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L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !
ISBN : 9706261060
Une image du théâtre mexicain.
L’histoire.
Nous ignorons quand il a commencé : le théâtre existait avant l’arrivée des Espagnols, peut-être longtemps avant Jésus-Christ ou un peu après. Les chronologies de notre culture reconnaissent des variations de centaines d’années, recule lors d’une nouvelle découverte archéologique mais reste encore incomplet et fragmentaire.
Avant de commencer leur génocide culturel, les envahisseurs ont rencontré un peuple qui mettait en scène d’énormes spectacles dramatiques devant les temples, sur les places. Il y avait des gens religieux, spécifique et comique. Tout n’est pas perdu : le XXe siècle a retrouvé des trésors littéraires dont un drame traduit mais nous ne possédons pas toutes les clés de la mise en scène.
Au XVIe siècle apparaît un nouveau genre, le théâtre religieux à l’espagnol, basé sur l’idée syncrétique d’utiliser l’ancien souci d’évangélisation. Parmi quelques dramaturges il faut remarquer Hernan Gonzalez de Eslava qui invente des allégories basées sur la vie quotidienne qui se déroule autour de lui ; c’est un précurseur de Lope, comme ses contemporains.
XVIIe siècle : règne du baroque. Une avalanche de poètes excellents dominés par un soleil dont le feu brille chaque jour un peu plus : Sor Juana Inès de la Cruz. Dramaturge éminente, Calderonienne. Deux comédies, trois autos, un bon nombre de «loas » (poème dialogué) indépendants. De mauvaises recherches nous livrent les noms de deux ou trois auteurs ; il doit y en avoir beaucoup plus.
La mort de Sor Juana ferme le siècle d’Or. (Son ami, Carlos de Siguenza y Gogora, a écrit le premier roman américain sous la forme déguisée du reportage : Las desventuras d’Alonso Ramiez. )
le XVIIIe siècle est un peu plus animé qu’en Espagne (littérairement parlant). Eusebio Vela, Comédiens itinérants, monte son propre répertoire qu’il écrit d’une plume un rien de plomb et allégorique ; Cayetano de Cabera y Quintero est, au moins, un bon poète et un dramaturge moyennement statique.
Todos contra el payo y el payo contra todos qui a fini par être attribué presque gratuitement à Fernandez de Lizardi est une ouvre exceptionnelle, de grande puissance, que les répertoires modernes n’hésitent pas à reprendre. Nous pourrions la qualifier de « pirandellienne ». En plus de son roman célèbre que tout se considère comme « le premier du continent » Lizardi a donné un drame estimable, particulièrement dans ses monologues élégamment appelésu « unipersonnels ». De même qu’une pastourelle assez fade.
Le XIXe siècle est un volcan. La Nation éclate de diverses reprises, nous sommes envahis par deux fois, notre territoire et mutilés. Dans ce chaos, le théâtre est florissant. D’innombrables dramaturges n’ont pas encore été recensés jusqu’ici par manque de recherche sérieuse et par la faute d’histoire du théâtre toujours trop partielles. Retenons plusieurs classiques : c’est un Hahn do Calderon, un romantique ; Manuel Eduardo de Gorostiza, le plus grand et le plus durable des néoclassiques de la langue, infiniment supérieur aux Espagnols, spirituel, et dont les portraits survivent et sont autonomes ; Manuel Acuna. Et beaucoup d’autres. Des compagnies étrangères de théâtre et d’opéra voyage fréquemment dans toute la République, malgré les circonstances. Et nous avons plusieurs compositeurs d’opéra. Nous couvons notre légendaire rossignol Angela Peralta. L’éclat aventurier, étincelant, populaire à cette époque est propice à l’apparition de la revue musicale, un genre qui régnera au siècle suivant pendant près de 50 ans. Paralysé dans un équilibre artificiel, le pays se maintient dans le XIXe siècle jusqu’en 1910. C’est alors que commence la Révolution.
C’en est fini des nombreux et superbes théâtres que l’on trouvait jusque dans les petits villages ; ils deviennent des casernes, des écuries ou d’héroïne. Ou encore des cinémas, ce qui est une forme de désastre plus lent et moins propre. la fin de la Révolution, le phénix dramatique tarde de quelque peu à renaître de ses cendres. Puis, les ailes un peu reniaient, il tente de s’envoler …
….
Emilio Carballido
- Taille : 22,5cm x 16,5cm
- Sommaire.
- Une image du thétre mexicain, Emilio Carballido. pg5
- Les noces (Las Bodas), Luisa Josefina Hermandez. pg13
- Un foyer solide (Un hogar solido), Elena Garro. pg45
- Les exclus (Pueblo rechazado), Vicente Lenero. pg59
- La paix des braves gens (La paz de la buena gente), Oscar Vilegas. pg97
- La nuit de la lune folle (La vela de la luna loca), Adrian Sotomayor. pg123
- Les oiseaux noirs de l’adieu (Los negros pajaros del adios), Oscar Liera. pg149
- L’homme du Sudeste (El ombre del sureste), Miguel Angel Tenorio point pg177
- Entre Pancho Villa et une femme nulle (Entre Pancho Villa y una mujer desnuda), Sabina Berman. pg227
- Sexe, pudeur et larmes (Sexo, pudor y lagrimas), Antonio Serrano. pg271
The whole adventure of man with the theatre is written in this book for the first time. Beginning with the primitive dances, moving on to the festival of Dionysus and the birth of tragedy, swinging from Japan to Spain, from French cathedrals and Italian opera houses to Gordon Craig setting and American moving picture studios, Mr Cheney tells what the dramatic impulse and achievement have meant in thity centuries of human life. The growth of the physical stage, the changes in acting, the story of the writing of plays is blended in one. As a result, the reader gets a sense of the relation of theatrical activities one to another which he could not find in any history of drama alone, of acting alone, or of the stage alone.
Yet with such ease of style and such conpactness has Mr. Cheney written this book that an account fit to guide students of the theatre, becomes also the most vivid and readable of books. Facts about great playhouses, anecdotes of dramatists and actors, glimpses of the birth of dancing and opera, the clash of machine age with the old theatre - all are glittering parts of a singel garment ofchanging hue. The glow of the theatre is over it all, and throughout appear great personalities of the stage world. From Eschylus and Platus to Eugene O’Neill, from the masked actors of Athens to Duse and Charie Chaplin, the book marches in a narrative glamorous exciting; it is itself a modern « chronicle play » of the eternal play world.
- Taille : 24cm x 16cm
- Content.
- Dionysus. vii.
- I. The Theatre, Human and Divine. pg1
- II. Where the Theatre came from and when. pg11
- III. Tragedy : the Noble Greeks. pg30
- IV. Comedy : Greece and Rome. pg69
- V. Sensuous and Intellectual Theatres : the Orient. pg104
- VI. The Theatre in the Church. pg134
- VII. The Medieval Spirit and Stage. pg152
- VIII. The Glorious Renaissance - with Reservations. pg177
- IX. A Pretty Interlude - Pastoral and Operatic. pg207
- X. The Vulgar Popular Comedy. pg220
- XI. The Chivalrous Theatre of Spain. pg242
- XII. Shakespeare. pg261
- XIII. The Puritans and the Chapel of Satan. pg285
- XIV. Kings, Courrtesans, and Dramatists of France. pg307
- XV. Opera, Picturing, and Acting. pg337
- XVI. « Sturm and Drang ». pg354
- XVII. The Theatre and the Birth of Democracy. pg379
- XVIII. Romanticism : the Theatre as Escape. pg411
- XIX. Well-Made Plays and Pretty Scenery : Victorianism. pg429
- XX. Realism : Photography and Journalism on Stage. pg448
- XXI. The Thatre and Its Swell Relations : the Other Arts. pg466
- XXIII. The Rise of Production as an Art. pg515
- XXIV. Machine-Age Developments. pg528
- Epilogue : Yersterday, Today, and Tomorrow. pg539
- Author’s Acknowledgment. pg543
- General Bibliography. pg547
- Index. pg551
ISBN : 2825111201
Archaïque, mais bricoleur, le thétre a toujours absorbé les inventions techniques de son époque, qu’elle soit mécaniques, électriques, filmiques ou électroniques. En intégrant ces nouveautés, il sert en détourner l’usage à son profit, tant que qu’il demeure dans son espace et dans son temps, marqué par la mémoire et par le jeu de ces acteurs polyvalents, maître de la scène, des mouvements de leur corps et de leur voix.
Histoire du thétre du XXe siècle est remplie d’exemples fameux ne plateau envahi d’écran - de Meyerhold à Sellars, de Piscator à Svoboda, Einstein à Peyret. Le maniement de l’outil-vidéo, plus souple que l’outil-cinéma, la possibilité de retraitement direct des images, transforment leurs conditions de production et les vingt dernières années du siècle en vue progressivement les moniteurs croître et se multiplier sur scène. Il peut s’agir là d’un simple effet de mode. Mais utiliser sur scène les images, des plus simples aux plus sophistiquées, ne signifie pas forcément céder à leur pouvoir et se soumettre à l’idoltrie del’ « imagerie » dominante. En effet isolé de la continence du flux communication Nesle qui la porte, l’image peut se faire étrange, lieu d’un possible discours critique.
Fruit du travail collectif de l’équipe « Théâtre et cinéma » du Laboratoire de recherches sur les arts du spectacle du CNRS, ce livre s’attache à recenser, contre certaines attitudes de repli frileux et à partir d’analyses de spectacles montés durant les deux dernières décennies, en Europe, aux USA, au Canada, les différents usages des écrans installés sur scène, les réussites, les échecs, les dangers. En quête d’une authentique écriture polivisuelle ou la scène instrumentalise les écrans sans abandonner les spécificités du fonctionnement de son dispositif propre, nombre de spectacles montre que, dans la fragilité et la marginalité où il se trouve aujourd’hui, le thétre peut intégrer par tissage et croisements les autres médias. Et que, confronté à une « multicorporéité », à ses doubles ou à ceux des autres, présent en sen ou bien absent, l’acteur apprend à produire un suspense capable de renforcer la qualité d’écoute et d’attention du public …
- Taille : 22,5cm x 15,5cm
- Table des matières.
