Bibliothèque
L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !
Avertissement.
« Encyclopédie du Théâtre contemporain ». Nous avons longtemps hésité à adopter ce titre … à deux tranchants. voquant la formule du dictionnaire, il peut rebuter les lecteurs qui n’ont guère l’occasion ni l’envie de se documenter sur le théâtre par ordre alphabétique, comme il peut attirer les professionnels qui hument l’ « instruments de travail » précis et complet. Assuré de détromper les premiers, nous avons eu souci de ne pas décevoir les seconds. Ce livre diffère d’une encyclopédie courante que l’on consulte pour y puiser un renseignement précis, avant d’en claquer les lourdes mchoires ; nous proposons ce qu’une somme de pure documentation ne saurait apporter ; une synthèse vivante, une vision d’ensemble, le choix de l’essentiel et des figures de premier plan, la suggestion par l’image du « climat » et du style, le théâtre situé dans son cadre historique, ses liens avec la société et l’évolution des autres arts.
Le théâtre : si ce mot pris ici dans son acception la plus large, puisque nous y incluons le ballet, l’art lyrique et même les variétés, ne précise pas les divers aspects de notre programme, il en indique les limites. Ces arts de la scène, nous les avons surtout envisagés dans la mesure où ils font parti de l’ « art théâtral » ; le chant, la musique, la danse, arts qui ont leurs techniques propres, ont moins retenu notre attention que le jeu, la recherche du « lieu scénique » et l’unité du « spectacle ».
Une histoire du thétre contemporain qui commence au Romantisme, il y a peut-être là de quoi surprendre. En fait, de même que le théâtre d’aujourd’hui est né de la révolution du Théâtre Libre, celle-ci ne se comprend que si l’on évoque la situation du théâtre en France au cours de la période précédente. En France ? Nous sommes nous imposés de nouvelles limites ? Oui et non, car si le cadre de cet ouvrage ne nous permette de pas de nous étendre aux pays d’Europe et d’Amérique, nous ne pouvions, par exemple, passer sous silence l’oeuvre des grands metteurs en scène et théoricien étranger, autres pionniers du théâtre contemporain.
Nous souhaitons que ce livre puisse parcourir, comme un film qui instruit et divertit par le seul déroulement de ces images. Des essais de synthèse, servant de prologue et d’un trône action, permettent de suivre dans ses grandes lignes l’évolution de l’art théâtral, sans s’arrêter au détail. On pourra y faire halte, ici ou là, il y a les études de spécialistes qui analysent l’oeuvre des grands animateurs et développent les thèmes les plus importants. On n’y trouvera des témoignages de ceux qui ont connu le théâtre de cette époque et y ont pris part. enfin, presque tous ceux qui ne valait pas, à nos yeux, que l’on y consacra un chapitre et commenter ou seulement situé dans trois chroniques ou la Scène et la Petite Histoire s’entremêlent. Car, tout en nous appliquant à dégager l’essentiel, nous avons tenu à donner à cet ouvrage à caractère encyclopédique, confirmé à la fin de ce volume par un tableau synoptique et qui se précisera dans le second volume (à partir de 1914), où l’on trouvera un répertoire biographique ainsi qu’une complète biographie.
Gilles Quéant
- Taille : 32cm x 25,5cm
- Table des Matières
- Avertissement, par Gilles Quéant pg4
- Avant-propos, par Madame Simone pg5
- Préface, par Léon Moussinac, directeur de l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs pg7
- Du drame romantique au théâtre bourgeois (Prologue) pg 9
- Les PionniersChronique illustrée (1878-1894) pg17
- Autour du Théâtre d’Art, par Paul Fort pg24
- Naturalisme et Symbolisme pg25
- Antoine (du Théâtre Libre à l’Odéon), par Frédéric Towarnicki pg31
- Lugné-Poe et le Théâtre de l’Oeuvre, par F.T. pg47
- Stanislavski (le Théâtre Artistique de Moscou), par Nina Gourfinkel pg59
- Appia et Craig, par André Veinstein pg65
- Reinhardt, Fuchs et Erler, par Denis Bablet pg69
- Paris-Sur-Scène en 1900
- Chronique illustrée (1894-1907) pg73
- Les étoiles du Caf’ Conc’ pg81
- Albert Carré et l’Opéra-Comique, par André Boll pg89
- Les chanteurs pg96
- Le Ballet de France, par Marie-Françoise Christout pg101
- Dieux et Déesses (Acteurs et Actrices), par Dussane pg105
- Gémier, les pièces socialistes, le Théâtre Populaire, le Théâtre en Plein Air, par G.Q. pg123
- Les auteurs et le théâtre de la Belle Epoque, par Robert Kemp, de l’Académie Française pg131
- De la féérie au traiteau nuChronique illustrée (1907-1914) pg137
- Les peintres et l’art du décor pg141
- Diaghilev et les Ballets Russes, par Jacques Damase pg153
- Autour de Diaghilev, par Jean Cocteau, de l’Académie Française pg154
- Jacques Rouché et le Théâtre d’Arts, par F.T. pg173
- Du rôle de Jacques Rouché dans la carrière de Jacques Copeau, par Francis de Miomandre pg183
- Jacques Copeau et Le Vieux-Colombier, par Georges Lerminier pg185
- La Guerre (1914-1918) pg197
- Tableua synoptique (1880-1914)
- Table des références pg199
- Index alphabétique pg202
Que « La Muette de Portici » au Théâtre Royal de la Monnaie est été le détonateur de la révolution qui nous a conduit à l’indépendance, est-ce surprenant ?
Cet événement historique ne s’inscrit pas dans le caractère fondamentalement indépendant d’une des plus importantes (sans doute la plus importante) institution artistique de notre
pays ?
Si le Théâtre Royal de la Monnaie a maintenu à travers trois siècles une place originale et remarquée dans le concert des opéras européens, c’est précisément par son esprit international, novateur et créatif.
Les premières représentations de Wagner en langue française, les créations d’oeuvre de Massenet, de Berg et de tant d’autres, et de toujours les créations d’opéra et plus encore celle du « Ballet du XXe Siècle », sont autant d’initiatives qui ont placé notre Opéra Nationa parmi les opéras les plus vivants d’Europe.
Il nous appartient de sauvegarder ce caractère indépendant et créatif du Théâtre Royal de la Monnaie, au moment où nos institutions subissent des réformes profondes.
Je suis particulièrement heureux de voir célébrer conjointement, par une brillante exposition au Crédit Communal, l’indépendance de la Belgique et celle du Théâtre Royal de la Monnaie.
Maurice Huisman,
directeur du Théâtre Royal de la Monnaie.
- Taille : 29.5cm x 21cm
- Table des matières
- Pourquoi la Monnaie ? pg6
- Les trois salles de la Monnaie pg8
- Directions, directeurs, … tendances ! pg18
- Au fils du temps : programme, créations, répertoire pg30
- Les créations pg32
- Les créations d’oeuvres belges pg34
- Les créations de traductions pg35
- Le répertoire pg42
- Spectacle spéciaux pg43
- Au miroir … du chant pg44
- La réalisation scénique pg72
- Rêve ou réalité pg72
- Décors et costumes pg74
- Metteurs en scène pg96
- Opéra StudioUn monde futur au travail pg101
- La Danse« De la Camargo à Béjart » pg104
- Pour conclure … pg117
- … Un choix de chanteurs ayant passé à la Monnaie pg118
ISBN : 2716903158
L’étude du théâtre japonais dans son ensemble fournit des thèmes de réflexion extrèmement stimulants sur les conditions de la naissance et de l’évolution de l’art dramatique dans une société déterminée, ainsi que sur le rôle sociologique et esthétique de cet art dans la formation d’une structure culturelle globale. De plus, l’historien du théâtre et le comparatiste trouvent là une matière sans doute unique au monde, du fait que ces formes d’art spécifiques se sont constituées de toutes pièces, en partant d’éléments autochromes ou déjà assimilés, à des époques où le Japon était pratiquement fermé aux influences étrangères.
Une rare perfection formelle, résultat d’une recherche constante dans les voies diverses et toujours originales, un répertoire d’une haute tenue littéraire dû à des dramaturges de génie, voilà qui doit retenir l’attention de qui s’intéresse à l’art dramatique pour les trois formes classiques du th éâtre japonais : le nô, le théâtre des poupées d’Osaka et le kabuki.
- Taille : 22cm x 16cm
- Table des matières
- Préface pg5
- Le théâtre classique pg7
- La préhistoire du théâtre
- Danses et spectacles d’origine japonaise pg11
- Danses et spectacles importés du continent pg27
- Danses « bouddhiques » pg39
- Le Nô
- Histoire du Nô pg43
- Le répertoire pg50
- Les Kyôgen pg67
- Les éléments de la représentation pg73
- Le ningyô-jôruri
- Récit épique et jeux de marionnettes pg83
- Takémoto Gidayû et Chikamatsu Monzaémon pg88
- L’oeuvre de Chikamatsu pg91
- Sources et thèmes pg97
- Emules et successeurs de Chikamatsu pg105
- La scène et les interprètes pg111
- Le Kabuki
- Les enfants du Kabuki pg117
- L’âge classique du Kabuki pg131
- Le Kabuki et la modernisation du Japon pg159
- Les auteurs de ces articles sont :
- René Sieffert pg5 à 116, pg159 à 167Michel Wasserman pg117 à 158
Très belle photographies de masques japonais
- Taille : 35.5cm x 27cm
ISBN : 2909283070
Le petit théâtre de la rue du Vieux-Colombier qui avait si vite acquis ses lettres de noblesse pendant les années fondatrices selon les vues de son concepteur Jacques Copeau, aurait pu, après son départ, ne pas connaître de lendemain. Il n’en fut rien. Le Vieux-Colombier va se trouver dans les différentes phases de son histoire porteur de destins et d’avenir. A chaque page de cette histoire, racontée par les programmes, les dossiers de presse, les affiches, les photographies, surgissent des noms de comédiens, d’auteurs, de metteurs en scène, de décorateurs qui ont laissé une trace, un sillon.
- Taille : 28.7cm x 22.7cm
- Table des matières
- Un nouveau lieu théâtral
- Du tréteau nu à la scène architecturée, 1913-1924
- L’Athénée Saint-Germain pg16
- La rénovation de Francis Jourdain pg18
- Une scène nue et neutre afin que toute délicatesse y paraisse pg21
- Genèse d’une nouvelle scène pg25
- Le Vieux-Colombier à New York pg29
- Nous pouvons dans cette petite boîte, faire de vraies merveilles pg35
- Les utilisations de la scène par Copeau et Jouvet pg37
- Jacques Copeau et le Théâtre du Vieux-Colombier, 1913-1924
- La naissance du Vieux-Colombier pg68
- Un regard neuf sur le spectacle pg69
- Le miracle de La Nuit des rois pg75
- La guerre : rupture et permanence pg77
- L’aventure américaine pg79
- Le retour à Paris pg81
- Une réouverture très attendue pg85
- La saison 1920-1921 : reprises et créations pg89
- La saison 1921-1922 : de Beaumarchais à Gide pg91
- Dernières saisons : l’importance croissance de l’Ecole
- De la scène architecturée au plateau actuel, 1930-1993
- La scène d’André Barsacq (1930) pg97
- La rénovation d’André Boll (1935) pg100
- Le plateau de Bernard Guillaume et de René Alio (1961) pg104
- Le projet de Bernard Kohn (1993) pg109
- Le Vieux-Colombier après CopeauLe cinéma d’avant-garde avec Jean Tedesco (1924-1934) pg114
- La Compagnie des Quinze au Vieux-Colombier (1930-1933) pg117
- Les Pitoëff au Vieux-Colombier (1933-1934) pg120
- La direction René Rocher (1935-1939) pg121
- La direction Jacques Caris (1941-1942) - Guy Rotter (1943) pg125
- L’avènement de l’existentialisme : la direction Paul-Annet Badel (1943-1955) pg126
- Le jazz au Vieux-Colombier pg133
- Au fil des saisons pg134
- La direction Roger Dornès (1955-1960) pg140
- Les années Jenny (1960-1970) pg144
- La courageuse tentative de Merthe Mercadier (1970-1971) pg156
- Le Vieux-Colombier, seconde salle de la Comédie-Française pg158
- Notices bibliographiques pg161
- Bibliographie pg170
- Index des pièces citées pg172
ISBN : 2-87386-042-1
Avant-dire.
Voici donc l’histoire de cette merveilleuse Maison de la Bellone de la rue de Flandre, du quartier Sainte-Catherine et du Marché aux Poissons en passant par quelques autres lieux du centre vivant de la capitale.
Le peintre Serge Creuz, en passionnée, invita mille et une découverte. Ce livre fois sonne d’informations, d’anecdotes. Pour être érudit, l’humour y a sa place. l’image de cette ville de la bonne alchimie, le sérieux, le dramatique parfois même, côtoient le sourire. L’auteur propose une lecture inédite des sculptures et reliefs de cette façade tricentenaire. C’est un livre de passion amoureuse. Les amoureux de Bruxelles trouveront l’écho de leurs propres émotions.
Vive cette Bellone que sauva Charles Buls au début du siècle ! Vive aussi cette Maison du Spectacle fondé voici 15 ans. Elle aussi inédite et qui donna ce lieu superbe une nouvelle jeunesse. Avec l’aide des pouvoirs publics, avec l’accueil de la Ville, cette maison du spectacle à la Bellone sert le Théâtre, la danse, acteurs et spectateurs.
Serge Creuz l’a fondée.
Une petite équipe ardente l’anime, dirigée par Anne Molitor qui voit aujourd’hui Monique Duren à ses côtés. Le festival Bellone-Brigittines confirme un axe de qualité et d’exigence.
Un voile de verre sur une structure légère protégera la maison et la cour de la Bellone. Ainsi, les activités multiples, les expositions, les spectacles, les concerts, les rencontres auront un espace de toutes les saisons. Je suis heureux quand parfait accord avec la Ville de Bruxelles, son Collège Bourgmestre et Echevins, son conseil communal, le Gouvernement de la Région apporte son aide à cette réalisation qui allie à la beauté d’autrefois, la qualité esthétique et technique d’aujourd’hui.
Déjà estimée, connue et visitée la Bellone aura ainsi un attrait supplémentaire. Maison de l’Art, maison des arts, maison de la passion partagée, voici la Bellone plus vivant que jamais. Ce livre en atteste.
Charles Picqué
Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale
- Taille : 30cm x 25.4cm
- Table des matières
- Voulez-vous jouer avec möa ? pg11
- Ah Dieu, que la guerre est folie ! pg18
- Ciel Brouillé pg 22
- François-Marie Arouet pg 26
- Les Augustins pg 27
- Ordo ab chao pg31
- Rouge et Vert pg34
- L’homme du gaz pg37
- Langue des oiseaux pg39
- Volatiles pg40
- Noir et blanc pg45
- Les chiffres et les lettres pg50
- Bellone raconte et fait compter pg57
- Motus liber pg61
- Les feux de la rampe pg63
- Couronnes des martyrs ? pg72
- Entrée des fauves pg74
- Charles, Wolfgang, Vincent …En scène, Madame … pg76
- Boucliers pg81
- Trophées pg84
- Matin du monde pg87
- Beauté pg89
- Force pg91
- Sagesse pg92
- Eveil
- Un nouveau matin du monde pg94
- Oh Leporello mio, và tutto bene ! pg96
- Le quartier pg 103
- Le livre pg106
- D’un bon diable à l’autre pg108
- Onze Chaarel pg110
- Vive la Sociale pg114
- Les habitants de la Bellone pg123
- A votre santé pg125
- Les belles plumes font les beaux oiseaux pg126
- Expositions pg133
- Manifestations pg135
- Lectures et références pg139
- Iconographie pg140
Oyez gentes dames, gentils messieurs, la véridique histoire de cette maison de la Bellone.
Elle participe des avatars et des joies de la bonne ville de Bruxelles, plus précisément de ce quartier populaire de la rue de Flandre, de la place Sainte Catherine et du « Vismet », Marché aux poissons.
