interruption en public le 5 février 1669. pg371
  • Monsieur de Pourceaugnac : Comédie ballet en pros et en trois actes, fêtes et jouer à Chambord pour le roi, au mois de septembre 1669 est représenté sur le thétre du Palais-Royal le 15 novembre de la même année. pg376
  • Le Bourgeois Gentilhomme : comédie ballet en prose et en cinq actes, fêtes et jouer à Chambord au mois d’octobre 1670 est représenté à Paris le 23 novembre de la même année. pg377
  • Les Fourberies de Scapin : comédie en prose et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 24 mai 1671. pg379
  • Psyché : tragédie ballet en vers libres et en cinq actes, représenté devant le roi dans la salle des machines du palais des Tuileries en janvier et durant le carnaval de l’année 1670 est donné au public sur le théâtre du Palais-Royal en 1671. pg381
  • Les femmes savantes : comédie en vers et en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 11 mars 1672. pg383
  • Les Amants Magnifiques : comédie ballet en prose et en cinq actes, représenté devant le roi à Saint-Germain, au mois de février 1670. pg386
  • La Comtesse d’Escarbagnas : petite comédie en un acte et en prose, représenté devant le roi à Saint-Germain, en février 1672 et à Paris sur le théâtre du palais Royal le 8 juillet de la même année. pg387
  • Le malade imaginaire : en trois actes avec des intermèdes, fut représentée sur le cas du Palais-Royal le 10 février 1673. pg388
VISIONS, Architectures publiques, Théâtre National
2004
Ed. de la Lettre Volée
VISIONS, Architectures publiques, Théâtre National
Auteur : M. Langhoff, N. Delhalle, C. Schmidt, F. Thiry

ISBN : 2930705175

Le sujet de ce troisième volume de la collection "Visions", consacrée aux architectures publiques, ne pouvait échapper à l'évènement que constitue l'ouverture du Théâtre national, en plein coeur de Bruxelles. Après 40 années d'existence dans la tour Rogier, aujourd'hui détruite, la première scène de la Fédération Wallonie-Bruxelles entame un nouveau cycle de vie, dont la matérialisation la plus évidente est l'installation dans un bâtiment flambant neuf.

Compagnon de route du Théâtre national, la photographe Marie-Françoise Plissart était naturellement désignée pour témoigner de ce moment charnière. Le metteur en scène Matthias Langhoff s'interroge quant à lui sur l'identité d'un nouveau théâtre à l'orée du XXIe siècle tandis que François Thiry et Carole Schmit analysent la question sous l'angle de la critique architecturale. Les architectes témoignent également de leur engagement dans cette aventure et les directeurs Philippe Van Kessel (1990-2005) et Jean-Louis Colinet (2004-2016) évoquent les ambitions de la direction artistique du nouveau théâtre.

  • Taille : 17,2cm x 21,5cm
  • Marie-Françoise Plissart
  • Photographies. pg2
  • Matthias Langhoff
  • Réflexions hétéroclite après la visite d’une maison de verre. pg48
  • Historique. pg56
  • Nancy Delhalle
  • Un théâtre pour la cité : le nouveau théâtre national à Bruxelles.
  • Entretien avec Philippe van Kessel et Jean-Louis Colinet. pg60
  • Carole Schmidt
  • Architecture, théâtre et réalisme tertiaire. pg72
  • Philippe Ernotte
  • Au pied du mur.
  • Questions provisoires sur une architecture en devenir.
  • Entretien avec les architectes du Théâtre National. pg80
  • Auteurs. pg88
  • Documents. pg90
  • Biographies. pg116
  • Fiche technique. pg120
  • Descriptif. pg122
Le décor de th. dans le monde depuis 1935
1956
Elsevier Bruxelles
Le décor de th. dans le monde depuis 1935
Auteur : R. Hainaux, Y. Bonnat

Avant-propos.

Ce livre a une longue histoire. Et cette histoire est assez belle.

C'est une œuvre collective et il semble impossible de citer–dont ils sont nombreux–tout ce qui, avec un merveilleux désintéressement, en contribuer à sa naissance.

Le point de départ fut le IVe Congrès de l’Institut International du Théâtre, à Oslo, en 1951.

Pendant toute la durée de ce Congrès, le Centre Norvégien présentait une Exposition internationale de maquette de décor, si admirable que nous ne Sung-Jin pas centristes qu'elle allait se disperser sans laisser de traces. C'est alors que la délégation française suggéra qu'une sélection de ses maquettes se présenter dans un volume ou ce matérialiserait ainsi l'esprit de confrontation et de collaboration internationale qui anime l’ I.I.T.

L’idée prixtcorps grâce au Président du Centre Norvégien, Monsieur Axel Otto Normann, qui trouva les premiers fonds nécessaires pour la reproduction photographique d'une foule de documents originaux.

C'était un bon départ, mais le « grande œuvre » ne faisait que commencer. Dans les mois qui suivirent, notre ambition ça cru en même tant que notre objectif se préciser : rendre compte de l'évolution du décor de théâtre au cours des 20 dernières années. À notre demande, 23 pays nous envoyer une nouvelle sélection, plus complète, plus sévère, y joignant une fiche technique détaillée pour chaque document, une courte biographie des divers décorateurs, une étude historique sur l'évolution et les influences subies entre 1935 et aujourd'hui.

Chargé par nous de la centralisation du travail, René Hainauxse trouva, après quelques trois ans, à la tête de 2000 documents environ. Yves-Bonnat devait se joindre à lui pour faire le choix définitif que nous vous présentons aujourd'hui–soit souvent cruel parmi des décors et tout c'était de qualité.

C'est dire que si ce livre est un concentré, il est aussi une somme. Ou si c'est Louis Van ou avec Eelens tous ceux qui nous ont apporté leur concours est permis de résoudre les problèmes les plus délicats. Par exemple, celui des droits de reproduction. Il était vite apparu que l'ouvrage ne trouverez un éditeur que si cette question était préalablement réglée. Notre gratitude va d'abord aux Centres et aux correspondants qui nous ont donné tout apaisement à ce sujet, mais il va aussi au décorateur, au photographe et, dans certains cas, aux collectionneurs qui ont accepté que des documents qui leur appartenait soit utilisé gracieusement. Les citer tous personnellement serait impossible.

Dès le origine, il avait été prévu que certaines de ses études serait publié in extenso : Allemagne, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni. Pour les autres nations, les études originales ont été résumées et réécrites par Yves-Bonnart que ses compétences techniques et ses connaissances personnelles désigné tout naturellement pour ce travail.

Le lecteur s'étonne rat sans doute de l'absence d'un certain nombre de nations dont certaines très importante : la Chine, l'Inde, l’URSS… Il y verrat à tort un parti pris. La vérité est que, malgré nos démarches répétées, nousn’avons pas réussi, dans ces pays, à trouver une personnalité ou un organisme qui accepte d'assumer la responsabilité d'une sélection nationale. Et nous avons eu scrupules à présenter les documents que nous avions réunis au hasard de circonstances : notre choix eüt été incomplet et subjectif.

Un salut amical encore

à l’éditeuru Olivier Perrin, à qui nous sommes redevables d'un projet de mise en page. À la maison « Elsevier », qui a pris notre livre en affection et en assurer une impeccable réalisation. Un jeune peintre espagnol Capoulet qui, dont le talon s'est affirmé dans la conception de la jaquette.

Kenneth Rae - Président du Comité des Publications de l’I.I.T.

  • Taille : 30cm x 24,5cm
  • Table des matières
  • Dessin-
  • Préface de Jean Cocteau. III
  • Avant-propos, par Kenneth Rae. V
  • Introductions aux illustrations.
  • Argentine, d’après Hector Basaldua et Jorge de Obieta. pg7
  • Australie, d’après Allan Ashbolt. pg7
  • Belgique, d’après le Centre Belge de l’I.I.T. pg8
  • Brésil, d’après Olga Obry. pg8
  • Tchécoslovaquie, d’après Vaclav Hepner. pg9
  • Chili, d’après le Centre Chilien de l’I.I.T. pg9
  • Danemark, d’après Svend Erichsen. pg9A
  • llemagne, par Ingvelde Müller. pg10
  • France, par Raymond Cogniat. pg13
  • Grèce, d’après le Centre Hellénique de l’I.I.T. pg15
  • Suisse, d’après Edmond Stadler. pg16
  • Italie, par Giulio Pacuvio. pg16
  • Yougoslavie, d’après Marijan Matlovic. pg19
  • Mexique, d’après Xavier Villaurutia. pg20
  • Pays-Bas, d’après le Centre Néerlandais de l’I.I.T. pg20
  • Nouvelle-Zélande, d’après le New Zealand Drama Concil. pg20
  • Japon, par Kihachi Kitamura. pg21
  • Norvège, d’après Axel-Otto Normann. pg23
  • Pologne, d’après Henryk Szletynski. pg23
  • Finlande, d’après Matti Waren et Rolf Stegars. pg24
  • Suède, d’après Gustaf Hilleström. pg24
  • Royaume-Uni, par Aubrey Ensor. pg25
  • Etats-Unis, par Charles Elson. pg29
  • Clefs de l’ouvrage.
  • - Illustration des légendes. pg31
  • - Illustrations.
  • Argentina. pg33
  • Australia. pg39
  • Belgique. pg43
  • Brasil. pg49
  • Ceskoslovensko. pg51
  • Chile. pg54
  • Danmark. pg55
  • Deutschland. pg62
  • France. pg82
  • Hellas. pg103
  • Helvetia. pg113
  • Italia. pg120
  • Jugoslavija. pg133
  • Mexico. pg135
  • Nederland. pg136
  • New Zeland. pg141
  • Nippon. pg142
  • Norge. pg152
  • Polska. pg156
  • Suomi. pg158
  • Sverige. pg160
  • United Kingdom. pg169
  • United States of America. pg189
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des décorateurs. pg209
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des auteurs, compositeurs et chorégraphes. pg215
Le lieu théâtral dans la société moderne
1978
Cnrs
Le lieu théâtral dans la société moderne
Auteur : D. Bablet, J. Jacquot, M. Oddon

ISBN : 222200909X

Colloque de Royaumont, juin 1961; réunies et présentées par Denis Bablet et Jean Jacquot ; avec la collaboration de Marcel Oddon ; colloque organisé en collaboration par "Maison du théâtre", le Groupe de recherches sur le théâtre (CNRS) et le Groupe théâtre du Cercle culturel de Royaumont

  • Taille : 27,5cm x 21,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg5
  • Présentation, par Jean Jacquot. pg7
  • La remise en question du lieu théâtral au XXe siècle, par Denis Bablet. pg13
  • Théâtre et public, par Gigi Lunari. pg27
  • Des théâtres pour le peuple, par Jean-Claude Marrey. pg35
  • Installation d’un Centre Dramatique, par Gabriel Monnet. pg47
  • Expérience de théâtre populaire au Maroc, par André Voisin. pg49
  • Le théâtre, art de masse ? Par Bernard Dort. pg55
  • Expérience du drame, expériences sociales, par Jean Duvignaud. pg63
  • Le théâtre et les loisirs, par Paul Nelson. pg69
  • L’architecte de théâtre et la cité, par Pierson Sonrel. pg73
  • Le théâtre est-il un art visuel ? par Pierre Francastel. pg77
  • Rapport de l’acteur et du spectateur comme condition d’une architecture, par André Villiers. pg85
  • Scène ouverte et scènes fermées par Richard Southern. pg91
  • Le théâtre comme instrument, par René Allio. pg99
  • Influence sociale et économique sur l’architecture théâtrale aux USA, par Jo Mielziner. pg107
  • Le théâtre réaliste et la construction théâtrale, par Hans Gussmann. pg113
  • Scène et auditoire, par Filip Kalan Kumbatovic. pg119
  • Libération du jeu par des architectures immatérielles, par Werner Ruhnau. pg127
  • L’image 360° et l’espace scénique nouveau, par Jacques Polieri. pg131
  • Nécessité actuelle du théâtre ambulant, par Jacques Bosson. pg149
  • Un lieu théâtral : Avignon, par Jean Vilar. pg153
  • Etude du Théâtre populaire, Centre culturel de la Défense, par Edouard Albert. pg161
  • Introduction au Congrès de l’A.I.T.T., par Jean Mourier. pg167
  • Architectur et théâtre lyrique par Bronislaw Horowicz. pg171
  • La Technique, nécessité artistique du théâtre moderne, par Erwin Piscator. pg179
  • Le nouvel éclairage scénique et sa signification pour le théâtre d’aujourd’hui, par Alfred Kolbe. pg193
  • Acoustique des théâtres, par François Canac. pg197
  • Le théâtre moderne a besoin d’espace et de techniques, par Walter Unruh. pg207
  • La cinétique scénique, par Miroslav Kouril. pg211
  • Le lieu théâtral et la culture, par Jean Jacquot. pg225
  • Chronique. pg237
  • Index. pg239
  • Table des illustrations. pg245
Le Théâtre du Merveilleux
1962
Olivier Perrin Ed.
Le Théâtre du Merveilleux
Auteur : Marian Hannah Winter

D’anciennes broderies ont inspiré Rose Winter dans les années 20. Comment Marian Hannah fut-elle conduite au théâtre dés l’âge de quatre ans plusieurs fois par semaine et comment, à partir de ces broderies, la collection familiale s’élabora-t-elle ? … Il suffit de savoir que mère et filles s’appliquèrent dès ce moment et dans tous les pays du monde à assembler ce qui pouvait être la représentation par l’image et l’objet du Théâtre du Merveilleux.

Il fallait atteindre Paris pour toucher le foyer du Merveilleux … Aussi dès la fin de la guerre, économies réalisées grce à même de numismatique, rose etMarian Hannah Winter vivent-elles en Europe.

Marian Hannah présente une thèse de doctorat à la Sorbonne sur « le Théâtre du Merveilleux », tandis que Mrs. Winter poursuit inlassablement l’enrichissement de la collection.

Docteur ès Merveilleux, après 20 ans de recherche, une participation à toutes les manifestations qui démontrent le Merveilleux au spectacle, Marian Hannah et aujourd’hui la propriétaire de la collection d’estampes et d’objets l’une des plus purs du monde. Son érudition est certes la plus authentique.

Georges Balanchine disait de Marian Hannah Winter la recommandant à la Sorbonne : « je trouve dans ses oeuvres un grand talent pour la recherche et aussi, ce qui est plus rare, le temps d’un style très accompli. »

  • Taille : 28,5cm x 21cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg5
  • Avant-propos. pg11
  • Chapitre I : en Amérique de 1790 à 1850. pg13
  • Chapitre II : les trois genres.- Le genre exotique. pg19
  • - Le genre troubadour. pg31
  • - Le gens surnaturels. pg37
  • Chapitre II : les trois Réalisateurs.- Jean Georges Noverre. pg40
  • - Jean-Louis David. pg43
  • - Guilbert de Pixérécourt. pg50
  • Chapitre IV : les techniques du Merveilleux. pg53
  • Chapitre V : le Boulevard du Temple contre l’Opéra. pg67
  • Chapitre VI : la pantomime. Jean-François Arnould-Mussot. pg79
  • Chapitre VII : le ballet romantique du Boulevard du Crime. pg94
  • ChapitreVIII : les Chorégraphes.
  • - Jean Aumer. pg114
  • - Louis Henty. pg127
  • - Mazurier Et son école. pg139
  • - Jean Coralli. pg143
  • - Jules Perrot. pg154
  • Chapitre IX : les animaux savants. pg158
  • Conclusion. pg177
  • Bibliographie. pg183
  • Index des noms cités. pg187
  • Index des ouvres citées p.g189
The Scenography of Josef Svoboda
1983
Wesleyan University Press
The Scenography of Josef Svoboda
Auteur : Jarka Burian

ISBN : 0819560324

One of the Czech Republic’s most innovative scene designers, incorporating multimedia aspects into his scene designs, Josef Svoboda’s (1920–2002) work is made available to the Anglophone public with translations from Jarka Burian (1927–2005). A detailed study of sixty key productions designed by Svoboda with over two hundred black-and-white photographs, Svoboda’s scenography is realized as a synthesis of traditional methods with technical innovations, creating a total design experience.