- Remerciements. pg7
- Hybridation spatiale, registre de présence par Béatrice Picon-Vallin. pg9
- Technologies nouvelles et magie théâtrales.Lucian Pintilie Au Théâtre de la Ville par Mirella Nedelco-Patureau. pg36
- Usages et usures de l’image. Spéculation sur « le Marchand de Venise » vu par Petter Sellars par Frédéric Maurin . pg71
- « La Dispute » de Marivaux sous l’oeil de Dominique Pitoiset quand la vidéo se fait une machine de théâtre par Sylvie Chalaye. pg106
- Les images du rang le plus bas. Autour de Gabily par Bruno Tackels. pg122
- Les charniers cathodiques de « Gibiers du Temps » par Sylvie Chalaye. pg141
- Dioptrique des corps dans l’espace électronique.Sur quelques mises en scène de Giorgio Barberio Corsetti par Didier Plassaard. pg149
- L’écran de la pensée ou les écrans dans le théâtre de Robert Lepage par Chantal Hébert et Irène Perelli -Contos. pg171
- La Fura dels Baus : histoire d’images, du corps à l’écran par Valentine Garcia Plata. pg206
- Théâtre et réalité virtuelle.Une introduction de la démarche de Mark Reaney par Frank Bouchard. pg225
- Archaos et le piège des images par Katarina Flora. pg246
- De l’installation à la performance : la tradition au coeur de la technologie. « S/N » ou « la Confession Impudique » par Christine Zeppenfeld et Nicole Le Bian-Prada . pg257
- Texte, scène et vidéo par Jean-François Peyret. pg279
- Propos de créateurs.Psychoplastique de l’espace dramatique par Josef Svoboda et Milena Honzikova (entretien avec Danièle Montmarte). pg295
- « La Traviata » de Verdi : projections et reflets par Josef Svoboda. pg303
- Des corps faits de lumière par Giorgio Barberio Corsetti. pg306
- Manifeste canaille par Andreu Morte et Marcelli Antunez. pg311
- L’image est un acteur par Micky Espuma (entret ien avec Valentina Garcia Plata). pg312
- Le théâtre digital par Carles Padrisa I Singla. pg316
- Cinq règles du Théâtre Digital par La Fura del Baus. pg319
- Un autre rapport d’échelle par Dominique Pitoiset. pg320
- Du théâtre d’ombres aux technologies contemporaines par Robert Lepage (entretien avec Ludovic Fouquet). pg325
- Liste des auteurs. pg333
- Index. pg335
- Table des matières. pg343
ISBN : 8391656624
Catalogue d’exposition
- Taille : 21cm x 15cm
- Catalogue d’exposition
- 289 oeuvres exposées
ISBN : 9780240810119
For every phase of theatrical production, Sound and Music for the Theatre traces the entire process of sound design from initial concept through closing night. The book discusses the early evolution of a sound design that supports the play, from researching sources for music and effects to negotiating a contract. It shows how to organize the construction of the sound design elements, how the designer functions in a rehearsal, and how to set up and train an operator to run sound equipment for a theatrical production. This instructive information is interspersed with "war stories describing real-life problems with solutions that sound designers and composers can apply in their own work.
The new third edition still retains its focus on aesthetics, techniques, and process. However, it goes beyond to offer a brand new forum on sound reinforcement, unique information on computer-assisted playback systems, and a comprehensive perspective on using technology to build and execute shows.
Features:
*A fresh look at the technology used to build and execute shows
*How to maximize the Internet as a major, important, every day resource for today's sound designers and composers
*A new roundtable forum discussion with sound reinforcement designers that uncovers insights from the top professionals in this field
*Everyday paperwork, new examples for sound plots and cue sheets to increase the variety of examples you can use or build upon
- Taille : 23cm x 15,5cm
- Contents
- Forword by Peter Sellars. VIII
- Preface to the First Edition. X
- Preface to the Second Edition. XII
- Preface to the Third Edition. XIII
- Introduction to the First and Second Edition by Richard Peaslee. XV
- Introduction to the Third Edition by Mark Lamos. XVII
- Acknowledments. XIX
- The Art of Looking with the Ear by Tazewell Thompson. XXI
- 1. The Evolution of the Sound Design. pg1
- 2. The Foundation of Sound Design. pg12
- 3. Developing the Concept and Design. pg40
- 4. Research, Ressources and Selection. pg51
- 5. The Sound Plot. pg65
- 6. Working with the Theater Company. pg80
- 7. Preparing to Build the Cues. pg95
- 8. Recording, Editing, and Refining Cues. pg110
- 9. Rehearsals. pg118
- 10. Running the Show. pg141
- 11. Approaches and Techniques. pg167
- Feedback : A Directors’ and Playwrights’ Forum. pg186
- More Feedback : A Sound Designers’ and Composers’ Forum. pg223
- No more Feedback : A Sound Reinforcement Forum. pg289.
- Glossary. pg307
- Index. pg313
ISBN : 2843311136
C'est en pleine renaissance de l'art dramatique, après la rupture brutale provoquée par la Seconde Guerre mondiale et l'Occupation, qu'une nouvelle génération de décorateurs de théâtre, par force et par nécessité, ont inventé un nouvel art du décor.
De la pauvreté des premières années à l'apogée de leur carrière sur les grandes scènes nationales et internationales, trente grands décorateurs, dont cinq peintres, sont évoqués par les auteurs, metteurs en scène, chorégraphes, dont ils ont servi les créations, avec de nombreuses reproductions de leurs maquettes de décors et de costumes, et leurs propres réflexions sur cet art.
1950-1980: trente années d'une richesse d'inventions architecturales et picturales, rares dans l'histoire de la décoration théâtrale en France.
- Taille : 21cm x 28cm
- Table des matières
- .Avant-propos de Jean Dérens. pg5
- Les bâtisseurs de rêves, Roger Jouan. pg7
- L’apport des bâtisseurs, Roger Jouan. pg11
- Une vie sur une toile. pg13
- Le rideau s’ouvre …, Alain Baude-Defontaine. pg17
- Christian Bérard. pg19
- André Barsacq. pg23
- Lucien Coutaud. pg27
- Yves Faucheur. pg31
- Georges Wakhévitch. pg35
- Jean-Denis Malclès. pg39
- André Beaurepaire. pg43
- Bernard Daydé. pg47
- Lila De Nobili. pg51
- François Ganeau. pg55
- Jacques Noël. pg59
- Francine Galliard-Risler. pg63
- Roger Harth. pg67
- André Acquart. pg71
- Jacques Dupont. pg76
- André Levasseur. pg79
- Jacques Marillier. ph83
- Georges Richar. pg87
- Pierre Simonini. pg91
- Hubert Monloup. pg96
- Augusto Pace. pg99
- Daniel Louradour. pg103
- Pierre Clayette. pg107
- Yannis Kokkos. pg111
- Guy-Claude François. pg115
- La boîte noire contre la toile blanche, Roger Jouan. pg119
- Pablo Picasso. pg119
- Félix Labisse. pg123
- Roger Chapelain-Midy. pg127
- Léonor Fini. pg131
- Jean Carzou. pg135
- Lassociation de la Régie Théâtrale. pg140
- Sources bibliographiques. pg142
ISBN : 9782259203562
Après avoir joué Scapin, Alceste, les canards elle, Mascarille, George dans le bain, Francis Perrin a décidé d’incarner dans un récit romanesque un Molière insoupçonné : chef d’entreprise avant l’heure, meneur d’hommes à l’énergie sans bornes et à l’imagination débordante, chef de troupe au besoin de création insatiable.
C’est dans sa vie quotidienne, au milieu des grimaces de la farce et des splendeurs de la grande comédie, entre les querelles d’acteurs et les problèmes financiers, que Francis Perrin, armé de son expérience des planches et poussées par son amour du thétre, a su saisir le plus fameux de nos deux auteurs dramatiques.
Comédien, metteur en scène, directeur de thétre, Francis Perrin a dirigé sa propre compagnie. Il a publié son autobiographie, mon panthéon est décousu (le rocher, 2003), et un premier roman, degré de lassitude (le rocher, 2005).
- Taille : 22,5cm x 14cm
- Table.
- Chapitre premier : farceur malgré lui. pg7
- Chapitre deuxième : auteur malgré lui. pg25
- Chapitre troisième : imprimé malgré lui. pg59
- Chapitre quatrième : querellé malgré lui. pg86
- Chapitre cinquième : interdit malgré lui. pg145
- Chapitre sixième : cocu malgré lui. pg181
- Chapitre septième : malade malgré lui. pg203
- Chapitre huitième : bourgeois malgré lui. pg253
- Chapitre neuvième : mort malgré lui. pg285
- Annexes. pg309
ISBN : 2070127990
Le 14 décembre 1645, Louis XIV, tout juste âgé de sept ans, assiste à la représentation du premier opéra joué en France, La Finta Pazza («la folle feinte») de Francesco Sacrati. L'enfant se fascine pour les ballets de singes, d'autruches, d'ours, d'indiens et de perroquets qui rythment les intermèdes. On peut même supposer qu'il colorie, avec une maladroite application, la suite de gravures qu'en tire, pour commémorer ces chorégraphies, Valerio Spada.
Une dizaine d'années plus tard, le jeune vainqueur de la Fronde danse devant sa cour les ballets d'un autre opéra, Les Noces de Thétis et Pélée. Il s'y grime en Apollon, en dryade, en élève de Chiron, en courtisan et en allégorie de la Guerre.
Dans leur contingence apparente, ces deux événements se recoupent en plusieurs points : outre d'impliquer la figure du roi et sa passion du spectacle, d'appartenir l'un et l'autre aux premières décennies d'une nouvelle forme d'art, ils furent l'objet de scénographies stupéfiantes, dues au même «Grand Magicien», virtuose des nues, des métamorphoses, des perspectives confondantes, des changements à vue : Giacomo Torelli. Ils représentent la Merveille Baroque à son apogée.
L'album de La Finta Pazza est aujourd'hui l'un des joyaux du Fonds Jacques Doucet, conservés à l'Institut national d'histoire de l'art, et il est ici reproduit pour la première fois en fac-similé dans sa totalité. Il est complété d'un choix de planches représentant les décors de Torelli pour Les Noces de Thétis et Pélée
- Taille : 25cm x 20,5cm
ISBN : 2070337499
«Là où d'autres proposent des oeuvres je ne prétends pas autre chose que de montrer mon esprit. La vie est de brûler des questions», écrit en 1925 Antonin Artaud dans L'Ombilic des Limbes. Une dizaine d'années plus tard, son Théâtre de la Cruauté révolutionne la conception occidentale du théâtre : la littérature est un acte, martèle-t-il, la mise en jeu de forces, l'inverse d'une consommation à distance. Lui, que les psychiatres qualifieront de schizophrène, luttera inlassablement contre la rupture entre les choses et les signes, entre l'art et la vie. Evelyne Grossman retrace ici la trajectoire d'Artaud depuis ses premiers poèmes surréalistes jusqu'aux textes fulgurants de la fin : ses expériences cinématographiques et théâtrales, ses voyages vers les anciens mythes du Mexique ou d'Irlande, les neuf années d'internement psychiatrique, sa furie d'écriture et de dessins jusqu'à sa mort en 1948. Au-delà de la légende du poète maudit, se dessine le corps-oeuvre d'Artaud, cette «matérialisation corporelle et réelle d'un être intégral de poésie».
- Taille : 18cm x 12,5cm
- Sommaire.