Ecoutez. Imaginez.
Si le soleil accompagne votre visite, bénissez-le.
Asseyez-vous sur la margelle du petit jardin.
Rêvons, évoquons des souvenirs très anciens, ou d’autres à peine fanés.
Serge Creuz
- Taille : 27cm x 21cm
ISBN : 2-87193-266-2
Cet ouvrage a été édité à l’occasion de l’exposition L’Opéra, un chant d’étoiles, prganisée par le Théâtre royal de La Monnaie aux Ateliers de La Monnaie, Bruxelles, du 16 janvier au 2 juillet 2000 dans le cadre du Tricentenaire de La Monnaie et en collaboration avec Bruxelles 2000 - Ville européenne de la Culture.
- Taille : 30.5cm x 25cm
- Sommaire
- La Monnaie, affaire de banquiers ? - Luc Onclin pg10
- L’Opéra, ou le sens en mouvement - Bernard Foccroulle pg11
- Une Poussière de Soleil - Laurent Budine pg17
- Les confessions du vieil Opéra - Catherine Clément pg41
- Un Opéra tricrntenaire - Manuel Couvreur, Roland Van der Roeven, Jeffrey Tyssens, Katia Segers pg93
- Les Machines de rêves - Michel Dumont pg177
- José Maria Sicilia pg210
- Thomas Ruff pg214
- Thierry Decordier pg221
- James Lee Byars pg222
- Peter Fischli & David Weiss pg226
- David Claerbout pg232
- Michel François pg236
- Fausto Melotti pg 239
- Luciano Farro pg246
- Table des illustrations pg249
- Références bibliographique des citations pg256
- Repères bibliographiques pg257
- Artistes contemporains pg258
ISBN : 2717714286
Catalogue de l'exposition réalisée par le Département des Arts du Spectacle sous la direction de Cécile Giteau, son conservateur en chef. La responsabilité en a été confiée à Marie-France Christout, conservateur spécialiste, qui a rédigé le catalogue assistée de Noëlle Guibert, conservateur.
Exposition du 17 juin 1978 au 1er octobre 1978
- Taille : 24cm x 18cm
- Préface par Georges Le Rider V
- Liste des prêteurs VIII
- Chronologie : la vie, l'oeuvre et la carrière d'André Barsacq IX
- Cinquante auteurs dramatiques mis en scène par André Barsacq XIX
- Comédiens ayant joué sous la direction d'André Barsacq XX
- NOTES ET RÉFLEXIONS D'ANDRÉ BARSACC XXIII
- A propos de Jean Anouilh XXIII
- A propos de Félicien Marceau XXVI
- A propos d'Anton Tchekhov XXVII
- Découvrir un nouvel auteur XXVIII
- 1. RÉVÉLATION DE L'HOMME DE THEATRE 1
- 1. Jeunesse
- 2. Le scénographe. Premiers dispositifs scéniques et costumes dethéâtre 8
- Collaboration avec Charles Dullin 8
- Collaboration avec La Compagnie des Quinze 13
- Collaboration avec Jacques Copeau 16
- 3. Le fondateur, metteur en scène et décorateur du Théâtre desQuatre Saisons (1937-1940) 21
- ANDRÉ BARSACO ET LA RÉNOVATION DU RÉPERTOIRE THÉATRAL (1940-1972) 39
- 1. André Barsacq et les auteurs dramatiques contemporains 39
- "Trois favoris" : Jean Anouilh, Marcel Aymé, Félicien Marceau 41
- Divers auteurs français : Alfred Adam, André-Paul Antoine et Jean-Pierre Dorian, Jacques Audiberti, Jean Bernard-Luc, Jean-ClaudeCarrière, Colette et Léopold Marchand, Georges Couturier, RémoForlani, Georges Neveux, René de Obaldia, Henri-François Rey,Dominique Rolin, Françoise Sagan, André Barsacq 72
- Auteurs étrangers : Ugo Betti, Friedrich Dürrenmatt, Bernard Kops,David Mercer, Tennessee Williams 91
- 2. Retour aux sources slaves. Traductions et adaptations 99Nicolas Gogol, Alexandre Ostrovski, Fedor Dostoïevski, Ivan Tour-gueniev, Anton Tchekhov, Vladimir Maïakovski 99
- 3. Un regard neuf sur les "classiques" anciens et modernes 126
- Molière, Regnard, Lesage, Marivaux, Gozzi, Beaumarchais, Musset,Labiche, Claudel, Pirandello 127
- III. ANDRÉ BARSACO ET LES DIFFÉRENTS ARTS DU SPECTACLE 145
- 1. Théâtre musical : le metteur en scène 145
- 2. Cinéma : le décorateur, le réalisateur 150
- 3. Télévision : le réalisateur 159
- IV. RÉFLEXIONS ET DIFFUSION 161
- 1. Tournées164
- 2. Conférences, articles
- V. ORGANISATION ET DÉFENSE DE LA PROFESSION 167
- 1. Syndicat des metteurs en scène 167
- 2. Jurys divers 169
- 3. Association des théâtres privés. Théâtre pour l'Enfance et la Jeunesse de Paris 170
- Table des citations 175
- Table des illustrations 177
- Table des matières 179
Avertissement.
Ce petit livre n’a pas été écrit pour les spécialistes ; il s’adresse, d’une manière plus générale, à tous ceux qui aiment l’Antiquité, mais n’ont, selon le mot de La Bruyère, « que beaucoup d’esprit, sans érudition ». C’est pourquoi tout appareil scientifique n’a été écarté. L’auteur ne s’en est pas moins efforcé d’être, sur tous les points, exact et informé. Si cependant quelqu’une des publications étrangères de ces dernières années lui avait échappé, il demande que les difficultés et les lenteurs des relations internationales d’après-guerre lui servent d’excuses.
Toulouse, juin 1924.
Octave Navarre
- Taille : 18.5cm x 12cm
- PREMIERE PARTIE L'EDIFICE
- Chapître 1 : Description du théâtre grec
- 1.Origine et formation du théâtre grec
- 2.Description des parties du théâtre grec, d'après les édifices subsistants
- 3.L'évolution générale du théâtre grec, d'après l'histoire du théâtre athénien de Dionysos
- 4.La transition entre le théâtre grec et le théâtre romain : édifice du type gréco-romain
- Chapître 2 : La scène dans le théâtre grec.
- 1.Impossibilité d'une scène haute à l'époque classique (Ve s., milieu du IVe s.)
- 2.Le proskénion hellénistique est-il un décor, comme le prétend M.Dörpfeld ? Réfutation
- 3.Pour quelles raisons une scène haute est devenue possible, à partir du milieu du Ve s. environ : décadence et disparition du choeur
- 4.Origine et évolution du proskénion et particulièrement de sa colonnade antérieure
- 5.Aspect du fond de la scène (frons scenae)
- Chapître 3 : Les décors.
- 1.Les décors au Ve siècle
- 2.Le décor de fond. Principaux types, tragique, satyrique, comique
- 3.Le décor latéral ou périactes; les entrées latérales
- 4.Le rideau
- Chapître 4 : Machines et praticables.
- 1.L'ekkykléma
- 2.Machines à apparitions : la méchanè et le théologéion
- 3.La distégie
- 4.Escaliers souterrains et trappes. Machines diverses
- DEUXIEME PARTIE
- Les concours dramatiques
- Chapître 1 : Occasions des représentations dramatiques à Athènes : les Fêtes Dionysiaques
- 1.Caractère religieux du drame athénien
- 2.Désignation des poètes
- 3.Désignation des acteurs
- 4.Groupement des chorèges, des poètes et des protagonistes
- 5.Le proagön
- Chapître 3 : Les concours (suite) Histoire et règlement des concours.
- 1.Histoire des concours
- 2.Règlements des concours de tragédies
- 3.Règlement des concours des comédies
- 4.Concours entre les acteurs
- TROISIEME PARTIELA REPRESENTATION
- Chapître 1 : Structure technique de la tragédie et de la comédie.
- 1.Structure de la tragédie grecque
- 2.Structure de la Comédie ancienne : théories récentes
- 3.Structure de la Comédie nouvelle
- Chapître 2 : L'interprétation vocale, musicale, orchestrale.
- 1.Variété des débits en usage dans le drame grecque
- 2.Musique
- 3.Danse4.
- Formation, marches, évolution du choeur
- 5.La règle des trois acteurs : qu'on en a nié à tort la réalité
- Chapître 3 : Les masques et costumes dans la tragédie et le drame satyrique.
- 1.Origine religieuse du masque. Description
- 2.Les masques tragiques à l'époque classique
- 3.Les masques tragiques à l'époque hellénistique et romaine
- 4.Le catalogue des masques tragiques d'après Pollux
- 5.Le costume tragique. Le cothurne; la matelassure; le costume proprement dit
- 6.Masques et costume satyriques
- Chapître 4 : Les masques et le costume dans la Comédie.
- 1.Les masques et le costume dans la Comédie ancienne : origine de cet acoutrement
- 2.Les masques et le costume dans la Comédie nouvelle
- 3.Le catalogue des masques de la Comédie nouvelle, d'après Pollux
- 4.Symbolique des masques
- Chapître 5 : Le public.
- 1.Les femmes étaient-elles admises au théâtre ?
- 2.Répartition des places au théâtre de Dionysos
- 3.Le public athénien
- QUATRIEME PARTIEAPRES LA REPRESENTATION
- Chapître1 : Le jugement; Procès-verbaux officiels des concours; Ex-Voto.
- 1.Jugement et les prix
- 2.Procès-verbaux officiels des concours
- 3.Ex-Voto chorégiques
- Bibliographie
- Table des figures
La Porte-Saint-Martin.
Chapitre premier. (Extrait)
La Porte-Saint-Martin est certainement la salle de théâtre parisienne les plus délibérément ouvertes, depuis sa fondation même, au grand public populaire. Il se trouve qu’elle a été aussi le lieu de deux des événements les plus importants de l’histoire de la littérature dramatique du XXe siècle : la naissance du mouvement romantique, dans les années 1830 et la renaissance du théâtre en vers avec Cyrano de Bergerac, 1897. L’un des objets de la présente étude sera de déterminer dans quelle mesure ce double épanouissement et le fait du hasard, ou au contraire ne serait pas la conséquence directe d’un contact permanent avec un public aux gots simples mais aux exigences précises.
Mais le Théâtre de La Porte-Saint-Martin a aussi cet intérêt d’avoir eu pendant des années sa célébrité, et plus tard sa légende liée au sort de deux comédiens exceptionnels, Frédérick Lemaître et Marie Dorval. Ces couples de théâtre sont évidemment assez nombreux et notre génération en a connu de très durables, depuis Gemini et Mégard, Chevalier et Mistinguett, George et Ludmilla Pittoëff jusqu’à Pierre freinait Yvonne Printemps ou Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud. Mais le couple Lemaître et Dorval, qui ne fut dans la vie qu’un couple éphémère et au thétre même un couple assez rarement réuni, joignit à l’originalité d’une troublante rencontre de talents celle de deux destinées également tragiques est également démonstrative de la grandeur et de la misère du comédien. travers leur vie, l’histoire du Thétâre de La Porte-Saint-Martin prend, pendant une trentaine d’années l’aspect d’une des aventures les plus pathétiques de la passion et du génie.
La première salle construite sur l’emplacement actuel du Thétâre de La Porte-Saint-Martin le fut dans des circonstances peu banales, en l’année 1782. L’Opéra avait brlé le 8 juin 1781, et la reine Marie-Antoinette qui s’intéressait au théâtre lyrique supplia qu’un nouvel Opéra fut élevé le plus rapidement possible. On n’en trouve à l’emplacement sur un terrain vague où l’on remisait les décors, et qui n’était autre qu’un ancien signe tiers protestant désaffecté. L’architecte Lenoir qui fut chargé de l’édification de la nouvelle salle s’évertue à donc abattre tous les records de la rapidité. Rassemblant 3800 ouvriers, il réussit ce miracle - qui serait encore un miracle aujourd’hui, vers des excavatrices et du béton armé - de livrer le thétre en état de marche soixante-quatre jours exactement après le premier coup de pioche. Ce succès devait paraître si sensationnel que le bruit se répondu qu’une construction si active ne pouvait être solide, et qu’elle s’effondrerait à la première utilisation. Aussi le directeur utilise des toutes simples d’organiser pour la populace une matinée gratuite au cours de laquelle l’épreuve serait faite de la solidité des murs … Les internautes avant 1781, le public populaire, étonné d’une pareille générosité, se pressent foule devant la nouvelle salle dont il admirait les trois auteurs et trouant sous un auvent la façade sans relief. son arrivée, la construction n’était pas encore tout à fait achevée : il manquait plusieurs marches au grand escalier. On les posa en toute hte, et les amateurs de ballet et de musique pure accédait d’un petit confiant à la superbe salle où ils gotèrent en toute sécurité la surprise d’un rideau de scène révolutionnaire : les petits pains du velours traditionnel étaient pour la première fois remplacée par la reproduction d’un véritable tableau représentant une scène mythologique.
Après quoi, tribune, corbeille et amphithétres ayant tenu bon, la Reine elle-même et sa Cour 20 rock inaugurée en grande pompe le nouvel Opéra, où triomphait Vestris et Derivis.
…
- Taille : 22cm x 14.7cm
- Pierre Aimé Touchard
- La Porte-Saint-Martin
- L'Odéon
- Le Théâtre Pigalle
- Jacques Crépineau
- Comédie-Française
- Théâtre des Ambassadeurs
- Théâtre de l'Ambigu
- Théâtre Antoine
- Théâtre de l'Atelier
- Théâtre de l'Athénée
- Théâtre des Bouffes-Parisiens
- Comédie des Champs-Elysées
- Théâtre du GymnaseThéâtre
- Hébertot
- Théâtre de la Madeleine
- Théâtre Marigny
- Théâtre des Mathurins
- Théâtre Michel
- Théâtre de la Michaudière
- Théâtre Montparnasse
- Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
- Théâtre des Nouveautés
- Théâtre de l'Oeuvre
- Théâtre du Palais-Royal
- Théâtre de Paris
- Théâtre de la Renaissance
- Théâtre Sarah-Bernhardt
- Théâtre des Variétés
- Théâtre du Vaudeville
- Théâtre du Vieux-Colombier
ainsi qu’on le reconnaîtra, par la citation des sources, nous nous sommes renseignés, pour chaque matière, auprès des hommes qui occupent une place distinguée dans l’art dont nous décrivont les procédés. Nous rendons grce ici aux bonnes volontés qui, partout, nous ont accueilli.
Nous devons une mention spéciale à M. Eugène Godin, qui a bien voulu nous confier ses plans et ses nombreux documents en les accompagnant d’explication et de conseils, plus précieux encore. Monsieur Eugène Godin est non seulement l’habile chef machiniste dont on a applaudi les créations à la Gaieté et à l’Eden Théâtre, etc. ; mais, en sa qualité d’ingénieur-constructeur, il a édifié de nombreuses machineries dans les théâtres neufs de la France et de l’étranger.
Nous devons également de vifs remerciements à Monsieur Ernest Vallenot, machiniste en chef de l’Opéra, dont chacun apprécie la compétence, et qui a mis à notre disposition toute l’aide et la complaisance imaginables.
Si notre rôle s’efface quelque peu devant cette constatation, le lecteur y trouvera une sreté de plus dans la valeur des renseignements qui lui sont soumis.
Georges Moynet
- Taille : 25cm x 16cm
- PREMIERE PARTIE
- 1. Le plancher de la scène
- Un théâtre le matin — Première impression — Parfun spécial — Le rideau de fer — Le manteau d'Arlequin — Le plancher — Plantation d'un décor — Division en plan — Les rues — Les trapillons ou fausses rues — Les costières — Murs de face et de lointain — Le plancher et la convention — Représentations peintes du sol.
- 2. Les dessous
- L'ossature d'une machinerie en bois — Choix des essences — Construction du dernier dessous — Parpaings, semelles, poteaux et sablières — Deuxième dessous — Les entretoises et les planchers à claire-voie — Les crochets d'écartement — Premier dessous — Les sablières à rail — Les grands et les petits chariots — Potelets — Chapeaux de ferme — Tiroirs — Reculées — Le proscenium et la rampe.