  • Taille : 25,5cm x 19,5cm
  • CONTENTS List of illustrations. pgIX
  • Preface. pgXVII
  • Introduction. pgXIX
  • Part I.
  • Life and principles. Biography. pg3
  • Scenography RatherThan Design. pg15
  • Experimentation and the Technical. pg21

  • The Aesthetics of Theatre Performance. pg27
  • Ideal Theatre Space. pg32
  • Part II.
  • Representative productions illustrated An Introductory Survey. pg39
  • Kunala's Eyes (Ostreil)

  • Kata Kabonova (Janacek)

  • Macbeth (Shakespeare)
  • 
Ivanov (Chekhov)

  • The Magic Flute (Mozart)
  • The Wedding (Combrowicz)
  • 
The Mill (Mahler)
  • 
Don Giovanni (Mozart),
  • Bremen
 The Three Sisters (Chekhov)
  • 
The Story of a Real Man (Prokofiev)
  • Yvone (Combrowicz)

  • Tosca (Puccini)

  • The Eleventh Commandment (Samberk)
  • Straying (Karnet)
  • 
No More Heroes in Thebes (Ilumbalek)
  • Elektra (Sophocles)
  • Oedipus (Sophocles)
  • Dalibor (Smetana)
  • 
Il Trovatore (Verdi)
  • The Theatre of Light. pg59
  • 
An Optimistic Tragedy (Vishnjevski)
  • A Sunday in August (Hrubin)
  • The Sea Gull (Chekhov)
  • Svätopluk (Suchoh)
  • Drahomira (Tyl)
  • Tristan and Isolde (Wagner)
  • Sicilian Vespers (Verdi)
  • Projections and Coloring Space. pg67
  • A Midsummer Night's Dream (Shakespeare)
  • Oberon (Weber)
  • 
Die Frau Ohne Schatten (Strauss)
  • Raduzand Mahulena (Zayer-Suk)
  • Pelleas and Melisande (Debussy)
  • Tannhduser (Wagner)
  • Projections and Synthesis. pg77
  • Polyekran Laterna Magika Diapolyekran
  • 
Several Offspring of Polyekran and Laterna Magika. pg93
  • Their Day (Topol)
  • Romeo, Juliet, and Darkness (Fischer)
  • The Journey (Werle)

  • The Suzanna Play (Macourek)

  • The Soldiers (Zimmermann)
  • The Last Ones (Gorki) Intoleranza (Nono),
  • Boston Prometheus (Orff) Kinetics, Lighting, and Mirrors. pg108
  • Romeo and Juliet (Shakespeare)
  • The Owners of the Keys (Kundera)
  • The Insect Comedy (Capek)

  • The Fiery Angel (Prokofiev)
  • A Curtain of Life. pg121

  • The Entertainer (Osborne)
  • Two Hamlets (Shakespeare). pg121
  • Prague Brussels Teatro Mundi. pg128

  • The Anabaptists (Diirrenmatt)
  • The Principle of Collage. pg131

  • The Tales of Hoffmann (Offenbach)
  • Wastrels in Paradise (Martens-Obey)
  • Aibis's Action (Kainar)
  • Revizor (Gogol)
  • Theatre in Scenography. pg135

  • A Love for Three Oranges (Prokofiev)
  • The Makropulos Secret (Janacek)
  • Rigoletto (Verdi)
Don Giovanni (Mozart),
  • Prague Appendix A. Selected Croup of Svoboda's Production Drawings. pg147
  • Appendix B. Svoboda's Most Recent Productions. pg155
  • 
Appendix C. Register of Svoboda's Productions. pg172
  • 
Selected Bibliography. pg199
Le Théâtre français d'entre-deux-guerres
1943
Casterman
Le Théâtre français d'entre-deux-guerres
Auteur : Georges Sion

Avant-propos.

Les manuels d’histoire littéraire abondent ; mais, presque tous, il s’arrête prudemment à la date de 1914 : à la date de cette guerre que nous pouvons, hélas ! déjà baptisé « l’autre guerre ». Pour le dernier quart de siècle qui s’achève, le renseignement sont par trop fragmentaires, incomplets. D’autre part, la marée des livres imprimés n’a cessé de monter. Et bien des lecteurs qui n’ont ni le temps ni le got de ce musée en professionnelle de la critique interroge : « que devrais-je donc avoir lu pour être au courant de la production contemporaine ? »

Notre collection Clarté sur… ne se propose pas d’autre dessein que de répondre, dans la mesure du possible, à cette question.

Sans qu’ils s’en tiennent tous aux strictes limites chronologiques de l’entre-deux-guerres, la plupart de nos collaborateurs ont cependant voulu faire porter le principal de leur effort de recherche et de mise au point sur la période la plus proche de nous. On attachait de mettre en vedette les noms d’auteur et les tirages d’ouvrage qui représente le « dessus du panier ». De brèves indications bibliographiques, reporté en fin de chapitre, facilite les achats ou les emprunts de livres. Le point de vue littéraire, qui est celui des signataires des différentes brochures, et complété (pour ce qui concerne les tableaux du roman et du théâtre) par une sorte d’indicateurs de la valeur morale des auteurs et des titres ; cet indicateur est d à l’initiative des éditeurs.

  • Taille : 18,5cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • Un mot pour commencer. pg9
  • Chapitre I.
  • Les jours que l’on croyait heureux .pg11
  • Chapitre II.
  • Théâtre d’amour, thétâre poétique. pg18
  • Chapitr III.
  • Le rire et la satire. pg46
  • Chapitre IV.
  • Le retour à l’histoire. pg59
  • Chapitre V.
  • Le drame et la tragédie. pg72
  • Chapitre VI.
  • La mode de tes 18 ans. pg81
  • ChapitreVII.
  • Le théâtre et la foi. pg85
  • Un mot pour finir. Esquisse d’ un portrait. pg92
  • Avertispsement des éditeurs. pg101
20 ans de danse, 1975 - 1995
1998
Contredanse
20 ans de danse, 1975 - 1995
Auteur : Béatrice Menet

ISBN : 2930146036

20 ans de création chorégraphique en Communauté française de Belgique, plus de 700 oeuvres répertoriées; un foisonnement de chorégraphes et de compagnies; une histoire dense; un bilan d'années fastes! Cet ouvrage, comme répertoire de tous les spectacles de danse créés en Communauté française, et comme histoire de la vitalité d'un art, constitue à la fois une mémoire vive de l'élan chorégraphique de ces 20 dernières années et des chorégraphes et danseurs qui l'ont créé, et un outil de référence indispensable, tant pour ceux qui souhaitent découvrir la danse de la Communauté française, que pour ceux qui l'ont vécue et en trouveront ici les témoignages, abondamment illustrés.

  • Taille : 24cm x 16cm
  • Sommaire.
  • Préfaces. Charles Picqué. pg13
  • Henry Inberg. pg14
  • Introduction. Vers une histoire de la création chorégraphique en communauté française par Béatrice Menet. pg19
  • Inventaire des oeuvres. Compagnies permanentes. Ballet de l’Opéra royal de Wallonie. pg55
  • Ballet royal de Wallonie. pg69
  • Charleroi/Danses, Centre chorégraphique de la Communauté française. pg95
  • Chorégraphes et compagnie. De la page 103 à la page 295.
  • Postface. Jean-Philippe Van Aelbrouck . pg301
  • Index des noms cités. Personnes et compagnies de danse. pg303
Les Automates de Monte-Carlo
1985
André Sauret
Les Automates de Monte-Carlo
Auteur : A. Soriano, A. Battani, A.Bordeau

Au milieu des poupées, les automates suscitent toujours la curiosité des visiteurs les plus divers. Amateur de précision concernant le métier d’horloger - dont les compétences techniques ont toujours été nécessaires à la conception de ces personnages - et qui savent apprécier la prouesse technique de tels assemblages mécaniques, amateur de curiosités qui privilégient l’aspect satirique ou esthétique, adultes qui rêvent d’une autre époque ou enfants qui, bien qu’habitué à ne plus être surpris par aucune prouesse technique, n’en reste pas moins attentif et fasciné devant ces êtres au masque de comédie, qui suscite l’émotion, le sourire, la sympathie ou parfois l’inquiétude.

L’ensemble de cette collection compte 90 automates de catégories très diverses. Depuis les vedettes jusqu’aux automates en tôle découpée, simple jouet mécanique, la gamme est grande dans l’inspiration des créateurs.

On peut remarquer l’homogénéité de cet ensemble dans lequel se trouvent quatre grands noms :d Decamps ,Lambert, Vichy et Phalibois qui ont créé ces figurines entre 1855 et le débuts de notre siècle.

Parmi les vedettes, laquelle citée en premier ?

Le peintre poète aux yeux bleus, aux costumes bohèmes montrant le dessin qu’il retouche au spectateur amusé de ces clins d’oil ou de ses haussements alternatifs d’épaule ?

Le romantique Pierrot écrivain qui règle la flamme de sa lampe pigeon pour écrire à colombine avec une inusable plume d’oie?

La charmeuse de serpents dont le corps délicatement modelé répond à la nouvelle conception de l’automate exprimé par Decamps : « un automate est une sculpture en mouvement ». Qui pouvait, sinon un sculpteur sensible à la beauté féminine dans sa fraîche sensualité, rendre l’élégance du corps, l’envotement du regard bleu-vert qui filtre sous les paupières mobiles pour charmer le serpent ?

Le clown équilibriste dans le rétablissement en haut de son échelle laisse au spectateur le loisir de s’étonner de la complexe incurie qui lui permet de lcher son échelle de la main droite après avoir décrit un demi-cercle dans le vide en équilibre sur une seule main ? Outre la performance acrobatique à laquelle il se livre, qui ne seraient séduits par la finesse des traits du visage soigneusement grimé et ne apprécierait la délicatesse des mains si précisément sculpté en papier mché ? Ces personnages pas, pour la plupart, se classer en quelques catégories correspondant à l’intérêt de l’époque.

  • Taille : 32cm x 24,5cm
  • Table des matières.
  • Petite histoire des automates. pg5
  • La collection de Galéa. pg72
  • La musique des automates. pg114
  • Tableau animé. pg156
  • Mécanismes d’automates. pg164
  • La restauration des automates. pg170
Mudra, 103 rue Bara
2016
Éditions Contredanse
Mudra, 103 rue Bara
Auteur : Dominique Genevois, Maguy Marin

ISBN : 2930146397

Ancienne étudiante de Mudra et danseuse du Ballet du XXe siècle, Dominique Genevois dépeint les dix-huit années d’existence de l’école de Maurice Béjart et de son enseignement novateur, où se côtoient la danse, le théâtre, le chant, le yoga. L’auteure revient également sur les personnalités qui ont façonné Mudra, son équipe administrative, ses professeurs internationaux et ses étudiants devenus acteurs majeurs de la création et de l’enseignement. Illustré de photographies d’époque et d’archives inédites, ce portrait fascinant fait revivre la grande aventure artistique et humaine que fut Mudra.

Préfaces de Maguy Marin et Barbara Hassel-Szternfeld.

  • Taille : 23cm x 16cm
  • Sommaire.
  • Note de l’éditeur. pg8
  • Préface de Maguy Marin. pg10
  • Préface de Barbara Hassel-Szternfeld. pg11
  • Avant-propos. pg12
  • Mudra. pg17
  • Béjart et Mudra. pg18
  • Préfiguration de l’école. pg22
  • Mudra, le hangar magique. pg29
  • Statuts, règlement, financement et organisation. pg40
  • L’Ecole: un estrit. pg51
  • Avant Mudra, Paris. pg52
  • L’équipe pédagogique. pg58
  • Les professeurs de danse classique. pg58
  • Les professeurs de danse moderne. pg75
  • Le jazz. pg89
  • Et la musique ? Voix et percussions. pg91
  • Le jeu théâtral, Alfons Goris. PG117
  • L’atelier de composition, apprentissage et créativité. pg133
  • Les professeurs de danse traditionnelles. pg139
  • Le Yoga et le zazen. pg151
  • Les porteurs de projet. pg161
  • L’équipe administrative : Mimi, Monette et Barbara. pg161
  • Les directions artistiques des études. pg166
  • La vie de l’école. pg185
  • Le stress de l’administration et des évaluations. pg185
  • Témoignages et confidences. pg198
  • Régine, Guy et compagnie. pg208
  • Les Mudristes. pg217
  • Bruxelles, rue Bara, la vie des mudristes. pg218
  • 1970, première promotion : les défricheurs. pg231
  • Et aprè ? L’héritage de Mudra. pg245
  • Rencontres et retrouvailles. pg262
  • De l’importance des spectacles. pg273
  • Les spectacles réglés par Béjart. pg279
  • De Cocteau à Pétrarque. pg279
  • Voyages chorégraphiques. pg297
  • Yantra, un projet. pg314
  • Mudra et puis ? pg345
  • Mudra Dakar. pg347
  • L’esprit d’un Mudra Paris. pg363
  • Mudra Rudra … le final. pg379
  • Dans un jacuzzi, quarante ans après. pg379
  • Remerciements. pg384
  • Annexes. pg385
  • Les spectacles de Mudra, de 1970 à 1988. pg388
  • Parcours. pg408
  • Bibliographie. pg426
  • Index. pg429
La technique du film
1939
Payot
La technique du film
Auteur : Stephen Watts, Collectif

Avant-propos du traducteur.

Il manquait un livre qui fut une rapide initiation au métier cinématographique. Les études réunis par Miss Nancy Naumburg. Silence ! On tourne s’adressent autant au professionnel qui veut avoir les documents exactes et sérieux sur le travail des artistes et techniciens de Hollywood qu'à l’amateur passionné qui désire connaître jusque dans les moindres détails – artistiques, mécaniques, psychologiques – la façon dont on imagine, réalise et fabrique un film. L'ouvrage composé par Monsieur Stephen whatts, critique anglais distingué, est une lecture plus facile. Ce n'est ni une suite d'exposés secs ni un recueil d'anecdotes instructive, c'est une sorte d'enquête faite à l'intérieur même d’un grand studio en pleine activité avec la collaboration très précieuse des spécialistes les plus éminents de ce studio. Ainsi nous est donné l'occasion de lire l'opinion d'hommes et de femmes dont nous avons lu maintes fois le nom sur le « générique » des films. Leur témoignage a d'autant plus d'intérêt qu'il donne 10, 20,30 références permettant de juger la part qu'ils ont prise dans la production américaine.

Le spectateur à vite dit : j'aime ou je n'aime pas tel film pour telle ou telle raison, mais il lui est assez difficile de retrouver la part de chacun des artistes, artisans, techniciens qui ont travaillé en exécution de ce film et de répartir équitablement les louanges et les reproches.

Un film et le résultat des efforts multiples qui se complètent, s’opposent ou se neutralisent.

Certes, le metteur en scène est généralement – selon la liberté que le producteur lui laisse – le chef de l'équipe et le plus grnd responsable en dernier ressort, mais il est souvent inexact de dire qu'un film est « de Louis », car il est rare qu'il puisse choisir non seulement tous ses collaborateurs et ses interprètes, mais le sujet même de son film ; et, quand il est son maître, encore n’est-il jamais absolument maître de l'outil compliqué au moyen duquel il s'exprime. Au studio, la manœuvre intelligente et prompte d’un simple électricien contribue à la mise au point de l'ouvrage, de même que sa négligence manque de compromettre la réussite d'une scène, et, partant, de diminuer la valeur de l'ensemble. Un excellent opérateur de prise de vues, d’autre part, a parfois le désagrément de voir une journée de travail, précis, délicat gâchée par l’incurie du laboratoire. Il peut s’ensuivre, par exemple, que le spectateur juge une nouvelle actrice laide, mais adroite, alors qu’elle est, en réalité, aussi jolie que stupide, mais que le metteur en scène, à force de patience et de persuasion, a obtenu d’elle plus qu’elle ne pourra donner dans le reste de sa carrière.

Ce que Le Public de vin avec Braine Le, le critique doit le discerner. Le critique et le guide du public et le conseiller des artistes. Rien ne doit lui échapper et il va faire la différence entre un talent fabriqé et un vrai tempérament de comédien ou d’auteur de films. Un montage l’esbroufe ne doit pas non plus, par exemple, lui cacher la médiocrité d'une réalisation, d'une construction, d’un dialogue. Ce qui rédige les compte rendu des nouveautés de l'écran ou malheureusement peu de temps pour mettre au point leur appréciations et peude place pour les exposer. Quand les critiques à par hasard la possibilité de pousser assez loin un analyse, le spectateur a tendance à s'imaginer qu'il n'a plus d’yeux que pour une certaine princesse Technique, énigmatique et froide.