- Chapitre 1. « Une effroyable maladie de l’esprit ». pg10
- Chapitre 2. Vers un thétre de la cruauté. pg28
- Chapitre 3. Sur la voie des mythes. pg44
- Chapitre 4. Les années d’enfermement basilaire. pg56
- Chapitre 5. Le retour d’Artaud le Mômo. pg76
- Témoignages et documents. pg97
ISBN : 2814400363
In this book, the Parisian writer Eric Hazan takes you for a stroll through Paris as it was for his famous forebears Balzac, Stendhal, Hugo, and Nerval. A Paris that sparkles in the fresh, airy watercolours and drawings collected by the architect Destailleur, now housed in the Prints and Photographs Department of the Bibliothèque Nationale de France. Despite the city's enduring medieval look, the Paris illustrated here is stirred by a revolutionary spirit, a city that crowned emperors and twice restored the monarchy.This is the capital as it was before Haussmann's major transformations: from the Marais and the Latin Quarter to the Faubourg Saint-Germain and the Palais Royal, from the Pont des Arts and the Pont Neuf to the theatres on the Boulevards and the Louvre. In these views, the inhabitants ride about on horses or fish in the Seine, flounder in muddy streets, or sit outside in one of the newfangled sidewalk cafés to watch the world go by.
- Taille : 25cm x 29cm
Le Malade imaginaire.
C’est une de ces farces de Molière dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie. La naïveté peut-être poussait trop loin en fait le principal caractère. Ces farces ont le défaut d’être quelquefois un peu trop basses et ses comédies de n’être pas toujours assez intéressante, mais avec tous ses défauts la, il sera toujours le premier de tous les poètes comiques. Depuis lui le thétre français s’est soutenu et même a été asservi à des lois de décence plus rigoureuse que du temps de Molière. On n’oserait aujourd’hui hasarder la scène où le tartuffe presse la femme de son hôte ; on n’oserait se servir des termes de dispute, de Carole mieux, et même de cocu ; la plus exacte bienséance règne dans les pièces modernes. Il est étrange que tant de régularité n’est plus le levée encore cette tche qu’un préjugé très injuste attache à la profession de comédiens ils étaient honorés dans Athènes, où il représentait de moins bons ouvrages ; il y a de la cruauté à vouloir avilir des hommes nécessaires à un état bien policier, qui exerce sous les yeux des magistrats un talent très difficile et très estimable ; mais c’est le sort de tous les gens à talent, qui sont sans pouvoir, de travailler pour un public ingrat.
Voltaire
- Taille : 16,5cm x 10cm
- Préface historique pour l’Edition de 1742.
- Lettre de Monsieur le Cardinal de Fleury à Mr. de Voltaire. pg7
- Réponse de Monsieur de Voltaire. pg9
- Première lettre du Prince Royal de Prusse à Monsieur de Voltaire. pg10
- Réponse de Monsieur de Voltaire. pg16
- Lettre de Monsieur le Cardinal Alberoni à Mr. de Voltaire. pg23
- Réponse de Monsieur de Voltaire. pg24
- Lettre du 11 voix de Prusse à Madame la Duchesse de Brunswik. pg25
- Préface de l’Edition de 1737 parMr. Linant. pg27
- Traduction d’une lettre de Monsieur Antoine Cocchi. pg31
- Idée de La Hrnriade. pg47
- La Henriade.
- La Henriade - Chant premier. pg3
- La Henriade - Chant second. pg25
- La Henriade - Chant troisième. pg43
- La Henriade - Chant quatrième. pg67
- La Henriade - Chant cinquième. pg87
- La Henriade - Chant sixième pg105
- La Henriade - Chant septième pg123
- La Henriade - Chant huitième. pg147
- La Henriade - Chant neuvième. pgpg171
- La Henriade - Chant dixième. pg187
- Essai sur la poésie épique par Monsieur de Voltaire. pg207
- Chapitre premier.
- Des différents goûts des peuples. pg210
- Chapitre second.
- Homère. pg219
- Chapitre troisième.
- Virgile. pg239
- Chapitre quatrième.
- Lucain. pg250
- Chapitre cinquième.
- Le Trissin. pg256
- Chapitre sixième.
- Le Camouens. pg261
- Chapitre septième.
- Le Tasse. pg268
- Chapitre huitième.
- Don Alonso d’Ercilla. pg287
- Chapitre neuvième. Milton. pg297
- Histoire de Molière et de ses ouvrages. pg315
- Vie de Molière. pg319
- L’Etourdi ou les contretemps : comédie en vers et en cinq actes, jouer d’abord à Lyon en 1653. Puis à Paris au mois de décembre 1658. Sur le théâtre du Petit Bourbon. pg335
- Le Dépit amoureux : Comédie en vers et en cinq actes, représenté au théâtre du Petit Bourbon en 1658. pg338Les Précieuses ridicules : comédie en un acte et en prose, jouée d’abord en Province, et représentée pour la première fois à Paris sur le thétre du Petit Bourbon, au mois de novembre 1659. pg339
- Le Cocu Imaginaire : comédie en un acte et envers, représentée à Paris le 28 mai 1660. pg342
- Don Garcie de Navarre ou le Prince jaloux : comédie héroïque envers et en cinq actes, représentée pour la première fois le 4 février 1661. pg343
- L’Ecole des Maris : comédie en vers et en trois actes, représentée à Paris en 1661. pg344
- Les Facheux : comédie envers et en trois actes, représentée à Vaux devant le Roi, au mois d’août, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 4 novembre de la même année 1661. pg346
- l’Ecole des Femmes : comédie en vers et en cinq actes, représentée à Paris sur le thétre du Palais-Royal le 26 décembre 1662 . pg348
- La Critique de l’Ecole des Femmes : petite pièce en un acte et en prose, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 1er juin 1663. pg350
- L’Impromptu de Versailles : petite pièce en un acte et en propose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 novembre de la même année. pg351
- La Princesse d’Elide ou les Plaisirs de l’Ile enchantée : représenter le 7 mai 1664 à Versailles à la grande Fête que le Roi donna aux Reines. pg352
- Le mariage forcé : petites pièces en prose et en un acte, représentée au Louvre le 24 janvier 1664 et au thétre du Palais-Royal le 15 décembre de la même année. pg353
- L’Amour médecin : petite comédie en un acte et en prose, représentée à Versailles le 15 septembre 1665 et sur le thétre du Palais-Royal le 22 du même mois. pg354
- Don Juan ou le Festin de Pierre : comédie en proposant cinq actes, représentée sur le thétre du Palais-Royal le 15 février 1665. pg355
- Le Misanthrope : comédie en vers et en cinq actes, représentée sur le thétre du Palais-Royal le quatre de juin 1666. pg358
- Le Médecin malgré lui : comédie en trois actes et en prose, représentée sur le thétre du Palais-Royal le 6 aot 1666. pg361
- Le Sicilien, ou l’Amour peintre : comédie en prose et en un acte, représenté à Saint-Germain-en-Laye en 1667 et sur le théâtre du Palais-Royal le 10 juin de la même année. pg362
- Melicerte, Pastorale héroïque : représenter à Saint-Germain-en-Laye pour le Roi au Ballet des Muses, en décembre 1666. pg363
- Amphitryon : comédie en vers et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 13 janvier 1668. pg363
- L’Avare : comédie en prose et en cinq actes, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668. pg366
- Georges Dandin, où le mari confondu : comédie en prose et en trois actes, représenté à Versailles le 15 juillet 1668 et à Paris le 9 de novembre 1668. pg370
- L’imposteur ou le Tartuffe : jouer sans interruption en public le 5 février 1669. pg371
- Monsieur de Pourceaugnac : Comédie ballet en pros et en trois actes, fêtes et jouer à Chambord pour le roi, au mois de septembre 1669 est représenté sur le thétre du Palais-Royal le 15 novembre de la même année. pg376
- Le Bourgeois Gentilhomme : comédie ballet en prose et en cinq actes, fêtes et jouer à Chambord au mois d’octobre 1670 est représenté à Paris le 23 novembre de la même année. pg377
- Les Fourberies de Scapin : comédie en prose et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 24 mai 1671. pg379
- Psyché : tragédie ballet en vers libres et en cinq actes, représenté devant le roi dans la salle des machines du palais des Tuileries en janvier et durant le carnaval de l’année 1670 est donné au public sur le théâtre du Palais-Royal en 1671. pg381
- Les femmes savantes : comédie en vers et en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 11 mars 1672. pg383
- Les Amants Magnifiques : comédie ballet en prose et en cinq actes, représenté devant le roi à Saint-Germain, au mois de février 1670. pg386
- La Comtesse d’Escarbagnas : petite comédie en un acte et en prose, représenté devant le roi à Saint-Germain, en février 1672 et à Paris sur le théâtre du palais Royal le 8 juillet de la même année. pg387
- Le malade imaginaire : en trois actes avec des intermèdes, fut représentée sur le cas du Palais-Royal le 10 février 1673. pg388
ISBN : 2930705175
Le sujet de ce troisième volume de la collection "Visions", consacrée aux architectures publiques, ne pouvait échapper à l'évènement que constitue l'ouverture du Théâtre national, en plein coeur de Bruxelles. Après 40 années d'existence dans la tour Rogier, aujourd'hui détruite, la première scène de la Fédération Wallonie-Bruxelles entame un nouveau cycle de vie, dont la matérialisation la plus évidente est l'installation dans un bâtiment flambant neuf.
Compagnon de route du Théâtre national, la photographe Marie-Françoise Plissart était naturellement désignée pour témoigner de ce moment charnière. Le metteur en scène Matthias Langhoff s'interroge quant à lui sur l'identité d'un nouveau théâtre à l'orée du XXIe siècle tandis que François Thiry et Carole Schmit analysent la question sous l'angle de la critique architecturale. Les architectes témoignent également de leur engagement dans cette aventure et les directeurs Philippe Van Kessel (1990-2005) et Jean-Louis Colinet (2004-2016) évoquent les ambitions de la direction artistique du nouveau théâtre.
- Taille : 17,2cm x 21,5cm
- Marie-Françoise Plissart
- Photographies. pg2
- Matthias Langhoff
- Réflexions hétéroclite après la visite d’une maison de verre. pg48
- Historique. pg56
- Nancy Delhalle
- Un théâtre pour la cité : le nouveau théâtre national à Bruxelles.
- Entretien avec Philippe van Kessel et Jean-Louis Colinet. pg60
- Carole Schmidt
- Architecture, théâtre et réalisme tertiaire. pg72
- Philippe Ernotte
- Au pied du mur.
- Questions provisoires sur une architecture en devenir.
- Entretien avec les architectes du Théâtre National. pg80
- Auteurs. pg88
- Documents. pg90
- Biographies. pg116
- Fiche technique. pg120
- Descriptif. pg122
Avant-propos.
Ce livre a une longue histoire. Et cette histoire est assez belle.