- 3. Les services du cintre
- Division des corridors de service — le gril et son solivage — Le pouce — Échelles et trous de chat — Pont du lointain — Les ponts volants — Montants de châssis mobiles — Lices, chevilles et rouleaux — Assemblages — Entures en trait de Jupiter, en sifflet, etc. — Le bois et le fer — Inconvénients et avantages — La mobilité des échafauds — Les machineries métalliques — Exemples peu concluants.
- 4. Les moteurs
- La gravitation et les contrepoids — Allèges — Cheminée — Équipe exotique — Les tambours — Les petits et les grands diamètres — La commande — Les jumelles — Palettes, tourtes et paliers — Les treuils — Tambours en fer — Oxydation : difficulté des amarrages — Les différentes phases de la construction d'une machinerie.
- 5. Les équipesLes rideaux — Perches, fourreaux et bavettes — Les fils d'appels — Équipe sur un tambour — La commande et les faux cordages — Crochets à paillette — bandes d'air, plafonds et frises — Moufles de famille — La poignée — Les châssis — Traverses à pomme — Mouchoirs — Voliges chantournées et taquet — La guinde — Les couplets — Les fermes — Cassettes et âmes.
- 6. La construction des décorsAperçu sur les différentes plantations des décors — Plantations carrées ou obliques — Praticables — Un vaisseau mobile — Départ du paquebot — Effet panoramique — Bal à bord — Orage et naufrage — Les roulis et les cerces — Tapis de mer — Mouvement des flots — Les simulateurs de vagues — Une corvette instable — Le cul de poule — Les panoramas convergents — La patience et la sangle — Le piano truqué — L'emprisonnement d'un virtuose.
- 7. Décor à trucs avec trappes anglaisesLa diversité des trucs — Changement à vue et décor truqué — Les volets — Les acteurs anglais — La chambre d'hôtel — Un ivrogne persécuté — Les bottes qui marchent — Les meubles — Substitution de clowns — Péripéties multiples — Bataille finale — Chaises à bascule — Trou à bavette — Saut du trou — Porte à bascule — Trappe anglaise — Le truc du bougeoir — l'araignée — Armoire truquée — Bâti du dessous — Trappe en étoile — Bâtis à glissières et à emboîtement.
- 8. Trucs classiquesLa tour enchantée — Le donjon de Quinquengrogne — La jeune captive et le prince Belazor — Espoir déçu — La colombe messagère — La poudre de perlimpinpin — L'écroulement — Un escalier somptueux — Fermes de mer à crètes mobiles — La tour et son armature — construction des marches — Le bâti et l'escalier replié — Horizon relevé — La barque de Belazor — Truc du navire qui vire de bord — Les trois châssis superposés.
- 9. Gloires, vols et apothéosesVieilles traditions — Les apothéoses d'autrefois — Un document inédit — Adonis — Germanicus sur le Rhin — Énumération des maquettes — Les théâtres vénitiens au XVIIe siècle — La machinerie du Saint -Sauveur — Niccolo Sabbatini — Le palco et le parapetto — Équipe d'une grande gloire — Bâti pendant à cassettes — Apothéoses mouvementées — Développement des nuages — Les vols obliques et les vols tournants — La Mouche d'or et les Poupées nageuses — Le treuil à caoutchouc — L'écrou et sa vis — Le câble — La manoeuvre — Le grand vol — Le corset et le mousqueton.
- DEUXIÈME PARTIE
- 1. L'Opéra de Paris (Dessous)
- Une machinerie métallique — Projet primitif — La cuve étanche — Une nappe d'eau souterraine — La scène, les dégagements, le foyer de la danse — Cinq dessous — Colonnes en fonte et sablières en tôle cornières — Chariots et cassettes en fer — Les cheminées de contrepoids interrompues — Un repentir — Les équipes du dessous — Les tuyaux pour la vapeur d'eau — Les bâtis du vaisseau de l'Africaine — Les caves — Les salles des machines — La canalisation de gaz abandonnée — L'ascenseur des chevaux — Le chemin des rideaux.
- 2. L'Opéra de Paris (Les cintres)
- L'Opéra et les machines — La scène — Les cases à décors — Chiffres comparatifs — Les mâts à échelons — Trapillons de costières — Les changements d'affiche — L'encombrement du matériel — Six étages de corridors de services — Structures — Les trois grils — Les pannes en treillis du grand comble — Trois étages de tambours — Les magasins — Aveu mélancolique.
- 3. La force hydraulique au théâtreL'Opéra de Budapest — Hôtel de ville et caserne — Aspect général du monument — Dimensions et aménagements de la scènerie — Fractionnement du plancher — Mobilité partielle ou totale — Les presses hydrauliques — Double pistons — Aménagement du gril — Suspension des rideaux — Equipes de vol — Le grand horizon — Suppression des frises — Chemin de roulement — Eclairage par transparence — Simplification du service — Lenteur et humidité — L'Asphaleïa — M. Quéruel, ingénieur — L'hydraulique à la Gaité, priorité de l'emploi sur un théâtre français — Les grilles de l'Hippodrome.
- 4. L'éclairageEclairages incendiaires — Les méfaits de l'huile à brûler — Les étuves — Le bol de punch — Un défaut peu regretté — L'éclairage conventionnel — La rampe d'avant -scène — Les herses — Les portants — Les traînées — Les projections — Le jeu d'orgue — Les rhéostats — La déperdition de la lumière — Herses teintées — Les appareils Clémançon et Cie — Commutateurs du jeu d'orgue — Le mica — Quelques chiffres — Améliorations nécessaires — Un document officiel.
- 5. Appareils accessoiresMachines électromotrices — Le rideau de fer de la Comédie -Française — Feux d'artifices électriques — Apothéose de lampes à incandescence — Le flambeau d'Ascanio — Les caisses à lumière et les lanternes de projection — L'arc -en -ciel — Les éclairs au magnésium — Un opérateur aveuglé — Le tonnerre — Le chariot — La plaque de tôle — La caisse à roulements — La fusée — L'éclat de foudre — La trémie — Le vent — La pluie et le tube aux pois secs — La neige — La mousse de savon — La râpure de corne — La lune — Le soleil — Les étoiles — Illusions olfactives — Les tonneaux de harengs.
- 6. Illusion d'optiqueLe pas de deux du miroir — Le rêve du fumeur d'opium — Le physicien Robin et les spectres vivants et impalpables — Pepper's ghost — Le Zouave d'Inkermann — Le Démon de Paganini — La glace sans tain — Le Secret de miss Aurore — Robert-Houdin et la Czarine — Les trucs macabres et les trucs gracieux — Double apparition dans l'eau — Amphitrite — Les prestidigitateurs et l'abus des trucs à miroir — La crémation magique — Les toiles métalliques — La Danse Serpentine — La Loïe Fuller — Lanternes à disques tournants — Les squelettes intermittents — Un truc à rajeunir.
- 7. Les théâtre géantsLes théâtres antiques — Spectacles oculaires — Mépris injuste — La catastrophe d'Ischia — Un théâtre dans un bassin — Pantomime patriotique — Un plancher robuste — Equipes simplifiées — L'Ode triomphale de Mlle Augusta Holmès — Décoration du palais de l'Industrie — Installation du théâtre — Le grand cadre et la voussure — Le rideau — Aspect du décor — Le défilé — La plantation panoramique — Un directeur entreprenant — Néro — Venise, l'épouse de la mer — La sale et la scène de l'Olympia à Londres — Un cadre d'ouverture de 76 mètres — Machinerie peu compliquée — Les décors à l'italienne.
- 8. Trucs et effets décoratifs récentsI -Les courses de chevauxII -Le grand éventail du ballet Le Rêve à l'Opéra GarnierIII -Démolitions et écroulements — le temple de Samson et DalilaIV -La chevauchée des Walkyries
- 9. Les décors et la mise en scèneLa peinture en détrempe — La couche d'impression — La trace — La mise à l'encre — Le poncif — La perspective théâtrale — Le point de vue —Artifices de plantations — Divers exemples — L'ancien théâtre des Funambules — Le système panoramique — Un métier pénible — Les chefs d'atelier — Préliminaires d'une mise en scène — Les notations — Le ballet italien, l'Orgie d'Amor — Mises en scènes régulières et mises en scènes pittoresques — Un manuscrit curieux — Les ballets du père Menestrier de la Compagnie de Jésus — Conclusion.
ISBN : 2271060168
Du XVe au XVIIe siècle le théâtre, et particulièrement le lieu thétral, connaît une transformation profonde dans ses modes de représentation comme dans ses fonctions sociales et idéologiques.
Instauration fréquente de lieu fixe à l'opposé des lieux temporaires du Moyen Âge, établissement de rapports originaux et divers entre public et action dramatique, rencontre de l'architecture et de la peinture, développement de la perspective thétrale, déploiement de la machinerie sur certaines scènes d'Europe, nouvelle conception scénique du rapport espace - temps : autant de remise en cause. Mais durant ces trois siècles, si neuves que soient les formes qui apparaissent, il en est qui ne rompent pas totalement avec le passé et instaurent des compromis entre des structures anciennes relevant de l'Antiquité ou de la vision médiévale et des aspirations vers un avenir incertain.
A travers toute l'Europe une extraordinaire floraison de formes scéniques novatrices, de la scène élisabéthaine à la scène à l'italienne, témoigne des réalités sociales, esthétique, scénique d'un monde en mutation. Certaines se développeront pour être mises en question au tournant de notre siècle, d'autres disparaîtront pour servir de source d'inspiration à notre époque.
Véritable plongée dans le passé cet ouvrage est une ouverture sur les problèmes thétraux de notre temps, Il nourrit la réflexion des hommes de la pratique (metteurs en scène, scénographes, architectes, etc.) et des spécialistes de théâtre. Les bouleversements du XXe siècle sont bien ta l'image de ceux de la renaissance.
- Taille : 27cm x 21cm
- Table des matières.
- Avant-Propos. vii
- Les éditions illustrées de Térence dans l'Histoire du Théâtre, par T. ELawrenson et Helen Purkis. pg1
- ÉVOLUTION DU LIEU THÉÀTRAL EN ITALIE (1470-1640)
- Dessins d'une scène, exécutés par Léonard de Vinci pour Charles d'Amboise,par Carlo Pedretti. pg25
- Le Dessin de Léonard de Vinci pour la représentation de la " Danaé " de Baldassare Taccone, par Rate T. Steinitz. pg35
- Cortile et Théâtre, par André Chastel. pg41
- Vitruve et le Théâtre de la Renaissance italienne, par Robert Klein et HenriZerner. pg49
- Les Rapports entre la scène et les spectateurs dans le théâtre italien du XVI siècle, par Cesare Molinari. pg61
- Espace scénique et durée de l'action dans le théâtre italien du XVI siècle et de la première moitié du XVII siècle, par Per Bjurström. pg73
- Le Lieu des Spectacles (publics ou privés) à Venise au XV et au XVI siècles,par Maria Teresa Muraro. pg85
- Le Théâtre de tournoi en Italie pendant la Renaissance, par Elena Povoledo. pg95
- Lettres de Parme (1618, 1627-28) et débuts du Théâtre Baroque, par Irving Lavin. pg105
- LE LIEU THÉATRAL HORS D'ITALIE.
- Scènes organisées sur d'autres principes que ta perspective et l'illusion
- Le Théâtre en Autriche au temps de Maximilien Fr, par Heinz Kindermann.pg159
- Les Fétes de la Renaissance à la cour de Bavière, par Giinter Schöne.pg171
- Le Jeu du Carnaval de Nuremberg au XV siècle et au XVI, par Joël Lefèbvre. pg183
- La scène du Laurentius à Cologne et le nouveau document sur le Hellsbrunner Hot à Nuremberg, par Cari Niessen. pg191
- La mise en scène de l'auto sacramental à Madrid aux XVIe et XVIIe siècles, parJ. E.Taret. pg215
- La Représentation de l'auto " La Margarita preciosa " de Lope de Vega àSégovie, en 1616, par J. F. Flecniakoska. pg227
- Quelques aperçus sur la mise en scène de la « comedia de santos » dans lapremière moitié du XVII siècle, par Lucette Roux. pg236
- Un exemple d'aménagement de lieu théâtral à l'occasion d'une canonisation,par Lucette Roux. pg253
- Le dessin de Comba et l'ancien théâtre espagnol, par N. D. Shergold. pg259
- La Salle de banquet et le théâtre construits à Greenwich pour les fétes franco-anglaises de 1527, par Sydney Anglo. pg273
- Les Interludes au temps des Tudor, par Richard Southern. pg289
- Reconstitution du Théâtre du Swan, par Richard Hosley. pg295
- Emblème et image : quelques remarques sur la manière de figurer et de représenter le lieu sur la scène anglaise au XVIe, par Glynne Wickham. pg317
- La Représentation de Gijsbreght van Aemstel » de Vondel. Inauguration du siècle, par Schouwburg d'Amsterdam (1638) par W. Gs. Hellinga. pg323
- Unité et pluralité dans le théâtre français (1450-1650), par Raymond Lebuègue. pg347
- La "Condamnation de Banquet » et les tapisseries de Nancy, par Iris Brooke. pg357
- Le Mémoire de Mahelot et I'« Agarite de Durval : vers une reconstitution pratique, par T. E. Lawrenson, Donald Roy et Richard Southern. pg363
- LE LIEU THÉÂTRAL HORS D'ITALIE.
- Diffusion de la scène à l'italienne» au XVIe siècle
- Une maquette de décor récemment retrouvée pour le "Ballet de la Prospéritédes armes de France" (1641) : étude sur la mise en scène au Palais Cardinal avant l'arrivée de Torelli, par Agne Beijer. pg377
- Dessins de costumes français datant d'environ 1640, par Per BitrasTaôm. pg405
- "La Naissance de la Paix" ballet de cour de René Descartes, par Agne Beijer. pg409
- Les Débuts du drame lyrique en Espagne, par Charles V. Aubrun. pg423
- La "Médée" de Jan Vos (contribution néerlandaise à l'histoire du théâtreeuropéen) par H. H. J. de Leeuwe. pg445
- L'Héritage de la Renaissance dans la mise en scène en Angleterre (1642-1700), par James G. Manaway. pg459
- Les types du lieu théâtral et leurs transformations de la fin du Moyen Age aumilieu du XVII siècle, par Jean Jacquot. pg473
- Leo Schrade (1903-1964). pg511
- Index. pg513
- Table des planches. pg527
- Table des matières. pg531
ISBN : 2874155756
DVD
- Taille : 30cm x 25.4cm
- PRÉFACE
- 7 Guy Verhofstadt, Premier ministre
- EDITORIAL
- 9 Bernard Foccroulle, directeur général
- LE MOT DES AUTEURS
- 10 Des deux côtés du miroir — Martine D. Mergeay
- Dans les cuisines de l'opéra — Frank De CritsLa Calisto
- 01 La Calisto
- 12 FASTES ET FARCES DE L'OPÉRA VÉNITIEN
- 18 Un tandem improbable et fameux : René Jacobs et Herbert Wernicke
- 22 L'atelier des décors
- 02 Benjamin Britten
- 26 MAÎTRE DE L'OPÉRA MODERNE
- 31 Peter Grimes, le chef-d'œuvre
- 39 Grande musique pour petits enfants, The Golden Vanity
- 44 Le service éducatif
- 03 L'Orfeo
- 46 L'HOMMAGE DE LA DANSE À LA MUSIQUE
- 52 L'abstraction confrontée à l'expression
- 58 Les machinistes
- 04 Wintermârchen
- 62 LE DERNIER OPÉRA DU XXE SIÈCLE
- 68 Interdépendance et solitude
- 76 L'atelier de sculpture
- 05 Aida
- 78 UN DRAME INTIMISTE
- 84 Les lumières d'Aida
- 92 La régie
- 06 Tannhäuser
- 96 LA LIBERTÉ DE L'ARTISTE
- 102 Jan Fabre, un monde en soi
- 11 2 Les ateliers de coiffure et de maquillage
- 07 Hanjo
- 116 UN NÔ MODERNE
- 122 Orient-Occident
- 128 L'orchestre
- 08 Die Zauberflöe
- 132 LA NUIT ET LA LUMIÈRE
- 136 Explorateurs en tandem
- 146 Le bureau d'études
- 09 Cosi fan tutte
- 148 LE CHANT, LE CORPS ET LE THÉÂTRE
- 154 En ouverture de l'année Mozart
- 164 Les ateliers des costumes, la teinturerie, la cordonnerie
- 10 Boris Godounov
- 170 UN DRAME AUX ACCENTS CONTEMPORAINS
- 176 Résonance universelle
- 182 Les chœurs
- 188 Les distributions
- 191 Le DVD Les éditions musicales
Zeami (世阿弥?, 1363 - 1443), de son nom complet Zeami Motokiyo, aussi appelé Kanze Motokiyo (観世 元清?) du nom de l'école Kanze qu'il a créé avec son père, est un acteur et dramaturge japonais, ainsi que le théoricien du nô et l'un des grands dramaturges de l'histoire du théâtre japonais
- Taille : 23cm x 17cm
- Translator' NoteZeami-Motokiyo
- The Works of ZeamiImitation (Monomane)
- Transcendental Phantasm (Yügen)
- The Flower (Hana)
- The Returned Flower (Kyakuraika) and the Attained Skill (Ran-i)
- The Signifiance of Age in the Training of Nö
- Bibliography
Avertissements.