J. G. Auriol

  • Taille : 23cm x 14cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos du traducteur. pg7
  • Préface de Hugh Walpole. pg15
  • Présentation, par Stephen Watts. pg19
  • I. Le producteur, par Hunt Stromberg. pg24
  • II. Le metteur en scène, par George Cukor. pg36
  • III. Le scénario, par Frances Marion. pg47
  • IV. Le décorateur, par Cedric Gibbons. pg59
  • V. Les costumes, par Adrian. pg68
  • VI. La régie, par Billy Grady. pg73
  • VII. Le maquillage, par Jack Dawn. pg82
  • VIII. L’acreur - I, par Leslie Howard. pg89
  • IX. L’acteur - II, par Lionel Barrymore. pg102
  • X. La photographie, par Lee Garmes. pg110
  • XI. La couleur, par Natalie Kalmus. pg119
  • XII. Le son, par Douglas Shearer. pg131
  • XIII. La musique d’écran, par Herbert Stothart. pg138
  • XIV. Le montage, par Margaret Booth. pg143
  • XV. Propagande et publicité, par Howard Dietz. pg150
  • XVI. La distribution, par Eckman Junior. pg162
Lumière et Vision
1926
Soc. pr Perfectionnement de l'Eclairage
Lumière et Vision
Auteur : Soci. pr Perfectionnement de l’Eclairage

Société pour le perfectionnement de l’éclairage, créée en vue de favoriser le développement et l’amélioration de l’éclairage.

Un effort considérable a été accompli ces dernières années dans différents pays, et particulièrement aux tats-Unis, en vue de favoriser le développement et l’amélioration de l’éclairage dans tous les domaines : éclairage public, industrielle, commerciale, domestique.

D’innombrables entreprises commerciales et industrielles utilisent très mal la lumière électrique, parce qu’aucune étude rationnelle n’a été faite des conditions optimales d’installation. Les foyers lumineux provoquent l’éblouissement et blesse la vue, au lieu d’éclairer correctement les objets ou les espaces qu’on se propose d’illuminer. Il en est souvent de même de l’éclairage public. Dans l’éclairage des habitations, on s’est borné généralement à utiliser quoi copier d’anciens appareils, sans chercher à tirer parti des nombreux avantages que peut procurer l’emploi de l’électricité.

La société pour le Perfectionnement de l’Eclairage a pour but de recueillir, centralisée, répandre et vulgariser tous les renseignements relatifs à l’éclairage ; de former des ingénieurs spécialistes ; de mener une campagne de propagande en faveur du meilleur éclairage ; d’expliquer de montrer, par des conférences, des tracts, des expériences et des démonstrations, sur quels principes doivent être basé les installations rationnelles ; d’étudier, pour le compte de ce qu’il le lui demande, les dispositions à prendre dans chaque cas particulier en vue d’obtenir le maximum d’effet utile, etc.

Cette société, qui est entièrement indépendante, ne vend aucun appareil, et ne recherche absolument aucun bénéfice commercial. Elle fait appel à la coopération des producteurs et distributeurs d’énergie électrique, des constructeurs de matériel, des installateurs, des revendeurs et, d’une façon générale, de tous ceux qui sont intéressés au développement de l’éclairage électrique, et leur demande des subventions annuelles ou des dons pour couvrir ses dépenses.

Elle poursuit, en faveur du meilleur éclairage, une campagne de propagande qui sera d’autant plus énergique que les moyens financiers mis à sa disposition seront plus importants. Elle se tient gratuitement à la disposition de tous ceux qui ont besoin, pour quelque motif que ce soit, du conseil ou de renseignements en matière d’éclairage. Elle fait établi gratuitement toutes les études et tous projets qui lui sont demandés par les architectes, les installateurs, des industriels, les commerçants, Les particuliers, etc. Personne ne doit donc hésiter la consulter puisqu’elle a été créée dans le but de contribuer à la vulgarisation du meilleur éclairage.

  • Taille : 20,5cm x 13,5cm
  • La Lumière. pg1
  • L’Oeil. pg7
  • La Vision. pg10
  • L’Eblouissement. pg15
  • L’Eblouissement et la Vision. pg21
  • L’Eclairage et la Production. pg22
Lux, des Lumières aux lumières n°10
2000
Gallimard
Lux, des Lumières aux lumières n°10
Auteur : Monique Sicard, Collectif

ISBN : 207075992X

Quel lien entre les dispositifs techniques de la mise en lumière, leur impact symbolique et leur efficacité politique? Question médiologique s'il en est, qui cherche les jointures du spirituel et du matériel, à même l'histoire des outils et des mentalités.

Dans nos sociétés occidentales, le chemin du progrès conduit toujours vers la lumière. En retour, se réclamer de la lumière suffit souvent à toute légitimation. Nous aimons chasser l'obscurité et chaque fois que lumière est faite sur une affaire, nous avons effectué un grand pas en avant. Il faut bien alors émettre l'hypothèse que ce qui est éclairé, ce qui a valeur de "progrè", est profondément lié aux sources de lumière disponibles.

  • Taille : 24cm x 19cm
  • Ouvertures M.
  • SICARD
  • Le soleil, l'ampoule, l'esprit P.
  • -M. DE BIAS Fiat Lux, ou les péripéties palingénésique de la lumière
  • O. VALLET Jupiter et Lucifer D. BOUGNOUX L'ivrogne et le réverbère
  • I. La page & le plomb A. MANGUEL
  • Le silence des lumières V. HUGO
  • Une ombre capable de flamboiement.. R. DUMAS
  • L'encyclopédie : manifeste médiologique des Lumières G. VIGNAUX
  • L'hypothèse du livre électronique R. WALTER
  • L'Encyclopédie "plein texte"
  • II. L'ampoule & la nuit Ch. WALTISPERGER
  • Avant l'ampoule K. ROBERT-HOUDIN et S. LEFAVRAIS
  • Robert-Hourdin : la magie de l'ampoule A. BELTRAN et P. CARRE
  • Une fin de siècle électrique M.-R. FAURE Découverte de la nuit
  • C. BERTHO LAVENIR Cathédrales de lumières M. BOITEUX
  • Du monopole de la lumière (entretien)
  • III. La toile & l'écran J. PERRIAULT Lux et Lumen C. FRONTISI
  • Les assassins du clair de lune G. LEBLANC Mehr Licht !
  • P.BEURARD-VALDOYE A Henri Alekan Ch. VAN DAMME Cette lumière qui occulte (entretien) D. PAINI Pro-jeter Fr.
  • -B. HUYGHE La fée du village global D. FRAU-MEIGS
  • Technologies de la fascination S. TISSERON
  • Les pièges de la visibilité L. MERZEAU
  • La veilleuse des âmes en peine
  • IV. La ville & le faisceau Th. PAQUOT Paris 1900 : le Palais de l'Électricité K. DOUPLITZKY Éloge du gris Ph. VUAILLAT Le journal et le jour N. GELAS Tendance lumière R. BEGOC Lumières publiques (entretien) Y. CIRET Poursuite ! A. DIOT et C. HAMON Jeux d'orgue (entretien) Y. KERSALE
  • Les arts plastiques en éclats (entretien) R. ROUYER, Y. CLERGET et R. LABOURDETTE Promenade au Louvre B. DUFRENE Educere / seducere Ph. HERVE Rayon de mort ou rayon de vie : le laser
  • Exposition
  • De l'ombre à la lumière,un idéal occidental Ph. BAZIN Du livre à la lumière,ou la genèse d'une exposition
  • Catalogue de l'exposition
Mes souvenirs sur le Th. Antoine et l'Odéon
1928
Les Oeuvres Représentatives
Mes souvenirs sur le Th. Antoine et l'Odéon
Auteur : André Antoine

1894. (Extrait)

Novembre 1894.

Nous n’étions pas très brillante dans ce train omnibus qui nous ramenait de Naples à Paris après la catastrophe de Rome dont le récit a terminé la première partie de ses souvenirs.

Pourquoi Naples, puisque, une huitaine de jours avant, nous étions sans ressources à Rome ? Dans notre désarroi, je m’étais souvenu de quelques propositions de représentation dans cette ville, reçu avant sa fugue par notre imprésario ; j’avais entretenu l’espoir de les donner avec mes camarades avant de rentrer par mère, voit beaucoup moins coteuse que le chemin de fer.

C’est pourquoi nous allions débarquer à Naples et ce merveilleux temps de septembre, dans une des plus belles villes du monde, que la plupart d’entre nous de connaissez pas, avait suffi à réveiller notre optimisme. Hélas ! Après quelques pourparlers, il me fallut constater qu’il n’y avait rien à espérer et, comme nous devions attendre une semaine un bateau pour Marseille, que nos ressources étaient épuisées, le plus sage fut, en rappelant le fonds de nos poches, de prendre courageusement le train. Personnellement, j’étais sans le sou, puisque, depuis 20 jours, non seulement je n’avais plus touché chaque soir les cacher garanties par notre contrat, mais que l’argent que mis de côté jusque-là, pendant nos représentations en Allemagne, avait été consacré à payer mes camarades jusqu’au dernier jour. Tous, ou à peu près, possédez donc quelques économies ; seule, j’ai nié et moi étions absolument démunis, mais notre vieille camarade Barny, toujours dévoué, nous avança nos frais de rapatriement.

En sorte que nous débarquions trois jours plus tard à Paris, chacun regagnant ses pénates, l’oreille basse, mais décidé à chercher fortune. J’ai mis, dont la réputation avait grandi depuis trois ou quatre ans à la suite de ses succès au Théâtre-Libre (Blanchette, les tisserands, etc.), ne fut guère en peine de se caser et entra à l’Ambigu où Decourcelle lui réserve un rôle dans Roger la Honte. Arquilière, lui, gardé à la rigueur la ressource de regrimper sur son échelle de peintres, et Luce Colas entra au Vaudeville.

La question était bien plus grave pour moi. D’abord où aller ? Le Théâtre-Libre m’avait éloigné de tout contact avec le grand public, et je n’étais, malgré mes sept années de campagne et de nombreuses créations, qu’un simple amateur pour les professionnels. Ensuite, la lutte engagée avec les directeurs de scènes régulières, dans nos efforts avaient peu à peu ébranlé le prestige, ne m’avait pas créé des sympathies bien ardentes. J’allais me trouver isolé de la vie thétrale et peut être obligé de rechercher ailleurs les moyens de vivre. Je me contentais d’abord d’observer l’horizon.

L’écho de presses excellentes en Allemagne, en Belgique et en Italie, sauvegarder mon amour-propre, mais le moindre engagement aurait bien mieux fait mon affaire. J’avais heureusement conservé de solides appuis et revues, dès notre retour, Madame de Loynes, qui s’employa à me réconforter. Son ami, Jules Lemaître, achevait pour le Gymnase une comédie nouvelle : L’Age difficile, dont le principal rôle pouvait me convenir. L’inconvénient était que ce théâtre se trouvait sous la direction commune de Porel et d’Albert Carré, déjà associés pour le Vaudeville ; si Albert Carré, avec lequel j’avais toujours entretenu des relations les plus amicales, se montrait assez disposés à accepter la suggestion de Lemaître me proposant pour créer sa pièce, Porel gardait nos violentes polémiques sur le coeur. Il avait souvent déclaré que je n’étais qu’un amateur sans aucun avenir sérieux. Enfin, il ne se souciait probablement pas de me fournir l’occasion et les moyens de me relever.

  • Taille : 18,5cm x 12cm
  • Notes de : Novembre 1894 au 27 mai 1906
1963-1978, Th. l'Esprit Frappeur
1978
Com Fr Cu Aglo Bruxelles
1963-1978, Th. l'Esprit Frappeur
Auteur : H. Pribik, N. Cromps, R. Detheux, C. Ferauge

15 ans après avoir ouvert la cave de la rue Josaphat, Albert André L'Heureux viens de recevoir une reconnaissance officielle qui paraît de poids : l'agrégation de son Théâtre de l’Esprit Frappeur. C'est insertion dans une catégorie nouvelle, où l'on retrouve le Rideau de Bruxelles, le Théâtre du Parc et la Compagnie des Galeries, semble venir à point nommé à leur le rôle international de Bruxelles exige le développement d'une activité théâtrale diversifiée qui soit digne des plus grandes scènes européennes. Le renom de l’Heureux comme la dimension de féérie qu'il a tenté de redonner à la Rotonde du Jardin Botanique peuvent y contribuer notoirement. On n’oubliera pas de sitôt l’admirable incantation incantation de Madame de Sade ou les accents déchirés qui lui fit raisonner l'un des dramaturge contemporain qui figurent parmi les plus accomplis de notre langue, René Kaliski. Mais on ne peut, en même temps, s’empécher de se demander quelles seront les moyens qui seront réellement consenti à l’Heureux pour amortir, affiner et achever ce qu'il a entrepris sous les verrières Léopoldiennes. Les moyens de notre théâtre, dès lors qu'il s'agit d'animer un site en permanence, font en effet piètre figure. La question que pose indirectement le cas de l’Esprit Frappeur, n'est pas celle de notre manque d'imagination culturelle ?

Reste qu’au cœur des limites imparties, Lheureux entend rester fidèle à sa devise et poser un nouveau défi. Non sans raison, on a souvent reproché à chacun de nos grands théâtres de n'avoir pas suffisamment œuvré en faveur des œuvres belges de langue française alors que les arrêtés royaux régissant l'activité de théâtre ne cesse d'y assister il comporte une série de mesures destinées à encourager cette pratique. Casse la ne tienne ! Agréé dans les pires conditions qu'il soit, l'esprit frappeur se lance dans ce coquin de notre Theatre n'est jamais fait tirer dans ce qui, pour presse que tous les directeurs, constitue l'impossible–: une saison consacrer entièrement à des textes belges de langue française.

Marc Quaghebeur

  • Taille : 26cm x 19,5cm
  • Merci à l’Esprit Frappeur, par Georges Sion
  • Marc Quaghebeur.
  • Jacques Franck.
  • Javques De Decker.
  • Nicole Cromps.
  • 63 Spectacles 1963 - 1978
  • Le Petit Théâtre de la rue Josaphat : L’Esprit Frappeur; un lieu, un univers, une vision.
  • Onze dispositions différentes de l’espace scénographique
  • Henri Pribik
a. b. c. de la machinerie
2005
Agence cul. d'Alsace
a. b. c. de la machinerie
Auteur : Christian Terrade

ISBN : 2907441345

Introduction.

Loin de la technicité affirmée propre domaine du son et de la lumière, la machinerie de théâtre ou plus largement du spectacle demeure la face cachée de la mise en oeuvre technique.

Pourtant la scène - espaces durables ou éphémères - et le lieu d’évolution de l’artiste. Cette caractéristique définit la scène et la technique qui s’y réfère comme le « cour battant » du théâtre.

Les éléments d’éclairage, de sonorisation et la scénographie y sont installés un temps donné grce à la compétence et à l’engagement des techniciens du plateau, dans une recherche constante d’esthétisme et de sécurité.

Si le fonctionnement de la machinerie repose sur des techniques ancestrales, l’évolution des outils disponibles et des normes législatives forcent à repenser les méthodes de travail.

Trop souvent considéré à tort comme la troisième roue du carrosse, le travail de la machinerie requiert un fort savoir-faire technique constitué de théorie et de pratiques issues d’une multiplicité d’expérience et d’ingéniosité.

Au-delà de ce savoir technique, le travail sur un plateau - au plus près de l’artiste - nécessite l’incontournable qualité humaine et de savoir-faire, qui valorise encore la beauté du travail de ces artisans de l’ombre.

l’instar des précédents guides techniques édités par l’Agence culturelle, l’ABC de la machinerie revendique une forte pratique cité d’utilisation, à destination d’un public disposant de quelques prérequis scéniques.

Le large horizon des savoirs de la machinerie et de la scène nous rappelle sans cesse la richesse de ces techniques et l’humilité à avoir face aux serviteurs des artistes.

Marc Jacquemond, Directeur techniqueISBN : 2907441310

  • Taille : 21cm x 15cm
  • Sommaire.
  • I - Accroche et levage.
  • Notions de physique. pg14
  • Charge Maximale d’Utilisation. pg17
  • Câbles et élingues. pg18
  • Eléments connecteurs et accessoires. pg27
  • Cordages, poulies et moufles. pg30
  • Supports d'accroche. pg43
  • Moteurs de levage. pg54
  • II - La scène et ses équipements.La scène. pg58
  • Les rideaux. pg66
  • Décors et Matériaux. pg76
  • Préparation d'un spectacle. pg77
  • III - Pratique.La sécurité sur un plateau. pg84
  • De la compétence du machiniste. pg87
  • Le montage. pg95
  • Les coulisses. pg103
  • Exploitation de spectacle. pg105
  • Le démontage. pg111
  • Annexes. pg113
Scénographies au Bauhaus-Dessau 1927-1930
1987
Séguier-Archimbaud
Scénographies au Bauhaus-Dessau 1927-1930
Auteur : Albert Flocon

ISBN : 2906284580

Prologue.

Ah, vous étiez au Bauhaus; quelle chance ! Vous avez connu Klee (ou Kandinsky, c’est selon ; jamais Moholy, ou Albers, tou Schlemmer ni Gropius, ni Mies, ni Meyer, ni des moindres seigneurs) : l’imaginaire collectif fonctionne ainsi.