C'est une œuvre collective et il semble impossible de citer–dont ils sont nombreux–tout ce qui, avec un merveilleux désintéressement, en contribuer à sa naissance.
Le point de départ fut le IVe Congrès de l’Institut International du Théâtre, à Oslo, en 1951.
Pendant toute la durée de ce Congrès, le Centre Norvégien présentait une Exposition internationale de maquette de décor, si admirable que nous ne Sung-Jin pas centristes qu'elle allait se disperser sans laisser de traces. C'est alors que la délégation française suggéra qu'une sélection de ses maquettes se présenter dans un volume ou ce matérialiserait ainsi l'esprit de confrontation et de collaboration internationale qui anime l’ I.I.T.
L’idée prixtcorps grâce au Président du Centre Norvégien, Monsieur Axel Otto Normann, qui trouva les premiers fonds nécessaires pour la reproduction photographique d'une foule de documents originaux.
C'était un bon départ, mais le « grande œuvre » ne faisait que commencer. Dans les mois qui suivirent, notre ambition ça cru en même tant que notre objectif se préciser : rendre compte de l'évolution du décor de théâtre au cours des 20 dernières années. À notre demande, 23 pays nous envoyer une nouvelle sélection, plus complète, plus sévère, y joignant une fiche technique détaillée pour chaque document, une courte biographie des divers décorateurs, une étude historique sur l'évolution et les influences subies entre 1935 et aujourd'hui.
Chargé par nous de la centralisation du travail, René Hainauxse trouva, après quelques trois ans, à la tête de 2000 documents environ. Yves-Bonnat devait se joindre à lui pour faire le choix définitif que nous vous présentons aujourd'hui–soit souvent cruel parmi des décors et tout c'était de qualité.
C'est dire que si ce livre est un concentré, il est aussi une somme. Ou si c'est Louis Van ou avec Eelens tous ceux qui nous ont apporté leur concours est permis de résoudre les problèmes les plus délicats. Par exemple, celui des droits de reproduction. Il était vite apparu que l'ouvrage ne trouverez un éditeur que si cette question était préalablement réglée. Notre gratitude va d'abord aux Centres et aux correspondants qui nous ont donné tout apaisement à ce sujet, mais il va aussi au décorateur, au photographe et, dans certains cas, aux collectionneurs qui ont accepté que des documents qui leur appartenait soit utilisé gracieusement. Les citer tous personnellement serait impossible.
…
Dès le origine, il avait été prévu que certaines de ses études serait publié in extenso : Allemagne, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni. Pour les autres nations, les études originales ont été résumées et réécrites par Yves-Bonnart que ses compétences techniques et ses connaissances personnelles désigné tout naturellement pour ce travail.
Le lecteur s'étonne rat sans doute de l'absence d'un certain nombre de nations dont certaines très importante : la Chine, l'Inde, l’URSS… Il y verrat à tort un parti pris. La vérité est que, malgré nos démarches répétées, nousn’avons pas réussi, dans ces pays, à trouver une personnalité ou un organisme qui accepte d'assumer la responsabilité d'une sélection nationale. Et nous avons eu scrupules à présenter les documents que nous avions réunis au hasard de circonstances : notre choix eüt été incomplet et subjectif.
Un salut amical encore
à l’éditeuru Olivier Perrin, à qui nous sommes redevables d'un projet de mise en page. À la maison « Elsevier », qui a pris notre livre en affection et en assurer une impeccable réalisation. Un jeune peintre espagnol Capoulet qui, dont le talon s'est affirmé dans la conception de la jaquette.
Kenneth Rae - Président du Comité des Publications de l’I.I.T.
- Taille : 30cm x 24,5cm
- Table des matières
- Dessin-
- Préface de Jean Cocteau. III
- Avant-propos, par Kenneth Rae. V
- Introductions aux illustrations.
- Argentine, d’après Hector Basaldua et Jorge de Obieta. pg7
- Australie, d’après Allan Ashbolt. pg7
- Belgique, d’après le Centre Belge de l’I.I.T. pg8
- Brésil, d’après Olga Obry. pg8
- Tchécoslovaquie, d’après Vaclav Hepner. pg9
- Chili, d’après le Centre Chilien de l’I.I.T. pg9
- Danemark, d’après Svend Erichsen. pg9A
- llemagne, par Ingvelde Müller. pg10
- France, par Raymond Cogniat. pg13
- Grèce, d’après le Centre Hellénique de l’I.I.T. pg15
- Suisse, d’après Edmond Stadler. pg16
- Italie, par Giulio Pacuvio. pg16
- Yougoslavie, d’après Marijan Matlovic. pg19
- Mexique, d’après Xavier Villaurutia. pg20
- Pays-Bas, d’après le Centre Néerlandais de l’I.I.T. pg20
- Nouvelle-Zélande, d’après le New Zealand Drama Concil. pg20
- Japon, par Kihachi Kitamura. pg21
- Norvège, d’après Axel-Otto Normann. pg23
- Pologne, d’après Henryk Szletynski. pg23
- Finlande, d’après Matti Waren et Rolf Stegars. pg24
- Suède, d’après Gustaf Hilleström. pg24
- Royaume-Uni, par Aubrey Ensor. pg25
- Etats-Unis, par Charles Elson. pg29
- Clefs de l’ouvrage.
- - Illustration des légendes. pg31
- - Illustrations.
- Argentina. pg33
- Australia. pg39
- Belgique. pg43
- Brasil. pg49
- Ceskoslovensko. pg51
- Chile. pg54
- Danmark. pg55
- Deutschland. pg62
- France. pg82
- Hellas. pg103
- Helvetia. pg113
- Italia. pg120
- Jugoslavija. pg133
- Mexico. pg135
- Nederland. pg136
- New Zeland. pg141
- Nippon. pg142
- Norge. pg152
- Polska. pg156
- Suomi. pg158
- Sverige. pg160
- United Kingdom. pg169
- United States of America. pg189
- Index des illustrations par ordre alphabétique des décorateurs. pg209
- Index des illustrations par ordre alphabétique des auteurs, compositeurs et chorégraphes. pg215
ISBN : 222200909X
Colloque de Royaumont, juin 1961; réunies et présentées par Denis Bablet et Jean Jacquot ; avec la collaboration de Marcel Oddon ; colloque organisé en collaboration par "Maison du théâtre", le Groupe de recherches sur le théâtre (CNRS) et le Groupe théâtre du Cercle culturel de Royaumont
- Taille : 27,5cm x 21,5cm
- Table des matières.
- Avant-propos. pg5
- Présentation, par Jean Jacquot. pg7
- La remise en question du lieu théâtral au XXe siècle, par Denis Bablet. pg13
- Théâtre et public, par Gigi Lunari. pg27
- Des théâtres pour le peuple, par Jean-Claude Marrey. pg35
- Installation d’un Centre Dramatique, par Gabriel Monnet. pg47
- Expérience de théâtre populaire au Maroc, par André Voisin. pg49
- Le théâtre, art de masse ? Par Bernard Dort. pg55
- Expérience du drame, expériences sociales, par Jean Duvignaud. pg63
- Le théâtre et les loisirs, par Paul Nelson. pg69
- L’architecte de théâtre et la cité, par Pierson Sonrel. pg73
- Le théâtre est-il un art visuel ? par Pierre Francastel. pg77
- Rapport de l’acteur et du spectateur comme condition d’une architecture, par André Villiers. pg85
- Scène ouverte et scènes fermées par Richard Southern. pg91
- Le théâtre comme instrument, par René Allio. pg99
- Influence sociale et économique sur l’architecture théâtrale aux USA, par Jo Mielziner. pg107
- Le théâtre réaliste et la construction théâtrale, par Hans Gussmann. pg113
- Scène et auditoire, par Filip Kalan Kumbatovic. pg119
- Libération du jeu par des architectures immatérielles, par Werner Ruhnau. pg127
- L’image 360° et l’espace scénique nouveau, par Jacques Polieri. pg131
- Nécessité actuelle du théâtre ambulant, par Jacques Bosson. pg149
- Un lieu théâtral : Avignon, par Jean Vilar. pg153
- Etude du Théâtre populaire, Centre culturel de la Défense, par Edouard Albert. pg161
- Introduction au Congrès de l’A.I.T.T., par Jean Mourier. pg167
- Architectur et théâtre lyrique par Bronislaw Horowicz. pg171
- La Technique, nécessité artistique du théâtre moderne, par Erwin Piscator. pg179
- Le nouvel éclairage scénique et sa signification pour le théâtre d’aujourd’hui, par Alfred Kolbe. pg193
- Acoustique des théâtres, par François Canac. pg197
- Le théâtre moderne a besoin d’espace et de techniques, par Walter Unruh. pg207
- La cinétique scénique, par Miroslav Kouril. pg211
- Le lieu théâtral et la culture, par Jean Jacquot. pg225
- Chronique. pg237
- Index. pg239
- Table des illustrations. pg245
D’anciennes broderies ont inspiré Rose Winter dans les années 20. Comment Marian Hannah fut-elle conduite au théâtre dés l’âge de quatre ans plusieurs fois par semaine et comment, à partir de ces broderies, la collection familiale s’élabora-t-elle ? … Il suffit de savoir que mère et filles s’appliquèrent dès ce moment et dans tous les pays du monde à assembler ce qui pouvait être la représentation par l’image et l’objet du Théâtre du Merveilleux.
Il fallait atteindre Paris pour toucher le foyer du Merveilleux … Aussi dès la fin de la guerre, économies réalisées grce à même de numismatique, rose etMarian Hannah Winter vivent-elles en Europe.
Marian Hannah présente une thèse de doctorat à la Sorbonne sur « le Théâtre du Merveilleux », tandis que Mrs. Winter poursuit inlassablement l’enrichissement de la collection.
Docteur ès Merveilleux, après 20 ans de recherche, une participation à toutes les manifestations qui démontrent le Merveilleux au spectacle, Marian Hannah et aujourd’hui la propriétaire de la collection d’estampes et d’objets l’une des plus purs du monde. Son érudition est certes la plus authentique.
Georges Balanchine disait de Marian Hannah Winter la recommandant à la Sorbonne : « je trouve dans ses oeuvres un grand talent pour la recherche et aussi, ce qui est plus rare, le temps d’un style très accompli. »
- Taille : 28,5cm x 21cm
- Table des matières.
- Préface. pg5
- Avant-propos. pg11
- Chapitre I : en Amérique de 1790 à 1850. pg13
- Chapitre II : les trois genres.- Le genre exotique. pg19
- - Le genre troubadour. pg31
- - Le gens surnaturels. pg37
- Chapitre II : les trois Réalisateurs.- Jean Georges Noverre. pg40
- - Jean-Louis David. pg43
- - Guilbert de Pixérécourt. pg50
- Chapitre IV : les techniques du Merveilleux. pg53
- Chapitre V : le Boulevard du Temple contre l’Opéra. pg67
- Chapitre VI : la pantomime. Jean-François Arnould-Mussot. pg79
- Chapitre VII : le ballet romantique du Boulevard du Crime. pg94
- ChapitreVIII : les Chorégraphes.