Cet ouvrage et moi une histoire qu'un bilan du cinéma. Un bilan de fin de demi-siècle.
Nous en avons écarté la description détaillée du mécanisme des appareils qui reproduisent images et sons. Des livres copieux, sérieux et bien Fabian était consacrés. Les lecteurs curieux de techniques mécanicienne pourront s'y reporter…
Nous n'avons pas voulu entrer davantage dans les polémiques institué autour de l'invention du cinéma. Nous nous sommes borner à énumérer des expériences qui ont précédé les réalisations de Reynaud, de Marey et de Lumière. Pour nous, c'est trois nous sont inséparables et leur association, résultant d'un groupement de faits, peut attester que le cinéma est une invention française.
Puisque la naissance du cinéma, en tant que spectacle public et commercialement exploité, date du jour où les frères Lumière projetèrent leur premier film sur l'écran du Grand Café, c’est cette soirée du 28 décembre 1895 que nous avons prises pour point de départ. Opérant un grand retour en arrière, nous avons étudié les spectacles d'ombres et de lumière (fantasmagories, silhouettes) qui ont précédé le cinéma, puis nous avons suivi le cheminement des multiples tentatives qui visèrent à la reconstitutionutiliser de l'image animée. Ceci pour démontrer que le « cinématographe » était un aboutissement logique.
Une fois cette « continuité » établie, nous avons examiné comment le cinéma s'est installé dans nos habitudes. Nous avons évoqué la naissance et le développement de l'industrie française du film est marqué les influences reçues de l'étranger.
Dans la seconde partie, nous avons décrit l'extension du cinéma dans les divers pays d'Europe, d'Amérique, d’Asie – et même, quoi que cela soit beaucoup moins important, d'Afrique et d'Océanie.
Ce bilan ne s'applique pas seulement à l'esthétique du film. Il considère le cinéma dans ses rapports avec la vie politique et économique. Autrement dit, nous n'avons pas envisagé le cinéma dans le cadre restreint de l'écran, mais dans le cadre immense de la vie des peuples.
- Taille : 25.3cm x 20.2cm
- PREMIERE PARTIELE CINEMA VU DE CHEZ NOUS
- CHAPITRE PREMIER.
- NAISSANCE DU CINÉMA 13
- La représentation du 28 décembre 1895 au Grand Café. Physionomiede la soirée. Le programme. Les impressions des spectateurs.
- CHAPITRE II.
- - LES ANCÊTRES 17
- La caverne de Piston. Les mystères d'Éleusis. Découverte de lachambre noire. La lanterne magique et les tableaux optiques. Robertsonet ses fantasmagories. Les truquages du lantascope. Les ombres chinoises.Le wayang javanais. Le théâtre de Seraphim les ombres du Chat-Noir.
- CHAPITRE III.
- -ARTISANS ET PRÉCURSEURS 33
- La persistance rétinienne et les jouets optiques. Baudelaire et lephénakistiscope. Réalisations diverses et le théâtre optique de Reynaucl.Destin d'un inventeur. De la chambre noire à la daguerréotypie. L'intuitionde Champfleury. Projections holographiques. L'analyse du mouvement
- Muybridge, Janssen, etc. Étienne-Jules Marcy et la chronophotographie.Thomas Edison et le kinétoscope. Comment le cinéma faillit vendre aumonde avec la faculté de parole. Les frères Lumiere. Quelques experi-mentateurs. L'étrange aventureux de Leprince.
- CHAPITRE IV. - PREMIERE ENFANCE 43
- Les premiers films. Mesguich et Promio. L'Arroseur arrosé Le Coucherde la Mariée et ses imitations. L'oeuvre de Georges Mies : découvertede la technique de la mise en scène et de la prise de vues. La finmisérable d'un précurseur. À la recherche du cinéma « préhistorique ».L'opérateur Lear et le frère Basile. L'histoire de Charles Pathe et deses premiers films. Les methodes de Ferdinand Zecca. Les débuts de lamaison Gaumont. Comment on tournait les premiers films a scénarioles décors. les costumes, la mise en scène. Les films à poursuites (techniqueet truquages). Les sujets de films. Premiers essais de synchronisation del'image et du son. Les films en couleur & Émile Cohl, inventeur dudessin anime. Les premiers metteurs en scène et leurs acteurs. Gribouille,Rigadin et Max Linder.
- CHAPITRE V. - LE PUBLIC ET LES SALLES 70
- L'incendie du Bazar de la Charite et ses conséquences. Le cinémaa la foire. L'Exposition de 1900 et ses écrans. Le cinérama et le phono-cinéma-théâtre. Les premiers «cinés» : bonimenteurs et bruiteurs. Lavente et la location des films. Comment le public populaire a assuré la viedu cinéma. Les programmes. L'emploi du film au théâtre.
- CHAPITRE VI. - ÉDUCATION ARTISTIQUE 83
- La fondation du Film d'Art. Arrivée des comédiens et des auteursofficiels. L'Assassinat du Duc de Guise. Les Rides de Lavedan et leurapplication. Le répertoire du Film d'Art. Sarah Bernhardt au cinéma.Le cinéma des gens de lettres. Exploitation du feuilleton et du mélodrame.Influence sur révolution du cinéma. La production Pathé Gaumont,Eclair, etc. Les films historiques, comiques, sociaux et autres. LouisFeuillade et le cinéma naturaliste. Les films d'aventures et les filmspoliciers. Les nouveaux films en couleurs et les phonoscènes. La créationdes actualités filmées : Pathe-Journal et ses confrères. Cinema et music-hall : la revue filmee.
- CHAPITRE VII. - PERSONNEL ET MÉTHODES, DE 1908 A 1914 106
- Évolution des techniques. Recherche de la mise en scène réalisteSouci de reclairage. Victor Jasset et les principaux metteurs en scèneLes acteurs sortent d’anonymat. Ceux qui passent du théâtre au cinémaLes importations étrangetés. L'exploitation se développe : les grandessalles. Studios, usines et laboratoires. La presse et le cinéma. Deuxenquêtes sur la rivalité « cinema-theatre ». Une curieuse étude de ReneDoumic. Suprématie de la production française.
- CHAPITRE VIII. - LE CINÉMA EN GUERRE (1914-1918) 122
- Régression de la production nationale. La Section cinématographiquede l'Armée. Films patriotiques en tons genres. Reprise du cinéma « artistique ». Les nouveaux metteurs en scène. La concurrence etrangereCabiria, For failure. Découverte de Chariot. L'ère du roman-cinéma influence des Mysteres de New York. L'institution de la censure. L'invasion américaine : le cinéma français est en danger.
- CHAPITRE IX. - LA BELLE ÉPOQUE DU CINÉMA MUET 142
- Le cinéma français au lendemain de la guerre. Hésitations. Canudoet le septième art. Louis Delluc et son oeuvre. Le cinéma est-il un art?Les Français ont-ils le sens du cinéma? Abel Gance, Marcel L'Herbier,Germaine Dulac, J. de Baroncelli, Henry Roussel, Andre Antoine, LeonPoirier, Raymond Bernard, Jean Epstein, Henri Fescourt, Jacques Feyder,Severin-Mars. Jamie Catelain. Louis Feuillade et ses disciples. Réalisateursdivers. La generation montante : Rene Clair, Jean Renoir, Alberto Caval-canti, Julien Duvivier, Andre Berthomieu, Henri Chomette, Jean Gremillon,Andre Sauvage, Claude Autant-Lara, Jean Choux, Jean Dreville, MareAllegret, Georges Lacombe.
- CHAPITRE X. - LA BELLE ÉPOQUE DU CINÉMA MUET (suite) 173
- Les importations américaines. Le cinéma nordique. Les films allemandsRevelation du cinéma soviétique. Les Russes en France. Un acteurMosjoukine. Hirsanoff et les films sans sous-titres. Le personnel artistique.Emprunts à la littérature. Films de guerre. Cinéma et music-hall. Essaisde synchronisation et de relief. Le « film large ». L'art et l'argentcinéma et finances. Protectionnisme et contingentement. Concentration desgrandes firmes. Le film français dans le monde. Public et critique.
- CHAPITRE XI. - TOURNANT HISTORIQUE 197
- De l'Inconvénient des sous-titres. L'avant-garde. Recherches techniqueset cinéma pur. Le Vieux-Colombier, le Studio des Ursulines, le Ciné-Latin,le Studio 28. Les Ciné-Clubs. Les films de Bunuel : le Chien andalou,l’Age d'or. Jean Cocteau- tourne le Sang d'un poète Revell du film sonore.Synchronisation de fortune. Opinions sur le « parlant ». Les premières« talking pictures tn France. Production franglaise et allemande.Sous les toits de Paris.
- CHAPITRE XII. - DEUX LUSTRES DE CINÉMA PARLANT 211
- Les metteurs en scène franges s'adaptent. La production européennede la Paramounte. Que devient Pinternationalite du cinéma ? Le doublageet lea versions multiples. Les versions originales sous-titrées. Le filminternational. Nouveaux films de guerre. Films divers. Les étrangers enFrance. Sujets théâtraux et vieux sujets. Réalisateurs : René Clair, JeanVigo, Raymond Bernard, Feyder, Marcel Pagnol, L'Herbier, Duvivier,Chenal, Christian Jaque, Marcel Carrie, Jean Benolt-Levy, Lacombe, JeanRenoir. L'apport étranger.
- CHAPITRE XIII. - COMMERCE DU CINÉMA 232
- Les suites de la concentration. Les producteurs indépendants. Le rôledes distributeurs. Insécurité financière et intervention de l'État. L'exploitation, les taxes et la location. Organisation sociale du personnel. Les grèves.Le statut du cinéma. Le public et ses tendances. La presse. Le problèmede la concurrence étrangère. À l'Exposition de 1937. Les « vedettespréférées ». Georges Duhamel contre le cinéma.
- CHAPITRE XIV. - LA DEUXIÈME « CAMPAGNE » DU CINÉMA (1939-1915) 242
- Le cinéma français en 1939. La mobilisation. La censure militaireLa propagande. Films patriotiques et antihitleriens. Le Service cinématographique de l'Armée. Juin 1940. L'occupation allemande. Réorganisationdu cinéma : le C.O.I.C. La censure de Vichy. La production en zone nonoccupée. La société « Continental-Films ». La production sous Poccupation.Films de propagande. Accords franco-italiens. Les « autorisations deproduire ». Les films qui ont été tournés. Le « simplifilm ». Les réalisations de Came, L'Herbier, Christian-Jaque, Gremillon, Pierre Blanchar,Daquin, Becker. Cocteau et Giraudoux Ocrivent pour l'écran. L'Institut desHautes Études cinématographiques. La Liberation. Les Actualites Françaises. Retour des films américains, anglais et soviétiques. Les films surla Resistance. La nouvelle production. Situation matérielle du cinéma.L'accord Blum-Byrnes. La filmologie. Le Festival de Cannes. Le Centrenational de la Cinematographie. Succès des films français.
- CHAPITRE XV. - LES RIGUEURS D'ANASTASIE 209
- La morale a l'écran. Escarmouches. La commission Lafrerre et lacensure de 1919. Quelques interventions. Les exploitants demandent lagarantie de la censure. L'affaire de la Garconne et quelques autres.Les Nouveaux Messieurs. Censure policière : les Tisserands, Chalnes.Mesures contre le film soviétique. L'interdiction de l'Âge d'or. Censuresmunicipales. Le cas de l'Opera de Quarsous. La censure préventive. Pourle droit commun. Le cinéma et l'enfance. Spectacles réserve. La reformede la censure.
- CHAPITRE XVI.- IMPORTANCE SOCIALE 287
- Le cinéma, témoignage humain et document social. Résultats d'uneenquête d'Henry Poulaille. Difficultés d'aborder les questions socialesà l’écran. Le cinéma conformiste °. Le cinéma et la science (Doyen, Comandon,Painley& etc.). Le cinema a Pee°le. Les films documentaires et le public.La propagande d'hygiène sociale. L'enseignement technique, la rationalisation et la prévention des accidents du travail. La classe ouvrière et lecinéma. Les religieux, leurs films et leur censure particulière.
- CHAPITRE XVII. - DESSINS ANIMES ET MARIONNETTES 311
- Hommage a Grandville. La technique d'Émile Cohl. Les « cartoons »américains : Stuart Blackton, Mac Manus, Ben Harrison, Many Gould, etc.Mutt and Jeff, Felix le chat. Lortac et les autres dessinateurs frangés.L'équipe des Fleischer. Les débuts de Walt Disney. Les dessins animéssonores et en couleurs : Mickey et cie. Comment travaille Disney. Histoirede Betty Boop et de Popeye le marin. Technique de la sonorisation. Lesproducteurs américains. Ce qu'on fait en Europe. Les films de silhouettesdo Lotte Reiniger. Les dessins animent Allemands, Soviétiques, Italiens, etc.Réalisations franglaises. Dessins de long métrage : Blanche-Neige, Gulliver,Pinocchio. Pendant la guerre : expériences françaises : Marty, GrimauIt.La Fantasia de Disney.Films de marionnettes : Ladislas Starevitch et le Roman de Renard.Paul Bianchi, Henri Gad. Marionnettes italiennes, allemandes, russes,beiges. Le Barbe bleu de Jean Painlevé. Les films de maquettes.
- DEUXIÈME PARTIELE CINÉMA DANS LE MONDE
- CHAPITRE PREMIER. - DEBUTS AMERICAINS 335
- Do Muybridge a Edison. Acmé Le Roy. Les premiers films. Le trustet la guerre des brevets. Succès des producteurs indépendants. Premiersstudios, premiers metteurs en scène, premiers acteurs. Les « westerns ».Développement de la production. William Hart. Comment on jugeait lecinéma. Installation dans la vie sociale. Naissance de Los Angeles et deHollywood. Les pionniers pittoresques : débuts modestes des grandesfirmes. Pendant la guerre de 014-1918 filme de propagande. D.-W.Griffith, Thomas Ince, C.-B. de Mille, Allen J. Holubar. Les films comiquesMack Sennett, Chaplin. Autres films de la période de guerre.