Ces temps de mes 18 - 20 ans sont loin. Des temps pleins ; des temps d’une première après-guerre, des temps d’espoir (semblant insensés aujourd’hui) ; des temps où la pauvreté se posait moins en termes d’assistance qu’en termes de solidarité ; des temps d’une grande fraternité internationaliste ; des temps où la vie s’inventait tous les jours et où les lendemains inspiraient l’allégresse des projets et des solutions entrevus Mais temps aussi d’un premier choc politique ou la république donnée à ces princes chassés en 18, les milliards de la «Fürstenabfindung », l’indemnisation des princes, voté par le peuple souverain ; temps lourd de ses contradictions.

L’histoire du Bauhaus, telle qu’elle est écrite, nous apprend pour l’essentiel que l’architecture et les objets utilitaires aussi bien qu’artistique que celle-ci contient, était au centre des préoccupations de cette « usine à idées » (expression d’un ouvrier visiteur de l’expositionB «auhaus » à Paris en 1969). Mais il semble qu’autour du «Bau », le chantier au sens large, ne s’investissait que la moitié du potentiel inventif de cette communauté pas comme les autres. L’autre moitié se dépensait dans les fêtes, dont le point culminant fut le théâtre, et dans la mise en commun d’idées, de travaux et de loisirs aux règles ne n’écrient accompagner de discussions interminables. Qu’on songe à l’effet thérapeutique de la palabre ! Très sensible aux événements et aux idées du monde extérieur, cette « île » (comme nous disions) ne pouvait résister bien longtemps aux forces internes et externes de désagrégations ; à l’hostilité marquée d’un environnement petit-bourgeois, tolérant, aux idées courtes et conservatrices, hérissé par les comportements libertaires des habitants de « l’aquarium » (le volume envers des ateliers), cette maison de fou Jude et aux bolcheviques, comme ils clamaient.

Le Bauhaus dans sa courte histoire de 1000 919 932 était en révolution permanente et a vécu la mise à mort symbolique d’un certain nombre de pères spirituels successifs : Itten (1923), le gourou ; Gropius, le père fondateur pacificateur (1928) ; Schlemmer, le maître des cérémonies (1929) ; Meyer, le ratio-progressiste (1930) ; Mies van der Rohe, le père fouettard auto liquidateur (1932). Et je n’énumère pas les départs et les démissions d’enseignants si nombreux qu’à la fin (peu glorieuse) à Berlin n’en restait que deux survivants des années où wiemariennes : Albers et Kadinsky. Il a connu en outre trois fermetures : 1924 fin de la période expressionniste de Weimar. Un gouvernement de droite remplaçant la gauche au Landtag de Thüringen. Au semestre d’hiver 25, l’école rec ommence à Dessau avec 63 étudiants. Elle aura 930 193 étudiants. Elle fermera ses portes après deux ans d’automutilation sous la pression d’une municipalité à majorité de droite et nazie, les socialistes s’abstenant. Semestre d’hiver 1932, départ des restes de l’institut, désormais privé, à Berlin, où les autorités nazies posent, le 11 avril 1933, les scellés à une école déjà hors d’état de fonctionner.

  • Taille : 21cm x 16cm
  • Table.
  • Lettre de Philippe Soupault. pg5
  • I. Prologue. pg9
  • II. La cathédrale engloutie. pg11
  • III. Un père abandonne ses enfants (psychodrame). pg21
  • IV. Coup de foudre. pg24
  • V. Théâtres en Utopie. pg28
  • VI. Les éléments scéniques ou un théâtre d’avant la parole. pg36
  • VII. Mensch und Kunstfigur. pg41
  • VIII. Portrait en pied. pg47
  • IX. Schlemmer, danse, dessin, destin. pg52
  • X. Le sexe des anges. pg59
  • XI. Le Mummenschanz. pg61
  • XII. Demandez le programme. pg63
  • XIII. Que le spectacle commence. pg73
  • XIV. La Trinité en marche. pg77
  • XV. La danse des formes. pg79
  • XVI. Danse des coulisses. pg83
  • XVII. Attention, fragile ! pg85
  • XVIII. Gestes. pg87
  • XIX. Danse des bâtons. pg91
  • XX. Leçons d’architecture. pg95
  • XXI. Danse des cerceaux. pg99
  • XXII. Danse des femmes. pg103
  • XXIII. Coeur des masques. pg107
  • XXIV. Sketch. pg111
  • XXV. Première voix : le collectif. pg115
  • XXVI. Deuxième voix : Schlemmer au jour le jour. pg122
  • XXVII. Mélancoliques fins. pg128
  • XXVIII. Reconstitution - trahison. pg132
  • XXIX. Pour conclure. pg136
  • XXX. Pourquoi j’illustre mon texte de linogravures ? pg139
SharedSpace : Music Weather Politics
2015
Arts and Theatre Instit.
SharedSpace : Music Weather Politics
Auteur : Collectif

ISBN : 9788070083659

Almost one year after the 13th edition of the Prague Quadrennial of Performance Design and Space, a publication has been released dedicated to the SharedSpace: Music Weather Politics project with a particular look at the latest PQ exhibition.

Each of the essays, written by foremost professionals in the field of scenography, such as Irena Šentevska, Peter Crawley, Vojtěch Poláček, Rachel Hann, Sodja Lotker, Joslin McKinney, Sigrid Merx and others, presents a highly particular and personal “take" on the highly diverse constellations of PQ 2015 events. At the same time the book defines some of its key concerns, innovative approaches, questions, and challenges as well as the nature and considerations of scenography and theatre in the present moment.

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Contents
  • .Introduction, Sodja Zupanc Lokter, Branislava Kuburovic. pg7
  • Keeping the Doors Open : Curatorship at the PQ 2015, par Irena Sentevska. pg14
  • Contemplating the Role of Performance Design, par Dominic Huber. pg28
  • The Same People in the same Place : How are Nations Created Through Scenography ? par Peter Crawley. pg46
  • Audiencing Scenography, par Joslin McKinney. pg60A
  • rt and Science in the steets of Prague, par Vojtech Polacek. pg72
  • Prague’s Theatricality or Why There Are Live Sharks in the City, par Sigrid Merx. pg90
  • Costume Politics, par Rachel Hann. pg110
  • How Objects Perform, par Branislava Kuburovic. pg132
  • Makers, par Sodja Zupanc Lokter. pg146
  • ShareSpace : Music Weather Politics Or Where is the Theatre Now ? par Sodja Zupanc Lokter. pg162
  • Biographies. pg184
Nemzeti Szinhaz Emlékkönyv
2002
Korona
Nemzeti Szinhaz Emlékkönyv
Auteur : Gajdo Tamas

ISBN : 9639376299

Memorial Volume.

This Memorial Volume on the Hungarian National Theatre is to appear on 15 March 2002, the anniversary day of the Hungarian bourgeois revolution and war of the independece of 1848-1849.

In the 19th century, the Hungarian intelligentsia tended to consider the National Theatre as an institution serving and symbolising the nation’s indenpendence. Built by the generosity of the public, the theatre was opened in 1837.

On the occasion of the opening of the new National Theatre, this album of Korpna Publishing House is meant to recall some details of the Theatre’s eventful past and history of its various buildings.

  • Taille : 32cm x 20,5cm
Historia teatru
1980
Wydawnictwa Artystyczne i Filmowe
Historia teatru
Auteur : Margot Berthold, Danuta Żmij-Zielińska

ISBN : 8322101066

Compendium wiedzy teatralnej. Obejmuje nie tylko dzieje teatru europejskiego od klasycznych greckich początków do końca lat 60-tych XX-wieku. Autorka dzieli się również dostępną wiedzą na temat prateatru ludów pierwotnych, Egiptu, starożytnego wschodu. Nie zapomina o sztuce scenicznej z kręgu kultur: islamskiej, indyjskiej, chińskiej i japońskiej. Uwzględnia też bizantyjski teatr bez dramatu. Spis rzeczy: Przedmowa Prateatr Ludów Pierwotnych Egipt i Starożytny Wschód W kręgu kultury Islamu W kręgu kultury Indyjskiej Chiny Japonia Grecja Rzym Bizancjum Średniowiecze Odrodzenie Barok ! Uwagi: Oprawa wyblakła, zarysowana i wytarta, brzegi stron są nieco pożółkłe, zakurzone.

  • Taille : 23cm x 16cm
  • Pas de traduction
Hernani, Victor Hugo
2003
Centre nat. de docu. pédagogique
Hernani, Victor Hugo
Auteur : Marion Ferry, Yves Steinmetz

ISBN : 2240010002

Dans la préface de Cromwell, Hugo regrette avec ironie que son drame n’est pas eu « l’honneur d’être officiellement rejeté par un comité de lecture infaillible », c’est-à-dire celui du Thétre-Français. C’est pourtant à ce comité qui soumet Marion de Lomme puis Hernani, négligeant les propositions qui lui sont faites par le directeur de la Porte Saint-Martin, théâtre populaire où triomphe le mélodrame, et celui de l’Odéon, second théâtre national, pourtant fréquentée par un public largement estudiantin. Les deux pièces sont reçues par acclamation (sans qu’il soit nécessaire de procéder à un vote) dans le temple du théâtre classique. Cependant, Marion de Lomme fut interdite avant l’entrée en répétition. Pour Hernani, la censure usa d’une autre tactique : le censeur donna son aval en notant dans son rapport : « Il est bon que le public voit jusqu’à quel point d’égarement peut aller l’esprit humain affranchi de toute règle et de toute bienséance. »

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Sommaire.
  • Un peu de théorie. pg4
  • Lope de Vega . pg4
  • Stendhal. pg4
  • Alfred de Vigny. pg5
  • Hugo. pg6
  • Victor Hugo et le théâtre - chronologie. pg7
  • Souvenirs d’enfance. pg8
  • Hernani en 1830. pg10
  • La Comédie-Française. pg10
  • Les répétitions d’Hernani. pg14
  • Les décors. pg17
  • La première racontée par Théophile Gautier. pg19
  • La première racontée par Adèle Hugo. pg20
  • La presse. pg22Reprise au XIXe siècle. pg27
  • Reprise de 1838. pg27
  • Reprise de 1867. pg28
  • Reprise de 1877 - mise en scène d’Emile Perrin. pg30
  • Première moitié du XXe siècle. pg34
  • Reprise de 1927. pg34
  • Reprise de 1952 - mise en scène d’Henri Rollan. pg34
  • Mise en scène de Robert Hossein. pg36
  • Mise en scène d’Antoine Vitez. pg42
  • 1985 - thétre de Chaillot. pg42
  • La scénographie. pg46
  • La presse. pg58
  • Mise en scène d’Anne Delbée. pg60
  • Bibliographie. pg64
  • Cahier couleur.
Perspectiva i projecció escèniques: manual pràctic
2008
Institut del Teatre Diputació Barcelona
Perspectiva i projecció escèniques: manual pràctic
Auteur : Mallofré Noya, Josep

ISBN : 9788498032703

"Manual elaborat pensant en els estudiants d'escenografia per tal de facilitar-los uns coneixements bàsics -bo i rendibilitzant-los al màxim- més enllà de la simple representació del projecte o de la seva aplicació i posada en escena; també procura donar solucions a la projecció d'imatges i al trucatge visual sobre l'espai escènic."

  • Taille : 30cm x 21.5cm
Guide-Museu Nacional do Teatro
2011
QuidNovi
Guide-Museu Nacional do Teatro
Auteur : José Carlos Alvarez

ISBN : 9789895548538

O Museu Nacional do Teatro, oficialmente criado em 1982, encontra-se instalado no Palácio do Monteiro-Mor, em Lisboa. É o museu nacional e o grande arquivo das artes do espectáculo em Portugal, contando actualmente com mais de 300 000 espécies no seu acervo. O seu objectivo é recolher, preservar, reistar, estudar e difundir as suas coleções, promovendo o conhecimento da história e da activdade contemporânea daquelas artes.

Tem como missão informar, formar, educar e divertir o público que a ele acorre, afirmando-se, de forma clara, como uma instituição de referência na museologia e na História das Artes em Portugal.

Inicialmente concebido e dedicado, em exclusivo, à apresentação de exposições temporárias, em 2003 foi inaugurada no edifício principal (Palácio) a primeira exposição de carácter permanente, "Peças de Teatro: as coleções do Museu", baseada numa estrutura e num percurso nos quais as peças vão periodicamente rodando, permitindo assim uma maior dinâmica museográfica e, em simultâneo, um maior conhecimento e entendimento, por parte dos visitante, do vasto acervo que constitui este museu e da forma como as suas coleções estão organizadas nas respectivas reservas. Na galeria situada no edifício fronteiro à recepção/loja são apresentadas exposições temporárias dedicadas a todos os aspectos que intervém nas Artes do Espectáculo.

  • Taille : 18cm x 22cm
New Curious School Thea. Danc. Com. dell'Arte Perf.
2002
Dover Pub.INC.
New Curious School Thea. Danc. Com. dell'Arte Perf.
Auteur : Gregorio Lambranzi, Johann Georg Puschner

ISBN : 0486424421

Harlequin, Scaramouch, Pantalone, and other beloved figures from the Commedia dell'Arte grace the pages of this delightful work. These magnificent 103 black-and-white engravings were originally published in 1716 in Nuremberg. Little is known of the author, save that he was a Venetian ballet master — his work bespeaks his prodigious gifts of imagination and creativity.

  • Taille : 23,5cm x 16,5cm
  • Preface. pg7
  • The Author’s Foreword. pg15
  • Part One.A Desription of the Plates. pg19
  • Part Two.A Desciption of the Plates. pg81
Une vitalité désespérée
1987
Fondo P. P. Pasolini/E.A.G.C.
Une vitalité désespérée
Auteur : Pier Paolo Pasolini, Rosa Maria Facciolo, Giuseppe Lafrate

Projet « Pier Paolo Pasolini : un cinéma de poésie ».

Le projet « Pier Paolo Pasolini : un cinéma de poésie » a pour but de faire connaître à l’étranger la figure intégrale de Pasolini et de susciter un approfondissement des recherches sur son oeuvre.

En acceptant, sur l’invitation de l’Ente Autonomo Gestione Cinema de réaliser ce projet, notre association profite de l’occasion qui lui est donnée pour élargir le discours qu’elle a commencé dès sa fondation en 1977.

Au point de départ, il y a, dans notre discours, la conscience de la complémentarité des hommes en politio-littéraires et cinématographiques de l’auteur de Le Ceneri di Granmsci et de Accattone.

Pasolini est, pour toujours, poète dans toutes les formes d’expression, même les plus imprévisibles, de sa généreuse activité. Et donc, poète dramaturge, poète pédagogue, poète corsaire et poète d’un cinéma de poésie. Corpus unique, indissociable.

Et c’est en ce sens que l’ouvre cinématographique de Pasolini est encore dans une large mesure à découvrir, certainement à étudier, et qu’elle est destinée à durer autant que la poésie, au-delà des contingences et des modes, et à devenir un point de repère sûr, un patrimoine destiné aux générations futures.

De cette conscience profonde découle celle qui veut être, dans nos intentions, la caractéristique dominante « projet » : la rigueur philosophique et scientifique dans la recherche et dans la préparation des matériaux que nous soumettrons à l’attention des chercheurs et du public international.

En effet, le « projet » se propose de contribuer à la connaissance de l’ouvre cinématographique intégrale de Pasolini, et cet engagement comporte à la fois des orientations précises dans la recherche et des choix dans sa réalisation.

Les directeurs de la photographie de chaque film verront personnellement au tirage des copies d’après les négatifs. Quant au sous-titrage dans les trois langues prévues (français, anglais et espagnol), il sera réalisé dans des phases séparées, de manière à approfondir et restituer ce qu’on a tendance à négliger. Nous faisons allusion aux significations idéologiques trop souvent ignorées et à la qualité poétique qui imprègne tous les dialogues, tous les silences des ouvres Pasoliniiennes.

Chaque film aura un conseil responsable, choisis parmi des écrivains, des poètes et des opérateurs culturels et chaque copie portera la signature de notre association.

Les festivals que nous organiserons serons accompagnés d’interviews audiovisuelles de Pierre Paoli nous Pasolini que nous sommes en train de rechercher en Italie et à l’étranger, elles aussi sous-titrées, ainsi que l’exposition « la forme du regard » : une série de panneaux lumineux sur les thèmes centraux de Pier Paolo Pasolini, illustrés eux aussi, ou mieux, guidé par cette poésie. Une exposition extrêmement révélatrice de l’intensité figurative exprimée dans chacun de ses films.