- - Jean Aumer. pg114
- - Louis Henty. pg127
- - Mazurier Et son école. pg139
- - Jean Coralli. pg143
- - Jules Perrot. pg154
- Chapitre IX : les animaux savants. pg158
- Conclusion. pg177
- Bibliographie. pg183
- Index des noms cités. pg187
- Index des ouvres citées p.g189
ISBN : 0819560324
One of the Czech Republic’s most innovative scene designers, incorporating multimedia aspects into his scene designs, Josef Svoboda’s (1920–2002) work is made available to the Anglophone public with translations from Jarka Burian (1927–2005). A detailed study of sixty key productions designed by Svoboda with over two hundred black-and-white photographs, Svoboda’s scenography is realized as a synthesis of traditional methods with technical innovations, creating a total design experience.
- Taille : 25,5cm x 19,5cm
- CONTENTS List of illustrations. pgIX
- Preface. pgXVII
- Introduction. pgXIX
- Part I.
- Life and principles. Biography. pg3
- Scenography RatherThan Design. pg15
- Experimentation and the Technical. pg21
- The Aesthetics of Theatre Performance. pg27
- Ideal Theatre Space. pg32
- Part II.
- Representative productions illustrated An Introductory Survey. pg39
- Kunala's Eyes (Ostreil)
- Kata Kabonova (Janacek)
- Macbeth (Shakespeare)
- Ivanov (Chekhov)
- The Magic Flute (Mozart)
- The Wedding (Combrowicz)
- The Mill (Mahler)
- Don Giovanni (Mozart),
- Bremen The Three Sisters (Chekhov)
- The Story of a Real Man (Prokofiev)
- Yvone (Combrowicz)
- Tosca (Puccini)
- The Eleventh Commandment (Samberk)
- Straying (Karnet)
- No More Heroes in Thebes (Ilumbalek)
- Elektra (Sophocles)
- Oedipus (Sophocles)
- Dalibor (Smetana)
- Il Trovatore (Verdi)
- The Theatre of Light. pg59
- An Optimistic Tragedy (Vishnjevski)
- A Sunday in August (Hrubin)
- The Sea Gull (Chekhov)
- Svätopluk (Suchoh)
- Drahomira (Tyl)
- Tristan and Isolde (Wagner)
- Sicilian Vespers (Verdi)
- Projections and Coloring Space. pg67
- A Midsummer Night's Dream (Shakespeare)
- Oberon (Weber)
- Die Frau Ohne Schatten (Strauss)
- Raduzand Mahulena (Zayer-Suk)
- Pelleas and Melisande (Debussy)
- Tannhduser (Wagner)
- Projections and Synthesis. pg77
- Polyekran Laterna Magika Diapolyekran
- Several Offspring of Polyekran and Laterna Magika. pg93
- Their Day (Topol)
- Romeo, Juliet, and Darkness (Fischer)
- The Journey (Werle)
- The Suzanna Play (Macourek)
- The Soldiers (Zimmermann)
- The Last Ones (Gorki) Intoleranza (Nono),
- Boston Prometheus (Orff) Kinetics, Lighting, and Mirrors. pg108
- Romeo and Juliet (Shakespeare)
- The Owners of the Keys (Kundera)
- The Insect Comedy (Capek)
- The Fiery Angel (Prokofiev)
- A Curtain of Life. pg121
- The Entertainer (Osborne)
- Two Hamlets (Shakespeare). pg121
- Prague Brussels Teatro Mundi. pg128
- The Anabaptists (Diirrenmatt)
- The Principle of Collage. pg131
- The Tales of Hoffmann (Offenbach)
- Wastrels in Paradise (Martens-Obey)
- Aibis's Action (Kainar)
- Revizor (Gogol)
- Theatre in Scenography. pg135
- A Love for Three Oranges (Prokofiev)
- The Makropulos Secret (Janacek)
- Rigoletto (Verdi) Don Giovanni (Mozart),
- Prague Appendix A. Selected Croup of Svoboda's Production Drawings. pg147
- Appendix B. Svoboda's Most Recent Productions. pg155
- Appendix C. Register of Svoboda's Productions. pg172
- Selected Bibliography. pg199
Avant-propos.
Les manuels d’histoire littéraire abondent ; mais, presque tous, il s’arrête prudemment à la date de 1914 : à la date de cette guerre que nous pouvons, hélas ! déjà baptisé « l’autre guerre ». Pour le dernier quart de siècle qui s’achève, le renseignement sont par trop fragmentaires, incomplets. D’autre part, la marée des livres imprimés n’a cessé de monter. Et bien des lecteurs qui n’ont ni le temps ni le got de ce musée en professionnelle de la critique interroge : « que devrais-je donc avoir lu pour être au courant de la production contemporaine ? »
Notre collection Clarté sur… ne se propose pas d’autre dessein que de répondre, dans la mesure du possible, à cette question.
Sans qu’ils s’en tiennent tous aux strictes limites chronologiques de l’entre-deux-guerres, la plupart de nos collaborateurs ont cependant voulu faire porter le principal de leur effort de recherche et de mise au point sur la période la plus proche de nous. On attachait de mettre en vedette les noms d’auteur et les tirages d’ouvrage qui représente le « dessus du panier ». De brèves indications bibliographiques, reporté en fin de chapitre, facilite les achats ou les emprunts de livres. Le point de vue littéraire, qui est celui des signataires des différentes brochures, et complété (pour ce qui concerne les tableaux du roman et du théâtre) par une sorte d’indicateurs de la valeur morale des auteurs et des titres ; cet indicateur est d à l’initiative des éditeurs.
- Taille : 18,5cm x 12,5cm
- Table des matières.
- Avant-propos. pg7
- Un mot pour commencer. pg9
- Chapitre I.
- Les jours que l’on croyait heureux .pg11
- Chapitre II.
- Théâtre d’amour, thétâre poétique. pg18
- Chapitr III.
- Le rire et la satire. pg46
- Chapitre IV.
- Le retour à l’histoire. pg59
- Chapitre V.
- Le drame et la tragédie. pg72
- Chapitre VI.
- La mode de tes 18 ans. pg81
- ChapitreVII.
- Le théâtre et la foi. pg85
- Un mot pour finir. Esquisse d’ un portrait. pg92
- Avertispsement des éditeurs. pg101
ISBN : 2930146036
20 ans de création chorégraphique en Communauté française de Belgique, plus de 700 oeuvres répertoriées; un foisonnement de chorégraphes et de compagnies; une histoire dense; un bilan d'années fastes! Cet ouvrage, comme répertoire de tous les spectacles de danse créés en Communauté française, et comme histoire de la vitalité d'un art, constitue à la fois une mémoire vive de l'élan chorégraphique de ces 20 dernières années et des chorégraphes et danseurs qui l'ont créé, et un outil de référence indispensable, tant pour ceux qui souhaitent découvrir la danse de la Communauté française, que pour ceux qui l'ont vécue et en trouveront ici les témoignages, abondamment illustrés.
- Taille : 24cm x 16cm
- Sommaire.
- Préfaces. Charles Picqué. pg13
- Henry Inberg. pg14
- Introduction. Vers une histoire de la création chorégraphique en communauté française par Béatrice Menet. pg19
- Inventaire des oeuvres. Compagnies permanentes. Ballet de l’Opéra royal de Wallonie. pg55
- Ballet royal de Wallonie. pg69
- Charleroi/Danses, Centre chorégraphique de la Communauté française. pg95
- Chorégraphes et compagnie. De la page 103 à la page 295.
- Postface. Jean-Philippe Van Aelbrouck . pg301
- Index des noms cités. Personnes et compagnies de danse. pg303
…
Au milieu des poupées, les automates suscitent toujours la curiosité des visiteurs les plus divers. Amateur de précision concernant le métier d’horloger - dont les compétences techniques ont toujours été nécessaires à la conception de ces personnages - et qui savent apprécier la prouesse technique de tels assemblages mécaniques, amateur de curiosités qui privilégient l’aspect satirique ou esthétique, adultes qui rêvent d’une autre époque ou enfants qui, bien qu’habitué à ne plus être surpris par aucune prouesse technique, n’en reste pas moins attentif et fasciné devant ces êtres au masque de comédie, qui suscite l’émotion, le sourire, la sympathie ou parfois l’inquiétude.
L’ensemble de cette collection compte 90 automates de catégories très diverses. Depuis les vedettes jusqu’aux automates en tôle découpée, simple jouet mécanique, la gamme est grande dans l’inspiration des créateurs.
On peut remarquer l’homogénéité de cet ensemble dans lequel se trouvent quatre grands noms :d Decamps ,Lambert, Vichy et Phalibois qui ont créé ces figurines entre 1855 et le débuts de notre siècle.
Parmi les vedettes, laquelle citée en premier ?
Le peintre poète aux yeux bleus, aux costumes bohèmes montrant le dessin qu’il retouche au spectateur amusé de ces clins d’oil ou de ses haussements alternatifs d’épaule ?
Le romantique Pierrot écrivain qui règle la flamme de sa lampe pigeon pour écrire à colombine avec une inusable plume d’oie?
La charmeuse de serpents dont le corps délicatement modelé répond à la nouvelle conception de l’automate exprimé par Decamps : « un automate est une sculpture en mouvement ». Qui pouvait, sinon un sculpteur sensible à la beauté féminine dans sa fraîche sensualité, rendre l’élégance du corps, l’envotement du regard bleu-vert qui filtre sous les paupières mobiles pour charmer le serpent ?
Le clown équilibriste dans le rétablissement en haut de son échelle laisse au spectateur le loisir de s’étonner de la complexe incurie qui lui permet de lcher son échelle de la main droite après avoir décrit un demi-cercle dans le vide en équilibre sur une seule main ? Outre la performance acrobatique à laquelle il se livre, qui ne seraient séduits par la finesse des traits du visage soigneusement grimé et ne apprécierait la délicatesse des mains si précisément sculpté en papier mché ? Ces personnages pas, pour la plupart, se classer en quelques catégories correspondant à l’intérêt de l’époque.
…
- Taille : 32cm x 24,5cm
- Table des matières.
- Petite histoire des automates. pg5
- La collection de Galéa. pg72
- La musique des automates. pg114
- Tableau animé. pg156
- Mécanismes d’automates. pg164
- La restauration des automates. pg170
ISBN : 2930146397
Ancienne étudiante de Mudra et danseuse du Ballet du XXe siècle, Dominique Genevois dépeint les dix-huit années d’existence de l’école de Maurice Béjart et de son enseignement novateur, où se côtoient la danse, le théâtre, le chant, le yoga. L’auteure revient également sur les personnalités qui ont façonné Mudra, son équipe administrative, ses professeurs internationaux et ses étudiants devenus acteurs majeurs de la création et de l’enseignement. Illustré de photographies d’époque et d’archives inédites, ce portrait fascinant fait revivre la grande aventure artistique et humaine que fut Mudra.