- CHAPITRE II. — L'USINAGE DE HOLLYWOOD (SANS PAROLES) 359
- Le cinéma, moyen d'expression. Utilité d'un manque de traditionthéâtrale. Recours aux réalisateurs français : Gasnier, Perret, Capellani, etc. Autres Europeens : Éric Von Stroheim, etc. Dix ans de cinemaamericain : Douglas Fairbanks, Mary Pickford, Pauline Frederick, ThedaBara, Valentino, Charles Ray... Des comiques : Harold Lloyd, Buster Keaton,les « gags ». Diversité des films. Les documentaires de Flaherty. JamesCruze. Quelques grands films : l'Opinion publique, les Dix Commandements,Ben-Hur, la Grande Parade, la Foule, Solitude. Lon Chaney et seamaquillages. Les doublures : «stunt men et stand in». Films d'enfants etfilms d'animaux. Les stars et les vedettes. Les nouveaux trusts. Faiblessedes scénarios. Critiques sur le monde du film. Les censures publiqueset privées : le Code moral de W. Hays. Scandales et tragédies. La propa-gande américaine par le cinéma.
- CHAPITRE III. — L'USINAGE DE HOLLYWOOD (AVEC PAROLES ET MUSIQUE) 385
- Synchronisation primitive. Les travaux de Lee de Forest et de CaseNaissance commerciale du film parlant. La découverte des frères Warner.Don Juan et le Chanteur de jazz. Les assises financières et industriellesdu cinéma parlant. Tons les producteurs suivent le mouvement. Petitequerelle de brevets et entente américano-européenne. Des artistes qui s'envont et d'autres qui arrivent. Chaplin contre le film parlant. Un grandfilm : Hallelujah. Carl Laemmle lance «À l'Ouest rien de nouveau». À larecherche des scénarios. Inspirations littéraires. Nouveaux westerns. -Filmspoliciers : les gangsters. Films d'Opouvante et films fantastiques. Filmshistoriques. Films de guerre. Films sociaux : chômage, criminalité, enfanceabandonnée, etc. Films musicaux. Une réalisation curieuse : Verts Peitu-rages. Nouvelles comédies (New-York-Miami et autres). Films satiriqueset films loufoques. W.-C. Fields, Laurel et Hardy, les frères Marx et lesfrères Ritz. Quelques acteurs. L'odyssée de Greta Garbo. Les Allemandsemigres Is Hollywood. Cinéma en couleurs et télécinéma. Situation économique : intrigues financières, grèves, le N.R.A. Hollywood contre lefascisme. Nouvelle offensive des Ligues de décence. Les méthodes detravail. Le rôle de l’auteur. Le cinéma américain veut conquérir l'Europe.Le gouvernement de Washington centre les trusts. Derniers films du tempsde paix. La guerre : union sacrée et propagande. Le cinéma est mobiliséau service de la victoire. Les films de bataille et d'héroïsme. Mickeyfait de la propagande. Nouveaux collaborateurs littéraires et reprises devieux succès. Nouvelles vedettes. Les Français de Hollywood. L'avant-garde. Conflits sociaux.
- CHAPITRE IV. - MADE IN GERMANIE 438
- Les premiers films. Guido Seeber. L'opposition des directeurs dethéâtres. Max Reinhardt, des poètes et de grands acteurs viennent aucinéma. Morale et censure. La méfiance des socialistes. Les debuts d'HennyPorten, de Jannings, de Wegener. La collaboration danoise. La guerre de1914. Propagande à l’intérieur et à l'extérieur. Arrivee de Pola Negri.Le Lichtspieloper. La U.F.A. est constituée. Fin de la guerre : le cinemaallemand se developpe. La vogue des films historiques : Lubitsch,Buchowetzky. L'Amérique s'intéresse à la production berlinoise. Filmsrevanchards.Expressionnisme et néo-romantisme : le Cabinet du docteur Caligari.Les films de Wiene. Fritz Lang et les Trois lumières. Paul Leni etFigures de cire. Films d'épouvante. L'expressionnisme de Jessner : l'Esca-Her de service. Folklore germanique : les Nibelungen. Le réalismela Rue, de Carl Grune; les oeuvres de Lupu Pick; Murnau et le Dernierdes Hommes. Dupont et Varietes. Hennie Porten, la plus grande artiste.Pabst et la Rue sans joie. Films psychologiques (Nju), sociaux (les Tisserands). Adaptations littéraires, films comiques. Documentaires. Metropoliset la Femme sur la Lune. L'avant-garde : Eggeling, Richter, Ruttmann,Dudow, etc. Le cinéma dans le théâtre de Piscator.Les acteurs du cinéma. Le commerce du film. Combinaisons internationales. La crise des U.S.A. et l'intervention de Hugenberg. La « Westi ».Enseignement et propagande. Les Allemands en Amérique. Recherchestechniques. Procédés de films parlants. Création de la Tobis. La Melodiedu Monde et les premiers films synchronisent. Productions franco-allemandes. Sternberg et l'Ange bleu. Thiele et le Chemin du Paradis. Autresfilms. Pabst tourne Quatre de l'Infanterie, l'Opera de Quat'sous. Lesnationalistes et le cinéma. Difficultés de l'industrie. Films de jeunesse.Le cinéma jusqu'a 1933.L’avènement de l'hitlérisme. Le cinéma sous la direction de Goebbels.Les premiers films nazis : Horst Wessel, Hitlerjunge Qum. Le cinémanationalise. Les films de Leni Riefenstahl. Goebbels impresario. L'Academiedu Cinéma. Rétrospective du cinéma autrichien. L'Anschluss. Commentet pourquoi on tournait des films français à Berlin ? Le cinéma jusqu'à 1939.La guerre. Films sur les campagnes de Pologne et de France. Quelquesproductions importantes. L'occupation des écrans. Le cinéma en couleursla Ville dorée. Après la défaite du Reich : occupation et épuration. Filmsd'après-guerre. Renaissance du cinéma autrichien.
- CHAPITRE V. - DERRIÈRE LES ALPES 507
- Débuts du cinéma italien. Les grandes firmes de Rome, de Turin etde Milan. Outrance du geste. Drames sentimentaux et historiques. Premièresvedettes. Films historiques en carton-pâte. La censure. On tourne la DivineComédie. Le «Quo Vadis»?» de Guaroni. Un film sensationnel : Cabiria. L'étatde guerre favorise le cinéma italien. De sombres drames et de curieusesadaptations littéraires. Les idées d'Eleonora Duse. Un manifeste de Marinelli. Après la guerre : crise du cinéma italien. Le témoignage d'EmilioGhione et quelques faits. Jannings dans «Quo Vadis ?», «Les derniers joursde Pompéi».Le fascisme. Fondation de la L.U.C.E. Les Italiens veulent se defendrecontre les films étrangers. Avènement du film parlant. Films fascistesAn VW, Camicia nera, etc. Les productions de Camerini, Gallone, Genina,Blasetti, etc. «L'Escadron blanc» et «Scipion l'Africain». Creation de Cinecitta.Conflit avec les Américains. La production pendant la guerre. Effondrementet reprise rapide.
- CHAPITRE VI. - POÉSIE SCANDINAVE 531
- a) SUÈDE. Premiers films. Débuts de Stiller et de S3ostrom. SelmaLagerlof fournit des scenarios. Les qualités des films suédois. La Charrettefantôme, le Tresor d'Arne, l'Épreuve du feu, la Legende de GostaDebuts de Greta Garbo. Stiller et Sjostrom a Hollywood. Le cinémaparlant. Les films franco-suédois de Molander. Nouveaux artistes. Laproduction nationale reprend de la vigueur. Le Chemin qui conduit audel. La doctrine de Rune Lindstrom.
- b) DANEMARK. Initiatives d'Ole Olsen. Urban Gad et Asia Nielsen.Waldemar Psilander. Un scenario de G. Hauptmann : Atlantis. Combinaisons germano-danoises. A.-W. Sandberg adapte Dickens. Viceuvre deCarl T. Dreyer : de la Quatrieme alliance de Dame Marguerite a Dies Irae.Christiensen et Sorcellerie. Doublepatte et Patachon. Films documentaires.c) NORVÈGE. Les salles communales. Knut Hamsun a Cecran. Quelquesfilms.
- d) FINLANDE Organisation du cinéma finlandais. Films d'amour etfilms antibolchevistes. Films de guerre. Un cinéma de tradition populaire.
- CHAPITRE VII. - FILMS BRITANNIQUES 551
- Le theatrograph et Canimatograph. Robert W. Paul, Cecil Hepworth,G.-A. Smith, Williamson, pionniers du cinéma anglais. La Gaumont British.Innovations techniques. Films a poursuites et films réalistes. Premiersacteurs et premiers auteurs. On adapte Shakespeare et Dickens. Lesgrands films. Les Américains contre le cinéma anglais. Essais de filmsparlants. Création de la censure. La guerre de 1914. Films de circonstances.Le cinéma d'après-guerre. Influences et participations étrangères.Les idées de Gordon Craig. Les films muets qui ont été tournés. Lecontingentement. Nouveaux metteurs en scène : Anthony Asquith, HarryLachmann, Alfred Hitchcock. Polernique internationale autour de Dawn.Apparition des talkies. Atlantic, de Dupont. Les résultats du contingentement. La censure continue. Offensive contre le cinéma du dimanche.Baird et la télévision. La production parlante. L'exemple de Cavalcade.Le Hongrois Korda organise le cinema national: la Vie privee de Henri VIII.Avalanche de films historiques. Clair et Feyder tournent k Londres. Letravail des régisseurs allemands. Les films inspirent de Wells. J. Griersonet le néoréalisme. Le public et la situation du marché. Ententes anglo-americaines. Démonstrations de télécinéma.Pendant la guerre : Le Lion a des ailes. Films sur Cartnee, la marine,l'aviation, sur la vie des civils Desert Victory, Tunisian Victory. Ledébarquement. La fin de la guerre. Lawrence Olivier tourne Henri V.La situation commerciale du cinéma. Nouvelles concentrations. L'actionde M. Rank. Nouvelles difficultés anglo-américaines.
- CHAPITRE VIII. - LE CINÉMA EN RUSSIE 584
- On filme le couronnement de Nicolas II. Mesguich a Nijni-Novgorod.
- La location des films. Les grandes sociétés de production. L'opinion deTolstoï. Les metteurs en scène : Tchardynine, Protozanoff, Bauer. Lesartistes : Pavlova, Lissenko, Mosjoukine, etc. Les films tournés jusqu'a. 1917.La Revolution. L'exode de la troupe Ermolieff. Les Soviets s'intéressentau cinéma. Une déclaration de Lenin. La nationalisation : le Sovkino.Les critiques de Krassine. Films pour les paysans et pour les ouvriers.Trotzky pane de l'influence du cinéma. Des films satiriques. Moskvinedans Polikouchka et le Maître de Poste. La formation des acteurs.Eisenstein (la Greve, le Cuirasse Potemkine, Octobre, la Ligne générale). Poudowkine (la Mere, la Fin de Saint-Pétersbourg, Tempete surl'Asie). Koulechoff, Room, Dovjenko, Preobrajenskaia, etc. Dziga Vertoffet le cinéoeil. L'organisation du cinéma soviétique et ses réalisations. Lesobjections de Panaït Istrati.Le film parlant. Les procédés Chorine et Tager. Le manifesto Eisenstein-Poudowkine-Alexandroff. La Vie est bonne et les premiers filmssonores. Le Chemin de la Vie. Enthousiasme critique par Radek. Morttagnesd'or. Eisenstein au Mexique. Piscator tourne la Revolte des Pecheurs.Opinions de techniciens étrangers. Des films qui comptent : Tchapaieff,les Marins de Cronstadt.Exaltation de l'esprit national : Pierre le Grand, Alexandre Newsky.Films sur Lenine et sur Staline. L'U.R.S.S. en guerre. Films militaireset antihitleriens. Eisenstein et Ivan le Terrible. Couleur et relief. Lenouveau plan quinquennal.
- CHAPITRE IX. - LE CINÉMA EN EXTRÊME-ORIENT 625
- a) JAPON. Débuts en 1896. Premiers films inspires de thèmes scéniques.
- Masques et traditions. Construction de nouveaux studios. Influence américaine. Jujiro, de Kinugasa. Comment on exploite les films : les lecteursde titres. Influence soviétique : velléités de cinéma socialiste. Le cinémadans l'enseignement.
- Les premiers films parlants. Nippon. L'impérialisme et le militarismes'emparent du cinéma. Observations sur les Enfants dans le vent. La Symphonie pastorale. La guerre sino-japonaise : la Bataille de Hang-Keou.
- La guerre mondiale : les Volontaires de la mort.
- b) CHINE. À l'origine, préférence pour les scènes réalistes. Essai dethéâtre filmé en 1913. Nouvelles entreprises : films sur les « nuits deShanghai ». Ce que les Chinois pensent de l'influence morale des filmsoccidentaux. Le Kouomintang et le cinéma éducateur. Theatre et cinema.Un singulier « cinéma national ». La guerre : Joris Ivens en Chine.Films antijaponais.
- AILLEURS... (Siam, Indochine, Philippines, Îles de la Sonde, Oceanic).
- CHAPITRE X. - EN EUROPE CENTRALE ET DANS LES BALKANS 644
- a) TCHÉCOSLOVAQUIE. Premiers films en 1898. Le cinéma national estcrée en 1918. Karel Anton et Lama. Les idées de Zet Molas. Des films Erotikon, Telle est la vie, Saint-Venceslas, Tanischka. Le cinéma parlant: méfiance à l’égard des productions allemandes. Quelques réalisationstchèques. Mort et résurrection.
- b) POLOGNE. L'importance de la production muette. Les films parlants.Un effort intéressant.
- c) HONGRIE. Comment on encourageait les films nationaux. Paul Fejos et son oeuvre. Des Allemands émigrent en Hongrie. Les événements internationaux les en chassent Collaboration avec le Troisieme Reich. Reprise,après la guerre, de la production nationale.
- d) BOUMANIE. L'indépendance de la Roumanie (1912). Quelques autresfilms. Un appel d'Helene Vacaresco. Films tournés pendant la guerreet depuis.
- e) YOUGOSLAVIE. Petite production. Des studios récents & Influencessoviétiques.
- f) BULGARIE. Quelques films nationaux. Domination allemande, puisdomination russe.GRÈCE. Production insignifiante et défavorisée par les événements.
- CHAPITRE XI. - LE CINÉMA IBÉRIQUE ET HISPANO-AMÉRICAIN 664
- a) ESPAGNE. Les premiers films en 1896. Deux centres : Madrid et Barcelone. La Hispana Film. Débuts de Raquel Meller. Des Françaistournent en Espagne. Le cinéma devient parlant. Benito Perojo et Adelqui Millar. Un grand metteur en scène : Florian Rey. Pour un cinéma hispanique : le congre de Madrid. Terre sans pain, de Bunuel. La guerrecivile : films républicains et films franquistes. Terre d'Espagne, d'Ivens.
- L'Espoir, de Malraux. L'accord culturel germano-espagnol. Films divers.
- b) PORTUGAL. Le cinéma muet : Albuquerque, Duarte, etc. Le cinemaparlant : nouveaux metteurs en scène. Leitao de Barros, etc. Le cinemaofficiel : Reibeiro et sa Revolution de Mai. Salazar et le cinéma.
- c) AMÉRIQUE LATiNE. Le cinéma mexicain : Sonadores de Gloria, lesRevoltes d'Alvarado. L'opposition aux films fascistes. Pendant la guerre,la production se développe. Steinbeck tourne le Village oublie. De nombreux films en tons genres. Nouveaux succès de Dolores del Rio. Le travailclans les studios argentins & la situation au Brésil, au Pérou, au Chiliet dans les autres Républiques sud-américaines.
- CHAPITRE XII. - ET CETERA 681
- a) BELGIQUE. Le cinéma avant 1914. La période do guerre. Les films patriotiques qui l'ont suivie. Coopération franco-belge. Metteurs en scene Paul Flon, Wicheler, Dekeukelaire, Henry Storck, Rene Leclere, GastonSchoukens. Quelques initiatives plus ou moins heureuses. Les filmsparlants. Le style Beulemans. L'invasion de 1940. Sous l'occupation, laproduction des documentaires se maintient. Après la Libération, renouveaudes films patriotiques.