Tout aussi importants seront les séminaires dont le but est essentiellement didactique et démonstratif, et qui s’efforceront de démontrer la complémentarité indissociable du poète et de l’homme de cinéma.

En ce qui concerne les matériaux écrits, graphiques et photographiques que nous nous proposons d’offrir aux chercheurs et aux publics, ils seront en large mesure réunie dans un catalogue quadriennal de réaliser par une structure de recherche créée dans ce but. Notre intention est que Pier Paolo Pasolini lui-même expliqué introduise ses films. Des monographies isolées à joindre au catalogue, ainsi que les scénarios intégraux, sont aussi prévus.

Les conditions précaires et chaotiques dans lesquelles se trouvent les négatifs et les pellicules ont rendu notre travail ardu et plein d’embches. La conservation de la plupart d’entre eux rend improbable l’idée que « l’ouvre d’art doit rester comme un témoignage éternel pour les générations futures ».

Avec la patience et la ténacité artisanale que nous mettons à ce travail nous comptons être prêts en mai 1988.

  • Taille : 29cm Xx23cm
  • «  Who is me ». pg9
  • Uccellacci e Uccellini (« Des oiseaux, petits et gros »). pg27
  • Toto au Cirque. pg31
  • Une vitalité désespérée.
  • Nécrologie pour une certaine Laura Betti morte en l’an 2000. pg51
  • Laura Betti.
  • Une vitalitée désepérée.Poèmes en forme de concert de Pier Paolo Pasolini. pg57
  • La Guinée. pg69
  • Les interviews audio-visuelles. pg83
  • Exposition Fabio MauriIntellectuel - l’Evangile selon Mathieu de/sur Pier Paolo Pasolini. pg91
  • Notes. pg97
L'Encyclopédie Diderot D'Alembert-Théâtre-Machines Théâtre
2004
Bibliothèque arts, sciences & techniques
L'Encyclopédie Diderot D'Alembert-Théâtre-Machines Théâtre
Auteur : Diderot, D'Alembert

ISBN : 2914649916

Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, par une société des gens de lettres.

Monsieur Diderot, de l’Académie Royale des Sciences et Belles-Lettres de Prusse, et quant à la partie mathématique, par Monsieur D’Alembert, de l’Académie Royale des Sciences de Paris, de celle de Prusse, et de la Société Royale de Londres.

A Paris

M.DCC.LI.

Avec Approbation et Privilège du Roy.

  • Taille : 34cm x 23cm
  • Théâtres, contenant trente-huit Planches à cause de sept doubles.
  • Planche Ière
  • Plan et profil du théâtre d’Herculanum
  • Planche Ière
  • Première Table, du rez-de-chaussée au dessous du Théâtre
  • Planche II
  • Seconde Table, des constructions du Théâtre de Turin
  • Planche IIII
  • Troisième Table, du plein-pied et du premier rang des loges
  • Planche IV
  • Quatrième Table, du second rang des loges
  • Planche V
  • Table cinquième, du troisième étage des logesPlanche VI
  • Table sixième, du quatrième étage des loges
  • Planche VII
  • Table septième, du cinquième Ordredes loges
  • Planche VIII
  • Table huitième, du Paradis
  • Planche IX
  • Table neuvième, coupe sur toute la longueur du Théâtre de Turin
  • Planche X
  • Table dixième, plan géométrique en travers et la vue du parquet, la couronne
  • Plan, coupe et élévation de la Salle de la Comédie de Lyon, exécutée sur les dessins de M. Souflot, Architecte et Contrôleur des Bâtiments du Roy
  • Plan du Théâtre d’Argentine à Rome
  • Coupe et élévation du Théâtre d’Argentine à Rome
  • Plan du Théâtre Tordinone à Rome
  • Plan du Théâtre Royal de Saint-Charles, à Naples
  • Plan au rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du premier étage de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du Théâtre de Parme
  • Plan de la Salle des Machines aux Tuilerie
  • Salles de Montpellier et de Metz
  • Salle de l’Opéra, exécuté sur les dessins de M. Moreau, Architecte du Roy et de la Ville
  • Plan et coupe d’un projet de salle de concert, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et BolognePlan du rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et Bologne
  • Plan et coupe du projet de la restauration de la Salle de Studgard, de la composition de M. de la Guepierre, chevalier de Saint-Michel, architecte de S.A.S. Monseigneur le Prince de Wirtemberg, et correspondant de l’académie royale d’architecture
  • Machines de Théâtre contenant quarante-neuf Planches à cause de quatorze doubles et quatre triples.
  • Dessinées et expliquées par M. Radel, Pensionnaire du Roi, et Architecte-Expert, sous la direction de M. Giraud, Architecte des Menus Plaisirs, et Machiniste de l’Opéra de Paris.
  • Première section.
  • Détail général des Machines du Théâtre de l’Opéra de Paris.
  • Seconde section, contenant vingt-deux Planches doubles équivalentes à quarante-quatre Planches simples.
Numéro spécial de Masques, Théâtre 1944 1946
1946
Masques
Numéro spécial de Masques, Théâtre 1944 1946
Auteur : Léon-Paul Fargue, Raymond Cognat

Il y a 10 ans environ mon ami Pierre Brisson, toujours si clair, si pertinent, et qu'on devine derrière ses phrases tel qu'un gardien de phare dans son œil sur la mère, écrivait : « Dans les époques chargé d'inquiétude, il est fatal peut-être que la littérature perd de son vrai sens et que l'inspiration se met en sommeil. L'histoire incite à le penser. Nous traversons sans doute une de ces périodes d'hivernage. Explique critique intervient en toute chose, les talents fois sonne, et les sentiments sont Bodice. Le scepticisme général intimide les grandes tentatives… »

Je ne vois rien à ajouter aujourd'hui, et rien à retrancher à ce magistrat petit exposé : nous en sommes toujours au même point, et j'entends ce répercuter les cours de la phrase de Voltaire : point de salut au théâtre sans la fureur des passions. Or, dans les temps que nous traversons, il y a bien de la fureur, et la passion, comment on dit de l'aventure, est au coin de la rue … mais fureur et passion contournent le théâtre et stagnent groupe place publique. C'est le sentiment qui manque le plus, on ne le dira jamais assez. Il semblerait que nous ayons quelque chose contre lui. Mais quoi ? Pudeur, méfiance, dégoût ? Qui est le dira ? Mais il est bien évident que cette chaleur ouvrait, tque ces ressorts À tous tes preuves sont absents de la scène moderne. Les producteurs, pour parler le langage précis est violent qui est à la mode depuis pas mal d'années, l'utilise plus le sentiment. Du moins à l'état pur. Les moins hardis l'invitent encore à la même table que la politique, la sexualité, abstrait, l'absurde, la simultanéité et autres convives. Les affranchis non non cure. Assez de ce boulet contraint depuis des siècles ! Mais tout Theatre est à la recherche d'une fatalité, et les sentiments exactes, voire excessif, savent bien, dans l'ombre de l'âme, on les viendra retirer un jour pour occuper la place d’honneur dans les enchaînements, intrigue et explosion qui sont le fou de la vieille à faire du » Circences ».

Je ne vais pas au théâtre, c'est-à-dire qu'il m'est impossible d'y aller : des dieux de ciment armé veillent à mon éloignement et me privent de rampe, de manteau d’Arlequin, du bruohaha des salles et du bouillonnement des coulisses où j'aimais tant jadist jetter mon grain de sel et entretenir des amitiés, notamment avec les Jouvet, les Renoir et d’autres piliers de la chose … Dieu de Simon, mais pas un rideau de fer ! La solution de continuité n'a pas été touché. Je ne vais pas au théâtre, le théâtre vient à moi … pour intermédiaire de la radio, je vais vous ? Pas du tout. Radio dépose régulièrement un peu de théâtre en poudre sur ma soucoupe, comme dans tout foyer. Pourtant, ce n'est pas le chemin de traverse auquel je fais allusion. Le théâtre vient chez moi en chair et en os, tantôt personnifiés, tantôt personnifié par des auteurs, tantôt par les acteurs. Ou bien il perce carrément mes murailles il me propose ses rumeures. Ou bien il est le sujet central des conversations qui se trame à mon chevet entre spectateur satisfaits ou irrités. Bref, le théâtre parisien d'aujourd'hui me délègue ses forces, ses spectre et ses fantômes ; mais ainsi permis de m'informer et de savoir, tout comme un autre …

Tout le monde a constaté, depuis qu'il y a des chroniqueurs et qui font admirablement leur métier, que le théâtre est à Paris la chose du monde dont on parle le plus. Que les pièces ne sont pas si connu que vous n'avez. Regardées ! Et tendissent que je me livre au petit jeu des bilans, je les entends qui reviennent toutes avec leur signification particulière, ordonné la publicité qui fut faite dans le avènement, et des photos dont il est désormais entendu qu'elle ne peuvent plus se passer.

Voici la « Folle de Chaillot « de notre cher Giraudoux, aujourd'hui devisant et filant en société de Racine, de Jules renard et de mon vieux Charles Louis-Philippe, la Folle de Chaillot et son enseignement puissant précieux : le monde sera sauvé par les insouciant, par Moreno et Jouvet, poésie De Roulie, marchands ambulants et génie de la bricole, contre les forbans abstrait des affaires. Ce n'est pas si fou. La pièce ce sont deux juste comme un Louis d’or sur le trottoir. Voici le Soldat et la Sorcière, qui est plus qu'un jeu subtil historié de costumes et de élégances, et très exactement une entreprise, haute et digne, d'intelligence et de finesse à l’usage de spectacle. Ici on a repris dans des décors qui témoignent d'un véritable enrichissement intérieur, le Père Humilié et le Voyage de Monsieur Perrichon. Là, on a mis en images violentes et sans recours, ces parties honteuses du cœur et ces volcans éteints de ll’âme humaine qui tourmentèrent déjà Schopenhauer et Dostoïevsky, Maupassant et Mirbeau, et l’on a osé avec bonheur la mise à nu de ses instincts, de ses buissons de liberté horrible : je veux parler de La Sauvage, de la Maison de Bernarda et de Divines Paroles. Au Vieux-Colombier, dans un cadre particulièrement soigné, Henri Troyat nous a rappelé que si nous sommes peu de chose, nous les Vivants, nous demeurons malgré tout le seuls dignes de vivre, les seuls importants sur cette planète à surprises qui nous veut tant de bien et à laquelle nous voulons tant de mal.

Plus loin sur la ligne d’horizon, apparaissent dans leur cosse de galanterie aimable et doucement huilée, les pièces conçues exprès pour plaire, bercées par leur propre chanson de mots, de Doris à Jeunes Filles, et l’on est parfois tout ragaillardi d’y trouver des hommages aux recettes et secrets de fabrication qui font que « Paris  sera toujours Paris », ainsi qu’il est dit dans la lgende populaire. Naturellement, le vaudeville classique demeure, avec ses entrées et sorties, ses belles-mères et ses audaces de situation, parfois si cocasses qu’un bel esprit c'était écrié il y a quelques années au Palais Royal en présence d'une bouffonnerie de taille : « transporter ce sujet dans le tragique ou le magique, imaginer que tant que quiproquo soit déterminés, vous aurez aussit^t du super-Freud ! ».

Restent les pièces pensées, qui fleurent l’Ecole Normale, les cafés litéraires, le groupe, l’agrégation de philo … Pièces qui ont fait courir des foules et des jeunesses avides de comprendre le coeur moderne, la cervelle contemporaine; et ces jeunes t^etes se trouvaient en présence d’idées vêtues comme vous ou moi, toutes empressées de prendre la place des sentiments absents. Il est bien certain que ces dernières débordent de talent, se hérissent de conceptions et tâchent de guérir des mortels, de les consoler, voir de lesappeler à l’aide : «  Aux armes, spectateurs, l’humanité est en danger !… ». Elles ne maintiennent cependant qu’à l’état de spendides expériences et n’apportent pas plus d’eau au moulin français que les adaptations étrangères qui ont fait fureur. De même que le cinéma, le théâtre de la saison close se cherche aussi dans le passé, dans l’avenir ou chez les fantômes, en attendant qu’il s’aperçoive, rutilant et frais, au coeur même de l’actualité, et désireux de se faire aimer.

Léon-Paul Fargue

  • Taille : 31cm X 24cm
  • Introduction de Léon-Paul FargueBilan, texte de Raymond CognatNomenclature des différentes pièces créées depuis la Libération dans les théâtres de Paris.
Effects for the theatre
1995
A & C Black
Effects for the theatre
Auteur : Graham Walne, Joe Aveline

ISBN : 0713639857

Theatre productions can be greatly enhanced by effects, from the simple door-slam to the more complex simulation of a thunderstorm. This practical handbook divides effects into four sections : scenic, sound, lighting and special. Each section has been written by an internationally experienced expert in the field.

An exciting range of effects are described : from waterfalls, flying peopel, snow and fog to blood, ghosts, ringing telephones, explosions and flashes. Techniques are explained, often with a choice of how to carry out the effect depending on the budget available.

A significant number of effects that we know today have been in use for many years; their importance is discussed in an introductory chapter on the history of effects. There are also sections on safety, plotting and cueing. In addition there are lists of useful addresses, supliers and manufacturers and a biography suggesting further reading.

  • Taille : 24,5cm x 19cm
  • Contens.
  • Acknowldgements. vi
  • Preface. vii
  • Chapter 1. Introduction. pg1
  • Chapter 2. Scenic and Mechanical effects. pg10
  • Chapter 3. Sound effects. pg38
  • Chapter 4. Lighting effects. pg92
  • Chapter 5. Special effects. pg111
  • Chaper 6. Cuering Safety. pg133
  • Appendix A Manufacturers and Suppliers. pg141
  • Appendix B Usefull addresses. pg144
  • Bibliogrphy. pg145
  • Index. pg147
Costume Performance : Materiality, Culture, Body
2019
Bloomsbury Visual Arts
Costume Performance : Materiality, Culture, Body
Auteur : Donatella Barbieri

ISBN : 9781350106383

“Beautifully produced.” – Times Literary Supplement

“[A] richly illustrated, compelling analysis of historical and contemporary costume design. The book successfully provokes a scholarly conversation that makes a marked departure from the kind of how-to book or fashion history that tends to dominate the shelves ... [It] ... explores interdisciplinary theoretical territory and makes broader arguments about the function of costume within a variety of performance genres, time-periods, and sociopolitical contexts.” – Theatre Topics

“This richly illustrated book presents a range of lenses for the study of costume for performance. The ambitious breadth of topics and periods covered [gives] a tantalising taste of interdisciplinary theories and methods ... This ambitious work is a significant step forward in this emerging field and offers a beautifully illustrated introduction to a wide range of theories and methods for analysing costume for performance. It is an important book for students and scholars in this field.” – The Journal of Dress History

“Barbieri (London College of Fashion, UK) offers a refreshing look at costumes and their use throughout history in creation, use, and affect in the development of live performance. The author finds connections between contemporary work and historical costume in pageantry, theater, and dance. Six chapters take up a wide variety of topics, exploring for example the transformative ritual of costume, costuming of choruses, the grotesque “Other” body, flying technology and costume, and costume in the present representing the past. Chapter 5, contributed by Trimingham (drama and theater, Univ. of Kent, UK), offers a compelling look at the effective power of costume as art. This well-written, beautifully illustrated book brings to light the importance of costume to live performance in terms of its preparation and presentation. Drawing examples from ancient Greece as well as a wide variety of European theater, from medieval theater to more contemporary and experimental productions, this book is sure to become required reading for students and scholars of costume design and history. Summing Up: Highly recommended. Lower-division undergraduates through faculty and professionals, including students in technical programs.” – CHOICE

“This is essential reading for anyone interested in performance and costumes, providing an exciting and accessible scholarly exploration of the uses and significance of costumes from prehistoric ritual to contemporary theater. It is valuable for its international range of productions and detailed descriptions of significant costumes, including dance, circus performance, street theater and traditional stage.” – Patricia Lennox, New York University, USA,

“Donatella Barbieri has crafted a unique and intriguing way of looking at the history of costumes for performance. Drawing on case studies and in-depth analysis of performance costume, this book is a marvelous addition for researchers in the costume discipline.” – Colleen Muscha, School of Theatre, College of Fine Arts, Florida State University, USA,

“This poetic work is a tour de force of lively research and imagination. Charting the transformation of performance costume across time, space and material, Barbieri, with Trimigham, takes us from the Ancient Greek chorus to modern trapeze artists, revealing how costume creates new thresholds of human experience.” – Peter McNeil, University of Technology, Sydney, Australia,

“With compelling scholarship and great artistic sensitivity, Barbieri deftly explores the cultural, societal and creative agency of the costumed and performing body. In tracing the complex artistic, historical and cultural journey from every day clothing through the designer to the cutting table to the stage costume, this magnificently illustrated book makes an absolutely essential contribution to our understanding of scenography.” – Christopher Baugh, University of Leeds, UK,

“Donatella Barbieri's own breadth of skills as a passionate lecturer, an inspiring teacher and a practitioner are all evident in this wonderful and uncompromising new book. Through the agility of her themes and connections from paleolithic cave painting to the most recent performances or archival discoveries, she never loses sight of the metamorphic power of costume. This is a daring and inspiring book.” – Judith Clark, Research Centre for Fashion Curation, University of the Arts London, UK.,

  • Taille : 24cm x 19cm
  • Contents.
  • List of illustrations. VI
  • Acknowledgments. XVIII
  • Preface. XX
  • Introduction. XXII
  • 1 The First Costume : Ritual and Reinvention. pg1
  • 2 Costuming Choruses : Spectacle and the Social Landscape on Stage. pg 29
  • 3 The Grotesque Costume : The Comical and Conflicted 'Other' Body. pg59
  • 4 The Flight off the Pedestal. A Sublime Second Skin. pg95
  • 5 Agency and Empathy: Artists Touch the Body. pg137
  • 6 A Different Performativity: Society, Culture and History on Stage. pg16
  • 7 Notes. pg213
  • Bibliography. pg219
  • Index. pg229
Souvenirs du Vieux-Colombier
1960
Nouvelles Ed. Latines
Souvenirs du Vieux-Colombier
Auteur : Jacques Copeau

Franchir le seuil de cette maison qui porte un nom que je lui ai donné il y a 17 ans, traverser ses coulisses des étroites où j’ai vu se presser jadis le flot de la comédie, remettre enfin le pied sur ce plateau où j’ai vécu, dans le travail, tant de jour et de nuit de ma jeunesse, je ne vous étonnerais pas en disant que ce sont, pour moi, des opérations qui ne vont pas sans un peu d’effort.