Préfaces de Maguy Marin et Barbara Hassel-Szternfeld.
- Taille : 23cm x 16cm
- Sommaire.
- Note de l’éditeur. pg8
- Préface de Maguy Marin. pg10
- Préface de Barbara Hassel-Szternfeld. pg11
- Avant-propos. pg12
- Mudra. pg17
- Béjart et Mudra. pg18
- Préfiguration de l’école. pg22
- Mudra, le hangar magique. pg29
- Statuts, règlement, financement et organisation. pg40
- L’Ecole: un estrit. pg51
- Avant Mudra, Paris. pg52
- L’équipe pédagogique. pg58
- Les professeurs de danse classique. pg58
- Les professeurs de danse moderne. pg75
- Le jazz. pg89
- Et la musique ? Voix et percussions. pg91
- Le jeu théâtral, Alfons Goris. PG117
- L’atelier de composition, apprentissage et créativité. pg133
- Les professeurs de danse traditionnelles. pg139
- Le Yoga et le zazen. pg151
- Les porteurs de projet. pg161
- L’équipe administrative : Mimi, Monette et Barbara. pg161
- Les directions artistiques des études. pg166
- La vie de l’école. pg185
- Le stress de l’administration et des évaluations. pg185
- Témoignages et confidences. pg198
- Régine, Guy et compagnie. pg208
- Les Mudristes. pg217
- Bruxelles, rue Bara, la vie des mudristes. pg218
- 1970, première promotion : les défricheurs. pg231
- Et aprè ? L’héritage de Mudra. pg245
- Rencontres et retrouvailles. pg262
- De l’importance des spectacles. pg273
- Les spectacles réglés par Béjart. pg279
- De Cocteau à Pétrarque. pg279
- Voyages chorégraphiques. pg297
- Yantra, un projet. pg314
- Mudra et puis ? pg345
- Mudra Dakar. pg347
- L’esprit d’un Mudra Paris. pg363
- Mudra Rudra … le final. pg379
- Dans un jacuzzi, quarante ans après. pg379
- Remerciements. pg384
- Annexes. pg385
- Les spectacles de Mudra, de 1970 à 1988. pg388
- Parcours. pg408
- Bibliographie. pg426
- Index. pg429
Avant-propos du traducteur.
Il manquait un livre qui fut une rapide initiation au métier cinématographique. Les études réunis par Miss Nancy Naumburg. Silence ! On tourne s’adressent autant au professionnel qui veut avoir les documents exactes et sérieux sur le travail des artistes et techniciens de Hollywood qu'à l’amateur passionné qui désire connaître jusque dans les moindres détails – artistiques, mécaniques, psychologiques – la façon dont on imagine, réalise et fabrique un film. L'ouvrage composé par Monsieur Stephen whatts, critique anglais distingué, est une lecture plus facile. Ce n'est ni une suite d'exposés secs ni un recueil d'anecdotes instructive, c'est une sorte d'enquête faite à l'intérieur même d’un grand studio en pleine activité avec la collaboration très précieuse des spécialistes les plus éminents de ce studio. Ainsi nous est donné l'occasion de lire l'opinion d'hommes et de femmes dont nous avons lu maintes fois le nom sur le « générique » des films. Leur témoignage a d'autant plus d'intérêt qu'il donne 10, 20,30 références permettant de juger la part qu'ils ont prise dans la production américaine.
Le spectateur à vite dit : j'aime ou je n'aime pas tel film pour telle ou telle raison, mais il lui est assez difficile de retrouver la part de chacun des artistes, artisans, techniciens qui ont travaillé en exécution de ce film et de répartir équitablement les louanges et les reproches.
Un film et le résultat des efforts multiples qui se complètent, s’opposent ou se neutralisent.
Certes, le metteur en scène est généralement – selon la liberté que le producteur lui laisse – le chef de l'équipe et le plus grnd responsable en dernier ressort, mais il est souvent inexact de dire qu'un film est « de Louis », car il est rare qu'il puisse choisir non seulement tous ses collaborateurs et ses interprètes, mais le sujet même de son film ; et, quand il est son maître, encore n’est-il jamais absolument maître de l'outil compliqué au moyen duquel il s'exprime. Au studio, la manœuvre intelligente et prompte d’un simple électricien contribue à la mise au point de l'ouvrage, de même que sa négligence manque de compromettre la réussite d'une scène, et, partant, de diminuer la valeur de l'ensemble. Un excellent opérateur de prise de vues, d’autre part, a parfois le désagrément de voir une journée de travail, précis, délicat gâchée par l’incurie du laboratoire. Il peut s’ensuivre, par exemple, que le spectateur juge une nouvelle actrice laide, mais adroite, alors qu’elle est, en réalité, aussi jolie que stupide, mais que le metteur en scène, à force de patience et de persuasion, a obtenu d’elle plus qu’elle ne pourra donner dans le reste de sa carrière.
Ce que Le Public de vin avec Braine Le, le critique doit le discerner. Le critique et le guide du public et le conseiller des artistes. Rien ne doit lui échapper et il va faire la différence entre un talent fabriqé et un vrai tempérament de comédien ou d’auteur de films. Un montage l’esbroufe ne doit pas non plus, par exemple, lui cacher la médiocrité d'une réalisation, d'une construction, d’un dialogue. Ce qui rédige les compte rendu des nouveautés de l'écran ou malheureusement peu de temps pour mettre au point leur appréciations et peude place pour les exposer. Quand les critiques à par hasard la possibilité de pousser assez loin un analyse, le spectateur a tendance à s'imaginer qu'il n'a plus d’yeux que pour une certaine princesse Technique, énigmatique et froide.
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J. G. Auriol
- Taille : 23cm x 14cm
- Table des matières.
- Avant-propos du traducteur. pg7
- Préface de Hugh Walpole. pg15
- Présentation, par Stephen Watts. pg19
- I. Le producteur, par Hunt Stromberg. pg24
- II. Le metteur en scène, par George Cukor. pg36
- III. Le scénario, par Frances Marion. pg47
- IV. Le décorateur, par Cedric Gibbons. pg59
- V. Les costumes, par Adrian. pg68
- VI. La régie, par Billy Grady. pg73
- VII. Le maquillage, par Jack Dawn. pg82
- VIII. L’acreur - I, par Leslie Howard. pg89
- IX. L’acteur - II, par Lionel Barrymore. pg102
- X. La photographie, par Lee Garmes. pg110
- XI. La couleur, par Natalie Kalmus. pg119
- XII. Le son, par Douglas Shearer. pg131
- XIII. La musique d’écran, par Herbert Stothart. pg138
- XIV. Le montage, par Margaret Booth. pg143
- XV. Propagande et publicité, par Howard Dietz. pg150
- XVI. La distribution, par Eckman Junior. pg162
Société pour le perfectionnement de l’éclairage, créée en vue de favoriser le développement et l’amélioration de l’éclairage.
Un effort considérable a été accompli ces dernières années dans différents pays, et particulièrement aux tats-Unis, en vue de favoriser le développement et l’amélioration de l’éclairage dans tous les domaines : éclairage public, industrielle, commerciale, domestique.
D’innombrables entreprises commerciales et industrielles utilisent très mal la lumière électrique, parce qu’aucune étude rationnelle n’a été faite des conditions optimales d’installation. Les foyers lumineux provoquent l’éblouissement et blesse la vue, au lieu d’éclairer correctement les objets ou les espaces qu’on se propose d’illuminer. Il en est souvent de même de l’éclairage public. Dans l’éclairage des habitations, on s’est borné généralement à utiliser quoi copier d’anciens appareils, sans chercher à tirer parti des nombreux avantages que peut procurer l’emploi de l’électricité.
La société pour le Perfectionnement de l’Eclairage a pour but de recueillir, centralisée, répandre et vulgariser tous les renseignements relatifs à l’éclairage ; de former des ingénieurs spécialistes ; de mener une campagne de propagande en faveur du meilleur éclairage ; d’expliquer de montrer, par des conférences, des tracts, des expériences et des démonstrations, sur quels principes doivent être basé les installations rationnelles ; d’étudier, pour le compte de ce qu’il le lui demande, les dispositions à prendre dans chaque cas particulier en vue d’obtenir le maximum d’effet utile, etc.
Cette société, qui est entièrement indépendante, ne vend aucun appareil, et ne recherche absolument aucun bénéfice commercial. Elle fait appel à la coopération des producteurs et distributeurs d’énergie électrique, des constructeurs de matériel, des installateurs, des revendeurs et, d’une façon générale, de tous ceux qui sont intéressés au développement de l’éclairage électrique, et leur demande des subventions annuelles ou des dons pour couvrir ses dépenses.
Elle poursuit, en faveur du meilleur éclairage, une campagne de propagande qui sera d’autant plus énergique que les moyens financiers mis à sa disposition seront plus importants. Elle se tient gratuitement à la disposition de tous ceux qui ont besoin, pour quelque motif que ce soit, du conseil ou de renseignements en matière d’éclairage. Elle fait établi gratuitement toutes les études et tous projets qui lui sont demandés par les architectes, les installateurs, des industriels, les commerçants, Les particuliers, etc. Personne ne doit donc hésiter la consulter puisqu’elle a été créée dans le but de contribuer à la vulgarisation du meilleur éclairage.
- Taille : 20,5cm x 13,5cm
- La Lumière. pg1
- L’Oeil. pg7
- La Vision. pg10
- L’Eblouissement. pg15
- L’Eblouissement et la Vision. pg21
- L’Eclairage et la Production. pg22
ISBN : 207075992X
Quel lien entre les dispositifs techniques de la mise en lumière, leur impact symbolique et leur efficacité politique? Question médiologique s'il en est, qui cherche les jointures du spirituel et du matériel, à même l'histoire des outils et des mentalités.
Dans nos sociétés occidentales, le chemin du progrès conduit toujours vers la lumière. En retour, se réclamer de la lumière suffit souvent à toute légitimation. Nous aimons chasser l'obscurité et chaque fois que lumière est faite sur une affaire, nous avons effectué un grand pas en avant. Il faut bien alors émettre l'hypothèse que ce qui est éclairé, ce qui a valeur de "progrè", est profondément lié aux sources de lumière disponibles.
- Taille : 24cm x 19cm
- Ouvertures M.
- SICARD
- Le soleil, l'ampoule, l'esprit P.