- b) HOLLANDE. Production importante avant 1914. Le tragedien Bouw-meester. Après la guerre, naissance de l'avant-garde. La Filmliga. JorisIvens, Franken, etc. Les productions parlantes.
- c) SUISSE. Ce sont les étrangers qui tournent en Suisse. Quelquesessais nationaux. Jean Choux et Michel Simon. Susceptibilités helvétiques.
- Des documentaires. C.-F. Ramuz a l'écran : Separation des races, Farinet.Le Michel Ange de Curt Oertel. Recherches scientifiques. On construit desstudios. La Derniere Chance, de Lintberg.
- d) PAYS BALTES. Lithuanie, Estonie, Lettonie.
- e) TURQUIE. Difficultes avec les livres sacre. Un metteur en scènenationale : Ertogroul Moushin Bey.
- f) ÉGYPTE. Du soleil, des acteurs de théâtre, des metteurs en scène.
- L'Enfant de la vallée du Nil, Zeinab, la Rose blanche, Monsieur Arnaud,Donia, etc.
- g) AFRIQUE DU NORD ET ETATS DU LEVANT. Le cinéma en Algérie. Laproduction au Maroc et en Tunisie. L'exploitation en Irak, en Iran, en Sync et au Limn. Possibilité d'un cinéma islamique.
- h) PALESTINE ET FILMS Kin. Quelques productions palestiniennes. Lesfilms juifs tournés en Allemagne, en Pologne, aux États-Unis. Les Israelitesdans le monde du cinéma.
- CHANTRE XIII. — CONCLUSIONS 698
- Les perfectionnements attendus. Ce que cela suppose de retours enarrière et de mises au point. La question de la couleur et celle du relief.
- Le télécinéma et les problèmes qu'il posera. Les questions économiquescommandent les questions techniques.
- La production européenne devant le commerce américain. Le vieux continent sera-t-il colonisé? Que sera le cinéma de demain?
ISBN : 2911468198
Inauguré en 1836, l'Opéra fut construit par Charles Millardet
Après l'incendie de 1856, la reconstruction fut confiée à Charles Claudel
Dirigé par Pierre Nougaro (1960-1971), il prend le nom de Théâtre de la ville sous Cherif Khaznadar (1980-1983) et Jean Garrec (1983-1992) et devient l'Opéra de Rennes en 1993 avec Daniel Bizeray
- Taille : 25.7cm x 24cm
- Introduction : L'OPERA AU COEUR DE LA VILLE
- Marie-Claire Mussat, professeur d'histoire de la musique à l'Université de Rennes 2
- I - LES SALLES DE SPECTACLE A RENNES AVANT 1836
- Marie-Claire Mussat
- II - LE THEATRE DE CHARLES MILLARDET (1831-1836) :
- Du PROJET AU PROCES, LA GENESE D'UN MODELE pg22
- Jean-Yves Andrieux, professeur d'histoire de l'architecture à l'Université de Rennes 2
- III - LA RECONSTRUCTION DE LA SALLE (1856-1858) pg48
- Marie-Claire MussatI
- IV - LOPERA ET LA PRATIQUE THEATRALE AU XIXe SIECLE pg62
- Marie-Claire Mussat
- V - LA MACHINERIE pg94
- Jean-Yves Andrieux
- VI - DES MUSES GRECO-ROMAINES A L'APOTHEOSE BRETONNE :
- LE DECOR DU THEATRE DE RENNES pg102
- Denise Delouche, professeur émérite d'histoire de l'art à l'Université de Rennes 2
- VII - L'ENTRE-DEUX-GUERRES pg128
- Sylvie Clair-Pondard, professeur certiflée d'éducation musicale, docteur en musicologie
- VIII - PIERRE NOUGARO : PORTRAIT DE L'ARTISTE EN DIRECTEUR pg144
- Catherine Laurent, Conservateur des Archives municipales de Rennes
- IX - MON PERE AVAIT DES TREPAS SOMPTUEUX pg156
- Claude Nougaro
- X - NOTRE BEAU PETIT THEATRE pg158
- Henri Terrière, critique artistique à Ouest-France
- XI - LES REPRESENTATIONS pg164
- Marie-Claire Mussat
- XII - LA RENOVATION pg180
- Daniel Bizeray, directeur de l'Opéra de Rennes
- Conclusion : L'OPERA, UN NOUVEAU RENDEZ-VOUS pg188
- Marie-Claire Mussat
- BIBLIOGRAPHIE
ISBN : 2742744932
Concepteur et constructeur de décors et machineries, François Delarozière explore depuis une vingtaine d’années l’art du mouvement. Spécialisé dans le théâtre de rue et intimement associé, dès 1983, à l’aventure de la compagnie Royal de Luxe, il est aujourd’hui un créateur accompli et une référence pour ses pairs.L’exposition et le livre Le Grand Répertoire dont il est l’instigateur posent un regard renouvelé sur quatre-vingts machines de théâtre. Un concentré d’âme et de mécanique, d’aventure collective et de recherche personnelle, de matière et de poésie. Car la structure d’une machine n’est jamais anodine. Les matières parlent entre elles, et confèrent à l’objet sa justesse, sa profondeur, son réalisme. Dans le choix des matériaux et de la forme, il est question d’éthique et de plaisir. C’est en grande partie ce choix qui donne du sens à son travail. Et bien sûr, au coeur de la démarche de François Delarozière, le mouvement s’avère fondateur. C’est par lui que s’insère la vie, offrant une dimension nouvelle à l’objet. Sans mouvement, le temps et les cycles ne s’incarnent pas. Il n’y a ni vitesse ni lenteur. Et donc pas d’histoire. Chef de bande, François Delarozière adore les histoires…surtout communes. Il possède le sens du partage. Mieux que ça, il en a l’impératif besoin. Ça tombe bien, l’art n’est que nécessité.
Christine Amara
- Taille : 28cm x 22.3cm
- Preface de Jean-Luc Courcoult
- Histoires de machines de Francois Delaroziere
- Le Grand Repertoire Machine et théâtre, de Marcel Freydefont
- Machine et art Histoires de concepteurs, histoires de compagnies Le Grand Repertoire Inventaire des machines
- Machine par machine 34
- Le laboratoire des grands voyages Le laboratoire des machines musicales Photographies, dessins Equipe de l'exposition Histoires de villes
- Annexe : index, crédits iconographiques
ISBN : 2742734295
Photos, dessins, collages et entretiens retracent près de dix ans d'aventures théâtrales d'une troupe tout à fait hors normes.
- Taille : 28.7cm x 22.7cm
- Sommaire.
- Préface : les Bricoleurs de poésie, Odile Quinot. pg11
- Chronologie. pg20
- Royal de Luxe et Jean-Luc Courcoult. pg23
- Le Géant tombé du ciel. pg26
- Dernier voyage. pg46
- Projets perdus : le Chapiteau sur la façade, le 737 de Johannesbourg, Opéra dans la terre. pg64
- Voyages en Afrique. pg70
- Contes : la Boîte à sardines, le Fou furieux, le Concert des impressionnistes, l’Architecte. pg98
- Retour d’Afrique. pg104
- Projets perdus : New York : Festival d’art lyrique (Pepsicosummerfire). pg128
- Petits contes nègres. pg130
- Projet perdu : l’Horloge de l’an 2000, le Troupeau d’éléphants pour l’an 2000, la Poupée géante, le Vélo volatil de Phéraille, le Chauffeur d’avenue, les Chaussures tango, la Musique mécanique. pg158
- Les Chasseurs de girafe. pg166
- De l’Afrique à la Chine. pg208
ISBN : 2869433573
Préface.
On peut « faire du théâtre » partout : dans un espace vide, dans un jardin, sur une place publique, dans un hangar, etc., il suffit de deux acteurs et d’un texte qui leur permet de s’opposer ou de s’aimer ,et d’un public. partir du moment où, dans notre civilisation, on s’est mis à organiser les choses, on a construit des lieux spécifiques, des théâtres. L’architecture des théâtres à bien sr évoluait suivant les pays et les époques, selon des objectifs sociaux et artistiques précis. Si, après des structures grecques antiques, romaines, médiévales et celles de la Renaissance élisabéthaine ou espagnole, le fameux théâtre à l’italienne a été adopté dans tout l’Occident puis sur toute la planète, c’est qu’il a atteint 1° exceptionnel dans la capacité d’ordonnancer un spectacle, presque à volonté. C’est bien, comme on dit en histoire, le théâtre des temps modernes.
Tout se tient dans le théâtre à l’italienne : machinerie, scénographie, salle, édifices et répertoire. C’est un tout compact et homogène, engendré par une philosophie globale qui tente de représenter le monde à une société structurée qui a des doutes sur ses certitudes, et qui vient déraisonner au théâtre dans les joies de l’illusion et du merveilleux.
Il ne s’agit pas ici de refaire le célèbre traité pratique de Sabbatini, instruisant les élèves machinistes des différentes techniques à mettre en ouvre pour produire tel ou tel effet scénique. Il s’agit de constater que le thétre à son vocabulaire, comme toute activité spécifique (la marine à voile, par exemple), que ce vocabulaire peut paraître obscur au profane au nouveau venu dans le métier ; il mérite donc d’être explicité.
Si c’est bien le théâtre à l’italienne qui a mis au point ce vocabulaire, en continuant d’utiliser dans les thétres plus récents, qui se veulent différents dans leur structure architecturale et scénographique. On ne se détache pas du théâtre à l’italienne, et surtout de sa scène, même si l’architecture évolue. Autrement dit, au fil des siècles, le théâtre, dans son ensemble, s’est identifié, en les affirmant, aux techniques créées par les Italiens à partir du XVIe siècle, au moment où, entre autres, on invente et met au point les lois de la perspective.
Et pourtant, au XXe siècle, on a abandonné une partie du théâtre à l’italienne dans sa forme devenue classique : la salle. En effet, la sala italienne est le reflet d’une société pour qui allez au thétre était d’abord un acte social ; cette salle était conçue pour que les spectateurs puissent voir entre : ce fameux ovale de la salle permettait à chacun d’observer les autres puisque l’éloge des différentes étages se trouvait face à face, à part celle du fonds qui était les moins nombreuses. Cela n’empêchait pas de regarder le spectacle bien sr mais créé pour toutes les loges de côté - les plus nombreuses - un angle de vision de plus en plus faible à mesure que l’on s’approchait du cadre de scène. Bonne pour l’oreille, ce qui importe à l’opéra, ces loges était mauvaises pour l’oeil. On a donc imaginé des salles où toutes les places soient bonnes pour l’oil aussi, en allant progressivement vers un trapèze, en supprimant l’éloge - et même les balcons - pour arriver à une volée de gradins s’évasant vers le fond. Cela faisait moins de place, à moins de monter les gradins très hauts, ce qui revenait à faire de nouveau d’équivalent des balcons ; mais l’effet psychologique était différent : les classes sociales n’étaient plus séparées par des étages distincts, et tout le monde était logé apparemment à la même enseigne ; on était en démocratie.
Mais quelle que soit la structure de la salle, la scène est restée fondamentalement à l’italienne, dans son principe comme dans sa machinerie, c’est-à-dire que les outils de fabrication du spectacle n’ont pas vraiment changé même si les matériaux ont, bien sr, évolué.
Paradoxalement, la salle à l’italienne était plus conviviale et plus chaleureuse, car il n’y avait pas de grands murs visibles, mais une succession de loges habitées comme une série d’alvéoles bien vivantes. Dans une architecture contemporaine, le spectateur ne voit que la nuque de ceux qui sont devant lui et il doit se retourner tôt à la scène pour voir les visages de ceux qui sont venus ce soir-là assisté au même spectacle. Il est certain que l’émotion et la conscience collective se propageaient et s’amplifiaient plus facilement dans une salle à l’italienne. Mais le spectateur du XXe siècle peut se concentrer sur le spectacle, sans être distrait par l’épaule nue ou le fin profil de la dame qui est dans une loge en face, ou par la gueule rigolote du Dieu qui est dans la loge à côté ! On n’en finirait pas d’évoquer les mérites et défauts comparés des salles italiennes et des salles contemporaines ; mais quand le rideau se lève, c’est le spectacle de la scène qui doit normalement l’emporter sur le spectacle de la salle …
…
- Taille : 28cm x 21.5cm
- Le théâtre à l’italienne est une réalité bien vivante qui, comme tout grand outil élaboré, englobe son passé dans son présent et développe une technique évolutive qui contient autant de pratiques que de significations. En partant des termes de son vocabulaire, Alain Roy, scénographe en exercice, non seulement explique mais aussi analyse et commente ce qui, au-delà d’une machine à faire du spectacle, exprime une vision du monde, de l’art, du théâtre, propre à éclairer les amateurs et les professionnels autant qu’à faire rêver les poètes.Et l’on commence à entrevoir pourquoi et comment l’homme a déployé tant d’ingéniosité pour fabriquer de l’illusion et de l’éphémère, illustrations à l’appui…JEAN-PIERRE MIQUEL
ISBN : 2358770000
Il s'accompagne de contenus supplémentaires tels que des vidéos, images en 3D et commentaires audio disponibles par une application téléchargeable gratuitement sur téléphone mobile ou ordinateur.
- Taille : 33cm x 24.5cm
- Imprimé en 1782, ce texte fait la synthèse de sept années de travaux qui ont permis l'édification du Grand-Théâtre de Bordeaux inauguré par l'architecte V. Louis en 1780.
Préface.
Il est monstrueux que l’on puisse croire que le rythme du jazz, que le Foxtrot expriment l’Amérique, s’écriait Isadora Duncam, indigné et révolté.
En vérité, que c’est l’homme « quelconque » sur la Danse aux tats-Unis ? Il nommera sans hésiter quelques danses de salon en vogue : les Swings, les Jitterburgs, les Snakes ; il parlera du jazz. D’autres, un peu mieux informé, conna issent l’existence d’IsadoraDuncan et, vaguement, celle de Loïc Fuller. Je doute que les faits reprendre la danse eux-mêmes puissent citer plus de deux grandes danseuses américaines actuelles.
Nous sommes très mal informés sur la danse artistique aux tats-Unis. C’est le mérite deB. de Rothschild de nous renseigner sur les tendances esthétiques dans le domaine de la Danse artistique aux USA et cela avec clarté, précision et sans parti pris. ma connaissance c’est la première monographie qui traite, avec toute l’ampleur et la compétence voulue, les problèmes chorégraphiques et salltatoires posés par l’évolution prodigieuse de la danse en Amérique.
Puisque depuis 16 ans mes fonctions mobilisent de suivre attentivement la presse chorégraphique américaine, de dire ou de parcourir les livres paraissant sur la danse en USA, je me crois autorisé à consigner ici, en toute modestie, quelques remarques marginales suggérées par une lecture B réitérée du manuscrit de de Rothschild.
Avant tout, je voudrais rendre hommage évoqué quelque figure d’artistes innovateurs et rappeler que précisément la réforme de la Danse et du à des conceptions réformatrices des danseuses anglo-saxonnes.
On devrait inscrire tout angle de la page le nom de Emma Harte, femme de Lord Hamilton, dont Goethe parle avec émerveillement. Mais, pour notre malheur, nous ne possédons pas encore une monographie sur la « danseuse » qui a dû avoir une très forte personnalité artistique pour captiver les beaux esprits de son époque. Nous savons cependant que, par ses idées révolutionnaires, elle est, peut-être, le précurseur de la Pléiade des danseuses américaines qui vont apparaître au début du XXe siècle.
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- Taille : 27.7cm x 21cm
- PREFACE
- NTRODUCTION
- REMERCIEMENTS
- Chapitre I.
- LES ORIGINES ET LA NATURE DE LA DANSE MODERNE
- Historique du ballet — Isadora Duncan et les precurseurs de la dansemoderne — Histoire de la danse aux Etats-Unis — Caractere de ladanse moderne.
- Chapitre 2.
- MUSIQUE ET DANSE : Les rythmes — L'accompagnementLes instruments — Conditions pour une danse autonome.
- Chapitre 3.
- LES TRADITIONS Les pionniers — L'esprit américain.
- Chapitre 4.