Ici, 2913 à 1914, puis de 1000 919 924,50 pièces environ ont été représentées. La vie a été donnée à plus de cinq ou 600 personnages par moins de trente acteurs.

Dans ce temps-là, quand on avait nommé la Compagnie du Vieux-Colombier, on croyait avoir assez dit.

Au moment de vous parler, je revois ses camarades, qui ont été courageux et fidèle, et partagèrent longtemps une gloire indivise. Je les revois tous, et chacun en particulier. Ma pensée n’a pas besoin de les rejoindre. Depuis six ans, elle ne les a pas quittés un seul jour.

Les lieux, du moins, sont demeurés. C’est trop peu de dire que je les ai aimés. Il me semble qu’ils ont été faits de ma substance. J’y retrouve inscrite la forme de beaucoup de mes pensées. Certes tant mouvements de mon corps continu de les habiter.

C’est de cette trappe, ici, que je surgissais, dans Cromedeyre-le-Vieil, avec mon chien, sous l’apparence d’un jeune homme de vingt ans. Je viens de revoir l’escalier que je descendais de ma loge, à petits pas, avec les précautions d’un vieillard de soixante-dix-huit ans, quand je jouais la Maison natale. Les petits démons du Saül me pressaient et m’écrasaient dans ce retrait du mur, à la cour. Par le portillon du jardin, là, je faisais mon entrée dans Il faut que chacun soit à sa place, la dernière pièce que nous avons donnée… Combien de fois me suis-je avancé sur la demi-lune du proscenium, devant le rideau que j’en trouvais avec un battement de cour, pour faire une annonce, dire un prologue, parler à nos amis, les instruire de nos projets, plus souvent les appeler à l’aide. Oui, jusqu’à .la veille du dernier jour..

Jacques Copeau

  • Taille : 16,5cm x 12,5cm
  • Ces deux conférences ont été prononcées au théâtre du Vieux-Colombier, la première le 10 janvier, la seconde le 15 janvier 1931. Elle formait comme un prologue à la première saison dramatique de la Compagnie des Quinze, qui s’est ouverte quelque jours après, avec le Noé d’André Obey.
Droit et théâtre: Droit d'auteur, droits voisins, droit à l'image
2016
Academia
Droit et théâtre: Droit d'auteur, droits voisins, droit à l'image
Auteur : A. Berenboom, A. Boissard, M. Isgour, A. Joachimowicz

ISBN : 2806102642

Ce numéro aborde les questions juridiques liées au statut social et fiscal des artistes (droit au chômage, droit d'auteur, droit à l'image. . .) plus que jamais au centre de leurs préoccupations en cette période de crise où des coupes sévères sont opérées dans les budgets de nos institutions culturelles et où les conditions de travail des artistes, tout comme la réglementation sur leur droit au chômage, se voient durcies.

  • Taille : 24cm x 15,5cm
  • Sommaire.
  • Introduction
  • Ariane Joachimowicz
  • Droite et théâtre : aspects juridiques de la création et statut de l’artiste. pg9
  • I. Metteur en scène et comédiens : droits d’auteur, droits voisins, et droit à l’image.
  • Natacha Renaudin
  • Les metteurs en scène en France : artistes et auteurs ? pg15
  • Alain Berenboom
  • Le metteur en scène en Belgique : artiste ou hauteur ? pg36
  • Tanguy Roosen
  • La gestion collective du droit d’auteur dans le domaine théâtral. pg43
  • Marc Isgour
  • Droit à l’image et création artistique. pg52
  • II. Statut social et fiscal de l’artiste.
  • Anne Boissard
  • Le statut social et fiscal de l’artiste en France. pg67
  • Ariane Joachimowicz
  • Le statut de l’artiste en Belgique : un mythe ! pg78
  • Alexandre von Sivers
  • Je suis comédien et salarié. pg102
  • Olivier Leborgne
  • Je suis comédien indépendant… pg111
  • André Nayer
  • Le fil d’Ariane. pg116
Théâtres, 1990 - 2005
2006
Actes Sud
Théâtres, 1990 - 2005
Auteur : Marino Narpozzi, Jean-Philippe Garric

ISBN : 2742762426

Un essai historique, de nombreux plans et photographies, ainsi que des fiches techniques et une riche bibliograohie, mettent en évidence l’évolution d’une typologie qui, de l’époque classique jusqu’à nos jours, n’a cessé d’accompagner les aléas de l’architecture urbaine.

Cet examen de toutes les formulations de l’édifice théâtral depuis la Renaissance jusqu’au XIXe siècle, notamment au travers des traîtés d’architecture, nous enseigne que la scène théâtrale s’est de tout temps identifiée avec la scénographie urbaine.

Cette préoccupation déjà présente dans le théâtre antique, et non sans rapport avec le projet de la ville idéale, fut reprise avec une fortune particulière dans les recherches théâtrales et scénographiques de la Renaissance, conjugant les études sur la perspective, la relecture de Vitruve et les réflexions théoriques des architectes du XVIe siècle.

Qu’il s’agisse aujourd’hui de théâtres nouveaux, grands ou petits, de restructurations de salles historiques ou de théâtres intégrés à de plus vastes complexes, le rapport que ces salles instaurent avec la cité engendre des solutions et des développements d’une grande diversité.

Avec les théâtres de Chambéry (Mario Botta) et de Martigues (Fabre/Speller et Marino Narpozzi), ave l’Opéra de Glyndebourne (Hopkins Architects) ou avec l’auditorium de Léon (Mansilla+Tunon), l’architecture s’intègre avec discrétion dans le contexte urbain tout en cherchant à dialoguer avec les spécificités du lieu.

Parfois l’édifice théâtral devient un élément spectaculaire dont la fonction devient proprement monumentale se propose de calalyser rencontres et événements : Kursaal à San Sébastian (Raphael Monco), Théâtre Luxor à Rotterdam (Bolles+Wilson) et Richard B.Fisher Center for Performing Arts à New York (Frank O.Gehry).

Ailleurs, ce lieu de rencontres et de représentations s’exprime bien au-delà de la salle, par exemple dans de vastes foyers de verre ouvrant vers l’extérieur, comme au Théâtre Markant de Uden (Herman Hertzberger), au Théâtre national de Catalogne à Barcelone (Ricardo Bofill), au Théâtre de Recklinghausen (Auer+Weber+Architekten), au Théâtre sur la Potsdamer Platz à Berlin (Renzo Piano Building Workshop) ou au Centre culturel de Lucerne (Jean Novel).

Enfin, quelques réalisations s’appuient sur la reprise et la reconfiguration de bâtiments plus anciens : Théâtre de La Fenice à Venise (Aldo Rossi,Arassociati), Théâtre de Sagunto (Giorgio Grassi et Manuel Portaceli Roig), Théâtre alla Scala à Milan (Mario Botta).

  • Taille : 30,5cm x 26,5cm
  • Sommaire
  • L’architecture du théâtre-Entretien avec Luca Ranconi pg7
  • Du théâtre pg9
  • Théâtres-architectures 1980-2005
  • Grands théâtres
  • Théâtre et maison de la culture André-Malraux, Chambéry-Mario Botta pg44
  • Théâtre-auditorium de Galice, Saint-Jacques-de-Compostelle-Julio Cano Lasso pg52
  • Opéra, Lyon-Jean Novel pg56
  • Théâtre de Martigues, Martigues-Fabre/Speller et Marino Narpozzi pg64
  • Opéra de Glyndebourne, Glyndebourne-Hopkins Architects pg70
  • Théâtre Chassé, Breda-Herman Hertzberger pg80
  • Théâtre Markant, Uden-Herman Hertzberger pg86
  • Théâtre national de Catalogne, Barcelone-Ricardo Bofill pg94
  • Théâtre de Trondelag, Trondelag-4B Arkitekter AS pg100
  • Théâtre Strehler (Nuovo Piccolo Teatro), Milan-Marco Zanuso pg106
  • Théâtre à Recklinghausen, Recklinghausen-Auer+Weber+Architekten pg112
  • Théâtre de la Potsdamer Platz, Berlin-Renzo Piano Building Workshop pg120
  • Théâtre d’Avellino, Avellino-Carlo Aymonino et Giannichele Aurigemma pg130
  • Théâtre Luxor, Rotterdam-Bolles+Wilson pg136
  • Auditorium de Léon, Léon-Mansilla+Tunon Arquitectos pg144
  • Théâtre des Arcimboldi, Milan-Gregotti Associani pg150
  • Richard B.Fisher Center for Performing Arts, New York-Frank O.Gehry pg158
  • Reconstructions
  • Théâtre Carlo Felice, Gênes-Ignazio Gardella, Aldo Rossi et Angelo Sibilla pg166
  • Grand Théâtre du Liceu, Barcelone-Ignasi de Sola-Morales, Lluis Dilmé et Xavier Fabré pg180
  • Théâtre La Fenice, Venise-Aldo Rossi,Arassociati et Edoardo Guenzani pg186
  • Théâtre de la Scala à Milan-Mario Botta pg194
  • Théâtres intégrés à des complexes architecturaux Centre culturel de Bélém, Lisbonne-Gregotti Associati et RISCO (Manuel Salgado) pg204
  • Centre culturel, Lucerne-Jean Novel pg212
  • Kursaal, San Sebastian-Rafael Moneo pg222
  • Théâtre à IJsselstein (Fulcotheater), Jsselstein-UN Studio pg230
  • Petits théâtresThéâtre Studio, Milan-Marco Zanuso pg238
  • Théâtre de la Compagnia, Flornece-Adolfo Natalini, Fabrizio Natalini avec Nazario Scelsi pg244
  • Théâtre de Hallein, Hallein-Heinz Tesar pg248
  • Théâtre des Muses, Ancône-Danilo Guerri et Paola Salmoni pg254
  • Monument urbain ou sculpture dans la ville ? pg258
  • Bibliographie pg264
  • Bibliographies des architectes pg270
  • Fiches techniques pg275
Music and the Scene
1929
Cornell University
Music and the Scene
Auteur : Adolphe Appia, Ulric Moore

Note : « Scene is here employed in the Gordon Craig sense of the term. In this sense it implies all that is contained in the German « Inscenierung ».

  • Taille : 29cm x 23cm
  • Contents and Summary.
  • Part I. The Inscenierung as a Means-of-Expression.
  • Chapter I. The Inscenierung - The Mucic. The Inscenierung. pg1
  • The Music. pg2
  • Chapter II. The Inscenierung as a creation of the Music. Theoretical Basis. pg7
  • Practical Application. pg18
  • The Scenic Illusion. pg21
  • The Actor. pg24
  • More words on the Actor. pg30
  • The Setting. pg36
  • The Light. pg52
  • Printing. pg56
  • The Auditorium. pg65
  • Conclusion. pg71
  • Part II. Richard Wagner and the Inscenierung. pg76
  • Part III. The Word-Tone Drama « Wthout » Richard Wagner. pg97
  • Bayreuth. pg122
  • The German and the Latin. pg120
Bühne und Welt, 1907-1908 tome 2
1907
Bühne und Welt
Bühne und Welt, 1907-1908 tome 2
Auteur : G. Elsner, H. Stûmcke

Bühne und Welt

  • Taille : 27cm x 19cm
  • Article page 661 :
  • Beleuchtung und Beleuchtungseffekte auf der Bühne.
  • Éclairage et effets d'éclairage sur la scène par Baurat Manfred Semper (Architecte, 1838-1913)
Principes et Applications de l'Eclairage
1929
Soc. pour le Perfection. l'Eclairage
Principes et Applications de l'Eclairage
Auteur : Robert Valbreuze

Malgré que ce sujet et fait l’objet des magistrales conférences de Messieurs Louis de Broglie, Eugène Bloch et Léon Bloch, je crois utile, pour la compréhension de ce qui suit, de vous résumer très brièvement les idées des physiciens sur la constitution de la lumière, de l’électricité et de la matière.

  • Taille : 20,5cm x 14cm
  • Les différents chapitres sont les suivants :
  • la lumière. pg7
  • Le rayonnement. pg15
  • Grandeur, unité et mesures photométriques. pg23
  • Sources lumineuses. pg37
  • La vision. pg47
  • Conditions fondamentales d’un bon éclairage. pg59
  • Lampes électriques. pg75
  • Différents systèmes d’éclairage. pg83
  • Appareils d’éclairage. pg97
  • Applications pratiques. pg113
En scène pour demain ou soixante ans de th. belge
1988
Libres Images
En scène pour demain ou soixante ans de th. belge
Auteur : Collectif, Serge Creuz, Anne Molitor

Pourquoi ce livre ?

Pendant des siècles, la Belgique a été une terre d’accueil pour le thétre, particulièrement le thétre venant de Paris. Pratiquement aucune création, aucune production originale n’apparaissait dans nos salles de fortune.

A l’issue de la première guerre mondiale s’amorce un mouvement de création : auteur, acteur et chanteur belge commence à sortir du tombeau !

De sorte que depuis une soixantaine d’années et surtout à partir de la guerre 40, le théâtre fait par les Belges s’est développé d’une façon extraordinaire pour arriver aujourd’hui une floraison de spectacles les plus variés, répondant aux besoins d’un public nombreux, éclectique et exigeant. Jamais il n’et tant de créateurs et d’interprète, jeunes et moins jeunes, passionnés de spectacles.

Jamais non plus les structures politiques et économiques du théâtre n’ont été plus fragiles, plus instable et plus ambiguë, et par conséquent la situation des artistes. L’inquiétude qui en résulte nous pousse à faire valoir l’acquis et la qualité de ce qu’on a porté au patrimoine culturel belge d’innombrables artistes du spectacle au cours des 60 dernières années. Nous voulons attirer l’attention du public et des pouvoirs publics sur le foisonnement créatif actuel, conséquence de ce passé récent et promesses d’avenir.

Entraînés par leurs aînés, de nombreux jeunes artistes talentueux et passionnés s’engagent dans cette carrière, malgré ses aléas, apportant invention et 109 dans la pratique d’un art toujours mouvant. Nous voulons souligner l’intérêt qu’offrent nos artistes, au public de plus en plus nombreux de notre pays, et ce, en dépit de la survivance d’une mentalité négative qui consiste à faire fi de ce qui est belge.

C’est pourquoi ce livre s’imposait. Il fallait raconter cette belle histoire de notre thétre pour le plaisir de ceux qui l’ont vécu et pour l’édification de ceux qui ont à la poursuivre.

André Debaar

Président de l’Union des Artistes.