- -M. DE BIAS Fiat Lux, ou les péripéties palingénésique de la lumière
- O. VALLET Jupiter et Lucifer D. BOUGNOUX L'ivrogne et le réverbère
- I. La page & le plomb A. MANGUEL
- Le silence des lumières V. HUGO
- Une ombre capable de flamboiement.. R. DUMAS
- L'encyclopédie : manifeste médiologique des Lumières G. VIGNAUX
- L'hypothèse du livre électronique R. WALTER
- L'Encyclopédie "plein texte"
- II. L'ampoule & la nuit Ch. WALTISPERGER
- Avant l'ampoule K. ROBERT-HOUDIN et S. LEFAVRAIS
- Robert-Hourdin : la magie de l'ampoule A. BELTRAN et P. CARRE
- Une fin de siècle électrique M.-R. FAURE Découverte de la nuit
- C. BERTHO LAVENIR Cathédrales de lumières M. BOITEUX
- Du monopole de la lumière (entretien)
- III. La toile & l'écran J. PERRIAULT Lux et Lumen C. FRONTISI
- Les assassins du clair de lune G. LEBLANC Mehr Licht !
- P.BEURARD-VALDOYE A Henri Alekan Ch. VAN DAMME Cette lumière qui occulte (entretien) D. PAINI Pro-jeter Fr.
- -B. HUYGHE La fée du village global D. FRAU-MEIGS
- Technologies de la fascination S. TISSERON
- Les pièges de la visibilité L. MERZEAU
- La veilleuse des âmes en peine
- IV. La ville & le faisceau Th. PAQUOT Paris 1900 : le Palais de l'Électricité K. DOUPLITZKY Éloge du gris Ph. VUAILLAT Le journal et le jour N. GELAS Tendance lumière R. BEGOC Lumières publiques (entretien) Y. CIRET Poursuite ! A. DIOT et C. HAMON Jeux d'orgue (entretien) Y. KERSALE
- Les arts plastiques en éclats (entretien) R. ROUYER, Y. CLERGET et R. LABOURDETTE Promenade au Louvre B. DUFRENE Educere / seducere Ph. HERVE Rayon de mort ou rayon de vie : le laser
- Exposition
- De l'ombre à la lumière,un idéal occidental Ph. BAZIN Du livre à la lumière,ou la genèse d'une exposition
- Catalogue de l'exposition
1894. (Extrait)
Novembre 1894.
Nous n’étions pas très brillante dans ce train omnibus qui nous ramenait de Naples à Paris après la catastrophe de Rome dont le récit a terminé la première partie de ses souvenirs.
Pourquoi Naples, puisque, une huitaine de jours avant, nous étions sans ressources à Rome ? Dans notre désarroi, je m’étais souvenu de quelques propositions de représentation dans cette ville, reçu avant sa fugue par notre imprésario ; j’avais entretenu l’espoir de les donner avec mes camarades avant de rentrer par mère, voit beaucoup moins coteuse que le chemin de fer.
C’est pourquoi nous allions débarquer à Naples et ce merveilleux temps de septembre, dans une des plus belles villes du monde, que la plupart d’entre nous de connaissez pas, avait suffi à réveiller notre optimisme. Hélas ! Après quelques pourparlers, il me fallut constater qu’il n’y avait rien à espérer et, comme nous devions attendre une semaine un bateau pour Marseille, que nos ressources étaient épuisées, le plus sage fut, en rappelant le fonds de nos poches, de prendre courageusement le train. Personnellement, j’étais sans le sou, puisque, depuis 20 jours, non seulement je n’avais plus touché chaque soir les cacher garanties par notre contrat, mais que l’argent que mis de côté jusque-là, pendant nos représentations en Allemagne, avait été consacré à payer mes camarades jusqu’au dernier jour. Tous, ou à peu près, possédez donc quelques économies ; seule, j’ai nié et moi étions absolument démunis, mais notre vieille camarade Barny, toujours dévoué, nous avança nos frais de rapatriement.
En sorte que nous débarquions trois jours plus tard à Paris, chacun regagnant ses pénates, l’oreille basse, mais décidé à chercher fortune. J’ai mis, dont la réputation avait grandi depuis trois ou quatre ans à la suite de ses succès au Théâtre-Libre (Blanchette, les tisserands, etc.), ne fut guère en peine de se caser et entra à l’Ambigu où Decourcelle lui réserve un rôle dans Roger la Honte. Arquilière, lui, gardé à la rigueur la ressource de regrimper sur son échelle de peintres, et Luce Colas entra au Vaudeville.
La question était bien plus grave pour moi. D’abord où aller ? Le Théâtre-Libre m’avait éloigné de tout contact avec le grand public, et je n’étais, malgré mes sept années de campagne et de nombreuses créations, qu’un simple amateur pour les professionnels. Ensuite, la lutte engagée avec les directeurs de scènes régulières, dans nos efforts avaient peu à peu ébranlé le prestige, ne m’avait pas créé des sympathies bien ardentes. J’allais me trouver isolé de la vie thétrale et peut être obligé de rechercher ailleurs les moyens de vivre. Je me contentais d’abord d’observer l’horizon.
L’écho de presses excellentes en Allemagne, en Belgique et en Italie, sauvegarder mon amour-propre, mais le moindre engagement aurait bien mieux fait mon affaire. J’avais heureusement conservé de solides appuis et revues, dès notre retour, Madame de Loynes, qui s’employa à me réconforter. Son ami, Jules Lemaître, achevait pour le Gymnase une comédie nouvelle : L’Age difficile, dont le principal rôle pouvait me convenir. L’inconvénient était que ce théâtre se trouvait sous la direction commune de Porel et d’Albert Carré, déjà associés pour le Vaudeville ; si Albert Carré, avec lequel j’avais toujours entretenu des relations les plus amicales, se montrait assez disposés à accepter la suggestion de Lemaître me proposant pour créer sa pièce, Porel gardait nos violentes polémiques sur le coeur. Il avait souvent déclaré que je n’étais qu’un amateur sans aucun avenir sérieux. Enfin, il ne se souciait probablement pas de me fournir l’occasion et les moyens de me relever.
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- Taille : 18,5cm x 12cm
- Notes de : Novembre 1894 au 27 mai 1906
15 ans après avoir ouvert la cave de la rue Josaphat, Albert André L'Heureux viens de recevoir une reconnaissance officielle qui paraît de poids : l'agrégation de son Théâtre de l’Esprit Frappeur. C'est insertion dans une catégorie nouvelle, où l'on retrouve le Rideau de Bruxelles, le Théâtre du Parc et la Compagnie des Galeries, semble venir à point nommé à leur le rôle international de Bruxelles exige le développement d'une activité théâtrale diversifiée qui soit digne des plus grandes scènes européennes. Le renom de l’Heureux comme la dimension de féérie qu'il a tenté de redonner à la Rotonde du Jardin Botanique peuvent y contribuer notoirement. On n’oubliera pas de sitôt l’admirable incantation incantation de Madame de Sade ou les accents déchirés qui lui fit raisonner l'un des dramaturge contemporain qui figurent parmi les plus accomplis de notre langue, René Kaliski. Mais on ne peut, en même temps, s’empécher de se demander quelles seront les moyens qui seront réellement consenti à l’Heureux pour amortir, affiner et achever ce qu'il a entrepris sous les verrières Léopoldiennes. Les moyens de notre théâtre, dès lors qu'il s'agit d'animer un site en permanence, font en effet piètre figure. La question que pose indirectement le cas de l’Esprit Frappeur, n'est pas celle de notre manque d'imagination culturelle ?
Reste qu’au cœur des limites imparties, Lheureux entend rester fidèle à sa devise et poser un nouveau défi. Non sans raison, on a souvent reproché à chacun de nos grands théâtres de n'avoir pas suffisamment œuvré en faveur des œuvres belges de langue française alors que les arrêtés royaux régissant l'activité de théâtre ne cesse d'y assister il comporte une série de mesures destinées à encourager cette pratique. Casse la ne tienne ! Agréé dans les pires conditions qu'il soit, l'esprit frappeur se lance dans ce coquin de notre Theatre n'est jamais fait tirer dans ce qui, pour presse que tous les directeurs, constitue l'impossible–: une saison consacrer entièrement à des textes belges de langue française.
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Marc Quaghebeur
- Taille : 26cm x 19,5cm
- Merci à l’Esprit Frappeur, par Georges Sion
- Marc Quaghebeur.
- Jacques Franck.
- Javques De Decker.
- Nicole Cromps.
- 63 Spectacles 1963 - 1978
- Le Petit Théâtre de la rue Josaphat : L’Esprit Frappeur; un lieu, un univers, une vision.
- Onze dispositions différentes de l’espace scénographique
- Henri Pribik
ISBN : 2907441345
Introduction.
Loin de la technicité affirmée propre domaine du son et de la lumière, la machinerie de théâtre ou plus largement du spectacle demeure la face cachée de la mise en oeuvre technique.
Pourtant la scène - espaces durables ou éphémères - et le lieu d’évolution de l’artiste. Cette caractéristique définit la scène et la technique qui s’y réfère comme le « cour battant » du théâtre.
Les éléments d’éclairage, de sonorisation et la scénographie y sont installés un temps donné grce à la compétence et à l’engagement des techniciens du plateau, dans une recherche constante d’esthétisme et de sécurité.
Si le fonctionnement de la machinerie repose sur des techniques ancestrales, l’évolution des outils disponibles et des normes législatives forcent à repenser les méthodes de travail.
Trop souvent considéré à tort comme la troisième roue du carrosse, le travail de la machinerie requiert un fort savoir-faire technique constitué de théorie et de pratiques issues d’une multiplicité d’expérience et d’ingéniosité.
Au-delà de ce savoir technique, le travail sur un plateau - au plus près de l’artiste - nécessite l’incontournable qualité humaine et de savoir-faire, qui valorise encore la beauté du travail de ces artisans de l’ombre.
l’instar des précédents guides techniques édités par l’Agence culturelle, l’ABC de la machinerie revendique une forte pratique cité d’utilisation, à destination d’un public disposant de quelques prérequis scéniques.
Le large horizon des savoirs de la machinerie et de la scène nous rappelle sans cesse la richesse de ces techniques et l’humilité à avoir face aux serviteurs des artistes.
Marc Jacquemond, Directeur techniqueISBN : 2907441310
- Taille : 21cm x 15cm
- Sommaire.
- I - Accroche et levage.
- Notions de physique. pg14
- Charge Maximale d’Utilisation. pg17
- Câbles et élingues. pg18
- Eléments connecteurs et accessoires. pg27
- Cordages, poulies et moufles. pg30
- Supports d'accroche. pg43
- Moteurs de levage. pg54
- II - La scène et ses équipements.La scène. pg58
- Les rideaux. pg66
- Décors et Matériaux. pg76
- Préparation d'un spectacle. pg77
- III - Pratique.La sécurité sur un plateau. pg84
- De la compétence du machiniste. pg87
- Le montage. pg95
- Les coulisses. pg103
- Exploitation de spectacle. pg105
- Le démontage. pg111
- Annexes. pg113
ISBN : 2906284580
Prologue.