- MARTHA GRAHAM, SA VIE ET SON OEUVRE : Biographie
- Portrait et caractère — La danseuse Les oeuvres — Son théâtre caractères – Sa technique Critiques.
- Chapitre 5.
- MARTHA GRAHAM, ANALYSE DES OEUVRES ET DISCUSSIONTrois solos; a Lamentation ”, Deep Song a Frontier — Prim-live Mysteries , — Deux satires : Punch and the Judy Every Soul is a Circus — El Penitente — Salem Shore — American Document —a Letter to the World Deaths and Entrances ,Appalachian Spring Herodiade — a Dark MeadowSerpent Heart — oeuvres recentes — Discussion.
- Chapitre 6.
- DORIS HUMPHREY ET CHARLES WEIDMAN : Doris Humphrey :Biographic — Portrait et caractere La danseuse — Sa chorégraphieSa technique et sa conception esthétique — Les oeuvres — a Canonade — The Shakers —a Inquest — Son theatre — Charles Weidman : Biographic et ceuvre —a On my Mother's Side a AHouse Divided auvres recentes de Humphrey et de Weidman.
- Chapitre 7.
- AUTRES ARTISTES : Helen Tamiris — Hanya Holm — Lesartistes de ballet — oeuvre des jeunes danseurs modernes; caractèreet forme chorégraphique — Artistes de couleur — CommentairesAutres genres de danseurs.
- Chapitre 8.
- L'ESPRIT DES DANSEURS MODERNES : Aspects de la dansecontemporaine -- Influence du pays -- Influence de l'epoqueConclusion.
- Chapitre 9.
- DANSE MODERNE AMERICAINEDANSE ALLEMANDE BALLET : Comparaison avec Mary Wigman et Kurt jooss — Le ballet; technique et expression caractéristique — Le ballet théâtral — La dansemoderne; technique et expression caractéristique — La danse modernethéâtrale — Comparaisons esthétiques — Relations historiques.
- Chapitre 10.
- L'ENSEIGNEMENT DE LA DANSE MODERNE : Les institutionsLes écoles techniques; Graham, Holm, Humphrey-Weidman — Enseignement de la chorégraphie; Louis Horst — Enseignement dans lescollèges — Littérature sur la danse — Conclusion.
- Chapitre 11.
- LA RENOMMEE DE LA DANSE MODERNE : Centres de dansemoderne Problèmes economiques — Le Théâtre Fédéral
- Conclusions.
- PLANCHES REFIRENCES ANGLAISES
- BIBLIOGRAPHIE
- INDEX ALPHABATIQUE
Présentation.
Ce recueil, et ce qui lui succéderont sous ce titre, un sembleront les résultats d’une recherche collective de longue haleine, commencée en 1966, et qui se poursuit alors où paraissent ces pages. Nous proposons d’étudier les rapports de l’écriture dramatique et de la mise en scène, nous avions posé en principe que « la composition du texte, et la mise en oeuvre, en vue de la représentation, des moyens d’expression scénique, serait considérés comme des aspects complémentaires de la création, des éléments interdépendants du langage théâtral ». Nous refusions donc de dissocier ces deux éléments constitutifs du spectacle, de privilégier le texte par rapport à la mise en scène, à plus forte raison de ramener l’étude du théâtre à celle d’un genre littéraire. Cependant les habitudes de la langue confirment l’évidence : on « met en scène » que ce qui existe préalablement comme texte, ou du moins comme canevas. Et notre analyse du distingué, elle aussi, ces deux étapes.
Mais cette distinction n’est vraiment rigoureuse que dans le cas où celui qui monte la pièce se respecte scrupuleusement le texte, et où l’auteur s’abstient d’intervenir. Or on sait qu’une collaboration s’établit souvent entre l’auteur et son metteur en scène, et qu’une pièce peut se modifier considérablement au cours des répétitions, ou après avoir subi l’épreuve du public. Il se peut même qu’un metteur en scène devienne son propre auteur, c’est le cas de Planchon, aucun auteur comme Gatti devienne son propre metteur en scène. Le texte est alors mis au point au cours d’un travail avec une équipe théâtrale. Mais dans tous ces cas, qui seront examinées dans les volumes suivants, l’initiative appartient d’abord à l’écrivain. Par contre, dans les modes de création qui nous intéresse ici, l’initiative passe au metteur en scène et à ses comédiens, non plus seulement au stade de la réalisation du spectacle, mais dès le début, lors de l’élaboration de la forme.
Entre les démarches créatrices du Théâtre-Laboratoire de Wroclaw ,de l’Odin Teatret, du Living Theatre, qui sont examinés dans ce livre, il existe des différences profondes. Cependant toutes ont en commun l’importetance attachée à l’expression corporelle, à l’émission vocale, à l’improvisation comme moyen de mettre au jour des matériaux qui seront ensuite incorporés au spectacle. Ni le travail sur le corps et la voix, ni le recours à l’improvisation, ni l’appel aux ressources psychiques profondes du comédien, ne sont d’ailleurs des pratiques absolument nouvelle. Mais trop en question ont recours à des techniques qui ne sont pas sans rapport avec celle de Stanislavski (pour ne citer que lui). Mais la conception de la dramaturgie et, partant, du personnage, s’est transformée. Il ne s’agit plus de la motivation psychologique d’un caractère, dans une action qui se réfère à des situations concrètes de la vie réelle, mais du recours à un fonds mythique, archétypale. Dans la mesure où une philosophie, une discipline morale sous-tende l’activité de ces groupes, elle visent à remettre en question l’« ego », tel qu’il résulte d’une adaptation de l’individu au milieu, à détruire le masque façonné par le comportement en société. Si on cherchait un dénominateur commun alors démarche, on le trouverait peut-être dans le souci de rendre sensible, voire insupportable, la contradiction entre les comportements du « moi » social et des aspirations profondes. Ce thétre vise à libérer des forces captives. Le but n’est pas pas cependant le déchaînement incontrôlé de la libido (bien que certaines expériences de « thétâre libre » du Living aient pu avoir cet effet). Il s’agit de remédier à une rupture, où un conflit, entre le « moi » adapté et l’être profond il s’agit de récupérer des énergies d’autant plus dangereuses qu’elle reste aux étrangères à la conscience, d’opérer une intégration. Mais leur manipulation ne va pas elle-même sans danger : elle relève de la thérapeutique du rituel. Au cours de la création le directeur-metteur en scène est appelé à jouer (d’une manière plus ou moins marquée) le rôle de guide spirituel. Lors de la représentation, le spectateur est soumis à une action qui tend à le transformer, soit en provoquant chez lui un choc, un malaise susceptible d’avoir un effet salutaire, soit en lui proposant l’exemple de l’accomplissement dans un acteur d’une personnalité, soit en le faisant participer à une sorte de célébration.
Mais si l’on discerne des points communs, il faut aussitôt introduire des distinctions, quant au buts et aux moyens mis en oeuvre. La ressemblance et les différences apparaîtront mieux si l’on examine tour à tour le travail de l’acteur et la rapport qui s’établit avec le spectateur, l’utilisation du texte et le rapport avec l’auteur, les thèmes choisis et leur rapport avec notre héritage culturel et le fonds mythique de notre civilisation.
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- Taille : 27.3cm x 21.5cm
- Presentation
- THEATRE LABORATOIRE DE WROCLAW :
- Le Prince Constant, scénario et mise en scène de Jerzy GROTOWSKY.
- Introduction, par Jean JACQUOT
- Etude et reconstitution du déroulement du spectacle, par Serge OUAKNINE
- L'entraînement par les exercices méthodiques
- Processus de Création
- Structure de la partition Reconstitution et description
- Aspects de l'Oeuvre
- ODIN TEATRET - HOLSTEBRO :
- Kaspariana, adaptation scénique et mise en scène parEugenio BARBA.
- Etude de Christiane AUBERT et Jean-Luc BOURBONNAUD
- THE LIVING THEATRE.
- Etude de Jean JACQUOT
- Le Living Theatre a New York et la decouverte d'Artaud
- The Brig Frankenstein Antigone
- Paradise Now THE OPEN THEATRE :
- The Serpent, création par l'Open Theatre Ensemble en collabo-ration avec Jean-Claude van ITALLIE, sous la direction de Joseph CHAIKIN.
- Etude de Jean JACQUOT
- Le Cimetière des Vultures, un spectacle de Victor GARCIA, a partir de quatre pièces d'ARRABAL.
- Etude de Odette ASLANIndex
"Avec les habillements de tous leurs personnages tant sérieux, que comiques dont les plus considérables étaient le Seigneur Léandre, la Dona Cornelia, Francisquine Harlequin, le Seigneur Dottor, Pantalon, & Zani qui ont été les Originaux, & les modèles des autres Comédiens qui ont paru ensuitte sous les règnes de Henry 4ème et Louis 13ème et Louis Le Grand".
- Taille : 29.5cm x 21cm
- Vivre et revivre la Comedia Dell’Arte, par Pierre-Louis Duchartre. pg2
- Recueil de plusieurs fragments des premières Comédies Italiennes qui ont été représentées en France sous le règne de Henry III.
- Recueil dit Fossard conservé au Musée National de Stickholm, présenté par Agne Beijer, Conservateur du Musée Théâtral de Drottningholm. pg11
- Compositions de rhétorique de M. Don Arlequin présentées par Pierre-Louis Duchartre. pg35
- Recuueil de plusieurs fragments des premières comédies italiennes qui ont été représentées en France sous le règne de Henry III.
- Où l’on voit les différents Caractères qu’ils donnoient à leurs acteur, et les intrigues de leurs pièces mêlées de bouffonneries, et de beaucoup de licences.
- Avec les habillements de tous leurs personnages tant sérieux, que comiques dont les plus considérables étaient le seigneur Léandre, la Dona Cornelia Fracisquine, Harlequin, le seigneur Doctor, pantalon, et les amis qui ont été les originaux, et des modèles des autres comédiens qui ont paru ensuite sous les règnes de Henry IV et Louis XV et Louis le Grand.
- Le tout gravé en plusieurs estampes dont il y a quelques-unes d’enluminées
- Et mise en ordre par le sieur Frossard, ordinaire de la musique dur Roy. pg45
( Chapître sur l'éclairage pg 141 )
Introduction. (extrait)
Sous le titre général : matériel de l’art théâtral, la Classe 18, à l’Exposition universelle de 1900, comprenez, pour ne citer que les principales branches qui la constituèrent : le décors, costumes et les accessoires.
Avant d’examiner séparément chacune de ces grandes divisions de la mise ancienne matérielle du théâtre dans l’exposition rétrospective de cette Classe, il nous a semblé utile de suivre l’ordre des époques et de présenter, pour chacune d’elles, une vue d’ensemble, afin d’obtenir une idée plus nette de ce qu’était le théâtre à son origine, et des transformations successives qu’il a subies avant d’être ce qu’il est aujourd’hui.
En effet, que nous remontions à la naissance du théâtre antique, que nous considérions notre théâtre moderne, ou que nous parcourions l’histoire du théâtre pendant les vingt-cinq siècles qui séparent ces deux points extrêmes, qu’il s’agisse d’une tragédie de Sophocle, d’une comédie de Plaute, d’une farce de basochien ou d’une parade de Tabarin, sur toute scène, qu’elle s’élève en face des gradins de pierre du théâtre de Dionisius, à Athènes, où des loges tendues de soi de notre Opéra, qu’elle était et battit pour des siècles par Pompée ou Scorus, ou, à la hâte et pour un jour, sous le porche d’une de nos églises, sur la place d’un marché, sur la table de marbre du Palais de justice, où les tréteaux des halles de Paris et de la place Dauphine, nous trouvons, aussi un Blue magnifique que soit cette scène, un décor, des acteurs portant des costumes et des accessoires, ici, attributs d’un rôle, et la, caractère d’une époque ou d’un milieu.
Le décor peut même faire complètement défaut, mais il est tellement nécessaire que le metteur en scène y substituera quoi que ce soit pour le remplacer, comme à ce thétre du Globe que Taine nous décrit en quelques lignes : « sur un terrain à fangeux, au bord de la Tamise, s’élève le principal dès cet thétre de Londres au temps de Shakespeare. Le Globe, sorte de grosse tour à six pans, entouré d’un fossé boueux, surmonté d’un drapeau rouge ; d’apprêts, de perspectives, peu ou point de décors mobiles. Un écriteau en grosses lettres indique au public qu’on est à Londres ou à Constantinople. » Et Taine, citant Philip Sidney, ajoute : « vous avez l’Afrique d’un côté et l’Asie de l’autre, avec une si grande quantité d’Etats secondaires que l’acteur, quand il entre, est toujours obligé de vous dire où il est, autrement on entendrait rien à son histoire. Puis voici trois dames qui se promènent pour cueillir des fleurs et, là-dessus, nous devons croire que la scène est un jardin. Un peu après, nous entendons parler, au même endroit, d’un naufrage, et notre devoir est d’accepter que ce même endroit pour un rocher. Arrive deux armées, représentée par quatre épées et un bouclier, et quel est le coeur si dur qui refuserait de prendre cela pour une bataille rangée ? Quand autant, ils sont encore plus libéraux. D’ordinaire, un jeune prince et une jeune princesse tombe amoureux l’un de l’autre ; après beaucoup de traverses, la princesse devient grosse, accouche d’ un beau garçon ; le versant éperdu, devient homme est prêt à engendrer un autre garçon… tout cela en deux heures ! »
Eh bien ! Là, sur la scène du Globe, cet écriteau, cette déclaration verbale de l’acteur vous disant où il est, comme un chef de train vous crie la station où vous arrêtez ; cette mimique de dames cueillant des fleurs, ce rocher dénoncé par le récit d’un naufrage, ces épées et ce bouclier, épaves de la bataille dont on va vous parler, sont des décors ; seulement ils appartiennent à l’école symbolique au lieu de relever de l’école réaliste.
Ce qui aboutit à ce paradoxe, qu’une scène sans décor en a plus que celle où se développe l’acte d’opéra le plus mouvementé, puisque, sur l’invitation de l’acteur, les spectateurs, procédant eux-mêmes au changement à vue n’est plus foudroyant, se figurent tous ce qu’on leur dit imaginer. Et vous avez ainsi tout juste autant de décors de spectateurs !
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- Taille : 29cm x 20cm
- INTRODUCTION
- Antiquite — Chez les Grecs. — Origine. — Le premier dialogue dramatique. — Tragédie — Comédie— Unité de décor. — Masques. — Costumes traditionnels. — Chez les Latins. — Ludi scenici— Fêtes des moissons. — Satyre — Livius Andronicus. — Theatres latins• — L'Atellane— Mimes et pantomimes.
- Moyen Age— Le drame liturgique. — Les jeux et miracles. — Les Mystères. — Les Confrères de la Passion. — Théâtre comique• — Moralités• — Farces et sotties.Theatre de la Renaissance— Ronsard. — Jodelle. — Alexandre Hardy. — Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne.
- THEATRE MODERNE ET CONTEMPORAIN
- Les premiers théâtres permanents de Paris— La premiere salle de spectacles.— Théâtre du Marais. — Théâtre de Molière. — Théâtre de l'Opera.
- Naissance du théâtre lyrique en France
- Les ballets. — Le merveilleux an theatre.La mise en scène — Le metteur en scène. — Le décorateur. — Le machiniste. — Le costumier. — Accessoires et réglage des decors.
- Du décor— Décorations en plein air. — De la plantation et de la peinture du décor aux dix-septieme et dix-huitieme jusqu'à Servandoni. — Réforme de Servandoni. — La scène et les décors depuis Servandoni jusqu'à nos jours.
- Eclairage scénique— Premières représentations de nuit• — Chandelles. Bougies et Lampions. — Quinquets.— Gaz. — Electricité. — Influence de la lumière sur les décors. — Lumières vivantes et électricité. — Degrés d'intensité de la lumière.
- Du costume— Les Mystères. — La Renaissance et l'époque classique. — Costumes des ballets et leur réforme. — Réforme du costume des théâtres lyriques. — Réforme du costume des théâtres dramatiques. — Talma. — Les costumes de 1792 à 1830.— Romantisme et réalisme.