  • Taille : 21cm x 20,5cm
  • Qu’est-ce que l’union des artistes ? Pourquoi ce livre ? par André Debaar. pg5
  • Abrégé historique des principaux théâtres de Bruxelles depuis leur fondation jusqu’en 1900 par André Gevrey. pg9
  • Soixante ans de théâtre belge par Luc André. pg13
  • Les reflets éclatés du « Jeune Théâtre » par Claire Diez. pg129
  • Le théâtre pour enfants dans notre communauté française par Frédéric Latin. pg135
  • Un statut, pourquoi faire ? Par Alexandre von Sivers. pg151
  • Le thétre et la télévision par Lucien Binot. pg167
  • Le « lyrique » par Frédéric Kiesel. pg175
  • Formes et couleurs entre cour et jardin par Serge Creuz. pg193
Le temps des flammes: Une histoire éclairage scé. avant lampe incandescence
2011
As/Actualite Scenographie
Le temps des flammes: Une histoire éclairage scé. avant lampe incandescence
Auteur : Christine Richier

ISBN : 291201736X

Le temps des flammes présentes un panorama des éclairages de spectacles, depuis les flambeaux de l’Antiquité jusqu’aux dernières rampes à gaz, pour se clore sur l’invention de la lampe électrique. S’appuyant aussi bien sur l’évolution de la symbolique attachée à la lumière que sur celle des sciences et des techniques liées à l’optique et à l’éclairage, l’ouvrage propose une approche originale, historique et pourtant singulière, illustré par des ouvres emblématiques des représentations de la lumière à chaque époque.

L’auteur

Christine Richier et éclairagistes, régisseur de théâtre et chercheuse. Titulaire d’un Master en philosophie et doctorante en esthétique, ses activités de recherche interrogent le visuel thétral et ses pratiques. Et l’enseigne l’éclairage et son histoire à l’ENSATT et à l’université.

  • Taille : 24,5cm x 28cm
  • Table des matières.
  • Note de l’éditeur. pg12
  • Préface. pg14
  • Introduction. pg17
  • Prologue : obscurités premières. pg21
  • 1. Flammes antiquesdes origines à l’Antiquité. pg31
  • Prométhée voleur de feu. pg34
  • Théâtre grec, une dramaturgie du solaire. pg37
  • Théâtre romain, à l’ombre des vélums. pg41
  • Théâtron, le lieu d’où l’on voit : lumière visible sous l’Antiquité. pg43
  • Sources et techniques d’éclairage des origines à l’Antiquité. pg46
  • 2. La pensée chrétienne de la lumière
  • Moyen Âge. pg53
  • « Fiat lux ». pg56
  • Lumière et architecture sacrée. pg58
  • Du rituel à la représentation. pg59
  • Développement scénique du drame liturgique. pg62
  • Mystère et miracle. pg64
  • Sources et techniques d’éclairage au Moyen Âge. pg69
  • 3. L’oeil du prince
  • Renaissance. pg75
  • Perspectives. pg78
  • Peindre l’ombre. pg79I
  • llumination est faite de cours. pg82
  • Naissance de l’éclairage scénique. pg84
  • Retour en France. pg90
  • Source et techniques d’éclairage de la Renaissance italienne. pg924.
  • 4. Les lustres du Grand siècle
  • Baroque et classicisme. pg97
  • Clairs obscurs. pg100
  • L’oeil dévoilé. pg104
  • Chambres obscures et lanternes de peur. pg108
  • Lumières à italiennes. pg111
  • Ballet de cour et festivités. pg115
  • Théâtre de machines et opéra « à la française ». pg119
  • Le règne des petits maîtres . pg122
  • Les tréteaux de Théophile. pg127
  • Sources et techniques d’éclairage au XVIIe siècle. pg130
  • 5. Les réformes des lumièresXVIIIe siècle. pg135
  • De la nature de la lumière. pg138
  • L’illusion en question. pg145
  • Renouvellement des techniques d’éclairage. pg148
  • Les réformateurs de la scène. pg151
  • Les spectacles optiques. pg154
  • Sur ces techniques d’éclairage au XVIIIe siècle. pg162
  • 6. Pleins feuxXIXe siècle. pg169
  • 1. Horizon panoramique. pg172
  • L’ombre de Faust. pg172
  • D’un ciel à l’autre. pg175
  • La nature réinventée : panoramas et dioramas. pg179
  • La couleur : pensées, classée. pg183
  • 2. Le règne du gaz. pg187
  • La flambée d’Hernani. pg187
  • Les débuts de l’éclairage au gaz. pg192
  • Le gaz dans les théâtres. pg196
  • Lumière du Nord. pg205
  • Une descente aux enfers. pg207
  • Sources et techniques d’éclairage au XIXe siècle, première partie. pg214
  • 3. Le grand spectacle.g218
  • La fabrique du spectaculaire.pg218
  • Nouveaux soleils. pg223
  • Les coulisses de l’illusion. pg226
  • Petites mains de l’ombre. pg230
  • Une promenade sur les grands boulevards. pg232
  • Sources et techniques d’éclairage au XIXe siècle, seconde partie. pg236
  • 4. L’ère des metteurs en scène. pg239
  • Les pionniers de l’éclairage moderne. pg239
  • De profundis lambionibus. pg247
  • L’obscurcissement de la salle. pg249
  • Epilogue. pg253
  • Bibliographie. pg255
  • Notes. pg263
Au pays des boîtes à musique et des automates
1989
Editions du Cochet
Au pays des boîtes à musique et des automates
Auteur : Daniel Troquet

Sainte-Croix, petite ville du Jura vaudois situé à quelque 1000 m d’altitude et à proximité de la frontière française, perpétue la fabrication des boîtes à musique depuis plus d’un siècle et demi en dépit des modes et des crises.

Attiré par le savoir-faire des habitants de la région, un créateur et restaurateur d’automate s’est installé 173 à Bullet, localité voisine de Sainte-Croix. Grâce à lui et Alain de ses élèves, le pays des boîtes à musique est devenu aussi celui des automates.

Cet ouvrage veut rendre témoignage de ce que fut et de ce qu’est encore aujourd’hui le travail de ces artisans du rêve, attachés à réaliser des objets d’une autre époque, dont la grce enfantine et le charme romantique continueront longtemps encore que nous fasciner et de nous émerveiller.

  • Taille : 28,5cm x 22,5cm
  • Sa mère.
  • Préface. pg9
  • Chez les artisans de la boîte à musique. pg11
  • Boîtes animées et oiseaux chanteurs. pg63
  • Création et restauration d’automates. pg93
  • Richesse des collections de Sainte-Croix. pg147
  • Remerciements. pg219
Le rythme primordial et souverain
2011
Contredanse
Le rythme primordial et souverain
Auteur : Fernand Schirren

ISBN : 9782930146331

  • Taille : 19cm x 28,5cm
  • Cet ouvrage - fruits de cour vous accommodaient par occasion aux forces diverses des élèves - l’art ne le gouverne pas : passage trop long et fort souvent ennuyeux, lacunes, complaisance exagérée pour la précision, pas de plan véritable ; aussi l’auteur autorise-t-il le lecteur paresseux à sauter quelques pages, et même il lui indiquera lesquels.Du reste cet ouvrage ne s’adresse pas aux lecteurs, mais à un auditoire, un auditoire qui me voit, et qui entend une parole dont le tempo est beaucoup plus lent que celui de la parole ordinaire, et à plus forte raison, que celui de la lecture silencieuse d’un roman.Il se fait que le geste de ma voix et le geste de ma main - produit par la même personne - se ressemblent, aussi ne serais-je assez remercié Madame Patricia Kuypers, l’éditrice, d’avoir exigé que la pression du livre se fasse sous la forme d’un fac-similé du manuscrit. Et le chorégraphe José Besprosvany ! mon ami dévoué qui n’a mis en relation avec un éditeur, avec Patricia la directrice Contredanse ! pourrais-je jamais lui témoigner toute ma gratitude ?Fernand Schirren
La Décoration Théâtrale, conseils aux amateurs
1987
Librairie Théâtrale
La Décoration Théâtrale, conseils aux amateurs
Auteur : André Boll

(extrait) Depuis le XVIIIe siècle, époque à laquelle tout spectacle se donne habituellement dans un lieu couvert, jusqu’en 1890 « révolutions réalistes d’André Antoine et de Stanislavski), le décor peint en trompe-l’oil araignée, dans tous les genres (dramatique, lyrique, chorégraphiques), sur toutes les scènes du monde, particulièrement du monde occidental.

André Boll

  • Taille : 17,5cm x 11,5cm
  • Table des matières.
  • I - Les différents genres de construction. pg3
  • Le décor peint. pg3
  • La scène à l’italienne. pg5
  • Décor construit , décor semi-construit. pg9
  • Ce qui doit être conservé sur de simples tréteaux. pg11
  • Machinerie et équipements traditionnels. pg16
  • II - Technique du d écor de théâtre. pg20
  • La construction : éléments souples. pg20
  • La construction : éléments rigides. pg22
  • La peinture. pg26
  • Exécution peinture. pg28
  • Equipements et éclairage. pg30
  • III - De l’esquisse à la maquette. pg33
  • La perspective thétrale. pg40
  • IV - Le style du décor. pg51
  • Glossaire. pg57
Le décor de th. dans le monde depuis 1950
1964
Meddens
Le décor de th. dans le monde depuis 1950
Auteur : René Hainaux

Cet ouvrage, le second de ce genre publié par les Editions Meddens pour l’Institut International de Théâtre, sous le patronage de l’Unesco, a profité dans 42 pays de la collaboration étroite des Centres Nationaux que groupe l’I.I.T..

Dans une typographie luxueuse, c’est un panorama général de l’évolution du spectacle dans le monde. On n’y trouvera une dizaine de pays absents du premier volume, telles que l’Espagne, l’Inde et l’URSS.

L’introduction est consacrée à l’utilisation des matériaux nouveaux et à la mise au point des techniques nouvelles dans la présentation des spectacles.

Les index sont complétés par un « dictionnaire des décorateurs » groupant les fiches biographiques de quelque 360 artistes répartis dans 33 pays.

Comme pour le premier tome, la mise au point et la présentation sont l’ouvre de René Hainaux, rédacteur en chef de la revue Le Théâtre dans le Monde, assisté par l’éminent spécialiste Yves-Bonnat. La supervision en a été assumée par le Comité des publications de l’I.I.T.

un volume au format 24 X 30,5 cm de 260 pages dont 220 pages sur beau papier couché avec 35 illustrations en quadrichromie et 497 illustrations en blanc et noir. Reliure de luxe sous jaquette plastifiée en quatre couleurs.

  • Taille : 30cm x 24,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos par Paul-Louis Mignon. pg5
  • Remerciements par René Hainaux. pg6
  • Technique et matières nouvelles dans la décoration thétrale par Yves-Bonnat. pg7
  • Nouveaux matériaux et nouvelles techniques - résultats d’une enquête. pg11
  • I. Les matières. pg12
  • II. Equipement scénique. pg17
  • III. Eclairage. pg20
  • IV. Méthode de travail. pg23
  • Les clefs de l’ouvrage - Interprétation des légendes. pg24
  • Illustrations
  • Argentine. pg25
  • Belgique. pg27
  • Brésil. pg35
  • Bulgarie. pg37
  • Canada. pg39
  • Tchécoslovaquie. pg41
  • Cuba. pg48
  • Allemagne de l’Est. pg49
  • Allemagne de l’Ouest. pg51
  • Espagne. pg75
  • France. pg83
  • Grèce. pg103
  • Suisse. pg109
  • Inde. pg113
  • Israël. pg117
  • Italie. pg121
  • Yougoslavie. pg135
  • Magyarorszag. pg139
  • Pays-Bas. pg143
  • Japon. pg147
  • Norvège. pg151
  • Autriche. pg155
  • Pérou. pg163
  • Pologne. pg165
  • Roumanie. pg173
  • URSS. pg177
  • Finlande. pg203
  • Suède : pg208
  • Turquie. pg213
  • Grande-Bretagne. pg215
  • USA. pg229
  • Uruguay. pg241
  • Venezuela. pg243
  • Dictionnaire des décorateurs. pg247
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des décorateurs. pg261
  • Index des illustrations par ordre alphabétique des auteurs, compositeurs et chorégraphe. pg267
Envisioning dance on film and video
2002
Routledge
Envisioning dance on film and video
Auteur : Judy Mitoma, Elizabeth Zimmer,

ISBN : 0415941717

Virtually everyone working in dance today uses electronic media technology. Envisioning Dance on Film and Video chronicles this 100-year history and gives readers new insight on how dance creatively exploits the art and craft of film and video. In fifty-three essays, choreographers, filmmakers, critics and collaborating artists explore all aspects of the process of rendering a three-dimensional art form in two-dimensional electronic media. Many of these essays are illustrated by ninety-three photographs and a two-hour DVD (40 video excerpts).

A project of UCLA – Center for Intercultural Performance, made possible through The Pew Charitable Trusts (www.wac.ucla.edu/cip).

  • Taille : 28cm x 21,5cm
Album Com. Fra., au Prince de Galles, 1689-1879
1879
Viard
Album Com. Fra., au Prince de Galles, 1689-1879
Auteur : F. Febure, T. Johnson, Alexandre Dumas fils

On a beaucoup écrit sur la Comédie-Française ; le sujet était trop intéressant pour ne pas tenter ce qui s'occupe du théâtre ; mais presque tout ce qui est apparu jusqu'à ce jour sur cette célèbre Compagnie est incomplet souvent, inexact quelques fois ; cependant la première condition d'un travail de cette nature n'était pas l'exactitude rigoureuse.

En réunissant sous le titre d'album de la Comédie-Française les portraits et les notice biographique de tous les sociétaires actuel, l'intention des auteurs et de ne présenter que des portraits ressemblant et des biographie correcte ; or, la signature qui se trouve au bas de chaque portrait prouve clairement que les artistes eux-mêmes ont bien voulu poser devant l’habile graveur M. E. Abot, qui est si admirablement exécuter ces eaux-fortes dont toute la valeur sera certainement appréciée. La précieuse collaboration de M. F. Fébure à cet ouvrage, indique que les éléments d'une biographie et les détails sur l'organisation du Théâtre-Français ont été puiser au meilleures sources.

L'album de la Comédie-Française n'a pas mission de faire une critique ou même une appréciation du talent des sociétaires ; il rappellera seulement les plus belles créations de chacun deux ; s'il fallait constater tous les triomphe, un volume si gros qu'il fût, me suffirait pas.

Les autographes qui nous ont été accordé, et qui donne à cet album un caractère si charmant. Au City cité, on est sur le succès, grâce a la sympathie qui dans tous les pays accueille les artistes de la Comédie-Française ; qui me soit donc permis, en terminions c'est tout préface, d'adresser, tant au nom de mon collaborateur au mien personnel, les plus vifs remerciements à ceux dans l'obligeance et faciliter notre tâche.

T. Johnson

  • Taille : 37 X 28
  • Table.
  • Lettre à son Altesse Rouyale Monseigneur Le Prince de Galles, par Alexandre Dumas fils. pgI
  • Dédicace. pgV
  • Préface, par T. Johnson. pgIX
  • Les Origines du Théâtre-Français. pgXIII
  • Premier Acte de Société entre Messieurs et Mesdames les Comédiens Français, 27 Germinal An XII. pgXIX
  • Organisation actuelle de la Comédie-Française. pgXXIII
  • Réception des Ouvrages à la Comédie-Française. pgXXV
  • Le Théâtre-Français.La Salle. pgXXVI
  • Le Foyer public.Le Foyer des Artistes.Les Sociétaires depuis la Formation de la Compagnie. pgXXXIII
  • Administraztion de la Comédie-Française.M. Perrin. pgXXXVII
  • Biographies.Sociétaires de la Comédie)Française au 1er janvier 1879. XXXIX
  • Messieurs :
  • Got. pg1
  • Delaunay. pg3
  • Maubant. pg5
  • Coquelin aîné. pg7
  • Febure. pg9
  • Thiron. pg13
  • Mounet-Sully. pg15
  • La Roche. pg17
  • Barré. pg19
  • Worms. pg21
  • Coquelin cadet.
  • Mesdames :
  • Madeleine Brohan. pg23
  • Favart. pg25
  • Jouassain. pg27
  • Riquer. pg29
  • Ponsin. pg31
  • Dinah Félix. pg33
  • Reichemberg. pg35
  • Croizette. pg37
  • Sarah Bernhardt. pg39
  • Baretta. pg43
  • Broisat. pg45
  • Samary. pg47
  • Pensionnaires de la Comédie-Française.
  • Les Sociétaires retraités.Pensionnaires de la Comédie-Française. pg51
  • Les Sociétaires retraités. pg53
Histoire de l'Eclairage
1985
Ministère de la Région Wallonne
Histoire de l'Eclairage
Auteur : Ministère de la Région Wallonne - Direction de l'Energie

Ce livre accompagnait une exposition. Il reprend l'histoire de la lumière et de l'éclairage depuis ses origines. Il aborde les grands types d'éclairage: au gaz, électrique, à incandescence, à décharge, ainsi que les technologies plus récentes.