Ah, vous étiez au Bauhaus; quelle chance ! Vous avez connu Klee (ou Kandinsky, c’est selon ; jamais Moholy, ou Albers, tou Schlemmer ni Gropius, ni Mies, ni Meyer, ni des moindres seigneurs) : l’imaginaire collectif fonctionne ainsi.
Ces temps de mes 18 - 20 ans sont loin. Des temps pleins ; des temps d’une première après-guerre, des temps d’espoir (semblant insensés aujourd’hui) ; des temps où la pauvreté se posait moins en termes d’assistance qu’en termes de solidarité ; des temps d’une grande fraternité internationaliste ; des temps où la vie s’inventait tous les jours et où les lendemains inspiraient l’allégresse des projets et des solutions entrevus Mais temps aussi d’un premier choc politique ou la république donnée à ces princes chassés en 18, les milliards de la «Fürstenabfindung », l’indemnisation des princes, voté par le peuple souverain ; temps lourd de ses contradictions.
L’histoire du Bauhaus, telle qu’elle est écrite, nous apprend pour l’essentiel que l’architecture et les objets utilitaires aussi bien qu’artistique que celle-ci contient, était au centre des préoccupations de cette « usine à idées » (expression d’un ouvrier visiteur de l’expositionB «auhaus » à Paris en 1969). Mais il semble qu’autour du «Bau », le chantier au sens large, ne s’investissait que la moitié du potentiel inventif de cette communauté pas comme les autres. L’autre moitié se dépensait dans les fêtes, dont le point culminant fut le théâtre, et dans la mise en commun d’idées, de travaux et de loisirs aux règles ne n’écrient accompagner de discussions interminables. Qu’on songe à l’effet thérapeutique de la palabre ! Très sensible aux événements et aux idées du monde extérieur, cette « île » (comme nous disions) ne pouvait résister bien longtemps aux forces internes et externes de désagrégations ; à l’hostilité marquée d’un environnement petit-bourgeois, tolérant, aux idées courtes et conservatrices, hérissé par les comportements libertaires des habitants de « l’aquarium » (le volume envers des ateliers), cette maison de fou Jude et aux bolcheviques, comme ils clamaient.
Le Bauhaus dans sa courte histoire de 1000 919 932 était en révolution permanente et a vécu la mise à mort symbolique d’un certain nombre de pères spirituels successifs : Itten (1923), le gourou ; Gropius, le père fondateur pacificateur (1928) ; Schlemmer, le maître des cérémonies (1929) ; Meyer, le ratio-progressiste (1930) ; Mies van der Rohe, le père fouettard auto liquidateur (1932). Et je n’énumère pas les départs et les démissions d’enseignants si nombreux qu’à la fin (peu glorieuse) à Berlin n’en restait que deux survivants des années où wiemariennes : Albers et Kadinsky. Il a connu en outre trois fermetures : 1924 fin de la période expressionniste de Weimar. Un gouvernement de droite remplaçant la gauche au Landtag de Thüringen. Au semestre d’hiver 25, l’école rec ommence à Dessau avec 63 étudiants. Elle aura 930 193 étudiants. Elle fermera ses portes après deux ans d’automutilation sous la pression d’une municipalité à majorité de droite et nazie, les socialistes s’abstenant. Semestre d’hiver 1932, départ des restes de l’institut, désormais privé, à Berlin, où les autorités nazies posent, le 11 avril 1933, les scellés à une école déjà hors d’état de fonctionner.
- Taille : 21cm x 16cm
- Table.
- Lettre de Philippe Soupault. pg5
- I. Prologue. pg9
- II. La cathédrale engloutie. pg11
- III. Un père abandonne ses enfants (psychodrame). pg21
- IV. Coup de foudre. pg24
- V. Théâtres en Utopie. pg28
- VI. Les éléments scéniques ou un théâtre d’avant la parole. pg36
- VII. Mensch und Kunstfigur. pg41
- VIII. Portrait en pied. pg47
- IX. Schlemmer, danse, dessin, destin. pg52
- X. Le sexe des anges. pg59
- XI. Le Mummenschanz. pg61
- XII. Demandez le programme. pg63
- XIII. Que le spectacle commence. pg73
- XIV. La Trinité en marche. pg77
- XV. La danse des formes. pg79
- XVI. Danse des coulisses. pg83
- XVII. Attention, fragile ! pg85
- XVIII. Gestes. pg87
- XIX. Danse des bâtons. pg91
- XX. Leçons d’architecture. pg95
- XXI. Danse des cerceaux. pg99
- XXII. Danse des femmes. pg103
- XXIII. Coeur des masques. pg107
- XXIV. Sketch. pg111
- XXV. Première voix : le collectif. pg115
- XXVI. Deuxième voix : Schlemmer au jour le jour. pg122
- XXVII. Mélancoliques fins. pg128
- XXVIII. Reconstitution - trahison. pg132
- XXIX. Pour conclure. pg136
- XXX. Pourquoi j’illustre mon texte de linogravures ? pg139
ISBN : 9788070083659
Almost one year after the 13th edition of the Prague Quadrennial of Performance Design and Space, a publication has been released dedicated to the SharedSpace: Music Weather Politics project with a particular look at the latest PQ exhibition.
Each of the essays, written by foremost professionals in the field of scenography, such as Irena Šentevska, Peter Crawley, Vojtěch Poláček, Rachel Hann, Sodja Lotker, Joslin McKinney, Sigrid Merx and others, presents a highly particular and personal “take" on the highly diverse constellations of PQ 2015 events. At the same time the book defines some of its key concerns, innovative approaches, questions, and challenges as well as the nature and considerations of scenography and theatre in the present moment.
- Taille : 29,5cm x 21cm
- Contents
- .Introduction, Sodja Zupanc Lokter, Branislava Kuburovic. pg7
- Keeping the Doors Open : Curatorship at the PQ 2015, par Irena Sentevska. pg14
- Contemplating the Role of Performance Design, par Dominic Huber. pg28
- The Same People in the same Place : How are Nations Created Through Scenography ? par Peter Crawley. pg46
- Audiencing Scenography, par Joslin McKinney. pg60A
- rt and Science in the steets of Prague, par Vojtech Polacek. pg72
- Prague’s Theatricality or Why There Are Live Sharks in the City, par Sigrid Merx. pg90
- Costume Politics, par Rachel Hann. pg110
- How Objects Perform, par Branislava Kuburovic. pg132
- Makers, par Sodja Zupanc Lokter. pg146
- ShareSpace : Music Weather Politics Or Where is the Theatre Now ? par Sodja Zupanc Lokter. pg162
- Biographies. pg184
ISBN : 9639376299
Memorial Volume.
This Memorial Volume on the Hungarian National Theatre is to appear on 15 March 2002, the anniversary day of the Hungarian bourgeois revolution and war of the independece of 1848-1849.
In the 19th century, the Hungarian intelligentsia tended to consider the National Theatre as an institution serving and symbolising the nation’s indenpendence. Built by the generosity of the public, the theatre was opened in 1837.
On the occasion of the opening of the new National Theatre, this album of Korpna Publishing House is meant to recall some details of the Theatre’s eventful past and history of its various buildings.
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- Taille : 32cm x 20,5cm
ISBN : 8322101066
Compendium wiedzy teatralnej. Obejmuje nie tylko dzieje teatru europejskiego od klasycznych greckich początków do końca lat 60-tych XX-wieku. Autorka dzieli się również dostępną wiedzą na temat prateatru ludów pierwotnych, Egiptu, starożytnego wschodu. Nie zapomina o sztuce scenicznej z kręgu kultur: islamskiej, indyjskiej, chińskiej i japońskiej. Uwzględnia też bizantyjski teatr bez dramatu. Spis rzeczy: Przedmowa Prateatr Ludów Pierwotnych Egipt i Starożytny Wschód W kręgu kultury Islamu W kręgu kultury Indyjskiej Chiny Japonia Grecja Rzym Bizancjum Średniowiecze Odrodzenie Barok ! Uwagi: Oprawa wyblakła, zarysowana i wytarta, brzegi stron są nieco pożółkłe, zakurzone.
- Taille : 23cm x 16cm
- Pas de traduction
ISBN : 2240010002
Dans la préface de Cromwell, Hugo regrette avec ironie que son drame n’est pas eu « l’honneur d’être officiellement rejeté par un comité de lecture infaillible », c’est-à-dire celui du Thétre-Français. C’est pourtant à ce comité qui soumet Marion de Lomme puis Hernani, négligeant les propositions qui lui sont faites par le directeur de la Porte Saint-Martin, théâtre populaire où triomphe le mélodrame, et celui de l’Odéon, second théâtre national, pourtant fréquentée par un public largement estudiantin. Les deux pièces sont reçues par acclamation (sans qu’il soit nécessaire de procéder à un vote) dans le temple du théâtre classique. Cependant, Marion de Lomme fut interdite avant l’entrée en répétition. Pour Hernani, la censure usa d’une autre tactique : le censeur donna son aval en notant dans son rapport : « Il est bon que le public voit jusqu’à quel point d’égarement peut aller l’esprit humain affranchi de toute règle et de toute bienséance. »
- Taille : 29,5cm x 21cm
- Sommaire.
- Un peu de théorie. pg4
- Lope de Vega . pg4
- Stendhal. pg4
- Alfred de Vigny. pg5
- Hugo. pg6
- Victor Hugo et le théâtre - chronologie. pg7
- Souvenirs d’enfance. pg8
- Hernani en 1830. pg10
- La Comédie-Française. pg10
- Les répétitions d’Hernani. pg14
- Les décors. pg17
- La première racontée par Théophile Gautier. pg19
- La première racontée par Adèle Hugo. pg20
- La presse. pg22Reprise au XIXe siècle. pg27
- Reprise de 1838. pg27
- Reprise de 1867. pg28
- Reprise de 1877 - mise en scène d’Emile Perrin. pg30
- Première moitié du XXe siècle. pg34
- Reprise de 1927. pg34
- Reprise de 1952 - mise en scène d’Henri Rollan. pg34
- Mise en scène de Robert Hossein. pg36
- Mise en scène d’Antoine Vitez. pg42
- 1985 - thétre de Chaillot. pg42
- La scénographie. pg46
- La presse. pg58
- Mise en scène d’Anne Delbée. pg60
- Bibliographie. pg64
- Cahier couleur.
ISBN : 9788498032703
"Manual elaborat pensant en els estudiants d'escenografia per tal de facilitar-los uns coneixements bàsics -bo i rendibilitzant-los al màxim- més enllà de la simple representació del projecte o de la seva aplicació i posada en escena; també procura donar solucions a la projecció d'imatges i al trucatge visual sobre l'espai escènic."
- Taille : 30cm x 21.5cm