- Accessoires.
- Bijoux.
- Armes et armures
- CONCLUSION
- Liste des exposants
- Table des gravures
Comptes de la ville de Paris (détail des dépenses occasionnées par les entrées et réceptions de souverains. Entrée de Louis XII à Paris en 1498; entrée d'Eléonore d'Autriche en 1530).
Bibliographie des ballets du XVI au XVIIe siècle.
Bibliographie des peintres décorateurs du XVIIIe siècle.
Bibliographie des peintres décorateurs du XVe et du XVIe siècle.
- Taille : 30cm x 21.5cm
- PREMIERE PARTIE
- LE MOYEN-AGE
- LIVRE PREMIER
- LES MYSTERES
- DIALOGUES
- CHAPITRE 1er. — Les origines des Mystères— Les Mystères à leur apogée— Les Mystères patriotiques — La disposition du théâtre — La scène — La plantation du décor et la machinerie— Costumes, diables, sots, fous, jeux de mise en scène — Les femmes sur le théâtre — La peinture décorative, les peintres décorateurs — Les pièces profanes et les confrèries — Fin des Mystères
- LIVRE DEUXIEMELES
- MYSTERES MIMES
- CHAPITRE 1er— Les Mystères mimés au Moyen Age— Les Mystères mimés à l'époque de la Renaissance
- PIECE JUSTIFICATIVE
- Comptes de la yille de Paris
- DEUXIEME PARTIE
- LA RENAISSANCE
- LIVRE PREMIER
- LE THEATRE ET SES CONDITIONS MATERIELLES D'EXISTENCEAU XVIe SIECLE
- CHAPITRE Ier.
- - Le théâtre et bopinion publique au XVIe siècle— La scène et le décor au XVIe siecle— Les salles de spectacle a la fin du XVIe siècle— L'influence de la Ligue sur le théâtre— Les premiers théâtres parisiens— Le costume et les acteurs— Mirame et la premiere salle de spectacle en France
- LIVRE DEUXIEMELE THEATRE LYRIQUE
- CHAPITRE 1er- La mise en scène à l'Opéra depuis ses origines jusqu'au règne de Henri IV— Les ballets en France de Henri IV à Louis XIV
- PIECE JUSTIFICATIVE
- Bibliographic des ballets. Etat général du magasin de la Comédie-Francaise en 1782. Décors du théâtre de la cour de Versailles en 1770. Etat des décors existant dans les magasins au moment de 'Installation del'Opéra au boulevard Saint-Martin en 178o. Extrait des comptes des Menus Plaisirs relalifs a la fourniture ou a l'achatdes chaussures pour les actricesV. Relevé du produit du parterre a la Comédie-Française pendant les années 1775-1781. Bibliographie des peintres décorateurs du XVIIIe siècie
- LiVRE TROISIEMELE
- THEATRE CONTEMPORAIN
- CHAPITRE 1er— Le théâtre pendant la Révolution— Le théâtre pendant la Révolution. Le public— Le théâtre pendant la Revolution. La mise en scène, les décors et les costumes — Le théâtre de la cour sous l'Empire— Les théâtres publics sous l'Empire. La mise en scene — Le théâre sous la Restauration — Le théâtre pendant la période romantique— Le théâtre pendant la monarchie de Juillet. Le théâtre patriotique, le théâtre historique, les théâtres du boulevard— Le théâtre pendant la monarchie de Juillet. Le costume— Les genres nouveaux : l'operette et la féérie — Le théâtre conternporain, la mise en scène — Les constructions théâtrales depuis 1830
- PIECES JUSTIFICATIATES- Bibliographie des peintres décorateurs du XIXe siècle - Les Décorations de l'Opéra au XIXe siecle- Comptes des fournitures d'accessoires à l'Opéra et au Théâtre-Francais faitespar la maison Hallé- Le nouvel Opéra-Comique - L'Opéra de Prague - Les décorateurs des opéras de Wagner
- CONCLUSION
- TABLESTABLE BIBLIOGRAPHIQUE
- TABLE DES GRAVURES
- TABLE ANALYTIQUE DES MATIEREST
- ABLE ALPHABITIQITE DES NOMS PROPRES ET DES PIECES CITES
- TABLE DES CHAPITRES
ISBN : 2873170476
Paul Aron et chargés de cours à l’université libre de Bruxelles et chercheur au fonds national de la recherche scientifique. Il travaille sur l’histoire des lettres belges de langue française et sur la sociologie de la littérature.
Il a consacré de nombreux articles aux écrivains de la fin du XIXe siècle et de l’entre-deux-guerres, de maternelle aux surréalistes ou à Dotremont. Il s’intéresse également aux relations que nous les monde de l’art et de la politique, ainsi qu’aux contacts entre les différentes formes artistiques.
- Taille : 23.7cm x 18.5cm
- AVANT- PROPOS
- (1830-1918)
- SCENES COMMERCIALES — SCENES LITTERAIRES
- LES PLAISIRS DU SPECTACLE
- Le théâtre de la libre entrepriseLes roles multiples du directeurBon goût et mauvais genres L'envers du décor
- LE THEATRE, ENJEU IDÉOLOGIQUE
- Alder les écrivains nationaux
- L'art, miroir de beige
- La comédie d'abord
- UN GENRE SPÉCIFIQUE : LA REVUE « A LA BELGE »
- Un brassage socia
- lBruxelles sur scèneLe phénomene Beulemans
- LA REVOLUTION DU LANGAGE THEATRAL
- Apports du symbolisme belge Le versant méconnu
- Prolongements, transpositions et adaptations
- La nation et son théâtre
- (1918-1940)
- THEATRALISER LE THEATRELES ANIMATEURS DE LA MODERNITÉ
- Un Copeau belge
- Les laboratoires de l'avant-garde
- Les leçons de la Flandre
- Un poète de la scène
- CRITIQUES ET AUTEURS
- Provocations dadaïstes
- Trois dramaturges expressionnistes
- Relais critiques L'extraordinaire M. Poupeye
- LE THEATRE DANS LA SOCIETE
- Le chceur des militants
- De l'agit-prop au scoutisme
- VERS UNE POLITIQUE DU THEATRE
- (1940-1970)
- L'ART DE LA STABILITE
- Défaite du pays, victoire du théâtre
- L'Etat mécène
- Le règne des directeurs
- Le Rideau, théâtre littéraire
- Les fastes du Téâtre National de Belgique
- Les rigueurs du néoclassicisme
- Les territoires du rêve
- S'adapter au présent
- Changements de thèmes
- Changements sur scène
- Changements de decor
- Le prix de la permanence
- (1970-1995)
- CREER A TOUT PRIX
- Du corps-rage de Baal au theâtre-danse
- Vers un théâtre critiqueLes multiples facettes du jeune Théâtre
- Convergences...et spécificités
- PARCOURS D'AUTEURS
- Un théâtre pour une Wallonie revolutionnaire ?
- Les dramaturges, côté textes
- Penser le present, dire le passé
- LA REUSSITE NAIT DES RENCONTRES HEUREUSES
- D'une décénnie l'autre La fin de l'avant-garde annonce le retour de l'acteur
- D'autres publics, d'autres théâres
- Le rationnement et la survie
- EN GUISE DE CONCLUSION
- BIBLIOGRAPHIE
- SOMMAIRE
Avertissement au public.
La première édition de l’Art Théâtral Moderne, complètement épuisé aujourd’hui, date de 14 ans.
C’est pour répondre à de nombreuses demandes que nous tenons aujourd’hui la réimpression de cet ouvrage.
L’étude des niveaux antérieurs, les conversations avec les peintres, les metteurs en scène et les auteurs, enfin les faits recueillis au cours d’un voyage où l’auteur a pu apprécier sur place les systèmes appliqués dans les principaux théâtres de l’Europe du lion fourni les éléments de cet exposé, destiné à provoquer en France un mouvement parallèle, en attirant l’attention des artistes sur les problèmes de la mise en scène.
Les éditeurs
- Taille : 25.4cm x 19cm
- Introduction. pg1
- Le Théâtre en Allemagne. pg13
- Le Théâtre Russe. pg31
- Les idées d'Edouard Gordon Craig. pg49
- Les idées d'Adolphe Appia. pg57
- Les bandes d'air. pg67
- (Beleuchtungssystem Fortuny)
Introduction.
C’est sans doute dans l’animisme et dans la magie qu’il faut rechercher les origines vivantes du théâtre. L’animisme, élément passif, et la magie, élément actif de la religion à sa naissance, caractérisent en effet par de l’activité des groupes humains primitifs et l’on remarque que les premières formes réelles du théâtre secret et ce développe en même temps que se crée et se développent les rites, les cérémonies, les cultes.
Certes, avant toute chose, l’homme doit manger, boire, s’abriter ; les forces extérieures, et d’abord celle de la nature, dominent la vie quotidienne des origines et se présentent aux primitifs avec un caractère d’étrangeté inexplicable. L’homme imite par utilité est sans doute d’abord l’animal qu’il doit nécessairement tuer. Autour du feu, ou la horde est assemblée, les ombres ajoutent au ministère ; le mouvement des flammes invite le corps à danser, et modèle déjà de reflets un masque sur les visages ; un homme alors se sert de son corps pour communiquer avec le groupe, et ses mouvements créent le premier langage. Ce jeu mimétique est déjà du théâtre ; en se donnant en spectacle, l’homme est déjà un acteur.
Mais, chez cet homme, impuissant à lutter contre certains éléments, la foudre ou d’inondation, et provoqué la croyance en un surnaturel, en des esprits. Un stade plus évolué, le primitif croira en une survivance des ancêtres, pillant des dieux. Pour lui encore, le monde se dédouble, il n’est alors un monde mystérieux, où il découvre des « apparences enchantées », des images surgies de son cerveau, celui-ci s’animant peu à peu d’une vie propre, ébauchant bientôt des représentations.
C’est pourquoi il a pu être dit de la religion qu’il est le reflet fantastique de l’existence humaine. Les moyens du théâtre seraient donc menés, en quelque sorte, de la nécessité technique d’exprimer ce « reflet fantastique ».
Aussi, non moins, l’histoire du théâtre se présente-t-elle comme l’histoire d’une des formes de l’activité humaine et reste-t-elle, par là-même, constamment soumise aux lois du développement social du groupe, du clan, de la tribu (et ensuite la cité, de la nation ou de l’tat).
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Léon Moussinac
- Taille : 27.3cm x 21.5cm
- Introduction
- Le Théâtre d'Asie
- L'AntiquitéLe Théâtre médiéval
- Le Théâtre renaissant
- Le Théâtre classique et baroque
- La naissance du Théâtre bourgeois au XVIIIe siècle
- Le Théâtre romantique
- L'évolution du Théâtre contemporain
- Index
- Origine des photographies
ISBN : 2-87143-056-X
Une des représentantes les plus actives de la danse moderne de l’entre-deux-guerres, Akarova (1904) incarne un idéal de création artistique " totale " : elle concevait non seulement ses chorégraphies mais aussi ses costumes, décors et accessoires de scène dont elle assurait toujours la complète exécution; elle réglait elle-même l’éclairage de ses spectacles et allait jusqu’à en dessiner les programmes.
L’ouvrage situe cette expérience chorégraphique dans le contexte européen de son époque et met en valeur ses rapports avec l’architecture des arts du spectacle et l’utopie d’un art total.
Des amitiés mutiples, des collaborations et des rencontres ont jalonné son parcours : le peintre et créateur de mobilier Marcel-Louis Baugniet, Jean-Jacques Gailliard, le groupe 7 Arts et les tenants de la " plastique pure ", l’école de La Cambre avec Henry van de Velde, le dramaturge Herman Teirlinck et l’architecte Jean-Jules Eggericx, les " laboratoires " du théâtre avec Jules Delacre, Léon Lepage et Le Groupe Libre, le théâtre populaire du Vlaamsche Volkstooneel avec le Hollandais Johan de Meester…
Théâtre du Commissariat générale de l'Exposition internationale de Bruxelles en 1935.
Salle Akarova
Construit en 1937 par Jean-Jules EGGERICX Typologie: Salle de spectacle
Style: Modernisme
AVENUE DE L'HIPPODROME 72 IXELLES
Classé comme Monument: Salle Akarova
Début de la protection: 02/05/1991 Protection définitive: 07/05/1992
Cadeau de Bernard Lansens à mes quarante ans
- Taille : 30.5cm x 22cm
- Sommaire
- Avant-propos par Caroline Mierop et Anne Van Loo pg13
- Rêverie sur un nom par Daniel Dobbels pg21
- Akarova par Anne Van Loo pg41
- Akarova par elle-même pg47
- Marcel-Louis Baugniet. Témoignage pg 153
- Akarova ou l’avant-garde entre syncrétisme et autarcie par Giovanni Lista pg217
- Lettres dansantes.
- Akarova et les avant-gardes théâtrales en Belgique par Fabrice van de Kerckove pg287
- Les scènes d’Akarova par Caroline Mierop et Anne Van Loo
- Ephémérides.
- Biographie et chronologie comparée par Annette NèveInventaire des chorégraphies, des costumes et des décors pg477
- Biographie pg533
- Adresses des principaux lieux cités pg536
- Crédits photographiques et sources des documents pg537
- Index Noms et personnes pg539
- Index journaux, revues et maisons d’édition pg547
- Index Institutions, lieux de spectacle, galeries d’art et groupements artistiques pg547
Très beaux plans des fouilles.
Dédicace de l'auteur.
- Taille : 28.7cm x 21.7cm
- Etude comparative du théâtre grec et romain sur base des Fouille du Théâtre de Dionysos à Athène.
ISBN : 2707811610
Un texte clair, précis, synthétique, respectant strictement l'ordre chronologique... Une " documentation-express " d'une étonnante richesse : 436 pages. 2000 illustrations (croquis pris sur le vif, documents d'époque, reconstitutions didactiques, BD...). 1300 noms dans l'index des noms propres. 1 index de Notions (" Censure ", " Eclairage ", " Excommunication des comédiens "...) permettant de faire, en quelques minutes, le tour de la question et de suivre son évolution à travers les âges. Pouvant se lire ou se consulter à plusieurs niveaux, cette vaste synthèse (qui ne néglige pas les prodigieuses étrangetés - méconnues ! - de l'Histoire du Théâtre) concerne tous les publics. Du très jeune lecteur (qui se laissera imprégner par les illustrations) au " théâtrophile " curieux et cultivé (qui goûtera l'inédit absolu de certaines pages) en passant par les lycéens, étudiants et, bien sûr, enseignants/enseignés des Ecoles de Théâtre.
- Taille : 29.5cm x 21cm
- Table.
- Préhistoire du Théâtre. pg5
- Théâtre égyptien. pg9
- Dionysos. pg11
- I.Le temps du service public. pg191
- -Théâtre grec. pg212
- -Théâtre romain. pg553
- -Théâtre médiéval. pg81
- II. Le Temps des Auteurs. pg105
- 1 -Théâtre élisabéthain. pg107
- 2 - Siècle d’Or (Espagne). pg139
- 3 - Commedia dell’arte et (Italie). pg153
- 4 - Le « Monopole » (France. pg177
- 5 - Le Théâtre Bourgeois (17e et XIXe siècle). pg245
- III. Le Temps des Metteurs en Scène. pg285
- 1 - Antoine. pg286
- 2 - Lugné-Poe. pg306
- 3 - Copeau . pg315
- 4 - Le Cartel. pg327
- 5 - Recherches et engagement. pg335
- 6 - Les Années Sombres. pg350
- 7 - Le Théâtre de l’Absurde. pg364
- 8 - Le Théâtre Populaire. pg36
- 9 - Tendance du Théâtre contemporain. pg406
- Annexe 3 : Magdelaine Bérubet. pg407
- Annexe 4 : Jean Lagénie. pg409
- Annexe 5 : Les Stages de l’Education Nationale. pg413
- Annexe 6 : Théâtre corporatif. pg417
- Annexe 7 : Le Théâtre-Ecole de Montreuil. pg419