  • Taille : 29,5cm x 21cm
  • Sommaire.
  • Introduction.
  • 1. Les plus anciennes sources d’éclairage.
  • 1.1. Les premiers pas
  • 1.2. Les premières lampes à huile
  • 1.3. Bougies et torches.
  • 1.4. volution de la lampe à huile.
  • 1.5. La lampe à huile et l’éclairage public.
  • 2. L’éclairage au gaz.
  • 2.1. Introduction.
  • 2.2. Les débuts.
  • 2.3. La production de gaz.
  • 2.4. Les becs de gaz.
  • 2.5. La lampe à acétylène.
  • 2.6. Le gaz aujourd’hui.
  • 3. L’éclairage électrique avant la lampe à incandescence.
  • 3.1. Introduction.
  • 3.2. La lampe à arc.
  • 3.2.1. Principe de la lampe arc.
  • 3.2.2. Application de l’allant parc.
  • 4. La lampe à incandescence.
  • 4.1. Les premiers pas.
  • 4.2. La lampe à filament de carbone.
  • 4.3. La lampe à filament de tungstène.
  • 4.3.1. Les filaments spiralés.
  • 4.3.2. La lampe à incandescence aux halogènes.
  • 5. Les lampes la décharge.
  • 5.1. Le tube de Moore.
  • 5.2. Le tube au néon.
  • 5.3. La lampe fluorescente.
  • 5.4. Les lampes fluo compactes basses énergie.
  • 5.5. Les lampes au mercure haute pression.
  • 5.6. Les lampes au sodium.
  • 5.6.1. Les lampes au sodium basse pression.5.
  • 6.2. Les lampes au sodium haute pression.6. Les technologies de pointe.
  • 6.1. Les lampes à induction.
  • 6.2. La combinaison de deux types de lumière.
  • 6.3. La recherche en photométrie.
  • 7. L’éclairage et l’utilisation rationnelle de l’énergie.
  • 7.1. L’opération «EPEE ».
  • 7.2. L’opération «AGEBA ».
  • 8. La production et la distribution d’électricité.
  • Conclusion.
Dessin artistique-Niveau technique Habillement
1990
CrP
Dessin artistique-Niveau technique Habillement
Auteur : C. Martens

Introduction.

Le cours d’éducation esthétique constitue une discipline d’éveil est un exercice de culture. Il doit concourir au développement de l’intelligence, à l’épanouissement de la sensibilité et à l’habileté de la main.

Tout en appuyant sur des valeurs stables et des traditions éprouvées, il doit être pour les élèves une découverte du monde actuel. Il peut accroître chez elle la confiance en soi par une libre expression de leur sensibilité.

Grce à cet enseignement, la plupart des jeunes filles seront capables de produire et de choisir sans faute flagrante de got.

Il est souhaitable que chaque exercice commence par une recherche de la beauté. Ainsi l’élève, sous l’influence bénéfique de cette formation, sera en mesure de comprendre, d’apprécier, de critiquer, de juger, de concevoir des réalisations sur le plan de l’esthétique et de l’intégration harmonieuse dans le milieu.

Sur le plan des activités professionnelles proprement dites, l’objectif du dessin artistique consistera à adapter la mode aux impératifs particuliers du climat et aux exigences de l’aménagement et de la décoration de la maison.

  • Taille : 29cm x 20,5cm
  • Table des matières.
  • I. Introduction. pg4
  • II.Directives générales. pg4
  • III. Recommandations pédagogiques. pg5
  • IV. Généralités sur le dessin d’observation. pg5
  • V. Généralités sur la composition . pg6
  • VI. Généralités sur l’étude des couleurs. pg6
  • VII. Généralités sur l’expression libre. pg8
  • VIII. Technologie du matériel de dessin. pg9
  • IX. pLa coordinationg avec le métier.12
  • X. La formation de base. pg12
  • XI. Le collage. pg18
  • XII. tude de la perspective. pg28
  • XIII. Ombres et lumières. pg32
  • XIV. Prise de mesures à l’oil. pg35
  • XV. Dessin d’après nature. pg37
  • XVI. Agrandissement - réduction. pg38
  • XVII. tude de la silhouette de mode p.g42
  • XVIII. Conseils aux professeurs concernant les leçons sur la silhouette de mode. pg48
  • XIX. la silhouette enfantine. pg59
  • XX. Le dessin des détails importants. pg69
  • XXI.. Bibliographie. pg95
Antoine, invention m. en scène : anth. textes d'Antoine.
1999
Actes sud
Antoine, invention m. en scène : anth. textes d'Antoine.
Auteur : A. Antoine, J-P Sarrazac, P. Marcerou

ISBN : 2742725121

En 1887, André Antoine (1858 - 1943) fonde à Paris le Théâtre Libre. Sous l’influence et avec le soutien de Zola, il a vendu, dix ans avant Stanislavski, un art nouveau où la « partie matérielle » de la représentation (l’ancienne « régie ») se combinent étroitement avec la « partie immatérielle », c’est-à-dire l’interprétation du texte. Antoine ouvre ainsi l’air de la mise en scène moderne.

L’étude de Jean-Pierre Sarrazac et l’anthologie des écrits d’Antoine réalisé avec Philippe Marcerou donne un large panorama de la carrière de ce grand homme de thétre, qui mit son art au service des textes contemporains français et étrangers avant de proposer au Théâtre de l’Odéon, une lecture originale de Shakespeare et des classiques français.

  • Taille : 20,5cm x 15cm
  • Table.
  • Introduction de Jean-Pierre Sarrazac. pg5
  • Cahier photographique. pg29
  • Anthologie. pg47
  • - Introduction de Philippe Marcerou. pg49-
  • Les débuts d’Antoine et le Théâtre-Libre (1858 - 1894). pg51
  • 1. Lettre à Mounet-Sully (1876). pg53
  • 2. Lettre à Francisque Sarcey (1888). pg55
  • 3. Le Théâtre-Libre (1890). pg61
  • 4. Lettre à Charles Le Bargy (1893). pg90- L’Odéon et le Théâtre Antoine (1896 - 1914). pg97
  • 5. Lettre à Henri Foulquier (1896). pg99
  • 6. Circulaire-programme diffusé à l’ouverture du Théâtre-Antoine (1897). pg104
  • 7. Causerie sur la mise en scène (1903). pg106
  • 8. Conférence de Buenos Aires (1903). pg121
  • 9. Le Roi Lear (1904/1928). pg138
  • 10. Monsieur de Pourceaugnac (1910). pg142- Les études critiques (1914 - 1943). pg153
  • 11. Mais débuts dans la critique (1919). pg155
  • 12. Le Conte d’hiver (1925) . pg157
  • 13. Craig (1928.) pg166
  • 14. Mademoiselle Julie (1921). pg169
  • 15. Ce que je veux faire ici (1922). pg173
  • 16. Stanislavski (1922). pg175
  • 17. Le Réviseur, par la troupe moscovite deMeyerhold (1930). pg179- Les études esthétiques et historiques (1922 - 1943). pg183
  • 18. Le thétre contemporain (1922). pg185
  • 19. Zola et le thétre (1924). pg201
  • 20. Enquête de Léopold Lacour sur la mise en scène en France et à l’étranger (1925). pg232
  • 21 .Ibsen et la France (1928). pg246
  • 22. Le paradoxe sur le comédien. pg251- Conclusions. pg257
  • Annexes. pg259- Chronologie sommaire de la vie d’André Antoine. pg261
  • - Chronologie des textes publiés d’André Antoine. pg263
  • - Bibliographie sélective. pg265
L'Esprit frappeur, récit d'une aventure théâtrale
2017
Genèse édition
L'Esprit frappeur, récit d'une aventure théâtrale
Auteur : Albert-André Lheureux, Jacques De Decker

ISBN : 9791094689097

Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent de la nuit, nous illuminent avant de replonger dans l’obscurité. Les photos, les vidéos, les captations, sont des traces souvent mélancoliques pour celles et ceux qui ont vécu la rencontre de ces spectacles vivants.

Mais le temps efface peu à peu cet art de l’instant qui demande tant de temps pour exister. Les textes, les mémoires, les témoignages, les carnets publiés permettent de revisiter en profondeur les arts de la scène qui marquent l’époque.

Albert-André Lheureux a dirigé quatre théâtres à Bruxelles de 1960 à 1990. L’Esprit Frappeur, le Botanique, Forest National et le Résidence Palace. Mais ce qui a été le ferment de la passion du metteur en scène demeure ce petit théâtre de l’Esprit frappeur, improvisé puis organisé de façon magique dans la maison familiale schaerbeekoise. Ce récit d’une vie de théâtre témoigne d’une aventure exceptionnelle. Elle aura marqué plusieurs générations de spectateurs.

Par chapitres, écrits comme des confidences aux lecteurs, l’auteur convie des fantômes majestueux (Piéral, Bécaud, Brel, Béjart, …) et salue fraternellement toutes celles et ceux qui ont fait de ce lieu une caverne aux merveilles. Les témoignages, les anecdotes, les coups de cœur, de désespoir parfois sont le lot de ces bateleurs.

L’argent, … le nerf de la guerre. Il manquait souvent alors l’ingéniosité scénographique, la mise en scène de l’accueil de spectateurs qui faisait déjà partie du spectacle, la complicité des actrices et acteurs de premier plan ont rendu possible l’entreprise jusqu’à la fin.

Les scènes de théâtre sont reliées par de communes passions même si les options dramaturgiques, le choix des auteurs, la façon de situer le théâtre dans l’espace public peuvent être la source d’antagonismes profonds.

Sans le public, le théâtre ne peut rien, en tout cas pas longtemps. Il s’agit donc d’être à l’heure, à l’heure de ce que le public cherche confusément, entrevoit et souhaite voir représenté.

Albert-André l’heureux avait ce sens de la rencontre, et le travail de toute son équipe a fait de Bruxelles, avec d’autres théâtres majeurs et l’époque, une ville théâtrale de premier plan.

Des portraits émouvants, drôles, piquants font la matière de ce livre lisible par toutes les générations. Elles pourront découvrir d’où est issu ce qu’on appela le Jeune Théâtre qui a engendré les générations d’artistes d’aujourd’hui.

On aimerait lire encore et encore ces livres de femmes et d’hommes de théâtre qui donnent sans compter pour que la Cité se représente et se réfléchisse chaque soir…

Daniel Simon

  • Taille : 21cm x 13,5cm
  • Table.
  • Avant-dire, préface de Javques De Decker. pg9
  • L’enfance, une scène de rêve. pg11
  • Le plus grand spectacle du monde. pg13
  • La rue Josaphat et mon cirque miniature. pg17
  • Vezin et son cinéma de campagne. pg23
  • Paris et mon allégeance au théâtre. pg25
  • L’Athénée de Schaerbeek. pg27
  • Le véritable esprit frappeur. pg33
  • Un été avec Giono. pg35
  • La mort peut frapper durement. pg37
  • La naissance d’un théâtre. pg41
  • Un soir de « première » à l’Esprit Frappeur. pg45
  • L’Esprit Frappeur est lancé. pg49
  • Eugène Ionesco. pg51
  • L’Ancienne Belgique. pg59
  • Maurice Béjart et le ballet du XXe siècle. pg63
  • La scène belge. pg67
  • La création de deux grandes écoles. pg71
  • Il faut mettre la hausse. pg75
  • L’esprit bruxellois. pg79
  • La nouvelle publicité. ppg83
  • Il n’y a rein d’organisé dans le hasard. pg87
  • Une maison envahie par la création théâtrale. pg91
  • L’Esprit Frappeur, le Botanique et le Résidence Palace. pg93
  • Marthe Dugard, une grande comédienne. pg101
  • La philosophie théâtrale de l’Esprit Frappeur. pg105
  • Deux auteurs belges magnifiques. pg113
  • Maria Casarès et la magie du théâtre. pg117
  • La Passion selon Pier Paolo Pasolini. pg121
  • De l’art de mettre en scène. pg125
  • Bernard De Coster, une grande passion. pg127
  • Esprit Frappeur, une appellation sulfureuse. pg131
  • L’Esprit Fappeur, un théâtre éclaté. pg133Une tournée à surprises. pg137
  • L’entrée en scène de monstres sacrés. pg141
  • Forest National, un cadeau empoisonné. pg147
  • L’irrésistible Pieral. pg151
  • Jacques Villeret, le tendre. pg153
  • Acteurs au bord de la crise de nerfs. pg155
  • Brel en mille temps, une aventure hors du commun. pg157
  • Mireille, la conscience du travail à accomplir. pg161
  • Mon père, ma fierté. pg163
  • Dorian Paquin, l’extraterrestre. pg167
  • Gilbert Bécaud, mon ami. pg171
  • Un rendez-vous manqué. pg175
  • Jean Cocteau. pg177
  • Ninon Talon Karlweis. pg179
  • Frappé en plein coeur. pg181
  • La triste fin d’une belle aventure. pg185
  • Feuille de route. pg189
  • Un flot de douceur. pg191
  • Ce quils pensent d’Albert-André Lheureux. pg193
  • Remerciements. pg195
PQ of Performance Design and Space 1999
1999
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 1999
Auteur : Jaroslav Malina

ISBN : 9788070080922

This representative catalogue of the Prague Quadrennial 2003 showcases the entire world exhibition of scenography and theatre architecture that year, including its accompanying events. It is organised by sections (national exhibits, theatre architecture, schools of stage design), the descriptions of the exhibited works are accompanied by rich colour photographs, and considerable space is devoted to the programme of the unique interactive ‘Heart of the PQ’ project and the international summer academy in stage design OISTAT SCENOFEST. It also includes an index of names.

  • Taille : 29,5xm x 20,5cm
  • Content.
  • Introduction. pg8
  • PQ Council. pg14
  • Jury. pg15
  • PQ Prizes. pg18
  • List of Participating Countries and Regiones. pg19
  • What actually is stage design - now for the tenth time …, Laroslav Malina. pg20
  • National Exhibition - competition section. pg23
  • Theatre Architecture - Competitive section. pg209
  • Schools of stage design - non-competitive section. pg239
  • OISTAT Scenofest. pg274
  • The Heart of PQ. pg280
  • Accompanying Events. pg325
The Bauhaus walk
2010
Bauhaus-Universität Weimar
The Bauhaus walk
Auteur : Michael Eckardt

ISBN : 3860684086

Following the trail of the early Bauhaus« student-guides have been doing this with visitors since 2006 in the context of the specially-conceived Bauhaus Walk. During that walk, you can experience the past and present of the Bauhaus-Universität Weimar at the very places where, in the era of the Staatliche Bauhaus, Walter Gropius, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Lyonel Feininger an many others, lived out their ideas, worked, thaught and learned.

This book indicates what can be experienced on the Bauhaus Walk. It outlines the chequered history of the school, and describes all the different stops on the walk: the buildings designed by Henry an de Velde and listed as part of the UNESCO World Cultural Heritage since 1996; the wall designs by Oskar Schlemmer, Joost Schmidt and Herbert Beyer; Auguste Rodin's sculpture »Eve«; the Director's Office designed by Walter Gropius, the »Templer House« in the Park on the river Ilm, or the »Haus Am Horn«, the first Bauhaus test-house.

With this book therefore, you can also take the historical and anecdotal data home with you and follow the trail of the Bauhaus as often as you wish.

  • Taille : 23cm x 19,5cm
  • Table of contents.
  • In place of an introduction :The history of the walk, Vande velde. pg6
  • The history of the Bauhaus-Universität Weimar, Nicole Baron et Michael Eckardt. pg10
  • The Van-de-Velde buildings :The main building (Hauptgebäude) and the angular building (Winkelbau), Yvonne Graefe. pg20
  • Richard Engelmann - Woman Resting » and « sisters », Theres Sophie Rohde. pg26
  • The Brendel Studio, Tina Kühn. pg28
  • The « Preller House », Sven MÜller and Michael Eckardt. pg30
  • The studio buildings of the Architecture Faculty, Michael Eckardt. pg32O
  • Oskar Schlemmer’s wall designs, Christian Tesch. pg36
  • The entrance area of the main building, David Fritzsch. pg40
  • Herbert Bayer’s Murals., Michael Eckardt. pg42
  • The Gropius room, Christian Tesch. pg46
  • Adolf Brütt’s « Night », Theres Sophie Rohde. pg48
  • The « Templer House » in the park on the river ilm, Tina Kühn. pg52
  • The Haus am horn, Theres Sophie Rohde. pg54
  • Information on the Bauhaus Walk. pg60
  • Appendix.
  • Literature on the Bauhaus-Universität Weimar. pg64
  • Photo credits. pg65
  • List of autors. pg65